mardi, 30 mai 2023
Migrants déplacés en province : On nous prend pour des demeurés
Bernard Germain
C’est la dernière tarte à la crème trouvée par nos « élites » : exporter les migrants sans abris de Paris vers la province et les répartir dans les régions.
Sur le papier, le raisonnement semble imparable : il y a trop de migrants sans abris à Paris. Il y a donc constamment des camps de fortune qui se créent. Cela détruit l’image de la France et de la capitale. Nous devons absolument enlever ces migrants et les envoyer en province à la veille de la coupe du monde de septembre-octobre 2023 et des JO 2024. Sinon Paris ne sera plus la « plus belle ville du monde » pour les touristes venant de la terre entière.
Au premier abord, on se dit : « effectivement, si on enlève les migrants et leurs camps de fortune ça fera plus propre ». Malheureusement, ceux qui tiennent ce raisonnement et pensent que le départ des migrants va solutionner le problème, sont soit complètement idiots, soit nous prennent pour des imbéciles incurables.
Parce qu’il y a un détail qu’ils oublient : si on veut faire baisser le nombre de migrants et de camps de fortune à Paris, la condition sine qua non pour réussir l’opération, c’est qu’aucun nouveau migrant n’arrive à Paris. Or, comme chacun le sait, l’immigration est totalement incontrôlée. Donc ceux qui seront envoyés en province seront immédiatement remplacés par d’autres.
En effet :
- Faut-il rappeler que l’Europe fait tout pour favoriser l’arrivée de migrants sur notre continent, en relation avec les accords de Marrakech signés en 2018 sous l’égide de l’ONU ?
- Faut-il rappeler l’existence de l’espace Schengen et la libre circulation des individus lorsqu’ils sont à l’intérieur des frontières de Europe ?
- Faut-il rappeler la suppression par Hollande du délit de « séjour illégal sur le territoire » ?
- Faut-il rappeler que seulement 10 % des OQTF sont exécutées en France (contre 60 % en Allemagne) ?
- Faut-il redire que la destination prioritaire de tous ces nouveaux migrants arrivant en France reste la capitale ?
- Faut-il redire qu’aucun pays au monde n’est aussi généreux avec les migrants que la France (AME, aides en tous genres, ...etc) ce qui crée un appel d’air phénoménal ?
Cela tous nos dirigeants le savent. Alors pourquoi prétendent-ils que le déplacement de migrants en province va « désengorger » Paris ?
J’y vois deux raisons.
Tout d’abord afin de culpabiliser ceux, par ailleurs un peu naïfs, qui s’interrogeraient sur la pertinence de la mesure. La culpabilisation c’est efficace. Souvenons-nous de l’argument des immigrationnistes « Cela ne vous dérange pas de laisser les immigrés se noyer en Méditerranée ? » alors que tout le monde sait qu’il n’y a aucun sauvetage réel en mer mais une organisation bien rôdée entre passeurs (mafia) et ONG qui met en scène des sauvetages imaginaires.
Donc, le même type d’arguments va être utilisé : « Cela ne vous gêne pas d’abandonner ces pauvres gens en les condamnant à vivre dans la rue à Paris ? Et de plus donner une image pitoyable de la capitale à la veille de la coupe du monde de rugby et des JO ? ».
Ensuite, en province, là où ils seront « accueillis », on dira à ceux qui hésitent : « c’est notre devoir de les accueillir, afin de leur venir en aide et sauver en même temps l’image de la France ».
En réalité, tout cela n’est qu’une sinistre comédie et un prétexte qui visent à donner un habillage à la politique de Macron de répartition des migrants partout dans les campagnes. Ce qu’ils appellent la « transition démographique ».
En espérant qu’il y aura peu d’opposition des populations concernées par ces arrivées imposées. En Bretagne, le centre d’arrivée sera à Bruz, près de Rennes. Ce n’est pas un hasard. Pourquoi ?… parce que c’est juste à côté de Rennes, une ville maintenant pourrie dans laquelle sévissent de très nombreux antifas. Alors, si vous voulez manifester à Bruz ?… réfléchissez bien, les antifas ne sont pas loin et nombreux.
N’oubliez pas que c’est à côté de Rennes que Jordan Bardella a vu l’un de ses meetings, tenu dans une ferme en rase campagne, être attaqué par des antifas qui ont à cette occasion exercé de multiples violences et brûlé une voiture. Il n’y eut aucune arrestation.
Contrairement à ce qui s’est passé à Callac, le préfet d’Île et Vilaine n’est pas trop préoccupé par la protection de ceux que les antifas veulent agresser.
Ensuite, après leur arrivée à Bruz, les migrants seront répartis dans toute une série de bourgs et villages sur décision préfectorale, avec un accompagnement par des associations du type Viltaïs, dont la motivation est de faire de l’argent, tout en prétendant agir par humanitarisme.
Chaque village concerné sera, d’une part, confronté aux problèmes classiques liés à l’arrivée de migrants aux modes de vie en complet décalage avec les nôtres.
Et d’autre part les municipalités vont devoir trouver la solution au problème suivant : l’accompagnement des associations type Viltaïs ne dure que quelques mois. Ensuite, c’est à chaque commune de trouver les moyens de continuer cet accompagnement.
Et sur ce plan, il n’y a qu’une solution pour trouver l’argent nécessaire… augmenter les impôts locaux.
Les Français qui souffrent déjà gravement d’un coût de la vie qui ne cesse d’augmenter vont en plus devoir se serrer la ceinture pour assumer la présence de gens qu’ils n’ont nullement souhaités.
Comment pourraient-ils accepter cela alors que dans le même temps ils constatent qu’il n’y a pas un sous pour aider leurs concitoyens en difficulté, comme je l’ai démontré dans au moins trois articles récemment.
Les élus se plaignent d’être mal vus, et certains agressés, mais s’ils cautionnent ces actions délirantes de l’État et du gouvernement, pensent-ils qu’ils vont contribuer à calmer la population ?
Gageons que les mois à venir vont être marqués par de nombreuses crises dans des villes et villages de province. Et puis, n’oublions pas que pour une multitude de migrants, rester à ne rien faire dans des bourgades de province ne sera pas un sort acceptable. J’ai donc tendance à croire qu’ils voudront rapidement revenir en région parisienne.
À propos de la région parisienne, j’ai vu avec stupéfaction une vidéo tournée sur l’autoroute A1 entre Roissy et Paris. On y voit des individus à scooter (sans doute des anglais) attaquer des voitures en les forçant à s’arrêter ou profiter d’embouteillages pour les dévaliser. Cela faisait immanquablement penser à l’attaque de la diligence par des indiens. Sauf que ce n’était pas un western, que les attaquants n’étaient pas des indiens, et ceux qui étaient dans la diligence étaient des touristes.
Il paraît, et c’est le plus inquiétant, que cela devient courant sur cet axe autoroutier. On avait déjà eu un aperçu, avec la finale du foot au stade de France, de ce qui peut arriver. Avec la coupe de Rugby et les JO en 2024, les mêmes problèmes ne seront pas circoncis à un seul lieu, mais se constateront à de multiples endroits.
La tentative de l’État et du gouvernement d’éviter ces problèmes en expédiant en province les migrants, ne fonctionnera pas pour les raisons que j’ai évoquées.
Notre pays est à la veille d’une crise majeure qui va nous frapper dès la fin de ces vacances d’été. La coupe du monde de rugby 2023 sera une répétition générale de ce que nous connaîtrons de manière décuplée avec les JO de l’été 2024.
Nous allons pouvoir constater en quoi l’immigration incontrôlée depuis des années est dans les faits une « chance pour la France » et contribue à envoyer au monde entier une image positive de notre pays.
Le pire est devant nous.
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vendredi, 26 mai 2023
Callac : Laure-Line Inderbitzin virée par le maire de son poste d’adjointe
Bernard Germain
Le 17 mai j’avais publié un article relatant les dernières frasques de Laure-Line Inderbitzin. Vous savez, la grande malade de Callac -en arrêt maladie depuis des mois- mais qui est tellement malade qu’elle se produit hors des heures autorisées de sortie à de multiples endroits et publiquement, s’il vous plaît.
Par exemple comme nous l’avions indiqué : dans un bar le soir à lever son verre tout en chantant en breton (filmé et diffusé par TF1), ou encore en participant à un conseil municipal. Enfin, dernièrement à participer à un débat dans les locaux de Médiapart à Paris (visible sur YouTube).
Pendant ce temps là, ses élèves (elle est enseignante) n’ont pas de cours et cela énerve passablement les parents des élèves abandonnés par Laure-Line. Je continue à être très étonné, vu que tout cela est largement public, qu’aucune poursuite ne soit engagé contre cette dame, par exemple par la Sécurité Sociale ou l’Éducation nationale. Laure-Line serait-elle au dessus des Lois ? En tout cas, si elle n’est pas au dessus des Lois, cela y ressemble fort.
Pour Laure-Line, aucune limite n’existe visiblement sur le plan du respect des règles de vie en société, mais c’est aussi le cas sur le plan politique.
Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré à propos de l’arrêt du projet Horizon à Callac qui prévoyait l’arrivée de plusieurs centaines de migrants : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ». En langage clair, le maire a capitulé devant « l’extrême droite » c’est « impardonnable ».
En entendant cette déclaration de Laure-Line, je m’étais dit : « Dans n’importe quelle mairie normalement constituée, un adjoint qui dirait cela de son maire serait débarqué sur le champ ». Visiblement le maire de Callac est de cet avis.
Il vient de débarquer la dame de son poste d’adjointe. Du moins, c’est ce que rapporte la presse locale. Le conseil municipal du 1er juin doit officialiser la chose.
À mon avis, ce n’est qu’un début. Pourquoi ?
Parce qu’il y a un autre enragé pro-immigration dans ce conseil municipal : le sieur Morcet.
Vous savez, celui qui a porté plainte contre l’association « les Amis de Callac et ses environs », parce qu’il aurait vu la nuit et sans éclairage dans son jardin un homme habillé en noir et portant une cagoule. Observation faite depuis la fenêtre de sa chambre. Le gars est vraiment fort, il voit la nuit dans le noir, un homme habillé tout en noir avec cagoule et précise qu’il mesurait 1m75 à 1m80. C’est le champion du monde de la vision nocturne.
Comme je le disais, ce monsieur est également connu pour être l’un des plus enragés du conseil municipal pour la venue de migrants à Callac. Que va-t-il faire au conseil du 1er juin ?
Va-t-il soutenir Laure-Line et s’opposer à sa destitution de 2e adjointe ou va-t-il se coucher et « trahir » Laure-Line ? S’il s’oppose, il ne reste plus au maire qu’à lui retirer aussi sa délégation d’adjoint, parce qu’il est lui aussi adjoint au maire. À mon humble avis, on n’en est qu’au début d’une crise qui va toucher tout le conseil municipal.
Cela pourrait d’ailleurs se terminer par une démission collective obligeant à l’organisation de nouvelles élections. C’est d’autant plus vrai que les problèmes s’accumulent et sont plus explosifs les uns que les autres.
Ainsi, malgré l’abandon du projet Horizon, les deux vétérinaires Joncour et Lagrue, eux aussi totalement pro-migrants, continuent inlassablement à promouvoir l’arrivée de familles d’immigrés.
Tout comme Viltaïs l’association sulfureuse pro-migrants pour laquelle faire venir des migrants est un business qui rapporte beaucoup d’argent sous forme de subventions, c’est à dire nos impôts.
Mais voyez-vous, les problèmes ne s’arrêtent pas là. L’accompagnement des migrants par Viltaïs ne va durer que quelques mois. Et après, que va-t-il se passer ?
Rappelons qu’il n’y a pas un euro, pas un emploi, pas une aide pour les habitants de Callac. Par contre, des sommes folles sont dépensées pour ces migrants afin de les faire venir et les installer. Mais ensuite ce sera aux callacois d’assurer la suite.
Quand cela va être à l’ordre du jour du conseil, ça risque de faire des étincelles. Qui va accepter de voter l’augmentation des impôts fonciers par exemple, pour financer l’accompagnement des migrants lorsque Viltaïs aura fini son accompagnement ?
Le maire s’est aperçu, qu’il s’est fait manipuler par l’extrême gauche depuis le début de cette affaire. Il est même en passe de devenir l’ennemi de cette extrême gauche puisqu’il a « capitulé » devant les « fascistes ». Moi je dirais plutôt qu’il est redescendu sur terre et a retrouvé un certain bon sens.
Reste qu’il va devoir choisir entre les conséquences des folies de l’extrême gauche et ce que veulent et surtout ne veulent pas ses administrés. Car soyons simples. Les callacois commencent à comprendre que l’abandon du projet Horizon n’a nullement réglé tous les problèmes.
Aujourd’hui, les callacois voient bien que le travail de sape des Lagrue et Joncour, de Viltaïs et des élus municipaux pro-immigration qui veulent amener dans le bourg toujours plus d’immigrés… tout cela va avoir un coût et ce sont les habitants à la fin qui vont devoir payer.
L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a de multiples contacts et discussions avec les habitants. Je suis en mesure de dire que la colère est en train de monter au sein de la population.
Si les habitants constatent une augmentation significative des impôts locaux, afin de financer les conséquences de cette politique immigrationniste, ce ne sont pas les imaginaires violences d’extrême droite auxquelles les élus vont devoir faire face, mais à une bien réelle sérieuse colère des habitants.
Débarquer Laure-Line, sans doute aussi Morcet, sont des mesures de salubrité publique. Mais ce ne sera pas suffisant. Le maire va devoir décider très vite s’il assume les conséquences de l’arrivée de ces immigrés à Callac, et s’il met le financement de tout cela à la charge des callacois.
À l’inverse, si le maire veut réellement sortir sa ville du guêpier dans lequel elle est tombée, il va devoir aller jusqu’au bout et prendre les mesures pour s’opposer et se se désengager vraiment de cette politique. Les semaines et mois à venir vont être riches d’enseignements.
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Waouh ! Je suis qualifié de prédicateur néofasciste par “l’Humanité”
Bernard Germain
Hier 24 mai, le journal L’Humanité m’a consacré un “article” cliquez ici. Que dis-je un brûlot dans le plus parfait style stalinien. Vu sa manière de faire son métier de “journaliste” l’auteur a certainement été diplômé de La Pravda, avec mention spéciale.
D’ailleurs, ce genre d’article semble la spécialité du dénommé Émilien Urbach, puisque tel est le nom de ce plumitif venimeux. Il avait déjà commis un article contre moi auquel j’avais répondu le 22 février 2023.
Là il recommence, en montant franchement les curseurs en matière d’injures, d’accusations gratuites et de calomnies. L’article commence avec ce titre : « Partout Callac », la pieuvre brune du prédicateur néofasciste Bernard Germain » Le moins qu’on puisse dire c’est que ça démarre fort. Le lecteur est immédiatement dans le vif du sujet.
Il se poursuit ainsi : « La coordination créée par le prédicateur néofasciste Bernard Germain veut fédérer toutes les mouvances d’extrême droite afin de semer la peur, la haine et la violence là où des projets d’accueil d’exilés tentent de voir le jour. L’organisation est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher.
En fait ce “journaliste” a manifestement des problèmes de vue, ou alors il ne sait pas lire. La Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr) n’a pas pour objectif de “fédérer toutes les mouvances d’extrême droite“, mais de venir en aide à tous ceux qui sont confrontés en France, à l’installation de CADA dans leur commune, ou toute autre sorte de structure amenant des immigrés contre la volonté de la population locale. En leur faisant profiter de notre expérience.
D’autre part, ce “journaliste” a aussi des problèmes de compréhension. Notre objectif n’est nullement de “semer la peur, la haine et la violence“. Les seuls qui font cela, ce sont justement les copains de ce “journaliste”, les antifas et autres écolos dingos.
A-t-il oublié Sainte-Soline et tous les cocktails Molotov des écolos fous ? A-t-il oublié les 2000 policiers et gendarmes blessés par les antifas lors de Sainte-Soline et des manifestations contre la retraite à 64 ans ? A-t-il oublié que même Fabien Roussel (PCF) a dû être exfiltré lors de la dernière manifestation sur les retraites sinon il se faisait lyncher par les antifas parce qu’il est certes “fou” politiquement de soutenir la NUPES, mais pas assez fou pour les enragés de ce camp.
Cette violence réelle, ce “journaliste” ne la voit pas.
Mais les violences imaginaires de l’extrême droite, il vous en parle à longueur de colonnes. Cela ressemble à une obsession.
D’ailleurs, nous lui lançons un défi : peut-il nous citer des faits où “l’extrême droite” est clairement responsable de violences et de dégradations ? Il va avoir du mal. Il n’y en a pas. Tandis que moi, je peux citer de multiples violences des antifas, milices macronistes constituées d’individus sulfureux soutenus par le PCF et la “gauche” (en fait l’extrême gauche).
Par exemple, rien qu’à Callac, les 17 septembre, 5 novembre et 28 janvier 2023, les antifas, avec la “gauche”, ont agressé les gendarmes. À Saint-Brevin, lors des deux dernières manifestations, les antifas, avec la “gauche” ont agressé les gendarmes, afin d’atteindre nos manifestations pour en découdre avec les patriotes et ceux qui refusent les CADA. Mais là, c’est bizarre, le sieur Urbach n’a pas un mot pour condamner ces violences et dégradations bien réelles. Et même politiquement, les amis du triste Urbach défendent l’indéfendable.
Ainsi, à Callac, ils ont refusé publiquement le 5 octobre 2022 (le maire PCF et sa majorité) de faire un référendum pour demander à la population si elle accepte ou pas le projet de faire venir des centaines d’immigrés dans ce village parce que… 80 % est contre.
Mais sur la réforme des retraites de Macron, les mêmes demandent… un référendum. En clair, consulter la population n’est une bonne idée que si la population va répondre ce que la “gauche” veut entendre.
Si le peuple souhaite autre chose que ce que veut la “gauche”, là c’est une très mauvaise idée de faire un référendum. Et le peuple est prié de se taire et de garder ses opinions pour lui. Dire que ces gens se considèrent et se présentent comme des démocrates…
Mais reprenons ce qu’écrit notre stalinien de service :
En le lisant, j’ai appris que je suis maintenant « le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Franchement, mes amis, ça en jette et ça fait sérieux. Vous imaginez lors d’un prochain débat, le journaliste déclarant : « Nous avons le plaisir de compter parmi nous le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Il va y avoir des jaloux…
Notre Émilien continue son article en indiquant : « L’organisation (Partout Callac – NDLR) est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher » Là, notre journaliste devrait faire attention.
Il m’accuse directement des menaces contre le petit journal gauchiste qui m’a assigné au tribunal (l’audience prévue le 3 mars a été reportée). Notre “journaliste” serait-il en réalité un guépéoutiste (police politique stalinienne) ayant mené une enquête secrète dont il cacherait les conclusions à la justice française ? Car, et j’en suis le premier étonné, les enquêtes en cours conduites par la police ne m’ont nullement mis en cause, pas plus qu’un autre membre de l’association “Les Amis de Callac et ses environs”.
Donc cette affirmation directe de culpabilité, sans aucune preuve, ça porte un nom : c’est de la “dénonciation calomnieuse”, et c’est sanctionné par la Loi. Tout comme il accuse directement Riposte Laïque et Résistance Républicaine d’être la source des mêmes méthodes à Callac et Saint-Brevin.
Attention Émilien, on ne peut pas affirmer n’importe quoi sans preuve. C’est un jeu dangereux.
Pour être honnête, je ne souhaite pas cacher que notre avocat étudie le problème. Par ailleurs, je rappelle que le code pénal sanctionne quiconque détient des informations qu’il cache à la justice. Or pour l’instant ni la justice ni la police n’accusent personne.
Là aussi, notre « journaliste » devrait faire attention, le parquet pourrait se retourner contre lui et lui demander pourquoi il cache ces informations au procureur et aux juges. S’il en a.
En vérité, c’est beaucoup plus simple que cela. Il ne cache rien du tout, car il n’a aucun élément. Il ne sait que calomnier et est bien incapable d’apporter le plus petit début d’un commencement de preuve de notre implication dans ces menaces, intimidations ou pressions diverses. Car il n’y en a pas.
Reste que tous les crétins qui le croient sur parole seront convaincus qu’Émilien est un grand défenseur de la liberté. Quant à ceux qui réfléchissent un peu, et qui se posent un minimum de questions, ils savent que ce type ne sait que salir. Quand on n’a rien de positif et de constructif à proposer, être destructeur et venimeux, c’est aussi une manière d’exister. Et le pauvre n’a visiblement que cette dernière. Au demeurant, notre petit « journaliste » devrait comprendre (s’il le peut) que salir l’autre n’est pas non plus une politique qui fera changer d’avis les 70 % de Français qui veulent l’arrêt de l’immigration en France.
À Callac, malgré tous les mensonges des Urbach et consorts, les habitants ont bien vu ce qu’est en réalité la politique immigrationniste soutenue par ce “journaliste” et ses amis. Les habitants ont rejeté massivement cette politique.
Au final, il faut toujours savoir tirer quelque chose de positif d’une expérience, même la plus désagréable. Là, je ne peux dire qu’une chose : merci Émilien pour cette publicité gratuite.
Cela permet à tous ceux qui veulent se battre et ne connaissaient pas encore notre Coordination Partout Callac d’entendre parler de nous.
Je suis sûr que le nombre de vues sur notre site va augmenter. Ainsi que nos contacts.
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mercredi, 24 mai 2023
Immigration : LR nous prend pour des perdreaux de l’année
Bernard Germain
Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de noter que jusqu’à maintenant tous ceux qui parlaient d’immigration en soulignant que c’était la source d’une multitude de problèmes étaient qualifiés de fascistes, de racistes ou de xénophobes. Y compris par le parti LR.
Aujourd’hui, les LR semblent se réveiller et à cette occasion découvrent la face cachée de la lune, à savoir que oui, l’immigration est un grave problème pour notre pays et qu’elle a d’innombrables conséquences comme l’insécurité, un coût social délirant, de la fraude sociale, des atteintes à la laïcité, un refus de s’intégrer et encore plus de s’assimiler, la création de zones géographiques dans lesquelles les Lois de la République ne s’appliquent plus,… etc. Bref ils ont découvert tout ce qui pourrit au quotidien la vie de notre pays et des Français.
La motivation de ces propositions LR est toute simple. Avec la Loi sur la retraite à 64 ans, les LR en sauvant le gouvernement Macron (49-3) se sont « grillés » aux yeux de l’opinion publique. Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour les Français, même les plus crédules, Macron et LR c’est maintenant blanc bonnet et bonnet blanc. Si LR ne trouve pas le moyen de faire croire qu’ils sont différents, c’est leur disparition qui est à l’ordre du jour, à l’occasion des prochaines élections. Ils ont donc trouvé avec l’immigration un sujet avec lequel ils pensent se refaire une virginité.
Sauf que le projet qu’ils présentent n’est qu’un projet à « l’eau tiède » alors qu’il faudrait un véritable projet de rupture avec les politiques suivies depuis des décennies par tout le personnel politique qu’il soit de droite ou de gauche. De plus ils se heurtent à un problème constitutionnel.
Ainsi, ils proposent deux Lois.
L’une est une Loi constitutionnelle parce que le sujet de l’immigration n’est pas prévu, selon certains, dans les thèmes mentionnés dans l’article 11 de la constitution de notre pays. De qui se moque-t-on ?
Voilà ce que dit l’article 11 de notre constitution : « Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d'un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. »
Ceux qui prétendent que l’article 11 ne peut-être utilisé pour organiser un référendum sur l’immigration, affirment donc que cette dernière ne relèverait pas d’une politique « sociale ». En conséquence l’article 11 ne peut être utilisé et il faudrait une modification de la constitution.
Vraiment ?
Le regroupement familial, ce n’est pas un problème social ?
Les versements sociaux qui se chiffrent en dizaines de milliards, faits à des millions de personnes immigrées, ce n’est pas un problème social ?
Les fraudes sociales en tout genres, causées par de nombreux membres de cette immigration, ce n’est pas un problème social ?
La délinquance liée à cette immigration et le coût que cela entraîne pour notre pays, ce n’est pas un problème social ?
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" Instrumentalisation de Lola sur France 5 : je n’ai jamais vu une émission aussi abjecte "
Bernard Germain
La première fois, Lola est morte dans des conditions atroces, sauvagement assassinée par une Algérienne en situation de clandestinité. Elle n’avait donc rien à faire sur notre territoire national. De plus elle était frappée d’une OQTF et si cette obligation de quitter le territoire avait été appliquée, Lola serait toujours parmi nous.
Mais comme les frontières du pays ne sont plus surveillées, à cause d’une décision de l’Europe, comme le délit de clandestinité a été supprimé par la « Gôche » (Hollande), comme de multiples associations continuent à œuvre inlassablement à l’arrivée de toujours plus d’immigrés, comme la justice ne protège pas les Français et ne fait pas appliquer les OQTF, tout cela a coûté la vie à une gamine de 12 ans.
Il aurait été logique que la France entière descende dans la rue et manifeste comme cela s’est passé au moment des attentats contre Charlie Hebdo. Parce que Lola ça aurait pu être n’importe quel gosse de France. Alors chacun était en droit de s’identifier aux parents et au calvaire qu’ils enduraient avec le meurtre de leur enfant. Et d’exprimer son dégoût des conséquences de la politique de l’Europe, de la servilité des hommes politiques français qui appliquent cette politique, de l’incroyable fonctionnement de la justice et de l’action de toutes ces associations pro-migrants.
À l’inverse, une véritable chape de plomb est tombée sur notre société. Tout a été fait pour que les français ne puissent pas manifester et exprimer leur indignation ni leur ressentiment face à cet évènement odieux et insupportable. Tous ceux qui osèrent se rassembler pour honorer la mémoire de Lola et dénoncer les causes de sa mort, furent diabolisés. Même le RN, devant l’ampleur de cette campagne, refusa de manifester dans les rues.
Telles furent les conditions de la première mort de Lola et ses suites immédiates.
Dimanche soir, sur France 5 - chaîne de service public payée par nos impôts - s’est déroulé une émission intitulée « La fabrique du mensonge », consacrée à l’affaire Lola.
J’ai beau remuer les souvenirs de toute ma vie, je n’arrive pas à me remémorer une émission aussi abjecte. Son objet n’était nullement de rendre hommage à Lola. Encore moins de dénoncer les coupables de sa mort, à commencer par cette Algérienne (une « déséquilibrée » bien sûr... dixit France 5) mais aussi toute la chaîne que j’ai indiquée qui se termina par cet horrible évènement.
Non, l’objet de cette émission était, à l’occasion du meurtre de Lola, de « dénoncer l’existence d’une fachosphère en France ». En clair, le prétexte fut le meurtre de Lola, mais l’objectif était en réalité une opération politique afin d’affoler les Français avec de prétendus fascistes qui menaceraient le pays.
Peut-on dire plus clairement que Lola a été instrumentalisée à cette occasion pour servir une cause politique et des gens qui ne redoutent pas d’utiliser la mort d’une gosse pour leur propagande délirante et honteuse.
Quelqu’un osera-t-il me dire que ce n’est pas de la « récupération » cette émission de France 5 ? Il se trouve que « la récupération » est l’accusation préférée des bien pensants vis à vis de ceux qui défendent leur pays. Cela ne fait que confirmer l’adage bien connu qui veut qu’on ne critique jamais autant que ses propres turpitudes.
On en a eu une invraisemblable confirmation dimanche soir sur France 5.
Karim Rissouli, le « journaliste » - moi je dirais plutôt le propagandiste en chef -, qui présenta l’émission et anima le débat qui s’est déroulé à la suite, a fait un travail formidable… dans l’abject et la désinformation du public. Un véritable artiste cet homme.
Sa méthode est des plus simples et on la vit tout au long du reportage : « Pas de récupération, ni d’utilisation de la mort de Lola à des fins politiques ».
Hier à l’occasion de chaque attentat islamiste on entendait : « Pas d’amalgame », «Vous n’aurez pas ma haine » et la bonne réaction c’était de mettre des bougies et des nounours… en attendant les prochains morts.
C’est pour cela que mon ami, Patrick Jardin - dont la fille est morte au Bataclan fauchée par les balles des islamistes - a été traîné dans la boue par tant de collègues bien pensants de Karim Rissouli au motif qu’il est indécent de dire : « jamais je ne pardonnerai ».
On se souviendra au passage qu’Eric Zemmour alors qu’il était allé se recueillir devant le Bataclan en Novembre 2021, fut dénoncé et critiqué par Raquel Garrido - députée LFI - parce que ce geste « empêchait la réconciliation » avec les terroristes du Bataclan. Et bien nous, on ne veut pas se réconcilier avec les terroristes.
Je rappelle que depuis l’affaire Merah en 2012, il y a eu entre 300 et 400 morts en France, tombés sous les balles ou les coups de couteau, d’islamistes. Et plus de 1 000 blessés dont certains estropiés à vie.
Comme Patrick Jardin, on ne va pas oublier et on ne pardonnera jamais.
Lorsque des Français tombent, on manifeste, on honore leur mémoire et on demande des comptes à tous ceux qui en sont les responsables à un degré plus ou moins grand.
Hier, c’était « Pas d’amalgame », aujourd’hui on entend « Pas de récupération », afin de tuer dans l’œuf toute volonté ou possibilité de mobiliser contre les conséquences de l’invasion migratoire. Karim Rissouli, les invités de son débat et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette émission sordide sont dans le camp du « bien ».
Le camp de ceux qui diabolisent les gens comme nous, et nous dénoncent comme étant des « fachos ». Le camp de ceux qui veulent se « réconcilier » avec les terroristes, ceux qui répètent en boucle « Pas d’amalgame », « Vous n’aurez pas ma haine » ou « Pas de récupération ». Ceux qui ajoutent que « l’islam est une religion de paix et d’amour ».
Le moins qu’on puisse dire c’est que l’émission de Karim Rissouli n’y a pas été avec le dos de la cuillère et n’a pas fait dans le détail. Tout le mode y est passé.
Tout d’abord, Samuel Lafont (Reconquête) ainsi que Damien Rieu (Reconquête) pour le travail qu’ils ont fait sur les réseaux sociaux afin d’informer les Français et contribuer à leur mobilisation.
Eric Zemmour lui-même fut vilipendé pour avoir inventé le terme de « francocide ». Tout comme Renaud Camus pour son concept de « Grand remplacement ». Et puis, il y eut le couplet sur les médias d’ultra-droite, CNews et Valeurs actuelles en tête, sans oublier Riposte Laïque, « site complotiste d’ultra droite ». Et puis, Vincent Bolloré l’homme qui consacre tant d’argent pour propager ces idées nauséabondes.
Et puis Cyril Hanouna pour avoir condamné à l’antenne ce meurtre immonde et dit qu’un procès devrait être organisé immédiatement et que cette Algérienne devrait être condamnée à perpétuité. Et puis,… j’arrête là. Je pourrais remplir une page complète.
Arrivé à ce stade, le lecteur pourrait se demander : « comment se fait-il que ces gens « bien pensants » soient à ce point aveugles ? Comment se fait-ils qu’ils nient la simple réalité et le plus élémentaire bon sens ? Comment se fait-il qu’ils diabolisent ainsi quiconque veut dénoncer des faits horribles, tels la mort de Lola ? » La réponse est fort simple et est écrite en toutes lettres sur le site de France Télévisions dans l’article consacré à cette émission : « Quand l’extrême droite récupère ça, elle attaque aussi les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte, où il y a toutes les populations qui sont représentées, qui vit ensemble. »
C’est donc cela la raison de cette émission pourrie : En dénonçant l’assassinat de Lola, l’extrême droite attaque « les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte (…) qui vit ensemble ».
Donc dénoncer le meurtre de Lola, c’est attaquer l’idéologie de ceux qui veulent que les Français vivent ensemble avec ceux qui viennent de l’autre bout du monde et dont certains les assassinent.
L’émission qu’a produite France 5 était donc une émission politique, à la gloire de l’idéologie immigrationniste et du vivre ensemble.
Idéologie qui est responsable de tant de malheurs pour nos compatriotes à travers tout le pays que les journaux relatent quotidiennement. Voilà ce qu’est devenu le service public dans le domaine des médias : une machine de propagande politique « bien pensante » qui intoxique chaque jour les Français et les désinforme.
Dimanche soir, avec son émission, France 5 a tué une seconde fois Lola, au nom de la bien pensance et de l’immigrationnisme, en « récupérant » le meurtre d’une enfant de 12 ans à des fins politiques. Odieux et ignoble…
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dimanche, 21 mai 2023
Les migrants dans les châteaux, mais une famille française de 5 enfants à la rue
Bernard Germain
Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.
Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.
Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.
Ceux qui sont prioritaires, ce sont des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, qui n’ont jamais cotisés et dont la plupart ne travaillent pas, vivant d’aides et de prestations sociales.
Cette histoire tragique m’en rappelle une autre. J’avais écrit un article à ce sujet : cliquez ici
Il s’agissait d’une famille française, en Bretagne à Ploërmel, qui travaillait et par honnêteté avait accepté de quitter le logement qu’elle occupait avec ses quatre enfants pour satisfaire la demande du propriétaire de récupérer son bien, mais sans prendre la précaution la précaution d’avoir un nouveau logement avant de déménager.
Résultat : obligée de vivre sur un terrain déclaré insalubre dans une caravane. Pourquoi ? parce que tous les logements sociaux sont attribués en priorité aux migrants, dont il faut « prendre soin ». Alors, il n’y avait pas de logement pour eux qui payent des cotisations sociales et qui venaient de recevoir la médaille de la famille par le maire de leur commune.
Je peux également citer un autre article que j’avais écrit sur un problème similaire. cliquez là
Là il s’agissait d’un homme vivant à Paris. Victime d’un accident du travail il avait perdu son logement et s’était retrouvé à la rue. Oui, ... SDF pour cause d’accident du travail.
Après 2 ans passés hiver comme été dans la rue, il s’était rétabli et pouvait à nouveau travailler. Mais il avait un problème. Pour signer son contrat de travail il lui fallait une adresse. Donc impossible de retrouver du travail.
Sauf que pas de travail implique une absence de ressource. Donc personne ne voulait lui louer un bien immobilier. Une histoire de fou, lui interdisant de retrouver une vie normale et de quitter la rue. Vous me direz peut-être : « Il y a des services sociaux qui peuvent le loger et le sortir de sa situation d’extrême pauvreté ».
Oui, vous avez raison. Mais cet homme a fait le tour de tous les services. La réponse était invariablement la même : « Vous n’êtes pas prioritaire. Ce sont les migrants qui le sont ». Donc, il n’y a rien pour eux.
Trois histoires. Trois situations identiques.
Des personnes qui ont travaillé ou travaillent depuis de longues années. Donc qui ont cotisé ou cotisent.
Un problème survient et l’enfer leur tombe sur la tête. Ils se retrouvent dans la précarité, abandonnés par l’État et tous les services sociaux.
L’État… parlons-en. Il ne fait rien pour ces français, il les abandonne et au fond n’en a rien à faire.
Par contre les migrants, ça c’est important. Le château ci-dessus, situé à Saint-Jean-le-Vieux (01)est classé aux monuments de France. C’est dans ce château que le préfet de l’Ain va héberger des migrants. Les habitants sont furieux, le maire se dit impuissant face à la décision de la préfète. Là, on touche le fond.
Des migrants dans un château classé monument historique. Tandis que les français, sont à la rue, sur un terrain insalubre ou sur un parking de super marché s’ils rencontrent le moindre problème. Quelle honte !
Il est urgent d’arrêter cette immigration folle et d’obliger les délinquants, OQTF et autres indésirables à quitter notre territoire dans les meilleurs délais.
Quant aux français il faut appliquer la préférence nationale, c’est à dire leur donner la priorité pour tout ce qui relève du social, notamment l’accès aux logements sociaux.
Si on arrive à en finir avec la misère en France, il sera toujours temps de s’occuper du reste du monde. En attendant, il est insupportable de constater l’existence de cas comme ceux que je viens de mentionner. Ce ne sont que trois exemples. Combien sont-ils comme eux dans toute la France ? C’est un vrai scandale.
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jeudi, 18 mai 2023
Des nouvelles de Callac : la gauchiste Laure-Line Inderbitzin insulte le maire et le préfet
Bernard Germain
Nous vivons dans un pays invraisemblable dans lequel on voit un ministre de l’Intérieur interdire 5 manifestations de « fachos » jamais coupables d’aucune dégradation, feux de poubelles, bris de vitrines ou violences en tous genres. Juste pour délit d’opinion.
Par contre, le même ministre de l’Intérieur reste sans réaction face aux antifas et à l’extrême gauche qui en 14 manifestations ont blessé plus de 2.000 policiers et gendarmes.
Eux sont parfaitement connus et identifiés. Mais rien n’est fait contre eux. Quant à ceux qui sont arrêtés en flagrant délit lors des manifestations, ils sont relâchés par les juges pour « manque de preuves ».
Ils sont notamment (parmi d’autres) membres de la « Jeune Garde », antifas lyonnais ultra-violents, dont le chef est un ami de Mélenchon et a été reçu à l’Assemblée nationale, invité par le député Aurélien Taché.
La folie qui s’est emparée de notre pays est loin de s’arrêter là. Il y a aussi le problème des maires. Depuis les dernières élections municipales de 2020, l’Association des maires de France a indiqué que 1293 maires avaient démissionné. Sans parler des élus municipaux qui ne sont pas maires. Personne n’en parle. Tout le monde s’en moque.
En revanche, on parle de la démission de certains maires, comme Yannick Morez, le maire de Saint-Brévin. Lui, à l’inverse des autres, son cas est monté en épingle. Aujourd’hui il est même reçu par le Premier ministre à Matignon.
En effet, il a démissionné et va même quitter sa ville. Officiellement parce que quelqu’un a mis le feu à ses deux voitures et brûlé une partie de la façade de sa maison. Acte débile que nous condamnons.
Mais ce maire accuse aussi l’État de l’avoir abandonné, alors qu’il mettait en œuvre la transition démographique promue par Macron.
La vérité est sans doute un peu différente. Il a fuité de son entourage que sa décision de démissionner et de partir avait été prise bien avant l’incendie. En clair, c’est bien commode pour justifier sa décision de pouvoir invoquer l’incendie et « l’abandon de l’État ». C’est une hypothèse certes, mais c’est une hypothèse sérieuse. En tout cas, certains ont bien compris comment instrumentaliser ce départ.
Ainsi, une formidable manipulation est en préparation. Elle va prendre la forme d’une gigantesque manifestation le 24 mai à Saint-Brevin. En apparence pour soutenir le maire, mais en réalité pour envoyer un message à tous les Français pouvant se résumer ainsi : « Si vous vous opposez à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants, c’est que vous êtes comme ceux qui ont mis le feu aux voitures et à la maison du maire, partisan des CADA, des « fachos ».
L’objectif est clairement d’intimider ceux qui s’opposent à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants dans nos campagnes. Il y a d’ailleurs de fortes chances qu’on voit à cette manifestation des ministres et peut-être même le Premier. Le tout largement relayé par la presse bien pensante, afin de faire bonne mesure et que le message passe d’un bout à l’autre de la France.
Cette mobilisation du 24 mai est d’autant plus importante - pour remonter le moral des maires et les rassurer – que certains maires commencent sérieusement à s’inquiéter et ne veulent pas connaître le sort de celui de Saint-Brévin. Ce qui pourrait les rendre moins « disponibles et volontaires » pour l’installation de CADA dans leurs communes.
C’est par exemple le cas de celui de Beyssenac en Corrèze (365 habitants), Francis Comby. Comme le rapporte Libération du 12 mai 2023 : « En Corrèze, un maire ne veut pas « subir le même sort que celui de Saint-Brevin » ». Dans son village le préfet a décidé l’installation d’un CADA, provoquant l’indignation et une large mobilisation de la population.
Le maire aussi, ainsi que son conseil, est contre ce CADA. Ce qui ne l’a pas empêché de déposer plusieurs plaintes contre des opposants au projet de CADA. Ce maire va devoir choisir définitivement son camp. On ne peut pas porter plainte contre les opposants aux CADA et se dire contre le CADA. Marier l’eau et le feu est mission impossible.
D’autres maires ont joué le jeu et été de fervents partisans de l’invasion migratoire. Certains d’entre eux le regrettent amèrement aujourd’hui.
C’est le cas du maire de Callac, Jean-Yves Rolland. Sans doute pas un mauvais bougre, mais qui a eu la bêtise ou la faiblesse de laisser libre cours à l’action de l’une des membres de sa majorité, la célèbre Laure-Line Inderbitzin. Une gauchiste exaltée.
Celle-là c’est un cas.
Imaginez-vous qu’elle est depuis des mois en arrêt maladie. Mais elle est également professeur à Callac. Donc ses élèves sont lourdement pénalisés par son absence.
Et les parents d’élèves pour leur part sont fous-furieux. Pourquoi ? Parce que Laure-Line est peut-être malade, mais en tout cas pas assez pour ne pas se faire voir en public à 3 occasions, hors de ses heures de sortie.
Une fois à chanter dans les bars le soir (filmé et diffusé par TF1), une fois au conseil municipal le soir où il s’est réuni à huis clos et une troisième fois en accordant récemment une interview à Médiapart, à Paris (visible sur YouTube).
Manifestement les règles c’est fait pour les autres. Mais pas pour elle qui n’en a rien à faire.
Et personne ne bouge ni ne lui rappelle qu’il est interdit d’agir ainsi. Aucune sanction de la part de la Sécurité Sociale, ni de la part de l’Éducation nationale. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
N’oublions pas que la dame a aussi été l’une des organisatrices de deux contre-manifestations à Callac, non déclarées, au cours desquelles de violents affrontements ont eu lieu entre gendarmes et antifas, les copains de Laure-Line.
Là non plus, aucune poursuite de la part du procureur de Saint-Brieuc. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
A cela il convient d’ajouter que Laure-Line s’est trouvé un nouveau souffre douleurs : le maire de Callac.
Oui, oui. Celui qui a jeté l’éponge face à la mobilisation des habitants et des patriotes contre le projet Horizon qui voulait amener plusieurs centaines d’immigrés à Callac et en faire le « premier village multiculturel ».
Pour Laure-Line, que le maire ait jeté l’éponge, c’est impardonnable. Et elle le poursuit de sa vindicte.
Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ».
Erreur impardonnable ? ça c’est pour le maire qui va certainement apprécier.
Dans une mairie normale, une telle déclaration devrait être suivie de la suppression immédiate de la délégation de l’élu qui en est l’auteur. Il trouve que Laure-Line est deuxième adjointe au maire. Qu’attend le maire pour lui retirer sa délégation ?
Mais attaquer ainsi son maire ne suffit pas à Laure-Line. Comme elle est gourmande, elle attaque aussi le préfet… s’il vous plaît.
Ainsi, toujours dans le même débat elle déclare : « Certains préfets sont des personnes honorables. Jean Moulin était bien préfet. Nous avons un préfet dans les Côtes d’Armor qui a clairement, volontairement retiré notre fiche d’action de projet Horizon. C’est à dire qu’il s’est permis de retirer un projet qui avait été décidé par un projet municipal souverain. C’est quelqu’un qui minimise les actions de l’extrême droite, c’est quelqu’un qui accepte et autorise le 5 novembre à Callac une manifestation d’extrême droite ».
C’est le préfet des Côtes d’Armor va être content d’apprendre qu’il n’est pas une personne honorable. Et quand on oppose à sa personne celle de Jean Moulin, chacun comprendra que cela signifie qu’il aurait plutôt à voir avec la collaboration, voir le nazisme directement. Ben voyons…
Quand je vous disais que c’était un cas cette Laure-Line. Vous voyez, je n’exagérais pas. Et puis il y a par exemple M. Puisay, le maire Penestin (56).
Voyez-vous, il a commis lui aussi une énorme erreur. Il a vendu le presbytère à l’évêché, à un prix déterminé par un organisme indépendant. Mais il n’y a rien d’illégal à cela. Quel est son crime alors ?
C’est simple, il ne l’a pas vendu à une association à migrants. Et ça c’est un crime impardonnable pour une partie de l’opposition, celle de prétendus écologistes, agressifs et sectaires.. Trois personnes de sa majorité sont passées dans l’opposition.
Les agressions contre lui ont commencé d’abord par des agressions verbales, limite physiques, alors qu’il se rendait à la messe. Puis, cerise sur le gâteau, il s’est retrouvé avec une plainte de l’une des trois personnes qui ont quitté sa majorité pour… agression sexuelle.
Le pauvre homme n’a pas supporté autant de bassesse et a tenté de se suicider. cliquez ici
Mais là ça n’intéresse personne. Il peut crever, tout le monde s’en fout.
De même que tout le monde se fout que des accusations ignobles puissent amener quelqu’un à vouloir en finir avec la vie. Il faut dire que dans son cas, il n’est pas possible de monter une opération pour dénoncer l’extrême droite. Alors, circulez, il n’y a rien à voir.
Certains maires sont défendus, surtout s’ils sont pour l’immigration, les autres peuvent crever. Pauvre France !
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mardi, 16 mai 2023
Saint-Brévin-les-Pins, une énorme manipulation de l’opinion se prépare.
Bernard Germain,
porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez là
Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment l’abandon de son mandat et son départ de Saint-Brévin. Officiellement parce qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.
En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation (en fait nationale) à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.
Comment se fait-il - selon l’association des maires de France - que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ? La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.
Nous avons déjà connu une opération similaire en mai 1990 avec l’affaire de Carpentras.
La sépulture d’un homme - juif - mort depuis 15 jours, avait été violée (ainsi qu’un grand nombre d’autres tombes) et son corps avait été retrouvé mutilé et empalé sur un piquet de parasol. Ce qui était insupportable. L’émotion, à l’époque avait été immense. S’en était suivie une incroyable campagne contre le racisme et l’anti-sémitisme, accusant nommément le FN de Jean-Marie Le Pen de ces faits épouvantables. Élément extraordinaire, François Mitterrand Président de la République, avait même participé à une manifestation nationale Place de la Nation à Paris, à cette occasion. Au final, lorsque les coupables furent trouvés, ils n’avaient aucun lien avec le FN.
Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées. Cet incident - que nous condamnons totalement comme toute forme de violence - se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.
Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres.
Aujourd’hui à Saint-Brévin, comme hier à Carpentras contre le FN, le message qu’enverra la manifestation du 24 mai est totalement prévisible. Il va diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron, soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.
Ce message sera évidemment largement relayé par tous les organes de presse pro-immigration.
Son objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA, que s’ils agissent dans ce sens il seront vus pour ce qu’ils sont : des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Afin de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation.
La coordination Partout Callac n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.
Elle invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin, la Bretagne reste la Bretagne et la France reste la France. Sans se laisser intimider.
18:37 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 mai 2023
Débat collector avec une représentante SOS Racisme sur BFMTV
Bernard Germain
Le 11 mai, hier, s’est déroulé sur BFMTV un débat concernant la démission du maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, et l’affaire du CADA qu’il voulait installer en le jouxtant à une école maternelle et primaire, provoquant une énorme émotion chez les parents d’élèves.
Tout d’abord, on me permettra de rappeler que cette affaire a fait le « buzz » dans tout le pays suite au communiqué de notre « Coordination Partout Callac », du 10 mai, qui annonçait la démission du maire et son départ de la ville.
Il voulait cacher cela jusqu’en juin. Informés par une indiscrétion, nous sommes fait un devoir d’en informer les brévinois et toute la presse nationale et régionale.
Ça n’a pas loupé. Toute la presse s’est précipité et le maire a été obligé de confirmer la chose.
Le lendemain, absolument tous les médias en ont parlé. L’affaire est même remontée jusqu’au président de la République (qui a tweeté), au Premier ministre qui a fait une déclaration depuis l’île de la Réunion et même à l’Assemblée nationale qui a jugé opportun de faire une « standing ovation » à ce maire immigrationniste. Seuls le députés du RN ont refusé de se lever.
Ils ont d’ailleurs eu bien raison, car se lever s’était cautionner la politique immigrationniste du maire de cette localité.
Mais, je souhaite attirer l’attention des lecteurs sur l’opération politique en cours qui récupère un fait, somme toute banal (la démission du maire), pour en faire une machine de guerre contre la France et les français qui, à 70 % souhaitent qu’on arrête toute immigration.
Tout d’abord, le maire - selon des indiscrétions - avait déjà pris depuis un certain temps la décision d’abandonner son poste et de quitter la ville de Saint-Brévin. Il semble donc tout à fait crédible qu’il ait saisi le prétexte de l’incendie de ses deux voitures pour justifier et « habiller » son départ.
D’autre part, il est évident qu’une opération politique majeure est en cours pour profiter de l’évènement afin d’enclencher une mobilisation nationale, en apparence pour soutenir le maire Morez « obligé de partir », mais dont la vraie raison est de soutenir la politique immigrationniste menée par Macron et soutenue par toute la gauche et les bien-pensants que rejettent 70 % des Français qui « puent des pieds » et ne sont que des égoïstes ne voulant pas accueillir les « pauvres réfugiés » qui fuient.
La meilleure preuve étant que Johanna Roland, maire de Nantes (ancienne directrice de campagne de Hidalgo... 1,74 % à la présidentielle) appelle à une manifestation à St-Brévin le 24 mai.
En clair, manifestation soi-disant pour soutenir Morez victime de la mobilisation de « l’extrême droite » contre le CADA, mais en réalité pour afficher un soutien à la politique immigrationniste de Macron afin qu’il continue de plus belle.
Tout le ban et l’arrière ban de la gauche et des progressistes seront là. Et personne ne leur demandera s’ils habitent Saint-Brévin.
Tout cela est clair comme de l’eau de roche : toute la gauche, les bien pensants, les macronistes et la droite « républicaine » vont utiliser cet évènement pour mettre une énorme pression sur les Français, les culpabiliser et tenter de les contraindre à accepter l’immigration qu’ils refusent.
S’ils continuent à refuser, preuve sera faite qu’ils sont du côté de ceux qui ont fait partir Morez, donc qu’ils seront des gens contre la démocratie et la république… bref des fachos.
À ce niveau, ce n’est plus une ficelle, c’est un câble.
Mais revenons à cette émission de BFMTV du 11 mai.
Si vous l’avez manquée, il faut absolument la voir. C’est collector, comme disent certains.
Elle est là : cliquez ici
Sont présents sur le plateau : la vice présidente de SOS Racisme, un représentant du PS, Tugdual Denis directeur adjoint de la rédaction de Valeurs Actuelles, Christophe Barbier, et les deux animateurs. Je suis pour ma part invité à intervenir, en visioconférence, en cours de débat.
Après une introduction de BFMTV pour présenter le dossier et les réactions de l’État, notamment la position du 1er ministre, le présentateur donne la parole au représentant du PS.
Celui-ci commence en dénonçant les « violences de l’extrême droite ».
Ça part fort !
Quelles violences de l’extrême droite ? … aucune explication, aucun exemple ne sera donné. Et pour cause, il n’y en a jamais eu.
En vérité, le seul fait de manifester pour exprimer son désaccord est une « violence » pour ces gens.
Pour avoir été à plusieurs reprises à Saint-Brévin, à chaque fois, les seules violences que j’ai vues étaient celles des antifas venus en contre manifestation. Comme à Callac.
Mais les violences des antifas ne sont jamais condamnées par la gauche.
Cela me rappelle l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. La gauche et la presse avaient à l’époque dit que c’était le fait de l’extrême droite.
Mais quand la police a arrêté les auteurs c’étaient des antifas. La gauche et la presse n’ont pas communiqué sur cette information. Ça vous étonnes ?
Le présentateur lui demande s’il voit un lien entre ces « violences d’extrême droite » et l’incendie de la maison du maire. Le représentant PS manque de lui répondre que oui, se reprend et déclare que c’est le climat de violence instauré par l’extrême droite qui a provoqué l’incendie.
20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 mai 2023
Antifas : on pourrait finir par en rire
Bernard Germain
Aujourd’hui 10 mai, le journal Ouest-France publie un article informant ses lecteurs du verdict rendu par le tribunal de St-Brieuc à l’encontre de deux antifas arrêtés le 28 janvier 2023 à Callac lors des vœux du maire, pour avoir affronté les gendarmes devant la mairie.
Rappelons quelques éléments.
Le 17 septembre 2022, manifestation autorisée des patriotes devant la mairie de Callac, réunissant 400 personnes contre le projet Horizon qui entendait faire venir dans le village 70 familles représentant plus de 500 personnes (25 % de la population du bourg).
Le même jour, contre-manifestation de la gauche et des antifas. Manifestation non déclarée et durant laquelle les antifas ont attaqué les gendarmes.
Aucune arrestation. Aucune poursuite.
Le 5 novembre 2022, seconde manifestation autorisée des patriotes devant la mairie avec 800 personnes cette fois (600 selon la police).
De nouveau, contre manifestation non déclarée de la gauche et des antifas. À nouveau, violents affrontements des antifas avec les gendarmes.
Aucune arrestation. Aucune poursuite.
Le 28 Janvier 2023, lors des vœux du maire à Callac. Danièle Le Men, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » est agressée par des antifas devant la mairie. S’ensuivent des affrontements entre antifas et gendarmes, pour la troisième fois. Le lendemain le journal, le Télégramme de Brest, informe : « un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie taguée et deux arrestations ».
Effectivement deux antifas sont arrêtés et mis en garde à vue.
Ce sont ces deux individus qui viennent d’être jugés.
On notera avec intérêt que les chefs d’accusation ont « oublié » le gendarme blessé. Le Télégramme de Brest a donc menti à ses lecteurs… il n’y a pas eu de gendarme blessé. Qu’on se le dise !
Et le verdict fait froid dans le dos par sa sévérité : 35 heures de Travail d’Intérêt Général pour l’un et relaxe pour l’autre.
Moi je vous le dis, maintenant qu’ils savent que la justice est impitoyable, les antifas vont trembler et ne recommenceront certainement pas à agresser les gendarmes ni les patriotes qui défendent leur pays.
Plus sérieusement, même si je sais qu’un procureur est seul décisionnaire de l’opportunité des poursuites, on est quand même en droit de s’interroger :
- Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les deux contre manifestations non déclarées ?
- Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les violences des antifas contre les gendarmes les 17 septembre et 5 novembre ?
- Pourquoi le gendarme blessé le 28 janvier a-t-il disparu de la procédure ?
- Pourquoi, seule la dégradation d’un véhicule de gendarmerie est-elle retenue, mais aucune violence ?
- Pourquoi l’interdiction de paraître dans le département (22) pour ces deux antifas a-t-elle été réduite à la seule ville de Callac ?
Cela commence à faire beaucoup de questions qui sont autant de preuves que le régime ne veut pas en finir avec la violence des antifas qui pourtant sèment le chaos dans toute la France.
À l’inverse, la manifestation des jeunes patriotes à Paris, samedi dernier, s’est déroulée sans aucun incident, sans aucun feu de poubelle, pas plus qu’il n’y eut de violence. Ils ont simplement exprimé leur volonté de défendre leur pays. Sans violence ni dégradation. Mais là, tout le monde leur est tombé dessus. De l’extrême-gauche jusqu’au ministre de l’intérieur.
C’est donc clair, pour tous ces bien-pensants qui refusent de voir et de condamner les violences quasi quotidiennes des antifas - en fait de vrais petits nervis du mondialisme - défendre son pays est un délit et quiconque s’aventurera sur ce chemin devra en répondre.
Sauf que cela produit l’effet exactement inverse. De plus en plus de jeunes, comprennent les choses et rejoignent les rangs des patriotes.
Au reste, la situation devient à ce point caricaturale qu’on pourrait presque en rire, si la situation du pays n’était pas si grave.
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12:45 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 07 mai 2023
Bercoff face à la meute
Bernard Germain
Le fait est de plus en plus visible, notamment en France, la démocratie est réellement en danger. Il n’y a quasiment pas un jour sans que la réalité ne nous rappelle cette vérité. A condition de voir ce qui se passe. Ou plus exactement d’accepter de voir.
Charles Péguy disait : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ».
Toute la presse aux ordres, tous les politiciens pratiquant le politiquement correct, toutes les associations bien-pensantes, passent leur temps à travestir les choses et présentent à la population une « réalité » totalement transformée pour les besoins de leur cause.
Depuis les violences réelles des antifas, les violences imaginaires de l’extrême-droite, l’immigration incontrôlée, la délinquance, l’insécurité démente qui règne partout en France, les mensonges sur le climat et notre prétendue obligation de tout remettre en cause de ce fait,… tout est mensonge et affabulation. Un véritable rouleau compresseur afin de s’assurer que le bourrage de crâne soit efficace.
Dès lors, et c’est invariablement le cas, ceux qui refusent de dire ce qu’ils voient et sont complices de ces incessantes opérations de désinformation, qualifient les autres de « complotistes ». Quant à ce que disent ou écrivent ceux qui acceptent de dire ce qu’ils voient ce sont des propagateurs de « fake news » en plus d’être complotistes.
Voilà ce qu’est devenue notre société en moins de deux décennies, sous la férule de l’extrême-gauche -cornaquée par Mélenchon -, des médias bien-pensants, des principaux partis politiques et de toutes les associations « progressistes ».
Un journaliste est particulièrement visé par la meute : André Bercoff.
André Bercoff est journaliste à Sud-Radio et célèbre pour ses émissions dans lesquelles la parole est libre. Pas de tabou, pas de langue de bois, pas de sujet interdit. Plus exactement ce sont plutôt les sujets interdits dans les autres médias qu’il souhaite traiter. Ce qui n’est pas sans risque.
Ainsi, depuis des semaines est-il durement attaqué par de nombreuses « personnalités » à commencer par son propre collègue de Sud-Radio, l’ineffable André Bourdin.
Le 11 avril 2023, sur Sud-Radio, s’est déroulée l’émission « Parlons vrai chez Bourdin ». Le thème était : la confiance des Français envers les médias et les journalistes. L’un des participants attaque Bercoff, expliquant que c’est à cause de journalistes comme lui que 44 % seulement des Français ont confiance dans la presse et les journalistes. Et Bourdin de répondre : « Ce n’est pas moi qui vais le défendre ... ». Passons sur le côté très confraternel de cette déclaration. Retenons surtout que lorsqu’on a des amis comme Bourdin, on n’a pas besoin d’avoir d’ennemis.
Mais le plus étonnant est ce que Bourdin reproche à Bercoff. Dans ses émissions : « il n'y a pas de contradiction et il n'apporte pas la contradiction. ». Donc s’il fait un temps magnifique et qu’un interviewé le souligne, il faudrait que Bercoff dise qu’il pleut des hallebardes. Sacrée conception. En fait, ce n’est nullement cela qu’on reproche réellement à Bercoff. Il lui est surtout reproché d’autoriser des débats qui devraient être interdits. Sud-Radio (l’émission de Bercoff) est « spécialiste du fait d'inviter des anti-vaccins ou des covido-sceptiques ».
Effectivement, en pleine crise du COVID et même maintenant, Bercoff a courageusement refusé de se taire et a permis que des débats aient lieu dans lesquels -Ô crime- les thèses officielles ont été critiquées et contestées. Aujourd’hui, ce sont ceux qui réclamaient son silence durant la crise qui à nouveau voudraient bien qu’ils se taise au lieu qu’il dénonce ses accusateurs d’hier qui sont discrédités par ce qu’on est en train de découvrir.
Au passage on notera deux faits sur lesquels ses détracteurs sont forts discrets :
- Sud-Radio (Bercoff) est l’un des rares médias à s’intéresser aux démêlées de Van der Layen avec la justice sur le scandale en train d’apparaître concernant ses relations avec Pfizer et les plus que suspicions de corruption massive dans ce dossier. Notamment en relation avec le travail fait par la députée européenne Virginie Joron (RN) et plusieurs de ses collègues du parlement européen. Mais le sujet est l’objet d’une opacité remarquable de la part des autorités européennes. Et peu de médias en parlent.
- Tout comme en France, peu de monde s’est alarmé du fait que le dossier COVID soit traité en Conseil de Défense. On vient maintenant de comprendre pourquoi. Cela a permis de classer « Secret Défense » tous les éléments du dossier. Donc vous saurez la vérité dans 50 ans ! Circulez, il n’y a rien à voir. En réalité, c’est parce qu’il y a beaucoup à voir, que cela a été classé « Secret Défense », afin de protéger des poursuites les principaux responsables.
Un autre reproche est fait, cette fois par la légende Edwy Plenel : Bercoff est vieux et raciste.
C’est sûr, à 82 ans, André Bercoff n’est pas un jeune premier. En revanche, il a un dynamisme que j’aimerais bien avoir si j’arrive à son âge, et surtout, il en a vu pas mal dans sa vie, ce qui lui permet de ne pas se faire raconter n’importe quoi sans réagir.
Et au sujet d’Edwy Plenel, André Bercoff sait à qui il a affaire. Edwy Plenel, celui qui se présente comme le "Monsieur propre" du journalisme, le preux chevalier du camp du bien, pourfendeur de racistes et de fascistes.
Moi, tout comme André, je me rappelle de sa déclaration de 1972. En 1972, alors que le groupe terroriste palestinien « Septembre noir » avait assassiné onze athlètes israéliens pendant les Jeux olympiques de Munich, il écrit dans « Rouge » le journal de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) de Krivine sous le pseudonyme de Krasny : « Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre Noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation »
Il confirmera cette déclaration, dans Libération du 4 avril 2018 : « Je n'ai jamais fait mystère de mes contributions à Rouge, de 1970 à 1978, sous le pseudonyme de Joseph Krasny. Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque. » On remarquera juste qu’il n’y a aucun regret, ni aucune excuse même 50 ans plus tard ! Pour compléter le tableau de cet homme de bien, on soulignera l’attachement indéfectible de ce Monsieur à l’action des « Frères musulmans » et tout particulièrement Tariq Ramadan. Vraiment un homme de bien cet Edwy Plenel. Tout à fait qualifié pour salir André Bercoff.
Quant à l’accusation de racisme, elle s’explique tout simplement par le fait qu’André Bercoff est opposé à cette immigration massive et incontrôlée qui a comme conséquence d’être en train de détruire notre pays.
Ayant été l’un des animateurs du combat de Callac, j’ai a deux reprises été interviewé par Sud-Radio dans le cadre de l’émission d’André Bercoff. Grâce à lui, de nombreux Français ont pris connaissance du combat que nous menions en Bretagne dans ce petit village, et que nous avons gagné. J’ai d’ailleurs écrit un livre pour raconter ce combat : « Callac, la mère des batailles » (synthèse-editions.com) cliquez ici.
En revanche Edwy Plenel, « l’anti-raciste » n’a pas souhaité m’interviewer, ni faire connaître notre combat pour défendre notre pays et notre civilisation. Lui, avec son journal Médiapart, il menait le combat aux côtés des antifas qui attaquaient violemment nos manifestations et nos militants. Mais, cette violence « révolutionnaire », hier à Munich comme aujourd’hui à Callac et dans tout le pays, elle a tout le soutien d’Edwy Plenel. Elle ne peut être critiquée et encore moins condamnée.
Heureusement qu’André Bercoff est là, tenant tête à la meute, en préservant un espace de liberté et de débat sans tabou. Lui et ceux qui mènent le même combat dans d’autres médias.
André Bercoff anime aussi l'émission "Le dernier verre" sur Omerta cliquez ici
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mercredi, 03 mai 2023
Mélenchon veut cannibaliser la NUPES
Bernard Germain
Avis de gros temps à la NUPES. La belle unité de façade est en train de se fissurer et les exemples ne manquent pas ces derniers jours qui attestent que la NUPES pourrait aisément exploser en plein vol, dans un avenir assez proche.
Ainsi, lors de la manifestation du 1er mai contre la réforme des retraites, le stand du PCF qui se trouvait le long du parcours a été attaqué par des antifas au cri de « Tout le monde déteste Fabien Roussel ».
Apparemment le camarade Roussel n’est pas assez wokiste et a encore trop d’attachement à un passé « lutte des classes », alors que maintenant c’est la « lutte des races ». Il devient donc une cible pour les extrémistes afin de contraindre le PCF à marcher au pas sur le chemin tracé par LFI.
Lors de cette attaque, Fabien Roussel a été touché par un tir de mortier d’artifice et a dû être exfiltré. Deux autres militants ont été blessés et conduits à l’hôpital.
En réponse le PCF a ressorti un vieux tract datant de 1968, dans lequel il dénonce l’action des groupes gauchistes, maoïstes ou trotskystes qui faisaient le jeu du pouvoir.
Fait remarquable, aucun communiqué de soutien au PCF, de la part de la LFI de Mélenchon. Pas plus d’ailleurs de condamnation de la part de Mélenchon pour cette agression contre le PCF.
Pour sa part, Sophia Chikirou (LFI) a tweeté :
« La fameuse chasse aux trotskystes que le PCF revendique, c’est celle qui a mené des millions de personnes au goulag et à l’exil sous Staline. Ça part en vrille sous Roussel... »
Tout cela va évidemment créer du liant au sein de la NUPES entre LFI et PCF.
Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là.
S’agissant des prochaines élections européennes, LFI souhaite reconduire la méthode utilisée aux dernières législatives, à savoir une liste commune NUPES. Pas de chance, les écologistes n’en veulent pas, en particulier parce que c’est à ces élections qu’ils obtiennent leurs meilleurs résultats. Donc très logiquement ils veulent pouvoir présenter une liste écologiste.
Marine Tondelier, chef des écolos, a déclaré que les pressions de LFI pour obtenir une liste commune créait une ambiance « désagréable et irrespectueuse », ajoutant à l’adresse de LFI qu’il ne fallait pas confondre « convaincre et contraindre ».
En réponse ineffable Danièle Obono (LFI) a tweeté : « Le niveau de mépris, de sectarisme et de mauvaise foi des réponses concernant la NUPES et LFI, est consternant. Faire passer une stratégie boutiquière avant l’intérêt général, dans le contexte politique économique et social actuel, est irresponsable ».
Du grand Danièle Obono. Mais est-ce bien étonnant de la part d’une des plus enragées de LFI ? Reste que là encore ce type de réponse va contribuer à une saine camaraderie entre les membres LFI et écolos, au sein de la NUPES.
Ajoutons que les prochaines élections municipales de 2026, risquent aussi de nous permettre d’assister à de savoureuses empoignades s’agissant de la constitution des listes qui se présenteront aux élections dans chaque ville.
Les maires sortants vont à l’évidence vouloir garder leurs mandats. Par exemple à Nantes et Rennes (PS) ou à Strasbourg, Bordeaux, Grenoble (écologistes).
Quelle sera la position de LFI qui bien sûr invoquera les résultats du 1er tour de la présidentielle pour justifier ses demandes de tête de liste ? Assurément, l’affaire risque de ne pas être simple.
Et puis, il y a la fameuse élection de 2027, la prochaine présidentielle. Tous les membres de la NUPES affirme vouloir une candidature commune, mais chacun se voit dans le costume du candidat unique.
Roussel ne cache pas vouloir être ce candidat unique, quant aux écologistes, ils souhaitent une femme comme candidate, comprenez une femme écologiste bien sûr.
D’ailleurs, dans le dernier Journal du Dimanche Marine Tondelier (écologiste) disait : « Si le débat de 4 prochaines années se résume à : Mélenchon stop ou encore, alors ce sera un échec ».
Manifestement tous ces gens n’ont pas compris ou ne veulent pas voir la stratégie de Mélenchon. Ce dernier, reprend en tous points la manière de faire de celui qui fut son idole : François Mitterrand. Il utilisa l’Union de la Gauche et le programme commun de 1972, pour enfermer le PCF dans cette alliance et au bout du compte le dévorer en « plumant la volaille » communiste. Ce qui fut fait.
Dans les années 70, le PCF représentait environ 20 % de l’électorat. Suite à l’élection de Mitterrand, grâce aux voix communistes, le PCF ne fit que s’effondrer électoralement pour ne plus représenter que quelques pour cents et ce depuis de longues années. Mélenchon rejoue la même pièce. Il a créé la structure unitaire, la NUPES, comme hier Mitterrand son Union de la Gauche. Tous s’y sont précipité, afin d’obtenir aux législatives les élus qu’ils n’auraient pas eu en se présentant seuls.
La NUPES a aussi un programme, comme hier Mitterrand avait le programme commun. Petit à petit Mélenchon cannibalise ses alliés, comme le fit Mitterrand. En appliquant à cette occasion la célèbre formule de Benoît Frachon (ancien leader de la CGT) : « Il faut convaincre ou submerger ».
Pour chaque parti de la NUPES, c’est un véritable dilemme. Rester dans la NUPES et finir par se faire dévorer, ou la quitter et disparaître rapidement par absence d’élus lors des prochaines élections. L’étau se resserre petit à petit. Si Mélenchon gagne c’en sera fini des autres partis que LFI. Ils seront tous dévorés.
Mais il se pourrait aussi que les autres partis que LFI, dans un ultime sursaut pour leur survie, se cabrent, se braquent et refusent de capituler devant les ukases de Mélenchon.
Dans ce cas, c’en serait fini de la NUPES qui exploserait en de multiples composantes chacune étant incapable de survivre à son isolement synonyme de défaites électorales précipitant leur disparition.
L’avenir s’annonce très compliqué. En fait tous les partis de la NUPES viennent, ces derniers jours, de prendre conscience d’une dure réalité. Il faut une grande cuillère pour dîner avec le diable !
17:01 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas
Bernard Germain
Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.
On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.
Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !
À ceux qui en douteraient, cliquez sur le lien ci-dessous et vous prendrez conscience du problème.
On voit sur la vidéo, un cocktail Molotov arriver sur les policiers, exploser en arrosant d’essence enflammée plusieurs d’entre eux, et lorsque leurs collègues se précipitent pour éteindre les flammes certains antifas en profitent pour les attaquer et leur jeter pierres, boulons, bâtons et tout ce qui leur tombe sous la main.
Je ne sais pas comment vous appelez cela, moi je dis que c’est une tentative de meurtre avec préméditation. L’un des policiers est d’ailleurs à l’hôpital, gravement brûlé, notamment au visage. Il aurait très bien pu mourir. Même si les autres incidents ont été moins graves, toute la manifestation en fut émaillée.
De manière incessante, les forces de l’ordre furent agressées, recevant toutes sortes d’objets, pierres, morceaux de ferrailles, bâtons, mortiers d’artifices, bombes agricoles… etc. Au final, en France 406 policiers et gendarmes furent blessés, certains gravement.
Un sénateur PS a eu la curiosité de vouloir suivre la police en action. Au départ, pour voir si la police respectait la déontologie du maintien de l’ordre. Après avoir suivi tout l’après-midi les policiers, son opinion se résuma à une formule : « j’ai eu peur, très peur ». Eh oui, il faut avoir la foi du charbonnier pour passer son après-midi à subir toutes ces violences de manière stoïque. C’est le lot quotidien de la police et de la gendarmerie durant ces évènements. Et manifestement ce parlementaire PS a découvert à cette occasion la face cachée de la Lune.
Il faut dire qu’au même moment, les parlementaires de gauche, à l’Assemblée, tentaient de faire s’ouvrir un débat sur la dissolution des Brav-M. Quand on est sur le terrain à recevoir des pavés sur la figure pendant des heures, ça change du parlement et des discours dénonçant la « police qui tue ». Heureusement, cette tentative fut rejetée au parlement.
Restent quelques questions dérangeantes pour le pouvoir et la gauche. Lorsqu’ils sont arrêtés, on découvre que ces antifas sont souvent des fils ou filles de profs de fac, de cadres supérieurs, de hauts fonctionnaires, de chefs d’entreprises. Bref des gosses de la bourgeoisie, qui après avoir commis leurs exactions rentrent à la maison dans les beaux quartiers. Parce que s’il y a des crasseux et des lumpens parmi les antifas, nombreux sont ceux à faire partie des couches sociales favorisées.
À propos des arrestations, on ne peut qu’être frappé par leur nombre extrêmement faible au cours des manifestations. Pourquoi y en a-t-il si peu ? Je ne vois qu’une réponse à cette question… parce que la police a des consignes pour laisser filer les antifas.
Et s’ils se font néanmoins attraper, les juges rentrent en scène et disent aux policiers qui ont déféré ces individus au parquet : « désolé, mais les preuves ne sont pas assez étayées. », ils ordonnent donc la remise en liberté de ces casseurs.
Je rappelle à cette occasion que les policiers souhaitent être équipés de paintballs afin de pouvoir marquer les principaux casseurs et pouvoir les arrêter. Curieusement, cette revendication toute simple n’est pas prise en compte par la hiérarchie.
Osons la question : « à qui profite le crime ? » Pour moi les choses sont simples : au pouvoir.
Ces milices rendent service à Macron :
- en étant bien utiles pour discréditer les mouvements sociaux, puisque toute manifestation est systématiquement concernée par ces violences
- en étant bien utiles pour combattre les patriotes défendant leur pays comme on a pu le constater à Callac, à St-Brévin et dans tant d’autres endroits.
Faut-il rappeler, par exemple, qu’à Callac, ces antifas ont attaqué trois fois les gendarmes à l’occasion de deux contre-manifestations non déclarées et une fois sans prévenir, devant la mairie le jour des vœux du maire. Malgré nos interpellations, le procureur n’a jamais jugé utile d’engager des poursuites contre ces antifas ultra violents !
Pour ce qui me concerne, j’ai d’autres questions complémentaires :
- la police ayant de puissants moyens d’identification, on ne me fera pas croire qu’ils ne savent pas qui sont ces antifas. Pourquoi ne les arrêtent-ils pas ?
- pourquoi, puisqu’on les connaît ne sont-ils pas interdits de manifestation avec obligation de pointer au commissariat chaque heure pendant la durée de la manifestation ?
- Pourquoi lorsqu’ils sont arrêtés n’y a-t-il aucune condamnation avec des peines un tant soit peu dissuasives ?
On notera enfin que la presse des bien pensants, c’est à dire la quasi totalité des médias, ne condamne jamais ces exactions. Ils nous parlent toujours de violences imaginaires de l’extrême-droite, comme dernièrement pour l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. Mais lorsque les coupables ont été arrêtés, on a découvert qu’ils étaient des membres de l’extrême-gauche. Dans un silence assourdissant des médias qui avaient dénoncé sans preuve l’extrême-droite.
Et pour finir, on prendra soin de noter que si la NUPES de Mélenchon n’a pas de mots assez durs pour dénoncer « la police qui tue, blesse et brutalise », ils n’ont jamais un mot pour dénoncer ces antifas qui font régner la terreur de Ste-Soline à Paris en passant par Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Rennes et une multitude d’autres villes.
La police fait son travail comme elle peut, sans aucun soutien des politiques ni de ses responsables prompts à condamner tel ou tel acte isolé. Les mêmes ne se posent jamais la question : « dans quel état serais-je si j’avais ramassé pendant tout un après-midi des pavés sur la figure ? ».
Ce parlementaire PS qui a fait l’expérience d’accompagner la police pendant un après-midi le 1er mai, semble en avoir tiré pas mal de leçons. Il m’étonnerait qu’il soit très conciliant avec la prochaine saillie de Mélenchon et sa NUPES contre la police.
Peut-être cela va-t-il ouvrir les yeux de certains ? Un accident est vite arrivé… !
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lundi, 01 mai 2023
Mayotte : La « Gauche » débile, totalement abrutie par ses dogmes
Bernard Germain
C’est une leçon de choses à laquelle nous assistons avec les évènements qui se déroulent à Mayotte. Du chimiquement pur.
Mayotte est l’une des 4 îles faisant partie de l’archipel des Comores, dans l’océan Indien, non loin de l’île de la Réunion.
Elle est devenue française le 25 avril 1841, vendue à la France, par son sultan de l’époque.
Les populations de ces îles des Comores sont très majoritairement musulmanes et sont pour la plupart des gens de couleur.
D’abord placé sous protectorat du gouvernement français de Madagascar en 1886, l’ensemble de l’archipel devient six ans plus tard colonie française. La nouvelle entité s’appelle « Mayotte et dépendances » qui inclut outre Mayotte, les trois autres îles: Mohéli, Anjouan et Grande-Comore.
En 1946, les Comores changent de nouveau de statut et deviennent territoire d’outre-mer (TOM). Sur ces 4 îles, Mayotte a confirmé vouloir rester attachée à la France, à plusieurs reprises par référendum. La 1ère fois, le 22 décembre 1974, les habitants de Mayotte votent à 63% contre l’indépendance, alors que les autres Comoriens votent à 99% pour la souveraineté de l’archipel. Une seconde fois en février 1976, ils confirment leur vote à 99,4 % . En 2011, la France en a fait le 101e département français.
Quant aux 3 autres îles des Comores, elles ont à leur tête un Président, Azali Assoumani, qui est aussi le Président de l’Union africaine. Il ne cache nullement sa détestation de la France et tout ce qui symbolise notre pays, et revendique le départ des français et le rattachement de Mayotte aux Comores.
Entre 2008 et 2017, 74 millions d’euros ont été donnés aux Comores par l’Agence Française de Développement. En juillet 2019, un accord-cadre entre la France et les Comores prévoit le versement de 150 millions d’euros sur trois ans pour l’Union des Comores, en contrepartie d’une lutte contre le départ des ressortissants comoriens vers Mayotte. Le FMI a accordé 12 millions de dollars en avril 2020 aux Comores, et la Banque Mondiale vient de faire un don de 30 millions de dollars en février 2023.
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jeudi, 20 avril 2023
Marylise Léon chef de la CFDT en juin : la décomposition de notre société s’accélère
Bernard Germain
Et de deux.
En juin 2021, Marylise Léon deviendra le nouveau secrétaire général de la CFDT. Après Sophie Binet, wokiste et féministe assumée, élue à la surprise générale secrétaire général de la CGT en remplacement de Martinez et ses célèbres moustaches.
Marylise Léon a dores et déjà un point commun avec Sophie Binet, elle est féministe. On notera au passage que Laurent Berger se moque de l’accord ou pas des syndiqués CFDT sur la pertinence de ce choix. En bureaucrate roué, il s’est fait réélire il y a peu, en sachant parfaitement qu’il ne finirait pas son mandat qui doit s’achever en 2026.
Donc, son départ était déjà planifié lorsqu’il s’est présenté et fait réélire.
Pour Marylise, c’est tout simple, elle sera désignée par le Bureau National de la CFDT. Donc aucun risque que l’opération capote. Elle aura jusqu’en 2026 pour mettre en place son propre appareil et créer les conditions de son élection à cette date lors du prochain congrès. C’est de la « démocratie » très organisée.
Mais revenons au fait que cette dame est féministe.
Les idiots vont se féliciter de son arrivée à la tête de la CFDT. Pour ceux-là, la compétence n’est qu’une option. Ce qui compte c’est qu’elle est de sexe féminin. Ils diront… « enfin des femmes qui accèdent aux plus hautes responsabilités. Il était temps. »
Malheureusement ces bouleversements à la tête des syndicats ne sont des bonnes nouvelles qu’en apparence.
Le fait que ces deux personnes soient féministes est autrement plus préoccupant. Pourtant peu de monde ne semble s’en alarmer. Et c’est vraiment inquiétant.
Pour me faire comprendre je dois revenir sur certains points.
À l’origine, le féminisme revendiquait une égalité entre les hommes et les femmes. Cela se traduisait par exemple par l’une des plus vieilles revendications syndicales : « à travail égal, salaire égal ». Ce n’était que justice.
Idem, pour le droit de vote qui ne fut accordé aux femmes qu’en 1945.
Mais le féminisme a largement évolué et le « néo-féminisme » est devenu le combat des femmes contre les hommes et leur société « patriarcale ». Ce qui n’est plus du tout la même chose.
Pendant des siècles, l’homme avait une fonction protectrice vis à vis des femmes et de la famille.
C’était lui qui allait gagner de quoi « faire bouillir la marmite ».
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mercredi, 19 avril 2023
Bruno Le Maire vient-il d’être frappé de lucidité ?
Bernard Germain
Le ministre de l’Économie et des Finances, vient de mettre les pieds dans le plat. A-t-il été frappé d’un éclair de lucidité ? Toujours est-il qu’il a déclaré : « Nos compatriotes en ont raz le bol de la fraude et de voir que des personnes envoient illégalement l’argent du contribuable au Maghreb ou ailleurs ».
Le moins qu’on puisse dire est que cette déclaration est, pour une fois, frappée au coin du bon sens. Elle est bien tardive, mais mieux tard que jamais.
Reste une question : cette déclaration sera-t-elle suivie d’effets ?
Cette question est d’autant plus importante que cela fait des années que ça dure et les choses vont en s’aggravant à la vitesse grand V.
Revenons tout d’abord sur le sujet des fraudes sociales.
Entendu par une commission parlementaire le commissaire responsable du service des faux documents a déclaré, sous serment, qui si on prend en compte les critères de la police sur les faux documents, on devrait rejeter 1/3 des documents produits par des gens nés à l’étranger et qui demandent leur inscription à la Sécurité Sociale. Le stock total étant de 21 millions de documents, dont 12,4 millions perçoivent des prestations sociales, on arrive au chiffre phénoménal de 4 millions de faux documents et donc 4 millions de gens qui devraient être sortis du système.
A l’inverse le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président du Modem, sur la base d’une enquête qu’il a fait mener, prétend que la fraude sociale ne représenterait que 0,7 % du nombre des assurés sociaux et que les sommes en cause pour la fraude sociale seraient négligeables et ne représenteraient que quelques dizaines de millions d’€.
Qui doit-on croire ?
Des policiers dont le métier est d’identifier les faux documents ou ce sénateur qui se veut très rassurant, mais n’a aucune compétence en matière de faux documents ?
Pour ce qui me concerne, je fais confiance aux professionnels du domaine, pas à ce sénateur se voulant ridiculement rassurant.
Mais l’affaire est encore plus grave que cela.
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lundi, 17 avril 2023
Oui Jean-Marie, emmerdons-les tous...
Bernard Germain
Durant toute la fin de la semaine, certains avaient sorti les verres et s’apprêtaient à sabler le champagne. D’autres étaient en train de dépoussiérer la nécrologie qu’ils pensaient publier sous peu.
En effet, l’annonce en était publique : Jean-Marie Le Pen était hospitalisé pour un malaise cardiaque et ses amis s’alarmaient des conséquences possibles de cet épisode fâcheux.
Apparemment, les bobos et autres fêtards peuvent ranger leurs bouteilles. Le « vieux » va mieux et n’a pas lâché la rampe. Ils en sont donc pour leurs frais et c’est tant mieux.
Cet évènement me permet de dire quelques mots de cet homme, que j’ai eu l’honneur de rencontrer personnellement à son domicile de St-Cloud en septembre 2022.
L’objet de ma visite, organisée par mon ami Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale), était de présenter à Jean-Marie Le Pen le dossier de Callac et la bataille que nous y menions contre l’invasion migratoire que subit notre pays. Nous avons eu un échange des plus intéressants, à l’issue duquel je lui ai remis un exemplaire de mon livre « Callac, la mère des batailles ». Lorrain de Saint Affrique, homme particulièrement sympathique et d’une rare intelligence, participait également à cet échange à quatre.
Ce qui m’a beaucoup frappé lors de cette rencontre, c’est le côté intact de la vivacité intellectuelle de Jean-Marie Le Pen. Certes le corps porte les stigmates du temps, à 94 ans quoi de plus normal, mais l’intelligence et la vivacité d’esprit sont toujours là. Notre échange fut donc des plus intéressants.
Jean-Marie Le Pen fut certainement l’un des hommes politiques les plus importants de ces 50 dernières années. Souvenons-nous qu’en 1974, lors de sa première candidature à l’élection pour la présidence de la république son score fut de 0,74 %. Que de chemin parcouru depuis cette élection.
Mais ne nous y trompons pas, c’est le nom de « Le Pen », intimement lié à la droite nationale et identitaire, qui est aujourd’hui à 42% et qui est même donné à 55% dans les derniers sondages d’avril 2023, car Jean-Marie a réussi à l'imposer durablement dans l'inconscient collectif des électeurs comme étant le recours face à la dilution de notre nation. Pas le prénom de la candidate du RN à la dernière Présidentielle qui, obsédée par sa volonté de normalisation, n'hésita pas, en 2015, à exclure son père de son propre parti afin de mettre en œuvre sa stratégie de « dédiabolisation » qui l’amène à remettre en cause tous les fondamentaux du Front national. Comme par exemple en votant l’inscription dans la constitution du « droit » à l’avortement ou ses déclarations stupéfiantes telles : « le voile islamique n’est pas un problème » ou encore : « l’islam n’est pas incompatible avec la république ». Et tant d’autres prises de position plus incroyables les unes que les autres.
Pendant toute sa vie politique Jean-Marie Le Pen fut victime d’une campagne de haine et de diabolisation. Constamment qualifié de « fasciste », voir de nazi, par des crétins qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Pourtant les faits donnent aujourd’hui totalement raison à ce que disait à l’époque Jean-Marie Le Pen.
Ainsi pour ne prendre que deux exemples, il dénonçait l’immigration et prônait la « préférence nationale ». Et que constate-t-on aujourd’hui ? Que tout ce qu’il disait à l’époque est visible et d’une actualité brûlante.
L’immigration, totalement incontrôlée, est en train de détruire notre pays et s’accompagne d’une insécurité délirante. Quant au sort des Français, il est des plus pitoyables.
Les migrants sont prioritaires partout, au détriment des « Français de souche ».
Faut-il rappeler ce couple avec 4 enfants, à Ploërmel, non loin justement de Callac, obligé de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre parce qu’il n’y a pas de logement social pour eux. Les migrants sont prioritaires. Pourtant ce couple travaille et paye ses cotisations sociales et impôts. Pas les migrants qui arrivent de l’autre bout de la terre et ne vivent pour l’essentiel d’entre eux que grâce aux multiples aides reçues… payées par les cotisations et impôts des français qui, eux, sont abandonnés à leur triste sort.
C’est d’ailleurs la raison principale de notre victoire à Callac. Les habitants de cette commune ont dit : « Pourquoi y a-t-il autant d’argent donné aux migrants alors qu’il n’y a pas un euro pour les callacois pauvres ou dans le besoin ? »
Hier, comme aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen avait raison. Il faut arrêter d’urgence toute immigration et en revenir à la préférence nationale.
Comme les Français ne sont pas fous, ils ont compris depuis longtemps, tout particulièrement les « couches laborieuses », comme on disait à gauche, que la dite gauche ne les défendait plus. Cet abandon fut officialisée d’ailleurs par le rapport Terra Nova de 2011, qui prônait l’abandon de cet électorat populaire pour lui préférer les immigrés et les minorités, notamment sexuelles.
Le passage des « couches laborieuses », c’est à dire les Français modestes et une bonne partie des classes moyennes, vers le Front national est un réalité qui existe depuis plusieurs décennies et ne fait que croître. Ces Français ont compris depuis longtemps qu’il n’y a rien de bon à attendre de la gauche qui les méprise et les considère comme des « réacs »et des « beaufs » à la Cabu.
Reste que le plus révoltant est le cynisme de ces gens de gauche. Ceux qui prétendent être le bien et exhortent les français à se mobiliser pour « faire barrage » et ainsi sauver la France du fascisme.
Pourtant il s’agissait et il s’agit encore de nos jours d’une incroyable escroquerie politique. Pour preuve, nous mentionnerons les paroles de Lionel Jospin prononcées le 29 septembre 2007 sur France Culture dans l’émission « Répliques » : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, et donc tout anti-fascisme n’était que du théâtre. »
Reste que cet argument de la « menace fasciste » fut utilisé en permanence pendant des décennies contre le Front national. Au final, Jospin a reconnu que ce n’était que « du théâtre ». Il en est de même aujourd’hui où l’expression fait à nouveau florès.
Enfin, je veux conclure en rappelant que rien, strictement rien ne fut épargné à Jean-Marie Le Pen.
Un exemple suffira à me faire comprendre : le fameux « détail ». Souvenons-nous. Jean-Marie Le Pen avait dit lors d’une interview à la radio que les chambres à gaz n’avaient été qu’un « détail » durant la seconde guerre mondiale. Ce que les gens ont oublié, c’est que pendant 48H00, personne n’avait réagi, ni crié au scandale. Puis un journal avait commencé à utiliser cette déclaration pour discréditer son auteur. Et un tsunami médiatique s’en était suivi, encore invoqué de nos jours.
Mais si l’on est simplement honnête intellectuellement, on ne peut contester que « détail » peut être utilisé et compris de deux manières :
- Détail peut être compris comme un élément d’un tout beaucoup plus grand
- Détail peut être compris comme quelque chose de méprisable, d’insignifiant.
A l’évidence, et on me l’a confirmé, Jean-Marie Le Pen a utilisé ce mot pour dire que les chambres à gaz étaient un « élément d’un tout beaucoup plus grand ». Pas pour dire que c’était insignifiant.
Pourtant, 48H00 après sa déclaration un premier journaliste a prétendu que, pour Le Pen, c’était pour dire que c’était « insignifiant ». Et comme tirer sur le FN et son dirigeant était un devoir pour certains, l’affirmation de ce journaliste fut reprise avec zèle et enthousiasme par tous les bien pensants. Jean-Marie Le Pen eut beau s’expliquer en long, en large et en travers, personne ne voulu entendre ses explications et le « détail » fut invoqué durant des années pour le discréditer.
Pour moi, et pour tant d’autres, Jean-Marie Le Pen est et restera comme celui qui a ouvert la voie et montré le chemin. Un homme attaché avant tout à notre pays, notre identité, notre culture et notre civilisation. Une référence et homme éminemment respectable.
Un dernier mot. Jean-Marie Le Pen aurait déclaré : « Je compte vivre jusqu’à 100 ans pour les emmerder tous ».
Absolument Jean-Marie, … emmerdons-les tous !
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Violences antifas : les apprentis sorciers s’affolent
Bernard Germain
Samedi 15 avril, à Rennes d’innombrables violences eurent lieu. Officiellement pour protester contre la réforme des retraites que venait de valider le Conseil constitutionnel, après que Macron l’ait fait passer au parlement avec le 49.3. Colère légitime de la population, qui s’exprima à travers toute la France dans le cadre de défilés certes très remontés contre le pouvoir mais dans lesquels aucun incident notoire ne fut relevé. Ce dont nous voulons parler dans cet article, ce n’est pas de cette colère légitime, ni des manifestations pacifiques. Nous voulons parler des violences exercées en marge par ceux que l’on appelle des antifas.
Ils profitent bien sûr du contexte politique pour à chaque occasion laisser s’exprimer leur violence. Elles deviennent de plus en plus importantes et occasionnent des dégâts et des blessés. Un jour, ils finiront sans aucun doute par causer la mort d’une ou plusieurs personnes, qu’il s’agisse de simples citoyens ou de membres des forces de l’ordre. Ce jour là, c’est certain, c’est à qui ne sera pas responsable… Mais qui a permis à ces nervis de prospérer ? Indéniablement la gauche, les bien pensants et le pouvoir.
Et ce qui est le plus extravagant c’est que ceux qui les ont créés, les ont fait prospérer, les protègent et ne dénoncent jamais leurs exactions, semblent aujourd’hui pris de panique devant ce qui se passe.
Ainsi, le maire Nathalie Appéré (PS) a appelé l’État à l’aide pour « reconnaître la situation particulière » de Rennes. Déclarant : « Les Rennais, les habitants du centre-ville et particulièrement nos commerçants, sont les victimes incrédules de ce déchaînement de violence. Les dommages se chiffrent en centaines de milliers d’euros. Après les événements de la nuit dernière, où la porte du Couvent des Jacobins et celle du commissariat de la rue de Penhoët ont été incendiées, et où des dégâts considérables sont à déplorer, que va-t-il se passer désormais ? Jusqu’où ira cette folie destructrice ? ».
« Reconnaître la situation particulière de Rennes »… on croit rêver. Mais qui a fait de Rennes une « situation particulière » sinon Mme Appéré elle-même ? Son laxisme, et même sa collusion avec les antifas et l’extrême gauche sont de notoriété publique. Tout comme son silence vis à vis des violences et dégradations des antifas.
Cela fait des mois que l’opposition au conseil municipal dénonce tout cela dans l’indifférence de la majorité municipale de gauche. Les violences de toutes sortes sont le quotidien des Rennais qui ne comptent plus les agressions. Les mineurs isolés sont légions dans les rues.
Bref, Rennes qui était une ville des plus sympathiques est devenue en quelques années une ville « pourrie », sous l’heureuse action et le laxisme de son maire PS. Et aujourd’hui Mme Appéré (Mme Apeurée) s’affole : « Jusqu’où ira cette violence destructrice ? ». Il est bien temps d’y penser et de se poser la question.
Reste que la situation est devenue tellement compliquée que le ministère de l’Intérieur a envoyé sur place la CRS 8, le corps d’élite des CRS, afin de faire face aux violences urbaines.
La situation est identique à Nantes, autre ville tenue par un autre maire PS, la célèbre Johanna Rolland. Elle aussi est un as dans son domaine.
Son budget municipal ne consacre que 1% à la police municipale. Celle-ci, en semaine arrête de travailler au milieu de la nuit. Et elle ne travaille pas le dimanche. Nantes, qui était une autre ville fort agréable, est devenue un authentique coupe-gorge. Comme Rennes. Et les antifas y prospèrent dans l’indifférence totale de la municipalité.
Ces élus tels Appéré ou Rolland, et tant d’élus d’extrême-gauche partout en France, ont soutenus ces nervis antifas et leurs violences comme à Sainte-Soline. La LDH a même été jusqu’à mettre des « observateurs » pour surveiller… la police. Mais pas les antifas alors que la manifestation était interdite.
A Callac, les élus de la municipalité de gauche ont soutenus les violences antifas contre les patriotes qui s’opposaient au projet du maire voulant faire venir des centaines de migrants.
C’est partout la même chose.
Tous ces élus qui répètent « pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie » ont soutenu les antifas chargés, par la violence, de faire taire les opposants des bien pensants.
Sauf que le phénomène a pris une telle ampleur que les mêmes élus sont pris de panique aujourd’hui. Le monstre qu’ils ont créé et soutenu, leur échappe.
Cela me fait penser à cette scène de Fantasia, le film de Walt Disney, où l’on voit Mickey ensorceler un balai. Mais comme il n’est qu’un apprenti sorcier, il est incapable de contrôler la situation. Tous les balais s’ensorcellent et provoquent une catastrophe. C’est exactement la même chose avec les antifas, mais c’est autrement plus grave que des balais. Ces antifas sont devenus un véritable cancer pour notre société.
Le plus grave étant que personne ne semble vouloir prendre contre eux les mesures qui s’imposent. C’est notamment le cas du ministère de l’Intérieur, dont on aura du mal à me convaincre qu’il n’a pas identifié ces furieux. Alors pourquoi ne sont-ils pas arrêtés ? …jugés et condamnés à payer pour les dégâts commis et les blessures infligés à des citoyens et de policiers ou gendarmes ?
Pourquoi ne sont-ils pas interdits de manifestation et obligés de pointer dans une commissariat ou une gendarmerie à l’heure des manifestations ?
De même, pourquoi le procureur de la république des Côtes d’Armor n’a-t-il engagé aucune poursuite contre la municipalité de Callac pour deux contre-manifestations non déclarées, les 17 septembre et 05 novembre 2022 ? Pourtant c’est un délit condamnable.
Pourquoi ce procureur n’a-t-il lancé aucune poursuite contre les antifas qui ont exercé des violences à Callac à trois reprises ? Délit condamnable aussi.
Au final, tous ces élus bien pensants ainsi que l’État sont les véritables responsables de ces situations chaque jour plus préoccupantes. Les uns parce qu’ils ont créé ce cancer, les autres parce qu’ils ne veulent pas le traiter. Attendent-ils qu’il y ait des morts pour finir par réagir ?
Et les médias bien pensants, à partir de quand vont-ils cesser de soutenir ces hordes violentes et les dénoncer pour ce qu’elles sont… des hordes fascistes ?
Le 29 avril, à St-Brévin aura lieu une nouvelle manifestation contre l’installation d’un CADA. Le préfet de Nantes va-t-il comme la dernière fois laisser la contre-manifestation des antifas approcher à quelques dizaines de mètres de notre rassemblement pacifique, ou va-t-il les contenir à plusieurs centaines de mètres ?
Ce n’est certes qu’un petit évènement par rapport à tout ce qui se passe en France, mais nous verrons ce jour là si l’État a tiré des leçons des évènements que nous vivons ou s’il souhaite continuer à laisser pourrir encore plus la situation.
00:52 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 13 avril 2023
Bernard Germain à Breizh info : « La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner »
Un grand entretien avec Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac, publié par Breizh Info cliquez ici
Le calme est revenu à Callac, commune des Côtes d’Armor qui s’est retrouvée, malgré elle, au centre de l’attention médiatique, du fait des tentatives d’y imposer à la population un accueil massif de migrants, sans consultation préalable de citoyens qui sont apparus très divisés sur la question, et avec une grosse partie franchement hostile.
Mais l’abandon du Projet Horizon n’a d’ailleurs pas empêché l’Etat d’imposer, en douce, des migrants dans la commune, puisque plusieurs familles (d’Afrique noire et du Moyen-Orient) sont arrivées depuis et occupent une habitation du centre de la commune. Ce qui n’est pas sans susciter incompréhension et interrogation dans le bourg.
Le combat contre l’implantation de migrants à Callac est résumé, en long, en large et en travers, par Bernard Germain dans un livre « Callac, mère de toutes les batailles », où celui qui a été l’un des acteurs de la contestation offre son point de vue et des informations, fournies, sur les évènements qui ont plongé cette petite commune du Centre-Bretagne dans un climat de tensions jamais connues sans doute, depuis la période de la Seconde guerre mondiale.
Nous l’avons interrogé sur son action et sur son livre, paru aux éditions Synthèse nationale (à commander ici).
Breizh-info.com : Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Bernard Germain : J’étais ingénieur logiciel. Aujourd’hui je suis retraité et je vis dans les Côtes d’Armor.
Je suis quelqu’un qui vient de la gauche. En 1981 j’ai voté Mitterrand et adhéré au PS. Je les ai quittés après le virage de la rigueur en 1983. Je n’avais pas voté pour cela.
J’ai ensuite partagé ma vie entre activités professionnelles et syndicalisme. S’agissant de mon activité de syndicaliste, j’ai été un responsable national de la Fédération FO des télécoms et à ce titre j’ai été l’un des négociateurs de la Convention Collective de Branche des Télécommunications (CCNT) pour ma Fédération. J’ai également été administrateur FO à la Sécurité Sociale pendant près de 20 ans dont 10 comme vice-président de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie des Yvelines.
Sur le plan politique, je n’ai eu aucune activité dans un parti depuis mon départ du PS. J’ai repris une carte politique récemment en adhérant à Reconquête lors de sa création, pour deux raisons : tout d’abord parce qu’Eric Zemmour m’est apparu comme un « politicien » honnête qui dit la vérité, et d’autre part parce que je pense que l’existence de la France telle que je l’ai connue est aujourd’hui gravement menacée, notamment du fait d’une immigration totalement incontrôlée.
Breizh-info.com : Avec quelques mois de recul sur la bataille de Callac, quelles sont les conclusions que vous en tirez ? Diriez vous que ce qui a fait le succès de la mobilisation, c’est surtout l’enracinement local d’une partie des opposants qui de facto, ne sont pas apparus comme “hors sol” dans la contestation comme cela peut parfois être le cas dans les manifestations contre l’immigration ?
Bernard Germain : La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner. Nous en avons fait la démonstration.
Indiscutablement, l’enracinement local des opposants a pesé lourd dans la balance. Cela a permis de discuter régulièrement avec la population et grandement aidé à la mobilisation car les gens comprenaient la justesse de notre combat puisqu’ils voyaient qu’ils allaient être directement touchés.
Maintenant, la présence de personnes « extérieures » lors des manifestations était normale. Le combat de Callac n’était pas seulement le combat de ce village, mais la mobilisation contre une politique nationale. Callac était le laboratoire de la mise œuvre de cette politique.
Breizh-info.com : Malgré l’abandon du projet Horizon, le projet Viltaïs semble lui mené tambour battant, y compris à Callac, puisque l’on y voit depuis quelques semaines plusieurs nouvelles (et nombreuses) familles. Envisagez vous de nouvelles mobilisations locales avec votre collectif ?
Bernard Germain : Callac a marqué un tournant dans la stratégie du gouvernement pour imposer sa « transition démographique ». Ils se sont rendus compte qu’un projet massif comme ils prévoyaient de le faire à Callac avec le projet Horizon, cela ne marche pas. Notamment parce qu’il reposait sur l’équipe municipale locale, qui s’est révélée incapable de résister à la pression et qui a craqué politiquement.
Le gouvernement en a tiré la leçon. Maintenant, ce sont les préfets qui pilotent avec des associations comme Viltaïs auxquelles ils sous-traitent la mise en œuvre moyennant d’abondantes subventions.
Second point important, il n’est plus question d’arrivées massives dans les villages mais de saupoudrage. Une famille par-ci, deux ou trois par là.
C’est beaucoup plus difficile de s’y opposer d’autant que tout est fait en secret et qu’on apprend l’arrivée des migrants à la dernière minute.
A Callac, deux familles sont arrivées ainsi dernièrement. L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a repris la mobilisation. Tracts et pétitions sont réapparus. L’affaire n’est nullement terminée.
Breizh-info.com : Quel est l’objectif de l’association « Callac Partout » ? Quelles actions avez vous mené ? A Saint-Brevin les Pins, une large partie de la population (beaucoup de résidences secondaires) que nous avons interrogée n’avait pas l’air hostile à l’accueil de migrants, comment l’expliquez-vous ?
Bernard Germain : La coordination « Partout Callac » a pour objectif d’aider tous ceux qui sont confrontés à l’arrivée de migrants dans leur localité et leur faire profiter de notre expérience pour mener le combat.
Nous avons d’ailleurs créé un site internet (www.partoutcallac.fr). Ceux qui le consulteront y trouveront des informations et des conseils pour mener l’action. Ils peuvent également nous contacter.
J’ajoute que j’ai également écrit un livre relatant le combat mené. Il s’appelle « Callac la mère des batailles » et peut être commandé chez www.synthese-editions.com.
Quant à St-Brévin, c’est comme partout. La plupart des gens au départ ne croit pas à la réalité des futurs problèmes que nous dénonçons. Et les discours incessants des médias immigrationnistes ne cessent de les intoxiquer. Donc, lorsqu’ils ont la preuve que ce que disions était vrai … il est souvent trop tard. Les immigrés que le préfet impose sont là. C’est pour cela qu’il faut mener le combat en amont, même si certaines personnes sont crédules et croient sur parole les médias.
Breizh-info.com : Ne pensez-vous pas que le fait de mettre trop en avant des organisations politiques (à Callac, on a beaucoup vu Reconquête) peut s’avérer contre productif, notamment dans des communes rurales où la politique politicienne relève encore très souvent du domaine privé, à peine familial, et de celui des urnes ? (on a vu à Callac la fracture que pouvait engendrer le sujet, y compris dans les familles…)
Bernard Germain : J’étais le porte-parole du Comité d’Organisation, c’est à dire la structure qui regroupait l’Association « les amis de Callac et ses environs » et tous les partis politique et organisations qui menaient le combat.
Je n’ai jamais mis en avant que j’étais à Reconquête. Je parlais au nom du comité, donc de tout le monde. Il aurait été malhonnête de faire croire qu’il n’y avait que Reconquête. Étaient avec nous le Parti de la France, les Patriotes, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, La ligue du Midi, Les Frères dissidents, entre autres.
D’ailleurs, pour faire partie du Comité d’Organisation nous ne demandions qu’une chose : être d’accord le mot d’ordre « Non au projet Horizon, Callac doit rester Callac ».
Tous ceux qui étaient d’accord avec cela étaient les bienvenus. On est donc très loin d’une appropriation du combat par Reconquête, même s’il est indéniable que Reconquête a été le principal acteur de tout cela.
En ce qui concerne les fractures au sein de la population, c’est Macron qui les a imposées.
Callac vivait tranquille. Mais Callac s’est retrouvé au milieu d’une mêlée découlant d’une politique nationale.
Le débat était inévitable au sein de la population. Certains étaient pour. D’autres, beaucoup plus nombreux, étaient contre. Il était inévitable que des fractures apparaissent.
Nous avons défendu Callac et cela a déplu à certaines personnes. C’est la vie.
Breizh-info.com : Un mot, pour conclure, sur les plaintes qui visent plusieurs organisateurs des manifestations callacoises, dont vous même, de la part notamment du quotidien Le Poher, qui a subi des menaces ces derniers mois ?
Bernard Germain : Le Poher est un petit journal gauchiste qui tire à quelques milliers d’exemplaires. Ils se sont crus obligés d’écrire des articles sur notre combat afin de le discréditer, employant à cette occasion une argumentation odieuse contre nous, allant jusqu’à faire la comparaison avec le combat des résistants contre les nazis.
J’ai donc répondu dans un article à ces attaques insupportables.
Mais ces gens ne supportent pas qu’on réponde. Eux ont le droit de nous insulter et de nous traîner dans la boue, mais ils exigent en retour notre silence.
Comme ma réponse ne leur a pas plu, ils ont décidé de me traîner au tribunal, ainsi que Christine Tasin la responsable du site Résistance Républicaine. L’audience était prévue le 3 avril mais a été reportée.
De plus, ils ont mis en scène toute une campagne de victimisation en déclarant recevoir des menaces de mort et même une alerte à la bombe. Le tout généreusement relayé par les médias nationaux et par les élus de gauche de Bretagne et autres associations pro-immigration.
L’objectif était à l’évidence d’accréditer l’idée qu’il existerait des violences d’extrême droite et que la France serait menacée de l’instauration du fascisme.
Je m’étonne, avec les moyens dont elle dispose, que la police n’ait toujours pas identifié les coupables.
Ce qui est sûr c’est que nous ne sommes nullement mêlés à cela. D’ailleurs nous désapprouvons ces méthodes.
Notre combat est politique, à visage découvert et « à la loyale ».
Propos recueillis par YV
20:49 Publié dans Bernard Germain, Callac 22, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 11 avril 2023
Les immigrationnistes en appellent à la répression
Bernard Germain
Ces derniers jours, les prises de position se multiplient dénonçant l’opposition constatée dans plusieurs communes de France contre l’installation forcée de migrants, notamment au travers de projets de CADA.
Le journal « Le Monde », a publié le 7 avril 2023 un article intitulé : « Face aux réactions hostiles à des projets d’accueil de migrants, élus et associations demandent plus de soutien de l’État ».
Du côté des politiques, un certain Damien Carême (Europe Écologie Les Verts), député européen et coprésident de l’Association nationale des villes et territoires accueillants, pleurniche reprochant aussi à L’État de ne pas soutenir les élus complices de cette politique de répartition des migrants sur tout le territoire, qui s’impose sans demander l’avis de la population avant de passer en force ces projets. Il déclare : « Il faut une parole pour ces élus locaux qui s’engagent au nom des besoins de l’État ».
Au motif que la plupart des projets contestés relèvent de marchés publics, dans le cadre du parc d’hébergement des demandeurs d’asile, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, qui regroupe plus de 870 associations de lutte contre l’exclusion, parmi lesquelles des opérateurs de CADA, s’élève contre les manifestations de refus de la population concernée par ces projets.
En clair, ce brave homme déclare benoîtement que puisque c’est légal, il n’y a pas à prendre en compte l’avis de la population et surtout ne pas accepter les actes d’opposition.
Et de déclarer : « L’État doit prendre la pleine mesure de la multiplication des actes d’intimidation ».
On notera à ce sujet que les « actes d’intimidation », invariablement invoqués, ne semblent pas si évidents que cela. Curieusement, à ma connaissance, aucune plainte déposée pour ces motifs n’a été suivie de poursuites judiciaires à ce jour. On en viendrait à se demander si ces plaintes ne sont tout simplement pas bidons et ont pour fonction de cacher le vrai problème : ces élus complices n’assument pas leur trahison de la population et tentent de se faire passer pour des victimes de la prétendue « extrême-droite » qui n’existe pas, mais qu’il est bien pratique d’invoquer pour cacher le refus massif de la population de cette politique que ces élus soutiennent.
Toujours est-il que comme dirait l’autre, selon ces bons élus, dans ces conditions un peu de « violence policière » ne ferait pas de mal.
Quand c’est l’extrême-gauche et les antifas qui sont visés, c’est insupportable, car leur violence est légitime puisqu’elle est pour une « bonne cause ». Mais lorsque ce sont de simples citoyens qui protestent et s’opposent à des projets immigrationnistes, là ce serait une bonne idée de les réprimer un peu. Et même beaucoup, histoire de faire revenir le silence dans les rangs.
Pour sa part, Chloé Freoa, la directrice de la fondation Merci, qui pilotait le projet Horizon de Callac, analyse : « On était novice mais on sait aujourd’hui qu’il y a des enjeux de communication énormes autour de ces projets ». A sa manière, cette dame confirme ce que nous écrivons.
Il n’y a pas eu de communication autour du projet Horizon, notamment vis à vis de la population, ce qui a provoqué sa colère et le rejet du projet Horizon qui a été abandonné en janvier 2023.
Ces braves gens pensaient qu’il suffisait de communiquer avec le conseil municipal et que les crétins d’habitants ne diraient rien.
Mauvaise pioche…
Cette dame oublie aussi une chose essentielle. Ce n’est pas simplement une affaire de « com ».
Ce que les français ne comprennent pas et surtout n’acceptent pas dans cette stratégie d’implantation de migrants, c’est qu’autant d’argent soit dépensé pour des gens venant de l’autre bout de la terre mais … qu’il n’y ait pas un euro pour les français qui souffrent ou qui sont dans le besoin.
Oui, c’est aussi simple que cela.
Donc, quand on essaye de culpabiliser les français en leur disant qu’ils ne sont pas assez solidaires, ils répondent à juste titre : « Commençons par être solidaires avec nos compatriotes qui en ont besoin. Quand il n’y aura plus de misère en France, il sera toujours temps de s’occuper de celle des autres ».
Tous les bien-pensants et autres immigrationnistes peuvent faire tous les plans com qu’ils veulent, même les mieux léchés, ils ne répondront jamais à cette remarque de bon sens de la population. Donc ils n’auront jamais l’assentiment de la population.
Au ministère de l’Intérieur, ils semblent avoir bien compris ce problème et ne veulent surtout pas que ces questions ne deviennent l’objet d’un débat national.
A juste titre, ils pensent que cela contribuerait à « mettre le feu » au pays, dans une période où ils n’ont surtout pas besoin de cela.
D’ailleurs, l’un des responsable de ce ministère a déclaré : « On n’a pas intérêt à en faire un sujet national ». Il y a au moins quelques personnes encore lucides…
Quant à nous, nous pensons exactement le contraire.
Il faut en faire un sujet national, car il faut que toute la population -notamment celle des campagnes- sache de quoi elle est menacée et comment réagir si un CADA doit s’installer chez elle.
C’est pour cela que nous avons créé la « Coordination Partout Callac » afin d’aider tous ceux qui sont confrontés à ces problèmes et leur faire profiter de notre expérience. Connectez-vous sur notre site cliquez ici. Faites-le connaître autour de vous !
Et si vous avez un problème de CADA chez vous, ou que vous connaissez des gens confrontés à ces questions, indiquez-leur notre existence afin qu’ils prennent contact avec nous. Nous les aiderons à mener le combat.
Il ne faut surtout pas rester isolés, chacun dans son village. La résistance doit s’organiser partout à travers le pays. Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.
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lundi, 10 avril 2023
L’avenir de l’Europe est visible à Londres et Birmingham
Bernard Germain
Publié le 29 novembre 2022, le rapport 2021 de l’institut britannique des statistiques a montré une évolution considérable de la population britannique.
Dans les deux principales villes du pays, Londres et Birmingham, la population blanche est passée sous la barre des 40%. La population musulmane a doublé en seulement une décennie, passant à 4 millions de personnes. Les chrétiens représentaient 59% de la population en 2011. En 10 ans leur part est tombée à 46%. Le nombre de juifs, d’hindous et de bouddhistes est resté stable. Quand au nombre d’athées, il a fortement progressé depuis 2011, passant de 25 à 37,2%.
Si nous nous intéressons plus précisément à Londres, on notera que près de 40% des musulmans d’Angleterre vivent dans la capitale. Le Grand Londres compte environ 500 mosquées ainsi qu’une douzaine d’écoles privées. On dénombre également 2 300 restaurants servant de la nourriture Halal. En 2013, il y avait 13 400 entreprises appartenant aux musulmans à Londres, créant plus de 70 000 emplois et représentant un peu plus de 33% des petites et moyennes entreprises.
Voilà des chiffres qui ne peuvent qu’inquiéter, s’agissant de l’avenir de notre civilisation. L’élection de Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, à la mairie de Londres en 2020 en est une conséquence logique. Tout comme la nomination du Premier ministre, Rishi Sunak, fils d’un Indien né au Kenya, étant lui-même hindouiste.
Ce dernier a d’ailleurs fait une déclaration importante : « Je suis un Indo-Britannique. Je suis profondément britannique, mais ma religion, mon héritage culturel et mon épouse sont indiens ». Ceux qui éventuellement se posaient encore des questions ont, avec ces mots, la réponse à leurs questions.
La conception du Premier ministre britannique n’est pas de se fondre dans la société britannique, mais de voir se mettre en place une société « communautariste » juxtaposant plusieurs cultures et identités.
Le nombre aidant, tout le monde comprend comment cela se terminera. La société britannique « traditionnelle » disparaîtra à moyen terme, si cette évolution continue.
Enfin, peut-être le savez-vous, mais pour la première fois, dans le quartier de West-end (centre de Londres) la rue Coventry, qui relie deux des places les plus fréquentées de la ville, Piccadilly et Leicester Square, a été illuminée avec le message « Joyeux Ramadan » comme le montre la photo en haut de cet article. Cela ne fait qu’exprimer l’emprise de plus en plus importante de l’islam sur la société britannique en général, et la ville de Londres en particulier.
Mais un autre fait autrement plus grave aurait dû alerter l’opinion publique, en relation avec ce que je viens de rapporter.
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samedi, 08 avril 2023
Invasion des campagnes : après “Envoyé Spécial”, la propagande d'Etat en faveur du grand remplacement continue
Après l’ineffable « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, diffusé jeudi 6 avril sur France 2, concernant le dossier de Callac, les pro-immigration continuent leur offensive pour imposer la transition démographique dans les campagnes.
Cette fois, c’est un reportage de France info qui s’y colle afin de tenter de démontrer que les Français ne sont que des égoïstes, insensibles aux valeurs de solidarité et d’accueil. Qui plus est, ils ne comprennent rien à l’intérêt pour la France d’accueillir ces immigrés.
Le reportage commence par Uzerche, un bourg de 2700 habitants en Corrèze. Une trentaine de migrants sont arrivés depuis 2016.
Au début du reportage, on assiste à un cours d’alphabétisation. L’objectif est à l’évidence de souligner l’envie des immigrés d’apprendre le français et donc de s’intégrer à notre société.
On me permettra d’objecter qu’apprendre une langue ne signifie pas qu’on va se fondre dans la population, adopter ses coutumes, sa culture, son identité ni son histoire.
Quand on vient d’un pays comme l’Afghanistan, comme c’est le cas dans le reportage, les différences sont tellement importantes que réduire le problème à celui de la langue est vraiment une mauvaise blague.
Bien évidemment, le reportage n’abordera pas ce problème pourtant fondamental.
On notera au passage que cet Afghan a laissé sa famille au pays. Donc s’il est régularisé, il fera jouer les règles du regroupement familial et au final, ce ne sera pas un migrant de plus à Uzerche mais entre 5 et 10 personnes.
Lorsque toutes ces personnes seront là, vont-elles vivre « à la française » ou reproduire en Corrèze leur mode de vie afghan ?
Il me semble qu’il y a suffisamment d’exemples en France pour pouvoir affirmer qu’ils garderont le mode de vie de leur pays d’origine. Pour preuve, la seule femme qu’on voit au début du reportage est… voilée.
Et c’est le problème. Du fait du nombre, et de la volonté de ces migrants de conserver leur mode de vie, on assiste à l’instauration de deux France. Qui vivent aujourd’hui « côte à côte » jusqu’au moment où l’affrontement aura lieu. Car c’est logique, l’une prendra le pas sur l’autre. Comme la France ne veut pas imposer son identité et ses us et coutumes aux migrants, quand ces derniers seront majoritaires, c’est eux qui imposeront leur mode de vie à leur pays d’accueil. C’est juste une question de temps. Mais la fin de l’histoire est connue d’avance.
On voit ensuite le maire nous vanter les bienfaits de sa politique « qui n’a pas posé de problème ».
Et d’ajouter « On peut proposer des logements, ce qui n’est pas possible dans les grandes villes ».
Tiens, tiens, moi ça me rappelle quelque chose.
Cette famille de Français à Ploërmel, obligée de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre avec 4 enfants, parce qu’il n’y a pas de logement disponible pour les héberger.
Par contre, comme dit le maire, il y a des logements pour les migrants.
Et certains ne comprennent pas que ça puisse énerver les Français de constater qu’il y a des logements pour les migrants mais pas pour les Français ?
Et ces Français « solidaires des migrants » ça ne les gêne pas de laisser tomber leurs compatriotes au profit de gens venus de l’autre bout de la terre.
C’est cela leur solidarité ? Pour ce qui me concerne, je trouve cela honteux.
Pourtant ce maire ne redoute pas de dire « tout le monde a à y gagner »… vraiment ?
Le reportage continue avec la valorisation de l’embauche de certains de ces migrants par un forestier.
« On a du mal à trouver de la main d’œuvre » dit cet employeur.
Cela me rappelle encore un autre problème. La chance que représentent les migrants qui occupent les « emplois que les Français ne veulent pas occuper ».
D’une part, on ne saura pas combien ces gens sont payés. D’autre part, je m’autorise à objecter que quand quelqu’un dépend de son travail pour obtenir ses papiers, il doit être plus docile qu’un Français de souche.
Enfin, le niveau des salaires, dans les domaines que les Français ne veulent pas occuper, est peut-être la raison qui explique ce désintérêt ?
Si ces métiers délaissés par les Français (hôtellerie, restauration, forestiers, etc.) étaient mieux payés, il y aurait sans doute plus de candidats. Non ?
Pour en savoir plus cliquez ici
Vient ensuite le cas de Beyssenac, village de 350 habitants situé à 30 minutes d’Uzerche.
Dans ce tout petit village, le préfet compte installer un CADA avec 40 migrants.
Émotion et mobilisation dans le village contre ce projet, à tel point que le préfet a décidé d’y organiser une réunion. Pour essayer de convaincre.
La salle est entièrement pleine. Plus de 200 personnes dont l’immense majorité est très remontée.
On entend les arguments de bon sens s’enchaîner.
À un moment quelqu’un demande « Qui est contre le CADA ? »… et une forêt de mains se lèvent.
Seules deux femmes s’indignent de ce rejet. Deux sur plus de 200 !
Ce qui n’empêche nullement le préfet de continuer à soutenir son projet contre vents et marées. En l’occurrence contre la volonté de la population.
On entend aussi des opposants s’exprimer.
Le journaliste demande : « Vous n’êtes pas pour la solidarité ? »
Réponse d’une opposante : « Je suis pour la solidarité, mais qu’on commence par nos anciens. »
Un autre opposant : « Je suis venu à la campagne pour être tranquille et quand je vois comment ça se passe, ça va être n’importe quoi. »
Le préfet terminera avec ces paroles : « Toute la France doit faire des efforts et être solidaire. »
La rupture est totale entre d’une part les bien-pensants, les autorités et d’autre part, la population.
Les pro-immigration ont manifestement fait leur cette déclaration de Benoît Frachon (ancien dirigeant de la CGT) :
« Il faut convaincre ou submerger. »
Pour notre part nous avons choisi de résister et nous invitons tous les Français à rejoindre notre combat, qui fut victorieux à Callac, en nous contactant sur notre site Partout Callac cliquez ici
Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.
23:04 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 07 avril 2023
« Envoyé spécial » Callac : sous Staline, Élise Lucet aurait fait merveille...
Bernard Germain
À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25% de la population du village.
Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.
En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.
Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :
• Ce projet n’était pas dans votre programme électoral
• Soit vous abandonnez le projet, soit vous faites un référendum
L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80% de la population est contre ».
Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.
Alors elle n’en parle tout simplement pas.
De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.
La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.
Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».
De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.
Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.
Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.
Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.
Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.
Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.
Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de trois manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.
On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.
Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?
Non, le reportage de France2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.
C’est du grand « Libération », mais à la télévision.
Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.
Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?
Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.
L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.
Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.
Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.
Aucun exposé des points de vue contraires.
Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.
Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.
Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.
Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.
On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.
Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.
Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.
Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.
Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.
Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?
Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?
Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».
Sauf que les parents ne disent pas cela.
Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».
Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.
Encore l’extrême droite…
Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.
Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.
Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »
« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.
Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.
Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.
Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?
Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.
Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.
Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.
Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.
Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.
Pour visionner ce monument de
propagande gouvernementale cliquez ici
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jeudi, 06 avril 2023
« Violences d’extrême-droite » une arnaque totale
Bernard Germain
Aurélien Tâché… vous connaissez ? Ce monsieur est député. Et c’est un homme de conviction. Sauf que ses convictions varient et tournent au gré des vents, comme les girouettes.
Ainsi, il a commencé sa « carrière » au PS, puis il est passé chez Macron à LREM, il a ensuite créé un micro parti qui n’a pas duré longtemps. À ce jour, il est à la NUPES chez les écologistes. On dirait qu’il a un peu de mal à savoir où il habite…
Ce monsieur est également connu pour certaines frasques dont il est visiblement un peu coutumier.
Ainsi, l'hebdomadaire Le Point, le 9 février 2022, rapporte que suite à une bagarre dans un bar à Niort, la police est appelée. Aurélien Tâché y aurait été victime de violence. Visiblement alcoolisé, il trouvera le moyen d’insulter les policiers, les traitant de « baqueux de merde ». Il échappe ce soir-là à la garde à vue sans doute du fait de son statut de parlementaire.
Il sera condamné par le tribunal de Niort à 5.000€ d’amende.
Le 6 décembre 2022, complètement saoul, Aurélien Tâché perturbe gravement la représentation d’un théâtre avant de s’en faire expulser.
Le directeur du théâtre tweetera : « Je suis le metteur en scène de « Lettres à Anne » qui se joue au théâtre Lepic actuellement.Ce soir, le député Aurélien Tâché, totalement saoule a profondément perturbé la représentation. Parlant fort, applaudissant de manière absurde, invectivant le comédien… jusqu’à ce que ce dernier s’interrompt et lui demande de sortir.Il a ensuite lamentablement menacé le régisseur de représailles. C’était absolument hallucinant et lamentable.
Pour qui vous prenez vous Aurélien Taché ?
Dans quel monde vivez vous ? ».
Donc un personnage de conviction au profil des plus sympathiques.
Récemment, le 3 avril 2023, ce monsieur vient encore de se faire remarquer, mais cette fois-ci dans la rubrique « initiative politique sulfureuse ». De quoi s’agit-il ?
Il a organisé à l’Assemblée nationale une réunion-débat dont le thème était : « la lutte contre le terrorisme d’extrême droite ».
Voyez-vous, c’est la mode par les temps qui courent. Tous les bien pensants s’en vont, répétant que les violences d’extrême-droite sont omniprésentes en France et que la France serait menacée de sombrer dans le fascisme.
La Une de Libération de ce jour 5 avril est d’ailleurs là pour le rappeler afin d’insister sur la chose et ce faisant tenter de convaincre les français que tout cela est bien réel.
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » disait Beaumarchais.
Le plus extravagant dans cette réunion, hormis son thème, étant la présence d’un des invités d’Aurélien Tâché, le dénommé Raphaël Archenault dit « Raphaël Arnault ». Ce sinistre individu est le chef des antifas de Lyon dont le groupe s’appelle « La Jeune Garde », auteur d’une multitude de violences. Je rappelle que cet individu, sympathique comme une tarentule, a été candidat de la NUPES aux élections législatives de juin 2022 dans la seconde circonscription du Rhône.
Ceci permet de comprendre qu’il y a un lien entre antifas et extrême-gauche (NUPES) politique.
À la NUPES la partie « politique », donc noble, de l’action. Aux antifas la partie violence, donc la basse besogne. Mais c’est un seul et même combat. D’ailleurs la NUPES n’a jamais un mot de condamnation pour les actions violentes.
Toujours est-il que la présence de Raphaël Arnault dans cette réunion - débat était aussi grotesque que si, en son temps, une réunion – débat contre l’antisémitisme avait eu comme invité Adolf Hitler.
En effet ce triste sire, Raphaël Arnault, a à son palmarès, avec ses troupes, un nombre non négligeable d’exactions et violences en tous genres à l’encontre de quiconque ne partage pas les idées de ses nervis antifas.
On notera au passage que ces gens sont des militants extrêmement courageux. Ils chassent uniquement en meute. Généralement ils agressent leurs victimes à plus de 10 contre 1 comme récemment à Lyon où un étudiant a été rossé et humilié dans des conditions insupportables comme le montre une vidéo qu’on trouve aisément sur le net.
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mardi, 04 avril 2023
Van der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie
Bernard Germain
Cela vous a sans doute échappé, mais l’Union Européenne vient de voter un texte qui pose la question de la disparition de la propriété privée.
Il s’agit d’une authentique révolution, motivée par un prétexte purement idéologique : la lutte pour le climat.
On notera juste au passage que cette théorie du réchauffement climatique est largement contestée. De multiples scientifiques remettent en cause cette théorie du GIEC, notamment parce que cet organisme a été pris la main dans le sac à plusieurs reprises à trafiquer les chiffres pour qu’ils disent ce que le GIEC prétend.
Sur ce thème, on peut lire par exemple le livre d’Alban d’Arguin « Réchauffement climatique. Enquête sur une manipulation mondiale. » (Pardes Editions).
On n’oubliera pas non plus d’avoir en mémoire que l’Europe ne représente que 9% des émissions mondiales de CO2. Quant à la France, c’est 0,9%.
Tandis que la Chine et les USA en produisent à eux deux près de 50 %.
Pourtant l’Europe agit comme si tout se jouait en Europe et impose une politique délirante à tout le continent.
Après cette brève introduction, revenons au texte voté le 14 mars 2023 au parlement européen.
Il s’agit d’une modification du texte « directive sur la performance énergétique des bâtiments ».
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dimanche, 02 avril 2023
Macron et Mélenchon complices de la libanisation de la France
Bernard Germain
En 1943, sous l’occupation française, eut lieu un partage de la Syrie. Une grande partie resta la Syrie actuelle à majorité musulmane, l’autre partie devint le Liban à majorité chrétienne. Au fil des ans, le nombre de musulmans augmenta au Liban et les affrontements commencèrent à se développer. Dans les années 1970, le Liban bascula en devenant un pays à majorité musulmane.
À partir de ce moment, c’est une véritable guerre civile qui s’installa entre milices chrétiennes d’une part, et musulmanes et palestino-musulmanes d’autre part. S’en suivit une explosion de violences, un terrible appauvrissement et une tiers-mondisation du pays.
Aujourd’hui le Liban « n’existe plus ». Ravagé par les conflits inter ethniques, une inflation délirante, et une quasi absence de production. Ce pays qu’on appelait la « Suisse du Moyen-Orient », est devenu une sorte de chaos intégral dont la diaspora chrétienne a fui ce pays de venu cauchemardesque.
Cette triste évolution du Liban, amenant à sa destruction, devrait nous servir de leçon et nous devrions faire très attention à ne pas recréer dans notre pays les conditions ayant provoqué ce désastre.
Malheureusement, c’est exactement le contraire qui se déroule sous nos yeux.
Et nous sommes en passe d’aboutir à une « libanisation » de la France. C’est d’ailleurs ce que dénonce Eric Zemmour qui appelle tous les patriotes à se mobiliser pour empêcher cette évolution qui serait mortelle pour notre pays.
Dans le camps d’en face, un tandem infernal œuvre au contraire à la création de toutes les conditions qui aboutiront à cette destruction de notre pays. Ce tandem est constitué de deux personnes, en apparence opposées mais en fait entièrement complices : Macron et Mélenchon avec sa NUPES.
Le premier élément qui amena à terme à la destruction du Liban fut la transformation de sa population. La France est aujourd’hui menacée du même péril.
La France est un pays chrétien, de culture gréco-romaine.
Or, Macron, Mélenchon et l’Europe n’ont de cesse de favoriser une immigration qui à ce jour est totalement incontrôlée. Il se trouve que cette immigration, pour l’essentiel vient de pays africains qu’ils soient d’Afrique du Nord ou Sub-saharienne. Un nombre considérable de ces migrants sont musulmans et ont une culture fort différente de la nôtre.
Lorsque le nombre de migrants est faible, l’assimilation les transforment en français. Avec les millions de migrants de notre société actuelle cette assimilation n’est plus possible et comme cela s’est développé au fur et à mesure des années au Liban, on constate un développement séparé et des oppositions et conflits qui ne cessent de croître. Lorsqu’ils atteignent un certain niveau la coexistence des deux sociétés ne sera plus possible. La société musulmane s’imposera. Les «français» n’auront plus qu’un choix se soumettre ou partir. Sinon, ce sera la guerre civile. Comme ce fut le cas au Liban.
Macron est un mondialiste et un européiste. Sa volonté est de voir disparaître la France, son identité et sa culture. N’a-t-il pas dit « il n’y a pas de culture française » ? En fait ce qu’il veut, comme tous les mondialistes c’est que nous soyons de simples consommateurs pour lesquels leur situation géographique ne doit plus avoir de signification.
Mélenchon, à sa manière dit la même même chose et a le même objectif. Il affirme volontiers que nous sommes «citoyens du monde», donc sans pays, sans nation, et souhaite la « créolisation » de notre peuple. C’est à dire sa dissolution dans une espèce de «population mondiale».
C’est par là qu’a commencé la destruction du Liban. Nous en prenons dangereusement le chemin.
Ce qui explique l’importance primordiale du combat pour que la France reste la France et que chaque individu qui souhaite y venir affiche clairement sa volonté de faire partie du peuple français avec sa culture, ses us et coutumes et son identité.
Sinon, c’est qu’il s’agit d’une invasion et cela ne peut que finir très mal.
Le second élément qui fut constaté au Liban et que nous retrouvons en France est le développement de la violence dans toute la société. Ainsi, la violence d’extrême-gauche est omniprésente en France. Les médias bien pensants la cachent soigneusement mais quiconque veut bien voir la simple réalité ne peut que faire le constat de son existence. Par exemple, on ne compte plus les agressions contre les militants de « droite » et les patriotes, à l’occasion de réunions ou de conférences que les bien pensants veulent interdire. Les agresseurs justifiant leurs actions par le slogan «Pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie». Ou encore les violences constatées dans les manifestations comme celles contre la réforme des retraites avec moult dégâts et agressions physiques.
Rien de cela n’est dénoncé dans les médias bien pensants, c’est même l’inverse.
Ils ne cessent de parler des «violences d’extrême-droite», alors qu’il n’y en a aucune, et du danger imminent de l’instauration du fascisme dans notre pays, délire qui est aussi un fantasme.
Enfin, on a pu les constater lors de manifestations interdites (Sainte-Solines) où des dizaines de gendarmes ont été blessés par des gauchistes à coups de cocktails Molotov, boules de pétanque, mortiers d’artifice… etc. Et les mêmes de se déclarer victimes de «violences policières».
Mélenchon approuve tout cela, lui qui a comme nouvel ami Andreas Malm, qui se déclare « Lénino-écologiste » prônant les actions violentes dans la lutte pour le climat.
Mais Macron ne s’inquiète pas du tout de cette situation, elle lui permet de faire peur aux gens les plus crédules qui lui demandent de «reprendre les choses en main» afin d’assurer l’ordre.
C’est bien pratique quand on a une bonne partie de la population opposée à sa politique.
La plupart de ces actions violentes sont le fait d’antifas qui ne sont en réalité que des milices au service de Macron. Largement soutenues par Mélenchon et tous les médias bien pensants qui font l’opinion. Ajoutons que tout est fait par Mélenchon et la NUPES pour créer une ambiance inquiétante à travers tout le pays. C’est à cela que sert la « bordelisation » de la vie parlementaire. Avec violences verbales et non-respect des règles les plus élémentaires du fonctionnement parlementaire.
La NUPES, aux yeux de ses soutiens, peut ainsi se prévaloir à bon compte d’être intraitable face aux ennemis politiques.
Quant à Macron il doit jubiler puisque cela lui offre la possibilité d’appeler tous les autres parlementaires à serrer les rangs contre ces furieux de la NUPES. Et gare aux députés qui ne sont pas solidaires face à l’ennemi.
Un petit jeu de duettistes dont seuls les naïfs peuvent être dupes de cette mauvaise blague.
Enfin, il est important de souligner le troisième élément qui a signé le désastre libanais : la destruction de l’appareil de production. Depuis qu’il était ministre de Hollande jusqu’à nos jours, soit une bonne dizaine d’années, Macron n’a eu de cesse de détruire notre appareil productif. Pour dire les choses simplement, il convenait de faire de la France un pays de services (Tourisme…) et dans le cadre de la mondialisation de l’économie, accepter d’être dépendant des autres pays dans de nombreux domaines.
On a vu le résultat de cette brillante politique à l’occasion de la crise du Covid. Un authentique naufrage pour le pays.
Ajoutons la soumission aux oukases de l’Allemagne et de l’Europe, comme par exemple sur le nucléaire ce qui se traduit par une crise terrible pour notre parc nucléaire qui se double d’une crise énergétique que les français payent chaque mois avec des factures d’électricité ahurissantes. Tout comme ils subissent la flambée des prix des carburants.
Enfin, Macron d’un côté jette l’argent par les fenêtres, pour l’écologie en Afrique du Sud, vis à vis des pays du Maghreb ou encore pour l’Ukraine.
De même qu’il impose au pays un coût pharaonique pour l’immigration. Des sommes colossales en dizaines et centaines de milliards d’€. En revanche, il engage une réforme des retraites pour un déficit à venir de 15 milliards d’€. Provoquant à cette occasion une crise majeure.
Macron est donc, avec sa politique économique, en train de détruire l’économie de notre pays et un appauvrissement considérable de la population.
Au final, nous voyons que tous les éléments, qui ont conduit le Liban à sa destruction, sont aujourd’hui réunis pour que notre pays suive le même chemin.
En affirmant cela, il ne s’agit pas d’effrayer inutilement les gens, mais de faire prendre conscience de la réalité de notre situation et de l’avenir de notre pays.
L’histoire du Liban nous annonce ce que sera notre destin si nous ne prenons pas conscience de la réalité. Il est grand temps de réagir, de nous mobiliser et de nous battre pour sauver notre société et notre pays. Dans seulement quelques années, il sera trop tard...
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samedi, 01 avril 2023
Incroyable fin de congrès : la CGT se tire une balle dans chaque pied...
Bernard Germain
Je l’écrivais hier, la lutte entre les deux candidates à la succession de Philippe Martinez serait serrée, très serrée. Et ce fut le cas au-delà de l’imaginable.
La réunion de l’instance chargée d’élire le futur secrétaire général, commença à 23H00. 8H00 plus tard aucun nom n’avait obtenu une majorité. Il ne restait plus qu’une heure avant la reprise du congrès en séance plénière.
C’est alors que se produisit l’impensable, un 3e candidat sortit subitement du chapeau et ô miracle recueillit une majorité. Sophie Binet venait, à la surprise générale, d’être élue nouveau secrétaire général de la CGT.
Comment cela a-t-il été possible ? Comme d’habitude, par la bêtise des uns et des autres.
Marie Buisson, la candidate soutenue par Philippe Martinez était jugée trop féministe et trop écologiste. Pendant des heures de multiples tractations eurent lieu pour trouver une majorité. En vain.
Du côté de sa concurrente, Céline Verzeletti souhaitant maintenir une CGT beaucoup moins en rupture avec son passé, une majorité était possible. À une condition : il fallait s’entendre avec l’aile la plus dure de la CGT incarnée par Olivier Mateu, le bouillonnant secrétaire général de l’Union départementale des Bouches du Rhône (Marseille).
Incapables de trouver un accord, les deux ont rendu impossible la constitution d’une majorité. Et comme c’est souvent le cas, c’est un troisième larron qui, à la dernière minute, est venu tirer les marrons du feu. En l’occurrence une «larronne».
Et pas n’importe laquelle.
Ceux qui redoutait une rupture avec la CGT «historique» vont être servis. La personne qu’ils ont placée à la tête de la CGT est une gauchiste wokiste, féministe et écologiste. Pour une rupture, cela va être une sacrée rupture.
Afin de mesurer l’ampleur du désastre qui s’annonce pour cette organisation, il suffit de regarder cette petite vidéo tournée juste après la proclamation du résultat de l’élection du secrétaire général.
Il est intéressant de noter que la grande majorité de la salle est sidérée. On dirait que les délégués sont sonnés en découvrant ce qu’ils viennent d’élire comme secrétaire général. Ils ne tapent pas dans les mains, ne reprennent pas la chansonnette et sont très nombreux à rester assis sur leur chaise l’air dans le vague. Image frappante qui en dit bien plus qu’un long commentaire.
Afin de préciser le profil de l’heureuse élue, il faut indiquer qu’elle est très liée à la féministe Caroline de Haas. Pour ceux qui l’auraient oublié, Caroline de Haas s’était rendu célèbre au moment des 1500 viols de Cologne le soir du réveillon 2015 – 2016, en répondant à ce sujet : « Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est la même de Haas qui, à propos des femmes importunées par des migrants dans le 18e arrondissement de Paris avait répondu : « Il faut élargir les trottoirs ».
Sophie Binet est également connue pour être co-auteur d’un livre « Féministe, la CGT ? Les femmes, leur travail et l’action syndicale ».
Au sein de la CGT elle était, avant le congrès de Clermont-Ferrand, en charge du secteur « Égalité Femme-Homme » et secrétaire général de l’Union des ingénieurs, cadres et techniciens, (Ugict), le syndicat des cadres de la CGT, depuis 2018.
Ajoutons qu’elle est aussi connue pour ses prises de positions écologistes, proches de celles de l’extrême gauche.
Avant de devenir permanente syndicale elle occupait un emploi de conseillère principale d’éducation (CPE) dans un Lycée à Marseille puis au Blanc-Mesnil dans le 93.
Étudiante, elle fut une dirigeante de l’UNEF, syndicat gauchiste à son l’époque, avant qu’il ne devienne carrément islamo-gauchiste aujourd’hui.
Georges Séguy et Henri Krasuki doivent se retourner dans leur tombe.
Du côté du gouvernement, ce sont des mines d’enterrement. Le Premier ministre, Elisabeth Borne, l’a félicitée pour son élection (ce qui est classique) ajoutant comme d’habitude la stupide affirmation : « c’est une chance pour les femmes bla bla bla ». Interrogés en « off », des ministres ne cachent pas leur inquiétude pour les futures négociations avec la CGT. Ils vont d’ailleurs être vite fixés puisque la 1ère négociation est prévue mercredi prochain, avec notamment comme thème les retraites.
Quant à la CGT proprement dite, et son avenir, c’est un énorme point d’interrogation. Comment les syndicats traditionnels et les piliers du syndicat vont-ils réagir à cette nomination ? Quelle politique va-t-elle conduire au sein de la confédération CGT ? Comment va-t-elle s’y prendre, par exemple, pour aller parler aux dockers en cas de conflit majeurs ?
Seule certitude: en élisant Sophie Binet à sa tête, la CGT a ouvert une période qui pourrait aisément se transformer en une crise d’identité dont on sait qu’elle vient de commencer mais pas où elle se terminera. Les mois à venir seront certainement cruciaux pour la CGT, son identité et son avenir.
00:55 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 29 mars 2023
Le « programme commun » de Macron - Mélenchon: instaurer le chaos
Bernard Germain
Nous sommes confrontés à la peste et au choléra. La peste NUPES de Mélenchon et le choléra Macron se sont abattu sur notre pays. Les deux ont un programme commun: tout faire pour jeter notre pays dans un chaos total. Les faits de ces derniers jours en attestent sans contestation possible.
Tout d’abord à Sainte-Soline samedi dernier. Prenant prétexte des « bassines », des hordes d’« écologistes », d’antifas, et tout ce que l’extrême gauche compte de pire, se sont précipité sous prétexte de « lutter pour l’eau » venir « casser du flic ».
Faut-il rappeler que cette manifestation était interdite ? Dès lors, les manifestants savaient que les forces de l’ordre interviendraient.
Il faut s’appeler Mélenchon pour condamner « les violences policières » et déclarer « Sans la police, cette manifestation n’aurait été qu’une promenade dans les champs ».
Et le même Mélenchon de passer sous silence les camions de gendarmes brûlés à coups de cocktails Molotov, tout comme les 47 gendarmes blessés dont plusieurs très gravement, ainsi que les armes saisies par la police (haches, marteaux, boules de pétanque…) saisis sur les manifestants.
A ce discours irresponsable de Mélenchon, il convient d’ajouter une campagne délirante de la NUPES et de toute la « gauche », avec la complicité active de la presse bien pensante (Libération, Le Monde, …), dénonçant les « violences policières » allant même jusqu’à affirmer que le SAMU a été empêché par la police d’intervenir pour soigner les manifestants blessés à Sainte-Soline. Il se trouve qu’aujourd’hui le SAMU vient de produire un communiqué dénonçant ces affirmations mensongères.
Autre élément, aujourd’hui, lors de la 10e mobilisation nationale contre la réforme des retraites, des violences ont été constatées dans les principales villes où sévissent de nombreux antifas et blackblocks (Bordeaux, Rennes, Nantes, Lyon, Lille, Paris…).
Comme d’habitude, feux de poubelles, jets de pierres sur les forces de l’ordre, destructions de mobilier urbain, dégradations de commerces et même à certains moments agressions contre les cortèges syndicaux.
Toujours les mêmes antifas, constitués en blackblocks, à l’origine des dégâts, pour la plus grande satisfaction de Macron puisqu’il voit dans ces exactions un argument pour discréditer le mouvement en cours contre la retraite à 64 ans et effrayer une partie de la population.
À cette position irresponsable de Macron, se félicitant des désordres et violences, il ajoute une politique délibérée bloquant toute possibilité de trouver une sortie par le haut à la crise que traverse le pays.
Ainsi, pour toute réponse à la proposition de Laurent Berger - Secrétaire général de la CFDT - de mettre la réforme « en pause » et d’ouvrir un débat avec les syndicats via un médiateur. Macron a fait répondre qu’il n’en était pas question. Mais qu’il souhaitait un débat avec les syndicats sur plusieurs sujets différents de celui de la retraite.
Ce qui revient à leur dire : « considérez la réforme des retraites comme terminée, discutons d’autre chose ». Cette véritable provocation a bien sûr eu le succès qu’elle mérite.
Sur ce plan, Jean-Paul Mattei, Président du groupe Modem, vient d’apprendre à ses dépends qu’il ne faut pas être « responsable et ouvert ». Ainsi, ce jour à midi, interviewé à l’Assemblée nationale, il s’est déclaré favorable à la proposition de Laurent Berger. Mise en pause et ouverture dune négociation.
À 14H30, interrogé à nouveau par une télévision, il a déclaré exactement l’inverse. Affirmant : « oui au dialogue mais sans suspension de la réforme » c’est à dire la position de Macron.
Entre les deux, il a dû se faire sévèrement recadrer.
En adoptant cette position totalement crispée, Macron confirme qu’il agit comme un psycho-rigide.
Peu lui importe que le pays soit à 80% contre lui et au bord de l’explosion sociale à cause de l’empilement des problèmes (inflation, salaires, explosion du coût de l’énergie et des carburant...).
Normalement, en cas de crise majeure entre le pouvoir et les syndicats, il serait logique de mettre en œuvre ce que prévoit la Constitution et ainsi permettre au peuple de trancher, avec un référendum.
Mais lui est un « sachant » persuadé de détenir LA vérité et donc il entend l’imposer à tout le pays. Il refuse donc tout référendum afin de trancher le débat.
Dans un avenir proche, le Conseil constitutionnel donnera sa réponse vers le15 au 20 avril, soit dans environ 3 semaines puisqu’il a été saisi de la Loi sur les retraites.
Si le texte de Loi est validé, le Président aura 15 jours pour la promulguer.
D’ici là, Macron fait un « bras d’honneur » à tout dialogue et joue le pourrissement et l’essoufflement du mouvement, tout en comptant sur les violences des antifas pour l’aider à discréditer le mouvement.
C’est d’ailleurs pour cela que Macron ne fait rien pour impuissanter les hordes violentes antifas.
Invoquant comme argument « On ne peut pas les arrêter de manière préventive », Il faut qu’ils commettent un délit. Pourtant, la police l’a fait pour les patriotes le soir du match France Maroc, mettant en garde à vue « préventive » les patriotes qui souhaitaient manifester, dans les rues, leur joie de la victoire.
Ajoutons qu’il serait parfaitement possible d’obliger les antifas, que la police connaît parfaitement, à pointer durant les heures des manifestations afin de les empêcher de participer à ces manifestations et d’y commettre des dégâts.
Le refus de Macron de le faire prouve sans équivoque que les antifas lui rendent service.
Au final, on constate que Macron – Mélenchon forment un couple totalement complice qui œuvre à instaurer en France un chaos complet.
Avec leur numéro de duettistes, chacun sur son créneau, ils réalisent ensemble un travail de sape visant en définitive à la destruction de notre pays.
Leurs désaccords apparents ne peuvent trompés que les naïfs. En vérité, ces deux-là ne sont que les deux faces d’une même pièce.
Pour sa part, l’intersyndicale annonce une nouvelle mobilisation nationale jeudi 6 avril. Et même si aujourd’hui les chiffres de participants ont un peu baissé, ils restent à un niveau très élevé.
Le 6 avril, la mobilisation sera certainement encore massive. L’affaire est loin d’être terminée. Macron n’a pas encore gagné.
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lundi, 27 mars 2023
L’école : … la fabrique des abrutis.
Bernard Germain
Peut-être cette information vous a-t-elle échappé mais elle vaut pourtant son pesant de cacahuètes. Elle concerne l’apprentissage de la lecture par les enfants.
Le 23 février 2023, Louis Maurin, le responsable de « l'Observatoire des inégalités », regrette, dans une tribune que « près de la moitié des parents diplômés de l’enseignement supérieur apprennent à lire à leurs enfants avant le primaire ». Il en conclut que cela accentuerait les inégalités sociales.
En effet, lorsque les enfants débutent l’école certains ont déjà des connaissances et un vocabulaire que les autres n’ont pas. C’est donc, pour lui, injuste et ne permet pas l’égalité entre les enfants.
Dans un esprit égalitaire, on pourrait imaginer qu’il conviendrait de retirer tous les enfants à leur famille et les confier à l’État qui serait garant de leur assurer les mêmes conditions de départ, gage de leur égalité au moment de démarrer l’école.
Vous l’aurez compris cette solution n’a heureusement aucune chance de voir le jour.
Plus sérieusement, un esprit logique et voulant « lutter contre les inégalités sociales » déduirait de l’affirmation de Louis Maurin qu’il faut trouver des moyens pour aider les enfants des milieux les moins favorisés à acquérir les connaissances et le vocabulaire qui leur manquent, avant d’aller à l’école.
Or, curieusement, Louis Maurin rejette cette solution car cela demanderait « des moyens considérables, pour des effets incertains ».
Mais alors … comment faire ?
La solution de Louis Maurin est stupéfiante.
Tenez-vous bien. Pour lui la solution consiste à « repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ».
Pour Louis Maurin, la solution est donc de… retarder tous les élèves pour l’apprentissage de la lecture. Cette mesure serait égalitaire.
En fait, cette solution c’est l’instauration de la médiocrité et de l’ignorance pour tous.
Je suis sûr que certains lecteurs penseront que ce que je viens d’écrire est une mauvaise blague.
Mais non, c’est la stricte vérité et la triste réalité de notre école livrée à des pédagogistes fous qui la détruisent depuis des décennies et «forment» des élèves dont le niveau ne cesse de s’effondrer.
12:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 24 mars 2023
Quelques leçons essentielles après les manifestations de jeudi
Bernard Germain
Il y avait du monde, beaucoup de monde dans les rues ce jeudi 23 mars, à l’appel de l’intersyndicale, pour protester contre la réforme des retraites voulue par Macron. Leur objet se résumait en un mot d’ordre : « Non aux 64 ans ».
Évidemment, pour un salarié faisant un travail pénible, deux ans de plus c’est insupportable. Et on ne peut que comprendre la colère de ceux qui sont concernés.
Mais les autres ? Pourquoi manifestent-ils ?
Selon moi, parce que cette réforme des retraites est « la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». Effectivement, il faut être fou comme Macron -qui vit dans un monde parallèle- pour vouloir imposer cette réforme au moment où la population vit une période terrible avec inflation, explosion du coût de l’énergie, envolée du prix des carburants… Dans ce contexte, il faut dire qu’en plus Macron a tout fait pour mettre le feu aux poudres.
Absence de débat en première lecture à l’Assemblée Nationale, grandement facilitée par les près de 20.000 amendements de la NUPES qui ont donné le prétexte au pouvoir de court-circuiter la chambre.
Vote bloqué au Sénat par invocation de l’article 44 et approbation de la Loi. Vote majoritaire de la Loi en commission mixte, dont le résultat était connu d’avance vu sa composition. Enfin, activation du 49-3 en seconde lecture à l’Assemblée Nationale, bloquant tout débat et vote sur le texte. La question devenant : faire tomber ou pas le gouvernement (motion de censure).
Le gouvernement Borne a été sauvé (à 9 voix près) par LR … qui à cette occasion a signé son arrêt de mort.
Au final, une procédure législative qui est une véritable escroquerie démocratique, provoquant à juste titre la colère de la population dont près de 80 % est contre la réforme.
Ajoutons que l’intervention du Président mercredi 22 mars à 13H00 n’a fait que jeter de l’huile sur le feu, déjà conséquent, tant elle était provocatrice et hors sol.
On notera au passage un petit fait bien révélateur.
Des internautes ont relevé qu’au début de l’entretien, Macron portait une montre de grande marque. Les connaisseurs disent qu’elle vaut 80.000€.
Durant cet interview, on voit Macron mettre les mains sous la table et lorsqu’il les ressort, il n’a plus de montre.
C’est vrai que ça la fout mal quand on demande au peuple de se serrer la ceinture, d’avoir une montre d’une telle valeur au poignet.
Bref, tout cela explique pourquoi tant de gens étaient présents à cette manifestation, tant est caricatural et provocateur le déroulé de ces évènements.
Reste qu’on ne peut manquer de rappeler que pour la plupart, ces manifestants ont voté pour Macron il y a moins d’un an, alors qu’il avait en toutes lettres les 65 ans dans son programme électoral.
A l’époque, ceux qui ont mis un bulletin Macron dans l’urne, l’ont fait principalement pour « faire barrage au fascisme qui menace la France ».
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