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samedi, 31 mai 2025

Les députés suppriment les ZFE !

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Enfin une éclaircie dans la brume épaisse de l’idéologie verte. Une fois n’est pas coutume, les députés — ces godillots d’ordinaire soumis aux lubies technocratiques — ont agi selon l’intérêt véritable des Français. En supprimant les ZFE, ces Zones à Faibles Émissions, ils ont redonné un souffle de liberté et de bon sens au peuple, en particulier aux plus modestes, qu’on avait désigné comme des délinquants au volant de leurs vieux diesels.

Rappelons ce que sont ces ZFE : une absurdité punitive, une persécution bureaucratique, imposant aux Français de jeter à la casse des véhicules encore parfaitement fonctionnels, sous prétexte qu’ils ne répondaient pas aux normes capricieuses de la religion écologiste. Les petits artisans, les retraités, les familles des périphéries : tous sommés de s’endetter ou de disparaître. C’est la fracture française incarnée en politique de mobilité.

Mais attention, la guerre n’est pas finie. Car rôde encore le glaive du Conseil constitutionnel, cette instance qui prétend incarner la sagesse républicaine mais qui, trop souvent, devient le dernier bastion des dogmes mondialistes et des oukases bruxellois.

Aujourd’hui, les Français respirent un peu mieux. Non pas grâce aux ZFE, mais grâce à leur suppression. Que cela serve de leçon : le réel finit toujours par triompher de l’utopie. Même - parfois - à l’Assemblée.

17:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : parution du Cahier d'Histoire du nationalisme (n°30) consacré à Alexis Carrel : un entretien avec Régis Arnaud, son auteur

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Régis Arnaud vous venez de publier chez Synthèse nationale un livre consacré à Alexis Carrel. Pouvez-vous nous en parler ?

En effet, je viens de publier un ouvrage consacré au Docteur Alexis Carrel et à son œuvre scientifique et littéraire. A l'heure où ce grand savant français est victime, comme d'autres, du grand effacement, la démarche me semblait indispensable afin de mieux faire connaître l'homme, réfuter quelques arguments fallacieux et permettre aux plus jeunes de découvrir une pensée toujours très actuelle.

Qu'entendez-vous par « grand effacement » ?

S'il a eu quelques difficultés peu avant sa mort, à la Libération, le docteur Alexis Carrel a très vite été blanchi des accusations de collaboration. Ses livres ont continué à être publiés longtemps après sa mort. De nombreuses rues ont porté son nom ainsi que différentes institutions. Les hommages ont été nombreux y compris par des représentants de l’État. Ses techniques ont continué à être enseignées.

Ce n'est qu'à partir des années 90 qu'on commence à attaquer le chercheur. Bien souvent, il s'agit d’interprétations, d'anachronismes, de raccourcis historiques. On ne tient pas compte du contexte, les années 30, où ont été rédigés ses textes, on ne tient pas compte, tout simplement du parcours extraordinaire de cet homme, de cet immense chercheur récompensé du Prix Nobel en 1912.

Alors, qui était vraiment Carrel ?

J'essaie de donner quelques éléments dans la biographie synthétique que je propose. D'autres auteurs ont produit des ouvrages intéressants qui permettent de connaître Alexis Carrel, comme le Docteur Soupault, par exemple. Si l'on voulait résumer l'homme et son parcours on pourrait utiliser trois ou quatre adjectifs : « anticonformiste », « rigoureux », « brillant »...

En fait, Carrel a eu deux vies : il a été un immense chercheur, qui a dû faire sa carrière aux États-Unis, se heurtant à l'immobilisme des grands pontes français bien souvent ; il a mis au point la technique de la suture des vaisseaux, travaillé sur les greffes d'organes, réalisé le premier »cœur artificiel » avec Lindbergh. Il a aussi été un grand penseur à travers ses livres, analysant l'époque, les problèmes humains et proposant des solutions. Ses idées restent toujours d'actualité car les problèmes évoqués par Carrel dans les années 30 se sont aggravés.

Pour vous, les ouvrages d'Alexis Carrel sont indispensables dans une bibliothèque ?

Absolument, il faut lire et relire les livres d'Alexis Carrel, en particuliers L'Homme cet inconnu cliquez là, toujours édité quatre-vingt dix ans après sa sortie mais aussi Les Réflexions sur la Conduite de la vie, édité après sa mort par sa femme Anne. Je propose dans mon livre quelques citations tirées de ses différents livres afin de se familiariser avec la pensée et les idées du chercheur.

On ne peut que constater que sa vision du monde est toujours d'actualité...

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Alexis Carrel, l'homme et son oeuvre, Régis Arnaud, Synthèse nationale, Les Cahiers d'Histoire du nationalisme (n°30), 170 pages, 24,00 €, pour le commander cliquez ici

Un nouveau numéro de la collection mythique de "Pour un Ordre nouveau" est disponible

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Il y a trois semaines, nous informions nos lecteurs qu'un stock du journal Pour un Ordre nouveau (1971-1973) avait été retrouvé. Vous avez été nombreux à vous procurer le n°15 cliquez ici que nous avons mis alors en vente. Ce succès prouve l'intérêt que, 50 ans après sa dissolution, Ordre nouveau suscite toujours auprès des nationalistes français.

Aujourd'hui, nous mettons en vente un nouveau numéro, le n°12 (juin 1972), sorti en pleine "guerre du Viet-Nam". Ordre nouveau y affirme, face à l'hystérie gauchiste et communiste, son soutien au Sud-Vietnam. Comme toujours, il convient de se replacer dans le contexte politique et géo-politique qui était celui de l'époque.

Dans quelques semaines, nous vous proposerons un autre numéro de ce journal qui a, incontestablement, marqué l'histoire du mouvement nationaliste. 

Pour commander ce n°12 : cliquez ici

Le livre Ordre nouveau raconté par ses militants est toujours en vente sur notre site librairie cliquez là.

10:58 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'Institut Emmanuel Ratier publie un livre consacré à l'anticommunisme : à ne pas manquer

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L’Anticommunisme, une histoire qui reste à écrire…

Il convient de se po­ser la question: près de 40 ans après la chu­te du mur de Berlin le 9 no­vem­bre 1989 et de l’URSS en 1991, l’anticommunisme appartient-il au passé ? La réponse est évidemment négative pour deux raisons principales.

Si le communis­me a disparu de l’Europe, ses dé­fen­seurs, du Par­ti communiste au Parti socialiste, en passant par La France insou­mise, les écologistes ou le Nou­veau Parti anticapitaliste, sont toujours là et n’ont jamais été aussi arrogants.

Il importe donc de rappeler à cette gauche d’où elle vient, son passé, son bilan, ses crimes et tout le sang que son idéologie mortifère a répandu.

Par ailleurs, le communisme, comme une métastase cancéreuse, est un phénomène en mutation permanente et toutes les idéologies actuelles, comme le wokisme, le LGBTisme ou le transgenrisme, ne sont que ses succédanés.

Communications de Francis Bergeron, Thierry Bouclier, Éric Delcroix, Jean-Claude Rolinat & Pierre Touline… avec la participation de Philippe Conrad et Bruno Gollnisch à la journée du 7 septembre 2024

Volume au format 20×27, très richement illustré de documents en couleur

L’Institut Emmanuel Ratier :

Créé en 2015 après la disparition tragique d’Emmanuel Ratier, l’IER reprend le flambeau de celui qui, avec Éric Delcroix, notamment, avait souhaité, en acquérant une maison commune de l’héritage écrit de notre civilisation, transmettre aux générations suivantes ce que nos ennemis idéologiques sabotent depuis des lustres. En collectant patiemment des ouvrages historiques, politiques ou littéraires, mais aussi des collections de journaux aujourd’hui disparus, l’Institut Emmanuel Ratier constitue patiemment la richesse de toute une famille d’esprit. Ses animateurs sont surtout heureux quand des amis acceptent de lui remettre des archives inédites sur tel ou tel mouvement politique, tel écrivain ou tel historien, aujourd’hui disparus.

Pour commander ce livre : cliquez ici

10:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

08:06 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Occupez-vous des rodéos et des dealers et arrêtez d’emmerder les fumeurs !

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L'éditorial de Cyrano 

publié sur Riposte laïque cliquez là

Dans un édito récent, je faisais remarquer qu’entre le moment où une loi est votée et ce qu’il se passe vingt ans après, il y a toujours de grosses différences, et des évolutions qui ne vont pas toujours dans le bon sens. J’avais évoqué la loi Veil et ce qu’elle est devenue, les suites judiciaires de l’abrogation de la peine de mort, le ¨PACS devenu le mariage homosexuel et la mise en place de la GPA-PMA, et j’alertais sur la loi fin de vie, telle que présentée, et comment elle allait inévitablement évoluer vers une dérive de type « Soleil Vert ».

À peine avais-je fini ces réflexions que nous apprenions que trente-quatre ans après le vote de la première loi Evin, en 1991, de nouvelles interdictions allaient frapper les fumeurs. La question n’est pas de relancer l’éternel débat entre les fumeurs et les non-fumeurs, il est de démontrer qu’une nouvelle atteinte aux libertés publiques va voir le jour, avec l’interdiction, même en plein air, de fumeur sur les plages, dans les parcs et dans les écoles. Cliquez ici.

Il était certes nécessaire de protéger les non-fumeurs, dans des lieux publics ou au travail, de l’insupportable tabagie des fumeurs. Il est fort bien qu’on puisse aller au restaurant sans respirer l’odeur d’une cigarette ou d’un cigare au moment de savourer un bon plat. Mais par ailleurs, pourquoi ne pas autoriser des restaurants pour les fumeurs, qui peuvent choisir en toute liberté d’aller s’y restaurer ? Et pourquoi ces slogans ridicules « Fumer tue » sur les paquets de cigarettes ? Et quand s’arrêteront ces insupportables augmentations des prix du paquet de cigarettes, qui, bien sûr, profitent aux marchands de cigarettes à la sauvette, souvent venus d’Afrique.

On se souvient que l’étape suivante avait été l’interdiction de fumer dans les cafés, et l’obligation de la faire en terrasse, dehors. Cela s’était d’ailleurs fait du jour au lendemain, sans le moindre heurt avec des Français respectueux des lois et des autres. Ils ont même réussi à interdire aux automobilistes de fumer dans leur voiture, s’il y a un enfant mineur. Et puis ils ont supprimé les cigarettes sur des affiches de films, comme celle d’Humphrey Bogart, gros fumeur. Chacun sait qu’aujourd’hui, dans le train ou le métro, les seuls délinquants de la cigarette sont les racailles, qui n’attendent qu’une chose : qu’un voyageur « souchien » leur fasse une remarque pour l’agresser à cinq contre un.

Un équilibre semblait avoir été trouvé. Certes, certains diront que les fumeurs se détruisent la santé, et que cela coûte cher à la Sécu. Eternel débat sur la liberté et la solidarité, de la part de pisse-froids prêts à détruire tous les moyens de plaisir, fussent-ils discutables, d’une société qui bascule vers le puritanisme anglo-saxon. Et voilà une nouvelle étape de franchie, pour persécuter encore davantage les fumeurs, et opérer de nouveaux prétextes pour verbaliser les Français, car on voit mal des policiers incapables de rentrer dans les cités, incapables de gérer les points de deal, aller verbaliser les « wesh-wesh » dans les zones islamisées.

L’argument trouvé est celui de la défense de la santé de nos enfants. En quoi nos jeunes seraient-ils mis en danger par un fumeur qui passe sur le trottoir, devant une école, qui arpente les chemins d’un jardin public ou qui fume sur une plage ? À quand les terrasses de café, où il peut aussi y avoir des enfants ? Et à quand l’étape supplémentaire, qui va consister à contrôler chez les particuliers, grâce à des détecteurs de fumée, le fait que des parents puissent fumer chez eux s’ils ont un enfant mineur ?

Le pire est que les mêmes qui prétendent protéger la santé de nos enfants sont ceux qui leur font côtoyer, trop souvent, des prédateurs venus pour la plupart de l’immigration africaine, et donc qui leur font prendre le risque de se retrouver minoritaires dans leur pays, ayant le choix entre la guerre, la conversion ou la dhimmitude. Ce sont également les mêmes qui poussent à la guerre avec Poutine, jouant dangereusement avec la sécurité des Français, dont nos enfants.

Alors, qu’ils règlent déjà les problèmes des rodéos, des points de deal, des coups de couteau, et qu’ils arrêtent d’emmerder les Français !

00:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |