mercredi, 16 avril 2025
Brest : pendant que Darmanin désarmait les Français, six islamos rêvaient d’exterminer un village
Bernard Bayle, Riposte laïque cliquez ici
On se souvient que Darmanin, quand il était ministre de l’Intérieur, a consacré beaucoup de temps à vouloir récupérer des armes non réglementaires qui traînaient chez les Français. Selon le régime, 150.000 armes auraient été rapportées par des imbéciles inconscients. On sait qu’un des grands plaisirs des juges est d’interdire d’arme pendant trois ans, ou cinq ans, ou à vie, quiconque est accusé de s’être mal comporté. Et les exemples se multiplient où les perquisitions matinales d’une dizaine de robocops, accompagnés d’un juge, viennent récupérer des armes qu’un Français parfois trop bavard possède chez lui. Cliquez ici
Pendant ce temps, chacun sait que les islamistes et les racailles stockent des armes dans les quartiers islamisés et dans certaines mosquées. Nul n’ignore que beaucoup de jeunes qu’on appelle des « Chances pour la France » portent un couteau qu’ils sortent à la moindre résistance d’un Français pour le planter, sans se retrouver en prison.
C’est dans ce contexte qu’il faut appréhender ce qu’il s’est passé à Brest, où, grâce à la police et à ses écoutes, un drame a pu être évité. En effet, six islamistes, qui se réunissaient dans une boucherie halal, préparaient un massacre de nuit, dans un village. Ils réfléchissaient aussi à commettre un massacre à la base navale, lors d’un match de football du Stade brestois ou du Nouvel An chinois. On remarquera que seul CNews approfondit ce fait divers.
Alors que les policiers ont consacré 1500 heures d’écoute et 100.000 photos et vidéos pour confondre les djihadistes, les avocats des assassins en puissance, Me Sami Khankan et Me Raphaël Kempf, ont osé leur reprocher, lors du procès, d’être obsédés par l’idée d’un attentat, minimisant de manière obscène les projets de leurs clients. Petit sketch, le client de l’avocat Raphaël Kempf, qui se présente comme avocat engagé (à LFI) sera relaxé, et celui-ci explique qu’en 12 ans de carrière, c’est la première fois qu’il obtient une relaxe. On n’est pas certain que ce soit la meilleure publicité pour lui…
À l’arrivée, il y a un acquittement, et des peines de prison de 7 à 20 ans, alors que le procureur, Ophélie Leray, avait demandé bien davantage. On se demande pourquoi des juges peuvent prendre le risque de remettre en liberté des assassins potentiels qui nous haïssent et rêvent de nous tuer. On se demande pourquoi la France conserve sur son sol de tels psychopathes, et pourquoi, une fois leur peine effectuée, à défaut d’avoir été exécutés, on ne les renvoie pas ailleurs. Et on se demande pourquoi l’État n’encourage pas les Français à s’armer, à apprendre à tirer pour se défendre et protéger les leurs, mais persécutent les tireurs sportifs et les possesseurs d’armes.
On serait tenté de répondre que nos dirigeants s’en foutent que les Français se fassent tuer tous les jours, et que le projet raté à Brest puisse réussir ailleurs.
10:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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