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jeudi, 20 mars 2025

Le Jarl, c’est mon nouveau modèle…

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Bernard Germain

Cette extrême gauche et ces bien pensants sont impayables. Il n’y a quasiment pas une manifestation sans qu’ils ne provoquent des violences, directement ou via les antifas et souvent ensemble. Jamais la presse bien-pensante (L’HumanitéLibérationLe MondeMédiapartOuest France,…) ne les dénonce comme étant une menace pour la démocratie et notre société. Pas plus qu’elle ne dénonce les actes souvent odieux qu’ils commettent.

On en a eu deux beaux exemples ces derniers temps.

D’abord le 8 mars, jour des « droits de la femme ». On a vu ce jour là, les Némésis être virées manu militari de la manifestation par les antifas et la gauche car elles osaient dénoncer les viols subis par les femmes blanches victimes de migrants sous OQTF. Et pensez donc, elles exigent en plus l’expulsion de France des coupables. Inacceptable !

Idem pour l’association « Nous vivrons », organisation constituée par des femmes juives qui dénoncent les viols du 7 octobre 2023 en Israël et tous ceux que subissent les femmes juives ainsi que les violences qui les frappent un peu partout y compris en France. Elles aussi ont été virées brutalement. Non mais, des juives vont venir dire à la gauche sur quoi protester ? Vous n’y pensez pas.

D’ailleurs, quand les violences sont exercées par la gauche et les bien-pensants, c’est normal. Puisque c’est l’extrême droite qui est visée, on ne peut qu’applaudir. Précisons que l’extrême droite commence à la droite de la LFI de Mélenchon. Ça fait donc du monde, susceptible d’être condamné et frappé…

De même personne à gauche n’a trouvé à redire quand des membres de la manifestation de gauche on tagué sur les murs « une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Sauf erreur de ma part, cela s’appelle une menace de mort tout comme l’a fait Raphaël Arnault (député LFI) et chef des antifas de Lyon (la Jeune Garde) quand il a dit « si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ».

Aucune poursuite pour lui de la part d’un procureur. Par contre à Mulhouse, lors du rassemblement pour la mémoire de l’homme tué à coups de couteau par un algérien sous OQTF, lorsque deux jeunes de l’Action Française ont crié « Stop au francocide », et « expulsez les OQTF, bande de lâches ! », là la foudre est tombée immédiatement sur eux et le procureur a engagé séance tenante des poursuite contre eux. Non mais sans rire, comment peut-on se permettre de demander l’expulsion des OQTF ? Ils se croient où ces jeunes « d’extrême droite » ?

Voilà ce qu’est la France de Macron après bientôt huit ans de règne. Un règne qui aura contribuer dans des conditions incroyables à la destruction méthodique de notre pays.

Et les éléments qui précèdent ne sont qu’un petit aperçu de ce qu’est devenu notre pays en moins de dix ans par la conjonction des actions de ce président et des forces de gauche soutenues par les médias « progressistes ».

Pourtant, dans ce décor lugubre, de temps en temps une éclaircie se manifeste, qui contribue à nous prouver que tout n’est pas perdu et que si on se bouge, les destructeurs de notre pays peuvent être amenés à en rabattre sérieusement.

C’est ce qui s’est passé à Rennes, ville devenue complètement pourrie sous l’heureuse conduite de la gauche. Les agressions y sont innombrables, la drogue est partout, les migrants aussi, notamment les célèbres « mineurs isolés » dont l’immense majorité ne sont ni mineurs ni isolés.

Pourtant dans cette ville, il est un lieu préservé de tout cela. C’est une boîte de nuit dénommée le « 1988 ». Le directeur adjoint et responsable de la sécurité est Yovan Delourme, dit « le Jarl » (chef de guerre) qui pilote son établissement d’une main ferme. Les règles sont simples et connues. Personne n’y échappe. Le résultat est que c’est le seul endroit de Rennes où les jeunes peuvent venir faire la fête en toute sécurité.

Tous les jours, des couteaux sont confisqués, de la drogue, etc. Et les fauteurs de troubles sont impitoyablement flanqués dehors sans retour possible.

Le Jarl a écrit un livre (Ça va mal finir) pour expliquer tout cela et dire que ce qu’il fait dans son établissement pourrait et même devrait être fait à l’échelle du pays. Ce qui permettrait à la France de retrouver le calme et la sérénité.

Sa méthode est toute simple : des règles claires et fermes et si le besoin existe du fait de la violence des coupables on oppose une violence plus forte pour faire cesser les troubles.

Malheureusement, du fait de la lâcheté de l’immense majorité de la classe politique, ce qui pourrait être fait ne l’est pas et nous sommes tombés dans une sacrée ornière.

C’est dans ce contexte que dans la nuit du 8 au 9 mars, des antifas pour la plupart, se croyant tout permis sont venus faire une « teuf » dans un cinéma désaffecté, juste à côté du 1988. Violation de domicile caractérisée puisqu’ils ont forcé les portes qui étaient fermées. On rappelle au lecteur que l’article 73 du code pénal dispose « Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche ».

Le Jarl a donc commencé par prévenir la police en demandant qu’elle vienne faire évacuer les lieux, notamment parce qu’il y avait une queue de plusieurs dizaines de personnes devant le 1988, personnes dont le Jarl devait assurer la sécurité.

Au bout d’un certain temps, et même d’un temps certain, quinze policiers sont arrivés (il n’y a que cela comme effectifs disponibles la nuit sur Rennes). On n’oubliera pas non plus que c’est à Rennes qu’il y a quelque temps la police avait mis une heure pour intervenir en fin de journée alors que des dealers se battaient à coups de Kalachnikovs.

Cette nuit du 8 au 9 mars, en face, dans le cinéma, ils étaient 3 à 400 personnes dont une bonne partie était alcoolisée et même défoncée. Au bout d’un moment la police a envoyé des lacrymogènes pour faire évacuer les lieux vu qu’ils n’étaient pas assez nombreux pour intervenir physiquement.

C’est là que les problèmes ont commencé…

Les antifas sont sortis par les issues de secours juste devant la boîte 1988. Le Jarl et son équipe (une quinzaine de personnes) étaient là devant leur entrée pour protéger les clients qui faisaient la queue en attendant de pouvoir accéder à l’établissement.

Et bien sûr, les antifas ont commencé à jeter des bouteilles sur les clients du 1988.

Ni une ni deux, le Jarl et ses gars ont commencé à intervenir pour faire cesser ces actes inadmissibles.

Au final, ils ont réussi à faire fuir ces antifas, très agressifs et courageux à 30 ou 40 contre un, mais là ils couraient assez vite en criant de loin. De très loin. Comme en attestent les vidéos tournées ce soir là.

Le plus fort étant que ces antifas ont prétendu être les victimes de violences insupportables de la part du Jarl et de son équipe.

Inversion complète de la réalité, comme d’habitude. Et comme d’habitude aussi, la presse, constamment silencieuse sur les méfaits de ces antifas, a accusé et continue de le faire, le Jarl qui a évité par son action que ses clients ne soient blessés.

Pitoyable tableau que l’on retrouve partout en France. Le 8 mars à Paris et dans la nuit du 8 au 9 mars à Rennes. Et c’est comme cela partout et tout le temps à travers notre pays.

Pour la gauche et les bien-pensants : les antifas n’ont pas envahi le cinéma en violant un domicile privé. Il n’ont pas organisé une « teuf » sans aucune autorisation. Ils n’ont pas commis de dégâts à l’intérieur du cinéma, ils n’ont pas dealé ni consommé de drogue, ils n’ont pas jeté de canettes en verre sur les clients du 1988 pour se venger d’avoir été délogés par la police sur appel du directeur du 1988. On vous le dit, ils n’ont rien fait. Ce sont des victimes. Ils étaient blancs comme neige.

Par contre le seul responsable, le seul méchant, le vrai gros facho, c’était le Jarl et son équipe qui, pour protéger leurs clients, n’ont pas laissé faire les antifas. Et leur ont même fait pan-pan cul-cul en leur disant « allez zou… au lit ».

Cette presse bien-pensante est la honte de sa profession. De véritables auxiliaires de la gauche et des antifas. Pas des journalistes, des propagandistes.

Par contre le Jarl nous montre, à cette occasion, que lorsque l’on ne se laisse pas impressionner, ni faire par ces gauchistes dégénérés, souvent avinés et drogués, les choses ne se passent pas bien pour eux qui sont les véritables fauteurs de troubles.

C’est indiscutable, il nous faudrait plus, beaucoup plus de Jarl en France.

"Ça va mal se finir", Le Jarl, 372 page, 21,00 € 

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Sarah Knafo défend la priorité nationale face à Aurélien Taché (LFI)

 

Un communiqué de Sarah Knafo (Reconquête !) :

J'étais dans Face à l'Info, sur CNews, pour mon débat contre le député LFI Aurélien Taché.

Aurélien Taché parle d'empêcher l'immigration grâce à l'aide publique au développement.

L'aide publiquement au développement a augmenté de 50% depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron, pourtant l'immigration n'a jamais été aussi forte.

Cette contradiction flagrante nous amène à un constat douloureux sur notre pays. Un agriculteur se suicide chaque jour.

Un entrepreneur se suicide chaque semaine.

La France est dans une situation budgétaire catastrophique.

Comment se peut-il que le peuple français, qui souffre tant, ait aidé au développement de la Chine, deuxième puissance du monde ?

Au fond, Aurélien Taché a une vision coloniale de nos rapports diplomatiques.

Nous ne sommes pas obligés d'arroser un peuple étranger d'argent, pris dans la poche de Français qui souffre, pour coopérer avec lui.

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12:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie prochaine d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Alexis Carrel

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Alexis Carrel (1873-1944) n’est pas qu’un célèbre médecin, chercheur et lauréat du Prix Nobel de médecine et de  physiologie en 1912, il est aussi un écrivain dont l’œuvre majeure, L’Homme cet inconnu, reste une référence pour beaucoup de personnes. Régis Arnaud propose ici de mieux connaître l’homme et de redécouvrir son œuvre. Une synthèse biographique retrace le parcours de ce chercheur hors du commun puis présente un extrait de ses réflexions à travers de nombreuses citations tirées de ses différents livres.

Alexis Carrel dérange, on débaptise progressivement les rues qui portent son nom, on tente d’effacer sa mémoire et ses travaux pourtant tellement novateurs. Ce livre s’adresse à tous mais en particulier aux plus jeunes qui doivent connaître le docteur Carrel, ses analyses et propositions tellement actuelles même si elles ont été rédigées dans les années 30.

L’auteur : Régis Arnaud est un militant du Camp national depuis plusieurs décennies. Il est actuellement l’un des rédacteurs du BPO, le Bulletin Périodique Officiel de l’Alliance royale. Il a publié de nombreux articles et plusieurs livres consacrés notamment au patrimoine sous différentes signatures.

Alexis Carrel, l'homme et son oeuvre, Régis Arnaud, Synthèse nationale, collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme (n°30), 170 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

Sortie, le 7 avril 2025.

Commandez-le dès maintenant cliquez ici

12:23 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du n°4 de la revue "Sparta"

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Au sommaire : La rumeur du monde et la relance de Sparta

Dossier : le fascisme comme phénomène européen

Première partie

Au cœur du phénomène fasciste Philippe Baillet

Optimisme fasciste et pessimisme traditionaliste Enzo Erra

Le sens ultime du fascisme Enzo Erra

Tradition et intervention Adriano Scianca

La « modernité païenne » de Benito Mussolini Adriano Romualdi

Réflexions sur l’histoire et sur le fascisme

La page « Diorama filosofico »

Hymne de la Decima Mas

Seconde partie

À la périphérie du phénomène fasciste René Dupuis & Alexandre Marc

À l’ombre de la croix gammée (extraits d’un livre paru en 1933) Maurice Bardèche

Ce qu’aurait été l’Europe de Hitler Philippe Baillet

Éclipse et retour de la tradition. Sur les racines spirituelles du Mouvement légionnaire roumain Robert Poulet

Comment passa la dernière chance de l’Europe Emil M. Cioran

Le peuple juif, entre universalisme et strict particularisme Robert Poulet

Adieu au fascisme

Nécrologies

Laszlo Toth (1934-2021) Renato Del Ponte (1944-2023) Jean Haudry (1934-2023) Jean-Paul Allard (1940-2023) Roberto Fondi (1943-2024) Pierluigi Zoccatelli (1965-2024)

Comptes rendus

Georges-Henri Soutou, Europa ! Les projets européens de l’Allemagne nazie et de l’Italie fasciste, par Gérard Boulanger

Thierry Bouclier, La Gauche ou le monopole de la violence. De 1789 à nos jours, par David Rouiller

Antoine Dresse, Le Réalisme politique. Principes et présupposés, par David Rouiller

Andrea Scarabelli, Vita avventurosa di Julius Evola. Una biografia, par Gérard Boulanger

Olivier Moos, Le Guide du réac. Comment perdre ses amis et mourir seul, par David Rouiller

Sparta, n°4, 352 p. Pour le commander cliquez ici

    12:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Brutale sortie de route pour « Loulou la came »

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    Pauvre Louis Boyard, l'arroseur arrosé...

    Bernard Germain

    Il y a des jours où malgré la situation pitoyable que vit notre pays, on arbore un franc sourire et une joie interne qu’on a du mal à contenir.

    Nous venons de vivre l’un de ces jours, le 17 mars 2025 pour être précis. L’affaire se passe à Villeneuve-Saint-Georges. Pourquoi « Loulou la came » ? il paraît que c’est son surnom eu égard à son passé de dealer qu’il revendique, du temps où il était étudiant et pour éviter d’avoir à aller travailler, il vendait de la came pour se faire de l’argent facile.

    Bref, depuis ce temps-là, le « Loulou », il a fait du chemin. Il est devenu député. Et pas n’importe lequel. Un de ceux qui mettent le plus le « bordel » à l’assemblée.

    C’est lui aussi qui a occupé et occupait encore très récemment un des premiers rôles dans les lycées, facs et grandes écoles - comme Sciences-Po - pour aller y mettre le bordel, comme à l’assemblée. Sauf que là c’était pour appeler à la mobilisation pour Gaza, pour soutenir les « résistants » du Hamas contre Israël et les juifs. Car il n’y a même plus besoin de se cacher derrière le mot « sioniste ». Avec l’affiche d’Hanouna qui est une copie presque conforme de ce que produisaient les nazis, la LFI n’a plus besoin de pudeur de gazelle pour afficher son antisémitisme.

    Il se trouve aussi que « Loulou » est l’un des fous furieux qui constituent la garde rapprochée actuelle de Mélenchon. Ce dernier éjectant sans état d’âme tous ses anciens camarades qui l’avaient connu lorsqu’ils étaient tous de « gauche » et que ce terme voulait encore dire quelque chose, il y a donc très largement plus de 10 ans. Nous voulons parler des Clémentine Autain, Raquel Garrido, Alexis Corbière, Danielle Simonnet,… etc. Plus assez fous, et n’acceptant pas non plus que LFI soit un parti sans congrès, sans discussion sur l’orientation, sans élection des responsables, sans démocratie interne. Une organisation au sein de laquelle le tyran s’appelle Mélenchon.

    Mais revenons à nos moutons. C’est à Villeneuve-Saint-Georges, après y avoir été parachuté, qu’il était chargé par Mélenchon de monter une liste composée de diversité et de la mener à la victoire. Histoire de prouver que la « nouvelle France » est avec LFI, avec Mélenchon et que la victoire à venir à Villeneuve c’est l’avenir très proche qui s’écrit sous nos yeux et qui se généralisera à toute la France en 2026… et 2027. Donc notre « Loulou » a constitué une liste qui provoqua immédiatement la polémique puisqu’elle comprenait notamment un certain « Mohammed Ben Yakhlef, militant pro-Hamas inscrit sur la liste de Louis Boyard » comme l’indiquait le Figaro du 22 janvier 2025. « Loulou » refusa de le retirer de sa liste. Gros malaise... à gauche.

    À l’issue du premier tour, « Loulou » vire en tête avec 24,89 % des suffrages. Mais l’affaire n’est pas dans le sac. C’est d’autant plus vrai que la gauche refuse de faire liste commune pour le second tour. Le PCF par exemple appellera à « Battre la droite » mais sans dire « Votez Boyard ». Tout le monde a compris. En tout cas ceux qui réfléchissent un peu. Le PCF va voter et faire voter en douce pour la candidate de droite LR Kristell Niasme (22,7 %) au premier tour.

    Et lorsque le dépouillement du second tour est terminé, c’est la douche… glacée ! Kristell Niasme est élue. « Loulou » n’obtient que 7 élus pour son groupe. La Bérésina. Mais les malheurs du pauvre « Loulou » ne s’arrêtent pas là.

    Comme nous le disions au début de l’article, ce 17 mars 2025, « Loulou » va s’en souvenir. Il a été marqué au fer rouge.

    Il se trouve que ce jour là, son groupe s’est réuni et a décidé… d’exclure « Loulou » et un autre colistier. À 5 élus sur 7, ils constituent un groupe. « Loulou » et son colistier ne sont que 2 et ne peuvent donc pas constituer un groupe, il faut être 3 au minimum.

    Pauvre « Loulou », il boit le calice jusqu’à la lie. Reste à tirer la morale de cette pitoyable histoire. On peut voir les choses de deux manières

    La première c’est le PCF et le PS qui envoient un message à Mélenchon : « Ne va pas trop loin, quoi que tu en penses et en dises, tu as besoin de nous pour gagner ».

    Mais si Mélenchon refuse de mettre de l’eau dans son vin, pardon dans son vinaigre, c’est la faillite pour tout le monde. Une sorte de suicide collectif. Une sorte de remake en 2026/2027 du suicide collectif de la secte des Davidiens de David Koresh au Texas en 1993.

    Vous me direz, ce serait une excellente chose que cette gauche insipide et malfaisante disparaisse du paysage politique, et ce n’est pas moi qui vais vous contredire. Reste que j’ai du mal à donner du crédit à ce scénario.

    D’abord, parce que je pense, et je l’ai écrit à plusieurs reprises, Mélenchon aimerait beaucoup mieux une flambée des quartiers à travers toute la France et à cette occasion arriver au pouvoir en profitant du chaos généralisé.

    Par ailleurs, j’ai aussi beaucoup de mal à croire que tout ce personnel politique de gauche est prêt à se faire hara-kiri, au nom des grands principes. Lorsque leurs sièges, pardon leurs gamelles, seront en jeu il se coucheront devant Mélenchon et comme nous l’avons vu pour les législatives de 2024, ceux qui se sont faits traiter de tous les noms (Doriot, qualificatifs antisémites,…) n’ont pas mis longtemps à se mettre d’accord sur le programme du NFP et sur la composition des listes de candidats pour chaque partis membre du NFP. Il en sera certainement de même en 2026 et en 2027.

    Ce qui n’empêche pas de savourer avec jubilation lorsqu’un individu comme « Loulou » se gaufre lamentablement. Ces moments sont rares et il faut en profiter sans modération.

    C’est d’autant plus jubilatoire que ces sont les musulmans de sa liste qui ont éjectés « Loulou ».

    L’histoire risque globalement de très mal finir pour certains, tels « Loulou » qui pensent que les musulmans seront toujours leurs alliés. Qu’adviendra-t-il de ceux qui auront fait la courte échelle aux islamistes ? Sur cette question, Boualem Sansal les a prévenus depuis longtemps. Depuis le 7 août 2022 pour être précis, dans le journal Atlantico. Il écrivait : « Pour les islamistes, nous sommes tous des kleenex. Il prend quand c’est utile et il jette quand ce n’est plus utile. Ils se fichent comme de leur première gandoura des wokistes, des insoumis, des intelligents utiles et des passeurs affectueux, ils seront les premiers à être décapités car l’islamisme sera au pouvoir, ce qu’il est déjà puisqu’il tue et décapite qui il veut, quand il veut, où il veut. Les islamistes haïssent par-dessus tout les faibles, les efféminés et les hypocrites qui viennent les comprendre, les défendre, leur porter le sac. L’islamisme ne cherche pas à être vertueux, il est la vertu qui exige que les autres le soient à son image. Il est temps en France de méditer l’histoire du scorpion qui pique la grenouille qui l’a aidé à traverser la rivière. L’islamisme n’a pas d’ennemis, ni d’amis, comme la défunte grenouille n’était pas l’ennemie du scorpion, ni son amie. ».

    « Loulou » et ses amis devraient sérieusement méditer ces paroles.

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    Sur la gauche et ses turpitudes

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    Dans un livre choc, Michel Festivi dénonce les trahisons des gauches espagnoles de 1930 à 1936

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    Un grand entretien avec Michel Festivi sur Breizh Info cliquez ici

    Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. Dans son livre « Les trahisons des gauches espagnoles » (Dualpha), Michel Festivi démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause.

    Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.

    Nous vous proposons ci-dessous une interview passionnante de l’auteur, à contre courant de l’Histoire officielle.

    Breizh-info.com : Votre livre s’attaque à ce que vous appelez « la légende dorée » de la Seconde République espagnole. Qu’est-ce qui vous a motivé à remettre en cause ce récit historique dominant ? Vous semblez vouloir déconstruire une certaine mythologie entretenue par la gauche espagnole et relayée dans les cercles académiques et médiatiques. Pensez-vous que l’histoire de la Seconde République a été manipulée à des fins politiques ?

    Michel Festivi : L’historiographie universitaire, que ce soit en France ou en Espagne, est aux mains d’une clique autocentrée, une clique de l’entre-soi, qui véhicule les doxas des gauches, nous le voyons bien, que ce soit l’histoire de la révolution française, la collaboration et la résistance ou le PCF et aussi sur des sujets plus récents comme l’islamogauchisme. L’histoire de la IIème république espagnole n’échappe pas à la règle. À part une minorité d’historiens courageux comme les frères Salas, Ricardo de la Cierva, Luis Pio Moa en Espagne, Stanley Payne aux USA, Arnaud Imatz, Bartolomé Bennassar en France, voire Philippe Nourry ou Guy Hermet, la IIème république espagnole reste auréolée. On nous dépeint une république jeune, démocratique, rénovatrice, réformatrice, qui aurait été attaquée par un aéropage de conservateurs, de militaires, de fascistes en juillet 1936. C’est à l’encontre cette vision totalement fallacieuse que j’ai voulu m’attaquer, pour faire prévaloir la vérité historique d’une part, et ferrailler dans le cadre du combat des idées, car tout se tient. Oui, incontestablement, l’histoire de la 2de république a été manipulée à des fins politiques, pour asseoir la sempiternelle idée, que les gauches se situent dans le camp du bien, définitivement. Mais les choses évoluent. Je viens de lire un petit opuscule, publié en 2024 en Espagne, par une hispanisante suédoise, professeur en Suède et qui pourfend cette IIème république, le titre est sans équivoque même pour celui qui ne lit pas l’espagnol : El naufragio de la secunda republica, una democracia sin democratas, d’Inger Enkvist. Luis Pio Moa nous a donné un livre admirable sur la seconde république : La Segunda Republica Española : Nacimiento, evolución y destrucción de un régimen : 1931-1936. Mais ces livres n’existent qu’en langue espagnole, sauf les Mythes de la guerre d’Espagne.

    Breizh-info.com : Comment votre travail s’inscrit-il par rapport aux historiens officiels de la guerre civile espagnole ? Pensez-vous qu’il y a une forme de censure ou d’omission historique dans le traitement de cette période ?

    Michel Festivi : Je suis dans la continuation des travaux de Stanley Payne, d’Arnaud Imatz, Luis Pio Moa, Gonzalo Fernandez de la Mora, Miguel Platon, Burnett Bolloten, qui ont renouvelé l’historiographie officielle. Régulièrement, ces historiens sont attaqués, injuriés, sans que l’on ne leur oppose le moindre argument valable. La censure des grands médias est omniprésente. Jamais El Pais ne rapportera objectivement une recension d’un livre de Luis Pio Moa par exemple, qui pourtant a vendu ses mythes de la guerre d’Espagne à plus de 300 000 exemplaires. Il en a écrit des dizaines et des dizaines, dont tout récemment l’histoire du PSOE, El PSOE en la historia de España, pasado y presente del partido mas influyente en los ultimos cien años, qui est remarquable comme ses précédents, mais il ne fait pas la une des journaux, des radios et des télévisions du système, même s’il tient un blog très lu, mas españa y mas democracia.

    Breizh-info.com : Dès 1933, la gauche espagnole connaît une défaite électorale importante et choisit de se radicaliser. Pourquoi la gauche républicaine a-t-elle préféré prendre les armes en 1934 plutôt que d’accepter le verdict des urnes ? Cette insurrection d’octobre 1934 est souvent minimisée par certains historiens. Vous la présentez comme le véritable début de la guerre civile. Pourquoi cette date est-elle selon vous le point de bascule ?

    Michel Festivi : La révolution armée d’octobre 1934, qui a commencé très exactement le 4 octobre, avait été préparée de longue date, par le PSOE, des « républicains » de gauche, des franges communistes et des anarchistes, qui avaient constitué des phalanges rouges et caché des armes dans toute la péninsule. Depuis leur défaite électorale de novembre 1933, les gauches avaient fait pression sur le Président de la République, pour qu’il annule les élections. Puis ensuite, devant son refus, elles l’ont menacé de prendre les armes si d’aventure, il s’avisait de nommer des ministres de la CEDA, un rassemblement des droites espagnoles, 1er parti aux Cortès. Alcalà Zamora a cédé. Sauf qu’en octobre 1934, il n’a pas pu faire autrement que de nommer 3 ministres Cédistes, dans un gouvernement centriste de 15 ministres. Cela a été le signal du déclenchement de la guerre civile. Partout, dans toute l’Espagne, à Madrid, à Bilbao, à Valence, à Barcelone, les gauches ont attaqué les bâtiments gouvernementaux, les infrastructures pour prendre le pouvoir. Cela a échoué au bout de quelques jours, sauf dans les Asturies, où les anarchistes étaient les plus puissants et les plus organisés avec les socialistes de l’UGT. Les combats ont duré 15 jours, ont fait plus de mille cinq cents morts et des milliers de blessés. La Cathédrale d’Oviedo a été incendiée, des églises et des couvents ont été détruits, près de 40 prêtres ont été assassinés, ainsi que des hommes considérés comme de droite. Plusieurs historiens, même de gauche ont écrit que c’était la première bataille de la guerre civile. D’ailleurs, l’un de leur chef, le socialiste Berlamino Tomas, lorsqu’il s’est rendu aux autorités légales et légitimes du pays, a proclamé, sur la grande place d’Oviedo, que les combattants rouges, ne se rendaient que parce qu’ils n’avaient plus de munitions, promettant de reprendre les combats dès que possible. Depuis le début de l’année 1933, le Parti socialiste qui était un parti de masse, s’était complètement bolchévisé, sous la houlette de Largo Caballero, le futur « Lénine espagnol ». Il proclamait même, que son parti était plus à gauche que les communistes. Avec les élections perdues pour les gauches en 1933, la révolution armée d’octobre 1934 marque la fin de la république espagnole.

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