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lundi, 07 décembre 2015

Hollande et consorts en Haute-Cour ?

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Dr Bernard Plouvier

Que n’a-t-on pas écrit sur l’art de gouverner ? Pour les uns, c’est « prévoir », pour d’autres ce serait plutôt « vouloir »… en tous cas, si l’on décide de faire quelque chose, il ne faut s’y lancer que lorsqu’on en a les moyens.

Nos « chefs », décidés et musclés, droit dans leurs bottes quand il s’agit de « défendre les valeurs de la République » (à dire vrai, on eût surtout aimé entendre qu’on allait défendre la Nation, effectivement menacée), ont décrété l’état d’urgence et parlent même d’en étendre l’application durant un semestre.

Tout cela serait bel et bon :

1 - si l’on agissait : nous avons vu un assaut (sanglant, mais avec une curieuse disproportion entre le nombre des assaillants et celui des terroristes assiégés, qui faisait mal augurer de l’efficacité policière), quelques visites domiciliaires et un nombre tellement faible d’interpellations que l’on en est en droit de s’étonner, car très nombreux sont les ulémas et imams prêchant le Djihâd dans « nos » belles mosquées ! On n’évoque même pas la réintroduction de la peine de mort. On déblatère sur une possible, éventuelle, voire improbable suppression de la double nationalité « dans des cas très précis ». Quant aux expulsions des fous furieux de l’islam et de leurs familles complices, nul n’ose l’évoquer, pruderie droit-de-lhommesque oblige… et l’on parle « d’état d’urgence » ! C’est réellement de la pitrerie.

2 – si la presse n’avait pas, au bout de deux semaines dudit (et très mol) « état d’urgence », mentionné le « surmenage », le « ras-le-bol » de nos vaillants policiers, CRS, soldats et gendarmes mobiles. Ce genre de réaction témoigne du sérieux et du professionnalisme des membres de nos forces de l’ordre… comme la photographie de couverture de la dernière livraison de Dâr al-Islam - la revue, grand public et destinée à l’exportation, du califat nouveau cliquez ici -, révélant (les lecteurs de Metamag s’en souviennent) un policier pleurant sur l’épaule d’un autre policier, est la meilleure illustration possible de la virilité française.

Mais il y a pire ! Quatre semaines après que notre grandiose Président ait décidé des « frappes aériennes », notre glorieuse armée aérienne serait à court de bombes, après en avoir lancé moins de 700… certes, on avait connu un précédent du même type, à la fin de septembre 1914, mais après six semaines de combats réellement intensifs, menés par 1,5 million d’hommes de première ligne. Pour l’heure, nos actions guerrières seraient menées par moins de 40 avions de combat.

Si l’information est exacte, la Nation doit exiger soit la destitution, soit – au minimum – le passage en Haute-Cour (c’est une mesure symbolique, mais ça soulagera l’agacement des patriotes) de nos « maîtres », pour imprévoyance et inconséquence. Au cas où ces génies de la réflexion l’ignoreraient, il est un principe fondamental en politique comme en stratégie : l’on doit proportionner ses objectifs à ses moyens… sinon l’on échoue lamentablement et l’on ridiculise la Nation.  

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samedi, 05 décembre 2015

Quos vult perdere Jupiter demendat

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Dr Bernard Plouvier

C’est un adage antique que l’on aurait intérêt à méditer de nos jours, selon lequel la divinité rend fous ceux qu’elle veut perdre.

Les nouveaux attentats perpétrés par les furieux islamistes, ne touchent plus seulement la France (pays de très forte minorité musulmane, comme ne semble pas le remarquer le ministre de l’Intérieur et des Cultes, dont les services minimisent le nombre approximatif des sectateurs de Mahomet, hôtes de notre beau pays) ou la Turquie (peut-être pour des raisons de politique intérieure qui échappent à l’observateur étranger aux finasseries pantouraniennes), mais aussi ces USA … où, selon certains commentateurs, on n’aurait pas dû en voir, parce que « les musulmans y sont bien intégrés » ou parce que « l’on n’y entre pas aussi facilement qu’en Europe occidentale » etc. On ne voit aucune raison pour qu’ils épargnent les États scandinaves, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne.

Or, dans tous les pays où frappent les fous d’Allah, on entend la même rengaine : « il faut limiter de façon draconienne la vente des armes ». Certains pitres ont même interdit la vente de produits d’entretien ménager, parce qu’effectivement les dérivés chlorés et nitrés peuvent fournir une excellente base d’explosifs… mais l’essence et les autres dérivés du pétrole sont également très dangereux entre les mains d’un fou furieux, et il ne faudrait pas oublier l’étrange fascination des tueurs du calife pour les couteaux à lame de céramique. On risque d’interdire beaucoup d’objets de consommation courante !

Si l’on suit le raisonnement de ces génies de la protection civile : tout irait pour le mieux si l’on désarmait « le peuple », sachant que les terroristes islamiques sont admirablement fournis – parfois par valise diplomatique – en armes, en explosifs et même en morphine pour acheter localement du matériel de complément. C’est bien connu : les crapules savent toujours où se fournir en tout ce qui leur permet d’exercer leur prodigieuse capacité de nuire, alors que le gentil pékin ignore tout de ces réseaux obscurs.

Plutôt que d’organiser des milices d’autoprotection, dans le cadre de ces « démarches citoyennes » dont les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes nous rebattent les oreilles, l’on va résoudre tous les problèmes de sécurité en raflant les armes du bon peuple menacé. Hollande, Valls, Cazeneuve et Taubira (qui se fait rare et silencieuse en ce moment, comme c’est bizarre !) vibrent à l’unisson d’Hussein Obama : désarmons le peuple ! Luttons contre la vente libre des armes (aux USA, pays de liberté jusqu’en 2001) !

En contrepartie de ce désarmement des victimes potentielles, on promet une action accrue des forces de l’ordre… qui, au bout de quinze jours d’alerte en France, se proclament déjà surmenées. Le torchon destiné à l’exportation de l’État Islamique, Dâr al-Islam, a montré une photographie de policier français pleurant sur l’épaule d’un camarade de patrouille, comme une pucelle abandonnée par son premier flirt… le commentateur n’a pas tort d’y voir un manque de virilité.

Après tout, la sagesse populaire le proclame : tel maître tel valet ! Hollande est un champion de l’inauguration des chrysanthèmes – et cela lui profite énormément en gain de popularité -, mais ni lui, ni ses ministres, ni le policier émotif présenté par la presse islamiste ne paraissent capables de protéger la Nation.  

Lors de la prochaine vague d’attentats, les citoyens devront décider de leur sort : se laisser trucider pour la plus grande gloire d’Allah le tout-puissant ou se souvenir du comportement des Français d’autrefois. Bien entendu, chacun est libre de se prosterner devant l’envahisseur, de se convertir à sa foi médiévale, voire d’aider activement à son triomphe… mais chacun doit se souvenir que lors de la phase de Libération du territoire, les Collaborateurs éprouvent de menus désagréments.

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mardi, 24 novembre 2015

Comment lutter efficacement contre la terreur islamiste ?

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Dr Bernard Plouvier

La survie de l’un des organisateurs des attentats qui ont ensanglanté Paris, le 13 novembre, devrait faire réfléchir, pour mieux cibler la nouvelle lutte antiterroriste, dirigée non plus contre des activistes politiques (comme les Basques ou les Irlandais), mais contre des fanatiques religieux.

Un meneur djihadiste – présenté comme le coordinateur des groupes de tueurs – a préféré vivre plutôt que de se faire exploser, laissant dans une poubelle sa ceinture de chasteté islamique. Que ce reniement ait été prémédité ou qu’il soit une lâcheté de dernière minute importe peu – et le fait que son cadavre n’ait pas encore été jeté en pâture aux media après l’égorgement rituel est en faveur de la préméditation et de l’accord préalable des amis qui sont venus le récupérer et le faire passer en Belgique, arrière-boutique du terrorisme islamique en Europe occidentale.

Ce geste doit faire comprendre que les organisateurs et inspirateurs, a priori moins imbéciles que les tueurs – qui sont pour la plupart des voyous de banlieues, quasi-analphabètes, des criminels et délinquants multirécidivistes des cités de non-droit -, sont bien plus soucieux de leur personne et de leur survie que les nervis fanatiques qu’ils emploient, après les avoir dopés et drogués au coran et aux stupéfiants.

Il faut traquer les agents d’endoctrinement, les concepteurs d’opérations et ceux qui agissent en soutien logistique, les faire parler – et TOUS les moyens sont bons qui peuvent épargner des vies d’innocents -, les éliminer discrètement et envoyer un témoignage indiscutable de leur exécution aux imams, ulémas et autres agents recruteurs, ainsi qu’aux familles qui sont bien souvent, non pas des victimes comme elles voudraient nous le faire croire, mais des complices.

Seule la certitude absolue de la mort fera réfléchir les « cerveaux » du terrorisme islamique, grands phraseurs, mais couards et généralement gras. Comme le disait un expert trop mal connu : « Seuls sont à craindre les fanatiques austères ».  

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jeudi, 19 novembre 2015

Pourquoi en France et pourquoi maintenant ?

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Dr Bernard Plouvier

Reconnaissons-le, cette année 2015 est une période faste pour les politologues, les spécialistes des relations internationales, les criminologues et autres sociologues ! Tous ne sont pas inintéressants, notamment ceux qui rapportent le cynisme des pétroliers US et d’Arabie, qui manipulent Président et roitelets, eux-mêmes fournisseurs d’argent, d’armes et de services (singulièrement les instructeurs) aux divers mouvements djihadistes. Les plus perspicaces des commentateurs semblent avoir même perçu l’intérêt majeur des chiites iraniens à soutenir la chienlit sunnite, un peu à la manière des pyromanes appelés ensuite comme pompiers pour éteindre l’incendie qu’ils ont, sinon créé, du moins propagé.

Il est curieux, toutefois, que ces savants gourous répondent peu, voire pas du tout, aux deux questions évoquées en titre.

La France est une cible toute désignée, non pas en raison de l’alignement des Sarkozy et Hollande sur la curieuse politique des USA – après tout, la Grande-Bretagne et l’Allemagne pourraient être des cibles aussi avantageuses pour les djihadistes -, mais en raison de l’énormité de l’implantation musulmane en France. Dût notre foi en la puissance de l’action des services spéciaux et des forces de l’ordre en être chagrinée, c’est également parce que les « décideurs » français sont les plus mous, les plus timorés de l’Union Européenne… il est vrai que lorsque l’on va perpétuellement quémander crédits ou contrats de vente en pays de Charî’a, l’on peut difficilement sévir contre les ulémas et mollahs de banlieues qui prêchent le Djihâd ou empêcher le départ vers les zones de formation au terrorisme des sauvageons de l’islam. Les bailleurs de fonds saoudiens, qatari ou autres risqueraient de se fâcher et de fermer le robinet à pétro-dollars.

Une dizaine de millions de musulmans en France, c’est une force colossale, croit-on du côté des « stratèges » du Djihâd, qui ont beaucoup étudié les manuels de pratique révolutionnaire et médité les exemples des plus sanguinaires d’entre eux : les nihilistes de Russie et les anarchistes d’Occident au XIXe siècle, les gauchistes d’Allemagne, d’Italie, de France et du Japon des années 1960 (dont les caisses étaient alimentées par le trafic d’opiacés fournis par le KGB), ou les islamistes antisionistes des années 1925-1980 (aux actes plus spectaculaires qu’efficaces). Il est possible, également, que ces stratèges aient étudié l’action des résistances communistes en Europe occupée par la Wehrmacht, à partir du 22 juin 1941.

Le schéma est simple et bien connu : l’action terroriste engendre une réaction du titulaire de la force armée et l’on espère que cette réaction entraînera à son tour l’insurrection vengeresse des « opprimés ». Les attentats doivent être les plus meurtriers et les plus ignobles, pour provoquer une réaction violente des États-cibles et idéalement de la fraction de la population excédée d’être la victime de la barbarie terroriste, suffisamment courageuse pour s’insurger. Or en France actuelle, dé-spiritualisée, amollie & aveulie, il ne faut guère compter sur plus d’1% d’hommes autochtones (et un pourcentage encore plus faible de femmes) pour répondre à la violence par la violence.

La moindre action contre un Africain ou un Maghrébin musulman, réellement innocent de tout crime contre la Nation française, pourrait être le point de départ d’un soulèvement des musulmans bien endoctrinés, associés aux racailles des cités de non-droit, dépourvues de vie spirituelle, mais avides de carnages, de pillages, d’incendie et de viols. Les émeutes raciales des trois décennies précédentes ne peuvent qu’avoir donné de grandes espérances aux stratèges djihadistes en France. Ils la conçoivent, non sans raisons, comme un pays majoritairement composé de pleutres, dirigé de façon laxiste par des clients d’États musulmans, et renfermant la communauté musulmane la plus importante d’Europe, également la plus délinquante & criminelle, la plus explosive.

La France est une cible de rêve, non par l’effet de sa politique étrangère comme on le dit, mais par la mollesse de sa politique intérieure.

Pourquoi maintenant ? C’est assez simple, si l’on veut se donner la peine d’étudier le fondement de la civilisation islamique. Les quasi-analphabètes de nos cités de non-droit se moquent éperdument d’une géopolitique dont ils ignorent tout ; ils se moquent de qui finance et arme leurs groupuscules. En revanche, un événement non prévu par les grands stratèges occidentaux et israéliens est survenu en 2014 qui les a enthousiasmés (stricto sensu, l’enthousiasme est une joie d’origine divine qui pousse à l’action).

Un homme, jugé quantité méprisable par ses ex-geôliers US et irakiens de 2004, et l’un des chefs de l’État Islamique depuis la mort du premier émir en 2010, s’est proclamé calife à Mossoul, le 29 juin 2014, puis a été intronisé le 5 juillet, dans la grande mosquée de cette capitale du sunnisme kurde. Qu’Ibrahim Awad, devenu Abou Bakr II, soit ou non un imposteur (en l’occurrence qu’il soit ou non un descendant de Mahomet par les femmes), on s’en moque totalement. De la même façon, la Fatwa vengeresse des ulémas d’al-Azhar (l’université sunnite du Caire) est sans grand intérêt pratique, même si elle émeut les politologues spécialistes de l’islam.

Pour les sauvages du Djihâd terroriste, un guide spirituel est apparu, dont la mission est reconnue par Allah, par le fait même que l’homme n’ait pas été réduit en cendres à l’instant même où il se proclamait calife. Or, pour un sunnite, le calife est inspiré par Allah, soit directement, soit par l’intermédiaire de l’archange Gabriel. Et cet « homme de Dieu » a bouleversé le Djihâd, dans sa pratique et dans son éthique.

Il a permis à des femmes de s’engager activement dans le Djihâd, et non plus seulement en soutien logistique comme auparavant. Il a également autorisé les frappes aveugles, au risque de tuer d’autres musulmans (ce qui est contraire aux stipulations du Coran)… réactualisant la phrase cynique médiévale : « Dieu reconnaîtra les siens ».

Que l’on soit riche ou pauvre, à-demi débile ou hautement intellectualisé, on meurt pour une cause si l’on est génétiquement prédisposé au fanatisme, qu’il soit d’essence religieuse ou politique. Il est d’autant plus facile de passer à l’acte que l’on a une justification morale pour cela et un « envoyé de Dieu » est l’être idéal sur ce point. Donner aux activistes la quasi-certitude d’œuvrer utilement pour la cause, c’est-à-dire leur faire croire qu’est venu le grand moment et qu’ils frappent à l’endroit optimal, est le B-A-BA du manuel du chef de mouvement insurrectionnel.

Que les mouvements de ce type soient constamment voués à un échec, immédiat ou retardé, n’intéresse que l’historien ou le philosophe ! Pour le fanatique, obéir et tuer pour la cause donnent un sens à la vie. De ce fait, un État victime d’un terrorisme religieux doit exterminer les tueurs potentiels autant que les inspirateurs, les donneurs d’ordre et les agents du soutien logistique. Tuer ou être tué, c’est l’alternative de toute Nation entrée en état de guerre.

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mercredi, 18 novembre 2015

Un Devoir d’amalgame ?

12196119_963571943714812_3042351476990763891_n.jpgDr Bernard Plouvier

"L'anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures"

Raymond Poincaré, 1906

Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90.

Les agressions physiques quotidiennes des Africains, noirs et maghrébins, à l’encontre des Blancs sont tellement nombreuses dans les cités françaises que seules les victimes y font attention et les témoins ne s’arrêtent même plus, d’autant qu’ils n’osent intervenir : les agresseurs frappent en meute. Les forces de police ne se donnent qu’exceptionnellement la peine de rechercher les coupables et refusent souvent d’enregistrer les plaintes, au prétexte que « cela ne sert à rien ». Effectivement, les racailles colorées peuvent racketter, frapper, incendier, voler et violer des « petits culs blancs » (des deux sexes, d’ailleurs) en état de quasi-impunité.  

Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, la France a recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine extra-européenne, qui sont, pour la quasi-totalité des maghrébins et une écrasante majorité de noirs, des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques, enrichis par les pétro-dollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.

À l’occasion d’attentats terroristes, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et gauche), divers « intellectuels », ainsi que quelques ulémas, qui, tous, viennent proclamer que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit » (par définition, impardonnable) : l’amalgame entre le musulman et le djihadiste (ou « salafiste », pour les plus savants commentateurs). Du muslim de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles de l’islam qui osent s’exprimer ainsi profèrent, consciemment, un énorme mensonge.

En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut-Moyen-Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).

À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd… à l’exception des cités de non-droit, qui font déjà partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.

Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam ; c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : «  Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

L’infidèle qui s’oppose au Djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.

Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes.

Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du coran, il est évident que l’amalgame peut et DOIT être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de raciste, mais un constat d’évidence !

Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées dites françaises, celles de gendarmerie et de police, renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu, uniquement préoccupé d’échéances électorales pour conserver les sinécures dorées de la République. Il est urgent qu’un authentique Pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Français de souche de la barbarie inutilement importée.

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mardi, 17 novembre 2015

Fantasme sécuritaire, réellement ?

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Dr Bernard Plouvier                         

« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).

Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».

Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.

Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !

Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.

Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :

  • Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
  • Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
  • Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
  • Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
  • Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
  • Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
  • Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
  • Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.

Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !

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dimanche, 15 novembre 2015

Du sang et des larmes...

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Dr Bernard Plouvier

Lorsque, durant l’été de 1940, le sieur Churchill promettait à ses compatriotes du sang et des larmes, il ne mentait nullement – que non pas -, du moins agissait-il ! Après l’hécatombe du 13 novembre (et en attendant que d’autres blessés en état catastrophique n’alourdissent le bilan), le peuple français a sa ration de larmes, de trémolos d’indignation, d’hommages aux victimes (et surtout à leurs familles, composées d’électeurs)… mais l’on attend vainement des actes.

On se gargarise du fait que nos glorieux services de renseignements (« parmi les meilleurs du monde », paraît-il) avaient repéré divers auteurs des attentats, dont un avait d’ailleurs été signalé par la police grecque des frontières, après avoir été identifié sur l’île de Lemnos… mais, dans ce cas, pourquoi n’avoir pas pisté ces crapules (en herbe), n’avoir pas repéré leurs contacts et n’avoir pas procédé à des arrestations préventives. La réponse est simple : il ne fallait commettre ni amalgame entre jeune musulman et djihadiste (curieuse conception, d’ailleurs, puisque selon le « saint coran », le Djihâd est une obligation pour le muslim en bonne santé), ni vaguelette en période pré-électorale (mais quand n’est-on pas, dans notre pays lamentable, en période de ce type ?), durant laquelle une action en quartier musulman risque d’être vécue comme une « provocation », voire – horreur suprême – un acte « raciste » !

Nos mous de la République – les Hollande, Valls, Taubira et autre Cazeneuve – sont responsables d’incurie, de non-respect du principe de précaution, et coupables d’abstention délictueuse, frisant ici la non-assistance à personnes en danger de mort. Quand on accède à une fonction électorale, ce n’est pas pour faire la Une des tabloïds et autres peopleries, pour faire du scooter devant les caméras ou flirter avec des donzelles frelatées, c’est pour AGIR. Or nos mous ne savent que causer et gémir, agonir « l’extrême-droite » et les « racistes » (Blancs bien sûr, puisque nos excellences – pas plus que les fonctionnaires de la Halde - n’ont jamais ouï les propos, orduriers autant que racistes, des racailles de l’immigration colorée).

AGIR, cela ils ne le savent pas. C’est pourtant simple ! Dans notre malheureux pays, il y a plus d’un millier de cités de non-droit à nettoyer de leurs délinquants et criminels impunis. Il y a une foule de parasites sociaux à expulser du pays, pour lutter contre le déficit des caisses sociales, qui alimente notre Dette abyssale autant qu’irremboursable. Il y a une foule d’immigrés chômeurs professionnels, donc manifestement en surnombre dans notre pays, industriellement sinistré. Il y a une foule de réseaux de trafiquants de drogues, d’armes, d’objets volés ou de contrefaçon… et si nos mous, l’ignorent, les policiers de base peuvent les renseigner. Il y a une armée, une police, une gendarmerie, le corps des gardiens de prison à épurer des musulmans, qui forment une authentique 5e colonne en terres françaises, ce qui est intolérable – ou suicidaire, au choix – en période de guerre civile largement annoncée.

Agir ou Partir, telle est l’alternative de nos pseudo-gouvernants !

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1914-2015 : ce n’est plus la même qualité de Français !

7780515982_un-homme-et-une-petite-fille-deposant-une-bougie-devant-le-bataclan-le-14-novembre-2015.jpgDr Bernard Plouvier

L’été de 1914, contre toute logique, contre tout bon sens, les nations européennes se ruent les unes à l’assaut des autres, avec enthousiasme (quoi qu’en aient dit un demi-siècle plus tard des historiens qui voulaient absolument donner raison, qui à ‘’Lénine’’, qui à Jaurès).

Le motif était futile : un énième assassinat de tête semi-couronnée. La situation n’était ni plus ni moins explosive que tout ce que l’on avait vécu lors des incidents coloniaux d’Afrique, durant les années 1890-1911, ou lors des conflits entre pays danubiens induits par la décomposition de l’Empire turc.

Le capitalisme financier et industriel, déjà largement cosmopolite, était – sauf en Russie où l’on travaillait, avec des capitaux étrangers, pour la seule consommation nationale - opposé à l’idée d’une guerre généralisée, tout au plus favorable à un conflit local qui raviverait la course aux armements et engendrerait ces destructions qui appellent depuis toujours une reconstruction, source de profits, mais sans remettre en question la répartition des terres en Europe (l’Alsace-Moselle ne faisait même plus recette en France depuis l’affaire Dreyfus : il fallait éviter de trop se pencher sur les affaires de Mulhouse… les initiés comprendront !).

Les conflits sociaux se réglaient alternativement, soit en faisant donner la troupe contre les grévistes (c’était, en France, une spécialité de Clemenceau et même d’Aristide Briand), au pire en augmentant un peu les salaires, ce qui faisait immanquablement monter les prix de vente de gros et au détail : rien ne bougeait dans l’équilibre final… c’était d’ailleurs ce que reprochaient les anarchistes et les marxistes à leurs ennemis, les socialistes réformateurs.

La caste militaire, quoi qu’on en ait dit depuis, ne manquait pas d’occasions de briller en zones coloniales et, après tout, il était moins périlleux de parader au milieu des civils, au pire de se battre contre des primitifs ou des arriérés, que de se lancer dans une guerre moderne, les exemples de la Civil War des USA et de la guerre russo-japonaise étant dans toutes les mémoires des généraux (du moins, ceux qui se donnaient la peine de lire) : une guerre moderne tuait beaucoup de monde.

On savait tout cela bien avant 1914 ; seuls les historiens qui ne lisent pas les journaux et revues de l’époque l’ignorent. Pourtant, la guerre se déclencha, puis se mondialisa. Et pour une raison simple : les hommes étaient d’une autre trempe que nos contemporains. Le confort moderne – rudimentaire à nos yeux – leur paraissait amollissant, l’ennui d’une vie trop prévisible dans un monde d’évidente stabilité sociale, morale et monétaire leur paraissait insupportable. Ils n’avaient aucun autre moyen que la lecture pour vivre une aventure par procuration - le cinéma était alors tellement grotesque qu’il faisait rire plutôt que rêver - et les romans étaient écrits en une si belle langue qu’ils en étaient ennuyeux !

La Grande Guerre, dans son illogisme, était la plus inévitable de toutes : les Européens étaient virils, partageant tous (sauf quelques esthètes qui affublaient leur couardise des oripeaux du pacifisme) le même chauvinisme, seul sport cérébral commun aux Européens, toutes classes et castes confondues.

2015 : des Français avachis, amollis physiquement par des excès alimentaires et un défaut d’exercices physiques, attendris par un demi-siècle de propagande doucereuse, lénifiante et tiers-mondiste, se comportent en parfaits capons, habitués aux caprices de leur(s) femelle(s), de leur(s) giton(s) ou de leur(s) enfant(s)-tyran(s)… après tout, on ne leur demande plus que de consommer, de s’endetter et de pleurer sur les misères exotiques.

Effectivement, les sauvages venus du Sud ou du Sud-Est ont beau jeu de ravager un pays riche, nullement défendu, ni par des politiciens ineptes, inaptes et corrompus (ni plus ni moins que leurs grands ancêtres, reconnaissons-le), ni par les « forces de l’ordre » (que l’on ferait mieux de qualifier de « faibles de notre déclin »), ni par les autochtones aussi lamentables que des Gallo-Romains du Bas-Empire.

1914-2015 : deux Frances que tout oppose, car les autochtones ont renié les qualités guerrières de leurs ancêtres. Il est stupide de pérorer sur notre niveau intellectuel, scientifique et technique, effectivement bien supérieur à celui de nos grands-parents (et arrière-grands-parents). Seules comptent les qualités morales dans les situations de crise : à quoi servent des dizaines de milliers de policiers, gendarmes et soldats si la mollesse ambiante refuse de les utiliser pour nettoyer les cités de non-droit et renvoyer en terres exotiques tous les trublions et toutes les canailles (voleurs, escrocs), et surtout si l’on n’élimine pas de façon irréversible les crapules (violeurs, assassins, terroristes, grossiums du trafic d’armes et de stupéfiants).

1914-2015 ; Poincaré-Hollande. Deux dates et deux noms symboliques, qui nous font mesurer l’ampleur de notre déchéance.  

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samedi, 14 novembre 2015

Quel état d’urgence ?

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Dr Bernard Plouvier

Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.

Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?

De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).

Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).

L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.

L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.

Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.     

Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.

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mardi, 10 novembre 2015

Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

images.jpgDr Bernard Plouvier

Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère a été poignardé par un psychotique dans une cité lorraine. Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le « peuple souverain » de France (et d’autres pays, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’invraisemblable stupidité de l’abolition de la peine de mort.

Pour un médecin de ma génération (né en 1949, je suis entré dans les hôpitaux vingt ans plus tard comme externe, pour les quitter, en 2011), il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique des fous dangereux (des psychotiques délirants et/ou agressifs, des sociopathes et les psychopathes violents), nantis de l’étiquette : « équilibrés ». De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui (ses proches, ses collègues de travail, etc.). Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert, des médicastres de secte, de parti ou de boudoir.

Depuis l'antiquité, on admet dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », à la fois la légitime défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie et l’adage « œil pour œil, dent pour dent », ce principe du talion pouvant être généralisé en : vie pour vie.

On se moque des éjaculations verbales des avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - de la genèse des comportements animaux (dont ceux des humains)… donc le risque, génétiquement commandé, de la récidive chez les assassins et les violeurs, après leur libération de prison, souvent anticipée pour raison de « bonne conduite ».

L’ego surdimensionné, les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.

On se moque d’une possible « rééducation », en réalité illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort, ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on eût dénommé une « mesure de Salut public ».

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samedi, 31 octobre 2015

FRANCE, LE PAYS OÙ IL NE FAIT PLUS BON VIVRE ?


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Dr Bernard Plouvier Métamag cliquez ici

Un sondage, mené cet automne en milieu estudiantin dans divers pays d’Europe et d’Amérique du Nord, classe la France au 19ème rang des pays « où il fait bon vivre », loin derrière de nombreux pays réputés moins riches. Est-ce étonnant ?

Il est bien loin le temps où les Allemands disaient : « Heureux comme Dieu en France »… à moins que, par une géniale anticipation, ils n’évoquaient la situation en Gaules d’un Allah exotique au XXIe siècle. Lorsque l’on a connu la France des années 1960-80 – c’est l’un des rares privilèges que l’on obtienne par la vieillesse -, l’on peut très facilement comprendre la dégringolade en matière d’attraction pour les étrangers hautement désirables (les gens honnêtes, intelligents et travailleurs) et l’entrée dans la zone de répulsion, éprouvée par des Français autochtones de grande qualification technique et de haute valeur morale. Pourquoi vivraient-ils dans une France aveulie et se complaisant dans sa médiocrité, envahie d’extra-Européens de comportement agressif, voire parasitaire, et continuant inlassablement d’en accueillir de nouveaux ?
 
À partir de 1981, de soi-disant socialistes ont fait entrer la France dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle. Les politiciens de la droite molle et du centre marécageux ont poursuivi ce chemin, pavé d’or pour eux-mêmes et leurs familles, à défaut de l’être pour la Nation. Délocalisations d’entreprises, restructurations et « plans sociaux » ont fait passer le chômage réel (pas obligatoirement celui annoncé par les organismes truqueurs de statistiques) d’1,5 million en avril 1981, à 3 millions en 1983 et à plus de 5,3 millions de nos jours. Beaucoup de chômeurs, gavés d’allocations et de stages de formation plus ou moins utiles, se sont contentés d’engraisser, de s’alcooliser et de vivoter sans projet d’avenir. En 2015, des centaines de milliers de Français diplômés d’Université sont chômeurs ou sous-employés (donc sous-payés), insatisfaits, indéniablement aigris.
 
On conçoit que l’attraction soit faible pour des Européens ou des Canadiens cherchant un lieu de vie étranger et qu’une répulsion se fasse jour chez de nombreux diplômés autochtones aventureux. C’est le schéma inverse de ce que l’on constatait durant les années 1970-80.
 
Il est une autre cause à cette double désaffection : l’immigration-invasion des Africains (noirs et maghrébins) et des Moyen-Orientaux, apportant avec eux leurs haines racistes anti-Blancs, leur religion médiévale, fanatique et conquérante, l’islam, important sur le sol français la guérilla – par définition extra-européenne – entre Juifs et musulmans, au nom de la lutte antisioniste, indifférente par essence à tout Français autochtone.
 
À terme, soit dans un demi-siècle, même sans l’intervention des terroriste « fous d’Allah », par le simple jeu de la différence de rythmes de reproduction entre autochtones victimes de la sottise féministe et immigrés à la démographie de primitifs, il est évident que l’on assistera au « génocide mou », à la substitution de population dominante, à l’instauration d’un État islamique en France (et en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne etc.). 

Les Français, veules autant que sottement accueillants, auront transformé en un Enfer, régi par la charîa, ce qui avait été, sinon un Éden, du moins un pays où, en dépit de querelles politiques et sociales devenues avec le temps non sanglantes, il faisait bon vivre.

On peut soit constater tristement le résultat logique du sondage évoqué plus haut, voire reconnaître qu’une 19ème place, c’est peut-être inespéré, quand l’on sait ce qui se passe à Roubaix, Marseille, Montpellier, Tours-Nord et Joué-lès-Tours, Rouen-Sottevilleetc. (soit plus d’un millier de « cités de non-droit », dominées par ce que l’on appelle à bon droit la « racaille immigrée »), soit s’insurger, ce qui revient à chasser les politiciens ineptes, inaptes et corrompus, renvoyer massivement les extra-Européens dans leurs continents d’origine (Afrique, Proche-Orient, Asie du Sud-Ouest) – en conservant les Extrême-Orientaux travailleurs et calmes s’ils se plaisent chez nous et demeurent en faible nombre -, enfin se lancer dans l’aventure de l’union des nations autochtones d’Europe… c’est, pour les vrais Européens, le défi du XXIème siècle.

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