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samedi, 08 avril 2023

Invasion des campagnes : après “Envoyé Spécial”, la propagande d'Etat en faveur du grand remplacement continue

image presse.jpegBernard Germain

Après l’ineffable « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, diffusé jeudi 6 avril sur France 2, concernant le dossier de Callac, les pro-immigration continuent leur offensive pour imposer la transition démographique dans les campagnes.

Cette fois, c’est un reportage de France info qui s’y colle afin de tenter de démontrer que les Français ne sont que des égoïstes, insensibles aux valeurs de solidarité et d’accueil. Qui plus est, ils ne comprennent rien à l’intérêt pour la France d’accueillir ces immigrés.

Le reportage commence par Uzerche, un bourg de 2700 habitants en Corrèze. Une trentaine de migrants sont arrivés depuis 2016.

Au début du reportage, on assiste à un cours d’alphabétisation. L’objectif est à l’évidence de souligner l’envie des immigrés d’apprendre le français et donc de s’intégrer à notre société.

On me permettra d’objecter qu’apprendre une langue ne signifie pas qu’on va se fondre dans la population, adopter ses coutumes, sa culture, son identité ni son histoire.

Quand on vient d’un pays comme l’Afghanistan, comme c’est le cas dans le reportage, les différences sont tellement importantes que réduire le problème à celui de la langue est vraiment une mauvaise blague.

Bien évidemment, le reportage n’abordera pas ce problème pourtant fondamental.

On notera au passage que cet Afghan a laissé sa famille au pays. Donc s’il est régularisé, il fera jouer les règles du regroupement familial et au final, ce ne sera pas un migrant de plus à Uzerche mais entre 5 et 10 personnes.

Lorsque toutes ces personnes seront là, vont-elles vivre « à la française » ou reproduire en Corrèze leur mode de vie afghan ?

Il me semble qu’il y a suffisamment d’exemples en France pour pouvoir affirmer qu’ils garderont le mode de vie de leur pays d’origine. Pour preuve, la seule femme qu’on voit au début du reportage est… voilée.

Et c’est le problème. Du fait du nombre, et de la volonté de ces migrants de conserver leur mode de vie, on assiste à l’instauration de deux France. Qui vivent aujourd’hui « côte à côte » jusqu’au moment où l’affrontement aura lieu. Car c’est logique, l’une prendra le pas sur l’autre. Comme la France ne veut pas imposer son identité et ses us et coutumes aux migrants, quand ces derniers seront majoritaires, c’est eux qui imposeront leur mode de vie à leur pays d’accueil. C’est juste une question de temps. Mais la fin de l’histoire est connue d’avance.

On voit ensuite le maire nous vanter les bienfaits de sa politique « qui n’a pas posé de problème ».

Et d’ajouter « On peut proposer des logements, ce qui n’est pas possible dans les grandes villes ».

Tiens, tiens, moi ça me rappelle quelque chose.

Cette famille de Français à Ploërmel, obligée de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre avec 4 enfants, parce qu’il n’y a pas de logement disponible pour les héberger.

Par contre, comme dit le maire, il y a des logements pour les migrants.

Et certains ne comprennent pas que ça puisse énerver les Français de constater qu’il y a des logements pour les migrants mais pas pour les Français ?

Et ces Français « solidaires des migrants » ça ne les gêne pas de laisser tomber leurs compatriotes au profit de gens venus de l’autre bout de la terre.

C’est cela leur solidarité ? Pour ce qui me concerne, je trouve cela honteux.

Pourtant ce maire ne redoute pas de dire « tout le monde a à y gagner »… vraiment ?

Le reportage continue avec la valorisation de l’embauche de certains de ces migrants par un forestier.

« On a du mal à trouver de la main d’œuvre » dit cet employeur.

Cela me rappelle encore un autre problème. La chance que représentent les migrants qui occupent les « emplois que les Français ne veulent pas occuper ».

D’une part, on ne saura pas combien ces gens sont payés. D’autre part, je m’autorise à objecter que quand quelqu’un dépend de son travail pour obtenir ses papiers, il doit être plus docile qu’un Français de souche.

Enfin, le niveau des salaires, dans les domaines que les Français ne veulent pas occuper, est peut-être la raison qui explique ce désintérêt ?

Si ces métiers délaissés par les Français (hôtellerie, restauration, forestiers, etc.) étaient mieux payés, il y aurait sans doute plus de candidats. Non ? 

Pour en savoir plus cliquez ici

Vient ensuite le cas de Beyssenac, village de 350 habitants situé à 30 minutes d’Uzerche.

Dans ce tout petit village, le préfet compte installer un CADA avec 40 migrants.

Émotion et mobilisation dans le village contre ce projet, à tel point que le préfet a décidé d’y organiser une réunion. Pour essayer de convaincre.

La salle est entièrement pleine. Plus de 200 personnes dont l’immense majorité est très remontée.

On entend les arguments de bon sens s’enchaîner.

À un moment quelqu’un demande « Qui est contre le CADA ? »… et une forêt de mains se lèvent.

Seules deux femmes s’indignent de ce rejet. Deux sur plus de 200 !

Ce qui n’empêche nullement le préfet de continuer à soutenir son projet contre vents et marées. En l’occurrence contre la volonté de la population.

On entend aussi des opposants s’exprimer.

Le journaliste demande : « Vous n’êtes pas pour la solidarité ? »

Réponse d’une opposante : « Je suis pour la solidarité, mais qu’on commence par nos anciens. »

Un autre opposant : « Je suis venu à la campagne pour être tranquille et quand je vois comment ça se passe, ça va être n’importe quoi. »

Le préfet terminera avec ces paroles : « Toute la France doit faire des efforts et être solidaire. »

La rupture est totale entre d’une part les bien-pensants, les autorités et d’autre part, la population.

Les pro-immigration ont manifestement fait leur cette déclaration de Benoît Frachon (ancien dirigeant de la CGT) :

« Il faut convaincre ou submerger. »

Pour notre part nous avons choisi de résister et nous invitons tous les Français à rejoindre notre combat, qui fut victorieux à Callac, en nous contactant sur notre site Partout Callac cliquez ici 

Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.

23:04 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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