lundi, 20 mars 2023
49-3 … à 9 voix près !
Bernard Germain
À 9 voix près la motion de censure de LIOT (groupe de députés « indépendants ») a été rejetée. Il fallait 287 voix aux opposants. Ils en ont obtenu 278. Le gouvernement n’est donc pas « censuré » et la Loi sur la retraite du gouvernement est automatiquement adoptée de ce fait.
Le gouvernement a donc gagné.
Mais c’est une victoire à la Pyrrhus. C’est à dire une défaite maquillée en victoire. Les masques sont tombés. Et à l’évidence une page s’est tournée à cette occasion. Le gouvernement Borne-Macron est plus que jamais isolé. 80 % de la population est contre la Loi retraite.
L’Assemblée nationale n’a pas pu discuter du texte en première lecture. Le sénat a vu ses débats amputés par un vote bloqué imposé par le gouvernement. Un accord a été trouvé en « commission mixte » mais ce n’était que de la poudre aux yeux.
En seconde lecture, l’assemblée nationale n’a pas pu discuter ni voter, car le gouvernement a engagé sa responsabilité et la situation est devenue : soit le gouvernement tombe soit son texte est adopté sans vote. On remarquera au passage que cette utilisation de l’article 49-3 est une perversion de l’esprit et de la lettre du texte de 1958.
En effet, cet article était initialement prévu pour contraindre la majorité à céder devant le pouvoir en cas de désaccord. Là nous assistons à une utilisation pour imposer à l’opposition de se taire face aux projets du pouvoir. C’est donc le contraire de ce qu’avait prévu les rédacteurs de la constitution de 1958 Quant aux responsables de ce sauvetage gouvernemental c’est limpide: ce sont les LR.
Aujourd’hui, 20 mars 2023, LR a signé son arrêt de mort.
Ils ont sauvé le gouvernement et Macron… ils ne s’en relèveront pas ! LR a chanté pendant des semaines et des mois la petite chanson… « nous sommes l’opposition à Macron, nous sommes la vraie droite ».
Déjà, suite à l’élection présidentielle, la moitié de LR a quitté ce parti pour rejoindre Macron. Eric Ciotti a essayé de maintenir LR en disant qu’il assumait d’être l’opposition à Macron. On voit aujourd’hui ce qu’il faut en penser.
Pour faire bonne mesure, LR annonce une réunion de son instance dirigeante demain matin afin de sanctionner ceux qui ont voté la motion de censure. Des têtes vont donc tomber. Il est désormais incontestable que LR n’a rien à voir avec une opposition à Macron.
Ce 23 mars, les masques sont tombés et LR en est mort, se montrant ouvertement comme le sauveur de Macron. Dans les prochaines élections, seuls les imbéciles mettront encore un bulletin de vote en pensant s’opposer à Macron. Reste que cette mort de LR est une bonne chose. À toute chose malheur est bon. Maintenant c’est indiscutable, il y a Macron et la gauche (en fait l’extrême-gauche) d’un côté.
De l’autre, il y a les « patriotes » et les « nationaux ». Le paysage politique s’éclaircit. Que va-t-il se passer maintenant ? Personne ne le sait.
Tous les opposants à la Loi sur les retraites de Macron sont fous furieux. Des manifestations spontanées ont déjà lieu. Peut-être assistons-nous au début d’un mouvement social de grande ampleur.
Souvenons-nous que Villepin en 2006 avait voulu le CPE. Une énorme mobilisation n’avait pas empêché la Loi d’être votée. Pourtant la Loi ne fut jamais appliquée alors qu’elle avait même été promulguée. Ce sera peut-être une répétition de ce scénario avec la Loi sur les retraites.
Autre possibilité, le conseil constitutionnel peut aussi retoquer le texte. Le conseil sera saisi demain, notamment par le RN mais aussi par d’autres partis. Toujours est-il que le Premier ministre est en grande difficulté, tout comme le Président. S’il en fallait une preuve, le texte sur l’immigration vient d’être renvoyé aux calendes grecques.
Reste que le Président Macron, son gouvernement et sa « majorité » ne tiennent plus qu’à un fil. La dissolution de l’assemblée nationale n’est peut-être plus loin. S’il dissout, le Président prendra le risque de se retrouver avec une majorité contre lui. Il n’aurait alors comme solution qu’une cohabitation ou … sa démission et son départ.
Les prochains jours seront décisifs.
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Eric Zemmour, élu député, aurait-il voté les 64 ans ?
Bernard Germain, administrateur à la Sécurité Sociale pendant près de 20 ans dont 10 ans comme Vice-Président d’une caisse primaire.
Éric Zemmour est en ce moment victime d’un harcèlement des journalistes qui ne cessent de lui demander s’il aurait voté ou pas la réforme sur les 64 ans.
Personnellement, je pense qu’il n’aurait pas voté cette Loi. Voilà pourquoi.
Pris en soi, il est évident que pour un salarié - spécialement s’il fait un travail pénible - deux ans de plus en fin de carrière, à l’âge où on est le plus fatigué, ce n’est pas rien. Et sur ce plan on comprend et on approuve aisément que la population, à 80 %, soit vent debout contre cette décision qu’elle trouve injuste et qui ne fait qu’aggraver les conditions de vie des seniors.
Notons toutefois que la question ne se résume pas au seul problème de l’âge de départ.
Loin s’en faut. Alors reprenons les différents éléments du problème.
Le premier argument invoqué pour justifier la réforme est le déficit du système (autour de 15 milliards)… dans quelques années.
Il faut savoir que le régime des retraites « coûte » 331,6 milliards d’€ par an (en 2020) selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Soit 40,8 % du total des prestations sociales versées en 2020, ce qui représente 14,4 % du PIB (Produit Intérieur Brut) c’est à dire l’ensemble des richesses produites en une année par le pays.
15 milliards par rapport à presque 332 milliards, ce n’est pas grand-chose. En tout cas, il n’y a pas de quoi ruiner ni tuer le système.
Par comparaison, on rappellera au lecteur que l’immigration coûte 40 milliards PAR AN (690€ par jour pour un migrant) en France et là personne ne tombe en syncope.
Ajoutons, selon Charles Prats (Cour des Comptes), que la fraude sociale représente entre 40 et 50 milliards PAR AN en France, avec notamment plus de 2 millions de fausses cartes vitales en circulation et de nombreuses retraites payées à des plus que centenaires habitant dans le Maghreb et en Afrique. Là non plus personne ne tombe en syncope.
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samedi, 18 mars 2023
Migrants : les bobos de la ville font la leçon aux habitants de Bélâbre
Valeurs Actuelles a réalisé un reportage à Bélâbre (36) où le maire à migrants, Laurent Laroche, veut à tout prix installer un CADA. Le plus remarquable, c’est qu’il n’y a nullement été obligé par le préfet, comme de nombreux autres maires en France. Non, non lui a tout devancé. Sans en parler à personne et surtout sans demander l’avis de sa population.
Ce maire est un enragé de l’immigration et n’a que faire de l’opposition des ses administrés.
C’est tout l’intérêt de ce reportage vidéo de Valeurs Actuelles qui est allé interroger les habitants et ce qu’ils disent mérite d’être connu.
Le gérant de l’épicerie : « On ne sait rien des personnes qui vont arriver et surtout ce qu’elles vont faire de leurs journées, car à Bélâbre, il n’y a rien à faire. On aurait dû me concerter car je suis juste à côté du Cada ». (…)
« À Argenton-sur-Creuse (où il y a un CADA), le président de l’union des commerçants en est venu à demander à la mairie des caméras de surveillance tellement ça se passe mal depuis plusieurs mois, alors qu’on essaye de nous faire croire le contraire. »
Une vieille dame : « Je suis venue il y a plusieurs années parce que c’était un petit village sympathique, il y a tout ce qu’il faut. Maintenant je déchante ».
Un habitant : « J’ai quitté Paris pour fuir tous ces migrants, il y a 20 ans, pour venir à Bélâbre vivre tranquillement. Mes enfants ont été agressés par ce genre de personnes. Donc j’ai quitté la capitale. »
Le journaliste lui dit, « vous avez fui l’immigration et aujourd’hui c’est l’immigration qui vous rattrape. »
L’habitant répond : « Oui, c’est vrai. Ce que je cherche à 66 ans, c’est la tranquillité ».
Plusieurs interviewés parlent de quitter Bélâbre si le CADA s’installe.
Mais déjà l’effet catastrophique de l’installation du CADA est visible. Il faut vendre sa maison pour partir et un habitant qui a déjà sa maison en vente dans une agence confirme qu’il a été obligé de baisser son prix.
Un autre habitant interviewé : « Le prix de ma maison avait été estimé il y a quelque temps. Aujourd’hui, l’estimation a été baissée de 20 000 € ».
Que du bonheur l’arrivée de ce CADA. C’est indiscutable.
La friche industrielle qui abritera le CADA a été vendue pour 40 000 € à Viltaïs. Il faudra dépenser 1,2 millions d‘€ pour y créer les appartements qui serviront à accueillir les 40 immigrés.
Il est question d’y construire des chambres de 9 m² pour recevoir les migrants.
À noter qu’il n’y a aucun terrain disponible avec cette future structure donc les migrants auront comme choix de rester dans leur chambre ou de « zoner » sur la place du village. Ce qui fait craindre des problèmes d’insécurité à la population, comme constaté dans moult endroits.
Au café du village, un consommateur est interviewé : « J’ai habité pendant 10 ans en région parisienne. J’habitais dans les cités. Moi j’ai fui ça. J’ai pas envie que ça vienne ici. »
Le maire de St-Gilles (commune proche) est interviewé à l’occasion de son passage à Bélâbre : « Je suis contre ce projet de CADA. Normalement si on installe un centre comme celui-là, c’est parce qu’il y a un bassin d’emploi, des transports, bref là où les gens peuvent faire quelque chose. Mais surtout pas dans le ruralité. Là il font ça pour désengorger Paris afin que ça se passe bien pendant les jeux olympiques.
J’ai essayé d’aborder ce problème de maire à maire. Mais ces gens sont repliés sur eux-mêmes, ne parlent qu’avec ceux qui partagent leur avis.
La démocratie, pour ces gens-là, c’est bien quand ça va dans leur sens ».
Samedi 11 mars, à 11H00, à Bélâbre c’est jour de manifestation contre le projet du maire.
Une contre-manifestation est également là.
Des gens à l’évidence très remontés, dont bien peu sont de Bélâbre. Tous sont des bien-pensants dénonçant la manifestation avec les habituels arguments : « la France doit être un terre d’accueil », « vous serez peut-être un jour des réfugiés », « il faut protéger les réfugiés », etc.
Accompagnés des habituelles insultes à l’adresse de la population qui refuse : « racistes, fascistes ».
Chose stupéfiante, le préfet n’a pas jugé utile de déployer les forces de gendarmerie pour séparer la manifestation et la contre-manifestation. Il n’y a que quelques gendarmes, même pas casqués.
Mais le préfet est pour le CADA, donc il le montre clairement en n’empêchant pas les contre-manifestants de venir au contact avec les manifestants.
Ce faisant il prend le risque d’affrontements entre les deux camps et n’assume pas l’une de ses missions qui est de garantir le maintien de l’ordre public et surtout de garantir aux manifestants leur droit de manifester sans être menacés.
Honte à ce préfet !
Lorsque la manifestation commence, les intervenants sont obligés de parler sans sonorisation.
Un contre-manifestant, visiblement attaché à la liberté d’expression, a coupé le fil électrique de la sono.
Et pour finir ce travail « anti-démocratique », les contre-manifestants, que le préfet a laissé venir presque au contact, font autant de bruit que possible pour empêcher ceux qui dénoncent le CADA de se faire entendre.
Peut-on montrer plus clairement ce qu’est la démocratie pour ces bien-pensants qui soutiennent l’arrivée de migrants ?
Si un jour ils arrivent au pouvoir, quiconque n’aura pas leurs idées sera impitoyablement soumis au silence, ainsi que les organes de presse jugés « incorrects ».
La démocratie ils ne la supportent que si les gens disent ce qu’ils veulent entendre sinon, ils imposent le silence y compris et surtout par la violence.
Ces pauvres gens ne se rendent même pas compte que les vrais fascistes… ce sont eux !
Ils n’ont aucun respect pour une opinion qui n’est pas la leur, et ne sont nullement gênés d’utiliser les méthodes des régimes autoritaires pour bâillonner leurs opposants.
Mais surtout, surtout… combien de ces gens bien-pensants vivent au contact de ce qu’ils souhaitent voir s’installer chez les autres. Combien habitent dans des cités HLM au contact d’une majorité d’immigrés ? Combien habitent à côté d’un CADA ? AUCUN.
Un conseiller régional, anti CADA est présent à la manifestation. Il est aussi interviewé et ses propos sont on ne peut plus clairs.
Il dénonce l’échec complet des politiques gouvernementales successives dont le résultat est la situation catastrophique dans laquelle se trouve aujourd’hui la ruralité, comme ils disent.
Il indique que pour s’en sortir, il faut réindustrialiser les campagnes avec de petites unités de production couplées à une véritable politique de la natalité aidant spécialement les habitants des campagnes.
À l’inverse, le gouvernement – soutenu par la politique de l’Europe – entend solutionner le problème en imposant l’arrivée de populations venues de l’autre bout de la terre, ce qui créera immanquablement de multiples problèmes. Tout en provoquant la colère des habitants.
Pour preuve de la réalité de ces politiques alternatives, le maire s’est vu proposer par un entrepreneur un projet d’implantation d’une activité qui créera 20 à 25 emplois à Bélâbre. En lieu et place du CADA.
La décision doit être prise lundi 20 mars, lors d’un conseil municipal extraordinaire.
Que choisira ce maire immigrationniste ?
Le projet de cet entrepreneur avec 20 à 25 emplois à la clé, ce qui redynamisera à l’évidence ce petit village, ou l’installation d’un CADA qui n’apportera que des problèmes ?
Triomphe du bon sens ou de l’idéologie ?
Réponse lundi 20 mars …
Bernard Germain
Porte-parole de la
Coordination Partout Callac cliquez ici
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mercredi, 15 mars 2023
Callac : Viltaïs traite comme du bétail dix Soudanais imposés à la population
Bernard Germain
Le 11 janvier 2023, suite à notre action contre le projet Horizon (notamment grâce à l’association « Les Amis de Callac et ses environs »), le maire annonçait l’abandon du projet Horizon qui prévoyait l’arrivée de 70 familles immigrées, dans ce bourg de 2200 habitants.
Dans notre communiqué annonçant notre victoire nous écrivions :
« Pour l’instant, Callac est sauvé. A moins que le Préfet ne s’entête et veuille imposer avec Viltaïs ce qui a été évité avec la fondation MERCI et son projet horizon.
Le plus sage serait que le Préfet en reste là et que Callac retrouve son calme.
Mais s’il entend continuer, nous reprendrons la mobilisation et il nous trouvera sur sa route.
L’avenir nous dira rapidement à quoi nous en tenir... »
Malheureusement nos paroles n’ont pas été entendues par le préfet, et l’association Viltaïs continue à agir à Callac pour l’arrivée de migrants avec la complicité de la municipalité.
Certes, ces arrivées sont très réduites mais elles méritent toute notre attention.
En début de semaine, une famille soudanaise est arrivée à Callac, amenée par Viltaïs.
Cette famille est composée d’un couple et de 8 enfants, soit 10 personnes.
La femme est enceinte et le mari semble être malade. Ils ne parlent pas français.
Ce qui est incroyable, c’est les conditions d’installation que Viltaïs a réservées à cette famille.
Des matelas à même le sol du logement, un peu d’argent … et c’est tout.
Danielle Le Men, présidente de l’association des Amis de Callac dénonce :
« Viltaïs propose l’asile à des migrants mais n’est même pas capable d’accueillir ces réfugiés dans des conditions décentes. Actuellement, ils sont traités comme du bétail. »
Faut-il rappeler que Viltaïs a touché 2,5 millions d’€ au titre de 2022, payés en 2023, pour financer son action à Callac ?
Cet argent reçu par Viltaïs, ce sont des subventions, c’est à dire nos impôts !
Ils prétendent faire de l’humanitaire, mais en fait se comportent comme des négriers.
On croit rêver, 2,5 millions de subvention pour fournir quelques matelas à même le sol et un peu d’argent liquide. Ces gens n’ont aucune honte.
Je rappelle mon article, publié par Riposte Laïque « Le « business » pourri des associations à migrants » publié le 16 février 2023, dans lequel je dénonçais notamment l’association Viltaïs qui d’ailleurs a été épinglée par un rapport de la Cour des Comptes de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa gestion très « limite ».
Callac vient de nous en fournir un nouvel exemple consternant.
La situation est tellement honteuse et scandaleuse que la mairie de Callac, très gênée par cette situation alors qu’elle soutient l’arrivée de migrants avec Viltaïs, a mandaté le Secours Populaire local pour intervenir et venir en aide à cette famille totalement abandonnée.
Mais là aussi, le Secours Populaire ne peut vivre et agir que grâce aux subventions perçues, notamment dans le cas d’espèce grâce aux versements de la Mairie de Callac donc avec l’argent des callacois.
Au final, aucun callacois n’a demandé de faire venir ces pauvres gens. Ils ont même clairement dit qu’ils étaient contre cette immigration qui leur est imposée.
Pourtant les pro-immigration, notamment parmi les élus municipaux, continuent d’en faire venir via Viltaïs, malgré le rejet du projet Horizon.
Que va-t-il falloir pour que les élus du conseil municipal de Callac comprennent que les callacois ne veulent pas de ces arrivées d’immigrés ? Que ce soit avec Horizon ou Viltaïs.
Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que Viltaïs est une association qui « fait de l’argent » grâce aux migrants mais les traite comme du bétail
Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que depuis les passeurs jusqu’aux associations de terrain telle Viltaïs, il y a toute une chaîne d’intervenants pour lesquels l’immigration n’est qu’un business comme les autres dont l’objet est simplement de gagner de l’argent sur la misère du monde, tout en prétendant défendre de grands principes généreux ?
Dans le réel, on est très loin des sentiments « généreux » invoqués pour nous faire la morale et culpabiliser et dénoncer comme « fasciste » ou « extrême-droite » quiconque ose s’élever contre cette politique immigrationniste qui va indiscutablement aboutir à détruire la France, sa culture et son identité en la noyant dans une population de plus en plus nombreuse mais qui malheureusement n’a, pour l’essentiel, nullement l’intention de s’assimiler et de vivre en bonne intelligence avec les populations locales.
Ce triste exemple, qui vient de se produire à Callac, ne fait que nous rappeler que tous les bien pensants sont totalement prisonniers de leur idéologie immigrationniste et n’arrivent même pas à tirer les leçons des évènements qu’ils ont pourtant sous les yeux.
A l’inverse, ces évènements sont pour nous la confirmation de la justesse de notre combat.
23:26 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 08 mars 2023
Le Président tunisien… ma nouvelle idole, comme le ministre de l’Intérieur anglais.
Le président tunisien Kais Saied
Bernard Germain
Les bien-pensants et autres immigrationnistes sont fous-furieux !
Vous vous rendez compte… face à l’invasion migratoire venue d’Afrique sub-saharienne qui frappe la Tunisie, le Président tunisien Kais Saied a osé déclarer : « Ils veulent changer la composition de la démographie tunisienne. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité tunisienne. »
Changez juste un mot dans cette déclaration et elle devient : « Ils veulent changer la composition de la démographie française. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité française ».
Vous, je ne sais pas, mais moi je trouve qu’il a plein de bon sens ce Président Tunisien.
D’ailleurs, cela me rappelle une blague de Coluche (qui serait certainement en taule s’il disait cela aujourd’hui) :
« Vous savez, quand on dit :
- « Le Mali aux Maliens »… tout le monde dit BRAVO !
- « Le Sénégal aux Sénégalais »… tout le monde dit BRAVO !
- « La Tunisie aux Tunisiens »… tout le monde dit BRAVO !
- « La France aux Français »… tout le monde dit FACHOS ! »
Mais le Président tunisien ne s’arrête pas en si bon chemin. Il ajoute :
Cette immigration clandestine relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie», afin de la transformer en un pays « africain seulement ».
Là encore, changez deux mots et tout devient clair :
Cette immigration clandestine relève d’une « entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la France », afin de la transformer en un pays « européen seulement ». Limpide… non ?
Et il complète son propos en déclarant : « Ceux qui sont à l’origine de ce phénomène font de la traite d’êtres humains tout en prétendant défendre les droits humains ».
Quant aux pays africains d’où sont originaires ces migrants, le Président tunisien affirme : « ils reçoivent de l'argent pour implanter des Africains en Tunisie ». En l’occurrence, c’est l’ONU.
Nous c’est l’Europe, qui verse des millions d’Euros aux États et à toutes les organisations pro-immigrations pour amener des millions de migrants en Europe « tout en prétendant défendre les droits humains ».
On comprend aisément la fureur des immigrationnistes face à ces déclarations du Président tunisien, qui défend son pays, ses frontières, sa culture, et son identité.
Mais surtout ces déclarations du Président tunisien flanque par terre tout le discours culpabilisant dispensé par les bien-pensants qui ne cessent de dire aux français contre l’immigration qu’ils sont des salauds. Et les mêmes de dire « il faut les accueillir, il fuient la guerre », « il faut être ouverts et solidaires », « Ce sont des chances pour la France »… et autres balivernes.
Avec ses déclarations, le Président tunisien a jeté un sacré pavé dans la mare !
Mais le plus fort est à venir.
Ce Président ne se contente pas de faire des déclarations fort pertinentes. Il joint les actes à ses paroles. Et lui n’y va pas par quatre chemins… il met en œuvre la remigration. Oui, vous avez bien lu… la REMIGRATION !
En France et en Europe, on nous explique en permanence qu’il est impossible de renvoyer tous ces migrants qui s’imposent sur nos territoires.
Darmanin, par exemple, nous dit qu’il est impossible d’obtenir les fameux « laissez-passer consulaires » et que donc ont ne peut pas les expulser. C’est curieux, mais le Président tunisien n’a aucun problème de ce type. Il annonce qu’il ne veut pas de tous ces migrants et… oh miracle, les États dont ils sont issus rapatrient leurs ressortissants.
Suite aux propos très fermes du président tunisien, les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso rapatrient leurs ressortissants. Donc, c’est possible… alors quand est-ce qu’on fait la même chose M. Darmanin ?
Quant au porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli, il prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés.
Moi je les trouve épatants ces tunisiens. Ce Président tunisien… c’est ma nouvelle idole !
Mme Suella Braverman, ministre de l'Intérieur britanique
En Europe, j’ai aussi une idole.
Pour la trouver, il suffit de traverser la Manche. Oui, elle est en Angleterre et n’est autre que le ministre de l’Intérieur anglais. Mme Suella Braverman qui a déclaré : « Il est injuste que des gens qui ont traversé toute une série de pays sûrs, puis sont arrivés illégalement au Royaume-Uni, abusent de notre système d’asile. Cela doit cesser ».
Elle a donc présenté mardi 7 mars, un projet de Loi au parlement allant dans ce sens.
L’objectif du gouvernement britannique est d’empêcher les migrants qui ont traversé la Manche illégalement d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. Ils ne pourront donc plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche. Quant à leur expulsion, elle se fera vers un pays « sûr » ou vers le Rwanda, avec lequel la Grande-Bretagne a déjà passé une convention pour accueillir les expulsés
Dites-moi… on ne pourrait pas faire la même chose en France ?
Voter une Loi interdisant de déposer un dossier de « réfugié » si on est entré illégalement. Et se voir expulsé ipso facto vers son pays d’origine ou un pays « sûr ».
Mais là, si on veut prendre ces mesures, on tombe sur un problème sérieux… notre appartenance à l’Europe qui impose à ses membres des textes les empêchant de prendre ce type de décisions, ce qui leur retire de facto toute indépendance nationale.
L’Angleterre peut voter ce type de Loi, car elle a voulu retrouver son indépendance nationale. Pour ce faire elle est sortie de l’Europe en décidant le Brexit. Et depuis, elle décide de son propre destin et vote les Lois qu’elle décide.
Si on ne peut sortir du carcan des textes européens qui nous imposent notamment de subir cette invasion migratoire il faudra, comme les anglais, sortir de l’Europe.
Et qu’on ne me dise pas que ce serait la faillite et la ruine pour la France si nous sortions de l’Europe. On a entendu pendant des mois et des années cette petite musique s’agissant de l’Angleterre.
Aux dernières nouvelles, ce pays se porte bien et la City est même restée la principale place financière en Europe.
Alors, à d’autres cet argument… !
Reste que, pour le moment, j’ai trouvé deux nouvelles idoles : le Président tunisien et le ministre de l’intérieur anglais.
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vendredi, 24 février 2023
A la veille de la manif de Saint-Brévin : CRÉATION DE LA COORDINATION NATIONALE "PARTOUT CALLAC"
Bernard Germain
Porte-parole de la Coordination "Partout Callac"
La Coordination "Partout Callac" est là pour vous aider ... !
Voilà ce qu'a déclaré Macron devant les préfets réunis à l'Elysée le 15 septembre 2022.
La "transition démographique", c'est à dire l'arrivée massise d'immigrés dans les campagnes doit faire l'objet d'une Loi discutée et votée au parlement au printemps 2023. Sans attendre cette Loi, Macron a donné ordre à ses préfets de commencer à placer des migrants dans les campagnes en s'appuyant sur des associattions gavées de suventions (...nos impôts) pour "accompagner" les migrants. Ce projet n'était nullement dans le programme du candidat Macron. Comment peut-il décider d'un pareil projet qui aura autant de conséquences pour les français sans les consulter par voix de référendum ?
Cela montre tout le mépris qu'il a pour le peuple français qui va devoir subir les conséquences de tout cela mais n'a pas son mot à dire. Cela souligne aussi le peu de cas que Macron fait des élus de la république, qui sont ouvertement contournés avant même qu'ils n'aient pu discuter et voter la Loi.
Des milliers de maire vont être confrontés à l'arrivée de ces migrants dans leurs communes. Certains seront collaborationnistes. D'autres seront opposés. Reste que de nombreux problèmes vont se poser partout en France.
Par exemple, comment vont faire les enseignants pour faire la classe avec 10, 15 ou 20 gamins ne parlant pas français ? Ils devoir choisir entre s'occuper de ces enfants et délaisser les autres ou s'occuper des enfants "français" et laisser dans leur coin les enfants des migrants. Mais ce qui est sûr, c'est que le niveau scolaire va s'effondrer. Autre exemple, comment vont réagir les français de tous ces petits villages face aux revendications communautaristes qui ne manqueront pas de s'exprimer rapidement ? Demandes de magasins Hallal, de mosquées, d'écoles coraniques, ou encore port du voile dans les rues... etc. Autant de problèmes qui pourraient se révélés explosifs.
Et puis, il y a le problème de l'insécurité. Tous les immigrés ne sont pas des délinquants, mais il s'en trouve parmi eux. Le ministre de l'intérieur lui-même a confirmé qu'il existait un lien entre délinquance et immigration. A Beyssenac (957 habitants) ou doit être installé un CADA (Centre d'Accueil pour Demandeur d'Asile) une habitante, exprimant le sentiment général a déclaré : "on ne va plus pouvoir laisser la porte ouverte".
Sans parler de ce qui scandalise le plus les Français... pourquoi y a-t-il autant d'argent pour les immigrés alors qu'il n'y a pas un sous pour aider les français en difficulté. Rappelons qu'il y a 10 millions de français pauvres. Le bon sens c'est de dire : il faut d'abord aider les français. Quand on aura supprimé la misère en France il sera toujours temps d'aider le reste du monde. Sauf qu'aujourd'hui c'est le contraire que fait le gouvernement. Il y a des milliards pour les immigrés, quant aux Français... ils peuvent crever, cela lui est égal.
De nombreux villages français sont aujourd'hui confrontés à tous ces problèmes avec l'arrivée prochaine de migrants. Nombreux sont les habitants à refuser de se voir imposer cela sans réagir. Ils souhaitent s'opposer à ces projets immigrationnistes mais souvent ne savent pas trop comment s'y prendre.
C'est pour cela que nous avons pris l'initiative de créer la Coordination "Partout Callac" et ce site afin de les aider à s'organiser et leur faire profiter de notre expérience acquise à l'occasion de notre combat victorieux à Callac.
Vous souhaitez de l'aide et un soutien pour le combat contre l'arrivée de migrants dans votre village ? ...alors ne restez pas seuls dans votre coin, envoyez-nous un mail (rubrique "Contact" du menu). Nous vous répondrons rapidement et vous aiderons à vous organiser et à mener le combat. Vous pouvez compter sur nous.
Contre l'invasion de nos campagnes on s'organise... contactez-nous !
Consultez le site Partout Callac cliquez ici
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jeudi, 23 février 2023
L’Huma se surpasse… et atteint des sommets
Bernard Germain
Je vous disais hier que selon les bien-pensants, la France serait au bord du "fascisme". Dans son édition du mardi 21 février, l’Huma - journal du Parti communiste français - confirme que tous ceux qui affirment cela sont simplement tombés sur la tête.
Émilien URBACH, sur ce plan, est un champion toutes catégories. Il est l’auteur d’un article ignoble, dans l’Huma, qui le déshonore définitivement dans la catégorie « journaliste ». Il a peut-être une carte de presse, mais la manière dont il fait son travail est juste hallucinante. Vous lui accordez près d’une heure d’entretien (comme ce fut mon cas il y a deux jours), et, au bout du compte, à la lecture de l’article… il ne reste qu’une seule phrase de tout ce que vous avez dit. Au milieu d’une marée d’insanités. L’éthique du journaliste qui informe honnêtement son lecteur, il ne doit même pas avoir entendu parler du concept. Pas plus qu’il ne doit savoir ce que cela veut dire de rapporter « honnêtement » les propos de quelqu’un qu’il a jugé bon d’interviewer.
Lui, c’est plutôt le journaliste du type Pravda, bien dans la « ligne du parti » et bas du front. On aurait juste envie de lui dire « Oh Émilien, arrête ton char on n’est pas à Prague ! » tellement son article est grotesque et caricatural.
Par exemple, le gars ne redoute pas d’inclure dans son article à propos de Callac : « Mi-janvier 2023, la municipalité de Callac (Côtes-d’Armor) annonce, après un « tsunami de violences », selon les termes de Laure-Line Inderbitzin, maire adjointe PCF, l’abandon de son projet Horizon ».
Ce garçon doit être mal renseigné. Les seules violences vues et constatées par tout le monde, ce sont celles des "antifas" qui ont agressé nos manifestations des 17 septembre et 5 novembre. De même qu’ils ont agressé la présidente de l’association des Amis de Callac et ses environs le 28 janvier, à l’occasion des vœux du maire. Ce qui fut également l’occasion d’un troisième affrontement entre les "antifas" et les gendarmes sur la place de la mairie. Un gendarme fut blessé et une voiture de gendarmerie taguée.
Mais cela … l’Huma s’est bien gardée de le faire savoir à ses lecteurs.
Quant à l’imaginaire « tsunami de violences » ce n’est nullement cela qui a fait plier le conseil municipal. C’est la population de Callac qui a obligé le maire à renoncer à son projet.
Tout simplement parce que la population a bien compris et surtout refusé que des millions soient disponibles pour des gens qui viennent de l’autre bout de la terre mais que pas un sous ne soit disponible pour les habitants pauvres de Callac.
De même les habitants ont refusé, alors qu’il y a 18 % de chômage dans le village, que 75 emplois soient, parait-il, disponibles pour les migrants, mais pas un seul pour les autochtones.
Alors, oui, les habitants étaient en colère contre le maire et le conseil municipal. Et ils le lui ont fait savoir à plusieurs reprises. Et, lorsque la pression est devenue trop forte le maire et son conseil ont jeté l’éponge. C’est cela la vérité. Je l’avais indiquée à ce « journaliste » au cours de notre entretien, mais cela ne figure nullement dans son article.
A propos des mails de menace de mort au journal Le Poher, notre "journaliste" rapporte dans son article : « "Le mail de menace de mort m’est parvenu le lendemain du jour où Bernard Germain a reçu son assignation en justice à la suite de la plainte déposée après la parution de cet article", confie Erwan Chartier. » (Erwan Chartier étant le directeur du Poher).
Visiblement cela ne lui pose aucun problème de rapporter des paroles qui laissent clairement entendre que pour me venger de l’assignation au tribunal, j’aurais envoyé des menaces de mort.
Là on voit clairement que ce journaliste a de l’éthique. Et qu’il vérifie ses infos avant de publier. Parce que c’est grave de colporter de pareilles accusations.
Je l’entends déjà me répondre : « mais ce n’est pas moi qui le dit c’est Erwan Chartier ».
Ben justement, ce n’est pas parce que cet individu aurait dit cela que c’est vrai. Quelle preuve a-t-il fournie confirmant ses propos ? … Aucune.
Puis, vient un passage sur Saint-Brévin où doit s’installer un CADA dans une école maternelle et primaire. Notre journaliste rapporte dans son article : « Leurs méthodes font vraiment peur, alerte Perrine Jacotin, militante de la section locale du PCF. Ils parlent de viols sur les enfants. Ils multiplient les menaces sur leurs sites Internet. Ils s’en prennent aux élus, à la présidente de l’association des parents d’élèves (APE), à la directrice de l’école... »
Vous avez remarqué, lui ne dit jamais rien. Il rapporte seulement les paroles des autres. Un grand classique … comme cela il se protège d’éventuelles poursuites. Courageux le gars, et consciencieux pour rapporter les accusations gratuites des autres.
À Saint-Brévin, c’est tout simple. Les parents disent : « construire un CADA dans l’école c’est une folie. Nous demandons que soit pris en compte le principe de précaution. Si demain, il y a un problème aucun de ceux qui veulent installer ce CADA ne plaidera coupable. Alors on ne veut pas attendre l’accident pour prouver à tous ces immigrationnistes que c’était une folie de mettre un CADA dans l’école. Donc pas de CADA à Saint-Brévin. » Ces paroles sont le bon sens même.
Mais comme d’habitude, au lieu de parler clairement de ce problème, c’est la diabolisation de ceux qui refusent le projet qui est pratiquée. Sans s’intéresser au problème posé. Et l’Huma se prête bien volontiers à cette opération de désinformation de ses lecteurs (peu nombreux d’ailleurs), et se plaît à salir les parents qui s’opposent au projet.
C’est toujours comme cela avec les bien-pensants. Si vous n’avez pas une position conforme au « politiquement correct », vous êtes un "fasciste" ou un "membre de l’extrême-droite". C’est ainsi que je suis qualifié dans l’article, directement par ce « journaliste » cette fois, de « prédicateur xénophobe ».
Cet article contient aussi une somme incroyable d’insinuations pourries et de propos déformés. Mais ce serait trop long de tout relever.
J’allais oublier… une dernière chose qui n’est pas non plus dans l’article de l’Huma.
J’ai déclaré à ce « journaliste » que j’étais d’accord avec Georges Marchais (Secrétaire du PCF en 1980) lorsqu’il déclara au cours de la campagne présidentielle 1980-1981 : « Il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ».
Là, il y eu un blanc au téléphone … un long blanc !
Le pauvre Georges Marchais doit se retourner dans sa tombe de voir ce qu’est devenu aujourd’hui son parti, complètement soumis à l’immigrationnisme.
Quant à notre « journaliste » il mérite indiscutablement le glorieux titre de « bon stalinien ». Et s’il avait vécu à l’époque de Joseph, il aurait sans aucun doute été décoré de la médaille d’or du journalisme par la Pravda.
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mercredi, 22 février 2023
Le Poher : alerte à la bombe, menaces de mort, à qui profite le crime ?
Bernard Germain
Voyez-vous, la France serait au bord du fascisme. Sandrine Rousseau ne cesse de le répéter, tout comme la France Insoumise, ainsi que la presse dans son immense majorité et tous les bien-pensants.
Diable, on tremble. Brrrr…
Et chaque événement est utilisé pour essayer d’accréditer cette thèse totalement délirante.
On en a vu un nouvel exemple avec le feuilleton du journal « Le Poher », petit journal gauchiste (6 000 ex) dont le siège se trouve proche de Callac.
Tout a commencé le 5 novembre 2022. Ce jour-là, le rédacteur en chef était, paraît-il, sur place pour couvrir la manifestation que nous organisions devant la mairie contre le projet « Horizon » qui entendait faire venir plus de 500 migrants dans ce village de 2 200 habitants.
Ce Monsieur prétend avoir été « pris à partie » par des manifestants. Vraiment ? A-t-il été blessé ? A-t-il eu des jours d’ITT ? A-t-il porté plainte ? Nullement.
Pourtant la presse bien-pensante va se faire l’écho de ses affirmations, auxquelles il ne peut pourtant apporter aucune preuve. Et bien sûr, les coupables sont « l’extrême droite » et la « fachosphère ».
Que ce soit vrai ou pas importe peu à ces « journalistes ». Ce qui compte c’est de pouvoir remettre une pièce et faire rejouer le refrain qui prouverait qu’on est en route pour le fascisme. De Libération, Le Monde, Ouest-France, le Télégramme de Brest au journal Le Poher, ils sont tous comme cela.
On me permettra à cette occasion de souligner que la profession de journaliste a bien changé. Il fut un temps – révolu – où l’on apprenait dans les écoles de journalisme qu’une des premières choses à faire avant de publier un article était de vérifier les faits, de les recouper avec d’autres informations, afin de s’assurer de leur véracité. En ce temps-là aussi, on apprenait aux journalistes que leur rôle était d’informer le lecteur aussi objectivement que possible et que c’était à ce dernier de se faire une opinion sur la base des faits rapportés par les journalistes.
Mais cette période est finie depuis longtemps.
Aujourd’hui, un journaliste – du moins leur quasi-totalité – se contente de rapporter des faits, sans rien vérifier et surtout en bâtissant un article dans lequel on voit très clairement ses opinions.
Ce faisant, il n’informe plus le lecteur. Il l’embrigade et l’intoxique comme un propagandiste. À croire que le journalisme que pratiquait La Pravda est devenu le modèle à suivre. C’est totalement consternant, mais c’est la triste réalité.
Il y a quelques jours, le Journal Le Poher – du moins son rédacteur en chef – s’est plaint de recevoir des menaces de mort.
Immédiatement, en voiture Simone, c’est reparti pour un tour.
Et toute la presse bien-pensante de se faire l’écho de ces « menaces » et de hurler son soutien à ce journal ainsi qu’à la liberté de la presse. Sans oublier les partis de gauche, associations et syndicats.
Mais personne ne s’est interrogé sur la réalité des faits.
Peut-être qu’un taré se livre à ces menaces contre le rédacteur en chef et ses collaborateurs. Mais peut-être aussi que ces menaces n’existent pas. Ce ne serait pas la première fois qu’on découvrirait que quelqu’un essaye de se faire passer pour une personne menacée, alors que ce n’est pas la réalité. En tout cas, ce qui est étonnant, c’est que les mails et coups de téléphone menaçants, à ce jour, n’ont toujours pas été identifiés.
Pourtant, que je sache, si la DGSI ou la gendarmerie veulent savoir si ces messages sont réels ou pas, ils ont des outils très puissants qui devraient leur permettre d’identifier les auteurs.
Or, rien n’avance sur ce plan. Étonnant, non ?
Cela n’empêche pas la presse bien-pensante d’inonder les lecteurs d’articles dans lesquels on accuse ouvertement ou on insinue perfidement que « l’extrême droite » et la « fachosphère » sont derrière tout cela.
Et puis hier, lundi, rebelote.
Cette fois, Le Poher se dit victime d’une alerte à la bombe. Franchement, cela commence à faire beaucoup pour un petit journal comme Le Poher, qui visiblement serait une « cible » majeure. Majeure pour qui ? Majeure pour quoi ? Toujours est-il que le journal aurait reçu un coup de téléphone annonçant « Vous allez crever, une bombe a été placée dans les bureaux de la rédaction. Vous allez sauter ». Les gendarmes alertés arrivent ainsi que les services de déminage. Rien. Nada.
Par contre la presse nationale et régionale se fait largement l’écho de cette info qui est peut-être bidon.
Cela a au moins l’avantage de confirmer qu’on vit une époque terrible et que la France est vraiment « au seuil du fascisme ». Et puis ça permet d’en remettre une couche contre « l’extrême droite » et la « fachosphère ».
Donc ils peuvent joindre l’utile à l’agréable. Quel bonheur !
Au final, on assisterait donc à une montée en puissance des périls qui guettent ce petit journal. D’abord, une prétendue menace contre le rédacteur en chef. Puis des menaces de mort, par mail et coups de téléphone, sans que la police ne trouve l’auteur. Maintenant une alerte à la bombe.
C’est quoi la prochaine étape ? Parce qu’après les bombes, on a du mal à voir une menace supérieure.
Au passage on rappellera ce qu’un policier avait dit en 1983 à Roland Hélie (directeur de Synthèse nationale) qui venait de subir un attentat à la bombe ayant ravagé trois étages du bâtiment (heureusement il n’y était pas) dans lequel il travaillait : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats »
Par contre ce qui est prouvé et indéniable, c’est qu’à chaque fois que Le Poher relate des menaces et agressions – réelles ou pas – il y a un acharnement de la presse bien-pensante contre les patriotes qui défendent leurs pays. C’est un élément majeur du dossier.
Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».
Indiscutablement moult journalistes ont fait de cette maxime leur credo professionnel.
Reste une question : au final, à qui profite le crime ?
On pourrait poser la question autrement : le journal Le Poher a-t-il quelque chose à gagner à se victimiser de la sorte ?
Voyez-vous, je pense que oui.
En effet, le 3 mars prochain aura lieu à Lorient au tribunal judiciaire l’ouverture du procès que m’intente le journal Le Poher, pour « injures publiques » et « diffamation ».
Mon assignation devant ce tribunal résulte d’un article que j’ai écrit en réponse à celui de Le Poher paru durant la bataille de Callac. L’article du Poher était particulièrement ignoble puisqu’il nous accusait quasiment ouvertement d’être des nazis.
Quant au mien, il était resté tout à fait dans le cadre de ce que l’on appelle une polémique politique classique, sans insulte ni noms d’oiseaux.
Pour preuve de la mauvaise foi et de l’exagération du journal Le Poher, je ne citerai qu’un exemple.
J’ai écrit dans l’article qui me vaut d’être traduit en justice : « Toute personne normalement constituée et qui n’a pas une cervelle de poisson rouge comprend que ça va poser de sérieux problèmes, vu les différences de culture et de conception de la vie en société, d’implanter plus de 500 personnes (25 % de le population) dans cette bourgade. »
Le paragraphe d’après j’écrivais : « Mais pas ce journaliste. Lui n’y voit que du bien et soutient totalement le projet du maire ».
Et le journal Le Poher de déclarer que c’est de la diffamation et une injure publique d’écrire cela. Puisque cela tendrait à affirmer que ce journaliste a « une cervelle de poisson rouge ».
Vous venez peut-être de l’apprendre, mais avoir « une cervelle de poisson rouge » est une injure inacceptable qui peut, comme on le voit, vous amener devant un tribunal. En tout cas pour Le Poher.
Par contre, écrire que nous sommes quasiment des nazis, c’est tout à fait correct et ce n’est ni de la diffamation, ni une injure publique.
Je laisse chaque lecteur apprécier.
Pour reprendre ce que je disais, je pense que le journal Le Poher a tout intérêt, en ce moment, à se victimiser et à laisser croire qu’il est la cible de l’extrême droite. Et ce, à de multiples occasions. Par écrit et par des menaces physiques d’autre part. Sans aucune preuve de ses accusations. Mais l’important c’est de l’affirmer. Il se trouvera bien quelques faibles d’esprit ou des complices pour propager la chose, ou y croire.
Ce journal pense sans doute que cela pourra lui donner un petit coup de pouce devant la cour de se présenter devant les juges avec cette réputation de pauvre « victime » et nous avec celle d’horribles fachos, dangereux par ailleurs, et prêts à utiliser les pires violences pour arriver à nos fins.
Ce sera en tout cas l’occasion pour la presse bien-pensante de remettre une pièce pour nous rejouer l’air bien connu de la France « au seuil du fascisme » et m’accabler, moi l’horrible facho qui menace le pays et les pauvres victimes du journal Le Poher qui résistent comme elles peuvent.
En réalité, et ils le savent tous, nous condamnons totalement les menaces, intimidations et actions violentes.
Nous combattons à visage découvert et « à la loyale ».
Mais surtout, ce que tous ne supportent pas, c’est d’avoir perdu à Callac !
Quant à nous, nous avons gagné parce que la population était largement avec nous et contre le projet Horizon.
Avoir été compris et soutenus par les habitants. C’est cela qu’ils ne nous pardonneront jamais.
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mardi, 21 février 2023
David Lisnard abandonne les maires … les masques tombent !
Bernard Germain
Monsieur David Lisnard est le Président de l’Association des maires de France. C’est un poste important puisqu’il est supposé représenter une bonne partie des maires de notre pays.
Le 15 Septembre 2022, Macron réunissait à l’Élysée tous les préfets, afin de leur exposer la « transition démographique » qu’il entendait mettre en œuvre à travers tout le pays, c’est à dire l’invasion de nos campagnes par des migrants.
Le 26 Septembre 2022, j’ai écrit à ce Monsieur Lisnard en ma qualité de porte-parole du Comité d’organisation contre le projet Horizon de Callac, projet qui visait à faire venir dans cette localité plus de 500 personnes d’origine africaine, soit 25 % de la population actuelle. A l’époque, Callac était le « laboratoire national » de cette vaste opération visant a radicalement transformer notre population nationale.
Voici cette lettre, envoyée à M. Lisnard en septembre 2022 :
« Monsieur le Président,
Je souhaite par la présente vous solliciter s’agissant de l’affaire de Callac, dont le projet « Horizon » de la fondation « Merci » entend faire venir dans cette petite commune rurale de 2200 habitants, 70 familles immigrées, d’origine africaine.
Le journal Ouest-France dans son édition du 14 septembre nous apprenait qu’il y a déjà 5 familles arrivées représentant 38 personnes. Donc 7,6 personnes par famille.
S’il devait en arriver 70, sur cette base chiffrée, cela représenterait 532 personnes soit approximativement 25 % de la population actuelle de cette bourgade.
Vous comprendrez que cette information suscite de multiples inquiétudes. D’autant que ce que l’on constate dans les principales villes de notre pays, largement touchées par une immigration massive, n’est pas pour nous rassurer.
De plus, des mesures très favorables, aujourd’hui refusées aux habitants pauvres et aux jeunes de Callac (18 % de chômage), sont annoncées en faveur de ces nouveaux arrivants. Ce qui ne manque pas de créer un légitime sentiment d’injustice auprès de tous les autochtones « oubliés » de la République.
En conséquence, à l’initiative de Reconquête, un Comité d’Organisation contre le projet Horizon s’est constitué et regroupe le Comité Local de Callac, Reconquête, Résistance Républicaine et Riposte Laïque.
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mercredi, 15 février 2023
Pourquoi « Vaincre ou mourir » rend fous les bien-pensants !
Bernard Germain
« Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».
Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+... du groupe Bolloré ajouteront certains.
Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.
Le Monde, Libération (dont la une du 24 janvier est en photo en haut de cet article), l’Obs, France Inter, France Infos, Télérama… bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.
Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.
A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.
Par comparaison, une série de films bien-pensants à l’affiche ces derniers temps connaissent des bides retentissants. Ainsi :
- « Les Rascals », de Jimmy Laporal-Tresor. En 1984, alors que « l’extrême droite gagne du terrain en France », une sympathique bande de « jeunes de banlieue » est harcelée par une méchante bande de skinheads. Deux semaines d’exploitation : 31 376 entrées. Magnifique…
- « Les engagés », d’Émilie Frèche. Un certain David aide un « jeune exilé » à semer la police et à s’introduire illégalement en France. Malgré une énorme promotion, notamment sur France Inter. Six semaines d’exploitation : 33 518 entres. Quel succès...
- « Nos Frangins », de Rachid Bouchareb. Film qui revient sur la mort de Malik Oussekine (mort du temps de Robert Pandreau). On y trouve tous les clichés sur le racisme et les violences policières. Six semaines d’exploitation : 78 421 entrées. Phénoménal…
- « Les survivants », de Guillaume Renusson. Dans les Alpes, le dénommé Samuel sauve une jeune Afghane qui veut entrer en France. Mais de très méchants fachos vont les traquer. Après trois semaines d’exploitation : 66 491 entrées. Époustouflant…
D’une certaine manière ces chiffres pitoyables de spectateurs, sont une bonne nouvelle. Ils semblent vouloir dire que malgré d’énormes campagnes de promotion, cette propagande bien pensante n’accroche pas auprès du public. Et c’est tant mieux.
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mardi, 07 février 2023
MARINE DÉCOUVRIRAIT-ELLE LA COMÉDIE PARLEMENTAIRE ?
Bernard Germain
Est-elle d’une incroyable naïveté politique, ce qui serait grave après autant d’années d’expérience dans le domaine ?
Est-elle frappée d’un grave problème psychologique de « reconnaissance » par la classe politique et le pouvoir ?
Toujours est-il que Marine Le Pen enchaîne erreur sur erreur, sans en tirer aucune leçon. S’obstinant à conserver la même ligne politique qui la conduit pourtant d’échec en échec.
Dernier exemple en date, ce qui vient de se passer à l’Assemblée Nationale, concernant la réforme des retraites.
Petit retour en arrière.
Il y a quelques jours, deux motions référendaires ont été déposées. L’une par la NUPES, l’autre par le RN.
Une motion référendaire, si elle est votée par l’Assemblée Nationale, impose l’arrêt des débats, un vote identique au Sénat. Puis il faut aussi l’acceptation du Président de la République pour qu’un référendum national soit organisé afin de demander au peuple de trancher la question, en l’occurrence la réforme des retraites.
La présidente de l’Assemblée Nationale, constatant l’existence de deux motions, décide que c’est par tirage au sort que sera désignée celle qui sera présentée au parlement.
Hurlements de la NUPES qui prétend que c’est la première déposée qui doit être présentée. Or, il n’existe aucune jurisprudence sur le sujet. La présidente de l’AN maintient sa décision et c’est la motion du RN qui est tirée au sort.
Hier lundi 6 février, ont débuté les débats sur la Loi relative à la réforme des retraites.
L'Assemblée nationale a repoussé, par 292 voix contre 243, une motion préalable de LFI demandant le rejet de l'ensemble de la réforme des retraites, à l'ouverture des débats sur le projet du gouvernement. Une motion de rejet permet à l'Assemblée nationale de rejeter un texte de loi, avant même le début des débats.
Notons que le RN a voté cette motion de rejet de la NUPES. Marine Le Pen déclarant à ce sujet avoir voté pour ... « sans sectarisme » !
Vint ensuite la présentation de la motion référendaire présentée par le RN. Et là … stupeur ! Plusieurs députés du RN reçoivent simultanément un message vocal leur indiquant qu’un proche vient d’être hospitalisé et qu’il faut venir immédiatement à l’hôpital. Panique parmi les députés ciblés dont certains quittent précipitamment l’hémicycle. Petit détail… si l’un des députés signataires de la motion référendaire est absent de l’hémicycle au moment de sa présentation, la motion ne peut être ni présentée ni mise au vote. Vous l’avez compris, … ces coups de téléphone visant à faire quitter l’Assemblée à des députés paniqués n’avait donc qu’un objectif : empêcher le RN de présenter sa motion référendaire. On relèvera au passage qu’il faut être pourri au-delà de l’imaginable pour recourir à de telles pratiques.
Résultat … 45 minutes de bazar complet à l’Assemblée.
Plainte a été déposée par le RN pour ces appels, bien sûr en numéro masqué. Nous verrons si les services spécialisés de Darmanin feront la lumière sur l’origine de ces appels. Quelque chose me dit qu’ils vont avoir du mal ou que cela va prendre beaucoup de temps !
Or, il suffit d’une commission rogatoire d’un juge d’instruction à un opérateur téléphonique pour qu’il identifie l’appel et en informe la justice. Et même si c’est avec une carte prépayée on sait identifier la carte, donc où et par qui elle a été achetée.
Bref, après ce moment de panique à l’AN et que les députés RN furent revenus comprenant l’immonde manœuvre dont ils étaient l’objet, la motion référendaire fut mise aux voix et rejetée par 272 voix contre 101, … sans les voix de la NUPES parce que cette motion était présentée par le RN. Pourtant la NUPES avait présenté une motion identique. Donc ils étaient d’accord avec l’objectif.
Au final, alors qu’ils sont d’accord, ils votent contre… « avec sectarisme » ! Est-ce bien étonnant ? A la suite de quoi, le débat sur la Loi proprement dite a pu commencer.
La NUPES présente … 18.000 amendements. Autant dire que la NUPES donne la possibilité au pouvoir de recourir aux moyens que lui octroie la constitution de clore le débat rapidement, au motif d’une « obstruction parlementaire », en ayant recours à un 49-3 ou autre. De ce fait l’issue du « débat » ne fait aucun doute ! Seule la date de fin reste inconnue.
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mardi, 31 janvier 2023
Retraite à 62 ou 64 ans : … une monumentale manipulation de masse !
Bernard Germain
J’en ai déjà vu des manipulation politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !
Les français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».
En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche -en fait l’extrême gauche- puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo (PS) … 1,74%), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.
Pourtant, les français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.
Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.
Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.
Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme, annoncé la retraite à 65 ans.
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc, le savaient donc pertinemment.
Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.
Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?
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dimanche, 29 janvier 2023
Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »
Bernard Germain
Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.
Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.
C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.
Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.
Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.
Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.
Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.
Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.
Bilan :
- un gendarme blessé
- un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
- deux interpellations d’antifas
- une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.
Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.
Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.
Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».
Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! »
Fabuleuse réponse … !
Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».
C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.
De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.
Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».
En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.
Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.
Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !
Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.
Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.
Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.
Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.
On retrouve partout ces comportements.
Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.
En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.
Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.
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samedi, 28 janvier 2023
Mort de Tyre Nichols aux USA : … va-t-on nous demander de mettre un genou à terre ?
Bernard Germain
Nous sommes à Memphis dans l’État du Tennessee aux USA.
Le 7 janvier 2023 au soir, un groupe de policiers rattrape un automobiliste qui vient de commettre une infraction routière.
La vidéo des caméras embarquées des policiers a été publiée sur internet. On y voit le conducteur arrêté, se faire passer à tabac par ces policiers. C’est ultra violent. Et cela dure un long moment.
Insupportable !
Il se trouve que le conducteur arrêté est noir.
Oh là là,… ça y est, ça recommence.
C’est une nouvelle affaire Georges Floyd, ce noir qui fut tué par un policier blanc en 2020.
Suite à la mort atroce par étouffement de Georges Floyd, le policier blanc fut condamné à 20 ans de prison.
Pour protester contre ce crime « raciste », tout ce que la terre comptait de bien pensants a été invité à mettre un genou à terre, à toute occasion, comme par exemple au début de chaque match de football.
Le système « blanc » a été qualifié de système pratiquant un « racisme systémique ».
D’innombrables manifestations, dont beaucoup furent ultra violentes, se sont déroulées aux USA à l’appel de Black Lives Matter.
Ainsi que dans de multiples pays.
En France, le Comité Traoré s’était déchaîné, essayant de faire le lien entre ce crime aux USA et la mort d’Adama Traoré, suite à son arrestation par les gendarmes.
Et toute la gauche, l’extrême gauche et les médias « progressistes » se sont engouffrés pour dénoncer le prétendu « racisme d’État » qui existerait aux USA et en France.
Pour les Wokistes, et tous ceux qui veulent détruire notre société « blanche », ce fut une aubaine.
Depuis près de 3 ans, le « racisme systémique » de notre société est inlassablement dénoncé et quiconque refusa de mettre un genoux à terre fut impitoyablement dénoncé comme un épouvantable raciste.
Donc avec ce nouveau meurtre « raciste » d’un noir,… nous allons revivre pendant des mois une campagne à l’égale de celle qui fut menée pour Georges Floyd.
Moi, je vous dis que ce ne sera pas le cas.
Les bien pensants et leur presse vendue au wokisme n’appelleront pas à mettre un genoux à terre.
Ils n’appelleront pas à de multiples manifestations.
Il n’y aura pas d’indignation mondiale contre ce « crime raciste ».
Vous savez pourquoi ?
Parce que les 5 policiers, responsables de ce crime immonde, sont… noirs !
Même le chef de la police de Memphis, Cerelyn Davis, est noire.
Et là c’est très ennuyeux pour les wokistes, les bien pensants et tous les organes de presse complices.
En effet, dans ces conditions, comment faire pour présenter cette affaire et en me temps développer leurs thèses accablantes pour la société « blanche » ?
La lecture des organes de presse concernés est sur ce plan, fort édifiante
Le Monde fait un article qui commence ainsi :
« Le 7 janvier 2023, Tyre Nichols, un Afro-Américain de 29 ans, est arrêté par cinq agents de police suite à une infraction au code de la route violemment battu. Il est décédé trois jours plus tard, à l’hôpital. »
Dans le corps de l’article, le lecteur est informé que :
« Le 20 janvier, les cinq policiers impliqués ont tous été renvoyés, avant d’être arrêté le 26 janvier. »
Mais le lecteur ne trouvera nulle trace que tous les policiers incriminés sont noirs !
France info publie sur son site un article ou l’on peut lire :
« Aux États-Unis, les images de l'arrestation de Tyre Nichols, 29 ans, ont été publiées vendredi 27 janvier par la police de Memphis, deux jours après l'incarcération des cinq policiers qui l'ont battu au sol. Elles montrent l'insoutenable brutalité de l'arrestation de l'Afro-Américain, mort trois jours après les faits du 7 janvier. »
Les lecteurs ne sauront pas non plus que les policiers étaient tous noirs.
Libération publie aussi un article qui commence ainsi :
« Insupportable de violence et d’inhumanité, la vidéo du passage à tabac du jeune Noir américain par cinq policiers de Memphis a été diffusée vendredi soir. »
Une seule fois dans l’article, Libération reconnaît la situation embarrassante qui résulte de ce meurtre.
« Ces cinq policiers sont noirs, comme leur victime. Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial pour mettre en lumière une dérive policière américaine systémique »
Libération déclare ouvertement son embarras :
« Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial... »
Zut alors,… Libération reconnaît que les bien pensants ne vont pas pouvoir nous resservir leurs thèses délirantes qui aboutissent toutes à la même conclusion… le responsable c’est l’homme blanc dont il faut détruire la société.
Effectivement, cela va être difficile dans ces conditions de faire mettre un genou à terre à la planète entière afin de demander pardon.
A noter qu’à ce jour, aucune réaction de SOS Racisme sur son site ou sur sa page Facebook … un silence pesant.
Ces faits permettent à toute personne, intellectuellement honnête, de constater que le meurtre Tyre Nichols n’est pas moins ni plus horrible que celui de Georges Floyd.
Il est simplement la preuve que la société américaine est devenue une société ultra violente, mais que ce n’est pas un problème de « racisme systémique ». Même si un racisme indéniable existe toujours aux USA, contrairement à la France et aux pays européens.
En menant constamment campagne en France, pour essayer de prouver que notre pays serait raciste, les wokistes et tous leurs complices essayent de détruire notre société.
Il est urgent de les combattre sans relâche et d’empêcher leurs thèses venimeuses de se répandre.
Cette affaire Tyre Nichols en est une nouvelle preuve.
Le wokisme est un cancer qu’il faut éradiquer !
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vendredi, 27 janvier 2023
La « peste brune »… c’est POLITIS et leurs semblables !
Bernard Germain
Le moins qu’on puisse dire c’est que ce « journal » POLITIS n’y va pas avec le dos de la cuillère, je devrais employer un autre mot que « journal » mais ce serait grossier.
Sont cloués au pilori par ce « journal » : Cyril Hanouna (qui est « juif »), Pascal Praud (qui est un homme « hétéro » de plus de 50 ans), Christine Kelly (qui est « noire »), Mathieu Delormeau (qui est « homo » mais dénonce les « gays prides », les « folles », … etc.) ainsi que Jean-Marc Morandini (incarnation de la presse « poubelle »).
Eh bien, dites donc, en voilà une belle brochette… et pas du petit fretin. Et POLITIS d’annoncer benoîtement que l’objectif c’est de faire taire ces odieux personnages. Rien que ça … !
Mais au fait quel est leur crime, pour être ainsi victimes de cet authentique lynchage médiatique ?
C’est tout simple, ils refusent de baisser pavillon devant les bien-pensants, l’extrême gauche et tout ce que la France compte de wokistes.
Bref, ce sont donc des… « fascistes », des gens « d’extrême-droite » qu’il faut à tout prix détruire en commençant par leur réputation, puisqu’il n’est pas possible aujourd’hui de les détruire physiquement, sauf à passer en cour d’assise.
Pour tous les sujets, c’est invariablement la même méthode qui revient. Vous osez discuter, contester, vous opposer… alors vous êtes fasciste et d’extrême droite et vous êtes accusé d’utiliser des méthodes violentes pour imposer votre point de vue.
Ainsi, à Callac, douze plaintes ont été déposées par des membres du conseil municipal contre ceux qui ont mené la bataille contre le projet Horizon. De nombreux militants de l’Association « les Amis de Callac et ses environs » (dont moi) ont été ou sont convoqués à la gendarmerie qui mène l’enquête suite aux plaintes déposées.
Mais ce qui est extraordinaire c’est que la « gôche », c’est à dire principalement le conseil municipal, qui a organisé deux contre-manifestations les 17 et septembre et 5 novembre 2022, contre nos rassemblements devant la mairie… n’a pas déposé de demande de manifestation ! Pour notre part tout a été fait dans les règles et nos deux manifestations étaient déclarées et acceptées par la Mairie et la Préfecture.
De même lors de ces deux contre-manifestations, il y a eu des violences des antifas contre les gendarmes. Ces derniers ont fait le nécessaire pour empêcher ces nervis d’atteindre la place de la mairie et nous agresser. Mais c’est nous qu’on déclare des gens violents, alors qu’il n’y a eu aucun incident durant nos deux rassemblements.
Reste que… ni les non-déclarations des deux contre-manifestations, ni les violences des antifas contre les gendarmes n’ont fait l’objet d’enquêtes ni de poursuites par la Procureur de la République. Pourquoi ?
Vous ne trouvez pas cela bizarre … ?
Par contre, nous qui n’avons strictement rien fait de répréhensible, nous sommes convoqués à la gendarmerie et le Procureur dirige l’enquête en cours contre nous.
Et quels crimes nous sont reprochés ?
Des accusations gratuites, sans aucune preuve, énoncées par des élus qui n’acceptent pas que les habitants aient mené campagne avec nous pour faire échouer le projet Horizon.
Pour nos accusateurs, comme pour POLITIS, il faut… faire taire ceux qui ne veulent pas baisser pavillon et continuent à défendre la France et les Français.
Pour nous salir tout est bon. Un conseiller municipal a ainsi déclaré : « J’ai vu un homme cagoulé dans mon jardin durant la nuit ». La belle affaire ! Moi aussi je peux déclarer la même chose… est-ce pour autant un fait réel ?
Le maire se dit victime de menaces de mort, comme la célèbre Laure-Line… mais où sont les preuves ?
S’il s’agit de coups de téléphone, depuis le temps qu’ils racontent cette histoire, la gendarmerie à largement eu le temps d’identifier les auteurs des appels. Il lui suffit de demander à l’opérateur téléphonique l’identité du propriétaire de la ligne qui appelle.
Si ce sont des mails, avec l’adresse IP de l’expéditeur on peut l’identifier très facilement.
Et s’il s’agit de lettres papier, on peut facilement relever des traces ADN …
Donc tout cela, ce sont que des balivernes et des racontars qui ne résistent pas cinq minutes à la plus élémentaire critique.
Alors, pour quelles raisons agissent-ils ainsi ?
Tout simplement pour cacher qu’ils ne se remettent pas d’avoir été désavoués par les habitants et notre mobilisation. Ils ne supportent pas la démocratie. Ils ne supportent pas que les habitants s’opposent à leurs projets. Ils veulent pouvoir décider seuls et imposer leurs décisions à tous, sans discussion ! Ils ne sont que des petits bureaucrates ayant la haine du peuple et de la démocratie.
Alors face à leur défaite et à leur échec, ils ne savent qu’accuser et salir pour se dédouaner. Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez… il en restera toujours quelque chose ! »
Le plus pitoyable étant que l’essentiel de la presse reprend la fable des prétendues « violences » de l’extrême droite. Affirmant que c’est grâce à ces violences que nous aurions gagné à Callac. Il ne leur vient même pas à l’esprit que la mairie a caché son projet, qu’elle a ensuite refusé de faire un référendum parce que « 80 % de la population est contre », donc la population s’est levée contre ces méthodes anti-démocratiques et a imposé l’abandon du projet.
Nous menons notre combat à visage découvert et « à la loyale ». Pas avec des méthodes de voyous comme le fait la « gôche » et la mairie en utilisant notamment la violence des antifas. Les seuls qui devraient être dénoncés, accusés et condamnés, ce sont nos accusateurs. Pas nous !
Aujourd’hui, à St-Brévin, ce sont les mêmes méthodes qu’on voit apparaître.
La Directrice de l’école refuse de recevoir le Collectif qui lutte contre l’installation du CADA à côté de l’école. Par ailleurs, elle ne cache pas son soutien à l’installation du CADA. Nous avons dénoncé son attitude, parce que nous voulons protéger les enfants, mais… c’est le Collectif qui est accusé de faire pression sur elle et comme à Callac cette directrice prétend recevoir des menaces.
« Calomniez, calomniez…
il en restera toujours quelque chose ! »
Tous ces vendus à la politique immigrationniste doivent bien se mettre en tête que nous mènerons notre combat partout, au grand jour et à visage découvert, contrairement à eux qui ne cessent d’agir dans l’ombre et en cachant tout à la population.
Ce n’est pas la violence ou les méthodes troubles qui nous donneront la victoire, mais c’est la volonté de la population qui n’accepte pas leurs plans et projets pour détruire notre pays, qui finira par s’imposer grâce à nos mobilisations.
Qu’ils ne comptent pas sur leurs méthodes nauséabondes pour nous intimider. Nous ne lâcherons rien.
La « peste brune » c’est POLITIS ainsi que tous les médias du même acabit et leurs nombreux complices, élus ou pas.
À propos de Callac :
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samedi, 21 janvier 2023
Congrès PS : homérique bagarre interne pour la possession du cadavre !
Bernard Germain
Jusqu’en 2017, le PS était un poids lourd de la politique en France. Il avait le Président de la République, le gouvernement, une majorité à l’Assemblée nationale, de multiples responsables de régions, de départements et de communes.
En 2022, seulement 5 ans plus tard, la candidate du PS à l’élection présidentielle, Hidalgo la dingo, réalise le score faramineux de 1,75 % pulvérisant l’ancien record détenu par feu Gaston Deferre (SFIO) en 1969 avec 5 %.
Autant dire que le PS est mort. Il ne survit que grâce aux quelques parlementaires que lui a concédés la NUPES, ainsi que des élus au plan régional, départemental et local.
Élus qu’il n’aura plus dès les prochaines élections locales correspondantes.
C’est un effondrement total et brutal, comme un château de cartes. Le PS a même été obligé d’abandonner son siège historique de la Rue de Solférino à Paris.
C’est dans ce contexte crépusculaire qu’à lieu un événement qui tient le monde entier en haleine : le 80ème congrès du PS.
Au PS les élections se déroulent au niveau local et les résultats sont ensuite remontés au niveau de chaque fédération (département) puis au national et centralisés sur un seul ordinateur se trouvant au siège national.
Le PS déclare 26 000 membres. Connaître les résultats définitifs devrait donc être une formalité expédiée en quelques heures.
Mais au PS, cela ne se passe pas comme cela.
Des bourrages d’urnes ont lieu à grande échelle et chaque camp les pratique dans ses fiefs.
Au premier tour de scrutin, il y a une semaine, il y avait trois listes. La liste Geoffroy est passée par la fenêtre.
Dans des conditions « douteuses ».
Le mandataire national de dame Geoffroy, Patrick Mennucci a déclaré à ce sujet :
« Jeudi dernier les membres de la direction et les représentants d’Olivier Faure sont restés enfermés durant 5 heures, de 22h à 3h le vendredi, sans que les représentants des autres textes n’aient accès en open data aux résultats en temps réel et aux PV fédéraux »
Patrick Mennucci pour Hélène Geoffroy et les représentants de Nicolas Mayer-Rossignol, David Assouline et Jean-Marc Germain, se sont retrouvés « bloqués au troisième étage » du siège d’Ivry-sur-Seine, pendant que la direction recevait les résultats au premier. « Je n’ai jamais vu ça ! », a pesté Patrick Mennucci.
Et pourtant il en a vu le Patrick, formé à Marseille – l’ancien fief de Gaston Deferre – et ayant à juste titre une réputation de très grand spécialiste de ce genre d’opérations.
Comme par exemple le fameux congrès de Reims en 2008 où l’on vit Ségolène Royal à 22H00 disposer d’une très large avance. Mais au bout de la nuit… c’est son opposante Martine Aubry qui fut élue avec… 102 voix d’avance seulement. Les élections au PS c’est magique.
Oui, c’est indéniable, les dépouillements d’élections sont toujours un grand moment au PS.
Pour ce 80e congrès du PS, restaient donc pour le second tour du 19 janvier la liste d’Olivier Faure – 1er Secrétaire sortant – qui est pro-NUPES, et en face de lui Nicolas Mayer-Rossignol qu’on peut qualifier de « hollandais », c’est-à-dire très réticent à passer sous les fourches caudines de LFI et souhaitant maintenir une autonomie au PS. Il est soutenu par la perdante du 1er tour, Geoffroy.
Dans la nuit du 19 au 20 janvier, Nicolas Mayer-Rossignol s’est auto-proclamé vainqueur, suivi quelques minutes plus tard par Olivier Faure prétendant que c’était lui le vainqueur
Au matin un communiqué du PS indique que c’est Olivier Faure le vainqueur avec… 393 voix d’avance.
Mais pour connaître le résultat officiel il faudra attendre la « commission de récolement » qui se réunit ce jour, 20 janvier, à Paris.
Quant à la proclamation officielle du résultat, elle aura lieu lors du congrès du PS qui se déroulera du 27 au 31 janvier à Marseille.
L’ambiance s’y annonce excellente …
Reste que l’affaire de cette élection est loin d’être réglée vu les irrégularités constatées.
Les couteaux sont sortis et chacun tient un flingue en main sous la table.
Quel que soit le résultat final, au PS, les deux camps sont sur des positions irréconciliables et les rancœurs recuites ne sont pas près de s’effacer.
On pourrait peut-être même assister à Marseille à une scission, comme au NPA.
Un camp rejoindrait la NUPES avec armes et bagages, tandis que l’autre essayerait de maintenir un semblant d’existence d’un PS indépendant.
La seule leçon qui puisse être tirée de tout cela c’est que la gauche « classique », telle que nous l’avons connue pendant des décennies, c’est bel et bien terminé.
Seule subsiste l’extrême-gauche regroupée dans la NUPES avec au cœur la LFI de Mélenchon.
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vendredi, 20 janvier 2023
RAPPEL : Bernard Germain dédicacera ses livres samedi 21 janvier à la Librairie Vincent à Paris
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lundi, 16 janvier 2023
Énergie : Un scandale français absolu, tous les traîtres méritent d’être condamnés !
Bernard Germain
Nous sommes en train de vivre, en France, un scandale qui dépasse tout ce qui est imaginable !
Les faits que je vais évoquer relèvent de la haute trahison, le mot est faible, et les responsables mériteraient d’être jugés, condamnés et si c’était possible d’être fusillés.
La crise énergétique que nous traversons actuellement est en train de ravager notre pays et son économie.
La population française est frappée extrêmement durement, les boulangers aussi et de nombreuses profession artisanales, tout comme la restauration, sans oublier l’industrie. Ainsi que tant d’autres professions.
Tout le monde reçoit des factures d’électricité délirantes.
Le pays est au bord de la faillite.
Mais sachez-le… cela est voulu et organisé par le Président de la République, le gouvernement et l’État français.
Oui, vous avez bien lu… c’est voulu et organisé sciemment !
Certains se diront peut-être que j’ai perdu tout sens de la mesure et que je raconte n’importe quoi.
À vous de juger. Voici les éléments du dossier.
Le premier élément, c’est la politique énergétique de l’Allemagne.
A partir de l’arrivée au pouvoir d’une coalition verts – SPD, en 1998, la décision fut prise d’arrêter le nucléaire en Allemagne.
C’est Angela Merckel qui mit en œuvre cette politique à partir de 2011. Un programme d’arrêt des centrales nucléaires fut décidé. Il devait s’arrêter fin 2022.
Pour compenser, l’Allemagne s’est couverte d’éoliennes. Plus de 30.000 en service à ce jour. Mais comme chacun sait les éoliennes ne fonctionnent que 25 % du temps. En complément, les allemand ont eu recours massivement aux centrales à gaz pour produire leur électricité. Gaz qui était acheté à la Russie et acheminé par les gazoducs Nord Stream et Nord Stream2.
Le tout étant fait au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et donc avec utilisation d’« énergies renouvelables ».
Avec l’explosion du prix du gaz, l’Allemagne est en train de rouvrir 27 centrales à charbon.
En fait, et personne ne le nie, ces structures produisent énormément plus de carbone que le nucléaire. Donc au nom de la lutte contre le réchauffement climatique l’Allemagne a fait un choix qui produit infiniment plus de CO2 qu’avant. Sous les applaudissements des écolos !
Second élément, la France disposait il y a encore une vingtaine d’années du plus beau parc nucléaire, sans doute du monde. Notre production d’électricité était largement excédentaire et procurait au pays une électricité peu chère, très décarbonée, et dont nous vendions une part importante à l’exportation, ce qui était bon pour notre balance commerciale.
Mais c’était inacceptable pour les allemands qui voyaient cela comme un avantage insupportable pour notre industrie vis à vis de la sienne.
Ils ont donc œuvré via l’Europe pour couler notre parc nucléaire et supprimer ainsi l’avantage que la France avait sur l’Allemagne.
Henri Proglio (ex PDG d’EDF 2009-2014) l’a confirmé devant la commission parlementaire fin 2022 en déclarant : « L’obsession allemande depuis 30 ans, c’est la désintégration d’EDF. Ils ont réussi »
Pour arriver à ce résultat l’Allemagne a d’abord demandé à l’Europe de lister les énergies propres, celles dont elle allait faire la promotion.
C’est à cette occasion que Dominique Voynet, ministre « vert » du gouvernement Jospin, a trahi la France et le mandat qu’elle avait reçu, en torpillant le nucléaire avec l’aide de son collègue anglais.
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mardi, 10 janvier 2023
Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !
Bernard Germain
63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?
C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain.
La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.
Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.
On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.
En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».
Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?
Son 1er quinquennat avait pourtant eu un bilan des plus consternants sur ce plan. Mais cela ne leur suffisait sans doute pas pour comprendre, ils ont donc remis une pièce dans le bastringue pour que ça continue 5 ans de plus.
Et ça continue…
On notera au passage que le RN a une position bien plus favorable aux salariés sur le sujet.
Mais … chuttt ! Le RN, c’est les « fascistes ». Donc, il ne faut pas dire qu’ils ont cette position.
Bref, s’ajoutant à la crise énergétique, le problème des retraites contribue à faire monter la tension sociale et le gouvernement est très inquiet quant à sa capacité à faire passer la mesure sans recours au 49.3, c’est à dire sans passer en force. En fait, tout va dépendre de la position des « Républicains » d’Eric Ciotti pour bâtir ou non une majorité au parlement sur ce point.
Reste que 49.3 ou majorité au parlement sur ce projet, le cocktail est explosif surtout en cette période ou une simple étincelle pourrait bien mettre le feu aux poudres.
Mais le problème se limite-t-il au problème de l’âge de départ à la retraite ?
Il se trouve que non, car l’affaire est bien plus compliquée qu’il n’y paraît.
Tout d’abord, il faut se souvenir que l’âge de départ n’est qu’un aspect du problème.
En effet, un second élément existe – très souvent oublié- qui est pourtant fort important : le nombre d’annuités nécessaires pour partir… à taux plein !
Partir à 62 ans, comme actuellement, est une chose, mais si c’est avec une décote qui ampute sérieusement le montant que le retraité touchera … est-ce une bonne affaire pour lui ?
Les syndicats, notamment, hurlent qu’il ne faut pas modifier l’âge de départ, mais ils ne disent pas que dans l’ombre, la réforme Touraine continue son œuvre d’érosion du montant des retraites versées.
Concrètement, depuis la loi Touraine (merci les socialistes), votée en 2014 mais appliquée depuis 2020, la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein augmente d’un trimestre tous les trois ans. Premières à avoir été concernées en 2020, les générations nées entre 1958 et 1960, qui doivent désormais cotiser 167 trimestres (soit 41 ans et 9 mois). Suivront en 2023 celles nées entre 1961 et 1963 (168 trimestres), puis celles nées entre 1964 et 1965 (169 trimestres), etc. L’objectif étant d’atteindre 172 trimestres en 2035, soit 43 années de cotisation pour les Français ayant vu le jour en 1973.
Donc, et c’est simplement mathématique, si -dans ces conditions - on garde l’âge de départ à 62 ans, le montant des retraites va mécaniquement baisser jusqu’en 2035 à cause de la décote qui sera appliquée puisque le salarié aura de moins en moins le nombre d’annuités suffisantes pour bénéficier du taux plein.
Partir à 62 ans, c’est une chose, mais si on n’a pas de quoi vivre, … ça peut poser problème !
D’ailleurs, avec l’allongement de la durée de la scolarité, nous travaillons tous déjà plus longtemps que prévu, principalement pour éviter d’avoir une pension amputée. L’âge moyen de départ pointe ainsi à 62 ans et dix mois. Il est probable qu’il arrive à 64 ans d’ici une dizaine d’années.
Si on veut partir à taux plein !
C’est lorsqu’on reçoit le document de la caisse de retraite, vous indiquant le montant de votre retraite, que l’on prend la mesure du problème.
Au final, le problème n’est pas en soi l’âge de départ à la retraite, mais du fait du système pourri voté par les socialistes et autres en 2014 sur le nombre d’annuités nécessaires, qui s’applique depuis 2020, … A QUEL ÂGE DOIS-JE PARTIR POUR AVOIR UNE RETRAITE A TAUX PLEIN ?
Il est donc ridicule de s’arc-bouter sur 63, 64 ou 65 ans. Ce n’est qu’une partie du problème.
Élisabeth Borne a déclaré : «Nous n’irons pas au-delà de 43 ans de cotisations».
C’est à dire l’application pure et simple de la Loi Touraine des socialistes. Ce faisant sa déclaration montre bien que le vrai problème est là.
Et pour chaque salarié, le choix devient donc : «Est-ce que je veux absolument partir à 62 ans (condition actuelle) quitte à avoir une méchante décote qui va fortement réduire ma retraite du fait de la Loi Touraine ?».
Lorsqu’on pose la question ainsi, cela change nettement la discussion sur l’âge de départ.
En fait, mettre l’âge de la retraite à 63, 64 ou 65 ans ne ferait qu’officialiser ce que la Loi Touraine impose déjà. Pour avoir son taux plein.
Garder à tout prix 62 ans, comme âge de départ, implique qu’une décote importante sera appliquée aux salariés qui n’auront pas les annuités nécessaires. C’est à dire presque tout le monde, sauf ceux qui ont travaillé très jeunes, mais ils sont de moins en moins nombreux.
En résumé :
- Si on garde 62 ans comme âge de départ, avec la Loi Touraine, au fur et mesure des années les salariés partiront avec une retraite amputée d’une décote de plus en plus conséquente
- Si on recule l’âge de la retraite, du fait de l’entrée de plus en plus tardive dans la vie active, on réduira la décote qui s’appliquera. Ce qui ne fera qu’officialiser ce qu’on constate à savoir que beaucoup de salariés partent plus tard que l’âge légal car ils n’ont pas assez d’annuités et ne veulent pas subir de décote.
Ce débat sur l’âge de départ à la retraite, tel qu’il est présenté, est un débat totalement biaisé puisqu’il ne prend pas en compte la Loi Touraine et ses conséquences sur le montant de la retraite.
J’ajoute que s’ils étaient cohérents, ceux qui se veulent inflexibles sur les 62 ans, devraient demander l’abrogation de la Loi Touraine … mais c’est eux qui l’ont mise en place.
En fait, c’est, pardonnez-moi l’expression, un authentique « foutage de gueule ».
La « gauche » appelle les salariés à se mobiliser pour défendre les retraites, mais en cachant :
- Que c’est eux qui ont élu Macron auteur de la réforme qu’ils prétendent combattre
- Que c’est eux qui ont voté la Loi Touraine qui attaque gravement le montant des retraites
La gauche se présente comme défenseur des salariés, alors qu’en fait, ils en sont les fossoyeurs.
Le 10 janvier je ne cautionnerait pas cette ignoble farce.
Je n’irai pas manifester avec ces gens.
Bossuet disait : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes »
Reste un problème que je n’ignore pas : les métiers pénibles.
Il serait socialement tout à fait juste qu’un régime spécial s’applique aux salariés concernés.
Afin qu’après avoir été usés par le travail, ils puissent partir en retraite plus jeune leur laissant espérer de profiter plus longtemps de leur retraite bien méritée.
Un système est actuellement en place qui permet d’accorder des « points ». Chaque tranche de 10 points donne droit à l’équivalent d’un trimestre cotisé.
Au moment du décompte final, cela permet soit de partir plus tôt, soit de compenser une décote.
Ce système pourrait certainement être affiné, voire amélioré.
Mais l’important est que la pénibilité soit prise en compte.
Un autre aspect du problème mérite d’être souligné : la tartufferie du pouvoir et surtout du patronat s’agissant de l’âge de départ à la retraite.
Le patronat et le gouvernement veulent repousser cet âge «afin d’équilibrer les comptes».
C’est une très mauvaise blague.
En effet, si l’on prétend «équilibrer les comptes» il faut avoir une vision globale du sujet. Pas en prenant simplement le problème des retraites.
Or, il est de notoriété publique que très nombreux sont les salariés qui sont licenciés par les entreprises autour de l’âge de 55 ans.
Donc, ils viennent grossir les rangs des chômeurs. Et sont donc à la charge de la collectivité, même si ce n’est pas sur la même ligne budgétaire qui est impactée.
Comment les employeurs peuvent-ils être pour le recul de l’âge de départ à la retraite « afin d’équilibrer les comptes » et virer en même temps les salariés de plus de 55 ans ce qui plombe les comptes de l’indemnisation du chômage ?
Il faudra m’expliquer cette contradiction. Et surtout que les gouvernements successifs laissent faire cela sans réagir.
Une dernière piste consiste à reconnaître un cynisme absolu à certains employeurs qui pratiquent ces licenciements systématiques vers 55 ans. Pourquoi les font-ils ? D’abord parce que ce sont les salariés qui coûtent le plus cher. Mais aussi et tout simplement parce que ces 7 à 8 ans ou 10 ans de baisse de revenu (période de chômage) auront un impact sur le montant des retraites des salariés concernés.
Nous rappelons que pour ce calcul, on ne prend pas en compte les 25 «meilleures» années (c’était l’ancien système), mais les 25 … dernières années (système actuel).
Et si vous avez 1/3 voire la moitié de ces 25 dernières années qui sont des périodes de chômage ça ne passera pas inaperçu au moment du calcul du montant de votre retraite.
Le nombre de salariés concernés, dans ce cas, n’est pas négligeable. Ce serait sans doute fort instructif de calculer l’impact que cela a sur le montant total des retraites versées
Dernier point : on est en droit de s’interroger sur les vraies raisons qui poussent Macron à vouloir à tout prix cette réforme, qui ne changera rien, pour les raisons indiquées.
Je n’en vois qu’une seule : l’Europe.
La France est couverte de dettes … plus de 3000 milliards.
Elle a absolument besoin de pouvoir emprunter sur les marchés financiers. Sinon c’est la faillite.
Or qui pilote tout cela … l’Europe dominée par les allemands, avec la BCE.
Dès lors, puisque l’Allemagne, donc l’Europe, veut à tout prix imposer cette réforme à la France, Macron n’a pas de marge de manœuvre.
Il faut qu’il s’exécute. D’où son acharnement à imposer la réforme des retraites.
Sauf à se couper toute possibilité d’obtenir des crédits.
C’est le même problème que la crise actuelle de l’énergie.
La seule solution sérieuse serait de sortir du système européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz (et de supprimer en France le système de l’ARENH).
Mais qui a voulu ce système : … l’Allemagne. Pour contrer l’avantage que la France avait avec son parc nucléaire. Et l’Allemagne ne laissera pas facilement la France sortir du système, ce qui pourtant mettrait un terme en France à la crise que nous connaissons.
Pour preuve, le gouvernement, totalement affolé, indique toute une batterie de mesures … sauf de sortir du système européen imposé par l’Allemagne.
Les semaines et mois qui viennent ne vont pas être une sinécure pour le gouvernement … !
16:59 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 janvier 2023
Macron – Le Maire - Borne pensent-ils vraiment qu’on est des lapins de 6 semaines ?
Bernard Germain
Je le disais dans un article précédent… la chose a remplacé le verbe.
Visiblement, les Français ne comprenaient pas lorsque nous dénoncions la machine diabolique qu’est devenue l’Europe.
À l’origine, conçue pour être une Europe des nations du temps du Général De Gaulle elle s’est transformée en une machine de guerre pour détruire les nations et les peuples d’Europe.
Hier ce n’était que des mots, pour certains. Aujourd’hui cette réalité s’impose à tous, dans toute sa brutalité.
Johnny Blanc, fromager de son état, a été interviewé récemment sur BFMTV concernant le prix de l’énergie qui explose et les conséquences prévisibles de ce phénomène.
Pour lui le problème est d’une simplicité biblique : sa facture d’électricité mensuelle qui était de 4.700€ (ce qui est déjà fort dynamique) est passée à … 30.000€ par mois !
Le malheureux n’est absolument pas un cas isolé.
Les restaurateurs, boulangers, pâtissiers, fromagers,… bref une kyrielle de professions de l’artisanat sont frappées de plein fouet.
Il en est de même pour les industriels, grands et petits.
Sans oublier, bien sûr les particuliers.
Pour un nombre considérable de professionnels, l’alternative est des plus simples :
- Trouver un moyen d’en revenir à des factures normales
- Sinon, mettre la clé sous la porte et déposer le bilan.
Le pouvoir, paniqué par la situation et les conséquences à venir, essaye d’éteindre l’incendie.
Avec des arguments plus mauvais les uns que les autres.
Élisabeth Borne indique que l’État va « accorder un report du paiement des taxes et impôts »
Bruno Le Maire déclare qu’il va « hausser le ton ».
Quant à Macron, il a déclaré lors de ses vœux « Qui aurait pu prédire la vague d’inflation ? »
17:20 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 01 janvier 2023
A propos des voeux se Macron...
Bernard Germain
L’époque des vœux vient de commencer. Une vraie purge qui va durer tout le mois de janvier. Ça va être long. Vivement février… !
Hier soir, pour lancer cette sinistre période, nous avons eu droit à ceux de Macron. Et on n’a pas été déçus. Ce furent les plus longs de l’histoire de la V° République.
De plus, on aura rarement entendu un discours exposant une situation à ce point en décalage avec la réalité.
Ce type vit indiscutablement dans un monde parallèle, totalement coupé de celui des français.
Par exemple, il a déclaré : « Malgré une effroyable crise énergétique, l'inflation, les menaces nucléaires ou la crise climatique, ce qui est demeuré constant est [la] capacité collective [des Français] à relever ces défis »
Peut-être avait-il déjà attaqué l’apéro ou fumé la moquette, mais il faut le faire d’oser déclarer cela.
« La crise énergétique »... mais c’est lui et ses complices de Bruxelles qui en portent l’entière responsabilité.
On paye aujourd’hui les choix fous, imposés par l’Allemagne et Bruxelles, doublés de la complicité de tout le personnel politique français. Avec mention spéciale aux verts, notamment Dominique Voynet qui a provoqué l’abandon du nucléaire au plan européen en trahissant le mandat qui lui avait été donné par le gouvernement français.
En conséquence de quoi, le parc nucléaire français n’a pas été entretenu pendant de très longues années. Une trentaine de centrales sont donc, à ce jour, à l’arrêt. Et comme on a perdu nos compétences dans ce domaine, on dépend de la disponibilité de soudeurs américains notamment, pour effectuer les travaux nécessaires.
Donc personne n’est capable de dire si, au moment des grands froids, on aura suffisamment de centrales nucléaires en service.
Nous… les français, sommes donc menacés de coupures d’électricité.
Ce n’est pas Macron qui va se peler à l’Élysée, c’est nous.
En effet, s’il y a des coupures, elles n’auront pas lieu dans le palais présidentiel et soyons également certains que les 19°C ce ne sera pas pour lui, mais pour nous.
« L’inflation »… mais c’est encore lui qui en porte la responsabilité, notamment du fait de l’explosion du prix des matières premières (gaz, pétrole et électricité). Grâce à sa brillante action concernant le conflit entre la Russie et l’Ukraine. Nous allons y revenir.
Résultat : une flambée des prix comme rarement vu. Et des conséquences dramatiques.
Juste un exemple : un restaurateur vient de recevoir sa facture d’électricité. Il va sans doute déposer le bilan. Pourquoi ? Sa facture passe de 700€ par mois à… 17.000€.
Combien sont-ils dans ce cas ? En fait, c’est toute l’économie qui est menacée de sombrer.
« Les menaces nucléaires »… mais qui en est responsable ?… Macron et tous les va-t-en guerre de Bruxelles qui ne sont que les laquais de Biden et de sa politique agressive contre la Russie, voulant au passage faire de l’Europe une chasse gardée des USA.
En mars 2022, Macron prônait le règlement du conflit par la négociation. A l’occasion de ses vœux, il expose un avis contraire. Maintenant, il déclare sans détour que la France « serait sans faillir » aux côtés des ukrainiens. « Nous vous aiderons jusqu’à la victoire ».
Donc, la France ne privilégie plus la négociation mais annonce vouloir aider l’Ukraine « jusqu’à la victoire ». La France est donc officiellement cobelligérant.
Et Macron ne serait pas responsable des « menaces nucléaires » qu’il fait semblant de déplorer ?
« La crise climatique »… mais il n’y en a pas plus que de beurre en broche.
La France ne produit que 0,9 % du CO2 mondial… mais on fout une pression d’enfer aux français sur ce thème en les culpabilisant en permanence alors qu’ils ne sont responsables de rien.
Par contre personne, notamment parmi les khmers verts, ne s’avise d’aller demander des comptes aux USA ou à la Chine pourtant producteurs à eux deux de 44 % du CO2 mondial.
Et puis, cette crise climatique dont le CO2 serait l’unique responsable (ce que contestent à juste titre de nombreux scientifiques) elle permet de justifier le recours aux « énergies renouvelables ».
Vous savez, l’éolien, la méthanisation et les panneaux solaires, qui nous coûtent une blinde et ne produisent pas grand-chose. Par contre défigurent entièrement notre pays.
Et Macron de conclure que face à ces problèmes : « ce qui est demeuré constant est [la] capacité collective [des Français] à relever ces défis ».
Non, c’est le contraire… ce qui est demeuré constant c’est la capacité des français à ENDURER tout cela. A peu près en silence… pour l’instant !
Mais tout a une fin.
Macron risque de s’en apercevoir très vite en cette année 2023. Avant la fin des vœux.
Même s’il indique de manière péremptoire … « Je ne perds jamais cet impératif d'unité » de la nation française.
L’Unité de la nation risque bien d’être en train de vivre ses derniers jours.
D’ailleurs, fin janvier, une manifestation des boulangers est déjà annoncée.
Elle ne sera certainement pas la seule. Et c’est tant mieux.
Il est temps, plus que temps, que les français se révoltent, sauf à accepter de sombrer dans la misère la plus complète.
Pour empêcher ce funeste destin, deux mesures doivent être prises de toute urgence :
- Supprimer le dispositif de l’Arenh, qui oblige EDF à vendre 25 % de son électricité à des « concurrents » qui se contentent de revendre cette électricité à un prix exorbitant.
- Sortir du dispositif européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz.
L’Espagne et le Portugal viennent de le décider. Pourquoi la France ne le ferait-elle pas ?
Sans l’application immédiate de ces deux mesures, les français vont crever de faim ou de froid cet hiver et de très nombreux commerçants et industriels vont faire faillite.
Je serai étonné que ça se passe sans réaction.
Enfin, pour conclure, je présente à tous les lecteurs de Synthèse nationale, leurs familles et tous ceux qui leur sont chers, mes meilleurs vœux pour cette année 2023.
Contrairement à Macron, mes vœux sont sincères.
13:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 28 novembre 2022
C’est aussi « ma nouvelle idole »
Bernard Germain
C’est un fait indiscutable, nous avons en Europe et donc en France, les écolos les plus débiles. On constate régulièrement dans les médias les actions que ces dégénérés mènent avec un relai consciencieux de leurs exploits dans les médias.
Ainsi, on ne compte plus les œuvres artistiques majeures vandalisées par ces tarés dans les musées. Est-ce que balancer de la sauce tomate sur un tableau, se coller la main sur un autre ou toute action de ce type va régler quoi que ce soit au problème climatique dont ils se disent préoccupés ? Évidemment que non. Et pourtant toutes ces actions vont crescendo. Mais pourquoi ?
En premier lieu, parce que l’Éducation nationale bourre la tête des gamins, matin, midi et soir de slogans « écologistes » dont la conclusion est invariablement : « il faut sauver la planète ». Ils sont donc des millions à avoir la tête farcie de ces débilités, pendant leurs années de scolarité. Pas étonnant que la première préoccupation des jeunes, selon les sondages, soit : « il faut sauver la planète ». Le tout étant largement repris par les médias et dans la quasi totalité des pubs qui passent à la télévision. Personne n’y échappe. En conséquence, tous ces jeunes au QI de poisson rouge, récitent du matin au soir « il faut sauver la planète » comme un mantra.
En second lieu, parce que le système - gouvernement en tête - est très content de voir ces actions être menées. D’ailleurs, avez-vous vu des sanctions prises contre ces activistes ? Pourtant ce serait facile d’arrêter ces âneries. Une main collée sur un tableau, deux ans de prison automatique et les frais de restauration à la charge de l’auteur. Blocage de la circulation sur le périphérique ou une autoroute, idem automatiquement deux ans de prison. Et si ces actions de blocage occasionnent accidents ou dégâts, allez hop… à la charge des responsables.
A mon avis, ça calmerait l’immense majorité de ces jobards qui aujourd’hui bénéficient d’une impunité totale. Tous ces jeunes couillons qui mènent des actions de ce type sont les alliés du gouvernement qui est engagé dans une politique de « transition énergétique » afin de nous faire passer du nucléaire aux énergies « renouvelables » (éolien, solaire et méthanisation (1)).
Vous savez… faut faire baisser la quantité de CO2 produite.
Pourtant le nucléaire est l’énergie la moins chère et la plus décarbonée.
23:19 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 02 novembre 2022
J-3 : Manifestation à Callac. Il y a encore des maires qui respectent la démocratie ...
Bernard Germain
Le 22 septembre à St-Nazaire, Macron inaugurait le premier par éolien off-shore de France. A cette occasion il affirmait qu’il fallait « aller deux fois plus vite » pour ce qui concernait les projets d’énergies renouvelables.
Dans la foulée, le gouvernement avait présenté un projet de Loi afin de faciliter les démarches des promoteurs des parcs éoliens en France.
Le Sénat avait proposé … en vain, un droit de véto des maires sur ce type de projet.
Toujours la même rengaine qui revient : il y a les « sachants » d’un côté, qui là soutiennent les projets éoliens terrestres et en mer, et de l’autre les abrutis qui ne comprennent rien et entendent s’opposer à ces projets qui vont pourrir leur cadre de vie, faire chuter le prix de leurs biens immobiliers et poser de grave problèmes à plusieurs professions notamment aux pécheurs.
Pour Macron et son gouvernement, un droit de véto aux élus des abrutis qui ne comprennent rien … n’y pensez même pas !
Il y a pourtant des maires encore attachés aux principes démocratiques de notre République, qui n’entendent pas se coucher devant ceux qui torpillent les bases de notre société démocratique. A savoir que c’est le peuple qui doit décider en dernier lieu. Que cela plaise ou non aux sachants éclairés.
L’un d’eux est le maire de la ville des Sables d’Olonne. Il n’entend pas baisser pavillon et va organiser du 18 au 26 novembre une consultation de ses administrés pour connaître leur opinion sur ces multiples projets éoliens prévus, qui encerclent totalement sa commune.
Ce maire est l’honneur de sa fonction. Les autres élus qui se couchent lâchement en sont la honte.
A Callac, c’est le même problème qui est posé. Il y a les sachants qui soutiennent le projet Horizon.
De l’autre côté, il y a les abrutis qui ne comprennent rien. L’Association « les amis de Callac et ses environs » ainsi que la population qui ne veulent pas de ce projet qui veut importer dans ce bourg des centaines d’africains pour « repeupler la bourgade ».
Le maire n’avait nullement ce projet dans son programme. Comme pour les éoliennes, il entend pourtant passer en force.
Interroger la population par référendum pour qu’elle valide ou pas le projet ? … vous n’y pensez pas !
En effet, comme le dit le maire « je ne ferais pas de référendum car 80 % de la population est contre ».
Nouvel exemple des sachants, qui se prétendent des démocrates -souvent de « gauche »- et qui s’assoient sans états d’âme sur les principes qu’ils invoquent les jours de fête, mais pas dans la vie.
Aux Sable d’Olonne comme à Callac, la population ne l’entend pas de cette oreille. Et n’est nullement prête à accepter les diktats du maire et ses semblables.
Il va falloir que le maire de Callac accepte d’entendre ses administrés, il ne pourra pas éternellement tirer sur la corde. A un moment elle va casser …
Pour le retrait du projet Horizon ou l’organisation d’un référendum
TOUS A CALLAC LE SAMEDI 5 NOVEMBRE A 14H30 DEVANT LA MAIRIE
18:40 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 28 octobre 2022
Vous êtes français ? … donc il n’y a rien pour vous !
Bernard Germain
C’est l’histoire d’un couple de français honnête et sans histoire. Avec une famille de 9 enfants, dont 4 sont encore à charge. Et leur honnêteté va leur coûter très cher.
Ils avaient un logement en location. Aucun problème avec le propriétaire. Mais le propriétaire demande à récupérer son bien et souhaite donc mettre un terme au bail.
La logique aurait voulu que cette famille accepte, à condition d’avoir un autre logement au moment de partir afin de ne pas se retrouver à la rue.
Ils auraient aussi pu faire comme on le voit dans de multiples endroits : refuser de partir et occuper les lieux, bref « squatter » et comme l’hiver arrive, ils auraient été indélogeables au moins jusqu’en mars 2023. Sans oublier qu’avec 4 enfants, le propriétaire aurait eu toutes les peines du monde à les mettre dehors du logement à la fin de la période hivernale.
Mais cette famille ne pratique pas ainsi. Elle est honnête. Trop honnête.
Donc, la famille a bien fait ses demandes de logement, mais a fait l’erreur de partir sans avoir obtenu le nouveau logement avant de quitter les lieux.
Résultat : cette famille est aujourd’hui obligée de vivre sur une aire de gens du voyage, dans une caravane. Depuis le 30 septembre 2022. Parce que les services sociaux n’ont pas de logement pour eux.
Ajoutons que la dite aire sur laquelle ils sont, est jugée insalubre par le maire de la commune lui-même.
A ce jour, personne au sein des institutions qui gèrent les logements sociaux ne semble s’alarmer de la situation et par exemple que cette famille ne peut même pas se laver car les douches ont été cassées par les personnes qui les ont précédés sur cette zone.
Ce cauchemar se passe en 2022 en France, à Plöermel, en Région Bretagne.
Ah oui, la Bretagne,… c’est aussi là que se trouve Callac. Bourgade de 2200 habitants dont le maire veut installer 70 familles immigrées soit plus de 500 personnes (selon les chiffres donnés par Ouest-France du 14 Septembre).
Ces immigrés viendront d’Afrique. Et pour eux… pas de problème. Des millions d’euros sont prévus. Des logements vont être rénovés et mis gratuitement à leur disposition.
Callac,… c’est à environ 1H30 de voiture de Plöermel.
Au final, à quelques kilomètre de distance… il y a des millions d’euros pour accueillir et loger des gens qui viennent de l’autre bout de la terre mais, dans le même temps, il n’y a pas un rond pour loger une famille française exemplaire, qui vient de recevoir la médaille de la famille des mains de leur maire, tout en étant obligée de vivre sur une zone insalubre.
Ohé, les associations qui passez votre temps à tout faire pour que la France accueille toujours plus d’immigrés aux frais des français… ça ne vous gène pas qu’on laisse crever en zone insalubre une famille française et qu’on donne tout dans le même temps aux immigrés importés de force dans notre pays ?
Ohé, les services sociaux, dont les biens immobiliers et l’argent à votre disposition proviennent des impôts payés par les français, dont cette famille de Plöermel qui travaille et paye cotisations sociales et impôts,… ça ne vous gène pas de donner en priorité les logements sociaux à « la diversité » et autres « chances pour la France » et faire passer l’hiver à cette famille dans une caravane sur un terrain insalubre ?
Et vous, français qui avez voté Macron pour sauver la France menacée par « l’extrême-droite »… ça ne vous dérange pas d’assister à ce spectacle lamentable ? C’est cela votre France « sauvée de l’extrême-droite ». C’est cela votre Liberté-EGALITE-FRATERNITE … dont vous gargarisez à tout propos ?
Moi, je vous le dis tout net.
Vous, associations immigrationnistes, services sociaux, institutions diverses (Région, Département,…) et bons français qui soutenez Macron et cette politique honteuse… vous êtes pourris jusqu’à l’os.
De plus, vous êtes en train de détruire notre nation qui n’était nullement comme cela, 40 ans plus tôt.
Vous êtes la honte de notre pays !
Sans parler du nombre de famille comme celle de Plöermel ?… à mon avis, il doit y en avoir un paquet.
Mais c’est comme pour Lola… il ne faut pas en parler, car dénoncer ces faits, c’est « faire le jeu de l’extrême-droite ».
Combien de temps pensez-vous contenir, avec cet argument minable, la colère qui monte ?
Vous êtes assis sur le couvercle, mais en dessous, dans la cocotte… la pression s’élève.
Plus vous aurez fait monter la pression, plus l’explosion sera violente lorsque le couvercle sautera.
Malheureusement, vous ne semblez rien comprendre à la situation.
Pour preuve, vous continuez de plus belle.
Ainsi depuis le début de l'année, 4.649 personnes immigrées, principalement issues d’île de France, ont ainsi été « mises à l'abri » dans le cadre de 16 opérations conduites par les services de l'État. L’essentiel étant envoyées en région. Comprenez en province dans nos campagnes.
Là où… si vous êtes français, vous n’aurez droit à rien.
Un peu plus tôt, un peu plus tard, ça va finir très mal. C’est écrit d’avance !
Et ne venez pas pleurnicher si c’est violent. Vous en serez les uniques responsables.
18:00 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
OQTF … la dernière mauvaise plaisanterie à la mode !
Bernard Germain
Depuis la loi Valls du 31 décembre 2012 , le séjour irrégulier n'est plus un délit pénal. Ainsi, aucune garde à vue n'est possible sur le constat d'une simple situation irrégulière.
Autant dire que la France, aujourd’hui, c’est open bar. C’est un moulin ouvert à tous les vents.
Ajoutons à cela que les immigrationnistes de tous poils, l’Europe en tête, l’ONU avec les accords de Marrakech de 2018, les ONG pro-immigration, les médias et tous les hommes politiques vendus à cette idéologie dont l’objectif est clairement la destruction de la France, de sa culture et de son identité, s’en donnent à cœur joie pour faire venir toujours plus d’immigrés.
Nos gouvernants ont remplacé ce délit par une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Mais c’est une très mauvaise blague.
Une OQTF c’est une demande de bien vouloir quitter librement le territoire français. Donc personne ne s’y conforme. C’est d’autant plus vrai que certains ont plusieurs OQTF dans leur dossier.
Lorsqu’ils se font attraper pour un délit, les services de police les interpellent et les remettent à la justice. Qui délivre une OQTF. Si l’individu en a delà une ou plusieurs, datant de plus de 30 jours, on en délivre une nouvelle. Qui ne sera pas plus respectée que la ou les précédentes.
C’est ainsi, que l’ignoble assassin de Lola a pu en toute tranquillité assassiner cette pauvre gamine dans des conditions abominables alors qu’elle aurait du être hors de notre territoire.
Au lieu de reconnaître cette situation indiscutable et l’inefficacité totale du système en place, la réponse des responsables, appuyée par une campagne de presse pourrie, a été de dénoncer la « récupération » politique de l’affaire par l’extrême-droite.
En clair, crevez braves gens, on ne lèvera pas le petit doigt pour vous protéger. Mais surtout crevez en silence. Et interdiction aux autres de s’élever contre cela, sinon c’est « faire le jeu de l’extrême-droite ».
Combien va-t-il falloir de morts, dans des conditions plus horribles les unes que les autres, pour que les français refusent cet argument ignoble : « Taisez-vous sinon vous faites le jeu de l’extrême-droite » ?
Je pose une question : l’horrible extrême-droite qui menace le pays… combien a-telle fait de morts depuis 20 ans dans notre France ?… aucun.
Et ceux qui sont les bienvenus et qui sont « une chance pour la France »… combien ont-ils faits de morts dans notre pays ?… plus de 300.
Alors au lieu de s’écharper sur les OQTF qui ne servent à rien, il serait bien plus efficace de demander le rétablissement du délit « d’entrée illégale en France » et donc du statut de « clandestin ». Délit, faut-il le rappeler supprimé par Hollande-Valls en 2012.
Si ce délit était rétabli, chaque clandestin arrêté pourrait être immédiatement mis en garde à vue et expulsé manu-militari avec reconduite séance tenante à la frontière ou vers son pays d’origine.
Et si cela avait été le cas, Lola serait vivante.
Et qu’on ne nous dise pas que le pays d’origine les refusent … il y a des moyens pour les faire céder.
Il faut juste la volonté politique. Même si l’Europe et l’ONU condamnent cette décision.
00:40 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 23 octobre 2022
Ils devraient tous bien méditer cela ...
Bernard Germain
Le media « ActuValdeMarne », nous apprend que : « Ce vendredi 21 octobre 2022, un homme a tenté de violer trois femmes, dont une magistrate, aux abords du tribunal judiciaire de Créteil (Val-de-Marne).»
Ce journal indique en complément : « C’est aux alentours de 11 heures, rue Ambroise Paré, que les faits ont commencé. Deux femmes sont agressées par un homme. Ce dernier aurait crié « je vais te violer ! ». Une troisième femme intervient et se fait agresser à son tour. Il s’agit d’une magistrate travaillant au tribunal de Créteil situé à quelques mètres de là. L’agresseur lui aurait arraché ses vêtements et aurait également crié qu’il voulait la violer.
Face à son agresseur, la victime se débat. Des passants, alertés par les cris, interviennent et permettent l’interpellation de l’individu. Les policiers arrivent sur la place et la victime est prise en charge par les sapeurs-pompiers. En état de choc, elle souffrirait également de blessures au coude et au genou. L’agresseur a de son côté été placé en garde à vue. Selon une source proche du dossier, il faisait l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) depuis quelques semaines. Le procureur de la République de Créteil se serait rendu sur place.»
Voilà pour les faits.
Reste une question des plus intéressantes … que va faire cette magistrate lorsqu’elle sera remise de cette agression et jugera de nouveau des faits semblables ?
Va-telle continuer d’exercer son métier en trouvant quasi systématiquement des circonstances atténuantes aux agresseurs, comme on le voit régulièrement dans les jugements rendus par les tribunaux pour des affaires de ce type ?
Rappelons que dans de multiples affaires, même de meurtres, mettant en cause des clandestins dont certains sont frappés d’une OQTF, les dits magistrats sont habituellement d’une mansuétude stupéfiante pour les accusés. Ce qui révolte à juste titre les français victimes quotidiennement de faits similaires. Ce que chacun sait, mais est soigneusement caché par les bien-pensants et la quasi totalité des médias.
Ces OQTF sont une conséquence de la dépénalisation du délit d’être un « immigré clandestin », mesure décidée par François Hollande. Depuis cette dépénalisation, seule un infime pourcentage est appliqué puisqu’on demande au clandestin concerné de « bien vouloir » quitter le territoire national sous 30 jours, ce qu’évidemment il ne fait pas. Et lorsqu’il se fait reprendre, une nouvelle OQTF est décidée qu’il ne respecte pas plus.
Cette histoire de tentative de viol d’une magistrate me rappelle Coralie Dubost, célèbre député LREM, qui répétait en boucle sur les plateaux télé qu’il n’y avait pas d’insécurité en France, mais une « sentiment d’insécurité ».
Jusqu’au jour d’octobre 2021 où, sortant d’un restaurant chic du VII° arrondissement de Paris, elle fut victime avec son compagnon d’une agression de racailles. Ils furent dépouillés, elle de ses colliers et bijoux, lui de sa montre Rolex à 12.000€, ainsi que de leurs cartes bleues et reçurent en prime quelques orrions qui furent visibles un certain temps sur le visage de cette député.
A compter de ce jour, elle ne parla plus de « sentiment d’insécurité ».
Confrontée à la brutale réalité de la « vraie vie », celle que subissent chaque jour nos concitoyens, la député est revenue sur terre et a nettement changé de discours.
Il serait bon que cette magistrate, elle aussi confrontée à la « vraie vie », en tire les leçons et rende la justice en n’excusant pas quasi systématiquement les agresseurs en leur trouvant moultes excuses, surtout s’ils sont « clandestins ».
Cette juge pourrait peut-être aussi en parler à ses collègues afin qu’eux aussi redescendent sur terre et jugent en appliquant les textes, sans se faire plus souvent qu’à leur tour, les tenants d’une culture de l’excuse permanente.
Elle pourrait même en parler à son ministre, garde des sceaux, qui sur le sujet n’a pas simplement quitté la terre mais est déjà arrivé sur la Lune ou sur Mars.
Le résultat de cette politique de l’excuse, doublée d’un laxisme coupable, est terrible. Sa dernière victime s’appelle Lola, massacrée dans des conditions abominables, par une immigrée clandestine frappée d’une OQTF dont elle n’avait, elle aussi, que faire.
L’une des missions fondamentales de l’État est de protéger ses citoyens. C’est pour cela qu’il dispose du monopole de la force légitime et est doté de tribunaux dont la mission est de faire respecter les Lois.
Au lieu de se ressaisir devant ces faits terribles, nos gouvernants et tous les bien pensants, c’est à dire les vrais responsables de ces situations plus dramatiques les une que les autres, ne savent que condamner ceux qui dénoncent cette situation en les accusant de faire de la « récupération ».
Que ces gens au pouvoir ne s’étonnent pas si les citoyens, lassés de se faire voler, violer, frapper ou massacrer, finissent par se révolter et se mettent à se faire justice eux-mêmes puisque l’État ne joue pas son rôle, n’assume pas ses responsabilités et au final ne les protège pas.
Qui sème le vent récolte la tempête …
Ils devraient tous bien méditer cela !
14:32 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 18 octobre 2022
Qu’est-ce que le wokisme ? Son histoire et ses conséquences.
Intervention de Bernard Germain, auteur du livre "Déconstruire la woke idéologie" aux éditions Synthèse nationale.
Vous pouvez acheter le livre ICI
18:22 Publié dans 14 - Les 14e Journées de Synthèse nationale, Bernard Germain, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 12 octobre 2022
BERNARD GERMAIN, AUTEUR DES LIVRES "MÉTHANISATION, LA NOUVELLE ESCROQUERIE ÉCOLOGISTE" ET "DÉCONSTRUIRE LA WOKE IDÉOLOGIE" RÉPOND AUX QUESTIONS DE PIERRE CASSEN POUR RIPOSTE LAÏQUE
Riposte Laïque : En quelques mois, vous venez de publier vos deux premiers ouvrages, aux Éditions Synthèse nationale. Vous avez commencé par publier « Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste ». Pouvez-vous expliquer rapidement ce que c’est, la méthanisation, et pourquoi vous vous êtes intéressé à cette question, sachant que nos lecteurs pourront découvrir l’entretien que vous avez accordé à Rivarol sur cette question ?
Bernard Germain : Il y a 3 ans, je ne savais pas ce qu’était la méthanisation. J’ai appris parce qu’une structure de méthanisation tente de s’implanter, près de mon domicile. Pour la combattre, je n’ai pas eu d’autre choix que d’apprendre.
Ce que j’ai découvert m’a scandalisé et depuis, je combats cette escroquerie écologiste qui est le triomphe de l’intérêt individuel (le méthaniseur) sur l’intérêt général (la population et l’environnement). Mais comme la façade est peinte en vert, les ignorants et les complices en font la promotion.
En quelques mots, la méthanisation consiste à mélanger dans une grande cuve des déjections animales, des déchets d’abattoirs, des œufs pourris… etc. auxquels on ajoute 25 % de carbone (végétaux). La cuve est en milieu anaérobie (sans oxygène). Sous l’action de micro-organismes une fermentation va avoir lieu et produire du méthane.
Le méthane est ensuite débarrassé du gaz carbonique (il doit être pur à 95 %) et injecté dans les conduites de GRDF.
Autre possibilité, on brûle ce méthane dans une turbine qui produit de l’électricité et celle-ci est vendue à EDF et passe dans son réseau.
A l’origine, on parlait de «méthanisation « à la ferme », c’est à dire au niveau d’une exploitation agricole, en recyclant ses propres déchets. Sur le principe ce n’était pas idiot, d’autant que ça donnait un coup de pouce aux agriculteurs qui se battent pour survivre (1 à 2 suicides par jour d’agriculteurs, selon une étude du Sénat) en faisant baisser leur facture de gaz ou d’électricité.
Mais des petits malins ont très vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner, d’autant qu’il y a des subventions qui tombent de partout et des contrats à prix garantis sur 15 à 20 ans par EDF et GRDF. Donc des méthanisations « à la ferme », il n’y en a quasiment pas. Par contre les méthaniseurs deviennent de plus en plus gros. Le plus imposant est en construction à Corcoué les Lognes (près de Nantes). Il recyclera 500.000 tonnes de déchets par an, soit 1400 tonnes par jour.
La méthanisation « à la ferme » n’est plus qu’un lointain souvenir …
Quant aux problèmes et nuisances que crée la méthanisation, ils sont légion. Je vous renvoie à l’article publié par Riposte Laïque (reproduisant celui que j’avais donné à Rivarol) et surtout à mon livre « Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste » disponible chez « Synthèse éditions ».
Quand on prend conscience des nuisances et des dangers de la méthanisation on ne peut qu’être scandalisé qu’une telle activité puisse être promue par nos dirigeants et hommes politiques.
L’incroyable danger que représente le wokisme
Riposte Laïque : Dans la foulée, vous nous proposez un livre plus dense, intitulé « Déconstruire la woke idéologie ». 275 pages, 15 chapitres, vous avez décortiqué les différents angles d’attaque des adeptes du wokisme. Qu’est-ce qui vous a inspiré à entreprendre ce si nécessaire travail ?
Bernard Germain : Ce qui m’a conduit à faire ce travail c’est l’incroyable danger que représente le wokisme. La société qu’ils nous préparent, c’est un authentique totalitarisme. Un monde orwellien. D’ailleurs ceux qui ont lu le livre « 1984 » ne peuvent qu’être frappés par la similitude. Tout y est, depuis la « novlangue » en passant par les « trous de mémoire » dans lesquels disparaissent ceux qui ne sont pas conformes à la norme, ou encore la réécriture a posteriori de la presse pour qu’elle corresponde à la doxa (la cancel culture aujourd’hui) et enfin l’utilisation des oxymores « la guerre, c’est la paix » … dont on a un bel exemple avec l’anti-racisme. Cela donne aujourd’hui : « l’anti-racisme, c’est le racisme » (anti-blancs).
Le fait que des gens qui se disent de « gauche » ainsi que les « progressistes », les macronistes et même des hommes politiques se réclamant de la « droite républicaine », puissent soutenir ces thèses – à l’évidence en complète rupture avec les valeurs « démocratiques » qu’ils prétendent défendre – c’est juste hallucinant.
Si on les laisse faire, notre société sera rapidement un enfer totalitaire dans lequel le terme « démocratie » ne sera plus qu’un gros mot.
Face à cela, si nous voulons sauver notre société, que pouvons-nous faire à part nous lever et combattre ce courant mortifère. C’est d’une urgence absolue. C’est d’autant plus vrai que les wokistes ont déjà obtenu des succès significatifs. Un exemple l’illustrera parfaitement : les problèmes de sexualité.
Dans la population, 95 % sont hétéro-sexuels et 5 % sont membres des minorités (LGBTQIA+).
Pour le wokisme, le simple fait de dire qu’il y a une majorité et une minorité, c’est une discrimination. Ils réclament que tout le monde soit traité de la même manière sans tenir compte de l’existence d’une majorité. Et ils ont gagné !
Il y a eu le PACS, puis le « mariage pour tous ». La question d’avoir des enfants s’est trouvée posée. Donc il y a eu la PMA « pour toutes ». Et au nom de l’égalité homme-femme, comme deux hommes ne peuvent avoir d’enfant, il y aura bientôt la GPA. C’est à dire la marchandisation des corps. Et tout cela culminera sans doute dans l’eugénisme sur lequel travaillent déjà de nombreux laboratoires dans le monde, notamment aux USA.
Ce faisant, nous avons accepter le viol de principes éthiques que nous pensions inamovibles.
Pour résumer, on a mis cul par dessus tête des Lois – le droit de la filiation – qui étaient en vigueur depuis des lustres, en fonction de la norme majoritaire de notre société, afin de prendre en compte les revendications de moins de 5 % de la population. Donc 95 % ont accepté de changer la norme pour prendre en compte les exigences de 5 % de la population.
C’est là qu’on mesure le danger du wokisme. Il refuse d’accepter l’idée qu’une majorité puisse décider du fonctionnement de la société et impose la dictature des minorités sur la majorité.
Le wokisme est une authentique dictature.
Une tragique erreur serait de rire de tout cela ou de ne pas prendre ce courant au sérieux.
Il est déjà omniprésent dans les universités d’où sortent nos DRH et dirigeants d’entreprises de demain.
C’est la même chose à Sciences-po, à Normale-sup… etc. d’où sortiront les dirigeants politiques des années à venir.
Si nous n’y prenons garde, les élites de demain seront converties au wokisme et mèneront, du haut des postes qu’elles occuperont, des actions qui imposeront à toutes les entreprises et au pays entier des bouleversements dont notre société démocratique ne se relèvera pas.
Ceux qui en doutent n’ont qu’à voir la situation des USA aujourd’hui sur ce plan. C’est clairement ce qui nous menace à relativement brève échéance.
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mardi, 27 septembre 2022
Un entretien avec Bernard Germain sur la méthanisation publié dans Rivarol
Entretien publié dans le n°3532 de Rivarol (cliquez ici)
La crise du « gaz russe » est un rappel de l’importance de l’indépendance énergétique pour une nation. La situation implique aussi d’ouvrir un débat sur l’utilité réelle des « énergies vertes » pour assurer notre approvisionnement stratégique. Bernard Germain revient pour nous sur ce sujet qu’il connaît bien.
Rivarol : Vous vous attaquez dans vos livres à l’escroquerie des énergies vertes. De quand date l’apparition de ce terme et pourquoi est-il devenu si important dans la propagande étatique ?
Bernard Germain : Le terme « énergies vertes » est un synonyme d’« énergies renouvelables ». Ces termes sont apparus au début des années 2000 et proviennent d’un double phénomène :
l’apparition de la théorie du réchauffement climatique en 1990, devenue « dé- règlement climatique » car cette théorie du réchauffement a quelques difficultés à s’imposer scientifiquement. En effet, le GIEC (qui dépend de l’ONU) a été pris la main dans le sac, à plusieurs reprises, à tordre la réalité afin de confirmer ses affirmations loin d’être évidentes et surtout non confirmées scientifiquement. Le CO2 a toutefois été décrété responsable de tous nos malheurs climatiques et le « bilan carbone » est devenu le nouveau credo des « progressistes » et gouvernements.
suite à l’arrivée au pouvoir en Allemagne en 1998 d’une coalition sociaux-démocrates et Verts, l’abandon du nucléaire a été décidé. Le processus d’arrêt du nucléaire doit se terminer en Allemagne fin 2022. En remplacement du nucléaire, l’Allemagne a décidé de recourir massivement aux énergies renouvelables. Ce pays est donc couvert d’éoliennes, de panneaux solaires et de méthanisations. L’Europe étant largement dominée par ce pays, ses théories ont été aisément adoptées et se diffusent largement au sein des pays membres, notamment en France.
On peut donc affirmer sans risque de se tromper que c’est par pure idéologie que la propagande étatique fait la promotion de ces énergies renouvelables. C’est d’autant plus vrai que la France avait un parc nucléaire que le monde entier nous enviait, qui nous assurait une électricité à très bas coût, le nucléaire étant par ailleurs l’énergie la plus décarbonée. Il n’y avait donc aucune raison de l’abandonner. C’est pour un minable accord électoral avec les Verts en 2012, que Hollande a accordé aux Verts l’arrêt de Fessenheim et a emmené la France sur la voie du désengagement nucléaire. La fermeture a été réalisée par Macron et bien sûr la promotion du « renouvelable » n’a fait que croître en parallèle. Afin de « compenser » la baisse de la part du nucléaire dont l’objectif affiché est de la ramener à 50 %.
Rien ne justifie cette politique mortifère, impulsée par l’Europe – Allemagne en tête –, devant laquelle se couchent nos gouvernants, accompagnée de pauvres combines politiques dans notre pays. Défendre les intérêts de la France n’est pas leur préoccupation, vendus qu’ils sont aux théories « européistes ». Même si cela doit se faire au détriment des intérêts de notre pays.
Les parcs d’éoliennes ont été une première étape dans le domaine des énergies vertes. Après 10 ans d’exploitation, quel bilan en faire ?
Si l’on est simplement honnête intellectuellement on ne peut que reconnaître que le bilan est catastrophique.
Pour une raison toute simple : le vent est une énergie intermittente. Les éoliennes ne produisent de l’électricité que 25 % du temps. Mais comme il est impossible de stocker l’électricité, il faut être capable d’ajuster la production au fur et à mesure des besoins. Ce qui implique obligatoirement d’avoir recours à d’autres sources d’énergie, lorsqu’il n’y a pas de vent. Ces autres sources, ce sont des centrales à gaz ou à charbon. Beaucoup plus polluantes que le nucléaire.
Avec le nucléaire, la production de 1 MGW d’électricité génère 3 grammes de CO2. Avec la centrale à charbon de Saint-Avold (67) qui est en phase de réouverture, cela produira, par MGW, 850 grammes de CO2. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et pour faire baisser la part du nucléaire, on réactive des centrales qui sont infiniment plus polluantes. L’Allemagne vient ainsi de décider de fermer ses 3 derniers réacteurs nucléaires et de rouvrir dans le même temps 27 centrales à charbon. La seule centrale de Jänschwalde produira 25 millions de tonnes de CO2 par an. Et comme il y en a 27, on peut estimer que cela générera autour de 650 millions de tonnes de CO2 par an. Un délire complet !
Rappelons que la France produit moins de 1 % du CO2 mondial. En revanche, la Chine et les États-Unis produisent près de 50 % du CO2 mondial. C’est là que se trouve le problème. Pas dans notre pays.
Pourtant de grotesques polémiques ont lieu, par exemple, sur les jets privés. Le sort de la planète serait en jeu. Galtier, l’entraîneur du PSG, y a répondu, avec ironie et justesse, en indiquant que le PSG travaillait à faire ses prochains déplacements en « char à voile ». En retour, il s’est pris la rafale et s’est vite couché devant les bien-pensants, retirant sa blague. Pourtant il avait raison. TF1 info a publié le chiffre du CO2 produit par la totalité du transport aérien en France pour l’année 2018 (donc y compris les jets privés) : 22 millions de tonnes de CO2.
Un déplacement en avion du PSG et c’est l’émeute. Mais 650 millions de tonnes de CO2 en un an pour les centrales à charbon allemandes, là c’est un lourd silence des bien-pensants. Deux poids et deux mesures ! Et une intoxication idéologique de masse au nom du « bien ».
La France n’a aucunement besoin de mener cette politique d’énergies renouvelables qui, de plus, aggrave largement ce qui est prétendument combattu, à savoir la production de CO2. Ce qu’il faut, c’est entretenir et étendre notre parc nucléaire et arrêter complètement la filière des énergies renouvelables qui est un gouffre financier pour des résultats ridicules.
10:40 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 22 septembre 2022
Callac : toutes ces réalités rurales que le bobo à migrants Périco Légasse ignore
Bernard Germain
Vous, je ne sais pas, mais moi, il y a des gens qui m’insupportent vraiment. Et au hit parade de ces personnes, il en est une qui tutoie les sommets : le sieur Périco Légasse.
Selon mes informations, il s’est fait un nom dans la rubrique « critique culinaire », notamment dans un journal du nom de la République. Il est par ailleurs le conjoint de la rédactrice en chef de ce journal. Est-ce pour cela qu’il se pense omniscient ? Nul ne le sait.
Toujours est-il que ce monsieur s’est autorisé dernièrement à faire des déclarations tapageuses à la télévision, et sur Twitter où il écrit à propos d’une arrivée massive d’immigrés à Callac (Côtes-d’Armor) :
« C’est une formidable idée, on peut allouer un lopin de terre et en faire des paysans. C’est l’avenir de notre ruralité ».
S’agissant de sa déclaration, s’il y avait un prix Nobel des déclarations débiles, il m’apparaît qu’il serait incontestablement dans la « short list » pour décrocher la palme.
Tout d’abord, M. Périco Légasse sait-il de quoi il parle quand il invoque la ruralité ?
Transformer les immigrés, implantés de force dans nos campagnes par nos mondialistes et européistes, en paysans… ce serait donc la solution aux problèmes de la ruralité ? En affirmant cela, le pauvre Périco Légasse ne fait qu’exposer son ignorance crasse de la réalité.
Si ce Monsieur se penchait un tout petit peu sur la question, au lieu d’ânonner des slogans mondialistes, il saurait que les problèmes de la ruralité sont bien différents.
La « ruralité » crève d’abord d’être « l’oubliée » de la République. Sur tous les plans. Par exemple la maternité de Guingamp est menacée de fermeture car « pas assez rentable » selon les comptables fous de Bercy, du ministère de la Santé et leurs relais de l’ARS. Si d’aventure cette fermeture devenait effective, les femmes de cette région devraient faire près de 50 km pour aller accoucher à St-Brieuc. Je vous laisse imaginer les drames qui pourraient survenir en cas de complications nécessitant une intervention médicale en urgence.
Autre exemple, tous les services publics disparaissent les uns après les autres de nos campagnes. Pour les remplacer, nos gouvernants éclairés ont implanté des « maisons des services publics ». S’il s’agit de donner un formulaire, c’est parfait. Mais si un problème un peu plus compliqué existe, l’usager se verra contraint de prendre sa voiture pour aller dans la ville la plus proche ayant encore le service public concerné.
Y aller coûte cher car cela représente la plupart du temps un déplacement de plusieurs dizaines de km à effectuer. Et l’essence n’est pas donnée par les temps qui courent.
Quant à ceux, nombreux, à ne pas avoir de voiture, ils n’ont que de rares transports en commun à leur disposition pour s’y rendre.
M. Périco Légasse qui habite en région parisienne dispose du métro ou des bus pour se déplacer. Mes excuses, du fait de son statut, ce monsieur doit sans doute se déplacer en taxi. « Défendre le peuple » est une chose, mais cela n’implique pas forcément de voyager avec…
19:26 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |