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mardi, 04 octobre 2022

XAVIER EMAN, JOURNALISTE ET ESSAYISTE, INTERVIENDRA DIMANCHE 16 OCTOBRE À RUNGIS LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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lundi, 03 octobre 2022

L'ÉCONOMISTE BERNARD MONOT INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS

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vendredi, 30 septembre 2022

RICHARD ROUDIER, PRÉSIDENT DE LA LIGUE DU MIDI, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 16 OCTOBRE

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jeudi, 29 septembre 2022

Thomas Joly, président du Parti de la France, interviendra dimanche 16 octobre lors du Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale

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mardi, 27 septembre 2022

THIERRY BOUCLIER INTERVIENDRA LE DIMANCHE 18 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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lundi, 26 septembre 2022

DIMANCHE 16 OCTOBRE, GABRIELE ADINOLFI INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS (94)

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LE DERNIER LIVRE DE GABRIELE ADINOLFI :

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vendredi, 23 septembre 2022

JEAN-GILLES MALLIARAKIS, ÉDITEUR ET DIRECTEUR DU SITE "L'INSOLENT", INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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mercredi, 21 septembre 2022

Pour combattre le wokisme : 2 choses à faire...

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lundi, 19 septembre 2022

PIERRE CASSEN, PRÉSIDENT DE RIPOSTE LAÏQUE, INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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vendredi, 16 septembre 2022

PHILIPPE RANDA SERA AU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 16 OCTOBRE PROCHAIN

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Il vient de sortir : le numéro 61 de la revue Synthèse nationale

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N°61 - 108 pages - 12,00 euros 

P. 2 - ÉDITORIAL Roland Hélie

P. 6 - ET MAINTENANT ? Bernard Germain

P. 9 - LES TERRITOIRES PERDUS DE LA RÉPUBLIQUE Bernard Germain

P. 15 - LE TOTALITARISME WOKE QUI VIENT Franck Buleux

P. 22 - SPORT ; LA FOLIE TRANSGENRE EN ACTION Charles-Henri Michel

P. 29 - DÉCONSTRUIRE LE WOKISME  Entretien avec Bernard Germain

P. 36 - NOUS REBÂTIRONS LA  MAISON  Pierre P.

P. 38 - KOHLANTESS  La chronique de Philippe Randa

P. 41 ASPECTS DE LA DÉSINFORMATION ET DE LA MANIPULATION DE L’OPINION. Pieter Kerstens

P. 46 - L’IDENTITÉ NUMÉRIQUE Arnaud Raffard de Brienne

P. 53 - LA FRANCE D’ISABEAU DU TOUQUET ENTRE EN GUERRE André Posokhow

P. 63 UKRAINE RUSSIE EUROPE. Patrick Parment

P. 69 - ANNEXER TAÎWAN ?  Jean-Claude Rolinat

P. 74 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

P. 77 - LES LIVRES AU CRIBLE  Georges Feltin-Tracol

P. 88 - LES BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES   Daniel Cologne

P. 92 - LE MYTHE DE LA   DÉCENTRALISATION SOUS L’ANCIEN RÉGIME  Charles-Henri d’Elloy

P. 96 - LES FLANERIES     CINÉMATOGRAPHIQUES. Scipion de Salm

P. 100 - LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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mercredi, 14 septembre 2022

Auteur du livre "Déconstruire la woke idéologie", Bernard Germain interviendra le dimanche 16 octobre lors de la Journée de Synthèse nationale

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lundi, 12 septembre 2022

Sortie prochaine du n°61 de la revue Synthèse nationale

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vendredi, 17 juin 2022

Pour soutenir le site "Synthèse nationale" : ABONNEZ-VOUS À LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE" !

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jeudi, 02 juin 2022

Parution très prochaine du n°60 (printemps 2022) de la revue Synthèse nationale

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N°60, Printemps 2022

94 PAGES, 12,00 € (+ 5,00 € DE PORT)

Sortie le 8 juin 2022

Pour le commander en ligne cliquez ici

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P 2 ÉDITORIAL  Roland Hélie

P 6 QUELQUES ENSEIGNEMENTS DE LA PRÉSIDENTIELLE Didier Lecerf 

P16 TOUT CELA FINIRA MAL Bernard Germain

P 28 JE NE REGRETTE RIEN La chronique de Charles-Henri d'Elloy           

P 34  IRIONS-NOUS JUSQU'À MOURIR POUR KIEV ? Jean-Claude Rolinat

P 42  AU FESTIVAL DE CANNES, LA PALME DE PLOMB REVIENT AU SALTINBANQUE DE KIEV Pieter Kerstens                             

P 46 "NAZI" : C'EST CELUI QUI LE DIT QUI L'EST ! Philippe Randa

P 48 AMÉRICA HORRIBILIS Patrick Parment                                                                 

P 51 DICTATURE ET TOTALITARISME DEUX NOTION NON OBLIGATOIREMENT LIÉES Bernard Plouvier 

P 56 L'IMPLANTATION DES GANGS NIGÉRIANS  Maurice Bernard

P 60 LES FLANERIES CINÉPHILES Scipion de Salm

P 66 LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

P 71 LES LIVRES AU CRIBLE  Georges Feltin-Tracol 

P 83 LES BIOGRAPHIES  LITTÉRAIRES Daniel Cologne

P 87 JEAN PICOLLEC, DERNIER SURVIVANT D'UNE GÉNÉRATION D'ÉDITEURS AUJOURD'HUI DISPARUS Entretien avec Philippe Randa

Ainsi que les rubriques habituelles...

ABONNEMENTS & DIFFUSION

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lundi, 21 février 2022

IL ARRIVE ! Le nouveau numéro (n°59) de la revue Synthèse nationale est sorti, les abonnés vont très vite le recevoir...

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Et, si vous n'êtes pas encore abonné : cliquez ici

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vendredi, 11 février 2022

Le n°59 (hiver 2021-2022) de la revue Synthèse nationale est sorti

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Sortie le 14 février 2022

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mercredi, 02 février 2022

DIFFÉRENTS TEXTES DE DANIEL COLOGNE ÉDITÉS DANS LE CADRE DE LA COLLECTION "IDÉES" DES BOUQUINS DE SYNTHÈSE NATIONALE

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mardi, 16 novembre 2021

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était à Madrid samedi aux Journées de la dissidence

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En fin de semaine dernière, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité par les Editions Fides à prendre la parole lors des 15es Journées de la dissidence (12, 13 et 14 novembre) organisées à Madrid.

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Notre ami Gabriele Adinolfi (à gauche sur la photo), directeur de l'Institut Polaris de Rome et inspirateur des Lansquenets d'Europe, était présent à ces journées.

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Samedi après-midi, Roland Hélie exposa la situation actuelle de la droite nationale et identitaire en France devant un public espagnol attentif et nombreux.

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Cette réunion fut aussi l'occasion de rencontrer de nombreuses personnalités ibériques parmi lesquelles le général Piñar (au centre), fils de Don Blas Piñar, décédé en 2014, fondateur dans les années 1970 de la revue et du mouvement Fuerza nueva.

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Samedi soir, un sympathique diner était organisé par la Phalange madrilène. Nous remercions les Editions Fides pour leur invitation.

Cette réunion a permis de resserrer les liens entre Synthèse nationale et Fides edicion qui, depuis quelques années, coopèrent régulièrement en vue de constituer au niveau européen un vaste réseau de diffusion des idées nationalistes, identitaires et non-conformistes.

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jeudi, 11 novembre 2021

Samedi 13 novembre : Roland Hélie interviendra lors des 15e Journées de la dissidence organisées à Madrid

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Le site de "Fides ediciones" cliquez ici

dimanche, 07 novembre 2021

Sortie du n°58 (automne 2021) de la revue Synthèse nationale

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AU SOMMAIRE :

2  - ÉDITORIAL Roland Hélie

10 - NE PAS LAISSER TOMBER CASSANDRE FRISTOT

12 - CE PEUPLE QUI NE VEUT PAS MOURIR Maurice Bernard

15 - PRÉSIDENTIELLE EN LIGNE DE MIRE Patrick Parment                      

20 - TOUT EST POSSIBLE Didier Lecerf

27 - ZEMMOUR ET LES PRÉNOMS Youenn Caouissin

32 - ZEMMOUR CENSURÉ ? LE PRÉCÉDENT AUTANT-LARA Philippe Randa

35 - COVID-19 : LA FRANCE À L'ÉPREUVE DE LA TYRANNIE Arnaud Raffard de Brienne               

40 - LA GRANDE MASCARADE  Charles-Henri d'Elloy

38 - BIENTÔT, PLUS D'AUTO Pieter Kerstens

50 - LE PAPE MARCHE À CÔTÉ DE SES MULES Jean-Claude Rolinat

55 - LES PAGES DU MARQUIS  Jean-Paul  Chayrigues de Olmetta

58 - LIVRES DU MOIS Georges Feltin-Tracol

65 - BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne

69 - UNE ÂME POUR LA BRETAGNE Yves Furic  

71 - LES FLANERIES TÉLÉVISUELLES Scipion de Salm

71 - AUTOUR DE SYNTHÈSE NATIONALE Guirec Sèvres

82 pages, 12,00 € (+ 5,00 € de port)

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

Le commander à 

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jeudi, 28 octobre 2021

Face au prétendu modèle social : la corporation et le solidarisme

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Le texte ci-dessous tend à répondre à une question formulée à propos de la corporation, sur laquelle j'avais d'abord été invité à écrire un article dans la revue Synthèse nationale : "de quoi parle-t-on" ? À la suite de quoi le directeur de cette revue avait programmé en 2020, juste à l'époque où tout a été arrêté en France par le confinement, une conférence qui n'a été prononcée que le 9 octobre 2021 (cliquez ici), et dont le thème "Solutions corporatives" comportait un indispensable point d'interrogation…

Il se trouve que, comme on le verra, quelques jours plus tôt, Éric Zemmour avait jeté tel un courageux pavé dans la mare, une condamnation du fameux modèle social français, supposé généralement tabou, sans indiquer cependant quels types de solutions il préconisait lui-même.

Je tiens à souligner en préambule, que, de mon point de vue la réponse que l'on va lire résulte d'une préoccupation qui a habité toute la vie militante de son rédacteur. On peut résumer en disant qu'il s'agit "d'arracher le Social à la gauche". On lira donc ci-dessous une sorte d'introduction à une théorie qu'on appellera "solidariste". On entendra par ce mot, la volonté de combattre la lutte des classes. La corporation s'y attache dans l'entreprise comme dans le métier. Elle s'oppose aussi bien à ce que cherchent à attiser les communistes, et la CGT, mais également aux calculs de la technocratie et d'une certaine finance à courte vue.

Texte de la conférence du 9 octobre 2021.

Il m'est agréable de faire part ici de mes idées sur le thème de la Corporation, dans le cadre du cercle de Synthèse nationale.

Je remercie le camarade Roland Hélie qui m'avait invité à m'exprimer devant vous pour le 4 avril 2020. Et puis s'est développée la crise du Covid, et le confinement a tout empêché.

  1. Le sentiment d'enfreindre un interdit

Cela m'est agréable aussi parce qu'au rythme où vont les choses nous allons bientôt entendre M. Attal, M. Véran ou M. Dupont-Moretti nous expliquer que l'idée corporative, en elle-même, doit être considérée comme contraire aux principes de la république.

Parler en bien du corporatisme nous expose d'ores et déjà aux foudres de la bien-pensance. "C'est mal puisque c'est défendu". Épatant...

Or, le lieu était bien choisi, à côté d'un ancien café peu connu du grand public, mais qui abrita, pendant des décennies, les rendez-vous bien réels, discrets car très marginaux par rapport à la loi, celui de la Révision organisée par les principaux antiquaires parisiens, contrant à leur manière le vieux privilège concédé depuis 1816 aux commissaires-priseurs. Il s'agissait bel et bien d'une organisation corporative illégale : grisant…

Car la répression du corporatisme a commencé très tôt dans l'histoire républicaine puisque dès la Terreur jacobine c'est un arrêté du Comité de Salut Public en 1794 qui prévoit tout simplement que "les ouvriers et les journaliers qui se coaliseraient sur le terrain professionnel seraient traduits devant le tribunal révolutionnaire". Autant dire qu'ils étaient, dans la plupart des cas, voués la guillotine.

  1. Un long héritage répressif

La codification par Napoléon des acquis de la révolution va conduire le Code pénal de 1810 à organiser l'interdiction de la grève, l'interdiction du syndicalisme ouvrier, mais aussi celle de la concertation patronale et de l'action sociale.

Voici les textes :

"Article 414. Sera puni d’un emprisonnement de six jours à trois ans et d’une amende de 16 francs à 3 000 francs, ou de l’une de ces deux peines seulement, quiconque à l’aide de violences, voies de fait, menaces ou manœuvres frauduleuses, aura amené ou maintenu, tenté d’amener ou de maintenir une cessation concertée de travail, pour forcer la hausse ou la baisse des salaires ou porter atteinte au libre exercice de l’industrie ou du travail.

Article 415. Lorsque les faits punis par l’article précédent auront été commis par suite d’un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l’arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.

Article 416. Seront punis d’un emprisonnement de six jours à trois mois et d’une amende de 16 francs à 300 francs, ou de l’une de ces deux peines seulement, tous ouvriers, patrons et entrepreneurs d’ouvrage qui à l’aide d’amendes, défenses, proscriptions, interdictions prononcées par suite d’un plan concerté, auront porté atteinte au libre exercice de l’industrie ou du travail."

Tout cet attirail restera en vigueur jusqu'en 1864, année où Napoléon III imagine tirer parti de la réunion à Londres de la Première internationale.

  1. Une lutte pour le droit d'association.

Car si en 1791 on a dissous les jurandes remontant au règne de saint Louis, il s'agit de la loi D'Allarde. Contresignée par le roi, elle reprenait une préoccupation réformatrice de Louis XVI. Organisées depuis le XIIIe siècle les anciennes structures professionnelles devaient en effet évoluer. Leur abrogation n'avait échoué en 1776, qu'en raison du dogmatisme de Turgot. La loi Le Chapelier, seulement votée, elle, en juin par l'Assemblée, allait faire défense de les reconstituer sous quelque forme que ce soit, ce qui va s'appeler "délit de coalition".

Voilà un des piliers de l'édifice jacobin dont Napoléon fut le continuateur et que les conditions de la Restauration en 1814 et 1815 interdirent de modifier.

Il est donc tout à fait logique que, tout au long du XIXe siècle, les royalistes aient au contraire lutté pour reconquérir la liberté d'association, liberté reconquise par bribes, notamment pour les mutuelles et les syndicats, mais qui n'est réapparue qu'en 1901, – et d'une façon tout à fait insuffisante et peu sérieuse.

Nous y sommes habitués aujourd'hui, mais il existe l'exemple de l'Alsace et de la Moselle où la loi en vigueur est beaucoup plus solide : c'est la loi allemande de 1905. Contrairement à la nôtre, pas question de les gérer n'importe comment, il faut 9 noms de fondateurs et il ne suffit pas de détenir le cahier pour les diriger, etc. Ce qui s'est passé au FN quand le président statutaire, pourtant mis en minorité, a exclu la majorité des adhérents, ne serait pas concevable au-delà de la ligne bleue des Vosges. Ce qui s'est passé à Radio Courtoisie en 2006, non plus.

  1. Revenons donc à l'historique du mouvement corporatiste français

Prenant racine dans l'opposition à l'héritage jacobin, il prend toute sa force à partir de la Révolte des canuts de Lyon de 1834. Quand elle refuse de s'associer à l'opposition républicaine, on la taxe d'ultraroyalisme.

L'idée corporative se développe avec ce qu'on appelle alors la question ouvrière, en lien avec l'industrialisation et l'exode rural. En 1840, c'est le légitimiste Alban de Villeneuve-Bargemont qui alerte sur les conditions de vie du prolétariat naissant.

Parallèlement, en 1844 un certain Karl Marx, privat dozent de l'université de Halle, invente sa révolte philosophique matérialiste athée en liaison avec le fameux détournement de la dialectique hégélienne par Feuerbach. Il très vite voir dans le prolétariat l'instrument de sa pensée et entre en contact avec les socialistes français. Mais on doit rappeler fortement que dès 1846, Proudhon qui est un homme de liberté qui, par exemple entretiendra une correspondance d'une grande honnêteté intellectuelle avec l'économiste Bastiat, signifie à Marx sa rupture dans une lettre où il dénonce déjà le totalitarisme auquel conduit la pensée du philosophe.

Car il suffit de lire le Manifeste communiste de 1848 pour comprendre qu'il dénonce ce qu'il appelle socialisme féodal, par exemple celui de la Jeune Angleterre, plus encore que le socialisme utopique pour lequel il a surtout du mépris. Marx et Engels se veulent scientifiques : pas de place pour le romantisme, encore moins pour la religion "soupir de la créature opprimée".

Marx en 1864 parvient cependant à rédiger l'Adresse inaugurale de l'Internationale ouvrière dans le sens du socialisme étatiste.

  1. À partir de la Lettre aux Ouvriers du comte de Chambord de 1865, s'affirme la lutte pour le droit d'association.

En cela il faut savoir que La Tour du Pin est un fidèle mais aussi un disciple de ce prince doctrinaire sans doute peu formé à prendre le pouvoir et qui meurt en 1883. Leur pensée va inspirer à son tour et servir de socle à ce qu'on appelle doctrine sociale de l'Église :

l'encyclique Rerum Novarum de 1891 sous le pontificat de Léon XIII, un siècle après la loi Le Chapelier, 40 ans plus tard Quadragesimo Anno en 1931, et Centesimus annus en 1991 par Jean Paul II, dérivent toutes de cette critique solidriste et corporatiste.

Ce catholicisme social c'est donc tout à fait autre chose que la plupart des doctrines que l'on appelle socialistes, dans ma jeunesse tout le monde se disait socialiste, mais on en dénombrait 300 définitions. Pas plus le libéralisme que la corporation n'était vraiment offert sur le marché des idées.

  1. S'agit-il de vieilleries ? Pas du tout : il s'agit d'une actualité française brûlante sinon explosive sous la Macronie et du fait même de son aggravation des diktats de la haute administration et du gros argent.

Nous sortons à peine de 3 crises françaises, marquées par 3 impasses technocratiques. Celles-ci se sont aggravées en l'absence de dialogue entre l'administration et les professions organisées.

C'était déjà vrai en 2018 à l'origine de la crise des gilets jaunes. Au départ ils mobilisent la France périphérique, sur les ronds points, à partir de la question de l'automobile, face à la limitation de vitesse et à la taxation des carburants, questions incompréhensibles pour un bobo parisien dont plus de 60 % ne possède pas de véhicule. Tandis qu'une infirmière libérale, ou un commerçant non sédentaire, ou même un artisan est sur les routes en permanence. Comment expliquer à une caissière de supermarché qu'elle doit, pour sauver la Planète, prendre à la fermeture du magasin, des transports en commun... qui n'existent pas ?

En l'absence de corporations, on va imaginer un prétendu grand débat, une fausse concertation de citoyens tirés au sort, qui ne résout rien sauf à contourner la représentation nationale dans laquelle figurent quelque 80 % de fonctionnaires.

Cela est encore plus vrai dans la crise des retraites de 2019, car rien n'est plus "corporatif" que la question des retraites, qu'il s'agisse de l'âge, de la pénibilité, du droit des veuves à la réversion, du désir même d'arrêter de travailler, mais aussi des capacités d'épargne, de la propriété de l'outil de travail, etc.

La réforme des retraites restera infaisable parce que la retraite ne se pose jamais de la même manière selon les professions, ce qui a conduit à cette usine à gaz appelée compte pénibilité.

Les seules pistes de solution reposeront sur des régimes de retraite corporatifs de base et la plus grande liberté possible de l'épargne. Celui-ci pose aussi, bien sûr, le problème de la fiscalité, étroitement lié au droit de la famille, à la question des droits de succession. Le partage obligatoire égalitaire qui non seulement part de cette conception d'un homme qui né orphelin meurt célibataire. Mais ce partage, cette entrave systématique à la liberté de tester ne laisse libres que les patrimoines financiers sur une famille de 4 enfants on ne peut pas partager sur une base égalitaire ni une maison ni une terre ni une entreprise.

Une entreprise n'est pas divisible en elle-même, on ne doit pas la réduire au statut d'une société par actions. On en arrive à confondre la vente successorale quasiment inévitable avec les trucages sur l'attractivité fictive de la France, car on fait entrer dans les statistiques des investissements la captation étrangère.

Quant à la crise sanitaire, depuis 2020, d'étape en étape, la crise sanitaire se déroule dans le mépris des professions, à commencer par les soignants : toutes les décisions sont prises au niveau d'un prétendu conseil de défense, d'une incompétence totale, inventé par Sarkozy dans un tout autre contexte ; agences régionales de santé allez voir su Wikipédia qui les compose, aucun praticien de la médecine ; en face on impose aux restaurateurs, aux fleuristes, aux libraires, etc. des réglementations ubuesques, sur lesquelles on revient au gré des humeurs présidentielles. Les masques sont inutiles puis ils deviennent obligatoires même en plein air, dans la rue. Alors qu'il me semble que le fonctionnement d'un restaurant ou d'un théâtre ce n'est pas au gouvernement qu'on le connaît c'est dans la restauration, c'est dans la profession. Mais si on pouvait rire des polytechniciens en disant autrefois qu'ils savaient tout et rien de plus, pas le droit de rire avec les énarques et autres technocrates d'aujourd'hui.

  1. La corporation ne doit pas être conçue comme une simple solution d'urgence, pire encore, comme un plaquage administratif de plus. C'est au contraire le reflet de l'ordre naturel des sociétés.

À l'origine de cette démarche, on doit rendre hommage à la démarche de Frédéric Le Play grand fondateur de la pensée sociologique française. Contrairement à l'attitude dogmatique de la plupart de ses prédécesseurs, contrairement à un Turgot par exemple, qui pose en principe que « ce qui compte ce n'est pas ce qui est mais ce qui doit être », il va chercher d'abord à prendre connaissance des faits réels.

Et lorsque Le Play fonde en 1857 sa société d'Économie sociale il se situe ainsi volontairement en dehors du champ politicien, en constatant la réalité fondamentale de la famille, et, au-delà, celle de l'entreprise dans laquelle il va distinguer 6 principes essentiels, d'accord solidariste entre patrons et ouvriers parmi lesquels l'entente sur le salaire mais aussi le respect de la femme.

En 1870, face au désastre, il proclame « que Dieu a fait les nations guérissables. » Car toujours il constate que le libre retour à la loi morale, au bon vieux décalogue tout simplement, conditionne aussi la prospérité des peuples.

Oui, hélas… le Modèle social français actuel, au départ, s'est d'abord construit, au cours du XXe siècle dans la catastrophe et face aux malheurs de la patrie. Ce qui est positif dans ce modèle doit tout à la révolution corporative spontanée de l'été 1940, où l'on assista à l'espérance de la fin de la lutte des classes.

Puis viendra la charte du travail de 1941, en partie déviée par les technocrates du ministère des Finances, mais aussi le symbole du premier mai et de la retraite des vieux travailleurs, promise et non réalisée par le front populaire. Si après 1945 tout cela a été dévié, si les comités d'entreprise ont été détournés de leurs fonctions, si les communistes s'en sont emparés est-ce la faute au maréchal Pétain ?

Tout le mal vient plutôt de l'influence du parti communiste, qu'il s'agisse : des faux principes de la Sécurité sociale monopoliste, esquissés par Croizat dont le programme sera réalisé sous Chirac et Juppé 50 ans plus tard ; du statut du fermage conçu par Waldeck Rochet ; du statut de la fonction publique d'État organisée par Thorez en 1946 aggravé par Anicet Le Pors en 1983 ; de la mainmise sur EDF et surtout dee son "Conseil central des œuvres sociales" qui finance la CGT et c'est le communiste Fiterman qui donnera aussi, plus tard, sous Mitterrand, le contrôle du comité central d'entreprise de la SNCF etc..

En 1946 la confiscation des usines que Louis Renault entendait donner à ses ouvriers, vous savez tous, je pense ce qu'il en fut, une citadelle longtemps imprenable du PCF. Dreyfus qui fut ministre de l'Industrie de Mitterrand écrivit un livre "Une nationalisation réussi Renault" dans lequel il ne donne aucune chiffre représentatif de la gestion de la Régie étatisée…

C'est bien cela le Modèle social français qui bafoue notamment désormais la propriété du métier comme il bafoue la base même des jurandes professionnelles d'autrefois qui supposaient tout simplement aussi une foi commune et une citoyennté partagée, dans lesquelles pouvaient fonctionner une solidarité, et une hiérarchie des savoir-faire, de l'apprentissage à la maîtrise.

Pour toutes ces raisons nous ne confondrons pas non plus le social et le politique.

Zemmour a donc osé mettre en cause le 2 septembre à Lille ce modèle encrassé qu'il qualifie d'obèse. Bravo ! Mais quelle cure d'amaigrissement envisage-t-il pour remettre la France au travail ? Il a su ouvrir une brèche, très bien ; mais il ne s'agit donc pas nécessairement de prendre parti pour X, Y ... ou Z dans la course à la présidence, encore moins de rompre avec quiconque sachant que le monde ne tourne pas autour de cette élection.

Il s'agit de s'engouffrer dans cette brèche et de travailler à la corporation dans le métier, au solidarisme dans l'entreprise et à la subsidiarité dans la nation comme dans l'Europe, chaque chose à sa place.

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Le livre édité à l'occasion de cette conférence (initialement prévue en avril 2020 et reportée au 9 octobre dernier) Pour le commander cliquez ici

mercredi, 27 octobre 2021

IL EST SORTI... COMMANDEZ LE NOUVEAU LIVRE "POURQUOI ÉRIC ZEMMOUR , LA DROITE NATIONALE À L'HEURE DU CHOIX"...

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mercredi, 13 octobre 2021

C'était samedi dernier à Paris ...

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Le message de bienvenue de Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, aux participants au dîner de Synthèse nationale du samedi 9 octobre à Paris cliquez ici :

"Merci chers amis pour votre présence qui après de longs mois de confinement et d’isolement se faisait bien attendre.

Comme vous l’avez certainement vécu en tant que militant, il nous devenait insupportable de s’encroûter, de faire du surplace et d’exprimer une impatience d’agir contre cette «servitude volontaire », en restant les pieds soudés dans un immobilisme organisé et établi.

Tout cela lié à des dites mesures sanitaires imposées sans réelles discussions par un régime mediatico-politique et autoritaire, depuis une Assemblée qui n’est plus Nationale : « Cette assemblée qui fut nationale est une assemblée de personnes qui votent pour des partis et pour des lobbys » Alexandre Juving-Brunet. Chaque instant de notre existence se retrouvaient confrontés au rythme d’une horloge mortifère remontée par des scientifiques de plateaux télé et orchestrée par des journalistes transformés en de véritables « Docteurs Knock »… Autrement dit, une entreprise de propriétaires de cimetières.

Toute cette lamentable période nous laissait voguer dans les échos d’une certaine fable où les animaux semblaient mourir de la peste. Cette peste; mécanisme d’un projet de mondialisation et de déculturation voulue, pensée et construite par une volonté mondiale n’appartenant pas aux Peuples mais à des intérêts financiers sans légitimité, soucieux de détruire les Nations et de faire table rase les Cultures, héritages d’un passé, de notre Histoire et de notre Mémoire…

Alors oui, je suis convaincu que ce mal dont tout le monde parle derrière le masque, nous aura de force fait entrer dans le XXIe siècle. Siècle de zombies, siècle de lobotomisés, siècle mercantile, futile, infantile, désincarné, déshumanisé.

Pourtant des pôles de résistance survivent. Nous en sommes ce soir des représentants et notre force, notre volonté viennent du fond d’un sentiment, d’une impression d’un sol qui se dérobe sous nos pieds en s’aggravant sans retour. Face aux castes très fermées qui se sont appropriées radios et télévisions en monopolisant des heures entières d’antenne en n’aimant pas la France, ni sa civilisation Européenne, ni son ordre traditionnel, ni les Peuples et les Ethnies qui les ont fondés… Face à eux, nous saurons leur rappeler que plus le sommeil est long, plus le réveil leur sera brutal !

Mais pour l’instant et pour cette occasion du banquet annuel de « Synthèse Nationale », profitons de ces retrouvailles entre amis, camarades, compagnons…

Merci encore pour votre présence, véritable témoignage de votre fidélité à nos valeurs politiques et philosophiques. Je vous souhaite une très belle soirée."

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dimanche, 10 octobre 2021

Samedi soir à Paris : le corporatisme au centre du dîner de Synthèse nationale avec Jean-Gilles Malliarakis

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Jean-Gilles Malliarakis, entouré d'Hugues Bouchu et de Roland Hélie, lors de son intervention.

Initialement programmé en avril 2020 et reporté à plusieurs reprises en raison des dispositions sanitaires plus ou moins restrictives qui se sont succédées, le banquet des Amis franciliens de Synthèse nationale s'est finalement tenu samedi soir dans un restaurant du centre de la Capitale. Dans le public, on reconnaissait Hélène Grimaldi, Présidente du Cercle franco-hispanique, les éditeurs Philippe Randa et Jean Picollec ainsi que plusieurs élus locaux...

Les convives présents purent d'abord écouter le discours de bienvenue d'Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens, qui exposa avec brio la situation politique et géo-politique actuelle. Puis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de SN, s'éleva avec le talent que nous lui connaissons contre les menées visant à discréditer l'Eglise catholique.

Entre le plat et le dessert, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, après avoir commenté l'actualité et dénoncé les dangers qui menacent notre nation et notre civilisation, expliqua pourquoi, à la prochaine élection présidentielle, il votera pour Eric Zemmour, seul candidat crédible pouvant incarner l'alternative nationaliste et identitaire à la logique mondialiste mortifère de l'ensemble de la classe politique cliquez ici.

Enfin, Jean-Gilles Malliarakis, militant historique de la cause, éditeur et directeur du site qui porte si bien son nom L'Insolent cliquez là, exposa avec de nombreux exemples concrets la nécessité de remettre le corporatisme au centre des mesures à prendre pour remettre l'économie nationale d'aplomb. Nous publierons prochainement son discours afin que tous nos lecteurs puissent en bénéficier.

De plus, un livre (toujours d'actualité) avait été édité l'an passé "Propositions pour un nouveau corporatisme" (1), réalisé sous la direction de notre ami Georges Feltin-Tracol. Il reprend et développe les thèmes  du dîner d'hier. Il a été décidé d'adresser cet ouvrage à la commission programmatique de la campagne d'Eric Zemmour afin de lui faire connaître ces propositions.

(1) Si vous souhaitez commander cet ouvrage cliquez ici

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jeudi, 07 octobre 2021

SAMEDI 9 OCTOBRE À PARIS : DÎNER DES AMIS DE SYNTHÈSE NATIONALE AVEC COMME INVITÉ JEAN-GILLES MALLIARAKIS

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BULLETIN DE RÉSERVATION CLIQUEZ ICI 

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ATTENTION : pour participer à ce dîner, vous devrez vous soumettre (cela bien malgré nous) aux dispositions sanitaires en vigueur. 

lundi, 13 septembre 2021

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, interrogé par Epona dans le cadre des entretiens du Parti de la France

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16:31 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une communiquation de Roland Hélie :

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vendredi, 06 août 2021

Libérez-vous de la pensée dominante : lisez les livres, les CD et les revues publiées par Synthèse nationale

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Consultez notre site librairie cliquez ici

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mardi, 13 juillet 2021

A qui profite l’épidémie de Covid 19 ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Article publié dans le n°57 (été 2021)

de la revue Synthèse nationale cliquez là

Depuis plus d’un an, une propagande insensée, d’un niveau d’intensité jamais connu dans l’histoire du monde, ahurit en continu et affole nos concitoyens au sujet d’un virus au comportement étrange mais ne provoquant au final qu’une surmortalité étonnamment faible. Pendant que les multinationales de Big Pharma s’en donnent à cœur joie, les gouvernements occidentaux s’entendent pour multiplier les lois liberticides et la surveillance de masse…

Même le plus candide de nos contemporains et par conséquent le mieux disposé à gober sans sourciller la lourde propagande du régime, sent bien que depuis le commencement de l’épidémie virale, quelque chose cloche aussi bien dans le narratif que dans la méthodologie incohérente, en apparence mais en apparence seulement, suivie par les instances sanitaires et le pouvoir politique. Des centaines de vidéos, blogs, sites et articles non-conformistes proposent une information foisonnante et différente à la fois à qui veut bien se donner la peine d’en prendre connaissance. Mais une majorité de nos contemporains semble se suffire du bourrage de crâne institutionnel, de leur muselière ouatée que beaucoup peineront sans doute à abandonner et de la promesse d’une thérapie génique en phase expérimentale et aux effets inconnus à moyen et long terme, habilement présentée comme un vaccin. Mais quoi de surprenant ? Fallait-il s’attendre à ce qu’un peuple qui n’a su défendre ni son territoire, ni son sang ni même ses enfants à naître, ni sa culture, ni son patrimoine, ni sa langue se métamorphose aujourd’hui en peuple libre ?

Pourquoi est-il interdit de se faire soigner ?

Aux victimes plus ou moins consentantes de la doxa covidiste et vacciniste, il faudrait ne jamais se lasser, afin d’éviter des débats dans les méandres desquels chacun finit par se perdre, de répéter inlassablement cette question simple mais centrale, essentielle même : pourquoi depuis plus d’un an, même et surtout au plus fort de la première vague virale, après avoir pris la criminelle décision de laisser ouvertes les frontières, nous interdit-on et empêche-t-on les médecins de nous soigner ? Notamment, pourquoi depuis le début de cette prétendue pandémie et alors que n’existait et  n’existe toujours aucun vaccin digne de ce nom, a-t-on brutalement et contre toute attente interdit les seuls traitements connus dont, essentiellement, l’hydroxychloroquine, classée « substance vénéneuse le 13 janvier 2020 par Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, mariée à la ville à un certain Yves Lévy, PDG de l’INSERM et co-président du comité de pilotage à l’origine de la création du laboratoire P4 de Wuhan, ville d’où proviendrai le mal ? Cette interdiction reposant sur un avis défavorable du Haut conseil de la santé publique (HCSP) et l’arrêt des essais dans le cadre du protocole clinique européen Dicovery, lui-même influencé par l’étude truquée publiée par The Lancet, en dit long sur l’ampleur de la manœuvre et constitue à l’évidence le plus grand scandale sanitaire du siècle.

Mais que dire aussi du silence forcément complice de l’immense majorité des médecins et comment interpréter leur acceptation docile de renoncer à leur autorité de prescription et à leur serment, renvoyant les patients symptomatiques à leurs pénates avec quelques comprimés de Doliprane et la peu rassurante recommandation d’appeler le SAMU en cas de dégradation de leur état de santé ? Il faudra aussi qu’un jour ou l’autre l’Ordre des médecins ou autre organisme dûment habilité à représenter notre système de santé vienne nous expliquer son refus de thérapies connues et validées scientifiquement comme, entre autres, l’association d’Ivermectine associée à un antibiotique (Doxycycline) et à une prise de zinc. Une telle combinaison a permis de ramener pratiquement à zéro le nombre de morts en Tchéquie, au Mexique, au Paraguay, etc. Les grands médias à la botte n’en auront évidemment soufflé mot sauf, éventuellement pour tenter de discréditer la thérapie. 

Cette question initiale en inspire tant d’autres et notamment, pourquoi en pleine première poussée virale nous déconseilla-t-on vivement le port du masque ? Faute de stock nous a-t-on seriné ? Peut-être, mais alors pourquoi en avait-on détruit les stocks par  milliards avant l’épidémie alors que depuis plusieurs années se multipliaient les avertissements sur un risque de pandémie ? Et pourquoi l’avoir ensuite imposé même en milieu ouvert où il n’est strictement d’aucune utilité, sauf celle de déshumaniser les rapport sociaux et générer un certain nombre de pathologies ? On pourrait ainsi poursuivre sans fin le questionnement mais l’heure a sonné des réponses dont regorgent de récentes publications, notamment dans les deux ouvrages du Professeur Perrone – « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » et « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris » - mais aussi dans ceux du Professeur Raoult, de Philippe Aimar, Léo Gali, Florian Philippot, Guy Courtois, entre autres et les innombrables interviews, déclarations, articles des Professeurs Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-Bernard Fourtillan, du Docteur Gérard Maudrux et de quantité de médecins indépendants ou organisés en collectifs, de biologistes, généticiens et autres lanceurs d’alerte relayés par une kyrielle de sites internet.

Pas de complotistes sans complots 

C’est l’occasion de saluer au passage les efforts, l’opiniâtreté et souvent le courage de tant de lanceurs d’alertes dont la prose diffusée tant bien que mal dans les espaces de liberté résiduelle de leurs blogs et  comptes sur les réseaux sociaux tente de contrebalancer timidement le tumulte des grandes orgues de la désinformation et de la propagande obsessionnelle du système depuis plus d’un an. Si une large part de l’opinion publique ressent spontanément une certaine méfiance à l’égard de ceux qui se sont si souvent trompés et surtout les ont abusés, bien peu de nos concitoyens sont en mesure, malgré la somme d’indices, d’informations et de preuves dont nous disposons, de comprendre ce qu’il se passe réellement. Il est tellement plus confortable de ne pas voir, ne rien comprendre et d’éviter les corrélations sulfureuses qui ont tôt fait de vous ranger dans la catégorie infréquentable des complotistes. Pourtant, ce n’est pas la matière qui manque et, censure ou non – il suffit de fuir les facilités des GAFA – une très abondante documentation, certes de qualité inégale, permet à chacun, pour peu qu’il en éprouve le besoin et veuille bien se donner la peine, de comprendre les véritables enjeux d’une crise sanitaire aux origines plus que suspectes et au traitement effrayant. Quand bien même on n’adhérerait pas aux thèses de l’intentionnalité et que l’on occulterait à la fois les différentes prédictions parfaitement vérifiables, notamment celle de la CIA dès 2005, et l’étrange simulation menée juste avant la révélation des débuts de l’épidémie, il faudrait au moins convenir de la réalité des notes diplomatiques par lesquelles, en 2018, l’ambassade des États-Unis à Pékin, avaient alerté à deux reprises le département d’État américain sur l’insuffisance des mesures de sécurité du laboratoire P4 de Wuhan menant des travaux sur… les coronavirus des chauve-souris. 

Quelques aveux de taille 

Faut-il aussi ranger parmi les complotistes l’ancien président allemand de l’Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, lorsqu’il déclare dans une récente interview accordée au magazine Epoch Times : « Les actions des responsables du gouvernement ne relèvent plus de l’incompétence ou de l’ignorance mais de la préméditation ».

Est-il complotiste à son tour, Olivier Véran, ministre de la santé déclarant que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente (c’est-à-dire incertaine, aléatoire NDLA) du fait de l’apparition des nouveaux variants ». Ajoutant "le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu". Pour finir par cet aveu inimaginable que chacun pourra être amené à vérifier tant c’est énorme, notamment sur le site internet d’Europe 1 ou autres sources l’ayant dupliqué : "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant." Cette dernière précision fait écho aux plus sombres avertissements de quelques lanceurs d’alerte dont il était de bon ton de se gausser il y a encore quelques mois et tendrait à prouver que, finalement, le complotiste, c’est celui qui a raison avant que de trop nombreuses fuites ne viennent éventer les vilaine cachotteries et petits arrangements entre amis. Quoiqu’il en soit, un vacciné avertit en vaut deux et nous savons que l’automne et l’hiver prochains devraient s’avérer particulièrement difficiles sur fond de propagande et de répression accrues.

Toutes les mesures prises à ce jour l’ont été à l’encontre des intérêts et de la santé des Français. C’est une évidence tellement difficile à cacher que le régime ne peut en effet qu’intensifier jour après jour censure et répression, jusqu’aux arrestations et internements pour tenter d’étouffer ce qui peut l’être encore. Depuis le début de cette crise, nos prétendues élites mentent, exagèrent, dissimulent les informations gênantes pour leur plan et truquent les chiffres avec le soutien sans faille des grands médias subventionnés appartenant à quelques milliardaires. Ne pouvant souffrir le moindre contre-pouvoir, elles multiplient les lois liberticides et la surveillance de masse et certains de leurs laquais en deviennent menaçants, tel Éric Le Boucher, directeur de la rédaction du magazine économique Enjeux-Les Échos mais aussi co-fondateur, avec Jacques Attali du magazine américain en ligne Slate.fr, ayant pour principale actionnaire Ariane de Rothschild, titrant l’un de ses papiers dans le quotidien L’Opinion « Il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ». Pour notre part, nous pensons qu’il est plutôt temps de s’occuper de tous les Le Boucher qui nous entrainent à notre perte.

Le 9 mai 2021

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