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mardi, 18 novembre 2025

Répression, remigration, autorité : les seuls remèdes contre le narcotrafic

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Nos élites, comme à leur habitude, feignent la surprise devant la violence que génère le narcotrafic en France. Mais comment s’étonner de ce chaos après des décennies de laxisme judiciaire, politique et migratoire ? On a fermé les yeux, on a minimisé, on a relativisé, au nom d’un prétendu « humanisme » qui n’est en réalité qu’un abandon des Français et de leur sécurité. Les trafiquants, eux, n’ont jamais été dupes : ils ont compris que la France était devenue une terre de permissivité.

Il est temps de cesser de jouer les innocents. Si l’on veut véritablement lutter contre le trafic de drogue et ses corollaires – la violence, la corruption, la destruction des quartiers – il faut rétablir la peine de mort pour les grands trafiquants. Ce n’est pas une provocation, c’est une nécessité. La peur du châtiment est le seul langage que comprennent ces criminels. Et il faut une répression impitoyable, sans état d’âme, sans procès interminables.

Il faut s’inspirer des méthodes de Donald Trump qui n’a pas hésité à durcir la répression aux États-Unis, ou de la police militaire au Brésil qui agit sans faiblesse face aux cartels. Et surtout, il faut entreprendre une remigration massive des extra-européens qui alimentent ce marché de la drogue. C’est du simple bon sens. C’est une question de volonté politique. Et cette volonté, nos gouvernants ne l'ont jamais eue, préférant la lâcheté du compromis et la soumission à l’idéologie du multiculturalisme. Il est temps de dire stop.

Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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Les voilà fort marri, Maréchal !

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La chronique de Philippe Randa

L’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP) ayant voulu honorer la mémoire du « vainqueur de Verdun », et non en l’occurence celle du Chef de l’État français qu’il deviendra deux décennies et demie plus tard, le maire de cette petite ville de la Meuse n’a rien trouvé de plus indispensable à faire… que de l’interdire !

Mal lui en pris, le juge des référés du tribunal administratif ayant pour sa part estimé qu’il n’y avait guère de risques de troubles à l’ordre public pour la commune, a aussitôt suspendu l’exécution de son arrêté.

Et la messe fut dite.

Certes, seule une quinzaine d’adhérents de l’association purent y assiter, bien d’autres qui auraient voulu en être furent étonnemment tenus à l’écart, de même qu’une poignée de manifestants venus vomir leur haine de l’événement.

Face à autant de bêtise, autant municipale que politique, on ne peut d’abord que s’étonner qu’une messe puisse encore, de nos jours, en ce premier quart de XXIe siècle affoler, indigner, voire terroriser tant de monde qu’on ait voulu l’interdire. Qui l’aurait crû ? Et pourtant !

On ne peut ensuite que constater, une fois de plus, que vouloir interdire un événement, de quelque nature que ce soit, en excipant de raisons idéologiques, lui donne quasi-systématiquement un retentissement des plus démesuré : l’ADMP n’avait sans doute jamais imaginé, même dans ses rêves les plus fous, provoquer un tel « buzz », comme on dit aujourd’hui.

Enfin, d’espiègles internautes n’ont pas manqué l’occasion de diffuser sur les réseaux sociaux la réaction de 4 cardinaux français à la mort du Maréchal Pétain en 1951, à propos, notamment, des messes qui seraient dites à sa mémoire en distinguant l’homme de ses fonctions : « Nous désirons que ces messes, loin de donner lieu à des manifestations politiques, gardent partout la dignité qui convient à des cérémonies religieuses et le recueillement qu’exige la prière pour les défunts. »

Ces cardinaux, non des moindres, étaient Achille, card. Liénart, évêque de Lille ; Pierre-Marie, card. Gerlier, évêque de Lyon ; Jules-Géraud, card. Saliège, évêque de Toulouse ; Clément, card. Roques, évêque de Rennes.

Quant aux messes à la mémoire de Philippe Pétain, elles furent innombrables après sa mort… et n’avaient guère, jusqu’alors, suscitées d’indignations ; j’avais notamment eu l’occasion de le rappeler dans les colonnes de la revue Liv’arbitres consacré à l’académicien Pierre Benoit (numéro de novembre 2019)…

J’y écrivais que celui-ci « n’ayant profité d’aucunes faveurs du régime de Vichy » rappelait en 1957 dans un entretien à la Radio-diffusion française avec Paul Guimard (puis publié dans le livre De Kœnigsmark à Montsalvat aux éditions Albin Michel en 1958) qu’il regrettait avec quelque dépit son « manque de curiosité » pour les splendeurs de la capitale française, expliquant qu’« il est affreux de penser que je ne suis revenu que trois fois à Notre-Dame, les deux premières pour les obsèques de mes confrères, le cardinal Baudrillart et Paul Claudel, en service commandé si j’ose dire ; et la troisième pour la messe à la mémoire au maréchal Pétain… »

6 ans après la mort de Philippe Pétain, on pouvait donc encore tenir de tels propos… et les faire publier !

J’écrivais que cette confession vaudrait aujourd’hui à l’intéressé, autant qu’à son « complice » intervieweur, les foudres immédiates des ligues de vertu et sans doute un inévitable communiqué de contrition de la Radio… Quant à la publication ultérieure de ses lignes chez un éditeur ayant pignon sur rue (Albin Michel), n’y pensons même pas !

74 ans plus tard, autre temps, autre mœurs… mais la messe aura tout de même été dite !

Lire EuroLibertés cliquez ici

18:19 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chili (suite) : victoire de la droite aux législatives !

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Michel Festivi 

Alors que le représentant de la droite de conviction, José Antonio Kast, est bien placé pour remporter la présidentielle, lors du second tour qui aura lieu le 14 décembre prochain, la droite a remporté les élections législatives qui avaient lieu en même temps que le premier tour de la présidentielle.

Les résultats sont sans appel. La droite chilienne remporte 76 des 155 sièges de la Chambre des députés, contre 64 pour la gauche, et 25 sièges contre 23 au Sénat. Ce résultat ne pourra que conforter le futur président de la république. José Antonio Kast, 59 ans, donné vainqueur compte tenu des reports des voix, a un programme qui prévoit des expulsions massives de migrants, la construction de prisons de haute sécurité, car a-t-il lancé « personne n’est en sécurité au Chili ». Il entend construire un mur à la frontière avec la Bolivie, et lutter contre les gangs vénézuéliens et péruviens.

L’adversaire de José Antonio Kast est une communiste de 51 ans, qui tente de masquer sa doctrine chaviste, derrière un conglomérat de gauche et du centre. Comme l’a déclaré un électeur chilien : « l’expérience du parti communiste dans d’autres pays a été désastreuse ». Effectivement, le Chili a été sauvé de cette idéologie mortifère par Augusto Pinochet en 1973. On peut considérer qu’il a ainsi évité à son pays d’être un autre Nicaragua, un autre Vénézuéla, un autre Cuba. En tout cas le score de cette communiste, moins de 30% des voix, est le plus faible enregistré depuis 1990 pour les gauches à une présidentielle.

Car sous Allende entre 1970 à 1973, le pays a failli basculer à l’égal d’une « démocratie populaire », à la mode roumaine ou bulgare de l’époque du grand frère soviétique. Je pense que beaucoup de chiliens s’en souviennent. Il faut voir comment la presse tente désespérément de sauver la candidate Jara, en faisant croire qu’elle serait une communiste « modérée », ou une communiste « issue de l’aile sociale-démocrate parti communiste », comme j’ai pu le lire ! En matière d’inepties, ils osent tout. En réalité, comme l’a déclaré Juan Lehuedé Donoso, analyste politique et ingénieur commercial chilien « le gouvernement de Gabriel Boric a été une véritable catastrophe pour le Chili ». Gabriel Boric, le président sortant de gauche, a échoué tant en matière politique et institutionnelle, qu’en matière sécuritaire et immigrationniste, qu’économique. Cf Breizh info du 18/11/2025. 

Cette même presse rejoue à se faire peur, ou à faire peur, en invoquant le retour du pinochisme, ni plus ni moins.  Cela veut dire que José Antonio Kast ne sera pas de cette droite invertébrée, mais bien d’une droite fière de ses principes et de ses traditions. C’est de bon augure pour le Chili et pour toute l’Amérique Latine.

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18:14 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris : annulation de la messe prévue le 29 novembre en mémoire du général Franco et de José Antonio Primo de Rivera

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Un communiqué du Cercle Franco-Hispanique :

La répression ne cesse de s’intensifier. Comme dans les pires années de violence en Espagne, la catholicité est attaquée de toute part.

En raison des pressions médiatiques exercées sur les lieux de culte, le Cercle Franco-Hispanique se voit obligé d’annuler la messe demandée cliquez ici pour le repos de l’âme du Chef de la Phalange, Jose Antonio Primo de Rivera, et du Général Francisco Franco, chef de l’État espagnol pendant une quarantaine d’années qui fit le bonheur de son peuple.

La haine ne vaincra pas ! Viva Cristo Rey ¡

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Lionel Baland invité de Omerta

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Le site de Lionel Baland cliquez ici

TV Omerta cliquez là

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La dictature de la pensée s’impose en Espagne socialo-communiste, par la faute notamment, des tenants de l’opposition molle du Parti populaire : Le cas Juan Carlos 1er.

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Michel Festivi 

L’histoire de la guerre civile et celle du franquisme sont totalement prises en main en Espagne, par la volonté des gouvernements socialo-communistes, d’interdire toute possibilité de vanter les mérites de Francisco Franco, où de dire et d’écrire que sous Franco, l’Espagne était devenue la 9e puissance industrielle et économique du monde (1). Cela a commencé sous José Luis Zapatero et s’est continué sous Pedro Sanchez, deux socialistes des plus sectaires.

Glorifier le soulèvement national du 18 juillet 1936, peut valoir une amende, pouvant aller jusqu’à 150.000 euros. Les gauches espagnoles, des communistes aux indépendantistes et aux socialistes, ont réussi à imposer un dictat de plomb. La droite traditionnelle, représentée par le parti populaire n’a jamais voulu et ne veut toujours pas imposer et se battre pour une vision opposée, car complètement soumise au politiquement et historiquement correct. Seul des grands partis représentés aux Cortès, Vox, tente de faire entendre une voix dissidente, et repousse régulièrement les oukases des gauches, mais il fait l’objet d’un double tir de barrage, celui des socialistes et des indépendantistes d’une part, celui du parti populaire d’autre part, qui n’hésite pas alors, à s’allier avec la gauche. De nombreuses organisations patriotes et identitaires essaient aussi de surmonter ce carcan de plomb, mais divisées et accusées en permanence de faire ressurgir « le fascisme », elles peinent à franchir la marée propagandiste, qui tient la quasi-totalité des grands médias et l’université, le système scolaire.

Juan Carlos 1er vient de publier ses mémoires. Or, il a écrit qu’il respectait beaucoup Franco, qu’il appréciait son intelligence, son sens politique, et qu’il n’avait jamais permis à quiconque « de le critiquer en sa présence ». Ces simples mots, ces simples considérations, ont fait monter au créneau une organisation totalement inféodée au pouvoir, l’Association de récupération de la mémoire historique (ARMH), qui vient, suite à cela, exiger du gouvernement qu’il condamne le Roi émérite à une amende, pour avoir enfreint la loi. Cette même organisation d’État, entend que le monarque actuel Felipe VI désapprouve les propos de son père, et qu’il fustige le franquisme, l’avenir nous dira comment il réagira, s’il réagit. Cf. le journal El Español, le 15 novembre 2025, article de Valentina Yusty.    

Le président de cet organisme, Emilio Silva a traité Franco de « fasciste », ce qui est une hérésie historique absolue, comme l’ont démontré les historiens Stanley Payne, Pio Moa, Bartolomé Bennassar, et même Andrée Bachou et d’autres encore, comme le brillant écrivain Michel del Castillo. Modestement, l’auteur de cet article, dans tous ses ouvrages (2), a établi que depuis 1933 au moins, les gauches radicalisées espagnoles avaient entendu abattre le régime démocratique républicain qu’elles avaient elles-mêmes édifié en 1931, car le peuple n'entendait plus leur donner les manettes du pouvoir, suite aux désastres qui s’en étaient suivis de par leur gouvernance des plus calamiteuses, entre 1931 et 1933. Ces mêmes gauches ont alors pris les armes contre le gouvernement légal et légitime de centre-droit en octobre 1934, puis avec la complicité du président de la république, elles ont manipulé la constitution de décembre 1931, organisé des fraudes électorales, la soi-disant victoire de février 1936, était totalement frauduleuse, en vue de la transformation de l’Espagne en un régime soviétisant, comme l’ont aujourd’hui définitivement établi des historiens (3). Elles ont provoqué l’anarchie, obligeant une partie de l’armée et du peuple à se rebeller contre les atteintes à la sûreté et aux désordres généralisés, et éviter que l’Espagne ne soit le premier essai de « démocratie populaire », comme l’avait indiqué le poumiste Julian Gorkin (4).

L’excellent journal El Mundo, sous la signature non moins remarquable de Federico Jiménez Losentos, vient le 17 novembre 2025, de glorifier l’une des actions du régime franquiste, les bourses scolaires. Il rappelle opportunément, que le Caudillo avait institué un régime de bourses pour les plus humbles des élèves et de leurs familles, d’autant qu’il ne s’agissait pas d’une aide sociale lambda, mais d’un véritable effort pour promouvoir l’excellence, celle qui justement refuse le nivellement par le bas.

Il indique que des centaines de milliers d’enfants des classes dites défavorisées, ont bénéficié de ce système, leur permettant ainsi d’étudier et de faire valoir leurs talents, au bénéfice de la société espagnole. Car il s’agissait bien d’un investissement national pour promouvoir de futurs spécialistes dans tous les domaines, et notamment dans celui de la formation professionnelle.

Federico Jiménez Losantos, fils d’un cordonnier et d’une modeste institutrice de village près de Teruel, avoue dans cet article, qu’il a été boursier dans les années 1960, et qu’il a passé avec succès l’examen des bourses, qui permettait aux élèves méritants mais pauvres, de se hisser aux plus hautes fonctions. Il proclame sa fierté d’avoir été boursier sous Franco. L’ascenseur social fonctionnait alors correctement, ce qui n’est plus du tout le cas aujourd’hui, constate-t-il. Par une bizarre coïncidence, fils de cordonnier moi-même, j’ai été boursier dans les années 1970, et pu entreprendre mes études universitaires.    

Mais dans l’Espagne d’aujourd’hui, règne un véritable ministère de la pensée unique, un ministère de la vérité obligatoire, comme l’avait imaginé George Orwell dans son roman d’anticipation, 1984. Tant que la droite classique n’aura pas fait son aggiornamento, et révisé de fond en comble ses fondamentaux politico-historiques, l’Espagne sera soumise à une dictature politique empêchant le libre débat. Comme je l’indique dans ma biographie de Franco, Churchill lui-même et Eisenhower aussi, le commandant en chef des armées alliées, ont rendu justice à Franco pour son action méritoire durant la seconde guerre mondiale, empêchant les nazis de s’emparer de Gibraltar en traversant et occupant la péninsule (plan Félix), ce qui aurait changé du tout au tout les données des batailles futures de la seconde guerre mondiale. Et, seule dans une Europe continentale alors nazifiée, l’Espagne franquiste n’eut aucune législation antisémite, et sauva des milliers de juifs, comme l’ont reconnu la plupart des historiens à l’instar de Joseph Pérez (5).  

C’est pourquoi, la droite espagnole, celle du parti populaire est tragiquement défaillante. Car comme me l’a confié à plusieurs reprises l’historien Pio Moa, « la transition démocratique ne vient pas de la gauche, mais du franquisme ». Pourtant, il fut un temps, aujourd’hui totalement révolu, ou certains socialistes espagnols n’avaient pas pris ce virage totalitaire. C’était le cas par exemple de l’ancien chef du gouvernement, Felipe Gonzalez, qui, en 1975, alors que certains l’appelaient à trinquer à la mort de Franco, le 20 novembre 1975, répondit crument : « je ne bois pas à la mort d’un Espagnol ».    

Notes :      

(1) Michel Festivi, Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne, la bio-collection, Synthèse nationale et déterna, 2025, cliquez ici

(2) Michel Festivi : La trahison des Gauches espagnoles ; L’Espagne ensanglantée ; Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine, tous ces ouvrages publiés chez Dualpha en 2021, 2022 et 2025.

(3) Manuel Alvarez Tardio et Roberto Villa Garcia : 1936, Fraude y violencia en las elecciones del frente popular, Espasa, 2017.

(4) Julian Gorkin : España, primer ensayo de democracia popular, Asociación argentina por la libertad de la cultura, Buenos Aires, 1961.  

(5) Joseph Pérez, Histoire de l’Espagne, Fayard, 1996. 

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Méfiance entre les élites et le peuple

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Marc Lazar est professeur émérite d’histoire et de sociologie à Sciences-Po et titulaire de la chaire Relations franco-italiennes pour l’Europe à l’université Luiss de Rome. C’est un spécialiste des gauches et de la vie politique italienne. Il vient d’éditer Pour l’amour du peuple (Gallimard). Dans un entretien au Figaro (17/11), il retrace l’histoire du populisme en France, du général Boulanger à Jean-Luc Mélenchon. Il interroge aussi sur la relation singulière qu’entretiennent les Français et leurs dirigeants.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 17/11/2025

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Verdun, Maréchal Pétain : la consternante réaction du Rassemblement national

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Lire aussi : l'article d'Éric de Verdelhan publié sur Riposte laïque cliquez ici

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