Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 10 avril 2023

L’avenir de l’Europe est visible à Londres et Birmingham

Ramadan-avril2023.jpg

Bernard Germain 

Publié le 29 novembre 2022, le rapport 2021 de l’institut britannique des statistiques a montré une évolution considérable de la population britannique.

Dans les deux principales villes du pays, Londres et Birmingham, la population blanche est passée sous la barre des 40%. La population musulmane a doublé en seulement une décennie, passant à 4 millions de personnes. Les chrétiens représentaient 59% de la population en 2011. En 10 ans leur part est tombée à 46%. Le nombre de juifs, d’hindous et de bouddhistes est resté stable. Quand au nombre d’athées, il a fortement progressé depuis 2011, passant de 25 à 37,2%.

Si nous nous intéressons plus précisément à Londres, on notera que près de 40% des musulmans d’Angleterre vivent dans la capitale. Le Grand Londres compte environ 500 mosquées ainsi qu’une douzaine d’écoles privées. On dénombre également 2 300 restaurants servant de la nourriture Halal. En 2013, il y avait 13 400 entreprises appartenant aux musulmans à Londres, créant plus de 70 000 emplois et représentant un peu plus de 33% des petites et moyennes entreprises.

Voilà des chiffres qui ne peuvent qu’inquiéter, s’agissant de l’avenir de notre civilisation. L’élection de Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, à la mairie de Londres en 2020 en est une conséquence logique. Tout comme la nomination du Premier ministre, Rishi Sunak, fils d’un Indien né au Kenya, étant lui-même hindouiste.

Ce dernier a d’ailleurs fait une déclaration importante : « Je suis un Indo-Britannique. Je suis profondément britannique, mais ma religion, mon héritage culturel et mon épouse sont indiens ». Ceux qui éventuellement se posaient encore des questions ont, avec ces mots, la réponse à leurs questions.

La conception du Premier ministre britannique n’est pas de se fondre dans la société britannique, mais de voir se mettre en place une société « communautariste » juxtaposant plusieurs cultures et identités.

Le nombre aidant, tout le monde comprend comment cela se terminera. La société britannique « traditionnelle » disparaîtra à moyen terme, si cette évolution continue.

Enfin, peut-être le savez-vous, mais pour la première fois, dans le quartier de West-end (centre de Londres) la rue Coventry, qui relie deux des places les plus fréquentées de la ville, Piccadilly et Leicester Square, a été illuminée avec le message « Joyeux Ramadan » comme le montre la photo en haut de cet article. Cela ne fait qu’exprimer l’emprise de plus en plus importante de l’islam sur la société britannique en général, et la ville de Londres en particulier.

Mais un autre fait autrement plus grave aurait dû alerter l’opinion publique, en relation avec ce que je viens de rapporter.

Lire la suite

00:05 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 08 avril 2023

Invasion des campagnes : après “Envoyé Spécial”, la propagande d'Etat en faveur du grand remplacement continue

image presse.jpegBernard Germain

Après l’ineffable « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, diffusé jeudi 6 avril sur France 2, concernant le dossier de Callac, les pro-immigration continuent leur offensive pour imposer la transition démographique dans les campagnes.

Cette fois, c’est un reportage de France info qui s’y colle afin de tenter de démontrer que les Français ne sont que des égoïstes, insensibles aux valeurs de solidarité et d’accueil. Qui plus est, ils ne comprennent rien à l’intérêt pour la France d’accueillir ces immigrés.

Le reportage commence par Uzerche, un bourg de 2700 habitants en Corrèze. Une trentaine de migrants sont arrivés depuis 2016.

Au début du reportage, on assiste à un cours d’alphabétisation. L’objectif est à l’évidence de souligner l’envie des immigrés d’apprendre le français et donc de s’intégrer à notre société.

On me permettra d’objecter qu’apprendre une langue ne signifie pas qu’on va se fondre dans la population, adopter ses coutumes, sa culture, son identité ni son histoire.

Quand on vient d’un pays comme l’Afghanistan, comme c’est le cas dans le reportage, les différences sont tellement importantes que réduire le problème à celui de la langue est vraiment une mauvaise blague.

Bien évidemment, le reportage n’abordera pas ce problème pourtant fondamental.

On notera au passage que cet Afghan a laissé sa famille au pays. Donc s’il est régularisé, il fera jouer les règles du regroupement familial et au final, ce ne sera pas un migrant de plus à Uzerche mais entre 5 et 10 personnes.

Lorsque toutes ces personnes seront là, vont-elles vivre « à la française » ou reproduire en Corrèze leur mode de vie afghan ?

Il me semble qu’il y a suffisamment d’exemples en France pour pouvoir affirmer qu’ils garderont le mode de vie de leur pays d’origine. Pour preuve, la seule femme qu’on voit au début du reportage est… voilée.

Et c’est le problème. Du fait du nombre, et de la volonté de ces migrants de conserver leur mode de vie, on assiste à l’instauration de deux France. Qui vivent aujourd’hui « côte à côte » jusqu’au moment où l’affrontement aura lieu. Car c’est logique, l’une prendra le pas sur l’autre. Comme la France ne veut pas imposer son identité et ses us et coutumes aux migrants, quand ces derniers seront majoritaires, c’est eux qui imposeront leur mode de vie à leur pays d’accueil. C’est juste une question de temps. Mais la fin de l’histoire est connue d’avance.

On voit ensuite le maire nous vanter les bienfaits de sa politique « qui n’a pas posé de problème ».

Et d’ajouter « On peut proposer des logements, ce qui n’est pas possible dans les grandes villes ».

Tiens, tiens, moi ça me rappelle quelque chose.

Cette famille de Français à Ploërmel, obligée de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre avec 4 enfants, parce qu’il n’y a pas de logement disponible pour les héberger.

Par contre, comme dit le maire, il y a des logements pour les migrants.

Et certains ne comprennent pas que ça puisse énerver les Français de constater qu’il y a des logements pour les migrants mais pas pour les Français ?

Et ces Français « solidaires des migrants » ça ne les gêne pas de laisser tomber leurs compatriotes au profit de gens venus de l’autre bout de la terre.

C’est cela leur solidarité ? Pour ce qui me concerne, je trouve cela honteux.

Pourtant ce maire ne redoute pas de dire « tout le monde a à y gagner »… vraiment ?

Le reportage continue avec la valorisation de l’embauche de certains de ces migrants par un forestier.

« On a du mal à trouver de la main d’œuvre » dit cet employeur.

Cela me rappelle encore un autre problème. La chance que représentent les migrants qui occupent les « emplois que les Français ne veulent pas occuper ».

D’une part, on ne saura pas combien ces gens sont payés. D’autre part, je m’autorise à objecter que quand quelqu’un dépend de son travail pour obtenir ses papiers, il doit être plus docile qu’un Français de souche.

Enfin, le niveau des salaires, dans les domaines que les Français ne veulent pas occuper, est peut-être la raison qui explique ce désintérêt ?

Si ces métiers délaissés par les Français (hôtellerie, restauration, forestiers, etc.) étaient mieux payés, il y aurait sans doute plus de candidats. Non ? 

Pour en savoir plus cliquez ici

Vient ensuite le cas de Beyssenac, village de 350 habitants situé à 30 minutes d’Uzerche.

Dans ce tout petit village, le préfet compte installer un CADA avec 40 migrants.

Émotion et mobilisation dans le village contre ce projet, à tel point que le préfet a décidé d’y organiser une réunion. Pour essayer de convaincre.

La salle est entièrement pleine. Plus de 200 personnes dont l’immense majorité est très remontée.

On entend les arguments de bon sens s’enchaîner.

À un moment quelqu’un demande « Qui est contre le CADA ? »… et une forêt de mains se lèvent.

Seules deux femmes s’indignent de ce rejet. Deux sur plus de 200 !

Ce qui n’empêche nullement le préfet de continuer à soutenir son projet contre vents et marées. En l’occurrence contre la volonté de la population.

On entend aussi des opposants s’exprimer.

Le journaliste demande : « Vous n’êtes pas pour la solidarité ? »

Réponse d’une opposante : « Je suis pour la solidarité, mais qu’on commence par nos anciens. »

Un autre opposant : « Je suis venu à la campagne pour être tranquille et quand je vois comment ça se passe, ça va être n’importe quoi. »

Le préfet terminera avec ces paroles : « Toute la France doit faire des efforts et être solidaire. »

La rupture est totale entre d’une part les bien-pensants, les autorités et d’autre part, la population.

Les pro-immigration ont manifestement fait leur cette déclaration de Benoît Frachon (ancien dirigeant de la CGT) :

« Il faut convaincre ou submerger. »

Pour notre part nous avons choisi de résister et nous invitons tous les Français à rejoindre notre combat, qui fut victorieux à Callac, en nous contactant sur notre site Partout Callac cliquez ici 

Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.

23:04 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 07 avril 2023

« Envoyé spécial » Callac : sous Staline, Élise Lucet aurait fait merveille...

captain-of-soviet-coutry-poster.jpeg

Bernard Germain

Jeudi 6 avril 2023, en début de soirée, la chaîne France2 diffusait dans l'émission "Envoyé spécial" un reportage sur Callac et sur St-Brévin.

À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25% de la population du village.

Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.

En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.

Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :

• Ce projet n’était pas dans votre programme électoral

• Soit vous abandonnez le projet, soit vous faites un référendum

L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80% de la population est contre ».

Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.

Alors elle n’en parle tout simplement pas.

De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.

La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.

Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».

De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.

Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.

Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.

Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.

Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.

Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.

Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de trois manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.

On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.

Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?

Non, le reportage de France2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.

C’est du grand « Libération », mais à la télévision.

Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.

Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?

Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.

L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.

Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.

Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.

Aucun exposé des points de vue contraires.

Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.

Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.

Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.

Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.

On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.

Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.

Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.

Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.

Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.

Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?

Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?

Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».

Sauf que les parents ne disent pas cela.

Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».

Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.

Encore l’extrême droite…

Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.

Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.

Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »

« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.

Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.

Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.

Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?

Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.

Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.

Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.

Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.

Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.

Pour visionner ce monument de

propagande gouvernementale cliquez ici

CHN 18 ANNONCE 1 copie 12.jpg

Commandez le livre qui relate

toute la vérité sur Callac cliquez ici

08:43 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 06 avril 2023

« Violences d’extrême-droite » une arnaque totale

antifas-avril2023.jpg

Bernard Germain 

Aurélien Tâché… vous connaissez ? Ce monsieur est député. Et c’est un homme de conviction. Sauf que ses convictions varient et tournent au gré des vents, comme les girouettes.

Ainsi, il a commencé sa « carrière » au PS, puis il est passé chez Macron à LREM, il a ensuite créé un micro parti qui n’a pas duré longtemps. À ce jour, il est à la NUPES chez les écologistes. On dirait qu’il a un peu de mal à savoir où il habite…

Ce monsieur est également connu pour certaines frasques dont il est visiblement un peu coutumier.

Ainsi, l'hebdomadaire Le Point, le 9 février 2022, rapporte que suite à une bagarre dans un bar à Niort, la police est appelée. Aurélien Tâché y aurait été victime de violence. Visiblement alcoolisé, il trouvera le moyen d’insulter les policiers, les traitant de « baqueux de merde ». Il échappe ce soir-là à la garde à vue sans doute du fait de son statut de parlementaire.

Il sera condamné par le tribunal de Niort à 5.000€ d’amende.

Le 6 décembre 2022, complètement saoul, Aurélien Tâché perturbe gravement la représentation d’un théâtre avant de s’en faire expulser.

Le directeur du théâtre tweetera : « Je suis le metteur en scène de « Lettres à Anne » qui se joue au théâtre Lepic actuellement.Ce soir, le député Aurélien Tâché, totalement saoule a profondément perturbé la représentation. Parlant fort, applaudissant de manière absurde, invectivant le comédien… jusqu’à ce que ce dernier s’interrompt et lui demande de sortir.Il a ensuite lamentablement menacé le régisseur de représailles. C’était absolument hallucinant et lamentable.

Pour qui vous prenez vous Aurélien Taché ?

Dans quel monde vivez vous ? ».

Donc un personnage de conviction au profil des plus sympathiques.

Récemment, le 3 avril 2023, ce monsieur vient encore de se faire remarquer, mais cette fois-ci dans la rubrique « initiative politique sulfureuse ». De quoi s’agit-il ?

Il a organisé à l’Assemblée nationale une réunion-débat dont le thème était : « la lutte contre le terrorisme d’extrême droite ».

Voyez-vous, c’est la mode par les temps qui courent. Tous les bien pensants s’en vont, répétant que les violences d’extrême-droite sont omniprésentes en France et que la France serait menacée de sombrer dans le fascisme.

La Une de Libération de ce jour 5 avril est d’ailleurs là pour le rappeler afin d’insister sur la chose et ce faisant tenter de convaincre les français que tout cela est bien réel.

Libe-05avril2023.jpg

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » disait Beaumarchais.

Le plus extravagant dans cette réunion, hormis son thème, étant la présence d’un des invités d’Aurélien Tâché, le dénommé Raphaël Archenault dit « Raphaël Arnault ». Ce sinistre individu est le chef des antifas de Lyon dont le groupe s’appelle « La Jeune Garde », auteur d’une multitude de violences. Je rappelle que cet individu, sympathique comme une tarentule, a été candidat de la NUPES aux élections législatives de juin 2022 dans la seconde circonscription du Rhône.

Ceci permet de comprendre qu’il y a un lien entre antifas et extrême-gauche (NUPES) politique.

À la NUPES la partie « politique », donc noble, de l’action. Aux antifas la partie violence, donc la basse besogne. Mais c’est un seul et même combat. D’ailleurs la NUPES n’a jamais un mot de condamnation pour les actions violentes.

Toujours est-il que la présence de Raphaël Arnault dans cette réunion - débat était aussi grotesque que si, en son temps, une réunion – débat contre l’antisémitisme avait eu comme invité Adolf Hitler.

En effet ce triste sire, Raphaël Arnault, a à son palmarès, avec ses troupes, un nombre non négligeable d’exactions et violences en tous genres à l’encontre de quiconque ne partage pas les idées de ses nervis antifas.

On notera au passage que ces gens sont des militants extrêmement courageux. Ils chassent uniquement en meute. Généralement ils agressent leurs victimes à plus de 10 contre 1 comme récemment à Lyon où un étudiant a été rossé et humilié dans des conditions insupportables comme le montre une vidéo qu’on trouve aisément sur le net.

Lire la suite

23:07 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 04 avril 2023

Van der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie

propriete-privee.jpg

Bernard Germain

Cela vous a sans doute échappé, mais l’Union Européenne vient de voter un texte qui pose la question de la disparition de la propriété privée.

Il s’agit d’une authentique révolution, motivée par un prétexte purement idéologique : la lutte pour le climat.

On notera juste au passage que cette théorie du réchauffement climatique est largement contestée. De multiples scientifiques remettent en cause cette théorie du GIEC, notamment parce que cet organisme a été pris la main dans le sac à plusieurs reprises à trafiquer les chiffres pour qu’ils disent ce que le GIEC prétend.

Sur ce thème, on peut lire par exemple le livre d’Alban d’Arguin « Réchauffement climatique. Enquête sur une manipulation mondiale. » (Pardes Editions).

On n’oubliera pas non plus d’avoir en mémoire que l’Europe ne représente que 9% des émissions mondiales de CO2. Quant à la France, c’est 0,9%.

Tandis que la Chine et les USA en produisent à eux deux près de 50 %.

Pourtant l’Europe agit comme si tout se jouait en Europe et impose une politique délirante à tout le continent.

Après cette brève introduction, revenons au texte voté le 14 mars 2023 au parlement européen.

Il s’agit d’une modification du texte « directive sur la performance énergétique des bâtiments ».

Lire la suite

23:48 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 avril 2023

Macron et Mélenchon complices de la libanisation de la France

Melenchon-evoque-le-plaisir-de-la-conversation-avec-Macron.jpeg

Bernard Germain

En 1943, sous l’occupation française, eut lieu un partage de la Syrie. Une grande partie resta la Syrie actuelle à majorité musulmane, l’autre partie devint le Liban à majorité chrétienne. Au fil des ans, le nombre de musulmans augmenta au Liban et les affrontements commencèrent à se développer. Dans les années 1970, le Liban bascula en devenant un pays à majorité musulmane.

À partir de ce moment, c’est une véritable guerre civile qui s’installa entre milices chrétiennes d’une part, et musulmanes et palestino-musulmanes d’autre part. S’en suivit une explosion de violences, un terrible appauvrissement et une tiers-mondisation du pays.

Aujourd’hui le Liban « n’existe plus ». Ravagé par les conflits inter ethniques, une inflation délirante, et une quasi absence de production. Ce pays qu’on appelait la « Suisse du Moyen-Orient », est devenu une sorte de chaos intégral dont la diaspora chrétienne a fui ce pays de venu cauchemardesque.

Cette triste évolution du Liban, amenant à sa destruction, devrait nous servir de leçon et nous devrions faire très attention à ne pas recréer dans notre pays les conditions ayant provoqué ce désastre.

Malheureusement, c’est exactement le contraire qui se déroule sous nos yeux.

Et nous sommes en passe d’aboutir à une « libanisation » de la France. C’est d’ailleurs ce que dénonce Eric Zemmour qui appelle tous les patriotes à se mobiliser pour empêcher cette évolution qui serait mortelle pour notre pays.

Dans le camps d’en face, un tandem infernal œuvre au contraire à la création de toutes les conditions qui aboutiront à cette destruction de notre pays. Ce tandem est constitué de deux personnes, en apparence opposées mais en fait entièrement complices : Macron et Mélenchon avec sa NUPES.

Le premier élément qui amena à terme à la destruction du Liban fut la transformation de sa population. La France est aujourd’hui menacée du même péril.

La France est un pays chrétien, de culture gréco-romaine.

Or, Macron, Mélenchon et l’Europe n’ont de cesse de favoriser une immigration qui à ce jour est totalement incontrôlée. Il se trouve que cette immigration, pour l’essentiel vient de pays africains qu’ils soient d’Afrique du Nord ou Sub-saharienne. Un nombre considérable de ces migrants sont musulmans et ont une culture fort différente de la nôtre.

Lorsque le nombre de migrants est faible, l’assimilation les transforment en français. Avec les millions de migrants de notre société actuelle cette assimilation n’est plus possible et comme cela s’est développé au fur et à mesure des années au Liban, on constate un développement séparé et des oppositions et conflits qui ne cessent de croître. Lorsqu’ils atteignent un certain niveau la coexistence des deux sociétés ne sera plus possible. La société musulmane s’imposera. Les «français» n’auront plus qu’un choix se soumettre ou partir. Sinon, ce sera la guerre civile. Comme ce fut le cas au Liban.

Macron est un mondialiste et un européiste. Sa volonté est de voir disparaître la France, son identité et sa culture. N’a-t-il pas dit « il n’y a pas de culture française » ? En fait ce qu’il veut, comme tous les mondialistes c’est que nous soyons de simples consommateurs pour lesquels leur situation géographique ne doit plus avoir de signification.

Mélenchon, à sa manière dit la même même chose et a le même objectif. Il affirme volontiers que nous sommes «citoyens du monde», donc sans pays, sans nation, et souhaite la « créolisation » de notre peuple. C’est à dire sa dissolution dans une espèce de «population mondiale».

C’est par là qu’a commencé la destruction du Liban. Nous en prenons dangereusement le chemin.

Ce qui explique l’importance primordiale du combat pour que la France reste la France et que chaque individu qui souhaite y venir affiche clairement sa volonté de faire partie du peuple français avec sa culture, ses us et coutumes et son identité.

Sinon, c’est qu’il s’agit d’une invasion et cela ne peut que finir très mal.

Le second élément qui fut constaté au Liban et que nous retrouvons en France est le développement de la violence dans toute la société. Ainsi, la violence d’extrême-gauche est omniprésente en France. Les médias bien pensants la cachent soigneusement mais quiconque veut bien voir la simple réalité ne peut que faire le constat de son existence. Par exemple, on ne compte plus les agressions contre les militants de « droite » et les patriotes, à l’occasion de réunions ou de conférences que les bien pensants veulent interdire. Les agresseurs justifiant leurs actions par le slogan «Pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie». Ou encore les violences constatées dans les manifestations comme celles contre la réforme des retraites avec moult dégâts et agressions physiques.

Rien de cela n’est dénoncé dans les médias bien pensants, c’est même l’inverse.

Ils ne cessent de parler des «violences d’extrême-droite», alors qu’il n’y en a aucune, et du danger imminent de l’instauration du fascisme dans notre pays, délire qui est aussi un fantasme.

Enfin, on a pu les constater lors de manifestations interdites (Sainte-Solines) où des dizaines de gendarmes ont été blessés par des gauchistes à coups de cocktails Molotov, boules de pétanque, mortiers d’artifice… etc. Et les mêmes de se déclarer victimes de «violences policières».

Mélenchon approuve tout cela, lui qui a comme nouvel ami Andreas Malm, qui se déclare « Lénino-écologiste » prônant les actions violentes dans la lutte pour le climat.

Mais Macron ne s’inquiète pas du tout de cette situation, elle lui permet de faire peur aux gens les plus crédules qui lui demandent de «reprendre les choses en main» afin d’assurer l’ordre.

C’est bien pratique quand on a une bonne partie de la population opposée à sa politique. 

La plupart de ces actions violentes sont le fait d’antifas qui ne sont en réalité que des milices au service de Macron. Largement soutenues par Mélenchon et tous les médias bien pensants qui font l’opinion. Ajoutons que tout est fait par Mélenchon et la NUPES pour créer une ambiance inquiétante à travers tout le pays. C’est à cela que sert la « bordelisation » de la vie parlementaire. Avec violences verbales et non-respect des règles les plus élémentaires du fonctionnement parlementaire.

La NUPES, aux yeux de ses soutiens, peut ainsi se prévaloir à bon compte d’être intraitable face aux ennemis politiques.

Quant à Macron il doit jubiler puisque cela lui offre la possibilité d’appeler tous les autres parlementaires à serrer les rangs contre ces furieux de la NUPES. Et gare aux députés qui ne sont pas solidaires face à l’ennemi.

Un petit jeu de duettistes dont seuls les naïfs peuvent être dupes de cette mauvaise blague.

Enfin, il est important de souligner le troisième élément qui a signé le désastre libanais : la destruction de l’appareil de production. Depuis qu’il était ministre de Hollande jusqu’à nos jours, soit une bonne dizaine d’années, Macron n’a eu de cesse de détruire notre appareil productif. Pour dire les choses simplement, il convenait de faire de la France un pays de services (Tourisme…) et dans le cadre de la mondialisation de l’économie, accepter d’être dépendant des autres pays dans de nombreux domaines.

On a vu le résultat de cette brillante politique à l’occasion de la crise du Covid. Un authentique naufrage pour le pays.

Ajoutons la soumission aux oukases de l’Allemagne et de l’Europe, comme par exemple sur le nucléaire ce qui se traduit par une crise terrible pour notre parc nucléaire qui se double d’une crise énergétique que les français payent chaque mois avec des factures d’électricité ahurissantes. Tout comme ils subissent la flambée des prix des carburants.

Enfin, Macron d’un côté jette l’argent par les fenêtres, pour l’écologie en Afrique du Sud, vis à vis des pays du Maghreb ou encore pour l’Ukraine.

De même qu’il impose au pays un coût pharaonique pour l’immigration. Des sommes colossales en dizaines et centaines de milliards d’€. En revanche, il engage une réforme des retraites pour un déficit à venir de 15 milliards d’€. Provoquant à cette occasion une crise majeure.

Macron est donc, avec sa politique économique, en train de détruire l’économie de notre pays et un appauvrissement considérable de la population.

Au final, nous voyons que tous les éléments, qui ont conduit le Liban à sa destruction, sont aujourd’hui réunis pour que notre pays suive le même chemin.

En affirmant cela, il ne s’agit pas d’effrayer inutilement les gens, mais de faire prendre conscience de la réalité de notre situation et de l’avenir de notre pays.

L’histoire du Liban nous annonce ce que sera notre destin si nous ne prenons pas conscience de la réalité. Il est grand temps de réagir, de nous mobiliser et de nous battre pour sauver notre société et notre pays. Dans seulement quelques années, il sera trop tard...

16:34 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 avril 2023

Incroyable fin de congrès : la CGT se tire une balle dans chaque pied...

Sophie Binet.jpg

Bernard Germain

Je l’écrivais hier, la lutte entre les deux candidates à la succession de Philippe Martinez serait serrée, très serrée. Et ce fut le cas au-delà de l’imaginable.

La réunion de l’instance chargée d’élire le futur secrétaire général, commença à 23H00. 8H00 plus tard aucun nom n’avait obtenu une majorité. Il ne restait plus qu’une heure avant la reprise du congrès en séance plénière.

C’est alors que se produisit l’impensable, un 3e candidat sortit subitement du chapeau et ô miracle recueillit une majorité. Sophie Binet venait, à la surprise générale, d’être élue nouveau secrétaire général de la CGT. 

Comment cela a-t-il été possible ? Comme d’habitude, par la bêtise des uns et des autres.

Marie Buisson, la candidate soutenue par Philippe Martinez était jugée trop féministe et trop écologiste. Pendant des heures de multiples tractations eurent lieu pour trouver une majorité. En vain.

Du côté de sa concurrente, Céline Verzeletti souhaitant maintenir une CGT beaucoup moins en rupture avec son passé, une majorité était possible. À une condition : il fallait s’entendre avec l’aile la plus dure de la CGT incarnée par Olivier Mateu, le bouillonnant secrétaire général de l’Union départementale des Bouches du Rhône (Marseille).

Incapables de trouver un accord, les deux ont rendu impossible la constitution d’une majorité.  Et comme c’est souvent le cas, c’est un troisième larron qui, à la dernière minute, est venu tirer les marrons du feu. En l’occurrence une «larronne».

Et pas n’importe laquelle.

Ceux qui redoutait une rupture avec la CGT «historique» vont être servis. La personne qu’ils ont placée à la tête de la CGT est une gauchiste wokiste, féministe et écologiste. Pour une rupture, cela va être une sacrée rupture.

Afin de mesurer l’ampleur du désastre qui s’annonce pour cette organisation, il suffit de regarder cette petite vidéo tournée juste après la proclamation du résultat de l’élection du secrétaire général.

Il est intéressant de noter que la grande majorité de la salle est sidérée. On dirait que les délégués sont sonnés en découvrant ce qu’ils viennent d’élire comme secrétaire général. Ils ne tapent pas dans les mains, ne reprennent pas la chansonnette et sont très nombreux à rester assis sur leur chaise l’air dans le vague. Image frappante qui en dit bien plus qu’un long commentaire. 

Afin de préciser le profil de l’heureuse élue, il faut indiquer qu’elle est très liée à la féministe Caroline de Haas. Pour ceux qui l’auraient oublié, Caroline de Haas s’était rendu célèbre au moment des 1500 viols de Cologne le soir du réveillon 2015 – 2016, en répondant à ce sujet : « Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est la même de Haas qui, à propos des femmes importunées par des migrants dans le 18e arrondissement de Paris avait répondu : « Il faut élargir les trottoirs ».

Sophie Binet est également connue pour être co-auteur d’un livre « Féministe, la CGT ? Les femmes, leur travail et l’action syndicale ».

Au sein de la CGT elle était, avant le congrès de Clermont-Ferrand, en charge du secteur « Égalité Femme-Homme » et secrétaire général de l’Union des ingénieurs, cadres et techniciens, (Ugict), le syndicat des cadres de la CGT, depuis 2018.

Ajoutons qu’elle est aussi connue pour ses prises de positions écologistes, proches de celles de l’extrême gauche.

Avant de devenir permanente syndicale elle occupait un emploi de conseillère principale d’éducation (CPE) dans un Lycée à Marseille puis au Blanc-Mesnil dans le 93.

Étudiante, elle fut une dirigeante de l’UNEF, syndicat gauchiste à son l’époque, avant qu’il ne devienne carrément islamo-gauchiste aujourd’hui.

Georges Séguy et Henri Krasuki doivent se retourner dans leur tombe.

Du côté du gouvernement, ce sont des mines d’enterrement. Le Premier ministre, Elisabeth Borne, l’a félicitée pour son élection (ce qui est classique) ajoutant comme d’habitude la stupide affirmation : « c’est une chance pour les femmes bla bla bla ». Interrogés en « off », des ministres ne cachent pas leur inquiétude pour les futures négociations avec la CGT. Ils vont d’ailleurs être vite fixés puisque la 1ère négociation est prévue mercredi prochain, avec notamment comme thème les retraites.

Quant à la CGT proprement dite, et son avenir, c’est un énorme point d’interrogation. Comment les syndicats traditionnels et les piliers du syndicat vont-ils réagir à cette nomination ? Quelle politique va-t-elle conduire au sein de la confédération CGT ? Comment va-t-elle s’y prendre, par exemple, pour aller parler aux dockers en cas de conflit majeurs ?

Seule certitude: en élisant Sophie Binet à sa tête, la CGT a ouvert une période qui pourrait aisément se transformer en une crise d’identité dont on sait qu’elle vient de commencer mais pas où elle se terminera. Les mois à venir seront certainement cruciaux pour la CGT, son identité et son avenir.

00:55 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 29 mars 2023

Le « programme commun » de Macron - Mélenchon: instaurer le chaos

macron-et-melenchon.jpg

Bernard Germain

Nous sommes confrontés à la peste et au choléra. La peste NUPES de Mélenchon et le choléra Macron se sont abattu sur notre pays. Les deux ont un programme commun: tout faire pour jeter notre pays dans un chaos total. Les faits de ces derniers jours en attestent sans contestation possible.

Tout d’abord à Sainte-Soline samedi dernier. Prenant prétexte des « bassines », des hordes d’« écologistes », d’antifas, et tout ce que l’extrême gauche compte de pire, se sont précipité sous prétexte de « lutter pour l’eau » venir « casser du flic ».

Faut-il rappeler que cette manifestation était interdite ? Dès lors, les manifestants savaient que les forces de l’ordre interviendraient.

Il faut s’appeler Mélenchon pour condamner « les violences policières » et déclarer « Sans la police, cette manifestation n’aurait été qu’une promenade dans les champs ».

Et le même Mélenchon de passer sous silence les camions de gendarmes brûlés à coups de cocktails Molotov, tout comme les 47 gendarmes blessés dont plusieurs très gravement, ainsi que les armes saisies par la police (haches, marteaux, boules de pétanque…) saisis sur les manifestants.

A ce discours irresponsable de Mélenchon, il convient d’ajouter une campagne délirante de la NUPES et de toute la « gauche », avec la complicité active de la presse bien pensante (Libération, Le Monde, …), dénonçant les « violences policières » allant même jusqu’à affirmer que le SAMU a été empêché par la police d’intervenir pour soigner les manifestants blessés à Sainte-Soline. Il se trouve qu’aujourd’hui le SAMU vient de produire un communiqué dénonçant ces affirmations mensongères.

Autre élément, aujourd’hui, lors de la 10e mobilisation nationale contre la réforme des retraites, des violences ont été constatées dans les principales villes où sévissent de nombreux antifas et blackblocks (Bordeaux, Rennes, Nantes, Lyon, Lille, Paris…).

Comme d’habitude, feux de poubelles, jets de pierres sur les forces de l’ordre, destructions de mobilier urbain, dégradations de commerces et même à certains moments agressions contre les cortèges syndicaux.

Toujours les mêmes antifas, constitués en blackblocks, à l’origine des dégâts, pour la plus grande satisfaction de Macron puisqu’il voit dans ces exactions un argument pour discréditer le mouvement en cours contre la retraite à 64 ans et effrayer une partie de la population.

À cette position irresponsable de Macron, se félicitant des désordres et violences, il ajoute une politique délibérée bloquant toute possibilité de trouver une sortie par le haut à la crise que traverse le pays.

Ainsi, pour toute réponse à la proposition de Laurent Berger - Secrétaire général de la CFDT - de mettre la réforme « en pause » et d’ouvrir un débat avec les syndicats via un médiateur. Macron a fait répondre qu’il n’en était pas question. Mais qu’il souhaitait un débat avec les syndicats sur plusieurs sujets différents de celui de la retraite.

Ce qui revient à leur dire : « considérez la réforme des retraites comme terminée, discutons d’autre chose ». Cette véritable provocation a bien sûr eu le succès qu’elle mérite. 

Sur ce plan, Jean-Paul Mattei, Président du groupe Modem, vient d’apprendre à ses dépends qu’il ne faut pas être « responsable et ouvert ». Ainsi, ce jour à midi, interviewé à l’Assemblée nationale, il s’est déclaré favorable à la proposition de Laurent Berger. Mise en pause et ouverture dune négociation.

À 14H30, interrogé à nouveau par une télévision, il a déclaré exactement l’inverse. Affirmant : « oui au dialogue mais sans suspension de la réforme » c’est à dire la position de Macron.

Entre les deux, il a dû se faire sévèrement recadrer.

En adoptant cette position totalement crispée, Macron confirme qu’il agit comme un psycho-rigide.

Peu lui importe que le pays soit à 80% contre lui et au bord de l’explosion sociale à cause de l’empilement des problèmes (inflation, salaires, explosion du coût de l’énergie et des carburant...).

Normalement, en cas de crise majeure entre le pouvoir et les syndicats, il serait logique de mettre en œuvre ce que prévoit la Constitution et ainsi permettre au peuple de trancher, avec un référendum.

Mais lui est un « sachant » persuadé de détenir LA vérité et donc il entend l’imposer à tout le pays. Il refuse donc tout référendum afin de trancher le débat.

Dans un avenir proche, le Conseil constitutionnel donnera sa réponse vers le15 au 20 avril, soit dans environ 3 semaines puisqu’il a été saisi de la Loi sur les retraites.

Si le texte de Loi est validé, le Président aura 15 jours pour la promulguer.

D’ici là, Macron fait un « bras d’honneur » à tout dialogue et joue le pourrissement et l’essoufflement du mouvement, tout en comptant sur les violences des antifas pour l’aider à discréditer le mouvement.

C’est d’ailleurs pour cela que Macron ne fait rien pour impuissanter les hordes violentes antifas.

Invoquant comme argument « On ne peut pas les arrêter de manière préventive », Il faut qu’ils commettent un délit. Pourtant, la police l’a fait pour les patriotes le soir du match France Maroc, mettant en garde à vue « préventive » les patriotes qui souhaitaient manifester, dans les rues, leur joie de la victoire.

Ajoutons qu’il serait parfaitement possible d’obliger les antifas, que la police connaît parfaitement, à pointer durant les heures des manifestations afin de les empêcher de participer à ces manifestations et d’y commettre des dégâts.

Le refus de Macron de le faire prouve sans équivoque que les antifas lui rendent service. 

Au final, on constate que Macron – Mélenchon forment un couple totalement complice qui œuvre à instaurer en France un chaos complet.

Avec leur numéro de duettistes, chacun sur son créneau, ils réalisent ensemble un travail de sape visant en définitive à la destruction de notre pays.

Leurs désaccords apparents ne peuvent trompés que les naïfs. En vérité, ces deux-là ne sont que les deux faces d’une même pièce.

Pour sa part, l’intersyndicale annonce une nouvelle mobilisation nationale jeudi 6 avril. Et même si aujourd’hui les chiffres de participants ont un peu baissé, ils restent à un niveau très élevé.

Le 6 avril, la mobilisation sera certainement encore massive. L’affaire est loin d’être terminée. Macron n’a pas encore gagné.

19:51 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 mars 2023

L’école : … la fabrique des abrutis.

Ane-lecture.jpg

Bernard Germain

Peut-être cette information vous a-t-elle échappé mais elle vaut pourtant son pesant de cacahuètes. Elle concerne l’apprentissage de la lecture par les enfants. 

Le 23 février 2023, Louis Maurin, le responsable de « l'Observatoire des inégalités », regrette, dans une tribune que « près de la moitié des parents diplômés de l’enseignement supérieur apprennent à lire à leurs enfants avant le primaire ». Il en conclut que cela accentuerait les inégalités sociales.

En effet, lorsque les enfants débutent l’école certains ont déjà des connaissances et un vocabulaire que les autres n’ont pas. C’est donc, pour lui, injuste et ne permet pas l’égalité entre les enfants.

Dans un esprit égalitaire, on pourrait imaginer qu’il conviendrait de retirer tous les enfants à leur famille et les confier à l’État qui serait garant de leur assurer les mêmes conditions de départ, gage de leur égalité au moment de démarrer l’école.

Vous l’aurez compris cette solution n’a heureusement aucune chance de voir le jour.

Plus sérieusement, un esprit logique et voulant « lutter contre les inégalités sociales » déduirait de l’affirmation de Louis Maurin qu’il faut trouver des moyens pour aider les enfants des milieux les moins favorisés à acquérir les connaissances et le vocabulaire qui leur manquent, avant d’aller à l’école.

Or, curieusement, Louis Maurin rejette cette solution car cela demanderait « des moyens considérables, pour des effets incertains ».

Mais alors … comment faire ? 

La solution de Louis Maurin est stupéfiante.

Tenez-vous bien. Pour lui la solution consiste à « repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ».

Pour Louis Maurin, la solution est donc de… retarder tous les élèves pour l’apprentissage de la lecture. Cette mesure serait égalitaire.

En fait, cette solution c’est l’instauration de la médiocrité et de l’ignorance pour tous.

Je suis sûr que certains lecteurs penseront que ce que je viens d’écrire est une mauvaise blague.

Mais non, c’est la stricte vérité et la triste réalité de notre école livrée à des pédagogistes fous qui la détruisent depuis des décennies et «forment» des élèves dont le niveau ne cesse de s’effondrer.

Lire la suite

12:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 24 mars 2023

Quelques leçons essentielles après les manifestations de jeudi

Feu-23mars2023.jpg

Bernard Germain

Il y avait du monde, beaucoup de monde dans les rues ce jeudi 23 mars, à l’appel de l’intersyndicale, pour protester contre la réforme des retraites voulue par Macron. Leur objet se résumait en un mot d’ordre : « Non aux 64 ans ».

Évidemment, pour un salarié faisant un travail pénible, deux ans de plus c’est insupportable. Et on ne peut que comprendre la colère de ceux qui sont concernés.

Mais les autres ? Pourquoi manifestent-ils ?

Selon moi, parce que cette réforme des retraites est « la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». Effectivement, il faut être fou comme Macron -qui vit dans un monde parallèle-  pour vouloir imposer cette réforme au moment où la population vit une période terrible avec inflation, explosion du coût de l’énergie, envolée du prix des carburants… Dans ce contexte, il faut dire qu’en plus Macron a tout fait pour mettre le feu aux poudres.

Absence de débat en première lecture à l’Assemblée Nationale, grandement facilitée par les près de 20.000 amendements de la NUPES qui ont donné le prétexte au pouvoir de court-circuiter la chambre.

Vote bloqué au Sénat par invocation de l’article 44 et approbation de la Loi. Vote majoritaire de la Loi en commission mixte, dont le résultat était connu d’avance vu sa composition. Enfin, activation du 49-3 en seconde lecture à l’Assemblée Nationale, bloquant tout débat et vote sur le texte. La question devenant : faire tomber ou pas le gouvernement (motion de censure).

Le gouvernement Borne a été sauvé (à 9 voix près) par LR … qui à cette occasion a signé son arrêt de mort.

Au final, une procédure législative qui est une véritable escroquerie démocratique, provoquant à juste titre la colère de la population dont près de 80 % est contre la réforme.

Ajoutons que l’intervention du Président mercredi 22 mars à 13H00 n’a fait que jeter de l’huile sur le feu, déjà conséquent, tant elle était provocatrice et hors sol.

On notera au passage un petit fait bien révélateur.

Des internautes ont relevé qu’au début de l’entretien, Macron portait une montre de grande marque. Les connaisseurs disent qu’elle vaut 80.000€.

Durant cet interview, on voit Macron mettre les mains sous la table et lorsqu’il les ressort, il n’a plus de montre.

C’est vrai que ça la fout mal quand on demande au peuple de se serrer la ceinture, d’avoir une montre d’une telle valeur au poignet.

Bref, tout cela explique pourquoi tant de gens étaient présents à cette manifestation, tant est caricatural et provocateur le déroulé de ces évènements.

Reste qu’on ne peut manquer de rappeler que pour la plupart, ces manifestants ont voté pour Macron il y a moins d’un an, alors qu’il avait en toutes lettres les 65 ans dans son programme électoral.

A l’époque, ceux qui ont mis un bulletin Macron dans l’urne, l’ont fait principalement pour « faire barrage au fascisme qui menace la France ».

Lire la suite

15:45 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 20 mars 2023

49-3 … à 9 voix près !

1200x680_maxnewsfrfive050273.jpeg

Bernard Germain 

À 9 voix près la motion de censure de LIOT (groupe de députés « indépendants ») a été rejetée. Il fallait 287 voix aux opposants. Ils en ont obtenu 278. Le gouvernement n’est donc pas « censuré » et la Loi sur la retraite du gouvernement est automatiquement adoptée de ce fait.

Le gouvernement a donc gagné.

Mais c’est une victoire à la Pyrrhus. C’est à dire une défaite maquillée en victoire.  Les masques sont tombés. Et à l’évidence une page s’est tournée à cette occasion. Le gouvernement Borne-Macron est plus que jamais isolé. 80 % de la population est contre la Loi retraite.

L’Assemblée nationale n’a pas pu discuter du texte en première lecture. Le sénat a vu ses débats amputés par un vote bloqué imposé par le gouvernement. Un accord a été trouvé en « commission mixte » mais ce n’était que de la poudre aux yeux.

En seconde lecture, l’assemblée nationale n’a pas pu discuter ni voter, car le gouvernement a engagé sa responsabilité et la situation est devenue : soit le gouvernement tombe soit son texte est adopté sans vote.  On remarquera au passage que cette utilisation de l’article 49-3 est une perversion de l’esprit et de la lettre du texte de 1958.

En effet, cet article était initialement prévu pour contraindre la majorité à céder devant le pouvoir en cas de désaccord. Là nous assistons à une utilisation pour imposer à l’opposition de se taire face aux projets du pouvoir. C’est donc le contraire de ce qu’avait prévu les rédacteurs de la constitution de 1958  Quant aux responsables de ce sauvetage gouvernemental c’est limpide: ce sont les LR.

Aujourd’hui, 20 mars 2023, LR a signé son arrêt de mort.

Ils ont sauvé le gouvernement et Macron… ils ne s’en relèveront pas ! LR a chanté pendant des semaines et des mois la petite chanson…  « nous sommes l’opposition à Macron, nous sommes la vraie droite ».

Déjà, suite à l’élection présidentielle, la moitié de LR a quitté ce parti pour rejoindre Macron. Eric Ciotti a essayé de maintenir LR en disant qu’il assumait d’être l’opposition à Macron. On voit aujourd’hui ce qu’il faut en penser.

Pour faire bonne mesure, LR annonce une réunion de son instance dirigeante demain matin afin de sanctionner ceux qui ont voté la motion de censure. Des têtes vont donc tomber. Il est désormais incontestable que LR n’a rien à voir avec une opposition à Macron.

Ce 23 mars, les masques sont tombés et LR en est mort, se montrant ouvertement comme le sauveur de Macron. Dans les prochaines élections, seuls les imbéciles mettront encore un bulletin de vote en pensant s’opposer à Macron. Reste que cette mort de LR est une bonne chose. À toute chose malheur est bon. Maintenant c’est indiscutable, il y a Macron et la gauche (en fait l’extrême-gauche) d’un côté.

De l’autre, il y a les « patriotes » et les « nationaux ». Le paysage politique s’éclaircit. Que va-t-il se passer maintenant ? Personne ne le sait.

Tous les opposants à la Loi sur les retraites de Macron sont fous furieux. Des manifestations spontanées ont déjà lieu. Peut-être assistons-nous au début d’un mouvement social de grande ampleur.

Souvenons-nous que Villepin en 2006 avait voulu le CPE. Une énorme mobilisation n’avait pas empêché la Loi d’être votée. Pourtant la Loi ne fut jamais appliquée alors qu’elle avait même été promulguée. Ce sera peut-être une répétition de ce scénario avec la Loi sur les retraites. 

Autre possibilité, le conseil constitutionnel peut aussi retoquer le texte. Le conseil sera saisi demain, notamment par le RN mais aussi par d’autres partis. Toujours est-il que le Premier ministre est en grande difficulté, tout comme le Président.  S’il en fallait une preuve, le texte sur l’immigration vient d’être renvoyé aux calendes grecques.

Reste que le Président Macron, son gouvernement et sa « majorité » ne tiennent plus qu’à un fil. La dissolution de l’assemblée nationale n’est peut-être plus loin. S’il dissout, le Président prendra le risque de se retrouver avec une majorité contre lui. Il n’aurait alors comme solution qu’une cohabitation ou … sa démission et son départ.

Les prochains jours seront décisifs.

21:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour, élu député, aurait-il voté les 64 ans ?

Le-polemiste-francais-d-extreme-droite-Eric-Zemmour-lors-d-un-discours-a-Paris-le-4-decembre-2022-1543864.jpeg

Bernard Germain, administrateur à la Sécurité Sociale pendant près de 20 ans dont 10 ans comme Vice-Président d’une caisse primaire. 

Éric Zemmour est en ce moment victime d’un harcèlement des journalistes qui ne cessent de lui demander s’il aurait voté ou pas la réforme sur les 64 ans.

Personnellement, je pense qu’il n’aurait pas voté cette Loi. Voilà pourquoi.

Pris en soi, il est évident que pour un salarié - spécialement s’il fait un travail pénible - deux ans de plus en fin de carrière, à l’âge où on est le plus fatigué, ce n’est pas rien. Et sur ce plan on comprend et on approuve aisément que la population, à 80 %, soit vent debout contre cette décision qu’elle trouve injuste et qui ne fait qu’aggraver les conditions de vie des seniors.

Notons toutefois que la question ne se résume pas au seul problème de l’âge de départ.

Loin s’en faut. Alors reprenons les différents éléments du problème.

Le premier argument invoqué pour justifier la réforme est le déficit du système (autour de 15 milliards)… dans quelques années.

Il faut savoir que le régime des retraites « coûte » 331,6 milliards d’€ par an (en 2020) selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Soit 40,8 % du total des prestations sociales versées en 2020, ce qui représente 14,4 % du PIB (Produit Intérieur Brut) c’est à dire l’ensemble des richesses produites en une année par le pays.

15 milliards par rapport à presque 332 milliards, ce n’est pas grand-chose. En tout cas, il n’y a pas de quoi ruiner ni tuer le système.

Par comparaison, on rappellera au lecteur que l’immigration coûte 40 milliards PAR AN (690€ par jour pour un migrant) en France et là personne ne tombe en syncope.

Ajoutons, selon Charles Prats (Cour des Comptes), que la fraude sociale représente entre 40 et 50 milliards PAR AN en France, avec notamment plus de 2 millions de fausses cartes vitales en circulation et de nombreuses retraites payées à des plus que centenaires habitant dans le Maghreb et en Afrique. Là non plus personne ne tombe en syncope.

Lire la suite

16:06 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 18 mars 2023

Migrants : les bobos de la ville font la leçon aux habitants de Bélâbre

Valeurs Actuelles a réalisé un reportage à Bélâbre (36) où le maire à migrants, Laurent Laroche, veut à tout prix installer un CADA. Le plus remarquable, c’est qu’il n’y a nullement été obligé par le préfet, comme de nombreux autres maires en France. Non, non lui a tout devancé. Sans en parler à personne et surtout sans demander l’avis de sa population.

Ce maire est un enragé de l’immigration et n’a que faire de l’opposition des ses administrés.

C’est tout l’intérêt de ce reportage vidéo de Valeurs Actuelles qui est allé interroger les habitants et ce qu’ils disent mérite d’être connu.

Le gérant de l’épicerie : « On ne sait rien des personnes qui vont arriver et surtout ce qu’elles vont faire de leurs journées, car à Bélâbre, il n’y a rien à faire. On aurait dû me concerter car je suis juste à côté du Cada ». (…)

« À Argenton-sur-Creuse (où il y a un CADA), le président de l’union des commerçants en est venu à demander à la mairie des caméras de surveillance tellement ça se passe mal depuis plusieurs mois, alors qu’on essaye de nous faire croire le contraire. »

Une vieille dame : « Je suis venue il y a plusieurs années parce que c’était un petit village sympathique, il y a tout ce qu’il faut. Maintenant je déchante ».

Un habitant : « J’ai quitté Paris pour fuir tous ces migrants, il y a 20 ans, pour venir à Bélâbre vivre tranquillement. Mes enfants ont été agressés par ce genre de personnes. Donc j’ai quitté la capitale. »

Le journaliste lui dit, « vous avez fui l’immigration et aujourd’hui c’est l’immigration qui vous rattrape. »

L’habitant répond : « Oui, c’est vrai. Ce que je cherche à 66 ans, c’est la tranquillité ».

Plusieurs interviewés parlent de quitter Bélâbre si le CADA s’installe.

Mais déjà l’effet catastrophique de l’installation du CADA est visible. Il faut vendre sa maison pour partir et un habitant qui a déjà sa maison en vente dans une agence confirme qu’il a été obligé de baisser son prix.

Un autre habitant interviewé : « Le prix de ma maison avait été estimé il y a quelque temps. Aujourd’hui, l’estimation a été baissée de 20 000 € ».

Que du bonheur l’arrivée de ce CADA. C’est indiscutable.

La friche industrielle qui abritera le CADA a été vendue pour 40 000 € à Viltaïs. Il faudra dépenser 1,2 millions d‘€ pour y créer les appartements qui serviront à accueillir les 40 immigrés.

Il est question d’y construire des chambres de 9 m² pour recevoir les migrants.

À noter qu’il n’y a aucun terrain disponible avec cette future structure donc les migrants auront comme choix de rester dans leur chambre ou de « zoner » sur la place du village. Ce qui fait craindre des problèmes d’insécurité à la population, comme constaté dans moult endroits.

Au café du village, un consommateur est interviewé : « J’ai habité pendant 10 ans en région parisienne. J’habitais dans les cités. Moi j’ai fui ça. J’ai pas envie que ça vienne ici. »

Le maire de St-Gilles (commune proche) est interviewé à l’occasion de son passage à Bélâbre : « Je suis contre ce projet de CADA. Normalement si on installe un centre comme celui-là, c’est parce qu’il y a un bassin d’emploi, des transports, bref là où les gens peuvent faire quelque chose. Mais surtout pas dans le ruralité. Là il font ça pour désengorger Paris afin que ça se passe bien pendant les jeux olympiques.

J’ai essayé d’aborder ce problème de maire à maire. Mais ces gens sont repliés sur eux-mêmes, ne parlent qu’avec ceux qui partagent leur avis.

La démocratie, pour ces gens-là, c’est bien quand ça va dans leur sens ».

1200x680_sc_manifestants.jpeg

Samedi 11 mars, à 11H00, à Bélâbre c’est jour de manifestation contre le projet du maire.

Une contre-manifestation est également là.

Des gens à l’évidence très remontés, dont bien peu sont de Bélâbre. Tous sont des bien-pensants dénonçant la manifestation avec les habituels arguments : « la France doit être un terre d’accueil », « vous serez peut-être un jour des réfugiés », « il faut protéger les réfugiés », etc.

Accompagnés des habituelles insultes à l’adresse de la population qui refuse : « racistes, fascistes ».

Chose stupéfiante, le préfet n’a pas jugé utile de déployer les forces de gendarmerie pour séparer la manifestation et la contre-manifestation. Il n’y a que quelques gendarmes, même pas casqués.

Mais le préfet est pour le CADA, donc il le montre clairement en n’empêchant pas les contre-manifestants de venir au contact avec les manifestants.

Ce faisant il prend le risque d’affrontements entre les deux camps et n’assume pas l’une de ses missions qui est de garantir le maintien de l’ordre public et surtout de garantir aux manifestants leur droit de manifester sans être menacés.

Honte à ce préfet !

Lorsque la manifestation commence, les intervenants sont obligés de parler sans sonorisation.

Un contre-manifestant, visiblement attaché à la liberté d’expression, a coupé le fil électrique de la sono.

Et pour finir ce travail « anti-démocratique », les contre-manifestants, que le préfet a laissé venir presque au contact, font autant de bruit que possible pour empêcher ceux qui dénoncent le CADA de se faire entendre.

Peut-on montrer plus clairement ce qu’est la démocratie pour ces bien-pensants qui soutiennent l’arrivée de migrants ?

Si un jour ils arrivent au pouvoir, quiconque n’aura pas leurs idées sera impitoyablement soumis au silence, ainsi que les organes de presse jugés « incorrects ».

La démocratie ils ne la supportent que si les gens disent ce qu’ils veulent entendre sinon, ils imposent le silence y compris et surtout par la violence.

Ces pauvres gens ne se rendent même pas compte que les vrais fascistes… ce sont eux !

Ils n’ont aucun respect pour une opinion qui n’est pas la leur, et ne sont nullement gênés d’utiliser les méthodes des régimes autoritaires pour bâillonner leurs opposants.

Mais surtout, surtout… combien de ces gens bien-pensants vivent au contact de ce qu’ils souhaitent voir s’installer chez les autres. Combien habitent dans des cités HLM au contact d’une majorité d’immigrés ? Combien habitent à côté d’un CADA ? AUCUN.

Un conseiller régional, anti CADA est présent à la manifestation. Il est aussi interviewé et ses propos sont on ne peut plus clairs.

Il dénonce l’échec complet des politiques gouvernementales successives dont le résultat est la situation catastrophique dans laquelle se trouve aujourd’hui la ruralité, comme ils disent.

Il indique que pour s’en sortir, il faut réindustrialiser les campagnes avec de petites unités de production couplées à une véritable politique de la natalité aidant spécialement les habitants des campagnes.

À l’inverse, le gouvernement – soutenu par la politique de l’Europe – entend solutionner le problème en imposant l’arrivée de populations venues de l’autre bout de la terre, ce qui créera immanquablement de multiples problèmes. Tout en provoquant la colère des habitants.

Pour preuve de la réalité de ces politiques alternatives, le maire s’est vu proposer par un entrepreneur un projet d’implantation d’une activité qui créera 20 à 25 emplois à Bélâbre. En lieu et place du CADA.

La décision doit être prise lundi 20 mars, lors d’un conseil municipal extraordinaire.

Que choisira ce maire immigrationniste ?

Le projet de cet entrepreneur avec 20 à 25 emplois à la clé, ce qui redynamisera à l’évidence ce petit village, ou l’installation d’un CADA qui n’apportera que des problèmes ?

Triomphe du bon sens ou de l’idéologie ?

Réponse lundi 20 mars …

Bernard Germain

Porte-parole de la

Coordination Partout Callac cliquez ici

09:12 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 mars 2023

Callac : Viltaïs traite comme du bétail dix Soudanais imposés à la population

viltais.jpgBernard Germain 

Le 11 janvier 2023, suite à notre action contre le projet Horizon (notamment grâce à l’association « Les Amis de Callac et ses environs »), le maire annonçait l’abandon du projet Horizon qui prévoyait l’arrivée de 70 familles immigrées, dans ce bourg de 2200 habitants.

Dans notre communiqué annonçant notre victoire nous écrivions :

« Pour l’instant, Callac est sauvé. A moins que le Préfet ne s’entête et veuille imposer avec Viltaïs ce qui a été évité avec la fondation MERCI et son projet horizon.

Le plus sage serait que le Préfet en reste là et que Callac retrouve son calme.

Mais s’il entend continuer, nous reprendrons la mobilisation et il nous trouvera sur sa route.

L’avenir nous dira rapidement à quoi nous en tenir... »

Malheureusement nos paroles n’ont pas été entendues par le préfet, et l’association Viltaïs continue à agir à Callac pour l’arrivée de migrants avec la complicité de la municipalité.

Certes, ces arrivées sont très réduites mais elles méritent toute notre attention.

En début de semaine, une famille soudanaise est arrivée à Callac, amenée par Viltaïs.

Cette famille est composée d’un couple et de 8 enfants, soit 10 personnes.

La femme est enceinte et le mari semble être malade. Ils ne parlent pas français.

Ce qui est incroyable, c’est les conditions d’installation que Viltaïs a réservées à cette famille.

Des matelas à même le sol du logement, un peu d’argent … et c’est tout.

Danielle Le Men, présidente de l’association des Amis de Callac dénonce : 

« Viltaïs propose l’asile à des migrants mais n’est même pas capable d’accueillir ces réfugiés dans des conditions décentes. Actuellement, ils sont traités comme du bétail. » 

Faut-il rappeler que Viltaïs a touché 2,5 millions d’€ au titre de 2022, payés en 2023, pour financer son action à Callac ?

Cet argent reçu par Viltaïs, ce sont des subventions, c’est à dire nos impôts !

Ils prétendent faire de l’humanitaire, mais en fait se comportent comme des négriers.

On croit rêver, 2,5 millions de subvention pour fournir quelques matelas à même le sol et un peu d’argent liquide. Ces gens n’ont aucune honte.

Je rappelle mon article, publié par Riposte Laïque « Le « business » pourri des associations à migrants » publié le 16 février 2023, dans lequel je dénonçais notamment l’association Viltaïs qui d’ailleurs a été épinglée par un rapport de la Cour des Comptes de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa gestion très « limite ».

Callac vient de nous en fournir un nouvel exemple consternant.

La situation est tellement honteuse et scandaleuse que la mairie de Callac, très gênée par cette situation alors qu’elle soutient l’arrivée de migrants avec Viltaïs, a mandaté le Secours Populaire local pour intervenir et venir en aide à cette famille totalement abandonnée.

Mais là aussi, le Secours Populaire ne peut vivre et agir que grâce aux subventions perçues, notamment dans le cas d’espèce grâce aux versements de la Mairie de Callac donc avec l’argent des callacois.

Au final, aucun callacois n’a demandé de faire venir ces pauvres gens. Ils ont même clairement dit qu’ils étaient contre cette immigration qui leur est imposée.

Pourtant les pro-immigration, notamment parmi les élus municipaux, continuent d’en faire venir via Viltaïs, malgré le rejet du projet Horizon.

Que va-t-il falloir pour que les élus du conseil municipal de Callac comprennent que les callacois ne veulent pas de ces arrivées d’immigrés ? Que ce soit avec Horizon ou Viltaïs.

Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que Viltaïs est une association qui « fait de l’argent » grâce aux migrants mais les traite comme du bétail 

Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que depuis les passeurs jusqu’aux associations de terrain telle Viltaïs, il y a toute une chaîne d’intervenants pour lesquels l’immigration n’est qu’un business comme les autres dont l’objet est simplement de gagner de l’argent sur la misère du monde, tout en prétendant défendre de grands principes généreux ?

Dans le réel, on est très loin des sentiments « généreux » invoqués pour nous faire la morale et culpabiliser et dénoncer comme « fasciste » ou « extrême-droite » quiconque ose s’élever contre cette politique immigrationniste qui va indiscutablement aboutir à détruire la France, sa culture et son identité en la noyant dans une population de plus en plus nombreuse mais qui malheureusement n’a, pour l’essentiel, nullement l’intention de s’assimiler et de vivre en bonne intelligence avec les populations locales.

Ce triste exemple, qui vient de se produire à Callac, ne fait que nous rappeler que tous les bien pensants sont totalement prisonniers de leur idéologie immigrationniste et n’arrivent même pas à tirer les leçons des évènements qu’ils ont pourtant sous les yeux.

A l’inverse, ces évènements sont pour nous la confirmation de la justesse de notre combat.

23:26 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 mars 2023

Le Président tunisien… ma nouvelle idole, comme le ministre de l’Intérieur anglais.

Kais.jpg

Le président tunisien Kais Saied

Bernard Germain 

Les bien-pensants et autres immigrationnistes sont fous-furieux !

Vous vous rendez compte… face à l’invasion migratoire venue d’Afrique sub-saharienne qui frappe la Tunisie, le Président tunisien Kais Saied a osé déclarer : « Ils veulent changer la composition de la démographie tunisienne. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité tunisienne. »

Changez juste un mot dans cette déclaration et elle devient : « Ils veulent changer la composition de la démographie française. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité française ».

Vous, je ne sais pas, mais moi je trouve qu’il a plein de bon sens ce Président Tunisien.

D’ailleurs, cela me rappelle une blague de Coluche (qui serait certainement en taule s’il disait cela aujourd’hui) :

« Vous savez, quand on dit :

  • « Le Mali aux Maliens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « Le Sénégal aux Sénégalais »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La Tunisie aux Tunisiens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La France aux Français »… tout le monde dit FACHOS ! »

Mais le Président tunisien ne s’arrête pas en si bon chemin. Il ajoute :

Cette immigration clandestine relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie», afin de la transformer en un pays « africain seulement ».

Là encore, changez deux mots et tout devient clair :

Cette immigration clandestine relève d’une « entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la France », afin de la transformer en un pays « européen seulement ». Limpide… non ?

Et il complète son propos en déclarant : « Ceux qui sont à l’origine de ce phénomène font de la traite d’êtres humains tout en prétendant défendre les droits humains ».

Quant aux pays africains d’où sont originaires ces migrants, le Président tunisien affirme : « ils reçoivent de l'argent pour implanter des Africains en Tunisie ». En l’occurrence, c’est l’ONU.

Nous c’est l’Europe, qui verse des millions d’Euros aux États et à toutes les organisations pro-immigrations pour amener des millions de migrants en Europe « tout en prétendant défendre les droits humains ».

On comprend aisément la fureur des immigrationnistes face à ces déclarations du Président tunisien, qui défend son pays, ses frontières, sa culture, et son identité.

Mais surtout ces déclarations du Président tunisien flanque par terre tout le discours culpabilisant dispensé par les bien-pensants qui ne cessent de dire aux français contre l’immigration qu’ils sont des salauds. Et les mêmes de dire « il faut les accueillir, il fuient la guerre », « il faut être ouverts et solidaires », « Ce sont des chances pour la France »… et autres balivernes.

Avec ses déclarations, le Président tunisien a jeté un sacré pavé dans la mare !

Mais le plus fort est à venir.

Ce Président ne se contente pas de faire des déclarations fort pertinentes. Il joint les actes à ses paroles. Et lui n’y va pas par quatre chemins… il met en œuvre la remigration. Oui, vous avez bien lu… la REMIGRATION !

En France et en Europe, on nous explique en permanence qu’il est impossible de renvoyer tous ces migrants qui s’imposent sur nos territoires.

Darmanin, par exemple, nous dit qu’il est impossible d’obtenir les fameux « laissez-passer consulaires » et que donc ont ne peut pas les expulser. C’est curieux, mais le Président tunisien n’a aucun problème de ce type. Il annonce qu’il ne veut pas de tous ces migrants et… oh miracle, les États dont ils sont issus rapatrient leurs ressortissants.

Suite aux propos très fermes du président tunisien, les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso rapatrient leurs ressortissants. Donc, c’est possible… alors quand est-ce qu’on fait la même chose M. Darmanin ?

Quant au porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli, il prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés.

Moi je les trouve épatants ces tunisiens. Ce Président tunisien… c’est ma nouvelle idole !

Suella.jpg

Mme Suella Braverman, ministre de l'Intérieur britanique

En Europe, j’ai aussi une idole.

Pour la trouver, il suffit de traverser la Manche. Oui, elle est en Angleterre et n’est autre que le ministre de l’Intérieur anglais. Mme Suella Braverman qui a déclaré : « Il est injuste que des gens qui ont traversé toute une série de pays sûrs, puis sont arrivés illégalement au Royaume-Uni, abusent de notre système d’asile. Cela doit cesser ».

Elle a donc présenté mardi 7 mars, un projet de Loi au parlement allant dans ce sens.

L’objectif du gouvernement britannique est d’empêcher les migrants qui ont traversé la Manche illégalement d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. Ils ne pourront donc plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche. Quant à leur expulsion, elle se fera vers un pays « sûr » ou vers le Rwanda, avec lequel la Grande-Bretagne a déjà passé une convention pour accueillir les expulsés

Dites-moi… on ne pourrait pas faire la même chose en France ?

Voter une Loi interdisant de déposer un dossier de « réfugié » si on est entré illégalement. Et se voir expulsé ipso facto vers son pays d’origine ou un pays « sûr ».

Mais là, si on veut prendre ces mesures, on tombe sur un problème sérieux… notre appartenance à l’Europe qui impose à ses membres des textes les empêchant de prendre ce type de décisions, ce qui leur retire de facto toute indépendance nationale.

L’Angleterre peut voter ce type de Loi, car elle a voulu retrouver son indépendance nationale. Pour ce faire elle est sortie de l’Europe en décidant le Brexit. Et depuis, elle décide de son propre destin et vote les Lois qu’elle décide.

Si on ne peut sortir du carcan des textes européens qui nous imposent notamment de subir cette invasion migratoire il faudra, comme les anglais, sortir de l’Europe.

Et qu’on ne me dise pas que ce serait la faillite et la ruine pour la France si nous sortions de l’Europe. On a entendu pendant des mois et des années cette petite musique s’agissant de l’Angleterre.

Aux dernières nouvelles, ce pays se porte bien et la City est même restée la principale place financière en Europe.

Alors, à d’autres cet argument… !

Reste que, pour le moment, j’ai trouvé deux nouvelles idoles : le Président tunisien et le ministre de l’intérieur anglais.

16:10 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 24 février 2023

A la veille de la manif de Saint-Brévin : CRÉATION DE LA COORDINATION NATIONALE "PARTOUT CALLAC"

Logo-Callac1.jpeg

Bernard Germain

Porte-parole de la Coordination "Partout Callac"

La Coordination "Partout Callac" est là pour vous aider ... !

Voilà ce qu'a déclaré Macron devant les préfets réunis à l'Elysée le 15 septembre 2022.


La "transition démographique", c'est à dire l'arrivée massise d'immigrés dans les campagnes doit faire l'objet d'une Loi discutée et votée au parlement au printemps 2023. Sans attendre cette Loi, Macron a donné ordre à ses préfets de commencer à placer des migrants dans les campagnes en s'appuyant sur des associattions gavées de suventions (...nos impôts) pour "accompagner" les migrants. Ce projet n'était nullement dans le programme du candidat Macron. Comment peut-il décider d'un pareil projet qui aura autant de conséquences pour les français sans les consulter par voix de référendum ?

Cela montre tout le mépris qu'il a pour le peuple français qui va devoir subir les conséquences de tout cela mais n'a pas son mot à dire. Cela souligne aussi le peu de cas que Macron fait des élus de la république, qui sont ouvertement contournés avant même qu'ils n'aient pu discuter et voter la Loi.

Des milliers de maire vont être confrontés à l'arrivée de ces migrants dans leurs communes. Certains seront collaborationnistes. D'autres seront opposés. Reste que de nombreux problèmes vont se poser partout en France.

Par exemple, comment vont faire les enseignants pour faire la classe avec 10, 15 ou 20 gamins ne parlant pas français ? Ils devoir choisir entre s'occuper de ces enfants et délaisser les autres ou s'occuper des enfants "français" et laisser dans leur coin les enfants des migrants. Mais ce qui est sûr, c'est que le niveau scolaire va s'effondrer. Autre exemple, comment vont réagir les français de tous ces petits villages face aux revendications communautaristes qui ne manqueront pas de s'exprimer rapidement ? Demandes de magasins Hallal, de mosquées, d'écoles coraniques, ou encore port du voile dans les rues... etc. Autant de problèmes qui pourraient se révélés explosifs.

Et puis, il y a le problème de l'insécurité. Tous les immigrés ne sont pas des délinquants, mais il s'en trouve parmi eux. Le ministre de l'intérieur lui-même a confirmé qu'il existait un lien entre délinquance et immigration. A Beyssenac (957 habitants) ou doit être installé un CADA (Centre d'Accueil pour Demandeur d'Asile) une habitante, exprimant le sentiment général a déclaré : "on ne va plus pouvoir laisser la porte ouverte".

Sans parler de ce qui scandalise le plus les Français... pourquoi y a-t-il autant d'argent pour les immigrés alors qu'il n'y a pas un sous pour aider les français en difficulté. Rappelons qu'il y a 10 millions de français pauvres. Le bon sens c'est de dire : il faut d'abord aider les français. Quand on aura supprimé la misère en France il sera toujours temps d'aider le reste du monde. Sauf qu'aujourd'hui c'est le contraire que fait le gouvernement. Il y a des milliards pour les immigrés, quant aux Français... ils peuvent crever, cela lui est égal.

De nombreux villages français sont aujourd'hui confrontés à tous ces problèmes avec l'arrivée prochaine de migrants. Nombreux sont les habitants à refuser de se voir imposer cela sans réagir. Ils souhaitent s'opposer à ces projets immigrationnistes mais souvent ne savent pas trop comment s'y prendre.

C'est pour cela que nous avons pris l'initiative de créer la Coordination "Partout Callac" et ce site afin de les aider à s'organiser et leur faire profiter de notre expérience acquise à l'occasion de notre combat victorieux à Callac.

Vous souhaitez de l'aide et un soutien pour le combat contre l'arrivée de migrants dans votre village ? ...alors ne restez pas seuls dans votre coin, envoyez-nous un mail (rubrique "Contact" du menu). Nous vous répondrons rapidement et vous aiderons à vous organiser et à mener le combat. Vous pouvez compter sur nous.

Contre l'invasion de nos campagnes on s'organise... contactez-nous !

Consultez le site Partout Callac cliquez ici

Logo-Callac.jpeg

20:48 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 23 février 2023

L’Huma se surpasse… et atteint des sommets

xdFkCcmucsRAUsf-800x450-noPad.jpeg

Bernard Germain

Je vous disais hier que selon les bien-pensants, la France serait au bord du "fascisme". Dans son édition du mardi 21 février, l’Huma - journal du Parti communiste français - confirme que tous ceux qui affirment cela sont simplement tombés sur la tête.

Émilien URBACH, sur ce plan, est un champion toutes catégories. Il est l’auteur d’un article ignoble, dans l’Huma, qui le déshonore définitivement dans la catégorie « journaliste ». Il a peut-être une carte de presse, mais la manière dont il fait son travail est juste hallucinante. Vous lui accordez près d’une heure d’entretien (comme ce fut mon cas il y a deux jours), et, au bout du compte, à la lecture de l’article… il ne reste qu’une seule phrase de tout ce que vous avez dit. Au milieu d’une marée d’insanités. L’éthique du journaliste qui informe honnêtement son lecteur, il ne doit même pas avoir entendu parler du concept. Pas plus qu’il ne doit savoir ce que cela veut dire de rapporter « honnêtement » les propos de quelqu’un qu’il a jugé bon d’interviewer.

Lui, c’est plutôt le journaliste du type Pravda, bien dans la « ligne du parti » et bas du front. On aurait juste envie de lui dire « Oh Émilien, arrête ton char on n’est pas à Prague ! » tellement son article est grotesque et caricatural.

Par exemple, le gars ne redoute pas d’inclure dans son article à propos de Callac : « Mi-janvier 2023, la municipalité de Callac (Côtes-d’Armor) annonce, après un « tsunami de violences », selon les termes de Laure-Line Inderbitzin, maire adjointe PCF, l’abandon de son projet Horizon ».

Ce garçon doit être mal renseigné. Les seules violences vues et constatées par tout le monde, ce sont celles des "antifas" qui ont agressé nos manifestations des 17 septembre et 5 novembre. De même qu’ils ont agressé la présidente de l’association des Amis de Callac et ses environs le 28 janvier, à l’occasion des vœux du maire. Ce qui fut également l’occasion d’un troisième affrontement entre les "antifas" et les gendarmes sur la place de la mairie. Un gendarme fut blessé et une voiture de gendarmerie taguée.

Mais cela … l’Huma s’est bien gardée de le faire savoir à ses lecteurs.

Quant à l’imaginaire « tsunami de violences » ce n’est nullement cela qui a fait plier le conseil municipal. C’est la population de Callac qui a obligé le maire à renoncer à son projet.

Tout simplement parce que la population a bien compris et surtout refusé que des millions soient disponibles pour des gens qui viennent de l’autre bout de la terre mais que pas un sous ne soit disponible pour les habitants pauvres de Callac.

De même les habitants ont refusé, alors qu’il y a 18 % de chômage dans le village, que 75 emplois soient, parait-il, disponibles pour les migrants, mais pas un seul pour les autochtones.

Alors, oui, les habitants étaient en colère contre le maire et le conseil municipal. Et ils le lui ont fait savoir à plusieurs reprises. Et, lorsque la pression est devenue trop forte le maire et son conseil ont jeté l’éponge. C’est cela la vérité. Je l’avais indiquée à ce « journaliste » au cours de notre entretien, mais cela ne figure nullement dans son article.

A propos des mails de menace de mort au journal Le Poher, notre "journaliste" rapporte dans son article : « "Le mail de menace de mort m’est parvenu le lendemain du jour où Bernard Germain a reçu son assignation en justice à la suite de la plainte déposée après la parution de cet article", confie Erwan Chartier. » (Erwan Chartier étant le directeur du Poher).

Visiblement cela ne lui pose aucun problème de rapporter des paroles qui laissent clairement entendre que pour me venger de l’assignation au tribunal, j’aurais envoyé des menaces de mort.

Là on voit clairement que ce journaliste a de l’éthique. Et qu’il vérifie ses infos avant de publier. Parce que c’est grave de colporter de pareilles accusations.

Je l’entends déjà me répondre : « mais ce n’est pas moi qui le dit c’est Erwan Chartier ».

Ben justement, ce n’est pas parce que cet individu aurait dit cela que c’est vrai. Quelle preuve a-t-il fournie confirmant ses propos ? … Aucune.

Puis, vient un passage sur Saint-Brévin où doit s’installer un CADA dans une école maternelle et primaire. Notre journaliste rapporte dans son article : « Leurs méthodes font vraiment peur, alerte Perrine Jacotin, militante de la section locale du PCF. Ils parlent de viols sur les enfants. Ils multiplient les menaces sur leurs sites Internet. Ils s’en prennent aux élus, à la présidente de l’association des parents d’élèves (APE), à la directrice de l’école... »

Vous avez remarqué, lui ne dit jamais rien. Il rapporte seulement les paroles des autres. Un grand classique … comme cela il se protège d’éventuelles poursuites. Courageux le gars, et consciencieux pour rapporter les accusations gratuites des autres.

À Saint-Brévin, c’est tout simple. Les parents disent : « construire un CADA dans l’école c’est une folie. Nous demandons que soit pris en compte le principe de précaution. Si demain, il y a un problème aucun de ceux qui veulent installer ce CADA ne plaidera coupable. Alors on ne veut pas attendre l’accident pour prouver à tous ces immigrationnistes que c’était une folie de mettre un CADA dans l’école. Donc pas de CADA à Saint-Brévin. » Ces paroles sont le bon sens même.

Mais comme d’habitude, au lieu de parler clairement de ce problème, c’est la diabolisation de ceux qui refusent le projet qui est pratiquée. Sans s’intéresser au problème posé. Et l’Huma se prête bien volontiers à cette opération de désinformation de ses lecteurs (peu nombreux d’ailleurs), et se plaît à salir les parents qui s’opposent au projet.

C’est toujours comme cela avec les bien-pensants. Si vous n’avez pas une position conforme au « politiquement correct », vous êtes un "fasciste" ou un "membre de l’extrême-droite". C’est ainsi que je suis qualifié dans l’article, directement par ce « journaliste » cette fois, de « prédicateur xénophobe ».

Cet article contient aussi une somme incroyable d’insinuations pourries et de propos déformés. Mais ce serait trop long de tout relever.

J’allais oublier… une dernière chose qui n’est pas non plus dans l’article de l’Huma.

J’ai déclaré à ce « journaliste » que j’étais d’accord avec Georges Marchais (Secrétaire du PCF en 1980) lorsqu’il déclara au cours de la campagne présidentielle 1980-1981 : « Il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ».

Là, il y eu un blanc au téléphone … un long blanc !

Le pauvre Georges Marchais doit se retourner dans sa tombe de voir ce qu’est devenu aujourd’hui son parti, complètement soumis à l’immigrationnisme.

Quant à notre « journaliste » il mérite indiscutablement le glorieux titre de « bon stalinien ». Et s’il avait vécu à l’époque de Joseph, il aurait sans aucun doute été décoré de la médaille d’or du journalisme par la Pravda.

01:13 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 22 février 2023

Le Poher : alerte à la bombe, menaces de mort, à qui profite le crime ?

LePoher.jpg

Bernard Germain

Voyez-vous, la France serait au bord du fascisme. Sandrine Rousseau ne cesse de le répéter, tout comme la France Insoumise, ainsi que la presse dans son immense majorité et tous les bien-pensants.

Diable, on tremble. Brrrr…

Et chaque événement est utilisé pour essayer d’accréditer cette thèse totalement délirante.

On en a vu un nouvel exemple avec le feuilleton du journal « Le Poher », petit journal gauchiste (6 000 ex) dont le siège se trouve proche de Callac.

Tout a commencé le 5 novembre 2022. Ce jour-là, le rédacteur en chef était, paraît-il, sur place pour couvrir la manifestation que nous organisions devant la mairie contre le projet « Horizon » qui entendait faire venir plus de 500 migrants dans ce village de 2 200 habitants.

Ce Monsieur prétend avoir été « pris à partie » par des manifestants. Vraiment ? A-t-il été blessé ? A-t-il eu des jours d’ITT ? A-t-il porté plainte ? Nullement.

Pourtant la presse bien-pensante va se faire l’écho de ses affirmations, auxquelles il ne peut pourtant apporter aucune preuve. Et bien sûr, les coupables sont « l’extrême droite » et la « fachosphère ».

Que ce soit vrai ou pas importe peu à ces « journalistes ». Ce qui compte c’est de pouvoir remettre une pièce et faire rejouer le refrain qui prouverait qu’on est en route pour le fascisme. De Libération, Le Monde, Ouest-France, le Télégramme de Brest au journal Le Poher, ils sont tous comme cela.

On me permettra à cette occasion de souligner que la profession de journaliste a bien changé. Il fut un temps – révolu – où l’on apprenait dans les écoles de journalisme qu’une des premières choses à faire avant de publier un article était de vérifier les faits, de les recouper avec d’autres informations, afin de s’assurer de leur véracité. En ce temps-là aussi, on apprenait aux journalistes que leur rôle était d’informer le lecteur aussi objectivement que possible et que c’était à ce dernier de se faire une opinion sur la base des faits rapportés par les journalistes.

Mais cette période est finie depuis longtemps.

Aujourd’hui, un journaliste  – du moins leur quasi-totalité – se contente de rapporter des faits, sans rien vérifier et surtout en bâtissant un article dans lequel on voit très clairement ses opinions.

Ce faisant, il n’informe plus le lecteur. Il l’embrigade et l’intoxique comme un propagandiste. À croire que le journalisme que pratiquait La Pravda est devenu le modèle à suivre. C’est totalement consternant, mais c’est la triste réalité.

Il y a quelques jours, le Journal Le Poher – du moins son rédacteur en chef – s’est plaint de recevoir des menaces de mort.

Immédiatement, en voiture Simone, c’est reparti pour un tour.

Et toute la presse bien-pensante de se faire l’écho de ces « menaces » et de hurler son soutien à ce journal ainsi qu’à la liberté de la presse. Sans oublier les partis de gauche, associations et syndicats.

Mais personne ne s’est interrogé sur la réalité des faits.

Peut-être qu’un taré se livre à ces menaces contre le rédacteur en chef et ses collaborateurs. Mais peut-être aussi que ces menaces n’existent pas. Ce ne serait pas la première fois qu’on découvrirait que quelqu’un essaye de se faire passer pour une personne menacée, alors que ce n’est pas la réalité. En tout cas, ce qui est étonnant, c’est que les mails et coups de téléphone menaçants, à ce jour, n’ont toujours pas été identifiés.

Pourtant, que je sache, si la DGSI ou la gendarmerie veulent savoir si ces messages sont réels ou pas, ils ont des outils très puissants qui devraient leur permettre d’identifier les auteurs.

Or, rien n’avance sur ce plan. Étonnant, non ?

Cela n’empêche pas la presse bien-pensante d’inonder lelecteurs d’articles dans lesquels on accuse ouvertement ou on insinue perfidement que « l’extrême droite » et la « fachosphère » sont derrière tout cela.

Et puis hier, lundi, rebelote.

Cette fois, Le Poher se dit victime d’une alerte à la bombe. Franchement, cela commence à faire beaucoup pour un petit journal comme Le Poher, qui visiblement serait une « cible » majeure. Majeure pour qui ? Majeure pour quoi ? Toujours est-il que le journal aurait reçu un coup de téléphone annonçant « Vous allez crever, une bombe a été placée dans les bureaux de la rédaction. Vous allez sauter ». Les gendarmes alertés arrivent ainsi que les services de déminage. Rien. Nada.

Par contre la presse nationale et régionale se fait largement l’écho de cette info qui est peut-être bidon.

Cela a au moins l’avantage de confirmer qu’on vit une époque terrible et que la France est vraiment « au seuil du fascisme ». Et puis ça permet d’en remettre une couche contre « l’extrême droite » et la « fachosphère ».

Donc ils peuvent joindre l’utile à l’agréable. Quel bonheur !

Au final, on assisterait donc à une montée en puissance des périls qui guettent ce petit journal. D’abord, une prétendue menace contre le rédacteur en chef. Puis des menaces de mort, par mail et coups de téléphone, sans que la police ne trouve l’auteur. Maintenant une alerte à la bombe.

C’est quoi la prochaine étape ? Parce qu’après les bombes, on a du mal à voir une menace supérieure.

Au passage on rappellera ce qu’un policier avait dit en 1983 à Roland Hélie (directeur de Synthèse nationale) qui venait de subir un attentat à la bombe ayant ravagé trois étages du bâtiment (heureusement il n’y était pas) dans lequel il travaillait : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats »

Par contre ce qui est prouvé et indéniable, c’est qu’à chaque fois que Le Poher relate des menaces et agressions – réelles ou pas – il y a un acharnement de la presse bien-pensante contre les patriotes qui défendent leurs pays. C’est un élément majeur du dossier.

Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».

Indiscutablement moult journalistes ont fait de cette maxime leur credo professionnel.

Reste une question : au final, à qui profite le crime ?

On pourrait poser la question autrement : le journal Le Poher a-t-il quelque chose à gagner à se victimiser de la sorte ?

Voyez-vous, je pense que oui.

En effet, le 3 mars prochain aura lieu à Lorient au tribunal judiciaire l’ouverture du procès que m’intente le journal Le Poher, pour « injures publiques » et « diffamation ».

Mon assignation devant ce tribunal résulte d’un article que j’ai écrit en réponse à celui de Le Poher paru durant la bataille de Callac. L’article du Poher était particulièrement ignoble puisqu’il nous accusait quasiment ouvertement d’être des nazis.

Quant au mien, il était resté tout à fait dans le cadre de ce que l’on appelle une polémique politique classique, sans insulte ni noms d’oiseaux.

Pour preuve de la mauvaise foi et de l’exagération du journal Le Poher, je ne citerai qu’un exemple.

J’ai écrit dans l’article qui me vaut d’être traduit en justice : « Toute personne normalement constituée et qui n’a pas une cervelle de poisson rouge comprend que ça va poser de sérieux problèmes, vu les différences de culture et de conception de la vie en société, d’implanter plus de 500 personnes (25 % de le population) dans cette bourgade. »

Le paragraphe d’après j’écrivais : « Mais pas ce journaliste. Lui n’y voit que du bien et soutient totalement le projet du maire ».

Et le journal Le Poher de déclarer que c’est de la diffamation et une injure publique d’écrire cela. Puisque cela tendrait à affirmer que ce journaliste a « une cervelle de poisson rouge ».

Vous venez peut-être de l’apprendre, mais avoir « une cervelle de poisson rouge » est une injure inacceptable qui peut, comme on le voit, vous amener devant un tribunal. En tout cas pour Le Poher.

Par contre, écrire que nous sommes quasiment des nazis, c’est tout à fait correct et ce n’est ni de la diffamation, ni une injure publique.

Je laisse chaque lecteur apprécier.

Pour reprendre ce que je disais, je pense que le journal Le Poher a tout intérêt, en ce moment, à se victimiser et à laisser croire qu’il est la cible de l’extrême droite. Et ce, à de multiples occasions. Par écrit et par des menaces physiques d’autre part. Sans aucune preuve de ses accusations. Mais l’important c’est de l’affirmer. Il se trouvera bien quelques faibles d’esprit ou des complices pour propager la chose, ou y croire.

Ce journal pense sans doute que cela pourra lui donner un petit coup de pouce devant la cour de se présenter devant les juges avec cette réputation de pauvre « victime » et nous avec celle d’horribles fachos, dangereux par ailleurs, et prêts à utiliser les pires violences pour arriver à nos fins.

Ce sera en tout cas l’occasion pour la presse bien-pensante de remettre une pièce pour nous rejouer l’air bien connu de la France « au seuil du fascisme » et m’accabler, moi l’horrible facho qui menace le pays et les pauvres victimes du journal Le Poher qui résistent comme elles peuvent.

En réalité, et ils le savent tous, nous condamnons totalement les menaces, intimidations et actions violentes.

Nous combattons à visage découvert et « à la loyale ».

Mais surtout, ce que tous ne supportent pas, c’est d’avoir perdu à Callac !

Quant à nous, nous avons gagné parce que la population était largement avec nous et contre le projet Horizon.

Avoir été compris et soutenus par les habitants. C’est cela qu’ils ne nous pardonneront jamais.

NDLR SN : pour aider notre ami Bernard Germain à  faire face à la Justice : cliquez ici

2023 02 SOUTIEN BG copie.jpg

Lire aussi cliquez ici

10:27 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 21 février 2023

David Lisnard abandonne les maires … les masques tombent !

DSC_3795.jpg

Bernard Germain

Monsieur David Lisnard est le Président de l’Association des maires de France. C’est un poste important puisqu’il est supposé représenter une bonne partie des maires de notre pays.

Le 15 Septembre 2022, Macron réunissait à l’Élysée tous les préfets, afin de leur exposer la « transition démographique » qu’il entendait mettre en œuvre à travers tout le pays, c’est à dire l’invasion de nos campagnes par des migrants.

Le 26 Septembre 2022, j’ai écrit à ce Monsieur Lisnard en ma qualité de porte-parole du Comité d’organisation contre le projet Horizon de Callac, projet qui visait à faire venir dans cette localité plus de 500 personnes d’origine africaine, soit 25 % de la population actuelle. A l’époque, Callac était le « laboratoire national » de cette vaste opération visant a radicalement transformer notre population nationale.

Voici cette lettre, envoyée à M. Lisnard en septembre 2022 :

« Monsieur le Président,

Je souhaite par la présente vous solliciter s’agissant de l’affaire de Callac, dont le projet « Horizon » de la fondation « Merci » entend faire venir dans cette petite commune rurale de 2200 habitants, 70 familles immigrées, d’origine africaine.

Le journal Ouest-France dans son édition du 14 septembre nous apprenait qu’il y a déjà 5 familles arrivées représentant 38 personnes. Donc 7,6 personnes par famille.

S’il devait en arriver 70, sur cette base chiffrée, cela représenterait 532 personnes soit approximativement 25 % de la population actuelle de cette bourgade.

Vous comprendrez que cette information suscite de multiples inquiétudes. D’autant que ce que l’on constate dans les principales villes de notre pays, largement touchées par une immigration massive, n’est pas pour nous rassurer.

De plus, des mesures très favorables, aujourd’hui refusées aux habitants pauvres et aux jeunes de Callac (18 % de chômage), sont annoncées en faveur de ces nouveaux arrivants. Ce qui ne manque pas de créer un légitime sentiment d’injustice auprès de tous les autochtones « oubliés » de la République.

En conséquence, à l’initiative de Reconquête, un Comité d’Organisation contre le projet Horizon s’est constitué et regroupe le Comité Local de Callac, Reconquête, Résistance Républicaine et Riposte Laïque.

Lire la suite

11:26 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 février 2023

Pourquoi « Vaincre ou mourir » rend fous les bien-pensants !

Puy-du-Fourbe.jpg

Bernard Germain

« Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».

Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+... du groupe Bolloré ajouteront certains.

Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.

Le Monde, Libération (dont la une du 24 janvier est en photo en haut de cet article), l’Obs, France Inter, France Infos, Télérama… bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.

Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.

A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.

Par comparaison, une série de films bien-pensants à l’affiche ces derniers temps connaissent des bides retentissants. Ainsi :

  • « Les Rascals », de Jimmy Laporal-Tresor. En 1984, alors que « l’extrême droite gagne du terrain en France », une sympathique bande de « jeunes de banlieue » est harcelée par une méchante bande de skinheads. Deux semaines d’exploitation : 31 376 entrées. Magnifique…
  • « Les engagés », d’Émilie Frèche. Un certain David aide un « jeune exilé » à semer la police et à s’introduire illégalement en France. Malgré une énorme promotion, notamment sur France Inter. Six semaines d’exploitation : 33 518 entres. Quel succès...
  • « Nos Frangins », de Rachid Bouchareb. Film qui revient sur la mort de Malik Oussekine (mort du temps de Robert Pandreau). On y trouve tous les clichés sur le racisme et les violences policières. Six semaines d’exploitation : 78 421 entrées. Phénoménal…
  • « Les survivants », de Guillaume Renusson. Dans les Alpes, le dénommé Samuel sauve une jeune Afghane qui veut entrer en France. Mais de très méchants fachos vont les traquer. Après trois semaines d’exploitation : 66 491 entrées. Époustouflant…

D’une certaine manière ces chiffres pitoyables de spectateurs, sont une bonne nouvelle. Ils semblent vouloir dire que malgré d’énormes campagnes de promotion, cette propagande bien pensante n’accroche pas auprès du public. Et c’est tant mieux.

Lire la suite

01:03 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 07 février 2023

MARINE DÉCOUVRIRAIT-ELLE LA COMÉDIE PARLEMENTAIRE ?

AN-Loi-retraites.jpg

Bernard Germain 

Est-elle d’une incroyable naïveté politique, ce qui serait grave après autant d’années d’expérience dans le domaine ?

Est-elle frappée d’un grave problème psychologique de « reconnaissance » par la classe politique et le pouvoir ?

Toujours est-il que Marine Le Pen enchaîne erreur sur erreur, sans en tirer aucune leçon. S’obstinant à conserver la même ligne politique qui la conduit pourtant d’échec en échec.

Dernier exemple en date, ce qui vient de se passer à l’Assemblée Nationale, concernant la réforme des retraites.

Petit retour en arrière.

Il y a quelques jours, deux motions référendaires ont été déposées. L’une par la NUPES, l’autre par le RN.

Une motion référendaire, si elle est votée par l’Assemblée Nationale, impose l’arrêt des débats, un vote identique au Sénat. Puis il faut aussi l’acceptation du Président de la République pour qu’un référendum national soit organisé afin de demander au peuple de trancher la question, en l’occurrence la réforme des retraites.

La présidente de l’Assemblée Nationale, constatant l’existence de deux motions, décide que c’est par tirage au sort que sera désignée celle qui sera présentée au parlement.

Hurlements de la NUPES qui prétend que c’est la première déposée qui doit être présentée. Or, il n’existe aucune jurisprudence sur le sujet. La présidente de l’AN maintient sa décision et c’est la motion du RN qui est tirée au sort.

Hier lundi 6 février, ont débuté les débats sur la Loi relative à la réforme des retraites.

L'Assemblée nationale a repoussé, par 292 voix contre 243, une motion préalable de LFI demandant le rejet de l'ensemble de la réforme des retraites, à l'ouverture des débats sur le projet du gouvernement. Une motion de rejet permet à l'Assemblée nationale de rejeter un texte de loi, avant même le début des débats.

Notons que le RN a voté cette motion de rejet de la NUPES. Marine Le Pen déclarant à ce sujet avoir voté pour ... « sans sectarisme » !

Vint ensuite la présentation de la motion référendaire présentée par le RN. Et là … stupeur ! Plusieurs députés du RN reçoivent simultanément un message vocal leur indiquant qu’un proche vient d’être hospitalisé et qu’il faut venir immédiatement à l’hôpital. Panique parmi les députés ciblés dont certains quittent précipitamment l’hémicycle. Petit détail… si l’un des députés signataires de la motion référendaire est absent de l’hémicycle au moment de sa présentation, la motion ne peut être ni présentée ni mise au vote.  Vous l’avez compris, … ces coups de téléphone visant à faire quitter l’Assemblée à des députés paniqués n’avait donc qu’un objectif : empêcher le RN de présenter sa motion référendaire. On relèvera au passage qu’il faut être pourri au-delà de l’imaginable pour recourir à de telles pratiques.

Résultat … 45 minutes de bazar complet à l’Assemblée.

Plainte a été déposée par le RN pour ces appels, bien sûr en numéro masqué. Nous verrons si les services spécialisés de Darmanin feront la lumière sur l’origine de ces appels. Quelque chose me dit qu’ils vont avoir du mal ou que cela va prendre beaucoup de temps !

Or, il suffit d’une commission rogatoire d’un juge d’instruction à un opérateur téléphonique pour qu’il identifie l’appel et en informe la justice. Et même si c’est avec une carte prépayée on sait identifier la carte, donc où et par qui elle a été achetée. 

Bref, après ce moment de panique à l’AN et que les députés RN furent revenus comprenant l’immonde manœuvre dont ils étaient l’objet, la motion référendaire fut mise aux voix et rejetée par 272 voix contre 101, … sans les voix de la NUPES parce que cette motion était présentée par le RN. Pourtant la NUPES avait présenté une motion identique. Donc ils étaient d’accord avec l’objectif.

Au final, alors qu’ils sont d’accord, ils votent contre… « avec sectarisme » ! Est-ce bien étonnant ? A la suite de quoi, le débat sur la Loi proprement dite a pu commencer.

La NUPES présente … 18.000 amendements. Autant dire que la NUPES donne la possibilité au pouvoir de recourir aux moyens que lui octroie la constitution de clore le débat rapidement, au motif d’une « obstruction parlementaire », en ayant recours à un 49-3 ou autre. De ce fait l’issue du « débat » ne fait aucun doute ! Seule la date de fin reste inconnue.

Lire la suite

20:02 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 31 janvier 2023

Retraite à 62 ou 64 ans : … une monumentale manipulation de masse !

64ans.jpg

Bernard Germain

J’en ai déjà vu des manipulation politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !

Les français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».

En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche -en fait l’extrême gauche- puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo (PS) … 1,74%), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.

Pourtant, les français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.

Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.

Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.

Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme, annoncé la retraite à 65 ans.

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc, le savaient donc pertinemment.

Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.

Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?

Lire la suite

00:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 janvier 2023

Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »

antifas.jpg

Bernard Germain

Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.

Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.

C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.

Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.

Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.

Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.

Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.

Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.

Bilan :

  • un gendarme blessé
  • un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
  • deux interpellations d’antifas
  • une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.

Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.

Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.

Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».

Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! » 

Fabuleuse réponse … !

Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».

C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.

De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.

Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».

En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.

Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.

Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !

Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.

Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.

Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.

Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.

On retrouve partout ces comportements.

Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.

En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.

Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.

Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici

CHN 5 REEDITION ANNONCE 1 copie 35.jpg

03:33 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 janvier 2023

Mort de Tyre Nichols aux USA : … va-t-on nous demander de mettre un genou à terre ?

Tyre-Nichols.jpg

Bernard Germain

Nous sommes à Memphis dans l’État du Tennessee aux USA.

Le 7 janvier 2023 au soir, un groupe de policiers rattrape un automobiliste qui vient de commettre une infraction routière.

La vidéo des caméras embarquées des policiers a été publiée sur internet. On y voit le conducteur arrêté, se faire passer à tabac par ces policiers. C’est ultra violent. Et cela dure un long moment.

Insupportable !

Il se trouve que le conducteur arrêté est noir.

Oh là là,… ça y est, ça recommence.

C’est une nouvelle affaire Georges Floyd, ce noir qui fut tué par un policier blanc en 2020.

Suite à la mort atroce par étouffement de Georges Floyd, le policier blanc fut condamné à 20 ans de prison.

Pour protester contre ce crime « raciste », tout ce que la terre comptait de bien pensants a été invité à mettre un genou à terre, à toute occasion, comme par exemple au début de chaque match de football.

Le système « blanc » a été qualifié de système pratiquant un « racisme systémique ».

D’innombrables manifestations, dont beaucoup furent ultra violentes, se sont déroulées aux USA à l’appel de Black Lives Matter.

Ainsi que dans de multiples pays.

En France, le Comité Traoré s’était déchaîné, essayant de faire le lien entre ce crime aux USA et la mort d’Adama Traoré, suite à son arrestation par les gendarmes.

Et toute la gauche, l’extrême gauche et les médias « progressistes » se sont engouffrés pour dénoncer le prétendu « racisme d’État » qui existerait aux USA et en France.

Pour les Wokistes, et tous ceux qui veulent détruire notre société « blanche », ce fut une aubaine.

Depuis près de 3 ans, le « racisme systémique » de notre société est inlassablement dénoncé et quiconque refusa de mettre un genoux à terre fut impitoyablement dénoncé comme un épouvantable raciste.

Donc avec ce nouveau meurtre « raciste » d’un noir,… nous allons revivre pendant des mois une campagne à l’égale de celle qui fut menée pour Georges Floyd. 

Moi, je vous dis que ce ne sera pas le cas.

Les bien pensants et leur presse vendue au wokisme n’appelleront pas à mettre un genoux à terre.

Ils n’appelleront pas à de multiples manifestations.

Il n’y aura pas d’indignation mondiale contre ce « crime raciste ».

Vous savez pourquoi ?

Parce que les 5 policiers, responsables de ce crime immonde, sont… noirs !

Même le chef de la police de Memphis, Cerelyn Davis, est noire.

Et là c’est très ennuyeux pour les wokistes, les bien pensants et tous les organes de presse complices.

En effet, dans ces conditions, comment faire pour présenter cette affaire et en me temps développer leurs thèses accablantes pour la société « blanche » ?

La lecture des organes de presse concernés est sur ce plan, fort édifiante 

Le Monde fait un article qui commence ainsi :

« Le 7 janvier 2023, Tyre Nichols, un Afro-Américain de 29 ans, est arrêté par cinq agents de police suite à une infraction au code de la route violemment battu. Il est décédé trois jours plus tard, à l’hôpital. »

Dans le corps de l’article, le lecteur est informé que :

« Le 20 janvier, les cinq policiers impliqués ont tous été renvoyés, avant d’être arrêté le 26 janvier. »

Mais le lecteur ne trouvera nulle trace que tous les policiers incriminés sont noirs !

France info publie sur son site un article ou l’on peut lire :

« Aux États-Unis, les images de l'arrestation de Tyre Nichols, 29 ans, ont été publiées vendredi 27 janvier par la police de Memphis, deux jours après l'incarcération des cinq policiers qui l'ont battu au sol. Elles montrent l'insoutenable brutalité de l'arrestation de l'Afro-Américain, mort trois jours après les faits du 7 janvier. »

Les lecteurs ne sauront pas non plus que les policiers étaient tous noirs.

Libération publie aussi un article qui commence ainsi :

« Insupportable de violence et d’inhumanité, la vidéo du passage à tabac du jeune Noir américain par cinq policiers de Memphis a été diffusée vendredi soir. »

Une seule fois dans l’article, Libération reconnaît la situation embarrassante qui résulte de ce meurtre.

« Ces cinq policiers sont noirs, comme leur victime. Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial pour mettre en lumière une dérive policière américaine systémique »

Libération déclare ouvertement son embarras :

« Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial... »

Zut alors,… Libération reconnaît que les bien pensants ne vont pas pouvoir nous resservir leurs thèses délirantes qui aboutissent toutes à la même conclusion… le responsable c’est l’homme blanc dont il faut détruire la société.

Effectivement, cela va être difficile dans ces conditions de faire mettre un genou à terre à la planète entière afin de demander pardon.

A noter qu’à ce jour, aucune réaction de SOS Racisme sur son site ou sur sa page Facebook … un silence pesant.

Ces faits permettent à toute personne, intellectuellement honnête, de constater que le meurtre Tyre Nichols n’est pas moins ni plus horrible que celui de Georges Floyd.

Il est simplement la preuve que la société américaine est devenue une société ultra violente, mais que ce n’est pas un problème de « racisme systémique ». Même si un racisme indéniable existe toujours aux USA, contrairement à la France et aux pays européens.

En menant constamment campagne en France, pour essayer de prouver que notre pays serait raciste, les wokistes et tous leurs complices essayent de détruire notre société.

Il est urgent de les combattre sans relâche et d’empêcher leurs thèses venimeuses de se répandre.

Cette affaire Tyre Nichols en est une nouvelle preuve.

Le wokisme est un cancer qu’il faut éradiquer !

ggfre.jpg

Pour acheter ce livre cliquez ici

17:33 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 janvier 2023

La « peste brune »… c’est POLITIS et leurs semblables !

peste-brune-politis.jpg

Bernard Germain 

Le moins qu’on puisse dire c’est que ce « journal » POLITIS n’y va pas avec le dos de la cuillère, je devrais employer un autre mot que « journal » mais ce serait grossier.

Sont cloués au pilori par ce « journal » : Cyril Hanouna (qui est « juif »), Pascal Praud (qui est un homme « hétéro » de plus de 50 ans), Christine Kelly (qui est « noire »), Mathieu Delormeau (qui est « homo » mais dénonce les « gays prides », les « folles », … etc.) ainsi que Jean-Marc Morandini (incarnation de la presse « poubelle »).

Eh bien, dites donc, en voilà une belle brochette… et pas du petit fretin. Et POLITIS d’annoncer benoîtement que l’objectif c’est de faire taire ces odieux personnages. Rien que ça … !

Mais au fait quel est leur crime, pour être ainsi victimes de cet authentique lynchage médiatique ?

C’est tout simple, ils refusent de baisser pavillon devant les bien-pensants, l’extrême gauche et tout ce que la France compte de wokistes.

Bref, ce sont donc des… « fascistes », des gens « d’extrême-droite » qu’il faut à tout prix détruire en commençant par leur réputation, puisqu’il n’est pas possible aujourd’hui de les détruire physiquement, sauf à passer en cour d’assise.

Pour tous les sujets, c’est invariablement la même méthode qui revient. Vous osez discuter, contester, vous opposer… alors vous êtes fasciste et d’extrême droite et vous êtes accusé d’utiliser des méthodes violentes pour imposer votre point de vue.

Ainsi, à Callac, douze plaintes ont été déposées par des membres du conseil municipal contre ceux qui ont mené la bataille contre le projet Horizon. De nombreux militants de l’Association « les Amis de Callac et ses environs » (dont moi) ont été ou sont convoqués à la gendarmerie qui mène l’enquête suite aux plaintes déposées.

Mais ce qui est extraordinaire c’est que la « gôche », c’est à dire principalement le conseil municipal, qui a organisé deux contre-manifestations les 17 et septembre et 5 novembre 2022, contre nos rassemblements devant la mairie… n’a pas déposé de demande de manifestation ! Pour notre part tout a été fait dans les règles et nos deux manifestations étaient déclarées et acceptées par la Mairie et la Préfecture.

De même lors de ces deux contre-manifestations, il y a eu des violences des antifas contre les gendarmes. Ces derniers ont fait le nécessaire pour empêcher ces nervis d’atteindre la place de la mairie et nous agresser. Mais c’est nous qu’on déclare des gens violents, alors qu’il n’y a eu aucun incident durant nos deux rassemblements.

Reste que… ni les non-déclarations des deux contre-manifestations, ni les violences des antifas contre les gendarmes n’ont fait l’objet d’enquêtes ni de poursuites par la Procureur de la République. Pourquoi ?

Vous ne trouvez pas cela bizarre … ?

Par contre, nous qui n’avons strictement rien fait de répréhensible, nous sommes convoqués à la gendarmerie et le Procureur dirige l’enquête en cours contre nous.

Et quels crimes nous sont reprochés ?

Des accusations gratuites, sans aucune preuve, énoncées par des élus qui n’acceptent pas que les habitants aient mené campagne avec nous pour faire échouer le projet Horizon.

Pour nos accusateurs, comme pour POLITIS, il faut… faire taire ceux qui ne veulent pas baisser pavillon et continuent à défendre la France et les Français. 

Pour nous salir tout est bon. Un conseiller municipal a ainsi déclaré : « J’ai vu un homme cagoulé dans mon jardin durant la nuit ». La belle affaire ! Moi aussi je peux déclarer la même chose… est-ce pour autant un fait réel ?

Le maire se dit victime de menaces de mort, comme la célèbre Laure-Line… mais où sont les preuves ?

S’il s’agit de coups de téléphone, depuis le temps qu’ils racontent cette histoire, la gendarmerie à largement eu le temps d’identifier les auteurs des appels. Il lui suffit de demander à l’opérateur téléphonique l’identité du propriétaire de la ligne qui appelle.

Si ce sont des mails, avec l’adresse IP de l’expéditeur on peut l’identifier très facilement.

Et s’il s’agit de lettres papier, on peut facilement relever des traces ADN …

Donc tout cela, ce sont que des balivernes et des racontars qui ne résistent pas cinq minutes à la plus élémentaire critique.

Alors, pour quelles raisons agissent-ils ainsi ?

Tout simplement pour cacher qu’ils ne se remettent pas d’avoir été désavoués par les habitants et notre mobilisation. Ils ne supportent pas la démocratie. Ils ne supportent pas que les habitants s’opposent à leurs projets. Ils veulent pouvoir décider seuls et imposer leurs décisions à tous, sans discussion ! Ils ne sont que des petits bureaucrates ayant la haine du peuple et de la démocratie.

Alors face à leur défaite et à leur échec, ils ne savent qu’accuser et salir pour se dédouaner. Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez… il en restera toujours quelque chose ! »

Le plus pitoyable étant que l’essentiel de la presse reprend la fable des prétendues « violences » de l’extrême droite. Affirmant que c’est grâce à ces violences que nous aurions gagné à Callac. Il ne leur vient même pas à l’esprit que la mairie a caché son projet, qu’elle a ensuite refusé de faire un référendum parce que « 80 % de la population est contre », donc la population s’est levée contre ces méthodes anti-démocratiques et a imposé l’abandon du projet.

Nous menons notre combat à visage découvert et « à la loyale ». Pas avec des méthodes de voyous comme le fait la « gôche » et la mairie en utilisant notamment la violence des antifas.  Les seuls qui devraient être dénoncés, accusés et condamnés, ce sont nos accusateurs. Pas nous !

Aujourd’hui, à St-Brévin, ce sont les mêmes méthodes qu’on voit apparaître.

La Directrice de l’école refuse de recevoir le Collectif qui lutte contre l’installation du CADA à côté de l’école. Par ailleurs, elle ne cache pas son soutien à l’installation du CADA. Nous avons dénoncé son attitude, parce que nous voulons protéger les enfants, mais… c’est le Collectif qui est accusé de faire pression sur elle et comme à Callac cette directrice prétend recevoir des menaces.

« Calomniez, calomniez…

il en restera toujours quelque chose ! »

Tous ces vendus à la politique immigrationniste doivent bien se mettre en tête que nous mènerons notre combat partout, au grand jour et à visage découvert, contrairement à eux qui ne cessent d’agir dans l’ombre et en cachant tout à la population.

Ce n’est pas la violence ou les méthodes troubles qui nous donneront la victoire, mais c’est la volonté de la population qui n’accepte pas leurs plans et projets pour détruire notre pays, qui finira par s’imposer grâce à nos mobilisations.

Qu’ils ne comptent pas sur leurs méthodes nauséabondes pour nous intimider. Nous ne lâcherons rien.

La « peste brune » c’est POLITIS ainsi que tous les médias du même acabit et leurs nombreux complices, élus ou pas.

À propos de Callac :

CHN 18 ANNONCE 1 copie 9.jpg

Pour acheter ce livre cliquez ici

17:33 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 21 janvier 2023

Congrès PS : homérique bagarre interne pour la possession du cadavre !

rose_flickr.jpg

Bernard Germain

Jusqu’en 2017, le PS était un poids lourd de la politique en France. Il avait le Président de la République, le gouvernement, une majorité à l’Assemblée nationale, de multiples responsables de régions, de départements et de communes.

En 2022, seulement 5 ans plus tard, la candidate du PS à l’élection présidentielle, Hidalgo la dingo, réalise le score faramineux de 1,75 % pulvérisant l’ancien record détenu par feu Gaston Deferre (SFIO) en 1969 avec 5 %.

Autant dire que le PS est mort. Il ne survit que grâce aux quelques parlementaires que lui a concédés la NUPES, ainsi que des élus au plan régional, départemental et local.

Élus qu’il n’aura plus dès les prochaines élections locales correspondantes.

C’est un effondrement total et brutal, comme un château de cartes. Le PS a même été obligé d’abandonner son siège historique de la Rue de Solférino à Paris.

C’est dans ce contexte crépusculaire qu’à lieu un événement qui tient le monde entier en haleine : le 80ème congrès du PS.

Au PS les élections se déroulent au niveau local et les résultats sont ensuite remontés au niveau de chaque fédération (département) puis au national et centralisés sur un seul ordinateur se trouvant au siège national.

Le PS déclare 26 000 membres. Connaître les résultats définitifs devrait donc être une formalité expédiée en quelques heures.

Mais au PS, cela ne se passe pas comme cela.

Des bourrages d’urnes ont lieu à grande échelle et chaque camp les pratique dans ses fiefs.

Au premier tour de scrutin, il y a une semaine, il y avait trois listes. La liste Geoffroy est passée par la fenêtre.

Dans des conditions « douteuses ».

Le mandataire national de dame Geoffroy, Patrick Mennucci a déclaré à ce sujet :

« Jeudi dernier les membres de la direction et les représentants d’Olivier Faure sont restés enfermés durant 5 heures, de 22h à 3h le vendredi, sans que les représentants des autres textes n’aient accès en open data aux résultats en temps réel et aux PV fédéraux »

Patrick Mennucci pour Hélène Geoffroy et les représentants de Nicolas Mayer-Rossignol, David Assouline et Jean-Marc Germain, se sont retrouvés « bloqués au troisième étage » du siège d’Ivry-sur-Seine, pendant que la direction recevait les résultats au premier. « Je n’ai jamais vu ça ! », a pesté Patrick Mennucci.

Et pourtant il en a vu le Patrick, formé à Marseille – l’ancien fief de Gaston Deferre – et ayant à juste titre une réputation de très grand spécialiste de ce genre d’opérations.

Comme par exemple le fameux congrès de Reims en 2008 où l’on vit Ségolène Royal à 22H00 disposer d’une très large avance. Mais au bout de la nuit… c’est son opposante Martine Aubry qui fut élue avec… 102 voix d’avance seulement. Les élections au PS c’est magique.

Oui, c’est indéniable, les dépouillements d’élections sont toujours un grand moment au PS.

Pour ce 80e congrès du PS, restaient donc pour le second tour du 19 janvier la liste d’Olivier Faure – 1er Secrétaire sortant – qui est pro-NUPES, et en face de lui Nicolas Mayer-Rossignol qu’on peut qualifier de « hollandais », c’est-à-dire très réticent à passer sous les fourches caudines de LFI et souhaitant maintenir une autonomie au PS. Il est soutenu par la perdante du 1er tour, Geoffroy.

Dans la nuit du 19 au 20 janvier, Nicolas Mayer-Rossignol s’est auto-proclamé vainqueur, suivi quelques minutes plus tard par Olivier Faure prétendant que c’était lui le vainqueur

Au matin un communiqué du PS indique que c’est Olivier Faure le vainqueur avec… 393 voix d’avance.

Mais pour connaître le résultat officiel il faudra attendre la « commission de récolement » qui se réunit ce jour, 20 janvier, à Paris.

Quant à la proclamation officielle du résultat, elle aura lieu lors du congrès du PS qui se déroulera du 27 au 31 janvier à Marseille.

L’ambiance s’y annonce excellente …

Reste que l’affaire de cette élection est loin d’être réglée vu les irrégularités constatées.

Les couteaux sont sortis et chacun tient un flingue en main sous la table.

Quel que soit le résultat final, au PS, les deux camps sont sur des positions irréconciliables et les rancœurs recuites ne sont pas près de s’effacer.

On pourrait peut-être même assister à Marseille à une scission, comme au NPA.

Un camp rejoindrait la NUPES avec armes et bagages, tandis que l’autre essayerait de maintenir un semblant d’existence d’un PS indépendant.

La seule leçon qui puisse être tirée de tout cela c’est que la gauche « classique », telle que nous l’avons connue pendant des décennies, c’est bel et bien terminé.

Seule subsiste l’extrême-gauche regroupée dans la NUPES avec au cœur la LFI de Mélenchon.

CHN 5 REEDITION ANNONCE 1 copie 5.jpg

Les livres de Bernard Germain cliquez ici

10:11 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 janvier 2023

RAPPEL : Bernard Germain dédicacera ses livres samedi 21 janvier à la Librairie Vincent à Paris

CHN 5 REEDITION ANNONCE 1 copie 5.jpg

Les livres de Bernard Germain cliquez ici

326147413_736285537917008_7971094471119002652_n copie.jpg

14:26 Publié dans Bernard Germain, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 janvier 2023

Énergie : Un scandale français absolu, tous les traîtres méritent d’être condamnés !

COUV Maquette SN REVUE copie 2.jpg

Bernard Germain

Nous sommes en train de vivre, en France, un scandale qui dépasse tout ce qui est imaginable !

Les faits que je vais évoquer relèvent de la haute trahison, le mot est faible, et les responsables mériteraient d’être jugés, condamnés et si c’était possible d’être fusillés.

La crise énergétique que nous traversons actuellement est en train de ravager notre pays et son économie.

La population française est frappée extrêmement durement, les boulangers aussi et de nombreuses profession artisanales, tout comme la restauration, sans oublier l’industrie. Ainsi que tant d’autres professions.

Tout le monde reçoit des factures d’électricité délirantes.

Le pays est au bord de la faillite.

Mais sachez-le… cela est voulu et organisé par le Président de la République, le gouvernement et l’État français.

Oui, vous avez bien lu… c’est voulu et organisé sciemment !

Certains se diront peut-être que j’ai perdu tout sens de la mesure et que je raconte n’importe quoi.

À vous de juger. Voici les éléments du dossier.

Le premier élément, c’est la politique énergétique de l’Allemagne.

A partir de l’arrivée au pouvoir d’une coalition verts – SPD, en 1998, la décision fut prise d’arrêter le nucléaire en Allemagne.

C’est Angela Merckel qui mit en œuvre cette politique à partir de 2011. Un programme d’arrêt des centrales nucléaires fut décidé. Il devait s’arrêter fin 2022.

Pour compenser, l’Allemagne s’est couverte d’éoliennes. Plus de 30.000 en service à ce jour. Mais comme chacun sait les éoliennes ne fonctionnent que 25 % du temps. En complément, les allemand ont eu recours massivement aux centrales à gaz pour produire leur électricité. Gaz qui était acheté à la Russie et acheminé par les gazoducs Nord Stream et Nord Stream2.

Le tout étant fait au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et donc avec utilisation d’« énergies renouvelables ».

Avec l’explosion du prix du gaz, l’Allemagne est en train de rouvrir 27 centrales à charbon.

En fait, et personne ne le nie, ces structures produisent énormément plus de carbone que le nucléaire. Donc au nom de la lutte contre le réchauffement climatique l’Allemagne a fait un choix qui produit infiniment plus de CO2 qu’avant. Sous les applaudissements des écolos !

Second élément, la France disposait il y a encore une vingtaine d’années du plus beau parc nucléaire, sans doute du monde. Notre production d’électricité était largement excédentaire et procurait au pays une électricité peu chère, très décarbonée, et dont nous vendions une part importante à l’exportation, ce qui était bon pour notre balance commerciale.

Mais c’était inacceptable pour les allemands qui voyaient cela comme un avantage insupportable pour notre industrie vis à vis de la sienne.

Ils ont donc œuvré via l’Europe pour couler notre parc nucléaire et supprimer ainsi l’avantage que la France avait sur l’Allemagne.

Henri Proglio (ex PDG d’EDF 2009-2014) l’a confirmé devant la commission parlementaire fin 2022 en déclarant : « L’obsession allemande depuis 30 ans, c’est la désintégration d’EDF. Ils ont réussi »

Pour arriver à ce résultat l’Allemagne a d’abord demandé à l’Europe de lister les énergies propres, celles dont elle allait faire la promotion.

C’est à cette occasion que Dominique Voynet, ministre « vert » du gouvernement Jospin, a trahi la France et le mandat qu’elle avait reçu, en torpillant le nucléaire avec l’aide de son collègue anglais.

Lire la suite

20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 janvier 2023

Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !

download-4.jpg

Bernard Germain

63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?

C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain. 

La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.

Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.

On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.

En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».

Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?

Son 1er quinquennat avait pourtant eu un bilan des plus consternants sur ce plan. Mais cela ne leur suffisait sans doute pas pour comprendre, ils ont donc remis une pièce dans le bastringue pour que ça continue 5 ans de plus.

Et ça continue…

On notera au passage que le RN a une position bien plus favorable aux salariés sur le sujet.

Mais … chuttt ! Le RN, c’est les « fascistes ». Donc, il ne faut pas dire qu’ils ont cette position.

Bref, s’ajoutant à la crise énergétique, le problème des retraites contribue à faire monter la tension sociale et le gouvernement est très inquiet quant à sa capacité à faire passer la mesure sans recours au 49.3, c’est à dire sans passer en force. En fait, tout va dépendre de la position des « Républicains » d’Eric Ciotti pour bâtir ou non une majorité au parlement sur ce point.

Reste que 49.3 ou majorité au parlement sur ce projet, le cocktail est explosif surtout en cette période ou une simple étincelle pourrait bien mettre le feu aux poudres.

Mais le problème se limite-t-il au problème de l’âge de départ à la retraite ?

Il se trouve que non, car l’affaire est bien plus compliquée qu’il n’y paraît.

Tout d’abord, il faut se souvenir que l’âge de départ n’est qu’un aspect du problème.

En effet, un second élément existe – très souvent oublié- qui est pourtant fort important : le nombre d’annuités nécessaires pour partir… à taux plein !

Partir à 62 ans, comme actuellement, est une chose, mais si c’est avec une décote qui ampute sérieusement le montant que le retraité touchera … est-ce une bonne affaire pour lui ?

Les syndicats, notamment, hurlent qu’il ne faut pas modifier l’âge de départ, mais ils ne disent pas que dans l’ombre, la réforme Touraine continue son œuvre d’érosion du montant des retraites versées. 

Concrètement, depuis la loi Touraine (merci les socialistes), votée en 2014 mais appliquée depuis 2020, la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein augmente d’un trimestre tous les trois ans. Premières à avoir été concernées en 2020, les générations nées entre 1958 et 1960, qui doivent désormais cotiser 167 trimestres (soit 41 ans et 9 mois). Suivront en 2023 celles nées entre 1961 et 1963 (168 trimestres), puis celles nées entre 1964 et 1965 (169 trimestres), etc. L’objectif étant d’atteindre 172 trimestres en 2035, soit 43 années de cotisation pour les Français ayant vu le jour en 1973.

Donc, et c’est simplement mathématique, si -dans ces conditions - on garde l’âge de départ à 62 ans, le montant des retraites va mécaniquement baisser jusqu’en 2035 à cause de la décote qui sera appliquée puisque le salarié aura de moins en moins le nombre d’annuités suffisantes pour bénéficier du taux plein.

Partir à 62 ans, c’est une chose, mais si on n’a pas de quoi vivre, … ça peut poser problème !

D’ailleurs, avec l’allongement de la durée de la scolarité, nous travaillons tous déjà plus longtemps que prévu, principalement pour éviter d’avoir une pension amputée. L’âge moyen de départ pointe ainsi à 62 ans et dix mois. Il est probable qu’il arrive à 64 ans d’ici une dizaine d’années.

Si on veut partir à taux plein !

C’est lorsqu’on reçoit le document de la caisse de retraite, vous indiquant le montant de votre retraite, que l’on prend la mesure du problème.

Au final, le problème n’est pas en soi l’âge de départ à la retraite, mais du fait du système pourri voté par les socialistes et autres en 2014 sur le nombre d’annuités nécessaires, qui s’applique depuis 2020, … A QUEL ÂGE DOIS-JE PARTIR POUR AVOIR UNE RETRAITE A TAUX PLEIN ?

Il est donc ridicule de s’arc-bouter sur 63, 64 ou 65 ans. Ce n’est qu’une partie du problème.

Élisabeth Borne a déclaré : «Nous n’irons pas au-delà de 43 ans de cotisations».

C’est à dire l’application pure et simple de la Loi Touraine des socialistes. Ce faisant sa déclaration montre bien que le vrai problème est là.

Et pour chaque salarié, le choix devient donc : «Est-ce que je veux absolument partir à 62 ans (condition actuelle) quitte à avoir une méchante décote qui va fortement réduire ma retraite du fait de la Loi Touraine ?».

Lorsqu’on pose la question ainsi, cela change nettement la discussion sur l’âge de départ.

En fait, mettre l’âge de la retraite à 63, 64 ou 65 ans ne ferait qu’officialiser ce que la Loi Touraine impose déjà. Pour avoir son taux plein.

Garder à tout prix 62 ans, comme âge de départ, implique qu’une décote importante sera appliquée aux salariés qui n’auront pas les annuités nécessaires. C’est à dire presque tout le monde, sauf ceux qui ont travaillé très jeunes, mais ils sont de moins en moins nombreux.

En résumé :

  • Si on garde 62 ans comme âge de départ, avec la Loi Touraine, au fur et mesure des années les salariés partiront avec une retraite amputée d’une décote de plus en plus conséquente
  • Si on recule l’âge de la retraite, du fait de l’entrée de plus en plus tardive dans la vie active, on réduira la décote qui s’appliquera. Ce qui ne fera qu’officialiser ce qu’on constate à savoir que beaucoup de salariés partent plus tard que l’âge légal car ils n’ont pas assez d’annuités et ne veulent pas subir de décote.

Ce débat sur l’âge de départ à la retraite, tel qu’il est présenté, est un débat totalement biaisé puisqu’il ne prend pas en compte la Loi Touraine et ses conséquences sur le montant de la retraite.

J’ajoute que s’ils étaient cohérents, ceux qui se veulent inflexibles sur les 62 ans, devraient demander l’abrogation de la Loi Touraine … mais c’est eux qui l’ont mise en place.

En fait, c’est, pardonnez-moi l’expression, un authentique « foutage de gueule ».

La « gauche » appelle les salariés à se mobiliser pour défendre les retraites, mais en cachant :

  • Que c’est eux qui ont élu Macron auteur de la réforme qu’ils prétendent combattre
  • Que c’est eux qui ont voté la Loi Touraine qui attaque gravement le montant des retraites

La gauche se présente comme défenseur des salariés, alors qu’en fait, ils en sont les fossoyeurs.

Le 10 janvier je ne cautionnerait pas cette ignoble farce.

Je n’irai pas manifester avec ces gens.

Bossuet disait : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes »

Reste un problème que je n’ignore pas : les métiers pénibles.

Il serait socialement tout à fait juste qu’un régime spécial s’applique aux salariés concernés.

Afin qu’après avoir été usés par le travail, ils puissent partir en retraite plus jeune leur laissant espérer de profiter plus longtemps de leur retraite bien méritée.

Un système est actuellement en place qui permet d’accorder des « points ». Chaque tranche de 10 points donne droit à l’équivalent d’un trimestre cotisé.

Au moment du décompte final, cela permet soit de partir plus tôt, soit de compenser une décote.

Ce système pourrait certainement être affiné, voire amélioré.

Mais l’important est que la pénibilité soit prise en compte.

Un autre aspect du problème mérite d’être souligné : la tartufferie du pouvoir et surtout du patronat s’agissant de l’âge de départ à la retraite.

Le patronat et le gouvernement veulent repousser cet âge «afin d’équilibrer les comptes».

C’est une très mauvaise blague.

En effet, si l’on prétend «équilibrer les comptes» il faut avoir une vision globale du sujet. Pas en prenant simplement le problème des retraites.

Or, il est de notoriété publique que très nombreux sont les salariés qui sont licenciés par les entreprises autour de l’âge de 55 ans.

Donc, ils viennent grossir les rangs des chômeurs. Et sont donc à la charge de la collectivité, même si ce n’est pas sur la même ligne budgétaire qui est impactée.

Comment les employeurs peuvent-ils être pour le recul de l’âge de départ à la retraite « afin d’équilibrer les comptes » et virer en même temps les salariés de plus de 55 ans ce qui plombe les comptes de l’indemnisation du chômage ?

Il faudra m’expliquer cette contradiction. Et surtout que les gouvernements successifs laissent faire cela sans réagir.

Une dernière piste consiste à reconnaître un cynisme absolu à certains employeurs qui pratiquent ces licenciements systématiques vers 55 ans. Pourquoi les font-ils ? D’abord parce que ce sont les salariés qui coûtent le plus cher. Mais aussi et tout simplement parce que ces 7 à 8 ans ou 10 ans de baisse de revenu (période de chômage) auront un impact sur le montant des retraites des salariés concernés.

Nous rappelons que pour ce calcul, on ne prend pas en compte les 25 «meilleures» années (c’était l’ancien système), mais les 25 … dernières années (système actuel).

Et si vous avez 1/3 voire la moitié de ces 25 dernières années qui sont des périodes de chômage ça ne passera pas inaperçu au moment du calcul du montant de votre retraite.

Le nombre de salariés concernés, dans ce cas, n’est pas négligeable. Ce serait sans doute fort instructif de calculer l’impact que cela a sur le montant total des retraites versées

Dernier point : on est en droit de s’interroger sur les vraies raisons qui poussent Macron à vouloir à tout prix cette réforme, qui ne changera rien, pour les raisons indiquées.

Je n’en vois qu’une seule : l’Europe.

La France est couverte de dettes … plus de 3000 milliards.

Elle a absolument besoin de pouvoir emprunter sur les marchés financiers. Sinon c’est la faillite.

Or qui pilote tout cela … l’Europe dominée par les allemands, avec la BCE.

Dès lors, puisque l’Allemagne, donc l’Europe, veut à tout prix imposer cette réforme à la France, Macron n’a pas de marge de manœuvre.

Il faut qu’il s’exécute. D’où son acharnement à imposer la réforme des retraites.

Sauf à se couper toute possibilité d’obtenir des crédits.

C’est le même problème que la crise actuelle de l’énergie.

La seule solution sérieuse serait de sortir du système européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz (et de supprimer en France le système de l’ARENH).

Mais qui a voulu ce système : … l’Allemagne. Pour contrer l’avantage que la France avait avec son parc nucléaire. Et l’Allemagne ne laissera pas facilement la France sortir du système, ce qui pourtant mettrait un terme en France à la crise que nous connaissons.

Pour preuve, le gouvernement, totalement affolé, indique toute une batterie de mesures … sauf de sortir du système européen imposé par l’Allemagne.

Les semaines et mois qui viennent ne vont pas être une sinécure pour le gouvernement … !

16:59 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 janvier 2023

Macron – Le Maire - Borne pensent-ils vraiment qu’on est des lapins de 6 semaines ?

Macron-Borne-Lemaire.jpg

Bernard Germain 

Je le disais dans un article précédent… la chose a remplacé le verbe.

Visiblement, les Français ne comprenaient pas lorsque nous dénoncions la machine diabolique qu’est devenue l’Europe.

À l’origine, conçue pour être une Europe des nations du temps du Général De Gaulle elle s’est transformée en une machine de guerre pour détruire les nations et les peuples d’Europe.

Hier ce n’était que des mots, pour certains. Aujourd’hui cette réalité s’impose à tous, dans toute sa brutalité.

Johnny Blanc, fromager de son état, a été interviewé récemment sur BFMTV concernant le prix de l’énergie qui explose et les conséquences prévisibles de ce phénomène.

Pour lui le problème est d’une simplicité biblique : sa facture d’électricité mensuelle qui était de 4.700€ (ce qui est déjà fort dynamique) est passée à … 30.000€ par mois !

Le malheureux n’est absolument pas un cas isolé.

Les restaurateurs, boulangers, pâtissiers, fromagers,… bref une kyrielle de professions de l’artisanat sont frappées de plein fouet.

Il en est de même pour les industriels, grands et petits.

Sans oublier, bien sûr les particuliers.

Pour un nombre considérable de professionnels, l’alternative est des plus simples :

  • Trouver un moyen d’en revenir à des factures normales
  • Sinon, mettre la clé sous la porte et déposer le bilan.

Le pouvoir, paniqué par la situation et les conséquences à venir, essaye d’éteindre l’incendie.

Avec des arguments plus mauvais les uns que les autres.

Élisabeth Borne indique que l’État va « accorder un report du paiement des taxes et impôts »

Bruno Le Maire déclare qu’il va « hausser le ton ».

Quant à Macron, il a déclaré lors de ses vœux « Qui aurait pu prédire la vague d’inflation ? »

Lire la suite

17:20 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |