mercredi, 30 décembre 2015
Quand j’entends le mot : élite, je sors mon browning !
Dr Bernard Plouvier
Entendons-nous bien : je suis un citoyen modèle, ex-travailleur, retraité après 41 années d’exercice médical hospitalier, blanc, payant rubis sur l’ongle factures et impôts, insulté par les immigrés colorés lorsqu’il m’arrive de me promener à mes risques et périls dans certaines rues de Tours, de Paris et de Bordeaux, et respectueux des lois… donc je n’ai pas d’arme, même pas un fusil de chasse.
Je ne fais que paraphraser Hanns Johst, le remarquable tragédien nazi (eh oui, la culture de langue allemande se portait bien durant le IIIe Reich, contrairement à ce qu’enseignent doctes universitaires et gâteux académiciens) : « Lorsque j’entends parler de culture, j’arme mon browning » (in Schlageter)… et comme Johst connaissait son époque, il mettait cette phrase dans la bouche d’un marxiste. Johst n’a jamais tué personne et l’auteur de ces lignes ne souhaite que l’exécution après jugement de ceux qui, volontairement, prennent la vie d’un être humain.
En revanche, il y a de quoi être révolté ou honteux d’ouïr et de regarder agir ou ne pas agir nos « élites » - soit nos élus grassement payés (et souvent de multiples façons), nos sémillants directeurs d’entreprises privées ou publiques, nos hyper-fonctionnaires, nos grands gourous médiatiques, nos gloires d’Université & d’académies, les membres des hauts-clergés (y compris les maîtres des sectes maçonniques), les notables corporatistes et défenseurs des droits communautaires et catégoriels, bref tous les gens qui semblent avoir été désignés – par leurs pairs ou les électeurs, voire qui se sont autoproclamés – pour constituer l’élite du pays.
Or que nous disent les membres de tous sexes et genres composant ce beau monde ? D’abord et avant tout que tout va bien, ou le moins mal possible ; que nous sommes trop repliés sur nous-mêmes, Européens de souche, et pas assez accueillants vis-à-vis de pauvres êtres, fuyant des pays d’Afrique, du Proche- ou du Moyen-Orients… où la politique du curieux Président des USA, relayé par ses caniches occidentaux, a démoli l’existant pour le remplacer partout par une guerre permanente entre sectes rivales islamistes.
Si l’on se plaint de la multitude d’exactions commises par les immigrants extra-européens et leurs rejetons nés sur le sol national, de leur délinquance et leur incivilité quotidiennes, de leurs crimes qui deviennent de plus en plus fréquents par l’effet d’une impunité inédite dans l’histoire des civilisations, de l’immonde barbarie que représente l’islam conquérant et criminel et de la régression médiévale que représente l’application des stipulations non criminelles de la charî’a… l’on devient ipso facto raciste (soit animé d’un complexe de supériorité, face à des Barbares) ou xénophobe (soit animé du complexe inverse, par peur des folies inutilement importées en un continent hautement civilisé, qui eut beaucoup à souffrir par le passé de guerres religieuses ou entre nations composant la race blanche).
L’Européen de souche ni trop sot, ni sourd et aveugle, est pris d’un doute, puis – après quelques années d’observation des sociétés française, belge, allemande, britannique etc. – progressivement envahi d’une certitude : nos « élites » sont soit composées de délirants chroniques soit de traîtres. On ne le répétera jamais assez, délirer, c’est nier l’évidence des faits. Quant à la trahison, c’est travailler à la destruction du Bien commun ou à sa livraison à l’ennemi.
Il y a 25 siècles, Platon a écrit (in Les Lois) : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de la Cité. Quiconque fait la paix de sa propre initiative et sans le consentement commun sera puni de mort »… Cité, État, cela importe peu.
L’avis de « l’élite », délirante ou corrompue (de nos jours, l’on dirait : sensible aux charmes des pétrodollars ou aux subsides pétro-islamiques), est passé de mode. L’on ne voit que trop où cette « élite » nous a menés. C’est l’avis de la Nation qu’il importe de prendre au plus tôt… sinon, la Nation a le droit de s’insurger contre des tyrans incompétents et/ou corrompus. Ce Droit devient un Devoir lorsque l’avenir des enfants et des petits-enfants est directement menacé par des envahisseurs.
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mardi, 29 décembre 2015
Se défendre contre la barbarie n’est pas du « racisme », loin de là !
Dr Bernard Plouvier
Depuis 48 heures, alors qu’il est devenu évident que les manifestations de Corses sont des actes de colère amplement justifiée par les exactions de la racaille immigrée – même si l’on peut déplorer l’absurde saccage d’objets qui, en soi, ne sont ni bons ni mauvais –, elles sont présentées, par les pitres politico-médiatiques tant choyés par les roitelets arabo-pétroliers, comme des manifestations de « racisme ».
Il serait temps pour ces beaux messieurs si bien habillés, ces dames si joliment parées et les individus de genre indéterminé, de consulter un psychiatre pour faire soigner leur délire, puisque – par définition – délirer, c’est nier l’évidence des faits.
Ont-ils été choyés nos envahisseurs-immigrés depuis le décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial de 1976 et la multitude de lois catégorielles votées ou de décrets énoncés depuis lors ! Entre allocations variées (on en invente de nouveaux types presque chaque année), bénéfice indu de lois sociales qui pourtant excluent de principe les non-cotisants, tolérance judiciaire et administrative pour des mœurs évoquant le Moyen Âge et des comportements de voyous crapuleux, adaptations diverses du Droit de façon rigoureusement anticonstitutionnelle, béquilles sociales comme cette merveille antidémocratique de la « discrimination positive », enfin des sommes astronomiques (soit, chaque année, des dizaines de milliards d’euros) injectées dans les villes à forte composante immigrée africaine (noire et maghrébine), on ne peut guère prétendre que nos « hôtes » du Sud aient été mal traités, parfois au détriment des autochtones – ce qui réalise un « racisme à rebours » de la part de nos merveilleux politiciens et hauts-fonctionnaires.
En retour, qu’a-t-on vu ? La constitution de près de deux milliers de « cités de non-droit », où règnent des imams et/ou des chefs de bandes surarmées, qui tantôt guerroient entre eux, tantôt concluent des alliances temporaires pour lutter contre les « forces de l’ordre » qui sont tellement retenues par leur hiérarchie, vautrée devant les politiciens, eux-mêmes adorant le veau d’or actuel : le dieu pétrodollar, qu’on devrait les renommer « faibles de notre déclin ». Une multitude effarante de rackets perpétrés sur la personne de Français de souche européenne (ou asiatique), des viols en série, des actes de vandalisme quasi-permanents atteignant des sommets lors des dates symboliques ou lors de manifestations sportives, un terrorisme antijuif qui remonte à plus de trente ans au nom de la « cause palestinienne »… dont tout véritable Européen n’a cure.
Cerise sur le gâteau empoisonné, la politique concoctée à Washington par un crypto-islamiste, répercutée par ses gentils toutous élyséens depuis 2010, cette politique de gribouille qui a introduit partout la folie furieuse djihadiste dans le Dâr al-Islam, a induit en France (et ailleurs en Europe occidentale, mais ceci est une autre histoire que l’affaire corse) un terrorisme d’une immonde barbarie. Désormais en France, on décapite au couteau à céramique, on mitraille du Blanc… et cela provoque des hurlements de joie chez les « jeunes » de l’immigration non seulement dans leurs fiefs désertés par la police française, mais aussi un peu partout : seuls des sourds et des aveugles ne les ont pas perçus, soit nos pitres politico-médiatiques.
Alors, la bonne question à se poser – lorsqu’on n’est pas un abruti post-soixante-huitard, lorsqu’on n’est pas un salarié du pétrodollar, lorsque l’on n’a pas à mendier le « vote musulman » - : où est le « racisme » ? Du côté d’une tolérance qui devient, jour après jour, plus abjecte ou du côté de l’islam haineux et criminel, du côté de la racaille immigrée où l’on vit d’allocations-chômages, de vols et du trafic d’armes et de drogues, où l’on s’amuse à vandaliser le Bien commun, où l’on passe le temps à s’attaquer à trois ou quatre contre un passant « à face de craie », où l’on agresse sexuellement et parfois l’on mutile par sadisme raciste une jeune fille blanche ?
Oui, où est le racisme ? Une fois que la Nation française, la vraie, composée des hommes et des femmes qui œuvrent pour conserver et accroître le Bien commun, aura répondu à cette question, l’on pourra décider de ce qu’il convient de faire pour remédier au désastre. En cas de péril grave, seules des mesures de Salut Public s’imposent. En 1792 ou en 1914, face à l’invasion du territoire national, nos ancêtres ont su agir avec efficacité. Si nous n’en sommes pas capables, alors Finis Franciae !
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lundi, 28 décembre 2015
Le nécessaire recyclage des bouffons
Dr Bernard Plouvier
Depuis que les hommes ont appris à se regrouper en cités pour mieux vivre, les gouvernants ont expérimenté la technique du mensonge de propagande. On connaît la méthode : on ne donne qu’une version ou une partie des renseignements sur un événement et on diabolise son adversaire politique. Socrate mourut pour un différend d’ordre sociologique, déjà de nature religieuse. Néron passa pour un incendiaire de Rome et un tueur de chrétiens… il fallut deux millénaires pour s’apercevoir de la fausseté de ces deux accusations.
Rien n’est changé dans la technique de propagande de nos merveilleux hommes de gouvernement… et c’est là que le bât blesse, car la technologie actuelle permet de démonter les mensonges officiels en moins de 24 heures. Ni le gros marchand de sable ni son excité de premier ministre ne peuvent maîtriser les « réseaux sociaux ».
L’affaire d’Ajaccio en est un excellent exemple. Stupeur et indignation du vendredi matin : d’ignobles Corses ont, par pur racisme (variante : par xénophobie), saccagé une salle de prières musulmane. Immédiatement, notre sémillant toréador, très impliqué dans les échanges avec les États islamo-pétroliers, clame sa vertueuse indignation. De fait, nul ne trouve d’excuse à un tel acte « de haine spontanée ».
Quelques heures plus tard, l’on apprend enfin, grâce au Net, la réalité des faits et leur enchaînement. Ce que n’ont pas dit initialement le fringant politicien et nos merveilleux journalistes, c’est que d’honorables rejetons de l’immigration arabo-musulmane ont fait un feu de joie dans le quartier musulman d’Ajaccio, pour fêter la nuit de Noël à leur façon si spirituelle, puis – c’était le but de cette fiesta – ils ont attaqué avec des barres de fer et de grosses pierres les pompiers venus éteindre l’incendie.
C’est en réaction à un acte de guérilla civile que des Corses ont manifesté dans les rues de la ville leur écœurement, leur dégoût d’immigrés vandales, bons à rien faire d’autre qu’à détruire, à narguer en toute impunité les forces de l’ordre et attaquer brutalement des pompiers désarmés, qui tentaient de limiter les dégâts induits par la racaille. Le saccage (ridicule et inexcusable) de la salle de prière s’explique par l’irritation hautement compréhensible et parfaitement justifiée de la population corse.
Il y a deux enseignements à tirer de cette affaire de trucage politico-médiatique. D’abord, l’information à deux niveaux de sincérité a vécu. Messieurs Hollande, Valls et consorts de tous partis doivent savoir désormais que leurs demi-vérités et leurs gros mensonges seront dévoilés presque instantanément : il va devenir très difficile de mentir au peuple sur des sujets d’actualité, même s’il reste toujours la possibilité de se moquer du bon peuple grâce à de mirifiques et démagogiques promesses (thèmes classiques : plein emploi, fabuleuse croissance économique nationale et augmentation du pouvoir d’achat de chacun).
Ensuite, il n’est que temps d’organiser un referendum sur l’immigration extra-européenne. La patience des victimes autochtones n’est pas infinie. La réponse au banditisme de bandes de criminels immigrés risque de passer des mains quasi-menottées des « forces de l’ordre » à celles de milices citoyennes, avec toutes les dérives imaginables.
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dimanche, 27 décembre 2015
Le principe de désinformation et ses causes
Dr Bernard Plouvier
L’on savait déjà que, sauf d’heureuses exceptions, la République française était fondée sur le Principe de Peter : c’est-à-dire que chaque politicien et chaque haut-fonctionnaire pistonné grimpe les échelons du cursus honorum jusqu’à son plus haut degré d’incompétence (et l’on retrouve la même proportion de compétents que de surdoués et très doués en Quotient Intellectuel : 25 à 30%, versus 75 à 70% de faiblards voire de nullards absolus). Mais il n’est que trop évident, depuis le début du grandiose quinquennat actuel, qu’un autre principe, hautement démocratique, régit notre Ripoublique.
C’est celui de la désinformation, soit la distorsion de l’opinion publique par un bourrage de crânes sur certains sujets qui exacerbent la sensiblerie du bon (et très stupide) peuple de France et par une discrétion, qui confine parfois au mutisme intégral, sur d’autres qui risqueraient de lui faire froncer les sourcils. Au pays des bisounours, le gros marchand de sable hypnotise l’opinion, tandis que l’agité tremblotant (de rage, réelle ou simulée) la « colère » (un substantif qui fut employé comme un verbe par un grand praticien de la chose : Maximilien Robespierre, un révolutionnaire qui avait « emprunté » sa particule).
Officiellement, l’on calme l’opinion pour éviter « d’aggraver les choses » et le postulat (ridicule pour qui a lu le coran) : « Pas d’amalgame entre gentils musulmans et vilains islamistes » sert d’alibi à une absence quasi-totale de sanction contre les imams et ulémas qui hurlent leur haine tous les vendredis soirs, électrisant leurs ouailles (qui en redemandent).
Aux alentours du solstice d’hiver, une salle de prières musulmane a été saccagée en Corse. Nul – pas même l’athée – ne peut approuver un geste stupide : une grille, une porte, quelques meubles sont des objets, par définition, dépourvus de toute responsabilité… seul un grotesque oserait répéter la (très mauvaise) phrase d’un poète souvent pompier : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? ».
Pour une fois, on peut estimer que les musulmans de France méritent un peu de compassion… qui ne sera exprimée qu’une fois bouclée l’enquête de police, car l’on connaît énormément de précédents de soi-disant attentats antijuifs simulés ou organisés par des Juifs, pour en accuser des « néo-nazis » ou n’importe qui n’aimant pas les Juifs (pour amateurs, on peut rappeler la profanation du cimetière de Rishon Letzion, près de Tel-Aviv, perpétrée dans la nuit du 2 au 3 mars 1984, immédiatement attribuée à « des terroristes Palestiniens »… l’enquête de police, fort bien menée, a permis de faire condamner les auteurs de cette ignominie, qui étaient des fanatiques d’un de ces très nombreux groupuscules religieux juifs).
Mais l’indignation ne doit pas être sélective, comme celle de notre sémillant premier ministre. En ces années 2014-15, plus de 200 églises catholiques, quelques temples réformés et quelques synagogues ont été vandalisés (on connaît même une église de village tourangeau incendiée en ce très grand cru du terrorisme musulman 2015)… le tout dans un silence que l’on qualifie volontiers de sépulcral, d’autant que de nombreux monuments funéraires surmontés d’une croix ont été ravagés.
D’un côté, le silence ou la discrétion la plus grande ; de l’autre, trémolos et hurlements. On rappelle aux politiciens gouvernementaux que la première règle de la Démocratie est un égal traitement pour tous devant la Justice. Par extension, des faits similaires doivent recevoir le même traitement médiatique.
Évidemment, dans notre Ve République agonisant dans la pourriture, nombre de clubs sportifs sont devenus propriété éminente de roitelets des pétrodollars ; les emprunts d’État se placent facilement dans les émirats et royaumes arabo-pétroliers et (murmurent certains) des fonds de même origine viennent remplir les caisses des partis français bien-pensants, ceux qui encouragent l’immigration musulmane.
Récapitulons. Des ploutocrates musulmans financent le pain et les jeux des Français et même leur « élite politico-médiatique » (on est prié de se pas s’étrangler de rire en lisant cette antinomie). D’un autre côté, notre « élite » fait le silence sur les exactions quotidiennes des islamistes (leurs attentats meurtriers sont trop énormes pour être tus, mais l’on noie le poisson sous une sauce pseudo-humaniste : faire pleurer la Margoton a toujours été la bonne recette pour occulter la réalité) et, au contraire, elle hurle à la mort au moindre « attentat raciste », mais faisons attention à la définition d’icelui !
Des musulmans volent et incendient, violent et mutilent, égorgent, décapitent et mitraillent des Blancs. Des Blancs répondent, rarement, par un gros mot ou un coup de poing. C’est, bien sûr, cette réponse (faiblarde) aux (énormes) agressions et provocations qui devient un « attentat raciste ».
L’observateur autochtone, totalement indifférent au problème religieux, mais qui, n’étant pas tout-à-fait idiot, perçoit la réalité du double phénomène d’immigration-invasion et d’un nouvel élan de haine islamique dirigée contre « les infidèles », ce Français de souche et fier de l’être est en droit de se demander si nos « élites politico-médiatiques » n’ont pas adopté, vis-à-vis de leurs bailleurs de fonds arabo-islamiques, un comportement de prostitué(e)s.
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dimanche, 20 décembre 2015
Réflexions sur un futur indéterminé… mais peut-être proche
Dr Bernard Plouvier
On peut espérer que les stratèges civiques ont tiré l’unique leçon des « Régionales » récentes… des élections où, à l’exception du particularisme corse, tout s’est joué à Paris, à la direction des partis et des media efficaces (télévision, radio et réseaux du Net), où l’on a reçu des ordres précis de nos véritables maîtres : barrage absolu au mouvement populiste.
L’on comprend bien la raison de la peur grandissante des empereurs de l’économie. Un peu partout en Europe occidentale, les partis populistes atteignent des scores qui rappellent ceux des années 1920-35. Les raisons de ce succès sont voisines, sinon identiques. Et si nos maîtres étaient autre chose que des virtuoses de la spéculation tous azimuts et du maniement des opinions publiques (ce qui est facile quand on dispose de beaucoup d’argent et de tous les types de media), ils auraient quelques connaissances historiques et sauraient qu’à trop opprimer, pressurer, désespérer le peuple, l’on aboutit constamment à une réaction populiste : on leur conseillerait volontiers de se pencher sur les cas antiques (qui, donc, ne fâchent plus personne ou presque) de Pisistrate, de Denis Ier tyran de Syracuse, voire de ce Néron stupidement sali par d’ineptes pseudo-historiens.
L’arrogance et le trop plein de richesses des maîtres sont d’autant plus mal supportés que les conditions de survie du bon peuple deviennent mauvaises, non pas seulement dans le présent - le peuple a l’habitude de souffrir et d’encaisser les coups -, mais pour l’avenir. Ne pas offrir une perspective de vie meilleure pour les enfants et petits-enfants, c’est cela qui révolte le bon peuple et le rend mauvais, voire violent.
Tout le monde le sait : l’Europe, continent civilisateur par excellence, est en voie de désindustrialisation accélérée, de régression inédite en matière d’instruction publique, de ruine culturelle. À ce désastre, se surajoute l’invasion de la partie occidentale du continent par des dizaines de millions d’immigrés, dont beaucoup sont brutaux, avides et conquérants, provenant d’Afrique noire et maghrébine, du Proche et du Moyen Orients (on en dénombrait 55 millions en 2013 ; probablement 60 de nos jours), véhiculant une religion de haine pour l’infidèle, une religion médiévale, n’ayant pas connu de Renaissance… ce qui ramène les Européens un demi-millénaire en arrière et leur promet des guerres de religions en plus de l’inévitable guerre entre autochtones et envahisseurs.
Grâce à des milliards d’unités de compte habilement dépensés, nos maîtres sont parvenus jusqu’ici à hypnotiser leurs victimes. Depuis les années 1980, ils ont toujours réussi à maîtriser les gouvernements, les faisant agir dans le sens des seuls intérêts des bénéficiaires d’une production économique délocalisée en des zones de faibles exigences salariales et de protection sociale nulle et du brassage des races pour annihiler les velléités de protestations de la majorité des peuples occidentaux… majorité composée de sous-doués, tellement stupides qu’ils ne perçoivent pas jusqu’à présent le double risque de paupérisation et de substitution de populations en Europe.
Aucune consultation électorale ne pourra changer quoi que ce soit à cet état de fait. La politique est le règne des habiles manœuvrant une majorité de médiocres… sauf à bénéficier d’un chef authentiquement dévoué à la Nation, agissant dans un État doté d’une Constitution où les votes sont soumis au régime de la proportionnelle intégrale. Il ne faut pas rêver : nos bons maîtres l’ont compris depuis fort longtemps et aucun pays n’élit ses représentants de cette façon. Quant aux présidentielles, la propagande des maîtres est tellement approvisionnée en argent que les manipulateurs d’opinions publiques font élire n’importe quelle nullité pourvu qu’elle soit totalement inféodée aux puissances d’argent, par sa faiblesse, sa vénalité ou ses antécédents douteux.
Un régime favorable au peuple, défendant farouchement ses intérêts culturels autant qu’économiques et spirituels, prônant ses valeurs identitaires et respectant son histoire, ne peut s’instaurer par une consultation électorale en « période molle » - c’est-à-dire lorsque le peuple est massivement composé d’individus veules et amollis : ce que de Gaulle appelait un « peuple de veaux ».
Le rôle des hommes et des femmes sincèrement et farouchement attachés aux valeurs nationales est de travailler inlassablement l’opinion locale pour qu’une forte minorité agissante soit prête à se lever lorsque le système amoral actuel craquera, sous le poids de la Dette des États et du vide sidéral des caisses sociales, ou par l’effet d’une guerre des races et des religions débutée par nos hôtes, nos immigrés-envahisseurs, faussement rassurés par leur surarmement (via les rois et princes du pétrole et de la drogue) et par la veulerie des gouvernants-collaborateurs.
C’est agir avec beaucoup d’intelligence que de laisser à son ennemi mortel la responsabilité de tirer le premier coup de fusil ou de canon. En temps de guerre, se trouver en situation d’agressé confère à la fois ardeur et légitimité. Franklin Delano Roosevelt l’avait compris et cela ne lui a pas trop mal réussi.
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vendredi, 18 décembre 2015
Il ne faut pas confondre Équité & Justice
Dr Bernard Plouvier
Trop de nos contemporains, nés au siècle précédent (que font regretter, en dépit de ses tares, la médiocrité et l’effarante régression intellectuelle et spirituelle du nouveau), en sont restés à l’esprit du Droit romain, revu par les Codes napoléoniens qui ont régi notre pays jusqu’au dérèglement post-soixante-huitard.
Ce Droit avait pour essence et pour finalité de protéger l’honnête citoyen face à la canaille (voleur, escroc) et à la crapule (assassin, violeur, trafiquant de drogue – ce qui réalise un meurtre programmé -, propagandiste de la haine religieuse, raciale ou politique). Son principe était simple : malheur à celui par qui arrivent scandales, délits et crimes.
De nos jours, les nouveaux codes admettent une « Justice » infiniment plus politisée, en ce sens que la sociologie et la psychologie de bazar (telle la supercherie psychanalytique) surajoutent leurs méfaits au crétinisme des années 1968 sq. De ce fait, un voyou est devenu une victime de malchances sociales et d’un défaut d’instruction, puisque, c’est bien connu, l’instruction rend honnête. Manifestement, les socio-machins ne connaissent pas trop certains milieux hautement intellectualisés de la finance, du négoce de haut vol, des hauts-fonctionnaires, du monde médical – je l’évoque en connaissance de cause- etc.
Selon que vous serez nés dans un milieu « défavorisé » ou non, les jugements de cour vous rendront ou tout blanc ou tout noir (sans connotation raciale… on ne fait que paraphraser ce bon La Fontaine). Bref, il vaut mieux être un petit voyou, un immigré ou rejeton de cette « chance nouvelle », plutôt qu’un agriculteur, un commerçant, un propriétaire qui tente de défendre son bien ou son gagne-pain.
Il existe, depuis le XVIIIe siècle et les plaidoyers du marquis de Beccaria, un autre principe : celui de la proportionnalité de la peine et du délit ou du crime. Excellent principe… hélas fort mal suivi par nos Codes et, partant, par nos magistrats.
En l’absence de peine de mort, comment juger en équité celui qui volontairement a tué ? Comment éviter la récidive d’un violeur (la perversité sexuelle étant, comme tous les comportements animaux, génétiquement induite, donc programmée pour la récidive), si l’on refuse la castration… d’ailleurs pas toujours efficace, car un castrat peut « s’ériger », grâce aux androgènes surrénaliens (et les anti-androgènes actuels sont d’une efficacité aléatoire chez certains sujets). Comment faire payer les petites crapules, bonnes à rien faire d’autre que détruire, qui incendient, saccagent et pillent lors des émeutes raciales ? Et l’on pourrait multiplier longuement les rubriques où crimes et peines sont hors de toute proportion dans un système épouvantablement laxiste.
Moins que jamais, le citoyen français lambda – le contribuable-électeur, dont l’assemblée générale est théoriquement le seul souverain légitime de l’État – peut se sentir en sécurité chez lui ou dans les rues. Il lui faut également savoir que, dans son pays, le Droit n’a plus qu’une très lointaine parenté avec l’Équité, soit la stricte Justice qui est de donner à chacun ce qu’il mérite : réparation, pour la victime ; châtiment pour le délinquant et le criminel.
En période de surpopulation, d’une dangerosité majeure pour la survie des sociétés, l’on pourrait penser qu’il est utile de privilégier les gens honnêtes plutôt que les voyous et la lie de l’humanité. L’actualité démontre qu’il n’en est rien.
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jeudi, 17 décembre 2015
Le marchand de sable
Dr Bernard Plouvier
Nos merveilleux ministres, si fringants depuis qu’ils ont évité une déculottée électorale, n’ont pas assez d’indignations ni de trémolos pour condamner des dirigeants du Front national qui ont répondu à une basse provocation en publiant des images vraies.
On connaît la technique. On diabolise l’ennemi à détruire par d’immondes comparaisons et d’ignobles insultes, puis le parquet – par définition, aux ordres du Garde des Sceaux – poursuit les victimes lorsqu’elles répondent à la provocation par une phrase un peu rude (ce fut la spécialité de Jean-Marie Le Pen) ou, technologie moderne oblige, par diffusion d’images sur les réseaux sociaux.
Un jour, Jean-Marie Le Pen entend un obscur tâcheron de la politique nommé Durafour dire publiquement : « Il faut exterminer le Front national ». Il rétorque « Dura - four crématoire », en un calembour d’un goût laissé à l’appréciation du public et surtout de juges, car désormais la « Justice » intervient dans certaines querelles politiciennes et curieusement toujours à sens unique. On classe assez vite l’assassinat d’un François Duprat, mais on s’acharne sur les « mots » de Jean-Marie Le Pen.
En cette fin d’automne où des djihadistes ont assassiné plus d’une centaine de Français, c’est dans l’urgence qu’un parquet poursuit Marine Le Pen pour diffusion d’images de barbarie, en oubliant un peu vite que d’immondes provocateurs, insultant le tiers des électeurs français qui osent s’exprimer, ont bavé sur le Front national en le comparant à la lie actuelle de l’humanité : les chefs de l’État Islamique et leurs tueurs.
Les Français de ma génération ont eu droit de façon quotidienne aux images des « camps de la mort », des pendaisons ou fusillades de Juifs et de résistants par les vilains nazis. Nous avons vu des bonzes se faire brûler vifs durant la guerre du Viêt-Nam, les photographies des innombrables charniers d’Afrique et d’Asie décolonisées. Une loi, votée en 2014, empêche de montrer la barbarie actuelle, brevetée califat nouveau, et il est utile d’en chercher les raisons.
Surtout « pas de vague », de peur de déclencher de nouvelles émeutes raciales, où l’islam servirait d’alibi à ceux qui, à défaut d’exercer une profession utile, sont devenus des agents de la haine destructrice, toujours prêts à faire flamber une cité… d’autant que l’État bon prince répare après avoir déblayé les ruines.
On ne peut montrer la réalité de l’islam conquérant lorsque l’on va mendier des emprunts d’État, voire des subsides pour des partis politiques, au Qatar ou en Arabie saoudite. Quelle peut être la liberté d’action d’un gouvernement « français » aux ordres, comme celui d’Obama, des multinationales dont les plus puissantes restent encore les compagnies pétrolières ?
Enfin, ce n’est pas l’échéance présidentielle de 2017 qui inquiète nos brillants politiciens du parti unique gauches-droites-centre marécageux. On rejouera le scénario de la réélection de Jacques Chirac : tous unis contre le candidat populiste quel qu’il ou elle soit. C’est plutôt l’irrésistible ascension du mouvement populiste qui fait peur, à échéance plus lointaine, car ce sont des jeunes qui votent désormais pour le FN… et ces jeunes sont assez désespérés pour oser s’insurger au cas où nos aimables hôtes extra-européens, islamistes ou non, seraient tentés par l’essai d’une « émeute générale », comme d’autres un siècle plus tôt, ont paralysé des États par la grève générale.
Il est donc urgent, au pays des Bisounours, d’endormir qui veut l’être, d’anesthésier qui souffre trop d’entendre des paroles un peu dures ou – horreur suprême – de voir mourir un bébé-phoque… l’ennui c’est qu’il s’agit d’hommes et de femmes que les djihadistes décapitent et mitraillent ; l’ennui, c’est que les musulmans sont 55 millions en Europe et qu’il en vient d’autres tous les jours.
Dormez, je le veux, dit l’hypnotiseur.
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mardi, 15 décembre 2015
Tribune libre : Il est urgent de redonner son indépendance à la Nation française
Dr Bernard Plouvier
Comme n’importe qui peut le constater en consultant un atlas ou une mappemonde : la France est sise en Europe, continent étendu de l’Atlantique à Vladivostok, domaine de la race blanche, résultant elle-même d’un très heureux amalgame, remontant à la préhistoire, entre des blonds et des roux, généralement grands, et des bruns à peau claire (mais bronzant mieux que les précédents) de taille variable, tous étant issus de ce continent… et qu’on ne nous ressorte pas la funeste bêtise d’une commune origine africaine des quatre races fondamentales de l’humanité moderne, totalement démentie par l’étude anthropologique des boites crâniennes aussi bien que par la génétique.
De nos jours, cette évidence de géographie humaine est perturbée par l’immigration-invasion de l’Europe par 55 millions d’extra-Européens, provenant essentiellement d’Afrique (noire et maghrébine) et du Proche-Orient, la Turquie fournissant le plus gros de ce lot. Comble de bonheur, au mélange racial se surajoute l’importation massive de sectateurs d’une religion médiévale où la guerre de conquête est inscrite en toutes lettres dans le livre réputé saint et fondateur de ce culte : l’islam, son coran et son djihâd.
Qu’en Allemagne, une Chancelière vieillissante ait introduit 1 million de ces immigrés-envahisseurs en cette année 2015 ne regarde que nos voisins… et quand l’on pense que mémé Merkel n’a même pas obtenu son Nobel de la Paix, on rigole un peu (voire beaucoup).
En France, la seule conclusion à tirer des régionales de ce mois de décembre est l’absolue et urgente nécessité de rendre son indépendance à la Nation française. Une précision sémantique s’impose : la Nation n’est pas un peuple.
Le peuple est un agrégat de sujets, citoyens et non-citoyens mêlés, vivant en-deçà des mêmes frontières et soumis (en principe) aux mêmes lois civiles, pénales et fiscales. Une Nation, c’est tout autre chose. Comme les Romains et les Grecs antiques le savaient, cela sous-entend une origine ethnique commune, une histoire commune, des mœurs communes.
Et que l’on ne vienne surtout pas mêler la religion à tout cela. Une religion, soit selon l’étymologie : ce qui lie ou soude une communauté, n’aboutit jamais qu’à mieux la désunir, dès qu’une série de « profonds penseurs » vienne y mettre son grain de sel. L’Europe a déjà donné pour ce qui est des guerres religieuses. La seule chose à retenir de l’institution républicaine est le principe de la séparation des Églises et de l’État… avec en corollaire l’interdiction absolue de tout culte voulant dominer l’État.
Les extra-Européens sont les bienvenus comme touristes, stagiaires ou étudiants, au visa toujours temporaire, ne pouvant en aucun cas devenir citoyens d’un pays européen et destinés à retourner dans leur continent pour le civiliser (Afrique, Océanie) ou le faire prospérer dans les continents de vieille civilisation, comme la très respectable Asie.
La Nation française doit redevenir ce qu’elle fut toujours avant la folie du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des immigrés et la démence mondialiste. Les honorables autochtones des Dom-Tom doivent jouir de leur pleine et entière indépendance (et si les Corses veulent leur indépendance, les Français pourront la leur donner par la même occasion… ça fera toujours des centaines de millions d’euros économisés annuellement par le Trésor Public, alimenté par le produit de nos impôts).
De la même façon, la Nation peut et doit signifier aux minorités beaucoup trop turbulentes (tels les homosexuels agités du bocal ou du reste) qu’en Démocratie, la Loi est par définition la même pour tous et qu’une majorité n’a pas à se faire imposer les caprices de minorités.
L’État n’est rien d’autre que le Bien Commun, dont parlaient Platon, Aristote ou Thomas Hobbes. C’est à l’ensemble des citoyens qu’incombent les grands choix dans la gestion de ce Bien Commun et la notion de Démocratie exige que « chaque voix compte »… donc le seul régime électoral démocratique est celui de la proportionnelle intégrale.
L’indépendance de la Nation française, formée exclusivement de citoyens de souche européenne, ne pourra être obtenue que par la stricte application des principes de la Démocratie : Égalité de tous devant la Loi et en matière de Droit électoral. Tout le reste n’est que fadaises pour rhéteur hypocrite.
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vendredi, 11 décembre 2015
Qu’est-ce qu’un « politicien de la gamelle » ?
Dr Bernard Plouvier
La campagne électorale, surprenante à bien des égards, de ces « régionales » nous l’explique à la perfection. Il suffit de décrypter les messages et d’en inverser la polarité.
Lorsque des quotidiens, réputés « indépendants des partis politiques » (attention à ne pas s’étrangler de rire), terrorisent l’électorat en lui indiquant que voter pour un parti « atypique » - celui qui combat la mondialisation des vies politique et sous-culturelle, qui vomit la globalisation de l’économie source de désindustrialisation massive et de chômage d’une ampleur inédite en France, qui lutte contre l’immigration-invasion extra-européenne et l’introduction massive en France de l’islam ravageur de la civilisation européenne -, c’est pratiquement déclencher la IIIe guerre mondiale…
Lorsque des industriels – grands délocalisateurs d’entreprises, au nom du « nécessaire développement des autres continents » - nous promettent la ruine de l’économie française si l’on vote pour ce parti (au fait, plus de cinq millions de chômeurs, une Dette pharaonique et un déficit record de la balance commerciale, soit l’héritage des politiques menées depuis 1981 et l’entrée dans le beau monde de la mondialisation-globalisation, ne serait-ce pas « la ruine » ?)…
Lorsque des artistes (prononcer « artisses ») nous rappellent que voter pour ce parti, c’est assurer la ruine de notre « culture », c’est-à-dire la fin des superbes réalisations du style Centre Beaubourg, colonnes de Buren, sculptures bizarres et autres dingueries…
Lorsque des dirigeants d’associations subventionnées par État, régions, départements et/ou municipalités, dont l’utilité n’échappe à personne (telles ces associations qui refusent d’envisager l’ombre d’un soupçon de l’existence d’un racisme anti-Blancs) gémissent, hurlent, claironnent – à chacun sa formule, selon son caractère ou sa façon de manipuler l’opinion publique – que voter pour ce parti, c’est introduire la « Gestapo en pire » dans la vie quotidienne…
On comprend ce qu’est un « politicien de la gamelle » : c’est celui qui touche des fonds privés (voire publics) pour se faire élire - voire pour d’autres usages, davantage « domestiques » -, puis redistribue les fonds publics (entendre : l’argent des impôts payés par les honorables travailleurs et retraités), oriente adroitement (pas toujours, en fait) les adjudications en principe « publiques », les commandes et les subventions. Bref, c’est une économie parallèle – aux frais des contribuables – qui est en jeu à chaque nouvelle élection.
L’on comprend mieux la panique de certains lorsque des nouveaux venus veulent nettoyer les écuries de la Ripoublique et comme, pour celles d’Augias, ce ne peut qu’être un travail d’Hercule.
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mardi, 08 décembre 2015
La démence, nouvelle exception culturelle française ?
Dr Bernard Plouvier
Moins de vingt-quatre heures après le vote populaire en Languedoc-Midi-Pyrénées, les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes ont (re)lancé l’expression « peste brune ».
Serait-ce (horreur suprême) une injure à caractère raciste faisant référence à la couleur de peau des honorables Maghrébins, si nombreux dans le Sud-Ouest ? Non ! C’est une allusion, aussi fine que spirituelle et hautement documentée au plan historique, à l’électorat du Front National, comparé aux fameux SA (sections d’assaut) du NSDAP (le Parti nazi).
Imaginons une seconde les hurlements et transes des auteurs de cette spirituelle sortie ou de leurs « compagnons de route », si quelqu’un s’avisait de qualifier l’invasion musulmane de notre pays européen de « peste verte », par référence à la couleur de l’étendard du prophète ? Imaginons le lynchage médiatique, les torrents de vertueuse indignation des bien-pensants et bien-disants, les suites judiciaires et la somme de dommages et intérêts dont ce mauvais plaisant serait la cible.
Mais s’agissant d’électeurs français – en quasi-totalité, imagine-t-on facilement – de souche européenne, tout est permis y compris les plus basses et perfides allusions. Pour qui connaît cette région, aux paysages superbes, ce pays des « radicaux-cassoulets » (une appellation d’origine contrôlée), rien n’étonne plus. On y cause plus vite qu’on y réfléchit, surtout quand les sinécures régionales sont menacées par un électorat devenu rétif, redevenu farouchement patriote et totalement désabusé par les politiciens de la gamelle.
Les injures ne sont pas un argument électoral et n’ont aucune place dans un débat d’idées, même si, dans un certain milieu intellectuellement sinistré à force d’abuser des stéréotypes idéatoires et des tics verbaux, on aime y recourir, faute de mieux. Les confusions sémantiques et historiques, l’amnésie sélective (les « trous de mémoire ») sont des signes de sénilité précoce, si l’on préfère – en langage moins noble – des signes avant-coureurs de démence.
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lundi, 07 décembre 2015
Hollande et consorts en Haute-Cour ?
Dr Bernard Plouvier
Que n’a-t-on pas écrit sur l’art de gouverner ? Pour les uns, c’est « prévoir », pour d’autres ce serait plutôt « vouloir »… en tous cas, si l’on décide de faire quelque chose, il ne faut s’y lancer que lorsqu’on en a les moyens.
Nos « chefs », décidés et musclés, droit dans leurs bottes quand il s’agit de « défendre les valeurs de la République » (à dire vrai, on eût surtout aimé entendre qu’on allait défendre la Nation, effectivement menacée), ont décrété l’état d’urgence et parlent même d’en étendre l’application durant un semestre.
Tout cela serait bel et bon :
1 - si l’on agissait : nous avons vu un assaut (sanglant, mais avec une curieuse disproportion entre le nombre des assaillants et celui des terroristes assiégés, qui faisait mal augurer de l’efficacité policière), quelques visites domiciliaires et un nombre tellement faible d’interpellations que l’on en est en droit de s’étonner, car très nombreux sont les ulémas et imams prêchant le Djihâd dans « nos » belles mosquées ! On n’évoque même pas la réintroduction de la peine de mort. On déblatère sur une possible, éventuelle, voire improbable suppression de la double nationalité « dans des cas très précis ». Quant aux expulsions des fous furieux de l’islam et de leurs familles complices, nul n’ose l’évoquer, pruderie droit-de-lhommesque oblige… et l’on parle « d’état d’urgence » ! C’est réellement de la pitrerie.
2 – si la presse n’avait pas, au bout de deux semaines dudit (et très mol) « état d’urgence », mentionné le « surmenage », le « ras-le-bol » de nos vaillants policiers, CRS, soldats et gendarmes mobiles. Ce genre de réaction témoigne du sérieux et du professionnalisme des membres de nos forces de l’ordre… comme la photographie de couverture de la dernière livraison de Dâr al-Islam - la revue, grand public et destinée à l’exportation, du califat nouveau cliquez ici -, révélant (les lecteurs de Metamag s’en souviennent) un policier pleurant sur l’épaule d’un autre policier, est la meilleure illustration possible de la virilité française.
Mais il y a pire ! Quatre semaines après que notre grandiose Président ait décidé des « frappes aériennes », notre glorieuse armée aérienne serait à court de bombes, après en avoir lancé moins de 700… certes, on avait connu un précédent du même type, à la fin de septembre 1914, mais après six semaines de combats réellement intensifs, menés par 1,5 million d’hommes de première ligne. Pour l’heure, nos actions guerrières seraient menées par moins de 40 avions de combat.
Si l’information est exacte, la Nation doit exiger soit la destitution, soit – au minimum – le passage en Haute-Cour (c’est une mesure symbolique, mais ça soulagera l’agacement des patriotes) de nos « maîtres », pour imprévoyance et inconséquence. Au cas où ces génies de la réflexion l’ignoreraient, il est un principe fondamental en politique comme en stratégie : l’on doit proportionner ses objectifs à ses moyens… sinon l’on échoue lamentablement et l’on ridiculise la Nation.
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samedi, 05 décembre 2015
Quos vult perdere Jupiter demendat
Dr Bernard Plouvier
C’est un adage antique que l’on aurait intérêt à méditer de nos jours, selon lequel la divinité rend fous ceux qu’elle veut perdre.
Les nouveaux attentats perpétrés par les furieux islamistes, ne touchent plus seulement la France (pays de très forte minorité musulmane, comme ne semble pas le remarquer le ministre de l’Intérieur et des Cultes, dont les services minimisent le nombre approximatif des sectateurs de Mahomet, hôtes de notre beau pays) ou la Turquie (peut-être pour des raisons de politique intérieure qui échappent à l’observateur étranger aux finasseries pantouraniennes), mais aussi ces USA … où, selon certains commentateurs, on n’aurait pas dû en voir, parce que « les musulmans y sont bien intégrés » ou parce que « l’on n’y entre pas aussi facilement qu’en Europe occidentale » etc. On ne voit aucune raison pour qu’ils épargnent les États scandinaves, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne.
Or, dans tous les pays où frappent les fous d’Allah, on entend la même rengaine : « il faut limiter de façon draconienne la vente des armes ». Certains pitres ont même interdit la vente de produits d’entretien ménager, parce qu’effectivement les dérivés chlorés et nitrés peuvent fournir une excellente base d’explosifs… mais l’essence et les autres dérivés du pétrole sont également très dangereux entre les mains d’un fou furieux, et il ne faudrait pas oublier l’étrange fascination des tueurs du calife pour les couteaux à lame de céramique. On risque d’interdire beaucoup d’objets de consommation courante !
Si l’on suit le raisonnement de ces génies de la protection civile : tout irait pour le mieux si l’on désarmait « le peuple », sachant que les terroristes islamiques sont admirablement fournis – parfois par valise diplomatique – en armes, en explosifs et même en morphine pour acheter localement du matériel de complément. C’est bien connu : les crapules savent toujours où se fournir en tout ce qui leur permet d’exercer leur prodigieuse capacité de nuire, alors que le gentil pékin ignore tout de ces réseaux obscurs.
Plutôt que d’organiser des milices d’autoprotection, dans le cadre de ces « démarches citoyennes » dont les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes nous rebattent les oreilles, l’on va résoudre tous les problèmes de sécurité en raflant les armes du bon peuple menacé. Hollande, Valls, Cazeneuve et Taubira (qui se fait rare et silencieuse en ce moment, comme c’est bizarre !) vibrent à l’unisson d’Hussein Obama : désarmons le peuple ! Luttons contre la vente libre des armes (aux USA, pays de liberté jusqu’en 2001) !
En contrepartie de ce désarmement des victimes potentielles, on promet une action accrue des forces de l’ordre… qui, au bout de quinze jours d’alerte en France, se proclament déjà surmenées. Le torchon destiné à l’exportation de l’État Islamique, Dâr al-Islam, a montré une photographie de policier français pleurant sur l’épaule d’un camarade de patrouille, comme une pucelle abandonnée par son premier flirt… le commentateur n’a pas tort d’y voir un manque de virilité.
Après tout, la sagesse populaire le proclame : tel maître tel valet ! Hollande est un champion de l’inauguration des chrysanthèmes – et cela lui profite énormément en gain de popularité -, mais ni lui, ni ses ministres, ni le policier émotif présenté par la presse islamiste ne paraissent capables de protéger la Nation.
Lors de la prochaine vague d’attentats, les citoyens devront décider de leur sort : se laisser trucider pour la plus grande gloire d’Allah le tout-puissant ou se souvenir du comportement des Français d’autrefois. Bien entendu, chacun est libre de se prosterner devant l’envahisseur, de se convertir à sa foi médiévale, voire d’aider activement à son triomphe… mais chacun doit se souvenir que lors de la phase de Libération du territoire, les Collaborateurs éprouvent de menus désagréments.
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mardi, 24 novembre 2015
Comment lutter efficacement contre la terreur islamiste ?
Dr Bernard Plouvier
La survie de l’un des organisateurs des attentats qui ont ensanglanté Paris, le 13 novembre, devrait faire réfléchir, pour mieux cibler la nouvelle lutte antiterroriste, dirigée non plus contre des activistes politiques (comme les Basques ou les Irlandais), mais contre des fanatiques religieux.
Un meneur djihadiste – présenté comme le coordinateur des groupes de tueurs – a préféré vivre plutôt que de se faire exploser, laissant dans une poubelle sa ceinture de chasteté islamique. Que ce reniement ait été prémédité ou qu’il soit une lâcheté de dernière minute importe peu – et le fait que son cadavre n’ait pas encore été jeté en pâture aux media après l’égorgement rituel est en faveur de la préméditation et de l’accord préalable des amis qui sont venus le récupérer et le faire passer en Belgique, arrière-boutique du terrorisme islamique en Europe occidentale.
Ce geste doit faire comprendre que les organisateurs et inspirateurs, a priori moins imbéciles que les tueurs – qui sont pour la plupart des voyous de banlieues, quasi-analphabètes, des criminels et délinquants multirécidivistes des cités de non-droit -, sont bien plus soucieux de leur personne et de leur survie que les nervis fanatiques qu’ils emploient, après les avoir dopés et drogués au coran et aux stupéfiants.
Il faut traquer les agents d’endoctrinement, les concepteurs d’opérations et ceux qui agissent en soutien logistique, les faire parler – et TOUS les moyens sont bons qui peuvent épargner des vies d’innocents -, les éliminer discrètement et envoyer un témoignage indiscutable de leur exécution aux imams, ulémas et autres agents recruteurs, ainsi qu’aux familles qui sont bien souvent, non pas des victimes comme elles voudraient nous le faire croire, mais des complices.
Seule la certitude absolue de la mort fera réfléchir les « cerveaux » du terrorisme islamique, grands phraseurs, mais couards et généralement gras. Comme le disait un expert trop mal connu : « Seuls sont à craindre les fanatiques austères ».
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jeudi, 19 novembre 2015
Pourquoi en France et pourquoi maintenant ?
Dr Bernard Plouvier
Reconnaissons-le, cette année 2015 est une période faste pour les politologues, les spécialistes des relations internationales, les criminologues et autres sociologues ! Tous ne sont pas inintéressants, notamment ceux qui rapportent le cynisme des pétroliers US et d’Arabie, qui manipulent Président et roitelets, eux-mêmes fournisseurs d’argent, d’armes et de services (singulièrement les instructeurs) aux divers mouvements djihadistes. Les plus perspicaces des commentateurs semblent avoir même perçu l’intérêt majeur des chiites iraniens à soutenir la chienlit sunnite, un peu à la manière des pyromanes appelés ensuite comme pompiers pour éteindre l’incendie qu’ils ont, sinon créé, du moins propagé.
Il est curieux, toutefois, que ces savants gourous répondent peu, voire pas du tout, aux deux questions évoquées en titre.
La France est une cible toute désignée, non pas en raison de l’alignement des Sarkozy et Hollande sur la curieuse politique des USA – après tout, la Grande-Bretagne et l’Allemagne pourraient être des cibles aussi avantageuses pour les djihadistes -, mais en raison de l’énormité de l’implantation musulmane en France. Dût notre foi en la puissance de l’action des services spéciaux et des forces de l’ordre en être chagrinée, c’est également parce que les « décideurs » français sont les plus mous, les plus timorés de l’Union Européenne… il est vrai que lorsque l’on va perpétuellement quémander crédits ou contrats de vente en pays de Charî’a, l’on peut difficilement sévir contre les ulémas et mollahs de banlieues qui prêchent le Djihâd ou empêcher le départ vers les zones de formation au terrorisme des sauvageons de l’islam. Les bailleurs de fonds saoudiens, qatari ou autres risqueraient de se fâcher et de fermer le robinet à pétro-dollars.
Une dizaine de millions de musulmans en France, c’est une force colossale, croit-on du côté des « stratèges » du Djihâd, qui ont beaucoup étudié les manuels de pratique révolutionnaire et médité les exemples des plus sanguinaires d’entre eux : les nihilistes de Russie et les anarchistes d’Occident au XIXe siècle, les gauchistes d’Allemagne, d’Italie, de France et du Japon des années 1960 (dont les caisses étaient alimentées par le trafic d’opiacés fournis par le KGB), ou les islamistes antisionistes des années 1925-1980 (aux actes plus spectaculaires qu’efficaces). Il est possible, également, que ces stratèges aient étudié l’action des résistances communistes en Europe occupée par la Wehrmacht, à partir du 22 juin 1941.
Le schéma est simple et bien connu : l’action terroriste engendre une réaction du titulaire de la force armée et l’on espère que cette réaction entraînera à son tour l’insurrection vengeresse des « opprimés ». Les attentats doivent être les plus meurtriers et les plus ignobles, pour provoquer une réaction violente des États-cibles et idéalement de la fraction de la population excédée d’être la victime de la barbarie terroriste, suffisamment courageuse pour s’insurger. Or en France actuelle, dé-spiritualisée, amollie & aveulie, il ne faut guère compter sur plus d’1% d’hommes autochtones (et un pourcentage encore plus faible de femmes) pour répondre à la violence par la violence.
La moindre action contre un Africain ou un Maghrébin musulman, réellement innocent de tout crime contre la Nation française, pourrait être le point de départ d’un soulèvement des musulmans bien endoctrinés, associés aux racailles des cités de non-droit, dépourvues de vie spirituelle, mais avides de carnages, de pillages, d’incendie et de viols. Les émeutes raciales des trois décennies précédentes ne peuvent qu’avoir donné de grandes espérances aux stratèges djihadistes en France. Ils la conçoivent, non sans raisons, comme un pays majoritairement composé de pleutres, dirigé de façon laxiste par des clients d’États musulmans, et renfermant la communauté musulmane la plus importante d’Europe, également la plus délinquante & criminelle, la plus explosive.
La France est une cible de rêve, non par l’effet de sa politique étrangère comme on le dit, mais par la mollesse de sa politique intérieure.
Pourquoi maintenant ? C’est assez simple, si l’on veut se donner la peine d’étudier le fondement de la civilisation islamique. Les quasi-analphabètes de nos cités de non-droit se moquent éperdument d’une géopolitique dont ils ignorent tout ; ils se moquent de qui finance et arme leurs groupuscules. En revanche, un événement non prévu par les grands stratèges occidentaux et israéliens est survenu en 2014 qui les a enthousiasmés (stricto sensu, l’enthousiasme est une joie d’origine divine qui pousse à l’action).
Un homme, jugé quantité méprisable par ses ex-geôliers US et irakiens de 2004, et l’un des chefs de l’État Islamique depuis la mort du premier émir en 2010, s’est proclamé calife à Mossoul, le 29 juin 2014, puis a été intronisé le 5 juillet, dans la grande mosquée de cette capitale du sunnisme kurde. Qu’Ibrahim Awad, devenu Abou Bakr II, soit ou non un imposteur (en l’occurrence qu’il soit ou non un descendant de Mahomet par les femmes), on s’en moque totalement. De la même façon, la Fatwa vengeresse des ulémas d’al-Azhar (l’université sunnite du Caire) est sans grand intérêt pratique, même si elle émeut les politologues spécialistes de l’islam.
Pour les sauvages du Djihâd terroriste, un guide spirituel est apparu, dont la mission est reconnue par Allah, par le fait même que l’homme n’ait pas été réduit en cendres à l’instant même où il se proclamait calife. Or, pour un sunnite, le calife est inspiré par Allah, soit directement, soit par l’intermédiaire de l’archange Gabriel. Et cet « homme de Dieu » a bouleversé le Djihâd, dans sa pratique et dans son éthique.
Il a permis à des femmes de s’engager activement dans le Djihâd, et non plus seulement en soutien logistique comme auparavant. Il a également autorisé les frappes aveugles, au risque de tuer d’autres musulmans (ce qui est contraire aux stipulations du Coran)… réactualisant la phrase cynique médiévale : « Dieu reconnaîtra les siens ».
Que l’on soit riche ou pauvre, à-demi débile ou hautement intellectualisé, on meurt pour une cause si l’on est génétiquement prédisposé au fanatisme, qu’il soit d’essence religieuse ou politique. Il est d’autant plus facile de passer à l’acte que l’on a une justification morale pour cela et un « envoyé de Dieu » est l’être idéal sur ce point. Donner aux activistes la quasi-certitude d’œuvrer utilement pour la cause, c’est-à-dire leur faire croire qu’est venu le grand moment et qu’ils frappent à l’endroit optimal, est le B-A-BA du manuel du chef de mouvement insurrectionnel.
Que les mouvements de ce type soient constamment voués à un échec, immédiat ou retardé, n’intéresse que l’historien ou le philosophe ! Pour le fanatique, obéir et tuer pour la cause donnent un sens à la vie. De ce fait, un État victime d’un terrorisme religieux doit exterminer les tueurs potentiels autant que les inspirateurs, les donneurs d’ordre et les agents du soutien logistique. Tuer ou être tué, c’est l’alternative de toute Nation entrée en état de guerre.
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mercredi, 18 novembre 2015
Un Devoir d’amalgame ?
"L'anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures"
Raymond Poincaré, 1906
Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90.
Les agressions physiques quotidiennes des Africains, noirs et maghrébins, à l’encontre des Blancs sont tellement nombreuses dans les cités françaises que seules les victimes y font attention et les témoins ne s’arrêtent même plus, d’autant qu’ils n’osent intervenir : les agresseurs frappent en meute. Les forces de police ne se donnent qu’exceptionnellement la peine de rechercher les coupables et refusent souvent d’enregistrer les plaintes, au prétexte que « cela ne sert à rien ». Effectivement, les racailles colorées peuvent racketter, frapper, incendier, voler et violer des « petits culs blancs » (des deux sexes, d’ailleurs) en état de quasi-impunité.
Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, la France a recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine extra-européenne, qui sont, pour la quasi-totalité des maghrébins et une écrasante majorité de noirs, des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques, enrichis par les pétro-dollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.
À l’occasion d’attentats terroristes, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et gauche), divers « intellectuels », ainsi que quelques ulémas, qui, tous, viennent proclamer que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit » (par définition, impardonnable) : l’amalgame entre le musulman et le djihadiste (ou « salafiste », pour les plus savants commentateurs). Du muslim de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles de l’islam qui osent s’exprimer ainsi profèrent, consciemment, un énorme mensonge.
En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut-Moyen-Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).
À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd… à l’exception des cités de non-droit, qui font déjà partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.
Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam ; c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.
Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.
D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?
Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).
Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !
En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).
Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).
Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.
Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».
L’infidèle qui s’oppose au Djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.
En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.
Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?
Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.
Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes.
Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du coran, il est évident que l’amalgame peut et DOIT être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de raciste, mais un constat d’évidence !
Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées dites françaises, celles de gendarmerie et de police, renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.
En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu, uniquement préoccupé d’échéances électorales pour conserver les sinécures dorées de la République. Il est urgent qu’un authentique Pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Français de souche de la barbarie inutilement importée.
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mardi, 17 novembre 2015
Fantasme sécuritaire, réellement ?
Dr Bernard Plouvier
« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).
Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».
Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.
Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !
Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.
Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :
- Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
- Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
- Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
- Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
- Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
- Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
- Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
- Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.
Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !
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dimanche, 15 novembre 2015
Du sang et des larmes...
Dr Bernard Plouvier
Lorsque, durant l’été de 1940, le sieur Churchill promettait à ses compatriotes du sang et des larmes, il ne mentait nullement – que non pas -, du moins agissait-il ! Après l’hécatombe du 13 novembre (et en attendant que d’autres blessés en état catastrophique n’alourdissent le bilan), le peuple français a sa ration de larmes, de trémolos d’indignation, d’hommages aux victimes (et surtout à leurs familles, composées d’électeurs)… mais l’on attend vainement des actes.
On se gargarise du fait que nos glorieux services de renseignements (« parmi les meilleurs du monde », paraît-il) avaient repéré divers auteurs des attentats, dont un avait d’ailleurs été signalé par la police grecque des frontières, après avoir été identifié sur l’île de Lemnos… mais, dans ce cas, pourquoi n’avoir pas pisté ces crapules (en herbe), n’avoir pas repéré leurs contacts et n’avoir pas procédé à des arrestations préventives. La réponse est simple : il ne fallait commettre ni amalgame entre jeune musulman et djihadiste (curieuse conception, d’ailleurs, puisque selon le « saint coran », le Djihâd est une obligation pour le muslim en bonne santé), ni vaguelette en période pré-électorale (mais quand n’est-on pas, dans notre pays lamentable, en période de ce type ?), durant laquelle une action en quartier musulman risque d’être vécue comme une « provocation », voire – horreur suprême – un acte « raciste » !
Nos mous de la République – les Hollande, Valls, Taubira et autre Cazeneuve – sont responsables d’incurie, de non-respect du principe de précaution, et coupables d’abstention délictueuse, frisant ici la non-assistance à personnes en danger de mort. Quand on accède à une fonction électorale, ce n’est pas pour faire la Une des tabloïds et autres peopleries, pour faire du scooter devant les caméras ou flirter avec des donzelles frelatées, c’est pour AGIR. Or nos mous ne savent que causer et gémir, agonir « l’extrême-droite » et les « racistes » (Blancs bien sûr, puisque nos excellences – pas plus que les fonctionnaires de la Halde - n’ont jamais ouï les propos, orduriers autant que racistes, des racailles de l’immigration colorée).
AGIR, cela ils ne le savent pas. C’est pourtant simple ! Dans notre malheureux pays, il y a plus d’un millier de cités de non-droit à nettoyer de leurs délinquants et criminels impunis. Il y a une foule de parasites sociaux à expulser du pays, pour lutter contre le déficit des caisses sociales, qui alimente notre Dette abyssale autant qu’irremboursable. Il y a une foule d’immigrés chômeurs professionnels, donc manifestement en surnombre dans notre pays, industriellement sinistré. Il y a une foule de réseaux de trafiquants de drogues, d’armes, d’objets volés ou de contrefaçon… et si nos mous, l’ignorent, les policiers de base peuvent les renseigner. Il y a une armée, une police, une gendarmerie, le corps des gardiens de prison à épurer des musulmans, qui forment une authentique 5e colonne en terres françaises, ce qui est intolérable – ou suicidaire, au choix – en période de guerre civile largement annoncée.
Agir ou Partir, telle est l’alternative de nos pseudo-gouvernants !
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1914-2015 : ce n’est plus la même qualité de Français !
L’été de 1914, contre toute logique, contre tout bon sens, les nations européennes se ruent les unes à l’assaut des autres, avec enthousiasme (quoi qu’en aient dit un demi-siècle plus tard des historiens qui voulaient absolument donner raison, qui à ‘’Lénine’’, qui à Jaurès).
Le motif était futile : un énième assassinat de tête semi-couronnée. La situation n’était ni plus ni moins explosive que tout ce que l’on avait vécu lors des incidents coloniaux d’Afrique, durant les années 1890-1911, ou lors des conflits entre pays danubiens induits par la décomposition de l’Empire turc.
Le capitalisme financier et industriel, déjà largement cosmopolite, était – sauf en Russie où l’on travaillait, avec des capitaux étrangers, pour la seule consommation nationale - opposé à l’idée d’une guerre généralisée, tout au plus favorable à un conflit local qui raviverait la course aux armements et engendrerait ces destructions qui appellent depuis toujours une reconstruction, source de profits, mais sans remettre en question la répartition des terres en Europe (l’Alsace-Moselle ne faisait même plus recette en France depuis l’affaire Dreyfus : il fallait éviter de trop se pencher sur les affaires de Mulhouse… les initiés comprendront !).
Les conflits sociaux se réglaient alternativement, soit en faisant donner la troupe contre les grévistes (c’était, en France, une spécialité de Clemenceau et même d’Aristide Briand), au pire en augmentant un peu les salaires, ce qui faisait immanquablement monter les prix de vente de gros et au détail : rien ne bougeait dans l’équilibre final… c’était d’ailleurs ce que reprochaient les anarchistes et les marxistes à leurs ennemis, les socialistes réformateurs.
La caste militaire, quoi qu’on en ait dit depuis, ne manquait pas d’occasions de briller en zones coloniales et, après tout, il était moins périlleux de parader au milieu des civils, au pire de se battre contre des primitifs ou des arriérés, que de se lancer dans une guerre moderne, les exemples de la Civil War des USA et de la guerre russo-japonaise étant dans toutes les mémoires des généraux (du moins, ceux qui se donnaient la peine de lire) : une guerre moderne tuait beaucoup de monde.
On savait tout cela bien avant 1914 ; seuls les historiens qui ne lisent pas les journaux et revues de l’époque l’ignorent. Pourtant, la guerre se déclencha, puis se mondialisa. Et pour une raison simple : les hommes étaient d’une autre trempe que nos contemporains. Le confort moderne – rudimentaire à nos yeux – leur paraissait amollissant, l’ennui d’une vie trop prévisible dans un monde d’évidente stabilité sociale, morale et monétaire leur paraissait insupportable. Ils n’avaient aucun autre moyen que la lecture pour vivre une aventure par procuration - le cinéma était alors tellement grotesque qu’il faisait rire plutôt que rêver - et les romans étaient écrits en une si belle langue qu’ils en étaient ennuyeux !
La Grande Guerre, dans son illogisme, était la plus inévitable de toutes : les Européens étaient virils, partageant tous (sauf quelques esthètes qui affublaient leur couardise des oripeaux du pacifisme) le même chauvinisme, seul sport cérébral commun aux Européens, toutes classes et castes confondues.
2015 : des Français avachis, amollis physiquement par des excès alimentaires et un défaut d’exercices physiques, attendris par un demi-siècle de propagande doucereuse, lénifiante et tiers-mondiste, se comportent en parfaits capons, habitués aux caprices de leur(s) femelle(s), de leur(s) giton(s) ou de leur(s) enfant(s)-tyran(s)… après tout, on ne leur demande plus que de consommer, de s’endetter et de pleurer sur les misères exotiques.
Effectivement, les sauvages venus du Sud ou du Sud-Est ont beau jeu de ravager un pays riche, nullement défendu, ni par des politiciens ineptes, inaptes et corrompus (ni plus ni moins que leurs grands ancêtres, reconnaissons-le), ni par les « forces de l’ordre » (que l’on ferait mieux de qualifier de « faibles de notre déclin »), ni par les autochtones aussi lamentables que des Gallo-Romains du Bas-Empire.
1914-2015 : deux Frances que tout oppose, car les autochtones ont renié les qualités guerrières de leurs ancêtres. Il est stupide de pérorer sur notre niveau intellectuel, scientifique et technique, effectivement bien supérieur à celui de nos grands-parents (et arrière-grands-parents). Seules comptent les qualités morales dans les situations de crise : à quoi servent des dizaines de milliers de policiers, gendarmes et soldats si la mollesse ambiante refuse de les utiliser pour nettoyer les cités de non-droit et renvoyer en terres exotiques tous les trublions et toutes les canailles (voleurs, escrocs), et surtout si l’on n’élimine pas de façon irréversible les crapules (violeurs, assassins, terroristes, grossiums du trafic d’armes et de stupéfiants).
1914-2015 ; Poincaré-Hollande. Deux dates et deux noms symboliques, qui nous font mesurer l’ampleur de notre déchéance.
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samedi, 14 novembre 2015
Quel état d’urgence ?
Dr Bernard Plouvier
Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.
Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?
De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).
Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).
L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.
L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.
Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.
Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.
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mardi, 10 novembre 2015
Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort
Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère a été poignardé par un psychotique dans une cité lorraine. Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le « peuple souverain » de France (et d’autres pays, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’invraisemblable stupidité de l’abolition de la peine de mort.
Pour un médecin de ma génération (né en 1949, je suis entré dans les hôpitaux vingt ans plus tard comme externe, pour les quitter, en 2011), il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique des fous dangereux (des psychotiques délirants et/ou agressifs, des sociopathes et les psychopathes violents), nantis de l’étiquette : « équilibrés ». De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.
Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui (ses proches, ses collègues de travail, etc.). Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert, des médicastres de secte, de parti ou de boudoir.
Depuis l'antiquité, on admet dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », à la fois la légitime défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie et l’adage « œil pour œil, dent pour dent », ce principe du talion pouvant être généralisé en : vie pour vie.
On se moque des éjaculations verbales des avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - de la genèse des comportements animaux (dont ceux des humains)… donc le risque, génétiquement commandé, de la récidive chez les assassins et les violeurs, après leur libération de prison, souvent anticipée pour raison de « bonne conduite ».
L’ego surdimensionné, les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.
On se moque d’une possible « rééducation », en réalité illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.
Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort, ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on eût dénommé une « mesure de Salut public ».
18:34 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 31 octobre 2015
FRANCE, LE PAYS OÙ IL NE FAIT PLUS BON VIVRE ?
Dr Bernard Plouvier Métamag cliquez ici
Un sondage, mené cet automne en milieu estudiantin dans divers pays d’Europe et d’Amérique du Nord, classe la France au 19ème rang des pays « où il fait bon vivre », loin derrière de nombreux pays réputés moins riches. Est-ce étonnant ?
12:32 Publié dans Revue de presse, Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |