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mardi, 03 octobre 2023

Je lance un défi à Erwan Chartier : qu’il ose débattre avec moi sur Callac !

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Bernard Germain

Erwan Chartier (en photo ci-dessus), pour ceux qui l’ignoreraient encore, est le rédacteur en chef d’un minuscule journal publié près de Callac et que nous avons contribué à sortir de l’anonymat lorsqu’il s’est cru obligé de dire pis que pendre de notre combat mené, et gagné, à Callac en faisant capoter le projet Horizon qui entendait faire venir 70 familles de migrants (environ 530 personnes selon les chiffres de Ouest-France) dans ce village de 2 200 habitants.

Cette défaite a jeté le désarroi dans la « gauche » qui est en fait l’extrême gauche et créé un véritable problème politique : comment la « gauche » qui prétend représenter les couches populaires et les défendre, comment cette gauche a-t-elle pu être contrainte d’abandonner piteusement son projet le 11 janvier 2023 ?

Deux explications contradictoires s’affrontent sur ce point :

  • Celle que j’ai toujours défendue avec mes amis de l’association « Les amis de Callac et ses environs »
  • Celle que défend la « gauche » avec le soutien constant et tapageur d’Erwan Chartier ainsi que de la presse bien-pensante (Le Télégramme, Ouest-France)

Notre explication est des plus simples et est conforme à la réalité. Tout d’abord, le maire n’avait nullement inscrit le projet « Horizon » dans son programme électoral. Dès lors, et compte-tenu des énormes conséquences que ce projet aurait eu pour le village, nous avons dit : soit vous retirez le projet, soit vous demandez à la population si elle est d’accord.

Chacun comprendra que c’est le minimum en démocratie que de demander son avis au peuple.

Et bien pas à Callac, voyez-vous. Le 5 octobre 2022, sur le marché et devant plusieurs dizaines de personnes, le maire a déclaré aux habitants qui l’interrogeaient : « Je ne ferai pas de référendum car je sais que 80% de la population est contre ».

Quand on est la «gauche» et qu’on se prétend défenseur de la démocratie, ça la fout mal de dire qu’on refuse de demander son avis au peuple et que les élus feront ce qu’ils veulent même si le peuple est contre.

Au passage, j’observe que cette « gauche » a des principes à géométrie variable, car lorsqu’il s’est agi des retraites, la même «gauche» a réclamé à corps et à cri qu’un référendum soit organisé. Donc pour les retraites, un référendum c’est nécessaire, mais sur un projet qui va bouleverser la vie d’un village, un référendum c’est non.

Un second point a fait basculer la population contre le projet. Il y a à Callac 18% de chômage, et pour trouver du travail, les gens – surtout les jeunes – sont obligés de partir, ce qui contribue à faire baisser l’activité et la vie locale. De plus, il y a à Callac des gens qui sont pauvres ou n’ont guère de moyens. Pour ceux là, il n’y a jamais rien. Alors quand la mairie a annoncé qu’il y avait 80 emplois qui avaient été identifiés et 3,2 millions d’€ pour le projet Horizon et l’aide aux réfugiés, ce fut un choc pour les habitants.

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samedi, 30 septembre 2023

Samedi dans la rue : début de la reconquête ?

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Bernard Germain

L’époque que nous vivons est proprement stupéfiante. Les assauts contre la démocratie sont absolument incessants et dans tous les domaines.

Ainsi :

  • Éric Zemmour vient d’être condamné en première instance pour avoir dit à propos la de la PMA (procréation médicalement assistée) : « On a des caprices d’une petite minorité qui tient la main sur l’État et qui l’asservit à son profit et qui va d’abord désagréger la société, parce qu’on va avoir des enfants sans père et [que] je viens de vous dire que c’est une catastrophe et, deuxièmement, qui va faire payer ses caprices par tous les autres Français ». Décision du tribunal : 4 000 € d’amende plus des dommages intérêts et des frais d’avocats. L’association Stop Homophobie avait porté plainte contre ces propos tenus par Éric Zemmour le 15 octobre 2019 à la télévision.
  • Autre exemple, la Licra a saisi la justice après un tweet dit « raciste » posté par Renaud Camus, qui est une personne présentée comme le chantre du « Grand Remplacement ». Et que dit le tweet ? « Une boîte de préservatifs offerte en Afrique, c’est trois noyés en moins en Méditerranée, 100 000 euros d’économie pour la Caf, deux cellules de prisons libérées et 3 cm de banquise préservée ».
  • Troisième exemple, j’ai personnellement une procédure judiciaire en cours concernant le combat que nous avons mené, et gagné, à Callac. La gauche ne nous pardonnera jamais notre victoire et sa défaite. Nous avons donc été accusés de tout, nous avons été traînés dans la boue et calomniés. Et comme j’ai osé répondre à nos accusateurs, je me retrouve au tribunal avec Christine Tasin qui a publié ma réponse. Eux ont le droit de nous salir, mais ils nous contestent le droit de répondre. Nous n’avons selon eux que le droit de nous taire.

Ce ne sont que trois exemples, mais il y en a tant d’autres.

Ce qu’il faut bien prendre en compte c’est que tout est fait pour que les bien-pensants imposent leurs idées et fassent taire tous ceux qui ont le moindre désaccord avec eux.

Il faut dire que le système actuel est bien fait et très efficace :

  • Il y a d’une part des lois (Pleven, Gayssot et Taubira) qui donnent tous les prétextes aux associations d’attaquer en justice quiconque émet un avis différent de la doxa des bien-pensants.
  • Ensuite, il y a les subventions largement données aux associations concernées (SOS racisme, Licra, Crif, etc.) qui peuvent ainsi engager les procédures judiciaires. Ces subventions sont données par des élus et par l’État, c’est-à-dire avec nos impôts.

En fait, l’objectif est de faire taire les opposants. Et pour s’assurer que ce sera bien le cas, les associations bien-pensantes demandent des condamnations pécuniaires importantes pour ruiner les opposants qui, à un moment, n’ayant plus de quoi se défendre au tribunal sont obligés de se taire. Alors que les associations continuent à recevoir les subventions qui leur permettent de nous faire procès sur procès.

Le plus incroyable de l’histoire étant qu’il y a une inversion complète des rôles dans les problèmes en cause. Ceux qui violent les textes et les lois sont présentés comme des victimes. Ceux qui défendent les lois et leur pays sont présentés comme des salauds et des sans-cœur qu’il faut absolument détruire.

Si l’on prend le problème de l’immigration, on constate que les ONG qui sont complices des passeurs (mafia) et vont chercher les migrants presque sur les côtes des pays africains, ne sont nullement inquiétées. Elles sont même subventionnées par l’Europe, l’État et de nombreux départements, régions, villes et partis. Alors que ces gens devraient être arrêtés, jugés et condamnés et leurs bateaux saisis, notamment pour complicité avec des mafieux se livrant au trafic d’êtres humains.

Et bien c’est le contraire qui se produit. Ceux qui protestent contre les agissements des ONG et les dénoncent sont accusés d’être des racistes qui se moquent que des migrants se noient en Méditerranée.

C’est donc bien à une inversion complète des rôles que nous assistons. La presse et les gouvernants couvrant totalement cette incroyable transformation de la réalité. Même le Pape s’y est mis lors de sa messe au stade vélodrome de Marseille en parlant comme Mélenchon. De plus, cette méthode est aussi une véritable violation des principes les plus élémentaires de la démocratie, notamment une grave mise en cause de la liberté d’expression.

Le plus sidérant étant que ce sont des partis et des associations se réclamant de la « gauche » donc de la défense des libertés qui sont les pires fossoyeurs des valeurs qu’ils prétendent défendre.

Ainsi, tout récemment, les bien-pensants voulaient interdire l’usage de VPN afin d’empêcher d’aller de manière anonyme sur internet. Encore et toujours leur volonté maladive de vouloir pister et punir les gens qui ne font pas comme il faut ou comme les bien-pensants veulent. Heureusement ce projet semble avoir capoté.

Il y a aussi ce projet de loi qui serait en préparation qui prévoit que tout journaliste qui osera écrire que le réchauffement climatique n’est pas une réalité pourra être poursuivi et sanctionné par l’ARCOM. Manifestement, si ce projet passe, la liberté de la presse n’en aura plus pour longtemps. On rappellera que cette interdiction est déjà en vigueur à Radio France, un bastion des bien-pensants, qui écrit dans l’article 1 de sa charte que Radio France se tient « résolument du côté de la science, en sortant du champ du débat la crise climatique, son existence comme son origine humaine. Elle est un fait scientifique établi, pas une opinion parmi d’autres ». Mesure-t-on où en est arrivé Radio France ? Interdire de simplement discuter du réchauffement climatique. Peut-on donner un exemple plus criant de ce qu’est une dictature ?

Mais le plus important c’est de bien prendre en compte que ce sont les « défenseurs de la liberté » qui proposent et veulent mettre en œuvre de pareilles mesures liberticides.

Et ce sont les mêmes qui nous accusent d’être d’épouvantables personnages d’extrême droite menaçant gravement l’existence de la démocratie et de la République. On croit rêver.

C’est de cette manière et avec les mêmes arguments que la « gauche » a mis en place tous les régimes responsables de dizaines de millions de morts depuis le début du XXe siècle jusqu’à nos jours. Indiscutablement ils souhaitent recommencer en ce début de XXIe siècle.

C’est à la lumière de cette analyse qu’il faut voir ces éléments différents comme un tout. Les procès contre ceux qui refusent de capituler devant la doxa des bien-pensants, les calomnies et les pressions contre les médias et les journalistes qui veulent encore faire honnêtement leur travail, les accusations contre les patriotes qui entendent défendre leur pays et leur civilisation contre l’invasion migratoire que nous subissons, les agressions permanentes des wokistes et autres gauchistes pour détruire notre société, les actions et agressions des islamistes pour conquérir notre pays et en faire une terre d’islam, etc. Au total, il n’est pas encore minuit dans le siècle, mais on s’en rapproche.

Heureusement tout le monde n’a pas baissé les bras. Ainsi samedi, dans de nombreuses villes de France, manifesteront les patriotes qui défendent leur pays et soutiennent l’action des forces de l’ordre. La participation à ces manifestations sera un élément important pour mesurer le développement ou pas de la résistance des citoyens.

Alors, samedi, il sera important de manifester avec les patriotes. D’autant que ce sera la première vraie mobilisation pour défendre notre pays, depuis bien longtemps. Si ces manifestations sont un succès, elles marqueront sans doute le début d’un mouvement de reconquête de notre pays, ou au minimum le signal que les bien-pensants ne vont pas pouvoir y faire tout ce qu’ils veulent sans réaction du pays.

Le succès que je souhaite à ces rassemblement redonnera du baume au cœur et du moral aux patriotes. Ce sera peut-être aussi la première manifestation qui prouvera que la France n’a pas dit son dernier mot.

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vendredi, 01 septembre 2023

Guy Joncour, la « légende » à migrants de Callac, au tribunal : hic !

 

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Bernard Germain

Le journal Le Poher, vous savez, c’est le petit journal gauchiste situé non loin de Callac et dont le directeur Erwan Chartier a réussi depuis 6 mois à «survivre» à tous les complots fascistes dont il était la cible. Le journal qui était soi-disant l’objet de mails injurieux et menaçants, de coups de téléphone anonymes non moins menaçants et même victime d’une alerte à la bombe.

D’abord, on est bien contents de savoir qu’il va bien et qu’il a échappé aux tueurs de la fachosphère. Franchement ça fait plaisir. Enfin une bonne nouvelle.

On passage, on notera deux choses : d’abord que, curieusement, tout ce cirque s’est arrêté lorsqu’ils ont su que le procès que Erwan Chartier et sa journaliste me faisaient était repoussé à la fin de cette année et que ce ne serait pas comme prévu à la date du 3 mars au Tribunal de Lorient.

Et puis second élément, Erwan Chartier a tellement ameuté de monde, notamment les gendarmes, qu’on en est tout étonné qu’aujourd’hui 31 août les enquêteurs n’aient toujours rien trouvé comme preuve, ni personne à mettre en garde à vue et sous les verrous.

Mais c’est peut-être parce que Erwan s’est emporté, a largement exagéré et qu’il n’était nullement menacé.

Cela arrive que les gens se chauffent et racontent n’importe quoi. Allez savoir.

Reste qu’on entend à nouveau parler le 28 août du journal Le Poher mais cette fois, c’est pour nous annoncer qu’un de nos principaux opposants, on pourrait presque dire ennemis si on employait son vocable, va passer au tribunal.

Moi, je trouve cela assez drôle. Ce type a déposé pas moins de 12 plaintes contre nous qui avons combattu et gagné contre l’arrivée de centaines de migrants dans le cadre du projet Horizon. Il nous a insultés, traînés dans la boue et même menacés. Mais ses plaintes n’ont pas été suivies d’effet, par contre c’est lui qui se retrouve traîné devant les juges.

Faut dire qu’il n’y va pas pour rien. Le Poher nous apprend qu’il y va pour outrage «au commandant de la brigade de gendarmerie de Callac, dans l’exercice des ses fonctions».

À force de se croire autorisé à insulter ou menacer tout le monde, il s’est cru pouvoir faire de même avec ce gendarme, mais là il est tombé sur un os. Mais ce n’est pas moi qui vais le plaindre ni lui apporter mon soutien.

Par contre Le Poher nous apprend que d’autres se chargent de lui apporter du soutien. C’est notamment le cas des antifas du CVA22, la structure des antifas dans notre département des Côtes-d’Armor.

Et tous ces charmants individus vont organiser un «Fest Noz», une fête en breton, de soutien à Guy Joncour attaqué de manière honteuse par la justice suite à la plainte de la gendarmerie.

Cette Fête aura lieu vendredi 1er septembre à partir de 17 heures.

Le journal Le Poher, dont on pourrait aisément penser qu’il cautionne tout cela vu la manière dont il en parle dans ses colonnes, nous apprend que «l’objectif des organisateurs est de montrer que le centre Bretagne n’est pas un nid d’extrême droite. C’est aussi une démarche auprès des médias et des élus, pour les informer, et l’occasion de lever des fonds pour la lutte antifasciste».

Donc Le Poher et son directeur qui ont échappé aux complots de la fachosphère et survécu à toutes les menaces dont ils sont l’objet va utiliser cette fête pour montrer que le centre de la Bretagne «n’est pas un nid d’extrême droite». Ouf nous voila rassurés. L’affaire est moins grave qu’ils le disaient au début de l’année, mais même si ce n’est pas très grave… «No pasaran !»

En fait, ces pauvres gens n’ont toujours pas compris ce qui s’est passé à Callac, ni tiré les bonnes leçons.

Dans Le Poher on peut lire «Guy Joncour, cheville ouvrière de son organisation et partisan, parfois polémique, du projet Horizon, le confirme : “il s’agit d’un fest-noz de soutien contre le fascisme, la xénophobie et l’ostracisme, il est une conséquence des événements de Callac. Ce qui a fait capoter ce projet, c’est la xénophobie larvée, qui a généré une ambiance de peur et de repli sur soi, un manque de courage général.”»

Mais non mon pauvre Guy, ce qui a fait capoter le projet c’est deux choses toutes simples :

  • Tout d’abord votre refus d’organiser un référendum alors que ce projet n’était nullement dans le programme électoral du maire qui a ajouté le 5 octobre sur le marché «je ne ferais pas de référendum parce que je sais que 80 % de la population est contre»
  • Ensuite lorsque les gens ont vu que depuis des années il n’y avait pas un euro pour aider les Callacois, notamment ceux qui sont le plus en difficulté ainsi que les jeunes, mais que subitement il y avait des millions d’euros pour des gens venant de l’autre bout de la terre et qui n’ont jamais cotisé pour rien. Là les Callacois ont compris que vous pratiquiez la «préférence étrangère».

Les habitants de Callac ont alors compris que ceux qui les défendaient, c’était nous, que vous appelez les «fachos» ou «l’extrême droite».

Vous vous êtes coupé de la population de Callac et si le maire n’avait pas abandonné le projet, c’est tout le conseil municipal qui aurait explosé.

Voilà ce que vous n’avez pas compris et ne comprendrez jamais, car sinon il faudrait que Joncour et ses semblables se voient comme ils sont : des gens qui détestent la France, les Français, leur culture et leur identité.

Joncour préfère porter un tee-shirt (voir la photo en haut de cet article) qui résume tout :

«C’est compliqué d’être une LÉGENDE et un vétérinaire».

Vétérinaire… oui certes, Joncour l’a été mais ça remonte déjà à un moment.

Quant à la «LÉGENDE», là, Joncour s’emballe, on ne voit pas bien ce qui peut lui permettre de se croire une légende, sauf peut-être pour le lever de coude. Mais ça, jamais je n’oserais dire un truc pareil, ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les habitants de Callac.

Pour conclure, on a bien noté que Joncour et ses amis font équipe avec les antifas et les migrants.

Nous, on fait équipe avec les habitants de Callac et les patriotes et on continue à se battre pour empêcher que Joncour et ses semblables ne fassent venir des migrants dans le bourg.

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vendredi, 25 août 2023

C’est une révolution : le monde dominé par les USA, s’achève sous nos yeux.

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Bernard Germain

Cet évènement n’a peut-être l’air de rien pour d’innombrables personnes, mais c’est - selon moi - un évènement absolument historique aux incalculables conséquences à ce jour.

En effet, du 22 au 24 août 2023 sont réunis en Afrique du Sud, les BRICS. C’est la plus grande réunion des chefs d’État et de gouvernement des pays du Sud des dernières années. Les membres permanents du groupe, à savoir le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, sont réunis pour discuter de questions stratégiques et économiques qui auront des répercussions mondiales.

Mais le sujet le plus important sera l’annonce de la création d’une nouvelle monnaie destinée à redéfinir les échanges internationaux, mettant ainsi en péril la domination du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Un nouveau mécanisme de règlement des paiements entre les États membres des BRICS sera étudié.

C’est tout simplement une révolution à laquelle nous assistons. Elle est sur le point de remettre en cause tout l’ordre mondial, ni plus ni moins.

Pour comprendre l’incroyable portée de ce qui se passe en ce moment en Afrique du Sud, il faut revenir quelques décennies en arrière, à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

En 1944, à Bretton Woods aux USA, sont signés les accords du même nom. Ils prévoient la mise en place d’un système monétaire international avec notamment deux décisions majeures :

• un système de change fixe entre monnaie (avec une très faible marge de variation possible) ;

• la reconnaissance du Dollar comme monnaie de réserve internationale, convertible en or (mais seulement entre banques centrales).

La quantité de Dollars produits et en circulation était adossé aux réserves en or des USA. Détenir des Dollars, c’était donc comme avoir de l’or, d’où l’expression de l’époque : un Dollar « as good as gold » (un Dollar aussi bon que de l’or). Ce système était la preuve de la domination mondiale des USA. Mais c’était aussi une contrainte forte puisque chaque Dollar produit devait avoir son équivalent en or à la réserve américaine.

Or, avec la guerre du Vietnam, les Américains ont eu besoin de plus en plus de Dollars pour faire face aux dépenses de ce conflit. Et la planche à billet a tourné à plein régime chez l’oncle Sam, sans mettre en réserve l’équivalent en or, contrairement à ce que prévoyaient les accords de Bretton Woods.

On n’oubliera pas que De Gaulle, voyant les USA produire de plus en plus de monnaie principalement pour les besoins de la guerre qu’ils menaient au Vietnam, comprend que tout cela va avoir de fâcheuses conséquences.

De Gaulle va donc envoyer aux USA des bâtiments de la marine nationale, dont les cales sont bourrées de dollars, et à leur arrivée aux USA, il exige que les Américains lui remettent des lingots d’or en échange de ces billets. Il aura gain de cause. Cette décision était une défiance absolument inimaginable de nos jours.

Rappelons aussi que c’est Nixon - quelques années plus tard - qui, le 15 août 1971, annonça la non convertibilité du dollar en or. Engageant à cette occasion le développement d’un déficit budgétaire US qui ne cessera de grandir depuis cette date pour atteindre de nos jours un niveau totalement pharaonique.

Objectivement, la situation des USA est terriblement préoccupante. Ainsi, la Chine -par exemple- possède plus de 30% de la dette américaine. Ce qui veut dire que si les Chinois présentent aux Américains les obligations du Trésor américain en leur demandant de les payer, les USA seraient tout simplement incapables de payer et seraient donc déclarés en faillite. Au passage on notera que Biden peut faire toutes les grimaces, singeries et menaces qu’il veut, il n’est pas du tout en situation de force avec une pareille épée de Damoclès au dessus de la tête.

C’est donc la fin du système et des accords de Bretton Woods qui se joue en Afrique du Sud. Ce ne sont pas moins de 40 pays qui sont en passe de conclure un accord sur le commerce international entre eux, les conditions de paiement et la monnaie pour le faire, qui ne sera plus le Dollar mais une monnaie nommée « R5 ».

Sans oublier les pays qui patientent et s’impatientent à la porte des BRICS, notamment les 54 pays africains (donc tous les pays de ce continent). C’est dire l’ampleur de la vague qui se lève. En fait un véritable tsunami économique et politique.

Pour les USA, c’est une authentique catastrophe, sur tous les plans. Mais c’est surtout la fin de leur domination internationale sur le reste du monde.

Ce qui aura de considérables conséquences sur les relations des USA avec l’extérieur, mais aussi en interne au sein des USA où une crise considérable ne manquera pas d’éclater en tant que conséquence de ce qui va se décider en Afrique du Sud.

C’est certain, nous vivons en direct un tournant historique, au sens propre du terme.

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mercredi, 23 août 2023

Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, aurait été un parfait juge au tribunal de l’inquisition

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Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité

 

Bernard Germain

Le député RN Thomas Ménagé ayant osé contester les affirmations et recommandations du GIEC concernant la crise climatique est actuellement victime d’une violente charge de la part de tous les « croyants » des théories fumeuses du GIEC.

C’est volontairement que j’écris « croyants », car la plupart de ceux qui s’expriment sur ces sujets sont juste des convertis n’ayant aucune connaissance sur le sujet et se contentant de répéter la messe, sans même s’interroger sur ce qu’ils affirment et professent.

Tenez, faites un petit test : interrogez autour de vous les gens qui affirment que le GIEC a raison et posez leur cette simple question : quel est le pourcentage de CO2 dans l’air (atmosphère) ?

Fort peu sauront vous répondre (0,04%). Et pourtant, alors qu’ils ne savent même pas ce qui est pourtant une information des plus basiques, ils prennent fait et cause pour le GIEC.

La raison en est simple : les thèses du GIEC sont un dogme quasi religieux. Donc on y croit ou pas, mais ça ne se discute pas. Et si vous doutez vous êtes diabolisé et classé « climato-sceptique », ce qui dans le domaine revient à se faire traiter d’extrême droite en politique.

Et comme dans toutes les histoires de croyances religieuses, si vous osez contester, il y a des accusateurs - l’inquisition espagnole ou romaine hier, les bien pensants et leurs médias aujourd’hui - et leurs agressions verbales ou plus.

Dans le cas de Thomas Ménagé, il y a eu par exemple Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, qui a osé qualifier ces paroles de "propos honteux et graves". On croit rêver. En bon français, cela veut dire que ce député n’a même pas le droit d’exposer un point de vue qui conteste la thèse «officielle» du GIEC reprise par les gouvernants.

Heureusement pour ce député que nous ne sommes pas en 1600, car sinon il aurait connu le même sort que le philosophe Giordano Bruno, brûlé vif sur un bûcher par l’inquisition romaine pour avoir soutenu la conception copernicienne de l’univers. À savoir que la terre n’est pas le centre de l’univers, mais qu’elle tourne sur elle-même et autour du soleil qui est le centre de notre galaxie.

Il a failli arriver la même chose à Galilée en 1633. Il n’évita le bûcher et la mort que grâce à une déclaration faite par lui devant le tribunal de l’inquisition et reconnaissant qu’il renonçait à soutenir la théorie de Copernic. Après sa déclaration, il aurait murmuré : « et pourtant elle tourne ».

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vendredi, 30 juin 2023

Mort de Nahel : la guerre civile a-t-elle commencé ?

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Bernard Germain

Commençons par présenter les principaux acteurs de ce « fait divers » qui embrase tout le pays et le met au bord de l’explosion.

D’un côté, un policier - motard de son état - 38 ans, 9 lettres de félicitations et 2 médailles notamment pour actes de courage.

De l’autre Nahel, 17 ans, 15 mentions (sans inscription) à son casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi où il trouvera la mort au volant d’une voiture alors qu’il n’a pas de permis et donc pas d’assurance.

Comme d’après son prénom et les photos, il s’agit d’un jeune d'origine maghrébine, il va certainement s’en trouver pour dire qu’il a été contrôlé au faciès. Mais non, ce n’est pas pour sa tête qu’il a été contrôlé, mais parce qu’ils s’est fait repérer pour ses multiples infractions au code de la route ce matin-là. Donc deux motards ont été envoyés pour contrôler le véhicule, le conducteur et le verbaliser.

Que s’est-il passé lors du contrôle soldé par la mort du conducteur. Personne ne peut répondre précisément. Par exemple qu’est-ce qui prouve que le passager avant n’avait pas une arme ? Il s’est enfui après la mort du conducteur. Donc il y a une enquête et il est normal d’attendre ses conclusions.

Mais pas pour le président de la République qui déclare dans les minutes qui suivent que la mort de ce jeune est «inexcusable». Idem pour le Premier ministre qui déclare à l’Assemblée nationale, que le policier qui a fait feu «n’a pas respecté les règles d’engagement». Les plus hauts personnages de l’État violent les principes les plus fondamentaux d’une société démocratique et avant même le résultat de l’enquête déclarent que ce policier est coupable. C’est un scandale absolu.

Mais si en haut, on est capable de déraper ainsi, il ne faut pas s’étonner qu’à la suite, en bas, on assiste à tout et n’importe quoi. Ainsi, au plan politique, tout ce qui peut se regrouper sous le vocable «gauche» a sombré dans un délire anti-police. C’est à qui sortira la plus grosse énormité. Celle qui revenait le plus était la célèbre « la police tue ».

Si ces gens étaient raisonnables et objectifs, ils devraient dire, selon leur logique : « Un policier a tué sans raison valable un jeune ». Mais non, la gauche « essentialise » comme on dit maintenant. C’est-à-dire qu’ils pratiquent exactement et en permanence ce qu’ils reprochent aux autres (l’"extrême droite").

Appliquons cette façon de faire au drame d’Annecy… où l’on a vu un « Syrien » frapper à coups de couteau des petits enfants. Cela donnerait : « Les Syriens tuent les petits enfants à coup de couteau ». Vous imaginez le scandale que cela ferait ? Celui qui s’aventurerait à faire une pareille déclaration se retrouverait automatiquement traduit devant la 17° chambre correctionnelle. Pourtant, c’est ce que la « gauche » passe son temps à faire, sans que cela ne déclenche les réactions que cela devrait. On me permettra aussi de m’indigner devant l’odieuse et immonde récupération que pratiquent sans vergogne la gauche et tous les bien-pensants à l’occasion de la mort de Nahel.

Quant nous avons dénoncé l’abominable assassinat de Lola, nous avons été calomniés et vilipendés. Nous avons été traités de « vautours qui instrumentalisent la mort d’une petite fille de 12 ans » du fait de notre soi-disant racisme. Bref nous étions des personnages abjects qui avaient l’indécence de penser que le pays devait descendre dans la rue pour exprimer son indignation et son dégoût face à l’horreur de la mort de Lola due à une clandestine algérienne qui n’avait rien à faire sur notre territoire puisqu’elle faisait l'objet d'une OQTF.

Mais curieusement, pour Nahel, au "palmarès" pourtant déjà conséquent en terme de délinquance et de refus d’obtempérer, la gauche n'a aucun problème à s’emparer du sujet, à dénoncer, à en faire des caisses... Et pas seulement elle !

D’ailleurs à ce sujet, on a quand même vu des choses incroyables, même époustouflantes. Par exemple, Macron a fait sa déclaration ("c’est inexcusable") depuis l’hôpital militaire de Marseille. Moi, je pensais qu’il aurait pu saisir l’occasion pour rendre hommage à Alban Gervaise, médecin militaire qui travaillait dans cet établissement et qui a été égorgé au cri de Allahu Akbar, il y a quelques mois. Mais non, Macron n’y a pas pensé, il n’a pensé qu’à Nahel… Sans doute l’émotion.

De plus, j’ai été pour le moins stupéfait de la décision de la présidente de l’Assemblée nationale de faire observer une minute de silence à la mémoire de Nahel. Minute observée par TOUS les députés, y compris par les quelques députés du RN qui se trouvaient dans l’hémicycle. Ce qui m’amène à me poser une question : Pourquoi n’y a-t-il pas eu de minute de silence à l’Assemblée nationale pour Lola ?… sans doute que Nahel vaut mieux que Lola.

Et puis il y a la cohorte des acteurs, des sportifs, des intellectuels, bref des gens célèbres qui ont pris position. Là, il faut reconnaître que cela envoyait du lourd. Du très lourd. Le pompon étant indiscutablement décroché par Kylian M’Bappé. Excellent dans le football, mais absolument pitoyable quand il s’exprime sur Nahel. Voici son tweet : « J’ai mal à ma France. Une situation inacceptable. Tout mes pensées vont pour la famille et les proches de Nahel, ce petit ange parti beaucoup trop tôt »

On observera d’abord que SA France n’est pas LA France. Et ensuite qualifier Nahel de « petit ange » faut être en plein délire pour oser écrire ça. Moi je ne connaissais qu’un « petit ange », c’était Lola et elle n’a pas eu droit à un tweet de Kylian M’Bappé. Sans doute parce qu’elle ne faisait pas partie de SA France.

Mais revenons au problème des refus d’obtempérer. En 1993, il y a eu 1 099 refus. En 2021, il y e a eu 27 756 selon le ministère de l’Intérieur.

Ces 27 756 refus ont amené 201 tirs, qui ont provoqué la mort de 13 personnes. Sur ces 13 morts, 8 ont été jugés tués sans infraction avec la Loi. 5 ont été jugés problématiques et ont occasionné des poursuites contre les auteurs des coups de feu. Ces 5 morts problématiques, chacune étant dramatique, représentent donc 0,0002 % par rapport aux 27 756 refus d’obtempérer. On ne peut donc nullement dire qu’il existerait un grave danger de mourir pour les citoyens lorsqu’ils sont contrôlés.

D’ailleurs, pour éviter tout problème, ne serait-il pas plus simple d’accepter de s’arrêter lorsque la police le demande ? J’observe que ceux qui pleurnichent aujourd’hui refusent ce principe tout simple et considèrent qu’il est normal de ne pas s’arrêter.

Quant au policier en cause, il vient d’être placé en détention provisoire. Par lâcheté des autorités. Pourquoi ? Pour essayer de calmer ceux qui veulent sa peau et appellent à l’insurrection.

Or, il aurait suffit de le mettre sous contrôle judiciaire. Il n’allait pas quitter la France pour échapper à la Justice. Mais il fallait donner des gages à la « diversité », donc il se retrouve en prison.

Ce serait intéressant de voir les réactions si les responsables syndicaux de la police disaient, « vu ce qu’on constate presque à chaque fois, si les autorités nous envoient au front pour défendre la République, mais ne nous défendent pas lorsque nous faisons notre travail et qu’il y a des morts, alors déposons nos armes, refusons de les porter tant qu’on nous accable si nous les utilisons ».

Une police refusant de porter ses armes et de les utiliser afin de ne pas être accablée… à mon avis, l’État ne mettrait pas longtemps avant de revoir sa position.

Mercredi soir, dans une multitude de villes, l’insurrection et de nombreuses violences ont été constatées. Du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest du pays. On ne compte plus les voitures brûlées, les écoles et autres médiathèques détruites, ainsi que les mairies et bâtiments et services publics dégradés. Même la prison de Fresnes a été attaquée avec pour objectif de libérer les prisonniers. Du jamais vu.

Jeudi après-midi il y a eu une marche « blanche » à Nanterre. Je l’ai regardée. J’avoue avoir été frappé par deux choses. La première c’est l’attitude de la mère qui ne semblait pas du tout affectée alors que son fils était mort. Elle souriait, envoyait des baisers et faisait des signes à de nombreux participants. J’ai vraiment beaucoup de mal à comprendre son attitude. La seconde, c’est la présence d’Assa Traoré sur le camion où était la mère. Elle a réussi à s’immiscer dans cette marche, arrivant avec ses tee-shirts «Justice pour Nahel». Un monument de récupération. Quant à la fin de la marche, elle a bien sûr dégénérée en affrontements avec la police.

Le gouvernement ne s’y est pas trompé. De 2 000 hier on est passé à 40 000 policiers mobilisés ce soir pour assurer l’ordre public. Est-ce que la guerre civile a commencé en France ? On est en droit de penser que oui, en tout cas nous allons le savoir dans pas longtemps. Pourquoi ?

D’abord parce que par peur de nouvelles émeutes telles celles de 2005, la classe politique dans son ensemble a, par lâcheté, capitulé sur tous les plans devant les «quartiers» depuis des années. Ensuite, le laxisme de la justice qui au lieu d’appliquer le principe de Maurice Berger (spécialiste de la violence), de sanctionner dès la première infraction, passe son temps à dire aux jeunes «attention, ne recommencez pas» et n’impose aucune sanction dès le premier acte. Résultat : un sentiment d’impunité qui avec les années devient la certitude qu’on peut faire n’importe quoi aucune sanction n’en découlera.

Le résultat de tout cela est un constat consternant, mais indiscutable.

Il y a en France de plus en plus de zones, de quartiers, de villes dans lesquels les marchands de drogue qui sont les alliés des islamistes sont devenus les maîtres où les lois de la République ne s’appliquent plus. D’ailleurs de nombreuses inscriptions étaient visibles sur les murs «Ici on est chez nous». Et de ce point de vue, la police est vue comme une bande armée étrangère qui vient essayer de conquérir un territoire qui n’est pas le sien. D’ailleurs, dans ces zones, la police ne rentre quasiment plus -interdite de séjour- et les lois de la République ne s’appliquent plus.

Il y a eu des émeutes en 2005. Par peur de les voir se déclencher à nouveau, depuis des années, on accepte tout, sans réaction appropriée. Par lâcheté. Les gouvernants, tous les gouvernants, ont cru éviter le renouvellement de ces affrontements en mettant la poussière sous le tapis. Ils sont aujourd’hui rattrapés par la patrouille, mais doivent faire face aux mêmes problèmes dans des conditions bien pire qu’en 2005. Cette nuit risque d’être particulièrement violente, partout en France.

Est-ce la guerre civile qui a commencé… j’ai tendance à penser que oui.

Mais si ce n’est pas le cas cette fois-ci, il est évident que l’existence de ces zones conquises par les dealers et les islamistes seront, un peu plus tôt ou un peu plus tard, une source d’explosion sociale. C’est certain. Seule la date est encore une source d’interrogation.

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vendredi, 23 juin 2023

Pluralité de la presse : la gauche enrage… tant mieux !

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Bernard Germain

Vous n’avez sans doute pas échappé à l’annonce du licenciement de Geoffroy Lejeune de l'hebdomadaire « Valeurs Actuelles » où il occupait le poste de Directeur de l’Information.

Même si certaines subtilités cachées de ce licenciement ont pu m’échapper, il me semble que la principale raison est une divergence sur la ligne éditoriale entre le Directeur de l’Information et le propriétaire du journal. Dit autrement, Geoffroy Lejeune semble payer pour sa ligne offensive qui l’avait notamment conduit au fameux article sur Danielle Obono (LFI) qui avait débouché pour lui sur une condamnation au tribunal.

Pour donner des gages à la bien pensance, et peut-être récupérer des subventions dont le journal est aujourd’hui privé, le propriétaire a appuyé sur le bouton à la très grande satisfaction de tout ce que le milieu journalistique de « gôche » compte d’abrutis. D’autant que dans la foulée, Charlotte d’Ornellas annonçait son départ de « Valeurs Actuelles », scandalisée par la décision du propriétaire du journal.

En face ce n’était qu’accolades, cris de joie et congratulations. « On » a eu la peau de ce fachos de Geoffroy Lejeune. Sans doute aussi celle de Charlotte. Quel bonheur !

Au passage on me permettra de souligner que tous ces tenants de la liberté, ces donneurs de leçons de démocratie, ont un principe qu’ils glorifient sans même se rendre compte que c’est en fait la pire des accusations : « Vous n’avez pas les bonnes opinions, vous n’aurez pas le droit de travailler ».

La CGT applique ce principe, dans les professions où elle possède le monopole d’embauche. C’est le cas dans l’imprimerie et chez les dockers. Dans ces professions, vous n’avez pas la bonne carte ou la bonne opinion,... vous ne travaillerez pas ! Et ils osent nous dire qu’ils sont les gardiens de la démocratie et de la liberté.

Mais la joie affichée par tous les plumitifs de « gôche » ne fut que de courte durée. Elle fit place à une série ininterrompue de gémissements, glapissements, pleurs et lamentations. Et pourquoi donc ? Parce qu’un certain Vincent Bolloré s’est mis en tête de gâcher la fête. Il a décidé en tant que propriétaire de replacer Geoffroy Lejeune à la tête du « Journal du Dimanche », et pour vraiment pourrir la journée de tous ces gardiens de la liberté, l’arrivée de Charlotte d’Ornellas serait également annoncée.

La Société des Journalistes (SDJ) du journal - moi je dirais plutôt le « Soviet des Journalistes » - s’est émue de cette arrivée et a décidé de faire voter la grève. Il n’y aura donc pas de « Journal du Dimanche » ce week-end.

Cela me permet de dire qu’il est peut-être temps de remettre l’église au milieu du village.

Sauf erreur de ma part, ce journal est une publication « privée » et ceux qui y travaillent ne sont pas des fonctionnaires protégés par la garantie d’emploi. Donc, s’ils ne se sentent pas bien dans ce journal, ils n’ont qu’à faire jouer la clause de conscience et partir sous d’autres cieux dans les meilleurs délais. Et le plus tôt serait le mieux.

Dans de multiples organes de presse, si vous n’êtes pas un bien pensant vous ne pouvez y travailler, alors dans les médias qui échappent à ces procès pour délit d’opinion, il est urgent de remettre de l’ordre et de refuser catégoriquement que la police de la pensée ne vienne y faire des dégâts. Mais ce qui reste incroyable c’est qu’ouvertement des journalistes osent bloquer la parution d’un journal parce que le responsable de la rédaction ne penserait pas comme il faut. Et, les journalistes s’affichent ouvertement comme les gardiens de la bonne pensée, du politiquement correct, et si le journal mord le trait,… grève et pas de publication. Franchement, pour qui se prennent ces gens ?

Qui sont-ils pour se croire autorisés à nous dire et nous imposer ce qu’il faut penser ? Qui sont-ils pour s’autoriser à bloquer la parution d’un journal parce le Directeur de la rédaction ne leur plaît pas ? Vous imaginez ce que serait l’information dans un monde médiatique qu’ils contrôleraient entièrement ? Ce serait une authentique dictature, telle que décrite dans le « 1984 » de Georges Orwell avec son ministère de la Vérité et ses « trous de mémoire » ou disparaissent les individus et les informations qui ne conviennent pas.

Au final, plusieurs évènements ces derniers jours nous montrent que la « gauche », qui est en fait l’extrême gauche a totalement dégénéré. Elle n’est plus qu’une horrible caricature des valeurs qu’elle prétendait défendre au XX° siècle. Elle est aujourd’hui un regroupement d’individus dangereux pour la démocratie et nos libertés.

• Ainsi, par exemple, le maire de Toulouse s’est fait attaquer par des gens qu’il qualifie « d’ultra gauche ». À 5 contre 100. Comme d’habitude et par derrière.

• Autre exemple, à Brest ou les antifas, LFI et la CGT ont attaqué à plusieurs centaines l’hôtel ou Eric Zemmour dédicaçait son livre.

• Ou encore ce cadre de la CGT cheminot, un dénommé Tronche, qui n’en est pas une et déclare oralement à Zemmour «Tu prends le train pour Auschwitz ?» alors qu’il montait dans le train Paris-Limoges. Et le pire est que ce débile raciste et antisémite confirme ses paroles par un tweet… « Zemmour dans mon train. Je vérifie si le train va bien à Limoges... Peur qu'il aille en Pologne. »

Quant à la Secrétaire générale de la CGT, autre wokiste notoire, elle tweetera pour sa part : « Frédéric Tronche interroge le contrôle pour savoir si le train ne va pas à Vichy. Résultat : il est en GAV depuis 14h30 accusé... d'antisémitisme. Tout va bien ! ». Le tout assorti d’un émoticon « mort de rire ».

Manifestement, seul son poste de Secrétaire générale lui a évité la garde à vue qu’elle méritait, comme y eut droit le dénommé Tronche à son arrivée à Limoges.

Le plus inquiétant étant qu’à « Gauche », personne n’a jugé utile de condamner fermement et totalement de telles déclarations. C’est même clairement l’inverse quand on voit les réactions des principaux responsables de la LFI et de la CGT. 

Alors, je vous le dit sans ambiguïté : quand une bonne nouvelle arrive, telle le nomination de Geoffroy Lejeune au JDD et que dans le même temps je vois la « Gôche » qui enrage,… ça met un petit rayon de soleil dans ma journée. Quel bonheur et quel plaisir !

Au fait, on dit « Merci qui ? »… Merci M. Bolloré !

19:09 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 21 juin 2023

Mondialistes, islamistes et wokistes unis pour détruire le blanc hétéro patriote

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Bernard Germain

Les évènements de ces derniers jours confirment qu’un tournant s’est opéré, et qu’une à chasse à l’homme « blanc, hétérosexuel et patriote » est aujourd’hui lancée. Cela peut sembler étonnant, mais une alliance objective et indiscutable s’est réalisée sous nos yeux, qui allie des gens absolument différents : les mondialistes, dans leur version « européiste », les islamistes et l’extrême gauche dont l’identité politique est le wokisme.

On me demandera peut-être : comment des gens aussi différents peuvent-ils être alliés ? La réponse se trouve dans une formule : « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». C’est ainsi que nous assistons au mariage de la carpe et du lapin.

Les européistes détestent ceux qui aiment leur pays, leur culture, leur identité et leur civilisation. Les européistes rêvent de la destruction des nations européennes et la réduction du continent à une simple zone géographique et sa population « européenne » a de simples consommateurs, dont peu importe qu’ils s’appellent Mustapha, Pierre, Sigmund, José ou Francesco. Donc ils combattent les patriotes et ceux qui entendent défendre leur nation et leur civilisation.

Les wokistes, c’est à dire ce qu’avant on appelait la « gauche » et qui est devenue l’extrême gauche mangée par LFI et sa machine de guerre NUPES qui a purement et simplement rayé de la carte la « gauche traditionnelle des années 1970-1980 ». Ces wokistes n’ont qu’un objectif : détruire la société blanche et patriarcale. Depuis le virage Terra Nova de 2011, terminé les « couches populaires », leur nouvelle base électorale et leurs alliés, ce sont les immigrés et les minorités notamment sexuelles.

Les islamistes, pour leur part ne cachent nullement leur objectif : l’Europe doit être conquise et devenir une terre d’islam.

Et ces gens si différents s’entendent, en apparence seulement, même si c’est incompréhensible. Eh oui, ces gens si différents ont un ennemi commun : l’homme blanc, hétérosexuel et sa société patriarcale, par ailleurs sa société est de tradition chrétienne et de culture grecque et latine. Pour tous, certes avec des raisons différentes, mais pour tous c’est cela qu’il faut abattre. Alors, par les temps qui courent, ils s’unissent pour détruire l’ennemi commun. Et ces derniers temps, les choses s’accélèrent sérieusement et nous rendent la vie plus compliquée.

Prenons par exemple ce qui s’est passé ce week-end à Brest. Eric Zemmour a fait une séance de dédicace dans un Hôtel de Brest. Rien que de très normal dans une démocratie. Sauf que nous sommes en France et, désolé d’en faire le constat, mais ce pays n’est plus une démocratie. En effet, le préfet - alors qu’il sait que des groupes politiques ultra-violents appellent à se mobiliser contre cette venue de Zemmour à Brest - ne fait rien pour protéger l’hôtel concerné.

Lorsque des centaines d’individus attaquent l’hôtel, des policiers finissent par arriver. Mais trop tard pour empêcher plusieurs vitrines d’être cassées et un jeune homme d’être blessé et envoyé à l’hôpital. De même, pas d’arrestation. Pas de garde à vue pour ces individus ultra-violents. Aucune poursuite engagée.

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mardi, 13 juin 2023

Bernard Germain : Wokisme : la dictature des minorités

Le "wokisme"… mot bizarre qui veut dire "éveillé", est la nouvelle idéologie qui frappe la France et l’Europe. Cette idéologie est basée sur une grille d’analyse et de lecture "révolutionnaire" de la société, remettant en cause l’ancienne. Adieu la lutte des classes, maintenant place à la race, aux minorités et l’interaction de leurs luttes. L’ennemi suprême étant l’homme blanc qu’il faut éradiquer. Cette idéologie "totalitaire" est un terrible danger pour notre société. L'ouvrage de Bernard Germain "Déconstruire la woke idéologie" a pour objet d’exposer et de combattre ce qu’est le wokisme, idéologie basée sur des mensonges éhontés. Mener le combat, pied à pied, contre cette idéologie est devenu une priorité absolue si nous voulons que notre civilisation européenne perdure.

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dimanche, 11 juin 2023

Annecy : le conseiller régional R! Vincent Lecaillon, c’est aussi un héros

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Bernard Germain

La scène se passe à Annecy dans le parc de la préfecture, lors de la visite du 1er ministre Élisabeth Borne, suite à l’attaque au couteau d’un Syrien, soit disant chrétien (ce dont je doute) contre deux adultes et 4 enfants en bas âge sur une aire de jeu de la ville au bord du lac.

Pourquoi dis-je que je doute qu’il soit chrétien ?

Parce qu’une ONG ayant pignon sur rue a été infiltrée et dénoncée comme organisation enseignant aux migrants comment se faire passer pour des chrétiens afin de tromper les autorités chargées de vérifier s’ils étaient persécutés ou non dans leurs pays d’origine.

Et pour être honnête, si on découvrait que l’individu au couteau n’était pas un chrétien, cela ne m’étonnerait pas plus que cela.

Mais revenons à cette visite du 1er ministre à la préfecture.

À l’arrivée du 1er ministre, un conseiller régional Reconquête, Vincent Lecaillon, essaye lors de son passage de parler à Mme Borne. Celle-ci fait semblant de ne pas l’entendre et presse le pas afin de s’éloigner.

Le conseiller régional hausse le ton pour qu’elle l’entende et lui déclare « Combien de temps encore le sang des Français va-t-il couler avant que cessent ces crimes ? »

Le service de sécurité s’interpose et empêche l’élu de s’approcher d’elle. Il est même repoussé, gentiment (parce que c’est en public) mais très fermement. Il est ensuite rapidement expulsé à l’extérieur de l’enceinte de la préfecture et escorté par des policiers afin de ne pas pouvoir y revenir.

Vous voulez que je vous dise ?

Vincent Lecaillon, c’est un héros. Il est l’un des rares hommes politiques qui mérite le respect. Il défend ses idées sans concession, il défend l’intérêt de ses compatriotes et de son pays sans arrière-pensée ni calcul politicien et surtout sans peur d’interpeller les « grands de ce monde ». C’est un homme de conviction et c’est tellement rare de nos jours.

Vincent Lecaillon est à Reconquête et il est l’honneur de ce mouvement. Il devrait y être une référence dans son parti et pour tous les Français.

C’est ce genre d’homme qui donne envie de s’engager en politique, lui qui a répondu comme tant d’autres à l’appel d’Eric Zemmour de se mobiliser pour sauver notre pays, notre culture, notre identité, notre civilisation.

Il refuse la lâcheté des autres qui disent : « Un peu de décence, respectez les victimes. Ce n’est pas décent de faire de la récupération politique avec cette affaire ».

C’est exactement ce qui s’était dit au moment de l’assassinat de la petite Lola. Et tous ceux qui ont dit cela à l’époque, lorsque les semaines ont passé, se sont bien gardé quand le moment de la « décence » était passé d’engager le débat sur les causes et les responsabilités de cet horrible assassinat.

Ce sera la même chose pour la tragédie d’Annecy.

Quand le moment de la « décence » sera passé, les mêmes continueront à faire silence et passeront à autre chose, jusqu’au prochain drame. En accusant ceux qui ne veulent pas se taire, ni couvrir ces évènements, d’être immondes et de sombrer dans la récupération politique.

Vous aurez sans doute remarqué que les auteurs de ces abominations sont moins critiqués que ceux qui dénoncent ces faits. C’est dire...

Jusqu’à quand va durer cette ignoble mascarade des bien pensants ?

Vincent Lecaillon a mille fois raison de ne pas accepter de faire silence.

Il a mille fois raison d’interpeller les coupables en leur demandant jusqu’à quand ils vont laisser agresser, blesser et assassiner des Français.

Il a mille fois raison de demander des comptes à ceux qui portent la responsabilité politique de ces malheurs qui frappent les Français.

Eric Zemmour l’a rappelé à juste titre récemment à la télévision : « Il y a entre 120 et 140 attaques avec des coups de couteau par jour en France. Il y a une vingtaine d’années, il n’y en avait que 2 à 3 tous les 2 ans ».

Le malheur est que de nos jours, il n’y a pas beaucoup de « Henri », ce jeune « catho » qui s’est courageusement interposé pendant que deux joggeurs sont passés, indifférents, l’une augmentant la foulée pour s’éloigner rapidement tandis que l’autre indiquait à la télé qu’il avait eu peur et s’était éloigné de peur d’être blessé.

Ce sont vraisemblablement ce type de citoyens qui trouvent indécent de s’insurger, de se mobiliser de se battre pour que tout cela s’arrête.

Eux regardent ailleurs ou s’enfuient.

N’oublions pas de signaler dans la catégorie des personnes innommables : la Ligue des Droits de l’Homme qui malgré le drame d’Annecy, maintient son « apéro solidaire » nommé « Annecy, terre d’accueil », le 16 juin prochain pour soutenir ses actions en faveur des migrants.

Ces gens sont à vomir !

Pour ma part, mes modèles ce sont Vincent Lecaillon, Henri et les 100 à 200 jeunes « habillés en noir » qui ont manifesté à Annecy, le soir même de l’agression pour dire leur colère de voir la France sombrer ainsi, conduite au désastre par des « responsables » politiques irresponsables et qui ne protègent pas leur peuple.

Voir video ICI

15:22 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 30 mai 2023

Migrants déplacés en province : On nous prend pour des demeurés

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Bernard Germain

C’est la dernière tarte à la crème trouvée par nos « élites » : exporter les migrants sans abris de Paris vers la province et les répartir dans les régions.

Sur le papier, le raisonnement semble imparable : il y a trop de migrants sans abris à Paris. Il y a donc constamment des camps de fortune qui se créent. Cela détruit l’image de la France et de la capitale. Nous devons absolument enlever ces migrants et les envoyer en province à la veille de la coupe du monde de septembre-octobre 2023 et des JO 2024. Sinon Paris ne sera plus la « plus belle ville du monde » pour les touristes venant de la terre entière.

Au premier abord, on se dit : « effectivement, si on enlève les migrants et leurs camps de fortune ça fera plus propre ». Malheureusement, ceux qui tiennent ce raisonnement et pensent que le départ des migrants va solutionner le problème, sont soit complètement idiots, soit nous prennent pour des imbéciles incurables.

Parce qu’il y a un détail qu’ils oublient : si on veut faire baisser le nombre de migrants et de camps de fortune à Paris, la condition sine qua non pour réussir l’opération, c’est qu’aucun nouveau migrant n’arrive à Paris. Or, comme chacun le sait, l’immigration est totalement incontrôlée. Donc ceux qui seront envoyés en province seront immédiatement remplacés par d’autres.

En effet :

  • Faut-il rappeler que l’Europe fait tout pour favoriser l’arrivée de migrants sur notre continent, en relation avec les accords de Marrakech signés en 2018 sous l’égide de l’ONU ?
  • Faut-il rappeler l’existence de l’espace Schengen et la libre circulation des individus lorsqu’ils sont à l’intérieur des frontières de Europe ?
  • Faut-il rappeler la suppression par Hollande du délit de « séjour illégal sur le territoire » ?
  • Faut-il rappeler que seulement 10 % des OQTF sont exécutées en France (contre 60 % en Allemagne) ?
  • Faut-il redire que la destination prioritaire de tous ces nouveaux migrants arrivant en France reste la capitale ?
  • Faut-il redire qu’aucun pays au monde n’est aussi généreux avec les migrants que la France (AME, aides en tous genres, ...etc) ce qui crée un appel d’air phénoménal ?

 Cela tous nos dirigeants le savent. Alors pourquoi prétendent-ils que le déplacement de migrants en province va « désengorger » Paris ?

J’y vois deux raisons.

Tout d’abord afin de culpabiliser ceux, par ailleurs un peu naïfs, qui s’interrogeraient sur la pertinence de la mesure. La culpabilisation c’est efficace. Souvenons-nous de l’argument des immigrationnistes « Cela ne vous dérange pas de laisser les immigrés se noyer en Méditerranée ? » alors que tout le monde sait qu’il n’y a aucun sauvetage réel en mer mais une organisation bien rôdée entre passeurs (mafia) et ONG qui met en scène des sauvetages imaginaires.

Donc, le même type d’arguments va être utilisé : « Cela ne vous gêne pas d’abandonner ces pauvres gens en les condamnant à vivre dans la rue à Paris ? Et de plus donner une image pitoyable de la capitale à la veille de la coupe du monde de rugby et des JO ? ».

Ensuite, en province, là où ils seront « accueillis », on dira à ceux qui hésitent : « c’est notre devoir de les accueillir, afin de leur venir en aide et sauver en même temps l’image de la France ».

En réalité, tout cela n’est qu’une sinistre comédie et un prétexte qui visent à donner un habillage à la politique de Macron de répartition des migrants partout dans les campagnes. Ce qu’ils appellent la « transition démographique ».

En espérant qu’il y aura peu d’opposition des populations concernées par ces arrivées imposées. En Bretagne, le centre d’arrivée sera à Bruz, près de Rennes. Ce n’est pas un hasard. Pourquoi ?… parce que c’est juste à côté de Rennes, une ville maintenant pourrie dans laquelle sévissent de très nombreux antifas. Alors, si vous voulez manifester à Bruz ?… réfléchissez bien, les antifas ne sont pas loin et nombreux.

N’oubliez pas que c’est à côté de Rennes que Jordan Bardella a vu l’un de ses meetings, tenu dans une ferme en rase campagne, être attaqué par des antifas qui ont à cette occasion exercé de multiples violences et brûlé une voiture. Il n’y eut aucune arrestation.

Contrairement à ce qui s’est passé à Callac, le préfet d’Île et Vilaine n’est pas trop préoccupé par la protection de ceux que les antifas veulent agresser.

Ensuite, après leur arrivée à Bruz, les migrants seront répartis dans toute une série de bourgs et villages sur décision préfectorale, avec un accompagnement par des associations du type Viltaïs, dont la motivation est de faire de l’argent, tout en prétendant agir par humanitarisme.

Chaque village concerné sera, d’une part, confronté aux problèmes classiques liés à l’arrivée de migrants aux modes de vie en complet décalage avec les nôtres.

Et d’autre part les municipalités vont devoir trouver la solution au problème suivant : l’accompagnement des associations type Viltaïs ne dure que quelques mois. Ensuite, c’est à chaque commune de trouver les moyens de continuer cet accompagnement.

Et sur ce plan, il n’y a qu’une solution pour trouver l’argent nécessaire… augmenter les impôts locaux.

Les Français qui souffrent déjà gravement d’un coût de la vie qui ne cesse d’augmenter vont en plus devoir se serrer la ceinture pour assumer la présence de gens qu’ils n’ont nullement souhaités.

Comment pourraient-ils accepter cela alors que dans le même temps ils constatent qu’il n’y a pas un sous pour aider leurs concitoyens en difficulté, comme je l’ai démontré dans au moins trois articles récemment.

Les élus se plaignent d’être mal vus, et certains agressés, mais s’ils cautionnent ces actions délirantes de l’État et du gouvernement, pensent-ils qu’ils vont contribuer à calmer la population ?

Gageons que les mois à venir vont être marqués par de nombreuses crises dans des villes et villages de province. Et puis, n’oublions pas que pour une multitude de migrants, rester à ne rien faire dans des bourgades de province ne sera pas un sort acceptable. J’ai donc tendance à croire qu’ils voudront rapidement revenir en région parisienne.

À propos de la région parisienne, j’ai vu avec stupéfaction une vidéo tournée sur l’autoroute A1 entre Roissy et Paris. On y voit des individus à scooter (sans doute des anglais) attaquer des voitures en les forçant à s’arrêter ou profiter d’embouteillages pour les dévaliser. Cela faisait immanquablement penser à l’attaque de la diligence par des indiens. Sauf que ce n’était pas un western, que les attaquants n’étaient pas des indiens, et ceux qui étaient dans la diligence étaient des touristes.

Il paraît, et c’est le plus inquiétant, que cela devient courant sur cet axe autoroutier.  On avait déjà eu un aperçu, avec la finale du foot au stade de France, de ce qui peut arriver. Avec la coupe de Rugby et les JO en 2024, les mêmes problèmes ne seront pas circoncis à un seul lieu, mais se constateront à de multiples endroits.

La tentative de l’État et du gouvernement d’éviter ces problèmes en expédiant en province les migrants, ne fonctionnera pas pour les raisons que j’ai évoquées.

Notre pays est à la veille d’une crise majeure qui va nous frapper dès la fin de ces vacances d’été. La coupe du monde de rugby 2023 sera une répétition générale de ce que nous connaîtrons de manière décuplée avec les JO de l’été 2024.

Nous allons pouvoir constater en quoi l’immigration incontrôlée depuis des années est dans les faits une « chance pour la France » et contribue à envoyer au monde entier une image positive de notre pays.

Le pire est devant nous.

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vendredi, 26 mai 2023

Callac : Laure-Line Inderbitzin virée par le maire de son poste d’adjointe

laure-line.jpgBernard Germain 

Le 17 mai j’avais publié un article relatant les dernières frasques de Laure-Line Inderbitzin. Vous savez, la grande malade de Callac -en arrêt maladie depuis des mois- mais qui est tellement malade qu’elle se produit hors des heures autorisées de sortie à de multiples endroits et publiquement, s’il vous plaît.

Par exemple comme nous l’avions indiqué : dans un bar le soir à lever son verre tout en chantant en breton (filmé et diffusé par TF1), ou encore en participant à un conseil municipal. Enfin, dernièrement à participer à un débat dans les locaux de Médiapart à Paris (visible sur YouTube).

Pendant ce temps là, ses élèves (elle est enseignante) n’ont pas de cours et cela énerve passablement les parents des élèves abandonnés par Laure-Line. Je continue à être très étonné, vu que tout cela est largement public, qu’aucune poursuite ne soit engagé contre cette dame, par exemple par la Sécurité Sociale ou l’Éducation nationale. Laure-Line serait-elle au dessus des Lois ? En tout cas, si elle n’est pas au dessus des Lois, cela y ressemble fort.

Pour Laure-Line, aucune limite n’existe visiblement sur le plan du respect des règles de vie en société, mais c’est aussi le cas sur le plan politique.

Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré à propos de l’arrêt du projet Horizon à Callac qui prévoyait l’arrivée de plusieurs centaines de migrants : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ». En langage clair, le maire a capitulé devant « l’extrême droite » c’est « impardonnable ».

En entendant cette déclaration de Laure-Line, je m’étais dit : « Dans n’importe quelle mairie normalement constituée, un adjoint qui dirait cela de son maire serait débarqué sur le champ ». Visiblement le maire de Callac est de cet avis.

Il vient de débarquer la dame de son poste d’adjointe. Du moins, c’est ce que rapporte la presse locale. Le conseil municipal du 1er juin doit officialiser la chose.

À mon avis, ce n’est qu’un début. Pourquoi ?

Parce qu’il y a un autre enragé pro-immigration dans ce conseil municipal : le sieur Morcet.

Vous savez, celui qui a porté plainte contre l’association « les Amis de Callac et ses environs », parce qu’il aurait vu la nuit et sans éclairage dans son jardin un homme habillé en noir et portant une cagoule. Observation faite depuis la fenêtre de sa chambre. Le gars est vraiment fort, il voit la nuit dans le noir, un homme habillé tout en noir avec cagoule et précise qu’il mesurait 1m75 à 1m80. C’est le champion du monde de la vision nocturne.

Comme je le disais, ce monsieur est également connu pour être l’un des plus enragés du conseil municipal pour la venue de migrants à Callac. Que va-t-il faire au conseil du 1er juin ?

Va-t-il soutenir Laure-Line et s’opposer à sa destitution de 2e adjointe ou va-t-il se coucher et « trahir » Laure-Line ? S’il s’oppose, il ne reste plus au maire qu’à lui retirer aussi sa délégation d’adjoint, parce qu’il est lui aussi adjoint au maire. À mon humble avis, on n’en est qu’au début d’une crise qui va toucher tout le conseil municipal.

Cela pourrait d’ailleurs se terminer par une démission collective obligeant à l’organisation de nouvelles élections. C’est d’autant plus vrai que les problèmes s’accumulent et sont plus explosifs les uns que les autres.

Ainsi, malgré l’abandon du projet Horizon, les deux vétérinaires Joncour et Lagrue, eux aussi totalement pro-migrants, continuent inlassablement à promouvoir l’arrivée de familles d’immigrés.

Tout comme Viltaïs l’association sulfureuse pro-migrants pour laquelle faire venir des migrants est un business qui rapporte beaucoup d’argent sous forme de subventions, c’est à dire nos impôts.

Mais voyez-vous, les problèmes ne s’arrêtent pas là. L’accompagnement des migrants par Viltaïs ne va durer que quelques mois. Et après, que va-t-il se passer ?

Rappelons qu’il n’y a pas un euro, pas un emploi, pas une aide pour les habitants de Callac. Par contre, des sommes folles sont dépensées pour ces migrants afin de les faire venir et les installer. Mais ensuite ce sera aux callacois d’assurer la suite.

Quand cela va être à l’ordre du jour du conseil, ça risque de faire des étincelles. Qui va accepter de voter l’augmentation des impôts fonciers par exemple, pour financer l’accompagnement des migrants lorsque Viltaïs aura fini son accompagnement ?

Le maire s’est aperçu, qu’il s’est fait manipuler par l’extrême gauche depuis le début de cette affaire. Il est même en passe de devenir l’ennemi de cette extrême gauche puisqu’il a « capitulé » devant les « fascistes ». Moi je dirais plutôt qu’il est redescendu sur terre et a retrouvé un certain bon sens.

Reste qu’il va devoir choisir entre les conséquences des folies de l’extrême gauche et ce que veulent et surtout ne veulent pas ses administrés. Car soyons simples. Les callacois commencent à comprendre que l’abandon du projet Horizon n’a nullement réglé tous les problèmes.

Aujourd’hui, les callacois voient bien que le travail de sape des Lagrue et Joncour, de Viltaïs et des élus municipaux pro-immigration qui veulent amener dans le bourg toujours plus d’immigrés… tout cela va avoir un coût et ce sont les habitants à la fin qui vont devoir payer.

L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a de multiples contacts et discussions avec les habitants. Je suis en mesure de dire que la colère est en train de monter au sein de la population.

Si les habitants constatent une augmentation significative des impôts locaux, afin de financer les conséquences de cette politique immigrationniste, ce ne sont pas les imaginaires violences d’extrême droite auxquelles les élus vont devoir faire face, mais à une bien réelle sérieuse colère des habitants.

Débarquer Laure-Line, sans doute aussi Morcet, sont des mesures de salubrité publique. Mais ce ne sera pas suffisant. Le maire va devoir décider très vite s’il assume les conséquences de l’arrivée de ces immigrés à Callac, et s’il met le financement de tout cela à la charge des callacois.

À l’inverse, si le maire veut réellement sortir sa ville du guêpier dans lequel elle est tombée, il va devoir aller jusqu’au bout et prendre les mesures pour s’opposer et se se désengager vraiment de cette politique. Les semaines et mois à venir vont être riches d’enseignements.

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Waouh ! Je suis qualifié de prédicateur néofasciste par “l’Humanité”

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Bernard Germain

Hier 24 mai, le journal L’Humanité m’a consacré un “article” cliquez ici. Que dis-je un brûlot dans le plus parfait style stalinien. Vu sa manière de faire son métier de “journaliste” l’auteur a certainement été diplômé de La Pravda, avec mention spéciale.

D’ailleurs, ce genre d’article semble la spécialité du dénommé Émilien Urbach, puisque tel est le nom de ce plumitif venimeux. Il avait déjà commis un article contre moi auquel j’avais répondu le 22 février 2023.

Là il recommence, en montant franchement les curseurs en matière d’injures, d’accusations gratuites et de calomnies. L’article commence avec ce titre : « Partout Callac », la pieuvre brune du prédicateur néofasciste Bernard Germain » Le moins qu’on puisse dire c’est que ça démarre fort. Le lecteur est immédiatement dans le vif du sujet.

Il se poursuit ainsi : « La coordination créée par le prédicateur néofasciste Bernard Germain veut fédérer toutes les mouvances d’extrême droite afin de semer la peur, la haine et la violence là où des projets d’accueil d’exilés tentent de voir le jour. L’organisation est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher.

En fait ce “journaliste” a manifestement des problèmes de vue, ou alors il ne sait pas lire. La Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr) n’a pas pour objectif de “fédérer toutes les mouvances d’extrême droite“, mais de venir en aide à tous ceux qui sont confrontés en France, à l’installation de CADA dans leur commune, ou toute autre sorte de structure amenant des immigrés contre la volonté de la population locale. En leur faisant profiter de notre expérience.

D’autre part, ce “journaliste” a aussi des problèmes de compréhension. Notre objectif n’est nullement de “semer la peur, la haine et la violence“. Les seuls qui font cela, ce sont justement les copains de ce “journaliste”, les antifas et autres écolos dingos.

A-t-il oublié Sainte-Soline et tous les cocktails Molotov des écolos fous ? A-t-il oublié les 2000 policiers et gendarmes blessés par les antifas lors de Sainte-Soline et des manifestations contre la retraite à 64 ans ? A-t-il oublié que même Fabien Roussel (PCF) a dû être exfiltré lors de la dernière manifestation sur les retraites sinon il se faisait lyncher par les antifas parce qu’il est certes “fou” politiquement de soutenir la NUPES, mais pas assez fou pour les enragés de ce camp.

Cette violence réelle, ce “journaliste” ne la voit pas.

Mais les violences imaginaires de l’extrême droite, il vous en parle à longueur de colonnes. Cela ressemble à une obsession.

D’ailleurs, nous lui lançons un défi : peut-il nous citer des faits où “l’extrême droite” est clairement responsable de violences et de dégradations ? Il va avoir du mal. Il n’y en a pas. Tandis que moi, je peux citer de multiples violences des antifas, milices macronistes constituées d’individus sulfureux soutenus par le PCF et la “gauche” (en fait l’extrême gauche).

Par exemple, rien qu’à Callac, les 17 septembre, 5 novembre et 28 janvier 2023, les antifas, avec la “gauche”, ont agressé les gendarmes. À Saint-Brevin, lors des deux dernières manifestations, les antifas, avec la “gauche” ont agressé les gendarmes, afin d’atteindre nos manifestations pour en découdre avec les patriotes et ceux qui refusent les CADA. Mais là, c’est bizarre, le sieur Urbach n’a pas un mot pour condamner ces violences et dégradations bien réelles. Et même politiquement, les amis du triste Urbach défendent l’indéfendable.

Ainsi, à Callac, ils ont refusé publiquement le 5 octobre 2022 (le maire PCF et sa majorité) de faire un référendum pour demander à la population si elle accepte ou pas le projet de faire venir des centaines d’immigrés dans ce village parce que… 80 % est contre.

Mais sur la réforme des retraites de Macron, les mêmes demandent… un référendum. En clair, consulter la population n’est une bonne idée que si la population va répondre ce que la “gauche” veut entendre.

Si le peuple souhaite autre chose que ce que veut la “gauche”, là c’est une très mauvaise idée de faire un référendum. Et le peuple est prié de se taire et de garder ses opinions pour lui. Dire que ces gens se considèrent et se présentent comme des démocrates…

Mais reprenons ce qu’écrit notre stalinien de service :

En le lisant, j’ai appris que je suis maintenant « le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Franchement, mes amis, ça en jette et ça fait sérieux. Vous imaginez lors d’un prochain débat, le journaliste déclarant : « Nous avons le plaisir de compter parmi nous le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Il va y avoir des jaloux…

Notre Émilien continue son article en indiquant : « L’organisation (Partout Callac – NDLR) est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher » Là, notre journaliste devrait faire attention.

Il m’accuse directement des menaces contre le petit journal gauchiste qui m’a assigné au tribunal (l’audience prévue le 3 mars a été reportée). Notre “journaliste” serait-il en réalité un guépéoutiste (police politique stalinienne) ayant mené une enquête secrète dont il cacherait les conclusions à la justice française ? Car, et j’en suis le premier étonné, les enquêtes en cours conduites par la police ne m’ont nullement mis en cause, pas plus qu’un autre membre de l’association “Les Amis de Callac et ses environs”.

Donc cette affirmation directe de culpabilité, sans aucune preuve, ça porte un nom : c’est de la “dénonciation calomnieuse”, et c’est sanctionné par la Loi. Tout comme il accuse directement Riposte Laïque et Résistance Républicaine d’être la source des mêmes méthodes à Callac et Saint-Brevin.

Attention Émilien, on ne peut pas affirmer n’importe quoi sans preuve. C’est un jeu dangereux.

Pour être honnête, je ne souhaite pas cacher que notre avocat étudie le problème. Par ailleurs, je rappelle que le code pénal sanctionne quiconque détient des informations qu’il cache à la justice. Or pour l’instant ni la justice ni la police n’accusent personne.

Là aussi, notre « journaliste » devrait faire attention, le parquet pourrait se retourner contre lui et lui demander pourquoi il cache ces informations au procureur et aux juges. S’il en a.

En vérité, c’est beaucoup plus simple que cela. Il ne cache rien du tout, car il n’a aucun élément. Il ne sait que calomnier et est bien incapable d’apporter le plus petit début d’un commencement de preuve de notre implication dans ces menaces, intimidations ou pressions diverses. Car il n’y en a pas.

Reste que tous les crétins qui le croient sur parole seront convaincus qu’Émilien est un grand défenseur de la liberté. Quant à ceux qui réfléchissent un peu, et qui se posent un minimum de questions, ils savent que ce type ne sait que salir. Quand on n’a rien de positif et de constructif à proposer, être destructeur et venimeux, c’est aussi une manière d’exister. Et le pauvre n’a visiblement que cette dernière. Au demeurant, notre petit « journaliste » devrait comprendre (s’il le peut) que salir l’autre n’est pas non plus une politique qui fera changer d’avis les 70 % de Français qui veulent l’arrêt de l’immigration en France.

À Callac, malgré tous les mensonges des Urbach et consorts, les habitants ont bien vu ce qu’est en réalité la politique immigrationniste soutenue par ce “journaliste” et ses amis. Les habitants ont rejeté massivement cette politique.

Au final, il faut toujours savoir tirer quelque chose de positif d’une expérience, même la plus désagréable. Là, je ne peux dire qu’une chose : merci Émilien pour cette publicité gratuite.

Cela permet à tous ceux qui veulent se battre et ne connaissaient pas encore notre Coordination Partout Callac d’entendre parler de nous.

Je suis sûr que le nombre de vues sur notre site va augmenter. Ainsi que nos contacts.

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mercredi, 24 mai 2023

Immigration : LR nous prend pour des perdreaux de l’année

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Bernard Germain

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de noter que jusqu’à maintenant tous ceux qui parlaient d’immigration en soulignant que c’était la source d’une multitude de problèmes étaient qualifiés de fascistes, de racistes ou de xénophobes. Y compris par le parti LR.

Aujourd’hui, les LR semblent se réveiller et à cette occasion découvrent la face cachée de la lune, à savoir que oui, l’immigration est un grave problème pour notre pays et qu’elle a d’innombrables conséquences comme l’insécurité, un coût social délirant, de la fraude sociale, des atteintes à la laïcité, un refus de s’intégrer et encore plus de s’assimiler, la création de zones géographiques dans lesquelles les Lois de la République ne s’appliquent plus,… etc. Bref ils ont découvert tout ce qui pourrit au quotidien la vie de notre pays et des Français.

La motivation de ces propositions LR est toute simple. Avec la Loi sur la retraite à 64 ans, les LR en sauvant le gouvernement Macron (49-3) se sont « grillés » aux yeux de l’opinion publique. Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour les Français, même les plus crédules, Macron et LR c’est maintenant blanc bonnet et bonnet blanc. Si LR ne trouve pas le moyen de faire croire qu’ils sont différents, c’est leur disparition qui est à l’ordre du jour, à l’occasion des prochaines élections. Ils ont donc trouvé avec l’immigration un sujet avec lequel ils pensent se refaire une virginité.

Sauf que le projet qu’ils présentent n’est qu’un projet à « l’eau tiède » alors qu’il faudrait un véritable projet de rupture avec les politiques suivies depuis des décennies par tout le personnel politique qu’il soit de droite ou de gauche. De plus ils se heurtent à un problème constitutionnel.

 Ainsi, ils proposent deux Lois.

L’une est une Loi constitutionnelle parce que le sujet de l’immigration n’est pas prévu, selon certains, dans les thèmes mentionnés dans l’article 11 de la constitution de notre pays. De qui se moque-t-on ?

Voilà ce que dit l’article 11 de notre constitution : « Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d'un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. »

Ceux qui prétendent que l’article 11 ne peut-être utilisé pour organiser un référendum sur l’immigration, affirment donc que cette dernière ne relèverait pas d’une politique « sociale ». En conséquence l’article 11 ne peut être utilisé et il faudrait une modification de la constitution.

Vraiment ?

Le regroupement familial, ce n’est pas un problème social ?

Les versements sociaux qui se chiffrent en dizaines de milliards, faits à des millions de personnes immigrées, ce n’est pas un problème social ?

Les fraudes sociales en tout genres, causées par de nombreux membres de cette immigration, ce n’est pas un problème social ?

La délinquance liée à cette immigration et le coût que cela entraîne pour notre pays, ce n’est pas un problème social ?

Lire la suite

17:39 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

" Instrumentalisation de Lola sur France 5 : je n’ai jamais vu une émission aussi abjecte "

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Bernard Germain

La première fois, Lola est morte dans des conditions atroces, sauvagement assassinée par une Algérienne en situation de clandestinité. Elle n’avait donc rien à faire sur notre territoire national. De plus elle était frappée d’une OQTF et si cette obligation de quitter le territoire avait été appliquée, Lola serait toujours parmi nous.

Mais comme les frontières du pays ne sont plus surveillées, à cause d’une décision de l’Europe, comme le délit de clandestinité a été supprimé par la « Gôche » (Hollande), comme de multiples associations continuent à œuvre inlassablement à l’arrivée de toujours plus d’immigrés, comme la justice ne protège pas les Français et ne fait pas appliquer les OQTF, tout cela a coûté la vie à une gamine de 12 ans.

Il aurait été logique que la France entière descende dans la rue et manifeste comme cela s’est passé au moment des attentats contre Charlie Hebdo. Parce que Lola ça aurait pu être n’importe quel gosse de France. Alors chacun était en droit de s’identifier aux parents et au calvaire qu’ils enduraient avec le meurtre de leur enfant. Et d’exprimer son dégoût des conséquences de la politique de l’Europe, de la servilité des hommes politiques français qui appliquent cette politique, de l’incroyable fonctionnement de la justice et de l’action de toutes ces associations pro-migrants.

À l’inverse, une véritable chape de plomb est tombée sur notre société. Tout a été fait pour que les français ne puissent pas manifester et exprimer leur indignation ni leur ressentiment face à cet évènement odieux et insupportable. Tous ceux qui osèrent se rassembler pour honorer la mémoire de Lola et dénoncer les causes de sa mort, furent diabolisés. Même le RN, devant l’ampleur de cette campagne, refusa de manifester dans les rues.

Telles furent les conditions de la première mort de Lola et ses suites immédiates.

Dimanche soir, sur France 5 - chaîne de service public payée par nos impôts - s’est déroulé une émission intitulée « La fabrique du mensonge », consacrée à l’affaire Lola.

J’ai beau remuer les souvenirs de toute ma vie, je n’arrive pas à me remémorer une émission aussi abjecte. Son objet n’était nullement de rendre hommage à Lola. Encore moins de dénoncer les coupables de sa mort, à commencer par cette Algérienne (une « déséquilibrée » bien sûr... dixit France 5) mais aussi toute la chaîne que j’ai indiquée qui se termina par cet horrible évènement.

Non, l’objet de cette émission était, à l’occasion du meurtre de Lola, de « dénoncer l’existence d’une fachosphère en France ». En clair, le prétexte fut le meurtre de Lola, mais l’objectif était en réalité une opération politique afin d’affoler les Français avec de prétendus fascistes qui menaceraient le pays.

Peut-on dire plus clairement que Lola a été instrumentalisée à cette occasion pour servir une cause politique et des gens qui ne redoutent pas d’utiliser la mort d’une gosse pour leur propagande délirante et honteuse.

Quelqu’un osera-t-il me dire que ce n’est pas de la « récupération » cette émission de France 5 ? Il se trouve que « la récupération » est l’accusation préférée des bien pensants vis à vis de ceux qui défendent leur pays. Cela ne fait que confirmer l’adage bien connu qui veut qu’on ne critique jamais autant que ses propres turpitudes.

On en a eu une invraisemblable confirmation dimanche soir sur France 5.

Karim Rissouli, le « journaliste » - moi je dirais plutôt le propagandiste en chef -, qui présenta l’émission et anima le débat qui s’est déroulé à la suite, a fait un travail formidable… dans l’abject et la désinformation du public. Un véritable artiste cet homme.

Sa méthode est des plus simples et on la vit tout au long du reportage : « Pas de récupération, ni d’utilisation de la mort de Lola à des fins politiques ».

Hier à l’occasion de chaque attentat islamiste on entendait : « Pas d’amalgame », «Vous n’aurez pas ma haine » et la bonne réaction c’était de mettre des bougies et des nounours… en attendant les prochains morts.

 C’est pour cela que mon ami, Patrick Jardin - dont la fille est morte au Bataclan fauchée par les balles des islamistes - a été traîné dans la boue par tant de collègues bien pensants de Karim Rissouli au motif qu’il est indécent de dire : « jamais je ne pardonnerai ».

On se souviendra au passage qu’Eric Zemmour alors qu’il était allé se recueillir devant le Bataclan en Novembre 2021, fut dénoncé et critiqué par Raquel Garrido - députée LFI - parce que ce geste « empêchait la réconciliation » avec les terroristes du Bataclan. Et bien nous, on ne veut pas se réconcilier avec les terroristes.

Je rappelle que depuis l’affaire Merah en 2012, il y a eu entre 300 et 400 morts en France, tombés sous les balles ou les coups de couteau, d’islamistes. Et plus de 1 000 blessés dont certains estropiés à vie.

Comme Patrick Jardin, on ne va pas oublier et on ne pardonnera jamais.

Lorsque des Français tombent, on manifeste, on honore leur mémoire et on demande des comptes à tous ceux qui en sont les responsables à un degré plus ou moins grand.

Hier, c’était « Pas d’amalgame », aujourd’hui on entend « Pas de récupération », afin de tuer dans l’œuf toute volonté ou possibilité de mobiliser contre les conséquences de l’invasion migratoire. Karim Rissouli, les invités de son débat et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette émission sordide sont dans le camp du « bien ».

Le camp de ceux qui diabolisent les gens comme nous, et nous dénoncent comme étant des « fachos ». Le camp de ceux qui veulent se « réconcilier » avec les terroristes, ceux qui répètent en boucle « Pas d’amalgame », « Vous n’aurez pas ma haine » ou « Pas de récupération ». Ceux qui ajoutent que « l’islam est une religion de paix et d’amour ».

Le moins qu’on puisse dire c’est que l’émission de Karim Rissouli n’y a pas été avec le dos de la cuillère et n’a pas fait dans le détail. Tout le mode y est passé.

Tout d’abord, Samuel Lafont (Reconquête) ainsi que Damien Rieu (Reconquête) pour le travail qu’ils ont fait sur les réseaux sociaux afin d’informer les Français et contribuer à leur mobilisation.

Eric Zemmour lui-même fut vilipendé pour avoir inventé le terme de « francocide ». Tout comme Renaud Camus pour son concept de « Grand remplacement ». Et puis, il y eut le couplet sur les médias d’ultra-droite, CNews et Valeurs actuelles en tête, sans oublier Riposte Laïque, « site complotiste d’ultra droite ». Et puis, Vincent Bolloré l’homme qui consacre tant d’argent pour propager ces idées nauséabondes.

Et puis Cyril Hanouna pour avoir condamné à l’antenne ce meurtre immonde et dit qu’un procès devrait être organisé immédiatement et que cette Algérienne devrait être condamnée à perpétuité. Et puis,… j’arrête là. Je pourrais remplir une page complète.

Arrivé à ce stade, le lecteur pourrait se demander : « comment se fait-il que ces gens « bien pensants » soient à ce point aveugles ? Comment se fait-ils qu’ils nient la simple réalité et le plus élémentaire bon sens ? Comment se fait-il qu’ils diabolisent ainsi quiconque veut dénoncer des faits horribles, tels la mort de Lola ? » La réponse est fort simple et est écrite en toutes lettres sur le site de France Télévisions dans l’article consacré à cette émission : « Quand l’extrême droite récupère ça, elle attaque aussi les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte, où il y a toutes les populations qui sont représentées, qui vit ensemble. »

C’est donc cela la raison de cette émission pourrie : En dénonçant l’assassinat de Lola, l’extrême droite attaque « les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte (…) qui vit ensemble ».

Donc dénoncer le meurtre de Lola, c’est attaquer l’idéologie de ceux qui veulent que les Français vivent ensemble avec ceux qui viennent de l’autre bout du monde et dont certains les assassinent.

L’émission qu’a produite France 5 était donc une émission politique, à la gloire de l’idéologie immigrationniste et du vivre ensemble.

Idéologie qui est responsable de tant de malheurs pour nos compatriotes à travers tout le pays que les journaux relatent quotidiennement. Voilà ce qu’est devenu le service public dans le domaine des médias : une machine de propagande politique « bien pensante » qui intoxique chaque jour les Français et les désinforme.

Dimanche soir, avec son émission, France 5 a tué une seconde fois Lola, au nom de la bien pensance et de l’immigrationnisme, en « récupérant » le meurtre d’une enfant de 12 ans à des fins politiques. Odieux et ignoble…

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dimanche, 21 mai 2023

Les migrants dans les châteaux, mais une famille française de 5 enfants à la rue

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Bernard Germain

Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.

Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.

Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.

Ceux qui sont prioritaires, ce sont des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, qui n’ont jamais cotisés et dont la plupart ne travaillent pas, vivant d’aides et de prestations sociales.

Cette histoire tragique m’en rappelle une autre. J’avais écrit un article à ce sujet : cliquez ici

Il s’agissait d’une famille française, en Bretagne à Ploërmel, qui travaillait et par honnêteté avait accepté de quitter le logement qu’elle occupait avec ses quatre enfants pour satisfaire la demande du propriétaire de récupérer son bien, mais sans prendre la précaution la précaution d’avoir un nouveau logement avant de déménager.

Résultat : obligée de vivre sur un terrain déclaré insalubre dans une caravane. Pourquoi ? parce que tous les logements sociaux sont attribués en priorité aux migrants, dont il faut « prendre soin ». Alors, il n’y avait pas de logement pour eux qui payent des cotisations sociales et qui venaient de recevoir la médaille de la famille par le maire de leur commune.

Je peux également citer un autre article que j’avais écrit sur un problème similaire. cliquez là

Là il s’agissait d’un homme vivant à Paris. Victime d’un accident du travail il avait perdu son logement et s’était retrouvé à la rue. Oui, ... SDF pour cause d’accident du travail.

Après 2 ans passés hiver comme été dans la rue, il s’était rétabli et pouvait à nouveau travailler. Mais il avait un problème. Pour signer son contrat de travail il lui fallait une adresse. Donc impossible de retrouver du travail.

Sauf que pas de travail implique une absence de ressource. Donc personne ne voulait lui louer un bien immobilier. Une histoire de fou, lui interdisant de retrouver une vie normale et de quitter la rue. Vous me direz peut-être : « Il y a des services sociaux qui peuvent le loger et le sortir de sa situation d’extrême pauvreté ».

Oui, vous avez raison. Mais cet homme a fait le tour de tous les services. La réponse était invariablement la même : « Vous n’êtes pas prioritaire. Ce sont les migrants qui le sont ». Donc, il n’y a rien pour eux.

Trois histoires. Trois situations identiques.

Des personnes qui ont travaillé ou travaillent depuis de longues années. Donc qui ont cotisé ou cotisent.

Un problème survient et l’enfer leur tombe sur la tête. Ils se retrouvent dans la précarité, abandonnés par l’État et tous les services sociaux.

L’État… parlons-en. Il ne fait rien pour ces français, il les abandonne et au fond n’en a rien à faire.

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Par contre les migrants, ça c’est important. Le château ci-dessus, situé à Saint-Jean-le-Vieux (01)est classé aux monuments de France. C’est dans ce château que le préfet de l’Ain va héberger des migrants. Les habitants sont furieux, le maire se dit impuissant face à la décision de la préfète. Là, on touche le fond.

Des migrants dans un château classé monument historique. Tandis que les français, sont à la rue, sur un terrain insalubre ou sur un parking de super marché s’ils rencontrent le moindre problème. Quelle honte !

Il est urgent d’arrêter cette immigration folle et d’obliger les délinquants, OQTF et autres indésirables à quitter notre territoire dans les meilleurs délais.

Quant aux français il faut appliquer la préférence nationale, c’est à dire leur donner la priorité pour tout ce qui relève du social, notamment l’accès aux logements sociaux.

Si on arrive à en finir avec la misère en France, il sera toujours temps de s’occuper du reste du monde. En attendant, il est insupportable de constater l’existence de cas comme ceux que je viens de mentionner. Ce ne sont que trois exemples. Combien sont-ils comme eux dans toute la France ? C’est un vrai scandale.

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jeudi, 18 mai 2023

Des nouvelles de Callac : la gauchiste Laure-Line Inderbitzin insulte le maire et le préfet

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Bernard Germain

Nous vivons dans un pays invraisemblable dans lequel on voit un ministre de l’Intérieur interdire 5 manifestations de « fachos » jamais coupables d’aucune dégradation, feux de poubelles, bris de vitrines ou violences en tous genres. Juste pour délit d’opinion.

Par contre, le même ministre de l’Intérieur reste sans réaction face aux antifas et à l’extrême gauche qui en 14 manifestations ont blessé plus de 2.000 policiers et gendarmes.

Eux sont parfaitement connus et identifiés. Mais rien n’est fait contre eux. Quant à ceux qui sont arrêtés en flagrant délit lors des manifestations, ils sont relâchés par les juges pour « manque de preuves ».

Ils sont notamment (parmi d’autres) membres de la « Jeune Garde », antifas lyonnais ultra-violents, dont le chef est un ami de Mélenchon et a été reçu à l’Assemblée nationale, invité par le député Aurélien Taché.

La folie qui s’est emparée de notre pays est loin de s’arrêter là. Il y a aussi le problème des maires. Depuis les dernières élections municipales de 2020, l’Association des maires de France a indiqué que 1293 maires avaient démissionné. Sans parler des élus municipaux qui ne sont pas maires. Personne n’en parle. Tout le monde s’en moque.

En revanche, on parle de la démission de certains maires, comme Yannick Morez, le maire de Saint-Brévin. Lui, à l’inverse des autres, son cas est monté en épingle. Aujourd’hui il est même reçu par le Premier ministre à Matignon.

En effet, il a démissionné et va même quitter sa ville. Officiellement parce que quelqu’un a mis le feu à ses deux voitures et brûlé une partie de la façade de sa maison. Acte débile que nous condamnons.

Mais ce maire accuse aussi l’État de l’avoir abandonné, alors qu’il mettait en œuvre la transition démographique promue par Macron.

La vérité est sans doute un peu différente. Il a fuité de son entourage que sa décision de démissionner et de partir avait été prise bien avant l’incendie. En clair, c’est bien commode pour justifier sa décision de pouvoir invoquer l’incendie et « l’abandon de l’État ». C’est une hypothèse certes, mais c’est une hypothèse sérieuse. En tout cas, certains ont bien compris comment instrumentaliser ce départ.

Ainsi, une formidable manipulation est en préparation. Elle va prendre la forme d’une gigantesque manifestation le 24 mai à Saint-Brevin. En apparence pour soutenir le maire, mais en réalité pour envoyer un message à tous les Français pouvant se résumer ainsi : « Si vous vous opposez à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants, c’est que vous êtes comme ceux qui ont mis le feu aux voitures et à la maison du maire, partisan des CADA, des « fachos ».

L’objectif est clairement d’intimider ceux qui s’opposent à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants dans nos campagnes. Il y a d’ailleurs de fortes chances qu’on voit à cette manifestation des ministres et peut-être même le Premier. Le tout largement relayé par la presse bien pensante, afin de faire bonne mesure et que le message passe d’un bout à l’autre de la France.

Cette mobilisation du 24 mai est d’autant plus importante - pour remonter le moral des maires et les rassurer – que certains maires commencent sérieusement à s’inquiéter et ne veulent pas connaître le sort de celui de Saint-Brévin. Ce qui pourrait les rendre moins « disponibles et volontaires » pour l’installation de CADA dans leurs communes.

C’est par exemple le cas de celui de Beyssenac en Corrèze (365 habitants), Francis Comby. Comme le rapporte Libération du 12 mai 2023 : « En Corrèze, un maire ne veut pas « subir le même sort que celui de Saint-Brevin » ». Dans son village le préfet a décidé l’installation d’un CADA, provoquant l’indignation et une large mobilisation de la population.

Le maire aussi, ainsi que son conseil, est contre ce CADA. Ce qui ne l’a pas empêché de déposer plusieurs plaintes contre des opposants au projet de CADA. Ce maire va devoir choisir définitivement son camp. On ne peut pas porter plainte contre les opposants aux CADA et se dire contre le CADA. Marier l’eau et le feu est mission impossible.

D’autres maires ont joué le jeu et été de fervents partisans de l’invasion migratoire. Certains d’entre eux le regrettent amèrement aujourd’hui.

C’est le cas du maire de Callac, Jean-Yves Rolland. Sans doute pas un mauvais bougre, mais qui a eu la bêtise ou la faiblesse de laisser libre cours à l’action de l’une des membres de sa majorité, la célèbre Laure-Line Inderbitzin. Une gauchiste exaltée.

Celle-là c’est un cas.

Imaginez-vous qu’elle est depuis des mois en arrêt maladie. Mais elle est également professeur à Callac. Donc ses élèves sont lourdement pénalisés par son absence.

Et les parents d’élèves pour leur part sont fous-furieux. Pourquoi ? Parce que Laure-Line est peut-être malade, mais en tout cas pas assez pour ne pas se faire voir en public à 3 occasions, hors de ses heures de sortie.

Une fois à chanter dans les bars le soir (filmé et diffusé par TF1), une fois au conseil municipal le soir où il s’est réuni à huis clos et une troisième fois en accordant récemment une interview à Médiapart, à Paris (visible sur YouTube).

Manifestement les règles c’est fait pour les autres. Mais pas pour elle qui n’en a rien à faire.

Et personne ne bouge ni ne lui rappelle qu’il est interdit d’agir ainsi. Aucune sanction de la part de la Sécurité Sociale, ni de la part de l’Éducation nationale. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?

N’oublions pas que la dame a aussi été l’une des organisatrices de deux contre-manifestations à Callac, non déclarées, au cours desquelles de violents affrontements ont eu lieu entre gendarmes et antifas, les copains de Laure-Line.

Là non plus, aucune poursuite de la part du procureur de Saint-Brieuc. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?

A cela il convient d’ajouter que Laure-Line s’est trouvé un nouveau souffre douleurs : le maire de Callac.

Oui, oui. Celui qui a jeté l’éponge face à la mobilisation des habitants et des patriotes contre le projet Horizon qui voulait amener plusieurs centaines d’immigrés à Callac et en faire le « premier village multiculturel ».

Pour Laure-Line, que le maire ait jeté l’éponge, c’est impardonnable. Et elle le poursuit de sa vindicte.

Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ».

Erreur impardonnable ? ça c’est pour le maire qui va certainement apprécier.

Dans une mairie normale, une telle déclaration devrait être suivie de la suppression immédiate de la délégation de l’élu qui en est l’auteur. Il trouve que Laure-Line est deuxième adjointe au maire. Qu’attend le maire pour lui retirer sa délégation ?

Mais attaquer ainsi son maire ne suffit pas à Laure-Line. Comme elle est gourmande, elle attaque aussi le préfet… s’il vous plaît.

Ainsi, toujours dans le même débat elle déclare : « Certains préfets sont des personnes honorables. Jean Moulin était bien préfet. Nous avons un préfet dans les Côtes d’Armor qui a clairement, volontairement retiré notre fiche d’action de projet Horizon. C’est à dire qu’il s’est permis de retirer un projet qui avait été décidé par un projet municipal souverain. C’est quelqu’un qui minimise les actions de l’extrême droite, c’est quelqu’un qui accepte et autorise le 5 novembre à Callac une manifestation d’extrême droite ».

C’est le préfet des Côtes d’Armor va être content d’apprendre qu’il n’est pas une personne honorable. Et quand on oppose à sa personne celle de Jean Moulin, chacun comprendra que cela signifie qu’il aurait plutôt à voir avec la collaboration, voir le nazisme directement. Ben voyons…

Quand je vous disais que c’était un cas cette Laure-Line. Vous voyez, je n’exagérais pas. Et puis il y a par exemple M. Puisay, le maire Penestin (56).

Voyez-vous, il a commis lui aussi une énorme erreur. Il a vendu le presbytère à l’évêché, à un prix déterminé par un organisme indépendant. Mais il n’y a rien d’illégal à cela. Quel est son crime alors ?

C’est simple, il ne l’a pas vendu à une association à migrants. Et ça c’est un crime impardonnable pour une partie de l’opposition, celle de prétendus écologistes, agressifs et sectaires.. Trois personnes de sa majorité sont passées dans l’opposition.

Les agressions contre lui ont commencé d’abord par des agressions verbales, limite physiques, alors qu’il se rendait à la messe. Puis, cerise sur le gâteau, il s’est retrouvé avec une plainte de l’une des trois personnes qui ont quitté sa majorité pour… agression sexuelle.

Le pauvre homme n’a pas supporté autant de bassesse et a tenté de se suicider. cliquez ici

Mais là ça n’intéresse personne. Il peut crever, tout le monde s’en fout.

De même que tout le monde se fout que des accusations ignobles puissent amener quelqu’un à vouloir en finir avec la vie. Il faut dire que dans son cas, il n’est pas possible de monter une opération pour dénoncer l’extrême droite. Alors, circulez, il n’y a rien à voir.

Certains maires sont défendus, surtout s’ils sont pour l’immigration, les autres peuvent crever. Pauvre France !

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mardi, 16 mai 2023

Saint-Brévin-les-Pins, une énorme manipulation de l’opinion se prépare.

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Bernard Germain,

porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez là

Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment l’abandon de son mandat et son départ de Saint-Brévin. Officiellement parce qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.

En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation (en fait nationale) à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.

Comment se fait-il - selon l’association des maires de France - que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ? La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.

Nous avons déjà connu une opération similaire en mai 1990 avec l’affaire de Carpentras.

La sépulture d’un homme - juif - mort depuis 15 jours, avait été violée (ainsi qu’un grand nombre d’autres tombes) et son corps avait été retrouvé mutilé et empalé sur un piquet de parasol. Ce qui était insupportable. L’émotion, à l’époque avait été immense. S’en était suivie une incroyable campagne contre le racisme et l’anti-sémitisme, accusant nommément le FN de Jean-Marie Le Pen de ces faits épouvantables. Élément extraordinaire, François Mitterrand Président de la République, avait même participé à une manifestation nationale Place de la Nation à Paris, à cette occasion. Au final, lorsque les coupables furent trouvés, ils n’avaient aucun lien avec le FN.

Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées. Cet incident - que nous condamnons totalement comme toute forme de violence - se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.

Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres.

Aujourd’hui à Saint-Brévin, comme hier à Carpentras contre le FN, le message qu’enverra la manifestation du 24 mai est totalement prévisible. Il va diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron, soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.

Ce message sera évidemment largement relayé par tous les organes de presse pro-immigration.

Son objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA, que s’ils agissent dans ce sens il seront vus pour ce qu’ils sont : des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Afin de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation.

La coordination Partout Callac n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.

Elle invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin, la Bretagne reste la Bretagne et la France reste la France. Sans se laisser intimider.

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vendredi, 12 mai 2023

Débat collector avec une représentante SOS Racisme sur BFMTV

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Bernard Germain 

Le 11 mai, hier, s’est déroulé sur BFMTV un débat concernant la démission du maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, et l’affaire du CADA qu’il voulait installer en le jouxtant à une école maternelle et primaire, provoquant une énorme émotion chez les parents d’élèves.

Tout d’abord, on me permettra de rappeler que cette affaire a fait le « buzz » dans tout le pays suite au communiqué de notre « Coordination Partout Callac », du 10 mai, qui annonçait la démission du maire et son départ de la ville.

Il voulait cacher cela jusqu’en juin. Informés par une indiscrétion, nous sommes fait un devoir d’en informer les brévinois et toute la presse nationale et régionale.

Ça n’a pas loupé. Toute la presse s’est précipité et le maire a été obligé de confirmer la chose.

Le lendemain, absolument tous les médias en ont parlé. L’affaire est même remontée jusqu’au président de la République (qui a tweeté), au Premier ministre qui a fait une déclaration depuis l’île de la Réunion et même à l’Assemblée nationale qui a jugé opportun de faire une « standing ovation » à ce maire immigrationniste. Seuls le députés du RN ont refusé de se lever.

Ils ont d’ailleurs eu bien raison, car se lever s’était cautionner la politique immigrationniste du maire de cette localité.

Mais, je souhaite attirer l’attention des lecteurs sur l’opération politique en cours qui récupère un fait, somme toute banal (la démission du maire), pour en faire une machine de guerre contre la France et les français qui, à 70 % souhaitent qu’on arrête toute immigration.

Tout d’abord, le maire - selon des indiscrétions - avait déjà pris depuis un certain temps la décision d’abandonner son poste et de quitter la ville de Saint-Brévin. Il semble donc tout à fait crédible qu’il ait saisi le prétexte de l’incendie de ses deux voitures pour justifier et « habiller » son départ.

D’autre part, il est évident qu’une opération politique majeure est en cours pour profiter de l’évènement afin d’enclencher une mobilisation nationale, en apparence pour soutenir le maire Morez « obligé de partir », mais dont la vraie raison est de soutenir la politique immigrationniste menée par Macron et soutenue par toute la gauche et les bien-pensants que rejettent 70 % des Français qui « puent des pieds » et ne sont que des égoïstes ne voulant pas accueillir les « pauvres réfugiés » qui fuient. 

La meilleure preuve étant que Johanna Roland, maire de Nantes (ancienne directrice de campagne de Hidalgo... 1,74 % à la présidentielle) appelle à une manifestation à St-Brévin le 24 mai.

En clair, manifestation soi-disant pour soutenir Morez victime de la mobilisation de « l’extrême droite » contre le CADA, mais en réalité pour afficher un soutien à la politique immigrationniste de Macron afin qu’il continue de plus belle.

Tout le ban et l’arrière ban de la gauche et des progressistes seront là. Et personne ne leur demandera s’ils habitent Saint-Brévin.

Tout cela est clair comme de l’eau de roche : toute la gauche, les bien pensants, les macronistes et la droite « républicaine » vont utiliser cet évènement pour mettre une énorme pression sur les Français, les culpabiliser et tenter de les contraindre à accepter l’immigration qu’ils refusent.

S’ils continuent à refuser, preuve sera faite qu’ils sont du côté de ceux qui ont fait partir Morez, donc qu’ils seront des gens contre la démocratie et la république… bref des fachos.

À ce niveau, ce n’est plus une ficelle, c’est un câble.

Mais revenons à cette émission de BFMTV du 11 mai.

Si vous l’avez manquée, il faut absolument la voir. C’est collector, comme disent certains.

Elle est là : cliquez ici 

Sont présents sur le plateau : la vice présidente de SOS Racisme, un représentant du PS, Tugdual Denis directeur adjoint de la rédaction de Valeurs Actuelles, Christophe Barbier, et les deux animateurs. Je suis pour ma part invité à intervenir, en visioconférence, en cours de débat.

Après une introduction de BFMTV pour présenter le dossier et les réactions de l’État, notamment la position du 1er ministre, le présentateur donne la parole au représentant du PS.

Celui-ci commence en dénonçant les « violences de l’extrême droite ».

Ça part fort !

Quelles violences de l’extrême droite ? … aucune explication, aucun exemple ne sera donné. Et pour cause, il n’y en a jamais eu.

En vérité, le seul fait de manifester pour exprimer son désaccord est une « violence » pour ces gens.

Pour avoir été à plusieurs reprises à Saint-Brévin, à chaque fois, les seules violences que j’ai vues étaient celles des antifas venus en contre manifestation. Comme à Callac.

Mais les violences des antifas ne sont jamais condamnées par la gauche.

Cela me rappelle l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. La gauche et la presse avaient à l’époque dit que c’était le fait de l’extrême droite.

Mais quand la police a arrêté les auteurs c’étaient des antifas. La gauche et la presse n’ont pas communiqué sur cette information. Ça vous étonnes ?

Le présentateur lui demande s’il voit un lien entre ces « violences d’extrême droite » et l’incendie de la maison du maire. Le représentant PS manque de lui répondre que oui, se reprend et déclare que c’est le climat de violence instauré par l’extrême droite qui a provoqué l’incendie.

Lire la suite

20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 10 mai 2023

Antifas : on pourrait finir par en rire

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Bernard Germain

Aujourd’hui 10 mai, le journal Ouest-France publie un article informant ses lecteurs du verdict rendu par le tribunal de St-Brieuc à l’encontre de deux antifas arrêtés le 28 janvier 2023 à Callac lors des vœux du maire, pour avoir affronté les gendarmes devant la mairie.

Rappelons quelques éléments.

Le 17 septembre 2022, manifestation autorisée des patriotes devant la mairie de Callac, réunissant 400 personnes contre le projet Horizon qui entendait faire venir dans le village 70 familles représentant plus de 500 personnes (25 % de la population du bourg).

Le même jour, contre-manifestation de la gauche et des antifas. Manifestation non déclarée et durant laquelle les antifas ont attaqué les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 5 novembre 2022, seconde manifestation autorisée des patriotes devant la mairie avec 800 personnes cette fois (600 selon la police).

De nouveau, contre manifestation non déclarée de la gauche et des antifas. À nouveau, violents affrontements des antifas avec les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 28 Janvier 2023, lors des vœux du maire à Callac. Danièle Le Men, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » est agressée par des antifas devant la mairie. S’ensuivent des affrontements entre antifas et gendarmes, pour la troisième fois. Le lendemain le journal, le Télégramme de Brest, informe : « un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie taguée et deux arrestations ».

Effectivement deux antifas sont arrêtés et mis en garde à vue.

Ce sont ces deux individus qui viennent d’être jugés.

On notera avec intérêt que les chefs d’accusation ont « oublié » le gendarme blessé. Le Télégramme de Brest a donc menti à ses lecteurs… il n’y a pas eu de gendarme blessé. Qu’on se le dise !

Et le verdict fait froid dans le dos par sa sévérité : 35 heures de Travail d’Intérêt Général pour l’un et relaxe pour l’autre.

Moi je vous le dis, maintenant qu’ils savent que la justice est impitoyable, les antifas vont trembler et ne recommenceront certainement pas à agresser les gendarmes ni les patriotes qui défendent leur pays.

Plus sérieusement, même si je sais qu’un procureur est seul décisionnaire de l’opportunité des poursuites, on est quand même en droit de s’interroger :

  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les deux contre manifestations non déclarées ?
  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les violences des antifas contre les gendarmes les 17 septembre et 5 novembre ?
  • Pourquoi le gendarme blessé le 28 janvier a-t-il disparu de la procédure ?
  • Pourquoi, seule la dégradation d’un véhicule de gendarmerie est-elle retenue, mais aucune violence ?
  • Pourquoi l’interdiction de paraître dans le département (22) pour ces deux antifas a-t-elle été réduite à la seule ville de Callac ?

Cela commence à faire beaucoup de questions qui sont autant de preuves que le régime ne veut pas en finir avec la violence des antifas qui pourtant sèment le chaos dans toute la France.

À l’inverse, la manifestation des jeunes patriotes à Paris, samedi dernier, s’est déroulée sans aucun incident, sans aucun feu de poubelle, pas plus qu’il n’y eut de violence. Ils ont simplement exprimé leur volonté de défendre leur pays. Sans violence ni dégradation. Mais là, tout le monde leur est tombé dessus. De l’extrême-gauche jusqu’au ministre de l’intérieur.

C’est donc clair, pour tous ces bien-pensants qui refusent de voir et de condamner les violences quasi quotidiennes des antifas - en fait de vrais petits nervis du mondialisme - défendre son pays est un délit et quiconque s’aventurera sur ce chemin devra en répondre.

Sauf que cela produit l’effet exactement inverse. De plus en plus de jeunes, comprennent les choses et rejoignent les rangs des patriotes.

Au reste, la situation devient à ce point caricaturale qu’on pourrait presque en rire, si la situation du pays n’était pas si grave.

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dimanche, 07 mai 2023

Bercoff face à la meute

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Bernard Germain

Le fait est de plus en plus visible, notamment en France, la démocratie est réellement en danger. Il n’y a quasiment pas un jour sans que la réalité ne nous rappelle cette vérité. A condition de voir ce qui se passe. Ou plus exactement d’accepter de voir.

Charles Péguy disait : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ».

Toute la presse aux ordres, tous les politiciens pratiquant le politiquement correct, toutes les associations bien-pensantes, passent leur temps à travestir les choses et présentent à la population une « réalité » totalement transformée pour les besoins de leur cause. 

Depuis les violences réelles des antifas, les violences imaginaires de l’extrême-droite, l’immigration incontrôlée, la délinquance, l’insécurité démente qui règne partout en France, les mensonges sur le climat et notre prétendue obligation de tout remettre en cause de ce fait,… tout est mensonge et affabulation. Un véritable rouleau compresseur afin de s’assurer que le bourrage de crâne soit efficace.

Dès lors, et c’est invariablement le cas, ceux qui refusent de dire ce qu’ils voient et sont complices de ces incessantes opérations de désinformation, qualifient les autres de « complotistes ». Quant à ce que disent ou écrivent ceux qui acceptent de dire ce qu’ils voient ce sont des propagateurs de « fake news » en plus d’être complotistes.

Voilà ce qu’est devenue notre société en moins de deux décennies, sous la férule de l’extrême-gauche -cornaquée par Mélenchon -, des médias bien-pensants, des principaux partis politiques et de toutes les associations « progressistes ».

Un journaliste est particulièrement visé par la meute : André Bercoff.

André Bercoff est journaliste à Sud-Radio et célèbre pour ses émissions dans lesquelles la parole est libre. Pas de tabou, pas de langue de bois, pas de sujet interdit. Plus exactement ce sont plutôt les sujets interdits dans les autres médias qu’il souhaite traiter. Ce qui n’est pas sans risque.

Ainsi, depuis des semaines est-il durement attaqué par de nombreuses « personnalités » à commencer par son propre collègue de Sud-Radio, l’ineffable André Bourdin.

Le 11 avril 2023, sur Sud-Radio, s’est déroulée l’émission « Parlons vrai chez Bourdin ». Le thème était : la confiance des Français envers les médias et les journalistes. L’un des participants attaque Bercoff, expliquant que c’est à cause de journalistes comme lui que 44 % seulement des Français ont confiance dans la presse et les journalistes. Et Bourdin de répondre : « Ce n’est pas moi qui vais le défendre ... ». Passons sur le côté très confraternel de cette déclaration. Retenons surtout que lorsqu’on a des amis comme Bourdin, on n’a pas besoin d’avoir d’ennemis.

Mais le plus étonnant est ce que Bourdin reproche à Bercoff. Dans ses émissions : « il n'y a pas de contradiction et il n'apporte pas la contradiction. ». Donc s’il fait un temps magnifique et qu’un interviewé le souligne, il faudrait que Bercoff dise qu’il pleut des hallebardes. Sacrée conception. En fait, ce n’est nullement cela qu’on reproche réellement à Bercoff. Il lui est surtout reproché d’autoriser des débats qui devraient être interdits. Sud-Radio (l’émission de Bercoff) est « spécialiste du fait d'inviter des anti-vaccins ou des covido-sceptiques ».

Effectivement, en pleine crise du COVID et même maintenant, Bercoff a courageusement refusé de se taire et a permis que des débats aient lieu dans lesquels -Ô crime- les thèses officielles ont été critiquées et contestées. Aujourd’hui, ce sont ceux qui réclamaient son silence durant la crise qui à nouveau voudraient bien qu’ils se taise au lieu qu’il dénonce ses accusateurs d’hier qui sont discrédités par ce qu’on est en train de découvrir.

Au passage on notera deux faits sur lesquels ses détracteurs sont forts discrets :

  • Sud-Radio (Bercoff) est l’un des rares médias à s’intéresser aux démêlées de Van der Layen avec la justice sur le scandale en train d’apparaître concernant ses relations avec Pfizer et les plus que suspicions de corruption massive dans ce dossier. Notamment en relation avec le travail fait par la députée européenne Virginie Joron (RN) et plusieurs de ses collègues du parlement européen. Mais le sujet est l’objet d’une opacité remarquable de la part des autorités européennes. Et peu de médias en parlent.
  • Tout comme en France, peu de monde s’est alarmé du fait que le dossier COVID soit traité en Conseil de Défense. On vient maintenant de comprendre pourquoi. Cela a permis de classer « Secret Défense » tous les éléments du dossier. Donc vous saurez la vérité dans 50 ans ! Circulez, il n’y a rien à voir. En réalité, c’est parce qu’il y a beaucoup à voir, que cela a été classé « Secret Défense », afin de protéger des poursuites les principaux responsables.

Un autre reproche est fait, cette fois par la légende Edwy Plenel : Bercoff est vieux et raciste.

C’est sûr, à 82 ans, André Bercoff n’est pas un jeune premier. En revanche, il a un dynamisme que j’aimerais bien avoir si j’arrive à son âge, et surtout, il en a vu pas mal dans sa vie, ce qui lui permet de ne pas se faire raconter n’importe quoi sans réagir.

Et au sujet d’Edwy Plenel, André Bercoff sait à qui il a affaire. Edwy Plenel, celui qui se présente comme le "Monsieur propre" du journalisme, le preux chevalier du camp du bien, pourfendeur de racistes et de fascistes.

Moi, tout comme André, je me rappelle de sa déclaration de 1972. En 1972, alors que le groupe terroriste palestinien « Septembre noir » avait assassiné onze athlètes israéliens pendant les Jeux olympiques de Munich, il écrit dans « Rouge » le journal de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) de Krivine sous le pseudonyme de Krasny :  « Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre Noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation »

Il confirmera cette déclaration, dans Libération du 4 avril 2018  : « Je n'ai jamais fait mystère de mes contributions à Rouge, de 1970 à 1978, sous le pseudonyme de Joseph Krasny. Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque. » On remarquera juste qu’il n’y a aucun regret, ni aucune excuse même 50 ans plus tard ! Pour compléter le tableau de cet homme de bien, on soulignera l’attachement indéfectible de ce Monsieur à l’action des « Frères musulmans » et tout particulièrement Tariq Ramadan. Vraiment un homme de bien cet Edwy Plenel. Tout à fait qualifié pour salir André Bercoff.

Quant à l’accusation de racisme, elle s’explique tout simplement par le fait qu’André Bercoff est opposé à cette immigration massive et incontrôlée qui a comme conséquence d’être en train de détruire notre pays.

Ayant été l’un des animateurs du combat de Callac, j’ai a deux reprises été interviewé par Sud-Radio dans le cadre de l’émission d’André Bercoff. Grâce à lui, de nombreux Français ont pris connaissance du combat que nous menions en Bretagne dans ce petit village, et que nous avons gagné. J’ai d’ailleurs écrit un livre pour raconter ce combat : « Callac, la mère des batailles » (synthèse-editions.com) cliquez ici.

En revanche Edwy Plenel, « l’anti-raciste » n’a pas souhaité m’interviewer, ni faire connaître notre combat pour défendre notre pays et notre civilisation. Lui, avec son journal Médiapart, il menait le combat aux côtés des antifas qui attaquaient violemment nos manifestations et nos militants. Mais, cette violence « révolutionnaire », hier à Munich comme aujourd’hui à Callac et dans tout le pays, elle a tout le soutien d’Edwy Plenel. Elle ne peut être critiquée et encore moins condamnée.

Heureusement qu’André Bercoff est là, tenant tête à la meute, en préservant un espace de liberté et de débat sans tabou. Lui et ceux qui mènent le même combat dans d’autres médias.

André Bercoff anime aussi l'émission "Le dernier verre" sur Omerta cliquez ici

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mercredi, 03 mai 2023

Mélenchon veut cannibaliser la NUPES

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Bernard Germain 

Avis de gros temps à la NUPES. La belle unité de façade est en train de se fissurer et les exemples ne manquent pas ces derniers jours qui attestent que la NUPES pourrait aisément exploser en plein vol, dans un avenir assez proche.

Ainsi, lors de la manifestation du 1er mai contre la réforme des retraites, le stand du PCF qui se trouvait le long du parcours a été attaqué par des antifas au cri de « Tout le monde déteste Fabien Roussel ».

Apparemment le camarade Roussel n’est pas assez wokiste et a encore trop d’attachement à un passé « lutte des classes », alors que maintenant c’est la « lutte des races ». Il devient donc une cible pour les extrémistes afin de contraindre le PCF à marcher au pas sur le chemin tracé par LFI.

Lors de cette attaque, Fabien Roussel a été touché par un tir de mortier d’artifice et a dû être exfiltré. Deux autres militants ont été blessés et conduits à l’hôpital.

En réponse le PCF a ressorti un vieux tract datant de 1968, dans lequel il dénonce l’action des groupes gauchistes, maoïstes ou trotskystes qui faisaient le jeu du pouvoir.

Fait remarquable, aucun communiqué de soutien au PCF, de la part de la LFI de Mélenchon. Pas plus d’ailleurs de condamnation de la part de Mélenchon pour cette agression contre le PCF.

Pour sa part, Sophia Chikirou (LFI) a tweeté :

« La fameuse chasse aux trotskystes que le PCF revendique, c’est celle qui a mené des millions de personnes au goulag et à l’exil sous Staline. Ça part en vrille sous Roussel... »

Tout cela va évidemment créer du liant au sein de la NUPES entre LFI et PCF.

Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là.

S’agissant des prochaines élections européennes, LFI souhaite reconduire la méthode utilisée aux dernières législatives, à savoir une liste commune NUPES. Pas de chance, les écologistes n’en veulent pas, en particulier parce que c’est à ces élections qu’ils obtiennent leurs meilleurs résultats. Donc très logiquement ils veulent pouvoir présenter une liste écologiste.

Marine Tondelier, chef des écolos, a déclaré que les pressions de LFI pour obtenir une liste commune créait une ambiance « désagréable et irrespectueuse », ajoutant à l’adresse de LFI qu’il ne fallait pas confondre « convaincre et contraindre ».

En réponse ineffable Danièle Obono (LFI) a tweeté : « Le niveau de mépris, de sectarisme et de mauvaise foi des réponses concernant la NUPES et LFI, est consternant. Faire passer une stratégie boutiquière avant l’intérêt général, dans le contexte politique économique et social actuel, est irresponsable ».

Du grand Danièle Obono. Mais est-ce bien étonnant de la part d’une des plus enragées de LFI ? Reste que là encore ce type de réponse va contribuer à une saine camaraderie entre les membres LFI et écolos, au sein de la NUPES.

Ajoutons que les prochaines élections municipales de 2026, risquent aussi de nous permettre d’assister à de savoureuses empoignades s’agissant de la constitution des listes qui se présenteront aux élections dans chaque ville.

Les maires sortants vont à l’évidence vouloir garder leurs mandats. Par exemple à Nantes et Rennes (PS) ou à Strasbourg, Bordeaux, Grenoble (écologistes).

Quelle sera la position de LFI qui bien sûr invoquera les résultats du 1er tour de la présidentielle pour justifier ses demandes de tête de liste ? Assurément, l’affaire risque de ne pas être simple.

Et puis, il y a la fameuse élection de 2027, la prochaine présidentielle. Tous les membres de la NUPES affirme vouloir une candidature commune, mais chacun se voit dans le costume du candidat unique.

Roussel ne cache pas vouloir être ce candidat unique, quant aux écologistes, ils souhaitent une femme comme candidate, comprenez une femme écologiste bien sûr.

D’ailleurs, dans le dernier Journal du Dimanche Marine Tondelier (écologiste) disait : « Si le débat de 4 prochaines années se résume à : Mélenchon stop ou encore, alors ce sera un échec ».

Manifestement tous ces gens n’ont pas compris ou ne veulent pas voir la stratégie de Mélenchon. Ce dernier, reprend en tous points la manière de faire de celui qui fut son idole : François Mitterrand. Il utilisa l’Union de la Gauche et le programme commun de 1972, pour enfermer le PCF dans cette alliance et au bout du compte le dévorer en « plumant la volaille » communiste. Ce qui fut fait.

Dans les années 70, le PCF représentait environ 20 % de l’électorat. Suite à l’élection de Mitterrand, grâce aux voix communistes, le PCF ne fit que s’effondrer électoralement pour ne plus représenter que quelques pour cents et ce depuis de longues années. Mélenchon rejoue la même pièce. Il a créé la structure unitaire, la NUPES, comme hier Mitterrand son Union de la Gauche. Tous s’y sont précipité, afin d’obtenir aux législatives les élus qu’ils n’auraient pas eu en se présentant seuls.

La NUPES a aussi un programme, comme hier Mitterrand avait le programme commun. Petit à petit Mélenchon cannibalise ses alliés, comme le fit Mitterrand. En appliquant à cette occasion la célèbre formule de Benoît Frachon (ancien leader de la CGT) : « Il faut convaincre ou submerger ».

Pour chaque parti de la NUPES, c’est un véritable dilemme. Rester dans la NUPES et finir par se faire dévorer, ou la quitter et disparaître rapidement par absence d’élus lors des prochaines élections. L’étau se resserre petit à petit. Si Mélenchon gagne c’en sera fini des autres partis que LFI. Ils seront tous dévorés.

Mais il se pourrait aussi que les autres partis que LFI, dans un ultime sursaut pour leur survie, se cabrent, se braquent et refusent de capituler devant les ukases de Mélenchon.

Dans ce cas, c’en serait fini de la NUPES qui exploserait en de multiples composantes chacune étant incapable de survivre à son isolement synonyme de défaites électorales précipitant leur disparition. 

L’avenir s’annonce très compliqué. En fait tous les partis de la NUPES viennent, ces derniers jours, de prendre conscience d’une dure réalité. Il faut une grande cuillère pour dîner avec le diable !

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1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas

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Bernard Germain

Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.

On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.

Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !

À ceux qui en douteraient, cliquez sur le lien ci-dessous et vous prendrez conscience du problème.

On voit sur la vidéo, un cocktail Molotov arriver sur les policiers, exploser en arrosant d’essence enflammée plusieurs d’entre eux, et lorsque leurs collègues se précipitent pour éteindre les flammes certains antifas en profitent pour les attaquer et leur jeter pierres, boulons, bâtons et tout ce qui leur tombe sous la main.

Je ne sais pas comment vous appelez cela, moi je dis que c’est une tentative de meurtre avec préméditation. L’un des policiers est d’ailleurs à l’hôpital, gravement brûlé, notamment au visage. Il aurait très bien pu mourir. Même si les autres incidents ont été moins graves, toute la manifestation en fut émaillée.

De manière incessante, les forces de l’ordre furent agressées, recevant toutes sortes d’objets, pierres, morceaux de ferrailles, bâtons, mortiers d’artifices, bombes agricoles… etc. Au final, en France 406 policiers et gendarmes furent blessés, certains gravement.

Un sénateur PS a eu la curiosité de vouloir suivre la police en action. Au départ, pour voir si la police respectait la déontologie du maintien de l’ordre. Après avoir suivi tout l’après-midi les policiers, son opinion se résuma à une formule : « j’ai eu peur, très peur ». Eh oui, il faut avoir la foi du charbonnier pour passer son après-midi à subir toutes ces violences de manière stoïque. C’est le lot quotidien de la police et de la gendarmerie durant ces évènements. Et manifestement ce parlementaire PS a découvert à cette occasion la face cachée de la Lune.

Il faut dire qu’au même moment, les parlementaires de gauche, à l’Assemblée, tentaient de faire s’ouvrir un débat sur la dissolution des Brav-M. Quand on est sur le terrain à recevoir des pavés sur la figure pendant des heures, ça change du parlement et des discours dénonçant la « police qui tue ». Heureusement, cette tentative fut rejetée au parlement.

Restent quelques questions dérangeantes pour le pouvoir et la gauche. Lorsqu’ils sont arrêtés, on découvre que ces antifas sont souvent des fils ou filles de profs de fac, de cadres supérieurs, de hauts fonctionnaires, de chefs d’entreprises. Bref des gosses de la bourgeoisie, qui après avoir commis leurs exactions rentrent à la maison dans les beaux quartiers. Parce que s’il y a des crasseux et des lumpens parmi les antifas, nombreux sont ceux à faire partie des couches sociales favorisées.

À propos des arrestations, on ne peut qu’être frappé par leur nombre extrêmement faible au cours des manifestations. Pourquoi y en a-t-il si peu ? Je ne vois qu’une réponse à cette question… parce que la police a des consignes pour laisser filer les antifas.

Et s’ils se font néanmoins attraper, les juges rentrent en scène et disent aux policiers qui ont déféré ces individus au parquet : « désolé, mais les preuves ne sont pas assez étayées. », ils ordonnent donc la remise en liberté de ces casseurs.

Je rappelle à cette occasion que les policiers souhaitent être équipés de paintballs afin de pouvoir marquer les principaux casseurs et pouvoir les arrêter. Curieusement, cette revendication toute simple n’est pas prise en compte par la hiérarchie. 

Osons la question : « à qui profite le crime ? » Pour moi les choses sont simples : au pouvoir.

Ces milices rendent service à Macron :

  • en étant bien utiles pour discréditer les mouvements sociaux, puisque toute manifestation est systématiquement concernée par ces violences
  • en étant bien utiles pour combattre les patriotes défendant leur pays comme on a pu le constater à Callac, à St-Brévin et dans tant d’autres endroits.

Faut-il rappeler, par exemple, qu’à Callac, ces antifas ont attaqué trois fois les gendarmes à l’occasion de deux contre-manifestations non déclarées et une fois sans prévenir, devant la mairie le jour des vœux du maire. Malgré nos interpellations, le procureur n’a jamais jugé utile d’engager des poursuites contre ces antifas ultra violents !

Pour ce qui me concerne, j’ai d’autres questions complémentaires :

  • la police ayant de puissants moyens d’identification, on ne me fera pas croire qu’ils ne savent pas qui sont ces antifas. Pourquoi ne les arrêtent-ils pas ?
  • pourquoi, puisqu’on les connaît ne sont-ils pas interdits de manifestation avec obligation de pointer au commissariat chaque heure pendant la durée de la manifestation ?
  • Pourquoi lorsqu’ils sont arrêtés n’y a-t-il aucune condamnation avec des peines un tant soit peu dissuasives ?

On notera enfin que la presse des bien pensants, c’est à dire la quasi totalité des médias, ne condamne jamais ces exactions. Ils nous parlent toujours de violences imaginaires de l’extrême-droite, comme dernièrement pour l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. Mais lorsque les coupables ont été arrêtés, on a découvert qu’ils étaient des membres de l’extrême-gauche. Dans un silence assourdissant des médias qui avaient dénoncé sans preuve l’extrême-droite.

Et pour finir, on prendra soin de noter que si la NUPES de Mélenchon n’a pas de mots assez durs pour dénoncer « la police qui tue, blesse et brutalise », ils n’ont jamais un mot pour dénoncer ces antifas qui font régner la terreur de Ste-Soline à Paris en passant par Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Rennes et une multitude d’autres villes. 

La police fait son travail comme elle peut, sans aucun soutien des politiques ni de ses responsables prompts à condamner tel ou tel acte isolé.  Les mêmes ne se posent jamais la question : « dans quel état serais-je si j’avais ramassé pendant tout un après-midi des pavés sur la figure ? ».

Ce parlementaire PS qui a fait l’expérience d’accompagner la police pendant un après-midi le 1er mai, semble en avoir tiré pas mal de leçons. Il m’étonnerait qu’il soit très conciliant avec la prochaine saillie de Mélenchon et sa NUPES contre la police.

Peut-être cela va-t-il ouvrir les yeux de certains ? Un accident est vite arrivé… !

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lundi, 01 mai 2023

Mayotte : La « Gauche » débile, totalement abrutie par ses dogmes

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Bernard Germain

C’est une leçon de choses à laquelle nous assistons avec les évènements qui se déroulent à Mayotte. Du chimiquement pur. 

Mayotte est l’une des 4 îles faisant partie de l’archipel des Comores, dans l’océan Indien, non loin de l’île de la Réunion.

Elle est devenue française le 25 avril 1841, vendue à la France, par son sultan de l’époque.

Les populations de ces îles des Comores sont très majoritairement musulmanes et sont pour la plupart des gens de couleur.

D’abord placé sous protectorat du gouvernement français de Madagascar en 1886, l’ensemble de l’archipel devient six ans plus tard colonie française. La nouvelle entité s’appelle « Mayotte et dépendances » qui inclut outre Mayotte, les trois autres îles: Mohéli, Anjouan et Grande-Comore.

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En 1946, les Comores changent de nouveau de statut et deviennent territoire d’outre-mer (TOM). Sur ces 4 îles, Mayotte a confirmé vouloir rester attachée à la France, à plusieurs reprises par référendum.  La 1ère fois, le 22 décembre 1974, les habitants de Mayotte votent à 63% contre l’indépendance, alors que les autres Comoriens votent à 99% pour la souveraineté de l’archipel. Une seconde fois en février 1976, ils confirment leur vote à 99,4 % . En 2011, la France en a fait le 101e département français.

Quant aux 3 autres îles des Comores, elles ont à leur tête un Président, Azali Assoumani, qui est aussi le Président de l’Union africaine. Il ne cache nullement sa détestation de la France et tout ce qui symbolise notre pays, et revendique le départ des français et le rattachement de Mayotte aux Comores.

Entre 2008 et 2017, 74 millions d’euros ont été donnés aux Comores par l’Agence Française de Développement. En juillet 2019, un accord-cadre entre la France et les Comores prévoit le versement de 150 millions d’euros sur trois ans pour l’Union des Comores, en contrepartie d’une lutte contre le départ des ressortissants comoriens vers Mayotte. Le FMI a accordé 12 millions de dollars en avril 2020 aux Comores, et la Banque Mondiale vient de faire un don de 30 millions de dollars en février 2023.

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jeudi, 20 avril 2023

Marylise Léon chef de la CFDT en juin : la décomposition de notre société s’accélère

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Bernard Germain 

Et de deux.

En juin 2021, Marylise Léon deviendra le nouveau secrétaire général de la CFDT. Après Sophie Binet, wokiste et féministe assumée, élue à la surprise générale secrétaire général de la CGT en remplacement de Martinez et ses célèbres moustaches.

Marylise Léon a dores et déjà un point commun avec Sophie Binet, elle est féministe. On notera au passage que Laurent Berger se moque de l’accord ou pas des syndiqués CFDT sur la pertinence de ce choix. En bureaucrate roué, il s’est fait réélire il y a peu, en sachant parfaitement qu’il ne finirait pas son mandat qui doit s’achever en 2026.

Donc, son départ était déjà planifié lorsqu’il s’est présenté et fait réélire.

Pour Marylise, c’est tout simple, elle sera désignée par le Bureau National de la CFDT. Donc aucun risque que l’opération capote. Elle aura jusqu’en 2026 pour mettre en place son propre appareil et créer les conditions de son élection à cette date lors du prochain congrès. C’est de la « démocratie » très organisée.

Mais revenons au fait que cette dame est féministe.

Les idiots vont se féliciter de son arrivée à la tête de la CFDT. Pour ceux-là, la compétence n’est qu’une option. Ce qui compte c’est qu’elle est de sexe féminin. Ils diront… « enfin des femmes qui accèdent aux plus hautes responsabilités. Il était temps. »

Malheureusement ces bouleversements à la tête des syndicats ne sont des bonnes nouvelles qu’en apparence.

Le fait que ces deux personnes soient féministes est autrement plus préoccupant. Pourtant peu de monde ne semble s’en alarmer. Et c’est vraiment inquiétant.

Pour me faire comprendre je dois revenir sur certains points.

À l’origine, le féminisme revendiquait une égalité entre les hommes et les femmes. Cela se traduisait par exemple par l’une des plus vieilles revendications syndicales : « à travail égal, salaire égal ». Ce n’était que justice.

Idem, pour le droit de vote qui ne fut accordé aux femmes qu’en 1945.

Mais le féminisme a largement évolué et le « néo-féminisme » est devenu le combat des femmes contre les hommes et leur société « patriarcale ». Ce qui n’est plus du tout la même chose.

Pendant des siècles, l’homme avait une fonction protectrice vis à vis des femmes et de la famille.

C’était lui qui allait gagner de quoi « faire bouillir la marmite ».

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19:19 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 avril 2023

Bruno Le Maire vient-il d’être frappé de lucidité ?

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Bernard Germain 

Le ministre de l’Économie et des Finances, vient de mettre les pieds dans le plat. A-t-il été frappé d’un éclair de lucidité ? Toujours est-il qu’il a déclaré : « Nos compatriotes en ont raz le bol de la fraude et de voir que des personnes envoient illégalement l’argent du contribuable au Maghreb ou ailleurs ».

Le moins qu’on puisse dire est que cette déclaration est, pour une fois, frappée au coin du bon sens. Elle est bien tardive, mais mieux tard que jamais.

Reste une question : cette déclaration sera-t-elle suivie d’effets ? 

Cette question est d’autant plus importante que cela fait des années que ça dure et les choses vont en s’aggravant à la vitesse grand V.

Revenons tout d’abord sur le sujet des fraudes sociales.

Entendu par une commission parlementaire le commissaire responsable du service des faux documents a déclaré, sous serment, qui si on prend en compte les critères de la police sur les faux documents, on devrait rejeter 1/3 des documents produits par des gens nés à l’étranger et qui demandent leur inscription à la Sécurité Sociale. Le stock total étant de 21 millions de documents, dont 12,4 millions perçoivent des prestations sociales, on arrive au chiffre phénoménal de 4 millions de faux documents et donc 4 millions de gens qui devraient être sortis du système. 

A l’inverse le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président du Modem, sur la base d’une enquête qu’il a fait mener, prétend que la fraude sociale ne représenterait que 0,7 % du nombre des assurés sociaux et que les sommes en cause pour la fraude sociale seraient négligeables et ne représenteraient que quelques dizaines de millions d’€.

Qui doit-on croire ?

Des policiers dont le métier est d’identifier les faux documents ou ce sénateur qui se veut très rassurant, mais n’a aucune compétence en matière de faux documents ?

Pour ce qui me concerne, je fais confiance aux professionnels du domaine, pas à ce sénateur se voulant ridiculement rassurant.

Mais l’affaire est encore plus grave que cela.

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lundi, 17 avril 2023

Oui Jean-Marie, emmerdons-les tous...

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Bernard Germain

Durant toute la fin de la semaine, certains avaient sorti les verres et s’apprêtaient à sabler le champagne. D’autres étaient en train de dépoussiérer la nécrologie qu’ils pensaient publier sous peu.

En effet, l’annonce en était publique : Jean-Marie Le Pen était hospitalisé pour un malaise cardiaque et ses amis s’alarmaient des conséquences possibles de cet épisode fâcheux.

Apparemment, les bobos et autres fêtards peuvent ranger leurs bouteilles. Le « vieux » va mieux et n’a pas lâché la rampe. Ils en sont donc pour leurs frais et c’est tant mieux. 

Cet évènement me permet de dire quelques mots de cet homme, que j’ai eu l’honneur de rencontrer personnellement à son domicile de St-Cloud en septembre 2022.

L’objet de ma visite, organisée par mon ami Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale), était de présenter à Jean-Marie Le Pen le dossier de Callac et la bataille que nous y menions contre l’invasion migratoire que subit notre pays. Nous avons eu un échange des plus intéressants, à l’issue duquel je lui ai remis un exemplaire de mon livre « Callac, la mère des batailles ». Lorrain de Saint Affrique, homme particulièrement sympathique et d’une rare intelligence, participait également à cet échange à quatre.

Ce qui m’a beaucoup frappé lors de cette rencontre, c’est le côté intact de la vivacité intellectuelle de Jean-Marie Le Pen. Certes le corps porte les stigmates du temps, à 94 ans quoi de plus normal, mais l’intelligence et la vivacité d’esprit sont toujours là. Notre échange fut donc des plus intéressants.

Jean-Marie Le Pen fut certainement l’un des hommes politiques les plus importants de ces 50 dernières années. Souvenons-nous qu’en 1974, lors de sa première candidature à l’élection pour la présidence de la république son score fut de 0,74 %. Que de chemin parcouru depuis cette élection.

Mais ne nous y trompons pas, c’est le nom de « Le Pen », intimement lié à la droite nationale et identitaire, qui est aujourd’hui à 42% et qui est même donné à 55% dans les derniers sondages d’avril 2023, car Jean-Marie a réussi à l'imposer durablement dans l'inconscient collectif des électeurs comme étant le recours face à la dilution de notre nation. Pas le prénom de la candidate du RN à la dernière Présidentielle qui, obsédée par sa volonté de normalisation, n'hésita pas, en 2015, à exclure son père de son propre parti afin de mettre en œuvre sa stratégie de « dédiabolisation » qui l’amène à remettre en cause tous les fondamentaux du Front national. Comme par exemple en votant l’inscription dans la constitution du « droit » à l’avortement ou ses déclarations stupéfiantes telles : « le voile islamique n’est pas un problème » ou encore : « l’islam n’est pas incompatible avec la république ». Et tant d’autres prises de position plus incroyables les unes que les autres.

Pendant toute sa vie politique Jean-Marie Le Pen fut victime d’une campagne de haine et de diabolisation. Constamment qualifié de « fasciste », voir de nazi, par des crétins qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Pourtant les faits donnent aujourd’hui totalement raison à ce que disait à l’époque Jean-Marie Le Pen.

Ainsi pour ne prendre que deux exemples, il dénonçait l’immigration et prônait la « préférence nationale ». Et que constate-t-on aujourd’hui ? Que tout ce qu’il disait à l’époque est visible et d’une actualité brûlante.

L’immigration, totalement incontrôlée, est en train de détruire notre pays et s’accompagne d’une insécurité délirante. Quant au sort des Français, il est des plus pitoyables.

Les migrants sont prioritaires partout, au détriment des « Français de souche ».

Faut-il rappeler ce couple avec 4 enfants, à Ploërmel, non loin justement de Callac, obligé de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre parce qu’il n’y a pas de logement social pour eux. Les migrants sont prioritaires. Pourtant ce couple travaille et paye ses cotisations sociales et impôts. Pas les migrants qui arrivent de l’autre bout de la terre et ne vivent pour l’essentiel d’entre eux que grâce aux multiples aides reçues… payées par les cotisations et impôts des français qui, eux, sont abandonnés à leur triste sort. 

C’est d’ailleurs la raison principale de notre victoire à Callac. Les habitants de cette commune ont dit : « Pourquoi y a-t-il autant d’argent donné aux migrants alors qu’il n’y a pas un euro pour les callacois pauvres ou dans le besoin ? »

Hier, comme aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen avait raison. Il faut arrêter d’urgence toute immigration et en revenir à la préférence nationale.

Comme les Français ne sont pas fous, ils ont compris depuis longtemps, tout particulièrement les « couches laborieuses », comme on disait à gauche, que la dite gauche ne les défendait plus. Cet abandon fut officialisée d’ailleurs par le rapport Terra Nova de 2011, qui prônait l’abandon de cet électorat populaire pour lui préférer les immigrés et les minorités, notamment sexuelles.

Le passage des « couches laborieuses », c’est à dire les Français modestes et une bonne partie des classes moyennes, vers le Front national est un réalité qui existe depuis plusieurs décennies et ne fait que croître. Ces Français ont compris depuis longtemps qu’il n’y a rien de bon à attendre de la gauche qui les méprise et les considère comme des « réacs »et des « beaufs » à la Cabu.

Reste que le plus révoltant est le cynisme de ces gens de gauche. Ceux qui prétendent être le bien et exhortent les français à se mobiliser pour « faire barrage » et ainsi sauver la France du fascisme.

Pourtant il s’agissait et il s’agit encore de nos jours d’une incroyable escroquerie politique. Pour preuve, nous mentionnerons les paroles de Lionel Jospin prononcées le 29 septembre 2007 sur France Culture dans l’émission « Répliques » : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, et donc tout anti-fascisme n’était que du théâtre. »

Reste que cet argument de la « menace fasciste » fut utilisé en permanence pendant des décennies contre le Front national. Au final, Jospin a reconnu que ce n’était que « du théâtre ». Il en est de même aujourd’hui où l’expression fait à nouveau florès.

Enfin, je veux conclure en rappelant que rien, strictement rien ne fut épargné à Jean-Marie Le Pen.

Un exemple suffira à me faire comprendre : le fameux « détail ». Souvenons-nous. Jean-Marie Le Pen avait dit lors d’une interview à la radio que les chambres à gaz n’avaient été qu’un « détail » durant la seconde guerre mondiale. Ce que les gens ont oublié, c’est que pendant 48H00, personne n’avait réagi, ni crié au scandale. Puis un journal avait commencé à utiliser cette déclaration pour discréditer son auteur. Et un tsunami médiatique s’en était suivi, encore invoqué de nos jours.

Mais si l’on est simplement honnête intellectuellement, on ne peut contester que « détail » peut être utilisé et compris de deux manières :

  • Détail peut être compris comme un élément d’un tout beaucoup plus grand
  • Détail peut être compris comme quelque chose de méprisable, d’insignifiant.

A l’évidence, et on me l’a confirmé, Jean-Marie Le Pen a utilisé ce mot pour dire que les chambres à gaz étaient un « élément d’un tout beaucoup plus grand ». Pas pour dire que c’était insignifiant.

Pourtant, 48H00 après sa déclaration un premier journaliste a prétendu que, pour Le Pen, c’était pour dire que c’était « insignifiant ». Et comme tirer sur le FN et son dirigeant était un devoir pour certains, l’affirmation de ce journaliste fut reprise avec zèle et enthousiasme par tous les bien pensants. Jean-Marie Le Pen eut beau s’expliquer en long, en large et en travers, personne ne voulu entendre ses explications et le « détail » fut invoqué durant des années pour le discréditer.

Pour moi, et pour tant d’autres, Jean-Marie Le Pen est et restera comme celui qui a ouvert la voie et montré le chemin. Un homme attaché avant tout à notre pays, notre identité, notre culture et notre civilisation. Une référence et homme éminemment respectable.

Un dernier mot. Jean-Marie Le Pen aurait déclaré : « Je compte vivre jusqu’à 100 ans pour les emmerder tous ».

Absolument Jean-Marie, … emmerdons-les tous !

19:05 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Violences antifas : les apprentis sorciers s’affolent

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Bernard Germain 

Samedi 15 avril, à Rennes d’innombrables violences eurent lieu. Officiellement pour protester contre la réforme des retraites que venait de valider le Conseil constitutionnel, après que Macron l’ait fait passer au parlement avec le 49.3. Colère légitime de la population, qui s’exprima à travers toute la France dans le cadre de défilés certes très remontés contre le pouvoir mais dans lesquels aucun incident notoire ne fut relevé. Ce dont nous voulons parler dans cet article, ce n’est pas de cette colère légitime, ni des manifestations pacifiques. Nous voulons parler des violences exercées en marge par ceux que l’on appelle des antifas.

Ils profitent bien sûr du contexte politique pour à chaque occasion laisser s’exprimer leur violence. Elles deviennent de plus en plus importantes et occasionnent des dégâts et des blessés. Un jour, ils finiront sans aucun doute par causer la mort d’une ou plusieurs personnes, qu’il s’agisse de simples citoyens ou de membres des forces de l’ordre. Ce jour là, c’est certain, c’est à qui ne sera pas responsable… Mais qui a permis à ces nervis de prospérer ? Indéniablement la gauche, les bien pensants et le pouvoir.

Et ce qui est le plus extravagant c’est que ceux qui les ont créés, les ont fait prospérer, les protègent et ne dénoncent jamais leurs exactions, semblent aujourd’hui pris de panique devant ce qui se passe.

Ainsi, le maire Nathalie Appéré (PS) a appelé l’État à l’aide pour « reconnaître la situation particulière » de Rennes.  Déclarant : « Les Rennais, les habitants du centre-ville et particulièrement nos commerçants, sont les victimes incrédules de ce déchaînement de violence. Les dommages se chiffrent en centaines de milliers d’euros. Après les événements de la nuit dernière, où la porte du Couvent des Jacobins et celle du commissariat de la rue de Penhoët ont été incendiées, et où des dégâts considérables sont à déplorer, que va-t-il se passer désormais ? Jusqu’où ira cette folie destructrice ? ».

« Reconnaître la situation particulière de Rennes »… on croit rêver. Mais qui a fait de Rennes une « situation particulière » sinon Mme Appéré elle-même ? Son laxisme, et même sa collusion avec les antifas et l’extrême gauche sont de notoriété publique. Tout comme son silence vis à vis des violences et dégradations des antifas.

Cela fait des mois que l’opposition au conseil municipal dénonce tout cela dans l’indifférence de la majorité municipale de gauche. Les violences de toutes sortes sont le quotidien des Rennais qui ne comptent plus les agressions. Les mineurs isolés sont légions dans les rues.

Bref, Rennes qui était une ville des plus sympathiques est devenue en quelques années une ville « pourrie », sous l’heureuse action et le laxisme de son maire PS. Et aujourd’hui Mme Appéré (Mme Apeurée) s’affole : « Jusqu’où ira cette violence destructrice ? ». Il est bien temps d’y penser et de se poser la question.

Reste que la situation est devenue tellement compliquée que le ministère de l’Intérieur a envoyé sur place la CRS 8, le corps d’élite des CRS, afin de faire face aux violences urbaines.

La situation est identique à Nantes, autre ville tenue par un autre maire PS, la célèbre Johanna Rolland. Elle aussi est un as dans son domaine.

Son budget municipal ne consacre que 1% à la police municipale. Celle-ci, en semaine arrête de travailler au milieu de la nuit. Et elle ne travaille pas le dimanche. Nantes, qui était une autre ville fort agréable, est devenue un authentique coupe-gorge. Comme Rennes. Et les antifas y prospèrent dans l’indifférence totale de la municipalité.

Ces élus tels Appéré ou Rolland, et tant d’élus d’extrême-gauche partout en France, ont soutenus ces nervis antifas et leurs violences comme à Sainte-Soline. La LDH a même été jusqu’à mettre des « observateurs » pour surveiller… la police. Mais pas les antifas alors que la manifestation était interdite.

A Callac, les élus de la municipalité de gauche ont soutenus les violences antifas contre les patriotes qui s’opposaient au projet du maire voulant faire venir des centaines de migrants.

C’est partout la même chose.

Tous ces élus qui répètent « pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie » ont soutenu les antifas chargés, par la violence, de faire taire les opposants des bien pensants.

Sauf que le phénomène a pris une telle ampleur que les mêmes élus sont pris de panique aujourd’hui. Le monstre qu’ils ont créé et soutenu, leur échappe.

Cela me fait penser à cette scène de Fantasia, le film de Walt Disney, où l’on voit Mickey ensorceler un balai. Mais comme il n’est qu’un apprenti sorcier, il est incapable de contrôler la situation. Tous les balais s’ensorcellent et provoquent une catastrophe. C’est exactement la même chose avec les antifas, mais c’est autrement plus grave que des balais. Ces antifas sont devenus un véritable cancer pour notre société.

Le plus grave étant que personne ne semble vouloir prendre contre eux les mesures qui s’imposent. C’est notamment le cas du ministère de l’Intérieur, dont on aura du mal à me convaincre qu’il n’a pas identifié ces furieux. Alors pourquoi ne sont-ils pas arrêtés ? …jugés et condamnés à payer pour les dégâts commis et les blessures infligés à des citoyens et de policiers ou gendarmes ?

Pourquoi ne sont-ils pas interdits de manifestation et obligés de pointer dans une commissariat ou une gendarmerie à l’heure des manifestations ?

De même, pourquoi le procureur de la république des Côtes d’Armor n’a-t-il engagé aucune poursuite contre la municipalité de Callac pour deux contre-manifestations non déclarées, les 17 septembre et 05 novembre 2022 ? Pourtant c’est un délit condamnable.

Pourquoi ce procureur n’a-t-il lancé aucune poursuite contre les antifas qui ont exercé des violences à Callac à trois reprises ? Délit condamnable aussi. 

Au final, tous ces élus bien pensants ainsi que l’État sont les véritables responsables de ces situations chaque jour plus préoccupantes. Les uns parce qu’ils ont créé ce cancer, les autres parce qu’ils ne veulent pas le traiter. Attendent-ils qu’il y ait des morts pour finir par réagir ?

Et les médias bien pensants, à partir de quand vont-ils cesser de soutenir ces hordes violentes et les dénoncer pour ce qu’elles sont… des hordes fascistes ?

Le 29 avril, à St-Brévin aura lieu une nouvelle manifestation contre l’installation d’un CADA. Le préfet de Nantes va-t-il comme la dernière fois laisser la contre-manifestation des antifas approcher à quelques dizaines de mètres de notre rassemblement pacifique, ou va-t-il les contenir à plusieurs centaines de mètres ?

Ce n’est certes qu’un petit évènement par rapport à tout ce qui se passe en France, mais nous verrons ce jour là si l’État a tiré des leçons des évènements que nous vivons ou s’il souhaite continuer à laisser pourrir encore plus la situation.

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jeudi, 13 avril 2023

Bernard Germain à Breizh info : « La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner »

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Un grand entretien avec Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac, publié par Breizh Info cliquez ici

Le calme est revenu à Callac, commune des Côtes d’Armor qui s’est retrouvée, malgré elle, au centre de l’attention médiatique, du fait des tentatives d’y imposer à la population un accueil massif de migrants, sans consultation préalable de citoyens qui sont apparus très divisés sur la question, et avec une grosse partie franchement hostile.

Mais l’abandon du Projet Horizon n’a d’ailleurs pas empêché l’Etat d’imposer, en douce, des migrants dans la commune, puisque plusieurs familles (d’Afrique noire et du Moyen-Orient) sont arrivées depuis et occupent une habitation du centre de la commune. Ce qui n’est pas sans susciter incompréhension et interrogation dans le bourg.

Le combat contre l’implantation de migrants à Callac est résumé, en long, en large et en travers, par Bernard Germain dans un livre « Callac, mère de toutes les batailles », où celui qui a été l’un des acteurs de la contestation offre son point de vue et des informations, fournies, sur les évènements qui ont plongé cette petite commune du Centre-Bretagne dans un climat de tensions jamais connues sans doute, depuis la période de la Seconde guerre mondiale.

Nous l’avons interrogé sur son action et sur son livre, paru aux éditions Synthèse nationale commander ici).

Breizh-info.com : Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Bernard Germain : J’étais ingénieur logiciel. Aujourd’hui je suis retraité et je vis dans les Côtes d’Armor.

Je suis quelqu’un qui vient de la gauche. En 1981 j’ai voté Mitterrand et adhéré au PS. Je les ai quittés après le virage de la rigueur en 1983. Je n’avais pas voté pour cela.

J’ai ensuite partagé ma vie entre activités professionnelles et syndicalisme. S’agissant de mon activité de syndicaliste, j’ai été un responsable national de la Fédération FO des télécoms et à ce titre j’ai été l’un des négociateurs de la Convention Collective de Branche des Télécommunications (CCNT) pour ma Fédération. J’ai également été administrateur FO à la Sécurité Sociale pendant près de 20 ans dont 10 comme vice-président de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie des Yvelines.

Sur le plan politique, je n’ai eu aucune activité dans un parti depuis mon départ du PS. J’ai repris une carte politique récemment en adhérant à Reconquête lors de sa création, pour deux raisons : tout d’abord parce qu’Eric Zemmour m’est apparu comme un « politicien » honnête qui dit la vérité, et d’autre part parce que je pense que l’existence de la France telle que je l’ai connue est aujourd’hui gravement menacée, notamment du fait d’une immigration totalement incontrôlée.

Breizh-info.com : Avec quelques mois de recul sur la bataille de Callac, quelles sont les conclusions que vous en tirez ? Diriez vous que ce qui a fait le succès de la mobilisation, c’est surtout l’enracinement local d’une partie des opposants qui de facto, ne sont pas apparus comme “hors sol” dans la contestation comme cela peut parfois être le cas dans les manifestations contre l’immigration ?

Bernard Germain : La première et la plus importante conclusion que je tire du combat de Callac est que lorsqu’on se bat on peut gagner. Nous en avons fait la démonstration.

Indiscutablement, l’enracinement local des opposants a pesé lourd dans la balance. Cela a permis de discuter régulièrement avec la population et grandement aidé à la mobilisation car les gens comprenaient la justesse de notre combat puisqu’ils voyaient qu’ils allaient être directement touchés.

Maintenant, la présence de personnes « extérieures » lors des manifestations était normale. Le combat de Callac n’était pas seulement le combat de ce village, mais la mobilisation contre une politique nationale. Callac était le laboratoire de la mise œuvre de cette politique.

Breizh-info.com : Malgré l’abandon du projet Horizon, le projet Viltaïs semble lui mené tambour battant, y compris à Callac, puisque l’on y voit depuis quelques semaines plusieurs nouvelles (et nombreuses) familles. Envisagez vous de nouvelles mobilisations locales avec votre collectif ?

Bernard Germain : Callac a marqué un tournant dans la stratégie du gouvernement pour imposer sa « transition démographique ». Ils se sont rendus compte qu’un projet massif comme ils prévoyaient de le faire à Callac avec le projet Horizon, cela ne marche pas. Notamment parce qu’il reposait sur l’équipe municipale locale, qui s’est révélée incapable de résister à la pression et qui a craqué politiquement.

Le gouvernement en a tiré la leçon. Maintenant, ce sont les préfets qui pilotent avec des associations comme Viltaïs auxquelles ils sous-traitent la mise en œuvre moyennant d’abondantes subventions.

Second point important, il n’est plus question d’arrivées massives dans les villages mais de saupoudrage. Une famille par-ci, deux ou trois par là.

C’est beaucoup plus difficile de s’y opposer d’autant que tout est fait en secret et qu’on apprend l’arrivée des migrants à la dernière minute.

A Callac, deux familles sont arrivées ainsi dernièrement. L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a repris la mobilisation. Tracts et pétitions sont réapparus. L’affaire n’est nullement terminée.

Breizh-info.com : Quel est l’objectif de l’association « Callac Partout » ? Quelles actions avez vous mené ? A Saint-Brevin les Pins, une large partie de la population (beaucoup de résidences secondaires) que nous avons interrogée n’avait pas l’air hostile à l’accueil de migrants, comment l’expliquez-vous ?

Bernard Germain : La coordination « Partout Callac » a pour objectif d’aider tous ceux qui sont confrontés à l’arrivée de migrants dans leur localité et leur faire profiter de notre expérience pour mener le combat.

Nous avons d’ailleurs créé un site internet (www.partoutcallac.fr). Ceux qui le consulteront y trouveront des informations et des conseils pour mener l’action. Ils peuvent également nous contacter.

J’ajoute que j’ai également écrit un livre relatant le combat mené. Il s’appelle « Callac la mère des batailles » et peut être commandé chez www.synthese-editions.com.

Quant à St-Brévin, c’est comme partout. La plupart des gens au départ ne croit pas à la réalité des futurs problèmes que nous dénonçons. Et les discours incessants des médias immigrationnistes ne cessent de les intoxiquer. Donc, lorsqu’ils ont la preuve que ce que disions était vrai … il est souvent trop tard. Les immigrés que le préfet impose sont là. C’est pour cela qu’il faut mener le combat en amont, même si certaines personnes sont crédules et croient sur parole les médias.

Breizh-info.com : Ne pensez-vous pas que le fait de mettre trop en avant des organisations politiques (à Callac, on a beaucoup vu Reconquête) peut s’avérer contre productif, notamment dans des  communes rurales où la politique politicienne relève encore très souvent du domaine privé, à peine familial, et de celui des urnes ? (on a vu à Callac la fracture que pouvait engendrer le sujet, y compris dans les familles…)

Bernard Germain : J’étais le porte-parole du Comité d’Organisation, c’est à dire la structure qui regroupait l’Association « les amis de Callac et ses environs » et tous les partis politique et organisations qui menaient le combat.

Je n’ai jamais mis en avant que j’étais à Reconquête. Je parlais au nom du comité, donc de tout le monde. Il aurait été malhonnête de faire croire qu’il n’y avait que Reconquête. Étaient avec nous le Parti de la France, les Patriotes, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, La ligue du Midi, Les Frères dissidents, entre autres.

D’ailleurs, pour faire partie du Comité d’Organisation nous ne demandions qu’une chose : être d’accord le mot d’ordre « Non au projet Horizon, Callac doit rester Callac ».

Tous ceux qui étaient d’accord avec cela étaient les bienvenus. On est donc très loin d’une appropriation du combat par Reconquête, même s’il est indéniable que Reconquête a été le principal acteur de tout cela.

En ce qui concerne les fractures au sein de la population, c’est Macron qui les a imposées.

Callac vivait tranquille. Mais Callac s’est retrouvé au milieu d’une mêlée découlant d’une politique nationale.

Le débat était inévitable au sein de la population. Certains étaient pour. D’autres, beaucoup plus nombreux, étaient contre. Il était inévitable que des fractures apparaissent.

Nous avons défendu Callac et cela a déplu à certaines personnes. C’est la vie.

Breizh-info.com : Un mot, pour conclure, sur les plaintes qui visent plusieurs organisateurs des manifestations callacoises, dont vous même, de la part notamment du quotidien Le Poher, qui a subi des menaces ces derniers mois ?

Bernard Germain : Le Poher est un petit journal gauchiste qui tire à quelques milliers d’exemplaires. Ils se sont crus obligés d’écrire des articles sur notre combat afin de le discréditer, employant à cette occasion une argumentation odieuse contre nous, allant jusqu’à faire la comparaison avec le combat des résistants contre les nazis.

J’ai donc répondu dans un article à ces attaques insupportables.

Mais ces gens ne supportent pas qu’on réponde. Eux ont le droit de nous insulter et de nous traîner dans la boue, mais ils exigent en retour notre silence.

Comme ma réponse ne leur a pas plu, ils ont décidé de me traîner au tribunal, ainsi que Christine Tasin la responsable du site Résistance Républicaine. L’audience était prévue le 3 avril mais a été reportée.

De plus, ils ont mis en scène toute une campagne de victimisation en déclarant recevoir des menaces de mort et même une alerte à la bombe. Le tout généreusement relayé par les médias nationaux et par les élus de gauche de Bretagne et autres associations pro-immigration.

L’objectif était à l’évidence d’accréditer l’idée qu’il existerait des violences d’extrême droite et que la France serait menacée de l’instauration du fascisme.

Je m’étonne, avec les moyens dont elle dispose, que la police n’ait toujours pas identifié les coupables.

Ce qui est sûr c’est que nous ne sommes nullement mêlés à cela. D’ailleurs nous désapprouvons ces méthodes.

Notre combat est politique, à visage découvert et « à la loyale ».

Propos recueillis par YV 

20:49 Publié dans Bernard Germain, Callac 22, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 avril 2023

Les immigrationnistes en appellent à la répression

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Bernard Germain

Ces derniers jours, les prises de position se multiplient dénonçant l’opposition constatée dans plusieurs communes de France contre l’installation forcée de migrants, notamment au travers de projets de CADA. 

Le journal « Le Monde », a publié le 7 avril 2023 un article intitulé : « Face aux réactions hostiles à des projets d’accueil de migrants, élus et associations demandent plus de soutien de l’État ».

Du côté des politiques, un certain Damien Carême (Europe Écologie Les Verts), député européen et coprésident de l’Association nationale des villes et territoires accueillants, pleurniche reprochant aussi à L’État de ne pas soutenir les élus complices de cette politique de répartition des migrants sur tout le territoire, qui s’impose sans demander l’avis de la population avant de passer en force ces projets. Il déclare : « Il faut une parole pour ces élus locaux qui s’engagent au nom des besoins de l’État ».

Au motif que la plupart des projets contestés relèvent de marchés publics, dans le cadre du parc d’hébergement des demandeurs d’asile, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, qui regroupe plus de 870 associations de lutte contre l’exclusion, parmi lesquelles des opérateurs de CADA, s’élève contre les manifestations de refus de la population concernée par ces projets.

En clair, ce brave homme déclare benoîtement que puisque c’est légal, il n’y a pas à prendre en compte l’avis de la population et surtout ne pas accepter les actes d’opposition.

Et de déclarer : « L’État doit prendre la pleine mesure de la multiplication des actes d’intimidation ».

On notera à ce sujet que les « actes d’intimidation », invariablement invoqués, ne semblent pas si évidents que cela. Curieusement, à ma connaissance, aucune plainte déposée pour ces motifs n’a été suivie de poursuites judiciaires à ce jour. On en viendrait à se demander si ces plaintes ne sont tout simplement pas bidons et ont pour fonction de cacher le vrai problème : ces élus complices n’assument pas leur trahison de la population et tentent de se faire passer pour des victimes de la prétendue « extrême-droite » qui n’existe pas, mais qu’il est bien pratique d’invoquer pour cacher le refus massif de la population de cette politique que ces élus soutiennent.

Toujours est-il que comme dirait l’autre, selon ces bons élus, dans ces conditions un peu de « violence policière » ne ferait pas de mal.

Quand c’est l’extrême-gauche et les antifas qui sont visés, c’est insupportable, car leur violence est légitime puisqu’elle est pour une « bonne cause ». Mais lorsque ce sont de simples citoyens qui protestent et s’opposent à des projets immigrationnistes, là ce serait une bonne idée de les réprimer un peu. Et même beaucoup, histoire de faire revenir le silence dans les rangs.

Pour sa part, Chloé Freoa, la directrice de la fondation Merci, qui pilotait le projet Horizon de Callac, analyse : « On était novice mais on sait aujourd’hui qu’il y a des enjeux de communication énormes autour de ces projets ». A sa manière, cette dame confirme ce que nous écrivons.

Il n’y a pas eu de communication autour du projet Horizon, notamment vis à vis de la population, ce qui a provoqué sa colère et le rejet du projet Horizon qui a été abandonné en janvier 2023.

Ces braves gens pensaient qu’il suffisait de communiquer avec le conseil municipal et que les crétins d’habitants ne diraient rien.

Mauvaise pioche…

Cette dame oublie aussi une chose essentielle. Ce n’est pas simplement une affaire de « com ».

Ce que les français ne comprennent pas et surtout n’acceptent pas dans cette stratégie d’implantation de migrants, c’est qu’autant d’argent soit dépensé pour des gens venant de l’autre bout de la terre mais … qu’il n’y ait pas un euro pour les français qui souffrent ou qui sont dans le besoin.

Oui, c’est aussi simple que cela.

Donc, quand on essaye de culpabiliser les français en leur disant qu’ils ne sont pas assez solidaires, ils répondent à juste titre : « Commençons par être solidaires avec nos compatriotes qui en ont besoin. Quand il n’y aura plus de misère en France, il sera toujours temps de s’occuper de celle des autres ».

Tous les bien-pensants et autres immigrationnistes peuvent faire tous les plans com qu’ils veulent, même les mieux léchés, ils ne répondront jamais à cette remarque de bon sens de la population. Donc ils n’auront jamais l’assentiment de la population.

Au ministère de l’Intérieur, ils semblent avoir bien compris ce problème et ne veulent surtout pas que ces questions ne deviennent l’objet d’un débat national.

A juste titre, ils pensent que cela contribuerait à « mettre le feu » au pays, dans une période où ils n’ont surtout pas besoin de cela.

D’ailleurs, l’un des responsable de ce ministère a déclaré : « On n’a pas intérêt à en faire un sujet national ». Il y a au moins quelques personnes encore lucides…

Quant à nous, nous pensons exactement le contraire.

Il faut en faire un sujet national, car il faut que toute la population -notamment celle des campagnes- sache de quoi elle est menacée et comment réagir si un CADA doit s’installer chez elle.

C’est pour cela que nous avons créé la « Coordination Partout Callac » afin d’aider tous ceux qui sont confrontés à ces problèmes et leur faire profiter de notre expérience. Connectez-vous sur notre site cliquez ici. Faites-le connaître autour de vous !

Et si vous avez un problème de CADA chez vous, ou que vous connaissez des gens confrontés à ces questions, indiquez-leur notre existence afin qu’ils prennent contact avec nous. Nous les aiderons à mener le combat. 

Il ne faut surtout pas rester isolés, chacun dans son village. La résistance doit s’organiser partout à travers le pays. Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.

02:16 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |