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vendredi, 26 mai 2023

Callac : Laure-Line Inderbitzin virée par le maire de son poste d’adjointe

laure-line.jpgBernard Germain 

Le 17 mai j’avais publié un article relatant les dernières frasques de Laure-Line Inderbitzin. Vous savez, la grande malade de Callac -en arrêt maladie depuis des mois- mais qui est tellement malade qu’elle se produit hors des heures autorisées de sortie à de multiples endroits et publiquement, s’il vous plaît.

Par exemple comme nous l’avions indiqué : dans un bar le soir à lever son verre tout en chantant en breton (filmé et diffusé par TF1), ou encore en participant à un conseil municipal. Enfin, dernièrement à participer à un débat dans les locaux de Médiapart à Paris (visible sur YouTube).

Pendant ce temps là, ses élèves (elle est enseignante) n’ont pas de cours et cela énerve passablement les parents des élèves abandonnés par Laure-Line. Je continue à être très étonné, vu que tout cela est largement public, qu’aucune poursuite ne soit engagé contre cette dame, par exemple par la Sécurité Sociale ou l’Éducation nationale. Laure-Line serait-elle au dessus des Lois ? En tout cas, si elle n’est pas au dessus des Lois, cela y ressemble fort.

Pour Laure-Line, aucune limite n’existe visiblement sur le plan du respect des règles de vie en société, mais c’est aussi le cas sur le plan politique.

Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré à propos de l’arrêt du projet Horizon à Callac qui prévoyait l’arrivée de plusieurs centaines de migrants : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ». En langage clair, le maire a capitulé devant « l’extrême droite » c’est « impardonnable ».

En entendant cette déclaration de Laure-Line, je m’étais dit : « Dans n’importe quelle mairie normalement constituée, un adjoint qui dirait cela de son maire serait débarqué sur le champ ». Visiblement le maire de Callac est de cet avis.

Il vient de débarquer la dame de son poste d’adjointe. Du moins, c’est ce que rapporte la presse locale. Le conseil municipal du 1er juin doit officialiser la chose.

À mon avis, ce n’est qu’un début. Pourquoi ?

Parce qu’il y a un autre enragé pro-immigration dans ce conseil municipal : le sieur Morcet.

Vous savez, celui qui a porté plainte contre l’association « les Amis de Callac et ses environs », parce qu’il aurait vu la nuit et sans éclairage dans son jardin un homme habillé en noir et portant une cagoule. Observation faite depuis la fenêtre de sa chambre. Le gars est vraiment fort, il voit la nuit dans le noir, un homme habillé tout en noir avec cagoule et précise qu’il mesurait 1m75 à 1m80. C’est le champion du monde de la vision nocturne.

Comme je le disais, ce monsieur est également connu pour être l’un des plus enragés du conseil municipal pour la venue de migrants à Callac. Que va-t-il faire au conseil du 1er juin ?

Va-t-il soutenir Laure-Line et s’opposer à sa destitution de 2e adjointe ou va-t-il se coucher et « trahir » Laure-Line ? S’il s’oppose, il ne reste plus au maire qu’à lui retirer aussi sa délégation d’adjoint, parce qu’il est lui aussi adjoint au maire. À mon humble avis, on n’en est qu’au début d’une crise qui va toucher tout le conseil municipal.

Cela pourrait d’ailleurs se terminer par une démission collective obligeant à l’organisation de nouvelles élections. C’est d’autant plus vrai que les problèmes s’accumulent et sont plus explosifs les uns que les autres.

Ainsi, malgré l’abandon du projet Horizon, les deux vétérinaires Joncour et Lagrue, eux aussi totalement pro-migrants, continuent inlassablement à promouvoir l’arrivée de familles d’immigrés.

Tout comme Viltaïs l’association sulfureuse pro-migrants pour laquelle faire venir des migrants est un business qui rapporte beaucoup d’argent sous forme de subventions, c’est à dire nos impôts.

Mais voyez-vous, les problèmes ne s’arrêtent pas là. L’accompagnement des migrants par Viltaïs ne va durer que quelques mois. Et après, que va-t-il se passer ?

Rappelons qu’il n’y a pas un euro, pas un emploi, pas une aide pour les habitants de Callac. Par contre, des sommes folles sont dépensées pour ces migrants afin de les faire venir et les installer. Mais ensuite ce sera aux callacois d’assurer la suite.

Quand cela va être à l’ordre du jour du conseil, ça risque de faire des étincelles. Qui va accepter de voter l’augmentation des impôts fonciers par exemple, pour financer l’accompagnement des migrants lorsque Viltaïs aura fini son accompagnement ?

Le maire s’est aperçu, qu’il s’est fait manipuler par l’extrême gauche depuis le début de cette affaire. Il est même en passe de devenir l’ennemi de cette extrême gauche puisqu’il a « capitulé » devant les « fascistes ». Moi je dirais plutôt qu’il est redescendu sur terre et a retrouvé un certain bon sens.

Reste qu’il va devoir choisir entre les conséquences des folies de l’extrême gauche et ce que veulent et surtout ne veulent pas ses administrés. Car soyons simples. Les callacois commencent à comprendre que l’abandon du projet Horizon n’a nullement réglé tous les problèmes.

Aujourd’hui, les callacois voient bien que le travail de sape des Lagrue et Joncour, de Viltaïs et des élus municipaux pro-immigration qui veulent amener dans le bourg toujours plus d’immigrés… tout cela va avoir un coût et ce sont les habitants à la fin qui vont devoir payer.

L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a de multiples contacts et discussions avec les habitants. Je suis en mesure de dire que la colère est en train de monter au sein de la population.

Si les habitants constatent une augmentation significative des impôts locaux, afin de financer les conséquences de cette politique immigrationniste, ce ne sont pas les imaginaires violences d’extrême droite auxquelles les élus vont devoir faire face, mais à une bien réelle sérieuse colère des habitants.

Débarquer Laure-Line, sans doute aussi Morcet, sont des mesures de salubrité publique. Mais ce ne sera pas suffisant. Le maire va devoir décider très vite s’il assume les conséquences de l’arrivée de ces immigrés à Callac, et s’il met le financement de tout cela à la charge des callacois.

À l’inverse, si le maire veut réellement sortir sa ville du guêpier dans lequel elle est tombée, il va devoir aller jusqu’au bout et prendre les mesures pour s’opposer et se se désengager vraiment de cette politique. Les semaines et mois à venir vont être riches d’enseignements.

23:47 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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