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mercredi, 31 juillet 2024

Le subliminal dans la cérémonie des JO

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Source Le Salon beige cliquez ici

Pour la grand-messe de la nouvelle religion, à l’occasion des JO, le projet de société de nos dirigeants a été présenté à l’ensemble de la planète. Pour organiser cela, le système est allé chercher une minorité dans la minorité qui prétend parler au nom de tous les autres, un classique, et ils ont choisi ceux qui font de leur sexualité le centre du monde et aiment exposer leurs turpitudes, annonçant la couleur ainsi : « Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle ». Avec leur propagande woke, Ils ont réussi à tout salir par ce spectacle décadent et imprégné d’un mépris abyssal pour la France et la civilisation occidentale.

Ça a commencé par Djamel donnant le ton à l’ensemble : « Oh, Zizou Christ ! Ça va »

Et puis on a donc eu l’interminable séquence, porteuse du message idéologique, des drag queens sur le pont de la hideur, mauvais goût et provocation dans ce qui ressemble d’abord à une évocation de la Cène (avec la DJ lesbienne auréolée comme le Christ, et reconnue comme telle par les acteurs, le metteur en scène se réfugiant dans la takia et nous prenant pour des jambons) puis ca se cumule (ce n’est pas 2 tableaux successifs) avec l’apparition de Bacchus (dyonisos), le dieu de l’ivresse, du dépassement des limites, nu et peint en bleu, et qui incite à oublier tout ça pour revenir à l’état de nature, sans retenue. La retenue, c’est le père qui sépare l’enfant de sa mère, lui dit non, lui apporte les règles, l’amène à l’extérieur de ce couple fusionnel satisfaisant tous les besoins de l’enfant, et lui apporte la morale nécessaire à la vie sociale. Et c’est pour ca qu’on a tué le père, et c’est pour ça qu’on détruit les religions (le christianisme en particulier) car elles apportent les normes, la loi. On les a détruit pour parvenir au retrait du surmoi (la conscience morale) et au triomphe du ça (l’instinct bestial, le principe de plaisir). Logiquement, la bacchanale emporte alors tout et ça se transforme en un défilé de mode, avec comme modèles des déjantés sataniques, grimaçant et se vautrant dans la fange. Avec, pour clore la séquence en toile de fond, le chevalier de l’apocalypse !

Et puis, disséminé tout au long, quelques exemples subliminaux de cette transgression des limites :
La destruction de la famille, symbolisée par le trouple de la Bibliothèque de France qui se bécote et finit par s’enfermer pour un plan à trois.

L’enfant parmi les drags queen

Le renversement de l’autorité par le peuple, faisant la fête révolutionnaire en rose LGBT, et conduisant tout droit au sang sur la conciergerie et Marie-Antoinette décapitée tenant sa tête tout en chantant le « ça ira », fallait oser, et devant un parterre de têtes couronnées (mais pourquoi pas louis XVI plutôt qu’elle dont le seul crime est d’être la femme du roi ?).

L’abolition des nations par l’humiliation de la Garde républicaine obligée de se trémousser sur du Aya Nakamura qui recrache des paroles vulgaires qu’heureusement personne n’a compris, devant le temple de la langue française, qui s’ouvre donc à la multiculturalité. La France chrétienne, la France blanche, c’est fini, place à la diversité.

Détail ? le drapeau olympien symbolisant l’universalité a été hissé à l’envers, et face au veau d’or, c’est le symbole de l’inversion des valeurs du monde nouveau qui s’élève, et dont le flambeau est transmis par un vieux blanc impotent.

Sans parler du refrain pro migrant des réfugiés des pays en guerre, avec en double prime un état inexistant, la Palestine, le tout en se gargarisant de l’union olympique de tous les peuples, mais sans la Russie ni la Biélorussie, drôle d’union, cela rappelle les manifestations unitaires anti attentats islamiques, dont le RN était exclu.

J’oubliais le chapitre « sororité » pour mettre en valeur nos sœurs, avec en premier Olympe de Gouges (en oubliant qu’elle fut guillotinée au nom des lumières) en oubliant Jeanne d’arc, sainte Geneviève, et bien d’autres, et pourquoi discriminer ainsi les sexes ?

Cerise sur le gateau, la délégation algérienne participe de son mépris pour la France en lançant des fleurs pour rappeler la manif du FLN de 1961.

On cherche désespérément la célébration des valeurs du sport et de la beauté de la France au milieu d’une propagande woke aussi grossière. Envie de tout péter dans ce pays de déconstructeurs et détraqués en tous genres.

Ne pas partager l’idéologie dominante, c’est , me dira-t-on, un discours de haine, et cela justifie la haine contre vous.

12:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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