lundi, 04 avril 2022
Sondé, c’est emballé !
La chronique de Philippe Randa
Vote utile et abstention seraient les deux mamelles de l’élection présidentielle… sans compter la dénonciation de ce qui serait « le moins utile du monde », soit, pour l’ex-président François Hollande, « la gauche de monsieur Mélenchon »… tandis qu’Anne Hildago, candidate des derniers mohicans socialistes, fustige le « soi-disant vote utile (qui émanerait) de ceux qui veulent que la gauche ne gouverne pas » (sans doute pense-t-elle à ceux qui la surnomment « #saccageparis »).
De son côté, Marine Le Pen dont les sondages affirment la qualification pour le second tour de l’élection présidentielle, craindrait pour sa part une désastreuse abstention des électeurs acquis à sa cause ; celle-ci lui aurait déjà fait perdre la conquête de 2 ou 3 régions françaises l’an dernier…
Enfin, Gérard Larcher, président du Sénat, évoque de son côté une « déligitimité » du candidat-président Emmanuel Macron « en cas de réélection sans campagne », les sondages quasi-tous unanimes sur sa victoire à venir, faisant l’affaire ! Sondé, c’est emballé, n’est-ce pas ?
Ce « vote utile » n’est pourtant que celui imposé au fil des mois par les multiples sondages et ceux qu’ils influencent n’en suivent-ils pas la logique jusqu’au bout : pourquoi qualifier un(e) candidat(e) pour le second tour, alors qu’il sera inévitablement battu(e) ; son score final de 33, 40, 45 ou 49,99 % ne changeant rien au final.
Et donc, n’est-ce pas les sondages, finalement, qui favorisent l’abstention en décourageant des mois durant et jusqu’à la semaine précédent le jour fatidique, les électeurs par un résultat joué d’avance et annoncé, martellé, rabaché 24 heures sur 24 dans tous les médias ?
Et puis, tiens ! Et si on effectuait un sondage pour savoir ce que les Français en pensent ?
13:41 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce lundi : réunion publique de soutien à Eric Zemmour à Orange
13:37 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Comme chaque année, le C9M organise une marche en mémoire de Sébastien Deyzieu
Sébastien Deyzieu était un jeune militant nationaliste. Il est mort à Paris le 9 mai 1994 suite à une charge de police contre une manifestation organisée par le Groupe Union Défense et les Jeunesses nationalistes-révolutionnaires afin de dénoncer l'impérialisme américain.
Depuis cette date, chaque année, ses camarades appellent à une marche en sa mémoire.
13:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sauver la France !
Dans un entretien au Figaro, Eric Zemmour assure ne pas croire aux sondages et dit sa certitude d’être présent au second tour. Il nous précise les raisons de sa démarche, de son basculement de journaliste à candidat à l’élection présidentielle. Avec pour seul et unique mot d’ordre : l’amour de la France. Pas celle de Macron, ni de Marine Le Pen et encore moins de Valérie Pécresse, incapables qu’ils sont de nous dresser l’avenir d’un destin commun dans une France fracturée par l’immigration.
Lire l’entretien ICI
Source : Le Figaro 4/4/2022
11:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 03 avril 2022
Charles-Henri d'Elloy, le procureur de Jupiter, est l'invité ce soir d'Epona sur la télévision du Parti de la France
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18:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour répond aux attaques d'Emmanuel Macron
Invité sur LCI, j'ai répondu aux questions d'Adrien Gindre.
Emmanuel Macron me cible parce qu’il sait que je suis son seul adversaire, son contraire idéologique et politique.
Je vous dis pourquoi il est du côté des délinquants, alors que je suis du côté des victimes.
Pourquoi dans le scandale Macron McKinsey les Français sont volés trois fois.
Pourquoi je suis le vote vital pour l'élection présidentielle, ces dimanches 10 et 24 avril.
Eric Zemmour
17:50 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA SALLE ÉTAIT LOIN D'ÊTRE PLEINE SAMEDI APRÈS-MIDI POUR LE MEETING DE MACRON... QUEL CONTRASTE AVEC LE TROCADÉRO D'ÉRIC ZEMMOUR !
Concrètement, le bide de Macron remet les idées en places sur la confiance que l'on peut accorder aux sondages publiés...
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10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
J'ai rencontré cette France qui se lève avant tout le monde
Eric Zemmour
Ce matin (samedi matin - NDLR), j’étais à Rungis.
Ou plutôt : cette nuit, car Rungis se lève avant toute la France.
Ce marché qui alimente le pays entier est le symbole du travail courageux, généreux, qui ne recule devant aucun effort.
Ici, on nourrit le peuple.
Rungis est le plus grand marché d’Europe. 234 hectares, 1 200 grossistes, un chiffre d’affaires qui dépasse les 10 milliards d’euros : ce lieu unique démontre toute la puissance de l’agriculture française. Ce qui se vend à Rungis cette nuit se trouvera demain dans les assiettes des familles les plus humbles, comme dans celles des restaurants gastronomiques les plus réputés au monde.
Discuter avec les marchands de Rungis est une expérience politique saisissante.
Contempler cet univers si riche en produits de grande qualité et en si grand nombre, vendu par des passionnés, et songer à la misère où sont plongés nos agriculteurs, m’inspire de la tristesse et de la colère.
Comment l’État peut-il négliger tant de savoir-faire paysan et commercial, au point que toutes les filières du secteur peinent à boucler les fins de mois, et que les Français s’alimentent de plus en mal ?
Nous tenons là le résultat tragique de décennies de mépris pour le monde de la terre, sa fragilité et ses exigences.
Les technocrates ont toujours eu du mépris pour les paysans. Nous récoltons aujourd’hui les fruits amers de cette arrogance et de cet aveuglement. Dans nos campagnes, les suicides se multiplient. Chacun d’eux est le symptôme d’un drame national.
Où sont les coupables ?
- L’Europe et ses contraintes délirantes.
- L’effondrement de notre identité, qui saccage nos traditions agricoles.
- Les diktats de la grande distribution.
- La bureaucratie, qui taxe et impose toujours plus, et noie nos producteurs sous la paperasse et les règles injustes.
- La politique de la ville, qui fait passer les banlieues avant tous les autres territoires.
- Le refus étatique de prendre en compte la chute de la natalité et donc la désertification des campagnes qui pousse nos paysans à fuir leurs terres.
- Le gaspillage de l’argent des contribuables par des hauts fonctionnaires, gaspillage qui a des conséquences catastrophiques sur le pouvoir d’achat.
Tout cela est à changer d’urgence.
L’assistanat généralisé, qui accorde à ceux qui ne travaillent pas des privilèges qu’elle refuse aux Français qui travaillent. Et tout cela se retrouve, démultiplié, dans les problèmes que subissent les travailleurs de Rungis.
Je regarde la réalité en face, comme nos paysans, je dis la vérité sans aucune censure, comme nos paysans, j’exige des solutions claires et nettes, J’aime sincèrement le monde rural, je l’écoute, je le comprends, je veux enfin le favoriser parce que nous ne sauverons pas la France sans lui.
Je veux défendre le monde du travail et je veux que le travail paie enfin.
Pour nos paysans, comme pour nos commerçants, nos indépendants, nos forces de l’ordre et tous les autres : je ne veux plus de cet Etat qui prend le fruit de votre travail pour le dilapider dans des dépenses folles, pour être généreux avec le monde entier ou pour faire vivre à vos frais l’immense machine bureaucratique.
Je veux taxer moins pour gagner plus.
Et pour cela, je suis le candidat à cette élection qui propose le plus de baisses d’impôts, de charges et de taxes : 22 milliards d’euros de moins chaque année !
C’est 423 millions d’euros par semaine qui ne seront plus pris dans vos poches.
60 millions d’euros par jour que vous pourrez enfin garder pour vous et votre famille.
Cette nuit, j’ai rencontré la France qui se lève avant tout le monde.
Je la défendrai.
Vive la France !
10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Sécession" : le premier livre de Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com
La chronique flibustière de
Georges Feltin-Tracol
Collaborateur au site Novopress, puis rédacteur en chef à partir de 2013 du remarquable site d’information libre Breizh Info, Yann Vallerie signe son premier essai avec une préface de Piero San Giorgio. Explosif, son contenu ne se résume pas en une énième dissertation politico – géopolitico – métapolitico – philosophique pesante. Ce livre de 102 pages mesure 11 cm par 17,7; ces dimensions en font un ouvrage facile à lire n’importe où puisqu’il entre dans une poche quelconque. C’est un grand avantage à l’heure de l’effondrement de la lecture.
Tout curieux rétif au prêt-à-penser officiel peut découvrir Sécession de Yann Vallerie grâce à sa couverture. L’Hexagone français – sans la Corse – est repeint aux couleurs du drapeau de la Confédération sudiste pendant la Guerre de Sécession nord-américaine sans les treize étoiles remplacées par trois personnes (le père, la mère et l’enfant ?) entourées par un masque coronaviral barré, un fusil, un chapelet et un livre. La bannière à la croix de Saint-André est probablement un clin d’œil facétieux aux bâtons noueux de Bourgogne, principal symbole militaire de la Monarchie hispanique d’origine habsbourgeoise.
Par-delà ces considérations vexillologiques, le sous-titre pose une interrogation cruciale : « Comment vivre hors de la République française totalitaire ? » Yann Vallerie n’entend pas quitter sa chère Bretagne pour s’installer en Côte d’Ivoire ou en Afghanistan. Il propose au contraire de sortir du système mortifère. Il part d’un fait qu’il n’énonce pas, mais qui est flagrant : la mort de la France. Toutefois, au contraire d’un célèbre candidat-essayiste, elle ne s’est pas suicidée, mais elle a bien été assassinée. L’assassin se nomme la République dite française. Face à ce remplacement politico-idéologique presque achevé, l’auteur présente en quatre chapitres concis et percutants une méthode réaliste afin de rompre avec le Moloch républicain. Il estime en effet qu’il importe de se détourner du Régime et de poser les jalons d’un autre choix. Pragmatiques, ses propositions provoqueront certainement le mécontentement des éternels cocufiés de la politique française, à savoir les « nationaux – droitards ».
Sécession sort involontairement dans un contexte politico-médiatique favorable. En Corse, une jeunesse impétueuse et revendicative proteste et défile au cri d’« État français assassin ! »; « République française tueuse ! » aurait été mille fois plus juste. Et qu’observe-t-on ? Le gouvernement kleptocratique parisien si impitoyable envers les Gilets jaunes et les associations identitaires envisage des négociations. Les événements survenus sur l’Île de Beauté à la suite de l’odieuse agression d’Yvan Colonna par un détenu islamiste, confirment le point de vue de Yann Vallerie. « Si, sur le terrain, le rapport de forces est à l’avantage des locaux, alors, la République une et indivisible ou pas, l’État plie. » Quel formidable exemple pertinent pratiqué à Corte, à Bastia et à Ajaccio !
L’enraciné européen d’expression bretonne qu’est l’auteur appelle par conséquent à « faire sauter la déconstruction gauchiste qui est devenue l’essence de la République française depuis la fin des années 60 ». Il dénonce par ailleurs l’école soumise au conformisme pédagogique d’occupation mentale. L’« éducation nationale » n’instruit plus, elle déforme des esprits malléables qui subissent ainsi des dégâts irréparables. Certes, « niant son échec absolu, la République français entend à la fois soumettre à autorisation les réfractaires à ce système à broyer les enfants ». Le Régime cible l’instruction à domicile et les écoles hors contrat, encore préservées de l’idéologie des « gens des lettres » LGBTQIAXYZ+++ et d’un cosmopolitisme aux multiples facettes.
Ce sympathique plaidoyer pour la séparation, la rupture, la sécession emporte l’adhésion, sauf sur un point. « Le retour à la presse papier et au samizdat est un leurre, affirme Yann Vallerie. Une régression même, puisque ce serait un retour à la marginalité du départ. » Pourquoi alors veut-« on » (« qui ? ») étouffer l’hebdomadaire Rivarol ? Pourquoi Yann Vallerie a-t-il imprimé ce livre et non pas rendu disponible en format pdf sur Internet ? La hausse régulière du prix du timbre et des frais de port pénalisera les projets éditoriaux dissidents, ce qui n’est pas une coïncidence fortuite. Ne miser que sur le numérique alors que le CSA et HADOPI forment dorénavant l’ARCOM dont les employés suivent des formations inclusives, s’apparente à une mauvaise tactique. L’indispensable reconquête culturelle s’organise autour de deux axes complémentaires : une présence active sur Internet et une profusion, éventuellement clandestine, de samizdat, de journaux, de revues, de dazibao, de tracts et de livres. Il sera toujours plus difficile aux forces régimistes de localiser une imprimerie secrète, éditrice de pamphlets virulents ou d’enquêtes dévastatrices, que de censurer la Grande Toile virtuelle. D’ailleurs, Yann Vallerie applique déjà cette sécession dans le cadre factuel de cet ouvrage qui ne comporte pas d’ISBN et de code barre. Pourquoi ? La page pour le commander au prix de 15 € l’explique volontiers. Il s’agit d’abord de contourner les grandes plateformes de distribution qui asphyxient les éditeurs et les auteurs. L’auteur considère ensuite qu’il n’est pas normal qu’un éditeur doive, avant même d’éditer, s’acquitter d’une taxe supplémentaire prise par l’Etat (une cinquantaine d’euros pour avoir un ISBN). On peut donc se le procurer sur le site dédié ou par chèque bancaire à l’ordre de Breizh Information (BP 201, 29 834 Karaez/Carhaix PDC1) en précisant bien que c’est pour le livre Sécession.
Ce livre ouvre dans tous les cas de grandes perspectives de libération populaire et identitaire dans le cadre de communautés informelles soudées et structurées. Le temps presse. La survie des autochtones albo-européens passe par un choix crucial : soit l’infâme République hexagonale les écrasera, soit ils la chasseront de leur quotidien afin que leur retrait suscite finalement un salutaire renversement.
Salutations flibustières !
Pour le commander : cliquez ici
« Vigie d’un monde en ébullition », n°26, mise en ligne le 29 mars 2022 sur Radio Méridien Zéro.
10:50 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi 6 avril à 20 h : réunion de Reconquête à Marmoutier (67)
00:29 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 02 avril 2022
LES BOMBENT PLEUVENT SUR MARIOUPOL, MAIS LE BUSINESS SE POURSUIT !
Pieter Kerstens
Jour après jour, semaine après semaine, les médias nous inondent d’images tragiques et de commentaires catastrophiques sur la guerre en Ukraine. La propagande marche à fond !
Les gouvernements et les politicards occidentaux refusent d’affronter le « monstre » de Moscou les armes à la main et cherchent toutes sortes de moyens pour conduire la Russie à la faillite.
L’Ukraine et la Russie étant des opérateurs importants sur le marché mondial des hydrocarbures et des matières premières agricoles ou minières, les discours officiels de l’Union Européenne nous préparent à des hausses de prix et des pénuries importantes. Tout ceci, par solidarité morale avec Kiev et pour « cesser de soutenir l’effort de guerre de Moscou » quand on remplit son réservoir ou quand on se chauffe au gaz.
Cette forme de chantage envers nos populations est ignoble et trahit la lâcheté de nos dirigeants.
FAUT ARRETER DE NOUS PRENDRE POUR DES CONS !
Pendant des semaines on nous a présenté Volodymyr Zelenski comme un archange héroïque et Vladimir Poutine un fou sanguinaire : le Bien attaqué par le Mal. Comment ? Ce n’est pas aussi clair ? ? ? Depuis le début de la guerre, de nombreuses sanctions ont été prises par les Occidentaux pour punir le maître du Kremlin, dont l’interdiction d’utiliser le système SWIFT qui permet aux banques le transfert des opérations financières partout dans le monde. Interdiction pour tous, SAUF pour les banques russes qui s’occupent des transactions concernant le gaz, le pétrole et autres matières stratégiques indispensables à l’Europe.
De vastes campagnes médiatiques ont imposé aux entreprises européennes un chantage moral pour cesser leurs activités en Russie. En France on a vu le Khmer vert, Yannick Jadot, accuser le PDG de Total, Patrick Pouyané de « criminel de guerre ».
Mais si l’Europe doit stopper ses achats de pétrole ou de gaz, les Etats-Unis eux, ont augmenté leurs importations de pétrole russe du 19 au 25 mars de 40% ! Parce que le slogan « America first » s’impose pour éliminer tous les concurrents des potentats yankees, en imposant l’achat de leurs propres productions et en continuant leur business avec les pays selon leurs intérêts.
Les interventions américaines menacent l’Europe de désindustrialisation et de pertes d’emplois massives, car Biden veut transférer vers notre continent un gaz de schiste couteux qui plombera la compétitivité de nos entreprises.
Depuis le 1er avril, la Russie exige que le paiement des achats de pétrole ou de gaz en devises étrangères soit envoyé directement sur son sol, dans les banques russes, et non plus en dépôt dans une banque étrangère où les fonds sont susceptibles d’être gelés et inutilisables, au nom des sanctions décrétées contre la Russie. Ainsi, Gazprom est finalement bien payée en roubles.
LES OLIGARQUES UKRAINIENS ET ZELENSKY CONTINUENT A SE GAVER !
Parce que depuis l’intervention militaire russe en Ukraine, le gazoduc Brotherhood qui traverse le pays vers la Pologne et l’Europe n’a jamais été arrêté. Zélensky et sa clique de corrompus ont toujours perçu les péages liés au droit de passage des millions de m3 de gaz qui transitent tous les jours à travers l’Ukraine. De plus, le « héros » de Kiev se sert en permanence du gaz russe circulant par le gazoduc, pour chauffer et alimenter les villes ukrainiennes.
Et saviez-vous que l’Ukraine « démocratique » a interdit ces deux dernières années la parution de 22 journaux et les émissions de deux télévisions ?
« Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son… »
13:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
09:20 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Assez de scandales ! Avec Eric Zemmour, il est temps de dénoncer la collusion entre Macron et McKinsey...
Je veux vous parler du scandale d'Etat Macron McKinsey. Toute la France commence à en parler et elle a raison d’en parler. Car cette affaire démontre de manière éclatante tout ce dont nous ne voulons plus et tout ce que symbolise Emmanuel Macron : le manque absolu de respect pour votre argent, le copinage et le cynisme dangereux qui règnent à l’Élysée depuis cinq ans.
Eric Zemmour
01:03 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un entretien avec Bernard Germain, auteur de "Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste"
Propos recueillis
par Guirec Sèvres
Pourquoi ce livre sur la méthanisation ?
Ce sujet, inconnu de la plupart de nos compatriotes - particulièrement ceux qui vivent en ville - va inévitablement être largement discuté dans les prochains mois. Pour deux raisons majeures :
- initialement, la méthanisation était présentée par ses promoteurs comme le moyen de produire du « gaz vert », donc écologique. Elle fait partie des moyens qui permettraient avec les éoliennes de développer des énergies « propres », en relation avec une baisse du recours à l’énergie nucléaire.
- le conflit actuel entre l’Ukraine à la Russie a souligné notre dépendance vis à vis de la Russie, principal fournisseur de gaz pour l’Europe. Certains souhaitant sur ce plan ne plus être dépendant de la Russie, des solutions alternatives vont donc être recherchées. Le développement massif de la méthanisation fait partie des solutions possibles.
Il m’est donc apparu intéressant de rédiger ce livre afin d’exposer ce qu’est la méthanisation et surtout de donner au lecteur les moyens de répondre à la question : « est-ce une bonne idée ? ».
Pouvez-vous en quelques mots nous dire ce qu’est la méthanisation ?
C’est un procédé qui consiste à produire du gaz (méthane) à partir de déchets (excréments d’animaux, boues de stations d’épuration...) qui, mélangés avec du carbone (végétaux), vont en milieu anaérobie et sous l’action de micro-organismes, produire du méthane.
Ce méthane est récupéré et après épuration, sera injecté dans le réseau de gaz ou être injecté dans une turbine et brûlé. Ce qui permettra de produire de l’électricité qui sera vendue à EDF.
A l’issue du processus, il reste des déchets (90 % de ce qui entre !). C’est le « digestat » qui sera épandu à la surface des champs en qualité « d’engrais ».
A l’origine, la méthanisation devait se pratiquer « à la ferme » et constituer un petit complément de revenu pour les agriculteurs durement touchés par les prix auxquels ils doivent vendre leurs productions.
Sur le papier, tout cela semble très bien. Est-ce bien la réalité ?
Absolument pas. L’idée de base (la méthanisation « à la ferme ») a vite été remplacée par des structures de plus en plus grosses que le petit paysan ne peut pas s’offrir.
Certains se sont engouffrés dans le créneau ayant vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner, d’autant que les subventions sont largement distribuées (Europe, ADEME, Régions, Départements...) auxquelles il convient d’ajouter des contrats sur 15 à 20 ans, à prix garantis.
Par ailleurs, l’équation économique de la méthanisation est absolument consternante.
Enfin, la méthanisation est une authentique catastrophe pour l’environnement et les populations.
Avez-vous été confronté à ces problèmes ?
Oui. J’ai découvert la méthanisation il y a trois ans. Un projet d’unité de méthanisation a tenté de s’installer près de mon domicile, dans un joli petit bourg des Côtes d’Armor vivant largement du tourisme. L’affaire n’est pas terminée. Elle est en jugement.
Je me suis fortement engagé dans la mobilisation contre ce projet. C’est à cette occasion que j’ai appris tout ce que je sais dans ce domaine. Je fais largement part de cette expérience dans le livre.
Votre livre explique donc ce qu’est la méthanisation et comment la combattre ?
Effectivement, au-delà d’une présentation de la méthanisation, ce livre donnera aussi à tous ceux qui sont confrontés à un projet d’unité de méthanisation, des informations précieuses sur la manière de s’y opposer.
Il n’y aura jamais de méthanisation au Champ de Mars à Paris. Les « bobo-écolo » trouveront certainement le concept formidable d’autant qu’il est qualifié de « vert ».
Mais les habitants des campagnes, confrontés à la réalité de la méthanisation ont et auront un point de vue radicalement différent, basé sur leur expérience.
Quant au pays tout entier, il me semble urgent que des hommes politiques prennent conscience de la catastrophe qui s’annonce si la filière devait connaître un fort développement.
Qu’ils prennent conscience... et surtout qu’ils se mobilisent pour empêcher ce désastre à venir.
"Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste", Bernard Germain, Les bouquins de Synthèse nationale, collection Pourquoi ?,106 pages, 18,00 € cliquez ici
00:48 Publié dans Bernard Germain, Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 01 avril 2022
Entretien avec Patrick Drahi : « pourquoi j’ai décidé de soutenir Zemmour »
Source OJIM cliquez ici
En cette Sainte-Hugues du premier avril 2022, Patrick Drahi crée la surprise en annonçant son soutien à Éric Zemmour. Il a accordé à Claude Chollet et à l’Ojim un entretien exclusif par téléphone.
Claude Chollet : Monsieur Drahi, merci de cette exclusivité qui sonne comme un coup de tonnerre dans la campagne électorale un peu molle de la présidentielle du printemps 2022. Votre soutien est-il une décision récente ou au contraire est-il préparé depuis un certain temps ?
Patrick Drahi : Vous permettez que je vous appelle Claude ? Vous savez Claude que je suis un homme discret, je ne me répands pas dans les médias, j’ai une vie familiale rangée, je travaille beaucoup et je ne fréquente pas les journalistes, heureusement (rires). Je voyage constamment pour mes affaires mais ma résidence principale est en Suisse, un pays où la sécurité est assurée, celle de mes enfants comme la mienne. Mais les témoignages des français qui vivent dans des « quartiers sensibles », où les femmes non voilées ne peuvent pas sortir dans la rue ou ceux des autres jeunes filles qui ne peuvent pas prendre le métro ou le RER sans être importunées ou pire, m’avaient déjà fait réfléchir et le programme de Zemmour sur la sécurité avait déjà trouvé un certain écho en moi.
Claude Chollet : Vous permettez que je vous appelle Patrick ? Patrick, vous parlez d’un « certain écho » mais ce n’est pas suffisant pour annoncer un soutien franc et surtout public ?
Patrick Drahi : J’ai hésité Claude, j’ai hésité. À cause du qu’en dira t’on, à cause de ma famille, à cause de mes affaires aussi où les risques sont réels de contre-mesures – fiscales, sociales, réglementaires — des autorités sur mon empire téléphonique. Mais ce qui a emporté mon adhésion, c’est le meeting du Trocadéro. Ces dizaines de milliers de gens, cette atmosphère à la fois d’exaltation et gentille, la ferveur générale, les drapeaux agités, le remarquable discours d’Éric, tout ça m’a fait sauter le pas. J’étais incognito dans la foule avec un chapeau pour ne pas être reconnu. À la fin du discours j’ai jeté mon chapeau en l’air et j’ai crié comme tout le monde « Zemmour président ! »
Claude Chollet : Vous avez évoqué de possibles difficultés pour vos affaires téléphoniques mais qu’en est-il pour Libération. Le rédacteur en chef Dov Alfon, vient de publier un communiqué « Pas ça, pas vous, pas maintenant ».
Patrick Drahi : Je connais bien Dov qui est franco-israélien comme moi. Vous savez qu’il a travaillé pour les services de renseignement de l’armée israélienne, il connaît la musique. Je pense qu’il a fait ce communiqué pour calmer sa rédaction qui est toute acquise à la cause libérale libertaire et aux valeurs mondialistes de la société de consommation avec ses tares et ses excès. Je suis pour la famille, pour l’ordre, pour la transmission.
Claude Chollet : Quand même, le quotidien préparerait sa Une pour demain avec votre photo estampillée « La Honte ». Un des rédacteurs, Pierre Plottu menace de s’émasculer publiquement en signe de protestation. Vous n’êtes pas gêné ?
Patrick Drahi : (en colère), Ces petits cons ne vont pas me mettre une étoile jaune quand même ? Vous savez que je contrôle la fondation qui est au-dessus de la société éditrice du journal ? Je crois que vous avez publié un article sur le sujet. C’est moi qui assure leur salaire à ces bobos mal décrassés ! Ils votent pour qui ils veulent et moi aussi ! Vive la liberté ! Vive Zemmour !
Claude Chollet : Merci Patrick et sans doute à bientôt.
18:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Neuvaine pour la France et le Règne du Sacré-Coeur du 1er au 9 avril, veille du premier tour
Aujourd'hui, le premier avril commence une neuvaine avant le premier tour de l'élection présidentielle. Vous pouvez vous y associer. Voici la prière que l'on peut réciter afin de demander au Sacré Cœur de nous sortir de cette situation.
18:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Présidentielle : candidats et éoliennes
Le Conseil d’Administration de la Fédération Environnement Durable a rédigé un questionnaire en 12 points destiné à tous les candidats concernant les éoliennes terrestres et en mer.
Ce document leur avait été adressé par tous les moyens permettant de les contacter (Lettres avec ARC, emails, formulaires de contact, rencontres personnelles, etc.).
La grande majorité d’entre eux ont répondu et nous les en remercions.
17:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine : deux questions fondamentales
Par Bruno Mégret
Pourquoi une guerre totale pour un enjeu mineur ?
En même temps que la guerre s’enlise sur le terrain, l’hostilité entre les deux parties adverses s’intensifie en effet dangereusement. Du côté russe, les armées de Poutine adoptent maintenant une stratégie reposant largement sur les bombardements avec les dommages qui en résultent en termes de morts et de destructions. Du côté ukrainien c’est, en plus de l’armée régulière et de façon très inhabituelle, la levée en masse des civils armés qui multiplient les actions de guerre.
Comment ne pas s’étonner d’une telle montée en puissance de l’agressivité guerrière quand on sait que l’enjeu du conflit ne relève nullement d’un antagonisme essentiel ? Nous ne sommes pas en face d’un conflit de civilisation qui mettrait en péril l’identité voire la survie même de la nation ukrainienne.
Il ne s’agit pas des hordes ottomanes montant à l’assaut des murailles de Byzance. Il n’y a rien de commun avec la bataille des champs Catalauniques qui stoppa l’invasion des Huns ou la défense de Vienne qui arrêta la progression des armées turques.
Non, rien de tel, car Russes et Ukrainiens sont très proches tant pas la population que par la religion, la culture et l’histoire. Les uns comme les autres appartiennent à la même civilisation européenne et chrétienne. L’objet du conflit est dès lors de bien moindre importance puisque, mise à part la question du Dombass, il porte essentiellement sur le statut international de l’Ukraine : peut-elle ou non entrer dans l’Otan, doit-elle ou non rester neutre entre la Russie et l’Union européenne ?
Se pose donc cette première question fondamentale, pourquoi un tel extrémisme guerrier pour un enjeu qui n’a rien de vital ? Pourquoi est-on si loin des conflits classiques tels que l’Europe en a connu d’innombrables du temps de sa splendeur lorsque les armées se combattaient, laissant les civils de côté et amenant les vaincus à capituler et à signer un traité de paix ?
Pourquoi les non-belligérants jouent-ils les boutefeux ?
Se pose par ailleurs une autre question concernant cette fois les non-belligérants. Car, très curieusement les actions économiques et de communication menées par les Occidentaux, loin d’apaiser les antagonismes, contribuent au contraire à les exacerber.
Ce conflit se concrétise en effet par des initiatives menées par l’Occident contre la Russie qui se traduisent par des sanctions économiques de plus en plus contraignantes et de plus en plus déstabilisantes pour les Russes certes, mais aussi pour nos compatriotes et, bien au-delà, pour l’économie mondiale. À cela s’ajoute une véritable guerre de communication menée par les autorités ainsi que par les médias occidentaux qui s’en prennent aux Russes et à leur président dans les termes les plus violents, parlant de pays paria, de génocide, de crimes de guerre, d’armes chimiques.
Aussi se pose-t-il une deuxième question fondamentale.
Pourquoi, dans ce conflit, les non-belligérants que sont les Occidentaux et tout spécialement les Européens ne cherchent-ils pas à faire baisser la tension guerrière et à amener les parties prenantes à un cessez‐le-feu et à trouver un compromis acceptable pour les deux parties ?
On pourrait subsidiairement se poser une question à propos du président ukrainien qui en temps de paix n’a pas eu la sagesse, pour protéger son peuple, d’accepter un statut de pays neutre comme cela a été longtemps le cas de l’Autriche par exemple. Et qui, maintenant que le conflit est ouvert, prône une guerre totale impliquant sa propre population et cherchant à entraîner dans le conflit les pays d’Europe. Une démarche de boutefeux qui, face à une invasion indéniablement condamnable, ne peut qu’aggraver les souffrances et les destructions pour son peuple et son pays.
Il n’est pas simple de répondre à ces questions. Mais les Ukrainiens devraient peut-être se demander si certains ne cherchent pas à utiliser leurs souffrances pour atteindre un objectif géopolitique majeur à leurs yeux : disqualifier durablement la Russie et la couper définitivement de l’Union européenne.
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Demain fera-t-il jour ?
Le billet de Patrick Parment
On sait très bien par expérience que les programmes politiques énoncés en raison d’élection à venir ne sont que des bouts de papiers jetés au gré du vent qui passe. Chacun essaie de répondre aux problèmes du temps présent, d’où la fatale inactualité de ces programmes une fois l’élection passée. Certes, on aurait mauvaise grâce de dire qu’il n’en reste rien, mais les urgences d’un jour ne sont pas celles du lendemain.
Aussi, les exégèses autour du programme d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen ne sont à regarder que comme des curiosités. Eric Zemmour, dans ce cirque que constitue une élection présidentielle, présente une exception car il a mis le doigt là sur le danger majeur pour l’avenir de notre pays et de nos enfants : la maîtrise de l’immigration et une remigration plus que nécessaire. On oublie trop souvent que plus d’un million de Français d’Algérie ont regagné la métropole en un temps record.
L’autre aspect majeur que nos politiques se gardent bien d’évoquer, est que cette immigration incontrôlée a notablement fracturé la société française mettant à mal ce que l’on appelle d’ordinaire la communauté nationale. Ce que résume le sentiment général du « on n’est plus chez nous ». Nous devons donc tout à la fois lutter contre cette immigration – la France n’est pas une poubelle – et surtout reprendre en main une justice beaucoup trop laxiste et donner à nos policiers les moyens dont ils ont besoin.
Le degré de violence dû à l’immigration a atteint un niveau qui devient insupportable pour les populations qu’il s’agisse des villes, des banlieues et des campagnes. Il est par ailleurs intolérable de laisser s’implanter dans notre pays un islamisme qui ne correspond à rien dans notre culture judéo-chrétienne. Imagine-t-on élever une église en Arabie saoudite et autres pays du radicalisme islamique ? Une politique de rupture et de fermeté s’impose de manière urgente et on voit mal qui d’autre qu’Eric Zemmour pour la mener à bien.
Reste également que le prochain président aura comme l’on dit du pain sur la planche. Une pandémie qui affecte toujours l’économie française, une dette abyssale et surtout une Europe qu’il serait temps de régenter afin que cesse les méfaits, entre autres, d’une Commission dont les membres ne sont pas élus, faut-il le rappeler. Et tous les présidents qui se sont succédés ont fait preuve de la même incompétence, Ursula van der Leyden en tête en digne émule d’Angela Merkel shootée au mondialisme anglo-saxon.
Le conflit russo-ukrainien, par ailleurs, a mis en valeur tous les dysfonctionnements dont souffre cette institution. Et en premier lieu notre vassalité à l’égard des Américains où Emmanuel Macron a tenté de jouer les petits télégraphistes. Il serait temps de reconsidérer notre situation au regard de la géographie. Si cette guerre a eu lieu, et on ne peut que le déplorer, c’est bien parce que les Américains ont manipulé les Ukraniens et les Européens à ne pas respecter les traités, celui de Minsk notamment. Vladimir Poutine a toujours clamé qu’il ne voulait pas d’implantation de missiles en Europe - pas plus que les Américains avec les missiles russes à Cuba -, sous couvert de l’Otan. Et ce dès sa prise de pouvoir en l’an 2000. Les Américains, avec l’aval de l’Allemagne et plus encore de la Pologne ont fait l’inverse. Ces deux pays vivent dans la hantise imaginaire d’une invasion par l’armée russe !
Cette guerre a également bien mis en lumière notre dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, notamment pour ce qui concerne le gaz et pour partie le pétrole. Va-t-on se diriger vers un aléatoire approvisionnement américain qui va nous coûter la peau des fesses ? Je pense qu’il est temps que les Européens reprennent leur destin en main. Ce ne sera pas facile tant les tensions intra muros sont fortes. Les intérêts des pays du Nord s’entrechoquent avec ceux du Sud et plus encore de l’Est. Mais notre destin est commun. Il faudra donc bien trouver des solutions. L’Europe ne saurait se résoudre à n’être qu’une balle de ping pong dans l’affrontement entre Américains, Russes et Chinois. Avec cette guerre, c’est tout l’échiquier géopolitique, mais aussi économique qui est remis en cause avec le retour des nations sur la scène. L’Europe sera-t-elle absente ?
On rêve d’une Europe puissante. Mais on n’en prend pas le chemin. La tâche du prochain président sera donc ardue et il devra batailler sur tous les fronts. Raison de plus pour que ce dernier ait une réelle vision du monde et plus encore une certaine idée de la France. A ce jour, on ne voit guère qu’Eric Zemmour pour porter cet espoir. Car avez-vous seulement entendu les Macron, Pécresse, Le Pen, Jadot et autres Mélenchon nous parler d’un destin français ? Et l’Europe, est-elle condamnée à accueillir toute la misère du monde ?
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MACRON ET MCKINSEY
00:34 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Élection présidentielle truquée ?
00:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |