jeudi, 27 octobre 2011
FRATERNITE...
Par Pierre Vial
Quand les Maghrébins ou les Blacks parlent de gens de même origine qu’eux, ils disent « nos frères » (ou « nos sœurs »). Cette affirmation d’appartenance et de solidarité liée à celle-ci est tout à fait normale puisqu’elle est l’affirmation d’une identité ethnique dont nous proclamons la nécessité pour tous les peuples. Car la fraternité ethnique est tout simplement l’application des lois de la nature, donc de la vie. Faire montre de réalisme biologique, c’est faire preuve de sagesse, une sagesse que les sociétés traditionnelles ont toujours respectée et pratiquée mais qui a été oubliée, méprisée, pourchassée par la modernité triomphante, tueuse de mythes et de dieux.
Reconnaître, donc, à tous les peuples un « droit à la fraternité » est dans la logique de notre conception du monde. Il reste que nous avons bien besoin, nous, les Européens, les Blancs, de rattraper le retard que nous avons pris en matière de conscience ethnique, car la plupart des nôtres sont paralysés par l’entreprise de conditionnement mental conduite par ceux qui veulent nous transformer en zombies dociles, soumis à l’idéologie officielle omniprésente dans les media, à l’école, dans les églises (ce qu’il en reste…), dans le discours des politiciens de tous bords (y compris ceux qui, se disant « nationaux », sont censés être nos défenseurs et qui, par intérêt carriériste bien compris, se rallient aux dogmes du politiquement correct – car il faut, n’est-ce pas, être « dédiabolisés » si on veut être acceptés à la table des maîtres du pouvoir…). Nous, être diabolisés nous indiffère. Car nous sommes frères des loups.
Fraternité. Le mot est beau. Il a inspiré de nobles esprits, même s’il a été détourné, dévoyé et même sali au nom d’utopies mortifères débouchant sur la sanctification de la Terreur et le règne de la guillotine, comme en 1793, ou le bain de sang de l’ « Epuration » de 1944-1945. Pourquoi raviver de tels souvenirs, vont me dire de bons apôtres. Parce que nous n’oublions rien. Nous ne pardonnons rien. Jamais. Et la liste est longue, depuis Hypatie, notre sœur Hypatie. Et les Saxons, nos frères Saxons. Et tant d’autres, au fil des siècles, dont la présence vibre en notre âme et dont nous donne l’énergie vitale nécessaire pour suivre notre longue route.
Ils sont aveugles et sourds, ceux qui n’ont pas compris que notre combat relève d’une spiritualité à laquelle ils ne peuvent rien comprendre. Tout simplement parce qu’ils n’appartiennent pas à la Fraternité immémoriale qui est la nôtre. Et à laquelle nous relie une Fidélité qui est notre seule loi.
Editorial de Pierre Vial publié dans le dernier numéro (n°49) de Terre et peuple
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dimanche, 28 août 2011
SELON QUE VOUS SEREZ PUISSANT OU MISERABLE...
Par Pierre Vial
Le constat désabusé que faisait déjà, au XVIIe siècle, ce bon Jean de La Fontaine, vient d’être illustré une fois de plus. La « justice » ( ?) américaine a fait merveille (si l’on peut dire) en délivrant Strauss-Kahn des conséquences d’une bien vilaine affaire. Les copines et copains de l’intéressé, au PS, tous plus hypocrites les uns que les autres, affectent de se féliciter de cette décision, en semblant ignorer qu’au sein même d’une partie de leur électorat (surtout féminin) la pilule apparaît un peu difficile à avaler.
Madame Strauss-Kahn, alias Anne Sinclair, cocue et contente, rayonne. Nous sommes tous heureux pour elle. Bien entendu, imaginer un seul instant que l’appartenance de Strauss-Kahn à la communauté juive lui aurait bien facilité les choses relèverait d’un antisémitisme odieux (pardon pour le pléonasme). C’est d’ailleurs un hasard si son avocat le plus habile (et le plus coûteux) appartient à la même communauté. Et c’est toujours un hasard si ses soutiens les plus actifs, les plus inconditionnels, ont été, dès le début, de même origine.
Allez, circulez, il n’y a plus rien à voir. La France va pouvoir bénéficier à nouveau, la veinarde, des sages avis d’un génial économiste. Et Naffissouto Diallo aura appris, à ses dépens, qu’il y a des gens intouchables, quoi qu’ils fassent. Pour ceux qui n’auraient pas compris, les sourires triomphants de M. et Mme Strauss-Kahn sont un message clair.
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lundi, 22 août 2011
GUERRE RACIALE ET IMPLOSION DU SYSTEME...
Par Pierre Vial
Immeubles incendiés, magasins et centres commerciaux dévalisés et vandalisés, rues jonchées de débris, de carcasses noircies de bus, de voitures, de véhicules de police… Ces images de Londres, de Birmingham, de Bristol, de Liverpool ont fait, en boucle, le tour du monde par télévisions interposées. Elles évoquaient bien ce que la députée travailliste Diane Abbott a appelé « une zone de guerre » (théâtre, reconnaît Le Monde du 10 août, d’une « guérilla urbaine »).
Les media français ont tout de suite voulu donner le ton pour interpréter ces événements : c’est la faute de tensions sociales dues à la réduction des financements publics en faveur des plus démunis, c’est la faute du chômage et donc du désoeuvrement… et c’est la faute, bien sûr, de la police britannique (« les gaffes de la police » a titré le quotidien conservateur Daily Mail, tout aussi faux cul que les journaux français). Tout s’explique… et les casseurs cagoulés sont des « jeunes » ayant du vague à l’âme. Bien organisés, tout de même (on est donc loin de la réaction spontanée, épidermique, de hooligans), avec un système de liaison bien au point pour relancer les vagues d’assaut pendant plusieurs jours.
Mais que faisait le gouvernement ? Le premier ministre Cameron, le ministre de l’intérieur, le ministre des finances, le maire de Londres étaient…en vacances (Cameron en Italie). Les casseurs sont décidément bien mal élevés de choisir un moment pareil. Ils auraient pu attendre la rentrée.
Il est incontestable que le climat social détérioré par un libéralisme débridé a de quoi susciter bien des rancoeurs. Mais celles-ci sont venues se greffer sur une volonté d’affrontement racial. La mort d’un délinquant antillais au cours d’une opération montée par la police contre les gangs antillais a été le prétexte du déchaînement des émeutes. Le premier foyer d’insurrection a été le quartier de Tottenham, qualifié gentiment de « multiethnique » et dont la majorité de la population est d’origine antillaise. Celle-ci a voulu montrer – et elle a réussi – qu’elle pouvait se rendre maîtresse de la rue, en défiant un pouvoir et un ordre blancs. Même Le Monde, malgré ses a priori idéologiques, a reconnu au passage (9 août) qu’il s’agissait « du plus sérieux affrontement racial au Royaume-Uni depuis les troubles d’Oldham en 2001 » et qu’il y avait donc bel et bien « émeute raciale ».
Ce qui fait voler en éclat ce multiculturalisme, présenté pendant longtemps comme le modèle britannique de réponse aux tensions raciales et dont Cameron reconnaissait récemment (tout comme Angela Merckel pour l’Allemagne) qu’il était un échec. Il était basé sur la conviction irénique que des communautés raciales diverses pouvaient cohabiter harmonieusement sur un même territoire. Illusion due à des présupposés idéologiques qu’on retrouve tant à droite qu’à gauche chez des intellectuels qui refusent tout simplement le poids des réalités. Des réalités trop dérangeantes pour leur confort mental et qu’il faut donc nier obstinément. Jusqu’au jour où elles vous rattrapent…
Ce jour est arrivé pour beaucoup de Britanniques. Comme le reconnaît Libération (16 août) ils suivent les conseils figurant sur de grandes affiches placardées par la police ou les inscriptions peintes sur les panneaux de contreplaqué remplaçant les vitrines brisées des commerces : il faut repérer et dénoncer « les rats à capuche » (en Angleterre comme en France les délinquants immigrés aiment pouvoir se dissimuler le visage pour éviter d’être identifiés). Surtout, des milices d’autodéfense se sont mises en place pour assurer ordre et sécurité dans les quartiers menacés. Pour pallier l’inefficacité d’une police paralysée par les tabous du politiquement correct (aveu d’un bobby publié par Le Monde du 12 août : « L’ordre était d’intervenir avec circonspection pour éviter les accusations de brutalité, de racisme »).
Le Système en place, miné par ses contradictions internes, est en train d’imploser, la guerre raciale montrant qu’elle est désormais sous-jacente dans nombre de pays européens. C’est donc bien en dénonçant sans répit les ravages du capitalisme libéral et en prêchant une conception réaliste, c’est à dire racialiste, de la société que nous pourrons contribuer à la libération mentale et à la volonté de résistance et de reconquête de nos frères européens.
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mercredi, 18 mai 2011
Le nouveau mur des lamentations...
Par Pierre Vial
« La France a besoin de DSK pour renforcer le FMI et avoir une gouvernance mondiale ». Cette phrase, présentée comme l’expression de la pensée de Sarkozy, a été publiée dans Le Monde du 17 mai. C’est à dire alors que Strauss-Kahn marinait au fond d’une prison new-yorkaise. Elle a donc, de façon effarante, un côté surréaliste.
Mais il y a bien d’autres aspects surréalistes dans cette « affaire DSK ». Par exemple les déclarations des députés socialistes Jean-Jacques Urvoas (Finistère), Jean-Christophe Cambadélis (Paris), Jean-Marie Le Guen (Paris), de la vice-présidente socialiste du conseil régional d’Ile de France Michelle Saban, qui vont toutes dans le même sens : leur grand homme est, forcément, victime d’un complot. Il n’y a pas si longtemps on nous expliquait que les thèses complotistes étaient une tare typiquement d’extrême droite…
Mais en tout cas, toutes affaires cessantes, la communauté juive à laquelle appartiennent Strauss-Kahn et Anne Sinclair s’est mobilisée, d’un bloc, pour orchestrer protestations, dénégations, lamentations. Comme pour l’affaire Polanski, elle aussi assez glauque. Et pour les mêmes raisons : la solidarité communautaire doit être immédiate et inconditionnelle. Attali, Badinter et leurs semblables – en tête desquels, bien sûr, l’inévitable Bernard-Henri Lévy – sont montés au créneau sans hésiter une seconde (Jean-François Kahn sur France-Culture : « c’est un troussage de domestique »…bel exemple d’ignominie bourgeoise et de mépris graveleux).
Dans les media, presse écrite et radiotélévisée s’activent pour nous attendrir sur le sort pitoyable de Strauss-Kahn. Et le sort de la jeune femme noire agressée par Strauss-Kahn, dans tout ça ? Pas intéressant. D’ailleurs c’est une menteuse : on trouvera bien des psychiatres pour nous expliquer qu’elle est mythomane, voire nymphomane (c’est apparemment, en ce mardi soir 17 mai où j’écris ces lignes, la nouvelle ligne de défense des avocats de Strauss-Kahn)…
Le bon peuple sera-t-il dupe de tels montages ? Espérons qu’il saura résister au tam-tam médiatique. Heureusement, il y a encore un bon sens populaire et les Gaulois ont tendance à se dire que dans les histoires de fesses il n’y a pas de fumée sans feu, surtout avec un obsédé comme Strauss-Kahn (les langues commencent à se délier sur d’autres vilaines affaires)…
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mercredi, 04 mai 2011
Les apprentis-sorciers...
Par Pierre Vial
Les Occidentaux – c’est à dire tous ceux qui, à travers le monde, sont asservis, consciemment ou inconsciemment, à l’idéologie cosmopolite, dont le bras armé est l’axe Washington-Tel-Aviv – se réjouissent bruyamment de la mort de Ben Laden. Qu’ils se dépêchent de se réjouir. Car leur enthousiasme risque fort d’être vite douché par des larmes de sang.
Tous ceux qui veulent être informés savent, depuis longtemps, que Ben Laden a été fabriqué de toutes pièces par la CIA. Laquelle a vu un jour son jouet s’échapper. Mais bien des questions se posent quant à l’instrumentalisation de Ben Laden par l’axe Washington-Tel-Aviv car l’épouvantail Ben Laden a été bien utile pour vassaliser un peu plus une partie de la planète, en particulier les pays européens. Cependant que Ben Laden devenait pour beaucoup de musulmans le symbole de leur volonté de puissance…
Les services américains (mais aussi les services français, comme le savent bien certains officiers très spéciaux…) savaient depuis longtemps où était Ben Laden. Alors, pourquoi avoir frappé maintenant et seulement maintenant ? On le saura peut-être un jour. Mais pour le moment les Yankees ont remporté une victoire à la Pyrrhus. Car c’est nier l’évidence et jouer les disciples du docteur Coué qu’affirmer al Quaida affaiblie. Toute cause a besoin de martyrs et désormais l’islamisme en a un de grande taille. Qui va inspirer de nouveaux combattants, ivres de vengeance, prêts à tout. Les Occidentaux vont payer le prix fort.
Nous combattons l’idéologie monothéiste de tous les fils d’Abraham mais, en bons païens, nous respectons toutes les religions. A condition qu’elles ne servent pas d’alibi à la conquête de notre sol et à la soumission de nos peuples européens.
A la différence de celles et de ceux qui voient en l’islam un bon levier électoraliste mais ne veulent surtout pas poser la bonne question, nous mettons, nous, les pieds dans le plat : la lutte contre l’immigration n’est pas un enjeu religieux mais racial. Que l’islam soit pratiqué hors d’Europe (y compris par les Européens renégats qui se sont convertis à cette religion du désert) et tout ira bien. Mais tant que l’équation « une Terre un Peuple » ne sera pas respectée et que l’invasion de notre terre européenne se fera au nom d’Allah, nous lèverons l’étendard de la guerre de libération, de la Reconquête.
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samedi, 02 avril 2011
L'éditorial du n°47 de Terre et peuple : La guerre civile en France ? Multiculturalisme ou multiracialisme ?
Par Pierre Vial
L’hebdomadaire Marianne a publié un « Hors-série » (février-mars 2011) intitulé « La guerre civile en France ». Où il s’agit de passer en revue les conflits qui ont opposé les Français entre eux, depuis la guerre de Cent Ans jusqu’en mai 68 (il est affirmé, au passage, qu’ « il n’y a pas eu de génocide en Vendée »…on sait que le concept de génocide doit être réservé à certains) . Mais avec un prolongement jusqu’à nos jours, qui éclaire l’objectif réel de la publication. Dans un « Avant-propos » intitulé « Le spectre », il s’agit de mettre en garde les « citoyens » contre les tentations qui pourraient les guetter : « Aujourd’hui, c’est d’une forte minorité musulmane qu’une partie de l’opinion, aiguillonnée par les démagogues, s’effraie. Les émeutes urbaines, des faits divers sordides, les ratés d’une insertion sociale malade du chômage créent un climat d’appréhension dangereux ». Moralité : « La France est défiée de reconstruire avec tous ses citoyens les principes d’un vouloir vivre ensemble sans esprit d’exclusion ». Car, bien sûr, on évite de poser la seule bonne question : ces « émeutes urbaines », ces « faits divers sordides », la faute à qui ? A quels « citoyens » ?
De l’extrême gauche à une ex-Nouvelle Droite qui, si j’ai bien compris, veut être aujourd’hui classée à gauche, en passant par toutes les nuances de la gauche et de la droite parlementaires, c’est à dire alimentaires, on nous sert la tarte à la crème du « vivre ensemble ». Mais, pour « vivre ensemble », encore faut-il en avoir envie.
On connaît la chanson. Il y a « des problèmes » ? La raison en est « sociale ». Il faut donc accélérer la mixité. Mixité sociale, dit-on officiellement. En fait mixité raciale, comme tout le monde le sait mais n’ose le dire de peur d’être « pris en charge » par les nouveaux Inquisiteurs. Pas un mot, bien sûr, quant à la seule et vraie raison des « dysfonctionnements », comme on dit pudiquement, de la société « française » : une société multiraciale est, inévitablement, une société multiraciste. Parler de « guerre civile » évite de parler de la seule guerre, inévitable, qui vient : la guerre raciale. Et les apprentis-sorciers qui rêvent que « la République » va, grâce à ses « valeurs » (la « laïcité », cheval de bataille de Sarkozy…et de Marine Le Pen) , pouvoir mettre tout le monde d’accord, vont se réveiller dans un cauchemar sanglant. Ils auront tout fait pour.
Cependant des politiciens, qui ont les yeux vissés en permanence sur les chiffres des instituts de sondage, commencent à s’inquiéter. Au sujet de la seule question qui compte vraiment pour eux : leur réélection. Qui semble menacée par une évolution de l’état d’esprit des populations dans divers pays d’Europe, où l’immigration est enfin perçue pour ce qu’elle est, c’est à dire une invasion. Aussi faut-il jeter du lest. Le multiculturalisme, adopté comme recette miracle du « vivre ensemble » dans les pays confrontés à une forte immigration, est aujourd’hui répudié par nombre de politiciens de premier plan. La première, la chancelière allemande Angela Merkel a brisé le tabou, en déclarant le 16 octobre 2010 que « le multikulti a complètement échoué ». En Grande-Bretagne, le premier ministre David Cameron a embrayé le 5 février en dénonçant un multiculturalisme d’Etat » qui amené la Grande-Bretagne à tolérer des comportements « en contradiction complète avec nos valeurs ». Bon dernier, Sarkozy déclare à son tour, le 10 février, sur TF1 : « La vérité, c’est que dans toutes nos démocraties, on s’est trop préoccupé de l’identité de celui qui arrivait et pas assez de l’identité du pays qui accueillait ». Bel exemple de retournement de veste de la part de celui qui, il n’y a pas si longtemps, n’avait que la « discrimination positive » à la bouche, tout le monde sachant bien qu’il s’agissait, avec cette belle formule, de favoriser systématiquement et sur tous les plans les envahisseurs au détriment des Européens.
A l’heure où les vagues d’invasion en provenance du sud de la Méditerranée prennent des proportions cataclysmiques, les débats oiseux sur l’intérêt du multiculturalisme sont proprement criminels et ceux qui, d’une façon ou d’une autre, s’y prêtent, sont coupables de haute trahison à l’égard de nos peuples européens. Qu’ils y réfléchissent : l’accélération de l’Histoire que nous sommes en train de vivre peut provoquer l’apparition d’une légitime justice populaire qui n’aura nul besoin d’un quelconque Tribunal Pénal International.
Vous pourrez vous procurer ce numéro au stand de Terre et peuple samedi prochain 9 avril lors du colloque de Synthèse nationale sur les 35 ans du regroupement familial à Paris (cliquez ici).
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mercredi, 16 mars 2011
Une exposition et un artiste qui sentent le soufre...
Par Pierre Vial
Au Petit-Palais est organisée, jusqu’au 5 juin, une exposition consacrée à Jean-Louis Forain. Cet artiste, qui vécut de 1852 à 1931, est connu des amateurs pour ses dessins parus dans Le Figaro, Le Courrier français, L’Echo de Paris, Le Gaulois mais aussi le New York Herald. Mais il a fait plus et mieux. Forain a en effet été au cœur de l’impressionnisme : à partir de 1879 il est invité par Degas à participer aux expositions du groupe impressionniste. Ami, aussi, de Manet, de Toulouse-Lautrec, de Picasso, il a partagé, jeune homme désargenté, une misérable chambre de bonne avec un certain Arthur Rimbaud. Fondamentalement hostile au monde bourgeois, Forain, ami de Verlaine, dessine et met en couleurs, à la gouache et à l’aquarelle, des scènes de la vie parisienne qui illustrent les turpitudes de vieux messieurs bien comme il faut achetant les charmes de malheureuses gamines condamnées au trottoir ou au bordel. Forain tape fort et juste, avec un don d’observation qui frappe l’œil du spectateur le moins averti.
Forain, donc, un grand artiste largement méconnu. Mais aussi un personnage hautement sulfureux. Tout au moins si on en croit Le Monde (13-14 mars 2011) qui, avec l’intense jouissance du délateur professionnel qu’il est, révèle à ses lecteurs l’abomination de la désolation : Forain était antisémite ! Non ? Si ! D’où une censure qui l’a frappée d’interdit, comme l’avoue ingénument Le Monde : « Si Jean-Louis Forain a été peu montré, la raison en est simple : au plus fort de l’affaire Dreyfus, il crée, avec le dessinateur Caran d’Ache, Psst… !, une revue antidreyfusarde. Il y publie des caricatures atroces des juges ou d’Emile Zola. Plusieurs sont antisémites ». Et, benoîtement, Le Monde commente : « Forain a été un artiste d’avant-garde aux innovations passionnantes. Il a aussi été antisémite. Le mérite ne saurait faire oublier le crime, pas même l’excuser ». « Le crime » ? Mais oui, vous avez bien lu, « le crime »…
Mais, alors, la liste des « criminels » est intéressante. C’est Degas qui, au sujet du « dessin insupportable » (dit Le Monde…) intitulé Cassation, écrit à Forain : « Forain, mon noble ami, que votre dessin est beau ! ». C’est aussi Auguste Renoir, Auguste Rodin, Paul Cézanne, Paul Valéry… tous antidreyfusards, tous antisémites. Ne serait-il pas urgent, du coup, de les sortir du dictionnaire ? Et puis de brûler leurs œuvres en place publique ? Par souci de moralité, bien entendu.
Exposition Forain cliquez ici
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samedi, 12 mars 2011
Que penser de la « vague Marine » et que faire ?
Par Pierre Vial
Comme certains de nos camarades s’en font eux-mêmes l’écho (d’une façon éventuellement un peu naïve), de l’extrême gauche à l’extrême droite, en passant par toutes les nuances intermédiaires de l’arc en ciel politique, les récents sondages mettant en vedette Marine Le Pen suscitent émotion, indignation, jubilation selon les cas. Quand on a un peu d’expérience politique (dans mon cas, 53 ans de militantisme) on garde la tête froide et on essaie d’analyser la situation lucidement, sans préjugé inutile car inefficace puisqu’il brouille la capacité de jugement.
Faisons donc quatre constats :
1 - Quoi qu’on pense de Marine Le Pen, quant à sa personnalité, son entourage, ses idées (ou son manque d’idées, de convictions), il faut faire abstraction de tout cela, qui n’est connu et n’intéresse qu’un nombre très limité de personnes informées et ayant une conscience politico-idéologique bien assise. L’immense masse des gens qui s’apprêtent à voter Marine Le Pen s’en contrefichent. Ils ne voient qu’une chose (même s’ils prennent leurs désirs pour des réalités) : voter Marine Le Pen, plus encore que pour son père, c’est simplement affirmer son refus de l’immigration-invasion. C’est basique, simpliste et sans doute illusoire ? Oui. Mais c’est ainsi.
2 - C’est donc ce phénomène-là qu’il faut prendre en compte, parce que c’est une donnée objective. Au-delà de la personne de Marine Le Pen, celle-ci incarne aujourd’hui, que cela plaise ou non, un mouvement de fond national-populiste, qu’on voit se manifester un peu partout en Europe, et qui fournit une base humaine pouvant servir d’assise à une résistance identitaire. Dans quelles conditions, selon quelles modalités ? C’est à nous de travailler sur cette bonne question pour essayer d’apporter des réponses adaptées. Sans prétendre lire dans le marc de café… Il y a du pain sur la planche ? Bien sûr. Raison de plus pour retrousser les manches. Avec réalisme, détermination, ténacité. J’ai quelques idées sur le sujet.
3 - Notons un indice significatif : Chantal Brunel, députée UMP, assurant qu’il fallait « rassurer les Français sur toutes les migrations de populations qui viendraient de la Méditerranée », a préconisé : « Après tout, remettons-les dans les bateaux ». Elle a été désapprouvée, évidemment, par Jean-François Copé (soucieux de ne déplaire en rien à ceux qui l’ont installé là où il est). Mais mon petit doigt me dit que beaucoup de députés UMP sont venus lui dire discrètement à Chantal Brunel qu’elle avait raison. Des gens convertis au devoir de résistance ? Ne rêvons pas : ils ont surtout envie de conserver leur siège. Et savent bien que beaucoup de leurs électeurs en ont marre de l’immigration-invasion. Au point de voter Marine Le Pen ? Pourquoi pas ?
4 - Pour nous : tout ce qui fissure, ébranle, sape le Système en place est bon à prendre. Le Diable marche avec nous…
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jeudi, 18 novembre 2010
L’immigration ? Quelle immigration ?
Par Pierre Vial
En supprimant le ministère de l’immigration, créé à la suite d’une promesse de campagne en 2007, Sarkozy avoue que celui-ci n’était pour lui qu’un gadget destiné à piper les électeurs du Front National. Lequel gadget a bien fonctionné, au moins le temps, pour Sarkozy, de se faire élire. Ce qui était évidemment sa seule préoccupation.
Car l’immigration est, en fait, le cadet de ses soucis. D’autant qu’il est lui-même, de par ses origines familiales, un immigré… Le ministère de l’immigration était un ministère bidon : « Dans les faits, le ministère de l’immigration a souvent eu des allures de coquille vide, tant il était faible en administration propre et en budget » (Le Monde, 17 novembre 2010). Mais, lorsque Le Monde titre « La fin du ministère de l’immigration, tout un symbole », il a raison. Un symbole qui résume toute l’escroquerie politique qu’incarne Sarkozy.
On l’a vu au sujet du soi-disant débat sur l’identité nationale : le fondement de celle-ci, c’est à dire le facteur ethnique, a été systématiquement occulté. C’est en effet, de l’extrême-gauche à Marine Le Pen, la question qui fâche, qui est l’objet d’un tabou que personne, au sein du Système (FN compris), n’ose affronter. Alors que la seule façon réaliste, efficace, honnête de traiter la question de l’immigration est d’appeler un chat un chat (comme d’ailleurs certains Africains commencent à le comprendre et à le dire). Autrement dit (et nous ne nous lasserons jamais de rappeler cette évidence) : une Terre, un Peuple. Chacun chez soi et tout ira bien, les rapports entre populations différentes pourront devenir normaux, dans le respect de l’identité de chacun. Sinon on ne peut qu’aller vers une dramatisation de la situation.
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samedi, 30 octobre 2010
L’ARBRE ROM NE DOIT PAS CACHER LA FORÊT AFRICAINE...
Par Pierre Vial
Editorial du n°45 de Terre et Peuple
Obsédé par l’échéance de 2012, Sarkozy sait qu’il a un besoin vital des suffrages de tous ceux – et ils sont nombreux (voir les sondages) – qui, ayant voté FN ou non, mettent au premier plan de leurs préoccupations la lutte contre l’insécurité. Tout simplement parce qu’ils sont confrontés en permanence, dans leur vie quotidienne, à cette insécurité – à la différence des intellos bobos de droite et de gauche bien à l’abri devant leur ordinateur.
Le principal facteur d’insécurité, tout le monde le sait (même dans les palais ministériels) est la présence sur notre sol de millions d’envahisseurs venus d’Afrique. Du Maghreb, bien sûr, mais aussi de plus en plus d’Afrique subsaharienne. Pour le savoir, pas besoin de savantes études. Un parcours, même rapide, dans les rues et les transports en commun des grandes villes, suffit à faire le constat. Le Blanc (ou a fortiori la Blanche) seul(e) de son espèce dans une rame de métro, un bus ou le wagon d’un train de banlieue, sait de quoi je parle. Il paraît que parler ainsi ce n’est pas bien car c’est du populisme (pouah !). Mais si on s’intéresse au sens des mots, le populisme ne serait-il pas la prise en compte des besoins, des attentes, des souhaits du peuple ?
Alors, va pour populisme. Disons même national-populisme, histoire d’avoir le plaisir d’horrifier les belles consciences et les grandes âmes.
La place naturelle des populations africaines est en Afrique, au nom du principe “Une Terre, un Peuple”. Cette vérité toute simple – trop simple disent les intellos, qui ont horreur de la simplicité – conduit à une conclusion logique : il va falloir que les envahisseurs retournent d’où ils sont venus. C’est là, évidemment, que le bât blesse.
Comment faire ? On nous dit que ce n’est pas possible et qu’il faut donc, n’est-ce pas, accepter la situation (c’est-à dire non seulement la présence de ceux déjà installés chez nous mais l’arrivée permanente, à jet continu, d’envahisseurs supplémentaires). Cette résignation, cette soumission est le fruit de l’ethnomasochisme injecté dans le cerveau des Européens par les maîtres du Système. Dans certains pays d’Afrique et d’Asie, au contraire, on ne se gêne pas pour rejeter du territoire national, sans beaucoup de précautions, ceux dont la présence n’est pas souhaitée. Quand on veut, on peut. Quitte à s’asseoir tranquillement sur les critiques éventuelles.
Sarkozy et son clan, eux, ne veulent pas. Pour diverses raisons mais entre autres parce qu’ils ont peur de se casser les dents sur un trop gros morceau car le retour au pays des Africains ne se fera évidemment pas en douceur. Mais pourtant il faut donner le change, amuser la galerie avec quelques rodomontades. D’où le leurre des Roms. Dont certains prêtent bien sûr le flanc à la critique en pratiquant une mendicité ressemblant furieusement à du harcèlement ou en pratiquant ce que les anars appellent la “récupération individuelle” (c’est-à-dire le vol). D’autant que le Gaulois smicard a de quoi s’interroger lorsqu’il voit circuler les Roms dans de luxueuses caravanes tractées par de non moins luxueuses voitures de grosse cylindrée (Mercédès, BMW, Audi…).
Les Roms, c’est-à-dire les Tziganes, sont présents un peu partout en Europe, sous des noms divers. Jusqu’à date récente, où le politiquement correct a imposé l’expression “gens du voyage”, ils étaient communément appelés en France Bohémiens ou Romanichels, le mot Tziganes étant un mot savant dû à des philologues du XIXe siècle. En Angleterre on parle de Gypsies, en Espagne de Gitanos, en Italie de Zingari, tandis qu’en Europe centrale l’allemand Zigeuner a été très répandu, même si les Tchèques préfèrent parler de Cikan et les Hongrois de Cigany, tandis qu’en Roumanie, lorsqu’elle était dominée par les Turcs, les Tsigani étaient considérés, jusqu’en 1857, comme des esclaves. La langue parlée par les Roms, le romani, est d’origine indoeuropéenne, avec une forte composante néo-persane et un vocabulaire en partie d’origine grecque, dû à une longue présence des Roms, au Moyen Âge, en territoire byzantin.
Le nomadisme des Roms a toujours posé problème : entre 1910 et 1930 tous les États européens ont mis en place un fichage systématique de populations échappant aux cadres habituels liés à une vie sédentaire. En 1907 la Chambre des députés a voté un projet destiné à empêcher les “incursions des bandes de romanichels” et en 1912 a été créé un carnet anthropométrique pour les “vagabonds ethniques”, en vigueur jusqu’en 1969, où il a été remplacé par un carnet de circulation. En 1958 tous les États du bloc communiste ont interdit “le nomadisme” (les grandes consciences de gauche semblent avoir oublié aujourd’hui ce “détail”). Comme on le voit, le problème n’est pas nouveau. Ce n’est pas une raison pour tomber dans le panneau sarkozyste. La question des Roms n’est pas vitale pour l’avenir de l’Europe. L’invasion de notre terre par les masses africaines est, elle, une question vitale puisque c’est la survie d’une Europe européenne qui est en jeu. Ne nous trompons pas d’ennemi.
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09:56 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |