dimanche, 07 février 2016
La nouvelle querelle byzantine : la prolongation du (non-)état d’urgence
Dr Bernard Plouvier
Tous les historiens se moquent des Byzantins qui, au milieu du XVe siècle, se préoccupaient de querelles théologiques alors que Constantinople était assiégée. En réalité, l’Empire romain d’Orient, abandonné des Européens, était réduit à sa seule capitale depuis des décennies et le peuple comme son Basileus savaient qu’ils n’avaient rien d’autre à espérer qu’une éventuelle clémence du sultan turc lorsque ses troupes auraient enfin pris d’assaut les murailles de l’énorme et très riche cité.
Dans ces conditions, disserter du sexe des anges ou de la dévolution au Père seul ou au couple Père-Fils de l’Esprit Saint et autres spéculations métaphysiques, cela faisait passer le temps et oublier l’imminence de la fin d’un monde… c’est curieux, ce genre de rappel historique nous évoque l’actualité !
De nos jours, alors que menacent une tornade financière et une invasion islamique d’une violence extrême dont nous n’avons dégusté que les prémices, les adeptes du néo-byzantinisme dissertent sur les « importantes dérives de l’état d’urgence ». Cet état fut proclamé d’un ton solennel autant que grave, en novembre 2015, par notre bon Président, devenu subitement fort soucieux du bien-être des Français. Notre sémillant premier ministre a dit, la décade précédente, que l’état d’urgence perdurerait jusqu’à disparition de l’État Islamique… soit une promesse qui évoque l’expression enfantine « saint glin-glin ».
La « gauche de la gauche » (néologisme délicieux en une époque où tous les politiciens sont littéralement vautrés devant le veau d’or, à l’exception de rares populistes d’Europe danubienne, centrale et de l’Est) et diverses ligues (il existe, le bon peuple devrait le savoir, de bonnes et de mauvaises ligues) hurlent et se contorsionnent à propos d’abus de notre soi-disant état d’urgence, soit quelques milliers d’assignation à domicile d’islamistes, alors qu’en deux mille cités de non-droit et dans les mosquées qui se multiplient dans notre pays, les fanatiques de l’islam sont stricto sensu innombrables.
On savait déjà, grâce à une remarquable biographie d’Andreï Vychinski, le procureur des grands procès staliniens, que la Ligue Internationale des Droits de l’Homme n’avait pas plus protesté que le PCF ou les diplomates de la Société des Nations contre les parodies judiciaires organisées par ‘’Staline’’, en 1936-38, pour se débarrasser de (très timides) opposants. De nos jours, les « humanistes » semblent oublier que si l’on « persécute » des musulmans jugés « un peu exaltés » par la presse collaborationniste, ce sont près de 150 Français de souche européenne qui ont été exterminés l’An 2015 (de janvier à novembre… en n’oubliant surtout pas les victimes isolées qui n’ont pas fait la Une des journaux, à la différence des tueries collectives).
Or, une question (mineure, on le reconnaît, comme tout ce qui relève de la politicaillerie) se pose. Est-ce une querelle byzantine ou le machiavélisme d’un Exécutif empêtré dans une mesure électoraliste, qui devait n’être que symbolique et s’est avérée extraordinairement populaire ? Notre beau Président, dont le comportement est trop souvent celui d’un adolescent en goguette, n’est certes pas un homme à poigne, encore moins cet apprenti-dictateur que de curieux commentateurs font semblant d’apercevoir.
C’est un doux opportuniste qui a besoin de se sortir d’un guêpier sans faire perdre trop de voix et de sinécures aux membres de son parti, ne sachant même plus s’il pourra ou non tenter de conserver la place élyséenne, dont on sait qu’elle est bonne et gratifiante. Alors, ce Tartarin, joue avec autant de finesse qu’il le peut une scène de comédie de boulevard : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! ». Pourtant, avec un tel homme et un tel « état d’urgence », les islamistes n’ont pas trop de craintes à développer.
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samedi, 06 février 2016
Langues étrangères et Tribunal correctionnel
Les honorables collaborateurs de l’invasion-immigration, étant effrayés du nombre de leurs déconvenues électorales, ne savent plus vers quel juriste se tourner pour faire condamner les résistants. Désormais – à la suite d’un échange verbal au Conseil régional Nord-Artois-Picardie -, l’on sait que le maniement en virtuose des langues étrangères peut être interprété par des ignares comme une manifestation de « racisme », avec les outrages médiatiques et les conséquences pénales que cette accusation entraîne… ce qui, pour l’amateur d’histoire humaine, évoque les procès médiévaux pour « blasphème ».
Si vous maniez l’argot anglo-US (le slang), vous n’aurez guère de problème, même si – après avoir fait un séjour dans certains quartiers fréquentés par des Antillais - vous usez de termes pornographiques. Déjà le Rotwelsch (l’argot germanique) risque de vous valoir une accusation d’antijudaïsme, tant les termes Yiddish y abondent… vous pourrez toujours dire que le Yiddish est richissime en termes humoristiques et qu’une allusion à cette langue est en elle-même une preuve d’humour et non de méchanceté. Un juge d’origine ashkénaze ne pourra qu’abonder dans votre sens.
Le drame est de connaître les langues exotiques, celle des anciennes colonies. Un conseiller régional (bien sûr du Front National, victime toute désignée) a osé employer un mot d’usage ultra-courant dans la République du Viêt-Nam : Nhà quê et il l’employait fort bien, prouvant l’exactitude de ses connaissances linguistiques, à la différence de ses interlocuteurs ignares. Face à une argumentation qu’il a jugée débile, l’élu a demandé « Vous nous prenez pour des Nhà quë ? »… ce qui signifie : « Vous nous prenez pour des paysans du Danube ? », variante des « péquenots ». Aussitôt, émotion du côté de la gauche-droite-en passant par le centre marécageux : INJURE RACISTE !!!
Eh non, pitoyables politiciens ! Votre confrère a fait preuve de connaissances linguistiques étendues, qui deviennent presque anachroniques en une époque où le niveau moyen de l’élu français et du bachelier français en est réduit au basic English. De fait, coïncidence remarquable, la réaction lamentable des politicards de la gamelle, néo-collaborateurs de l’immigration-invasion, survient au moment même où l’on officialise une réforme de l’orthographe destinée à transformer la langue d’Arouet-‘’Voltaire’’ et de Chateaubriand en un langage informe pour débiles.
On reconnaît volontiers que les altérations d’un terme exotique peuvent trahir la sémantique originelle. Ainsi du mot Chleuh, qui désigne un Berbère du Haut-Atlas. Pour les combattants des combats de pacification du Maroc en 1912, le terme désignait un rude guerrier. Il a été immédiatement utilisé, durant la Grande Guerre, pour désigner les Allemands (en concurrence avec les termes de boche et de fridolin) : mon grand-père et mon père n’usaient que de ce terme pour désigner nos ennemis d’Outre-Rhin, même lorsqu’ils furent devenus des partenaires commerciaux et politiques. Or, avec l’émigration sépharade en Israël, le terme chleuh désigne là-bas un « idiot » : de l’admiration de combattants pour de rudes adversaires, on en est passé à un terme méprisant, fleurant peut-être le « racisme »… mais l’on abuse tellement de ce terme, qu’un honnête homme ose à peine l’employer.
Que nous vivions une époque de fin d’un monde est une évidence. Les néo-collaborateurs auraient toutefois tort de croire que la Nation française est mûre pour l’esclavage ou la soumission veule aux envahisseurs. Ils feraient bien de réfléchir à un avenir un peu plus éloigné que celui des prochaines échéances électorales. Si la Résistance l’emporte, éventuellement aidée par des Libérateurs venus d’Europe de l’Est, nos néo-collaborateurs risquent une nouvelle Épuration… qui pourrait être aussi rude que celle des années 1944-47.
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vendredi, 05 février 2016
Nos chers immigrés : déracinés ou transplantés ?
Dr Bernard Plouvier
D’abord, il faut s’entendre sur l’adjectif accolé aux immigrés d’origine africaine et proche-orientale. Officiellement importés pour travailler, voire « financer les retraites des vieux Européens », ces immigrés coûtent beaucoup plus qu’ils ne rapportent aux États et aux Nations d’accueil (les chiffres ont été publiés par Yves-Marie Laulan et son Institut de Géopolitique des Populations).
Le produit du travail de ceux d’entre eux qui ne chôment pas est nettement inférieur au coût des allocations-subventions et de la construction d’infrastructures, vite dégradées par bêtise, négligence ou vandalisme, à l’exportation de capitaux vers les continents d’origine, enfin à l’énorme surcoût des actes de guérilla civile constatés depuis le début des années 1980. Tout cela est bien connu : nos immigrés d’origine africaine et proche-orientale nous sont chèrement onéreux… à la différence des immigrés extrême-orientaux calmes, travailleurs, inventifs.
Si l’on avait pris l’initiative de renvoyer en leur pays d’origine ces immigrés pour raison économique dès que le chômage massif s’est abattu sur les pays d’Europe occidentale et danubienne, l’actuelle situation économique et sociale serait plus claire et l’avenir moins préoccupant.
D’autre part, il est évident qu’un immigré honnête, travaillant de façon efficace, et dont les enfants se comportent en êtres civilisés, est infiniment plus utile à nos pays européens qu’un autochtone bon-à-rien, pilier de bar, philosophe de la canette et chômeur professionnel. Contrairement à ce que l’on voit écrit ici et là depuis l’An 2015, première année de la nouvelle invasion islamique, l’immigré pour raisons économiques est probablement moins nocif que le « réfugié politique ».
Toutefois, cet immigré est, par définition, un déraciné, ce qui ne manquera pas de poser problème, sauf désir et possibilité d’assimilation véritable à la Nation d’accueil, à ses usages et à ses lois. Un groupement étranger de grande taille dont les membres refusent de se reconnaître dans les us et coutumes du pays d’accueil ne peut qu’être un danger pour la Nation autochtone. Il convient de renvoyer à l’expéditeur ces êtres déracinés, refusant de s’adapter ou qu’il est impossible d’assimiler.
L’An 2015 nous a offert un autre spectacle, très mal analysé par les pitres des media et de la politique : celui d’un authentique essai de transplantation, si l’on préfère la greffe de nouveaux conquérants sur un ensemble de peuples avachis. Et c’est bien autre chose.
Expédiés, voyage payé, par des bienfaiteurs du monde islamique (les nababs du pétrodollar), ils se comportent en minorité turbulente (vols, vandalisme, agressions physiques et viols, rébellion contre les forces de l’ordre), en attendant de manifester le but réel de leur venue : faire passer de la théorie à la pratique la notion de Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Il est évident que les émirs et roitelets du pétrole et leur Frankenstein, le calife Abou Bakr II de Mossoul, ne s’attendent pas à une victoire immédiate, mais au contraire à une guerre longue. Toutefois, ils ne doutent pas un instant que ce Djihâd ne soit suivi d’une totale victoire en Europe faible et aveulie.
Les transplantés de l’islam ne sont pas déracinés : ils sont venus implanter le Dâr al-Islam en Europe. Il est grand temps de s’en préoccuper. L’avenir de nos enfants et petits-enfants, autant que l’honneur exigent une puissante réaction populaire. Il serait sot d’attendre quoi que ce soit du milieu politique occidental, abêti et / ou corrompu.
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jeudi, 04 février 2016
Salaires, assistanat et dignité du travailleur
Dr Bernard Plouvier
Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent d’énormes erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne et une plus juste appréciation de la psychologie humaine auraient pu leur faire éviter.
L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.
Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaires (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.
Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État, au service du seul Pouvoir : l’économique, redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre émotion sociale notable que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.
Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.
En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient, depuis les années 1880, des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels – l’augmentation du coût de la vie étant strictement corrélée aux augmentations de salaires - n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années précédant la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.
Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. Comme l’a écrit Jean Anouilh, lorsqu’un jour il décida de jouer au (très bon) fabuliste : « Jamais ce que l’on vous donne ne vaudra ce que l’on prend avec sa griffe et sa dent ».
La dignité humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est ce qui fait la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.
Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980, que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.
Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la très bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.
Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand d’honnêtes parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.
Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité. Leur ego monstrueux, leur cynisme d’affairistes sont tels qu’ils ignorent une notion fondamentale : celle de la profonde dignité des êtres humains à forte conscience éthique. Cette carence dans l’information, liée à la fausseté de leur esprit, provoquera leur perte… et nul ne versera une larme sur leurs malheurs.
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mercredi, 03 février 2016
Effondrement des cours du pétrole : où sont passés les sous ?
Dr Bernard Plouvier
Entre autres nouvelles, plus ou moins agréables, mais toujours fort attendues, le mois de janvier amène rituellement la publication des indices économiques de l’An vieux.
Nul n’est étonné d’apprendre, s’il l’ignorait encore que, pour la énième année consécutive, le chômage s’est accru. Mais nos brillants « chefs » ayant promis, juré d’en « inverser la courbe », il suffit de leur faire confiance et… de patienter.
La conjonction de deux autres indices est déjà plus étonnante : la croissance économique française fut de 1,1% en 2015, alors que pour la première fois depuis des lustres l’inflation a été NULLE. Or nos beaux théoriciens, à la suite de l’ambigu Lord John Maynard Keynes, sont formels : c’est l’inflation qui stimule la croissance. Or, sous Giscard, nous avions peu ou prou 10 à 15% d’inflation annuelle et une croissance très basse à partir de 1974. À l’inverse, le IIIe Reich maudit, où – c’est un dogme estampillé d’origine universitaire, c’est dire s’il est solide comme l’acier de chez Krupp – les dirigeants étaient « des ignares en matière d’économie », le PIB avait augmenté de 50% de 1933 à 1938, avec seulement une inflation cumulée de 6% en 6 années (elle fut de 19% en 1933-34 aux USA et de 44% en 1936-37 en France, avec des valeurs négatives de croissance). Bref, l’histoire réelle – qui n’est pas forcément celle enseignée dans les écoles et les universités – nous apporte parfois de petites joies et rejetons l’hydre de l’inflation qui ne rapporte qu’aux vendeurs et aux spéculateurs.
Mais tout cela n’est que fariboles en comparaison du séisme économique et financier des seconds semestres de l’An 2014 et de 2015 – un cru décidément maudit : l’effondrement des cours du baril de pétrole et des produits dérivés de même origine. De janvier 2011 au joli mois de mai 2014, le prix moyen – une fois corrigées les minimes variations mensuelles – avoisinait les 110 dollars US ($, si l’on préfère). En six mois, le cours chute de 100 à 60 $ et reste à ce niveau, de janvier 2015 jusqu’au début juin. Au début de l’automne 2015, il est à 45 $ et se retrouve négocié entre 33 et 35 $ en janvier 2016. En clair, il a perdu 45% de sa valeur en un an (et 65% en 18 mois).
Or, les indices des prix français à la consommation pour l’année 2015 tombent en ce même mois de janvier 2016. Et l’on constate que les prix de l’énergie n’ont chuté que de 4,7% pour le pékin de base ; les prix des articles textiles ont également un peu chuté (par diminution des coûts du transport maritime entre l’Orient producteur et l’Occident consommateur et ce grâce à la chute du prix du gas-oil, ou gazole). À l’inverse (et alors que nos braves paysans hurlent sur tous les tons qu’ils vendent à trop bas prix leurs productions), les prix alimentaires ont augmenté de 0,4% pour le consommateur (c’est beaucoup plus d’ailleurs pour certains produits, mais l’indice est forcément chose globale) et que les services ont augmenté de 1,2%.
Alors une question se pose. Qui s’est goinfré ? Qui a profité de la baisse vertigineuse des cours du pétrole ; sûrement pas l’automobiliste dont le carburant n’a sûrement pas chuté des deux tiers, ni même de 50% ou de 40%. L’État, grande puissance taxatrice, n’a pas répercuté la baisse de la matière première. Qui donc s’est également servi ? Puisqu’à l’évidence, il existe une marge énorme entre une baisse de 65% du coût de la matière première énergétique N°1 de la planète et son prix au détail. C’est une excellente question, à laquelle nos honnêtes politiciens, démocrates comme ils s’en vantent tous, vont répondre incessamment.
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vendredi, 29 janvier 2016
Du bon usage de la fonction hospitalière
Dr Bernard Plouvier
En ce mois de janvier 2016, comme pour reposer l’opinion publique des ignominies islamiques en Europe occidentale, la presse bruit du triste comportement de jeunes stagiaires affecté(e)s en services hospitaliers consacrés aux déments et débiles mentaux. Et ceci pose de nombreux problèmes, sans commune mesure avec la simple répulsion provoquée par les sévices physiques et moraux infligés aux patients. S’indigner est chose aisée ; éviter les récidives est plus utile ; réformer est indispensable.
D’abord, il convient de déterminer quels idiots administratifs ont pu exposer sans examen psychologique préalable des adolescents, et surtout des adolescentes de 16-17 ans, au contact effrayant d’humains qui n’en sont plus vraiment malgré les apparences, ayant perdu ce qui nous différentie des autres espèces animales : le cerveau… certes imparfait, mais avec ses six couches de neurones du néocortex, il est ce que l’évolution des espèces animales a fait de mieux pour l’instant.
On a osé, par l’effet d’une irréflexion et d’une irresponsabilité qui confinent au pur crétinisme, mettre des gamines, qui rêvent du prince charmant qui les couvrira de baisers, voire de bijoux, des idiotes à peine sorties du monde merveilleux de Walt Disney et des bisounours, qui ne pensent qu’à flirter et regarder des téléfilms made in USA débiles et sirupeux, en relation immédiate avec des « enveloppes corporelles » vidées de ce qui fait l’essence de l’être humain. Comme l’écrivait Erich-Maria Remarque (in L’Obélisque noir) à propos de débiles mentaux et de déments : « à côté de ces monstres, les animaux sont des dieux ».
Le contact avec déments, psychotiques graves et débiles profonds est déjà un traumatisme pour un étudiant en médecine lors de ses premiers stages hospitaliers (en 3e et 4e années d’études)… alors plonger gamins et gamines dans cet enfer terrestre est une absurdité, une erreur grotesque qui, dans notre monde où grâce aux téléphones-appareils photo et vidéo portables chacun peut se croire devenu le nombril du monde, débouche sur la mise en scène de sottises qui dégénèrent vite en cruautés. Plutôt que de se référer à la supercherie psychanalytique, il suffit de se remémorer La Fontaine : « Cet âge est sans pitié »… et il évoquait des gamins de moins de 10 ans ; chacun sait que les « ado » sont pires.
Depuis la fin des années 1980, les administratifs ont progressivement imposé leur dictature dans les hôpitaux, passant du rôle de gestionnaire, plus ou moins habile et mégalomaniaque, mais toujours carriériste, à celui de « chef » omnipotent, tenu en bride, exclusivement pour la question financière, par « l’autorité régionale de santé » (qui change d’appellation toutes les décennies). Le médecin chef de service, considéré comme un gêneur, est informé une fois prises les décisions, et l’infirmière-surveillante, autrefois associée aux médecins, a été placée dans la mouvance administrative, au point que certaines surveillantes ne font même plus la visite des malades avec les médecins !
Les abominations, qui ont indigné l’opinion à juste titre, doivent servir à autre chose qu’alimenter les jérémiades sur le passé et « la jeunesse dépravée actuelle »… lamentations d’autant plus déplacées que c’est la société que nous avons créée ou tolérée qui a façonné cette jeunesse. Les « dysfonctionnements » (c’est le terme administratif pour désigner une faute, une carence d’encadrement ou tout autre accident) témoignent de l’absurdité kafkaïenne de notre système hospitalier.
Il est temps de se souvenir qu’un hôpital n’est pas « une affaire à gérer comme n’importe quelle entreprise » (paroles très souvent entendues depuis les années 1995 sq. par l’auteur, chef de service hospitalier durant trente années), mais une structure de soins, physiques et mentaux. C’est d’abord et avant tout le médecin qui soigne, étant seul habilité à établir les diagnostics, à prescrire les thérapeutiques et à juger de l’évolution… même si certaines infirmières ont voulu usurper ces fonctions, selon le schéma du principe de Peter qui veut que chaque acteur de la comédie humaine s’élève jusqu’à son plus haut degré d’incompétence.
L’ignominie récente doit être l’occasion de prendre conscience des dangereuses dérives administratives et financières qui ont présidé à la « politique hospitalière » des deux dernières décennies. Les soins sont d’abord et avant tout affaire de médecins. C’est au chef de service et à la véritable surveillante de soins de décider qui il faut affecter aux « endroits sensibles » et qui doit en être exclu. Les administratifs doivent se contenter du rôle de gestionnaires et non de celui de dictateurs, singulièrement à propos de sujets dont ils ignorent tout.
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mercredi, 27 janvier 2016
Les media et le pourrissement de l’opinion publique française
Dr Bernard Plouvier
Depuis le début des années 1980, notre pays subit une immigration-invasion qui a non seulement accéléré son rythme d’accroissement ces dix dernières années, mais a également importé un bien inutile surplus de haine raciale et religieuse, en plus d’avoir introduit une nouvelle criminalité : le défi quotidien à l’État, avec ses moments de pointes (les fiestas de voyous contre forces de l’ordre et pompiers et, friandise suprême, les émeutes raciales).
Depuis 2014, avec un record qui ne demande qu’à être battu : celui de l’année 2015, le terrorisme islamique s’est abattu sur la France, réprimé par l’État avec la plus extrême faiblesse et une inefficacité telle que le Président de la République a cru bon d’avertir ses chers administrés du risque de nouveaux attentats.
Tout ceci est bien connu (ou devrait l’être). Or, surprises du dernier week-end – qui prouvent que l’on est encore loin d’avoir touché le fond, alors que l’on croyait impossible d’explorer plus avant les abysses de l’abjection depuis les ignominies des mois de novembre et décembre derniers -, on manifeste POUR les immigrés et un fou furieux vient, sur les écrans, clamer son approbation enthousiaste des agissements terroristes des fidèles d’Abou Bakr II et de son État Islamique... le tout devant une ministresse, issue elle-même de l’immigration-invasion, qui reste coite face à ce déchaînement de haine, à cet encouragement au crime.
Il existe certes des lois réprimant l’apologie de crimes contre l’Humanité, mais qui oserait, en France molle et corrompue, cliente des émirs et roitelets islamo-pétroliers, les appliquer dans toute leur rigueur à un cacique du système islamique pur et dur ?
Nous a-t-on assez injuriés, depuis les années 1980, parce qu’il semblait que l’on ne respectait pas suffisamment un devoir de mémoire à propos d’une Shoah ancienne, fort peu française dans son essence et son organisation, au demeurant très largement indemnisée… et l’on ressort l’argument à chaque fois qu’un malheureux Juif est victime d’un fou d’Allah. Or c’est de la réduction en esclavage de la Nation française autochtone, après extermination de sa couche la plus patriote, qu’il s’agit désormais ! Le devoir est à la fois de mémoriser sans oubli possible les ignobles événements des années passées, mais aussi et surtout de se défendre avec la dernière énergie, soit d’être prêt à mourir s’il le faut pour assurer la survie des enfants et petits-enfants de notre race.
Il devient urgent de nettoyer les écuries et porcheries françaises : la haute direction de l’État, nos media consensuels et l’ensemble de l’islamisme militant installé en France. À la différence d’un Augias, nous n’avons pas d’Hercule local à notre disposition, même si l’on peut espérer, en cas de péril extrême, disposer d’un allié de poids venu de l’Est européen.
Nous devons surtout compter sur nous-mêmes et créer une armée de patriotes, prêts à s’engager physiquement au combat, dès que l’ennemi, déjà largement installé dans le pays, déclenchera la guerre permanente, aidé de sa puissante 5e colonne : les musulmans des forces de police et de gendarmerie, de l’armée et du gardiennage de prisons, et leurs collaborateurs et collaboratrices autochtones dévoyés.
En attendant le jour du combat, il faut inlassablement dénoncer la pourriture des media vendus aux maîtres du système économique. Ceux-là mêmes qui ont fait savoir, en ce mois de janvier 2016, qu’il était nécessaire d’introduire en l’Europe occidentale 1 million d’immigrés extra-européens supplémentaires par an durant une vingtaine d’années pour soutenir la « croissance économique »… ce qui signifie, traduit en langage clair et moins noble : maintenir les profits issus de la consommation de masse, au besoin aidée par les allocations tirées du produit de nos impôts.
Il y a croissance et croissance : la vraie qui est liée à la production et à l’exportation de nos produits et la fausse qui n’est qu’une hyperconsommation, parasitaire ou à crédit. Pour nos maîtres, tout bénéfice est bon à prendre et plus il y a de consommateurs dans les pays encore riches, plus les profits sont grands.
Le grand art de nos maîtres et de leurs valets est de masquer le sens des termes, de pratiquer la confusion sémantique… en termes moins savants : d’embrouiller le bon peuple. Il faut reconnaître qu’ils y parviennent encore très facilement. Il reste à faire un énorme travail de désintoxication d’une opinion publique abêtie et aveulie par 35 années de pourrissement systématique.
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mardi, 26 janvier 2016
La France, province de l’Europe
Dr Bernard Plouvier
Il serait temps que l’opinion publique autant que nos stratèges politiques et militaires comprennent cette profonde réalité qui fait grincer les dents des « souverainistes » : la France est devenue, légalement et pratiquement, une région (ou une province) de l’ensemble européen. Il faut donc tirer les conséquences de ce fait incontestable, sauf à vouloir repasser en mode nationaliste et s’enfermer dans l’autarcie politique, comme le font, avec un indéniable succès, les Suisses… qui ont un ratio immigrés/natifs bien inférieur au nôtre.
La première conséquence de l’actuel état de fait est d’ordre militaire et douanier. Dans le contexte de notre époque d’immigration-invasion musulmane, ces deux fonctions : la sécurité aux frontières et la défense, n’en font plus qu’un. Or, à toute époque historique, les stratèges du temps de paix se sont lourdement trompés, tant sur les moyens que sur la durée, voire – et c’est plus grave – sur les objectifs de la guerre prochaine.
En 1990-93, quand l’URSS et ses satellites du Pacte de Varsovie se sont effondrés, il était devenu évident pour le moindre pékin d’Europe occidentale qu’il fallait pivoter de 90 degrés vers le sud les regards angoissés, ainsi que les objectifs militaires des États du continent. Lorsque ce pékin de base exposait cette idée aux stratèges issus de Saint-Cyr ou de Polytechnique, comme aux demi-dieux sortis de l’ENA, il se faisait considérer comme un parfait abruti, qualifié de « dangereux » quand il ajoutait que l’OTAN n’avait plus aucun intérêt, ne servant objectivement que les seuls intérêts de l’État ploutocratique des USA.
Un quart de siècle plus tard, l’OTAN s’est couvert de gloire en déstabilisant – de 2008 à nos jours – les vieilles dictatures musulmanes, transformant ces pays en zones de guérilla permanente et en centres de formation des guerriers de l’islam. Il y aurait beaucoup à dire sur la véritable personnalité de Barack-Hussein Obama, fils de musulman ensuite officiellement passé à l’athéisme : le crypto-islamisme du Président des USA peut aisément se déduire de son action politique… c’est aux fruits qu’on juge l’arbre. En l’occurrence, les fruits sont pourris.
Il y a pire. L’OTAN, initialement créé à fort juste titre pour contenir le communisme, s’est mué en organisme de combat contre la seule Russie, pourtant occidentalisée, d’économie de type libéral, en voie de rechristianisation accélérée, où le chef de l’État tente de lutter contre le capitalisme de spéculation et contre une maffia qui n’a de russe que le nom (elle est composée de Juifs, de Géorgiens et de Tchétchènes : rien que d’affirmer cette triste réalité vous fait passer pour un « révisionniste »). Il est évident que la Russie de Wladimir Poutine fait hurler nombre d’humanistes financiers de Wall Street, Washington, Londres et autres hauts-lieux de la saine spéculation et de l’arnaque juridiquement inattaquable.
D’un autre côté, l’on nous assure que « la question de guerre ne se pose plus de nos jours comme autrefois… Il n’y a plus de menace à nos frontières » (in conférence donnée le 26 mars 2012 à l’Académie des Sciences morales et politiques – soit un curieux accouplement d’adjectifs -, par un stratège de poids, l’ex-chef d’état-major des armées françaises, Jean-Louis Georgelin). N’importe qui peut aisément se rendre compte que l’on a simplement déplacé notre souveraineté frontalière aux États limitrophes de l’Union Européenne… ce qui, en France, correspond à notre littoral méditerranéen, largement ouvert sur l’Afrique, et au littoral atlantique, offert à qui veut se donner les moyens de débarquer clandestinement.
Or, tout a basculé au mois de novembre 2015, moins en raison des attentats islamistes qui ne sont pas une nouveauté s’ils sont devenus d’une ampleur inquiétante, qu’en raison d’un début d’affrontement entre forces aériennes de l’OTAN (en l’occurrence l’aviation turque) et force aérienne russe. L’OTAN contre la Russie : cela peut plaire aux USA, voire à leur « 51e État » - la Grande-Bretagne, si peu « européenne » -, à leurs alliés touraniens (qui, de la Turquie au Turkménistan, menacent le Sud de la Russie et l’Ouest de la Chine), mais en aucun cas aux véritables Européens.
Notre continent ne se réduit pas à l’Union des économies européennes occidentales, centrales et danubiennes, encore moins à une relation de dépendance - qui confine à l’asservissement – avec les USA. Notre continent est le berceau de la race blanche (« caucasienne » selon les anthropologues peu savants du XIXe siècle ; en réalité, elle naquit de façon plurifocale des rives de la Baltique aux grandes plaines russo-ukrainiennes). L’Europe s’étend de l’Islande à Vladivostok. Il est temps de s’en souvenir et de mieux choisir nos amis et nos ennemis.
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lundi, 25 janvier 2016
L’Europe face au nouveau type de Djihâd
Dr Bernard Plouvier
Il est évident que le Coran, qui prêche l’amour mutuel entre fidèles (muslim, en langue arabe), au moins de façon théorique - car son enseignement n’a jamais empêché les assassinats pour raison privée ou pour cause de différend politique, voire ethnique (en Algérie, par exemple) -, prône également la lutte impitoyable contre les apostats (sourate 4) et les infidèles (athées et croyants en un autre dieu). Les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 ordonnent à tout muslim en bonne santé de participer à la guerre sainte (ou Djihâd), tandis que d’autres sourates (3 et 10) glorifient la mort au combat des guerriers de l’islam. Nul lecteur du Coran ne peut le nier.
Toutefois, les condamnations du récent terrorisme djihadiste par de nombreux musulmans (pas tous, loin de là, et singulièrement pas par les jeunes voyous qui ravagent tant de quartiers de cités européennes, qui trafiquent, volent et violent dans les zones de non-droit et dans les lieux où ils se sentent en nombre et en force face à des policiers fort peu présents et rarement pugnaces) sont probablement honnêtes et justes.
La lutte pour imposer l’islam là où il n’est pas pratiqué par tous - ce qui définit le domaine de la guerre, Dâr al-Harb, par opposition au domaine de l’islam - est une affaire de combat entre hommes et seuls des lâches osent s’en prendre armés à des hommes désarmés, à des femmes et à des enfants. Dès son origine, l’islam fut une religion d’hommes rudes, mais non de lâches, bien au contraire. C’est une affaire de combat, voire de corps à corps, qui engage physiquement et moralement le guerrier d’Allah, pas une affaire de meurtre.
Il est exact que les sourates 8 et 47 n’encouragent pas à la clémence envers les vaincus qui refusent de se convertir à l’islam. Le djihadiste peut tuer ses prisonniers, les vendre comme esclaves, prendre tous leurs biens (dont femmes et enfants). Il ne doit y avoir ni compromis avant ou durant le combat, ni bienveillance envers le vaincu infidèle, mais jamais la doctrine de Mahomet n’a encouragé l’assassinat pur et simple d’individus désarmés, si elle autorise les relations sexuelles avec les femmes non-musulmanes, considérées à l’égal d’esclaves… l’actuel comportement des jeunes mâles envoyés en Europe, pour former l’avant-garde de l’islam conquérant, ne surprend que ceux qui n’ont rien compris à la mentalité des djihadistes ni au contexte géopolitique actuel.
Aucune sourate du Coran, aucun des innombrables volumes de hadiths (des commentaires sur le Coran) n’envisagent la participation des femmes au combat, encore moins celle des enfants impubères. Il serait donc absurde, pour un véritable fidèle, d’armer femmes et enfants ou de les envoyer en kamikazes, porteurs de charges d’explosifs, pour tuer à l’aveugle fidèles et infidèles. En outre, cette forme de terrorisme, responsable de morts instantanées, contrevient à l’enseignement coranique qui proclame que tout être humain peut se convertir jusqu’à son dernier instant de vie : le tuer de façon inopinée lui ôte cette ultime chance. À l’évidence, le terrorisme aveugle est opposé à la pure doctrine coranique.
Il en va autrement de certains ulémas et mollahs, infiniment plus agressifs en paroles, tout en se gardant bien de s’exposer eux-mêmes. Quand l’un d’eux est tué, c’est par une action de commando nord-américain ou israélien, voire par l’effet d’un de ces « dommages collatéraux », inhérents aux bombardements de populations civiles.
Il importe de comprendre que les règles du Djihâd ont récemment changé par la volonté d’un homme : Abou Bakr II, autoproclamé calife le 29 juin 2014 et intronisé le 5 juillet suivant dans la grande mosquée de Mossoul, et de ce fait paré du titre de commandeur des croyants.
Un calife est le personnage religieux le plus important de l’islam en sa variété sunnite (qui regroupe plus d’un milliard de fidèles), à condition, bien sûr, d’être reconnu comme tel par les fidèles et surtout par les docteurs de la loi coranique, les très nombreux ulémas. La différence essentielle avec la papauté réside dans l’absence d’élection et même de collège électoral. Le fait même qu’Abou Bakr II n’ait pas été immédiatement réduit en cendres, lors de sa proclamation du 29 juin 2014 et de la cérémonie du 5 juillet, est la meilleure preuve pour ses fidèles qu’il est bien l’envoyé d’Allah, qui l’inspire directement ou par le biais de l’archange Gabriel.
Ibrahim Awad est né en 1971, dans une famille de chorfa (des individus réputés descendre de Mahomet par les femmes). Théologien islamique de la mouvance salafiste irakienne, il a été arrêté par les troupes d’occupation nord-américaines en 2004, détenu quelques mois, puis relâché, étant officiellement considéré comme quantité négligeable. Or, en mai 2010, cette soi-disant nullité succède au premier émir du tout jeune État Islamique du Kurdistan irakien, créé, armé, financé par les émirs et roitelets pétroliers de la péninsule arabique pour détruire leurs ennemis d’Irak et de Syrie et servir d’épine irritative à l’allié trop arrogant des USA.
Dès l’an 2010, Awad ordonne de multiplier les attentats, à la fois contre les chrétiens, les Juifs et les Yézidis (de lointains descendants de Zoroastriens qui refusent tout prosélytisme et pratiquent l’endogamie). De même, il lance l’offensive qui permet à l’État Islamique d’Irak et du Levant de contrôler actuellement le Nord de l’Irak et l’Est de la Syrie, en n’oubliant pas que la très riche zone pétrolifère de Mossoul sert de quartier général à cet État, le pétrole étant commercialisé par des Turcs (de l’entourage intime du Président Erdogan) et en partie acheté par des négociants israéliens !
Depuis 2010, une nouvelle forme de terrorisme djihadiste exerce ses ravages, à la fois en Occident et en terres d’islam (par exemple au Pakistan, en Malaisie et en Indonésie), par décision du calife autoproclamé. Désormais, des musulmans jugés tièdes, voire honorables, sont devenus des cibles d’attentats meurtriers, imprévisibles sauf à infiltrer le quartier général de l’État islamique. Abou-Bakr II a une vision très personnelle du djihad, peu conforme à la pure tradition coranique. Il a réactualisé, vis-à-vis des victimes musulmanes des attentats qu’il commandite, la très cynique phrase d’un prélat français lors de la Croisade des Albigeois : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ».
La simple honnêteté commande de reconnaître ces faits, tandis qu’une nouvelle guerre religieuse féroce, impitoyable et très stupide, commence à ensanglanter notre continent.
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dimanche, 24 janvier 2016
Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?
Dr Bernard Plouvier
Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.
Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.
Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.
De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.
Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.
Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.
De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice.
Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.
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vendredi, 22 janvier 2016
Il y a des limites à la sottise et à la puérilité…
Dr Bernard Plouvier
Il y a des limites à la sottise et à la puérilité… du moins, devrait-il y en avoir ! Qu’un Président de la République calme, fort calme, voire même placide, prenne pour chef du gouvernement un agité, après tout cela peut se concevoir : c’est l’application de la vieille loi psychologique des compensations.
Mais que le dit excité brouille gratuitement, par pure joie de nuire à un groupe de concurrents politiques, la France avec un ami fidèle, au prétexte que cet allié exotique est trop proche de la droite molle qui pourrait bien remporter le jack pot présidentiel en 2017, cela passe l’entendement.
La dynastie Bongo règne sans partage sur le Gabon, pays exportateur de pétrole, depuis 1967, profitant peut-être de l’immaturité politique d’une Nation peu évoluée. On accuse ses membres de corruption, de mépris pour certaines couches de la population locale. Mais tous ces reproches peuvent être retournés contre le vallsien donneur de leçons de morale !
Où est la légitimité des tenanciers de l’apparence du Pouvoir en France, de nos jours ? Avec une série ininterrompue de franches défaites électorales, avec des cotes de popularité tellement basses (hors période de digne inauguration des chrysanthèmes) qu’elles frôlent le ridicule, notre beau Président et son sémillant premier ministre sont-ils encore légitimes ? Quant à leur mépris pour une fraction de la population, on ne le connaît que trop : les femmes blanches violées par les honorables fruits pourris de l’immigration africaine et proche-orientale, les personnes cambriolées, rackettées, molestées, injuriées ne savent que trop bien qu’ils n’intéressent nullement les titulaires des sinécures dorées de la République. En outre, pour ce qui est de la corruption, nos très honorables socialistes n’ont réellement de leçon à donner à personne.
Quelle mouche (hélas, pas Tsé-tsé !) a pu piquer notre Valls pour qu’il insulte gratuitement le chef d’un des rares États africains où l’on fut toujours un allié fidèle de la France ? Certes, le Président Bongo et sa famille ne sont pas très bien vus des islamo-pétroliers d’Arabie… mais, quand bien même ces émirs et roitelets furent, jusqu’à ce mois de janvier où leurs finances croulent quelque peu du fait de la baisse des cours du pétrole brut et raffiné, des bienfaiteurs du Trésor public français et des caisses de certains partis politiques favorables à l’immigration islamique de masse, la politique extérieure française n’a pas vocation pour être régie de Riyad, de Dubaï ou du Qatar. Il y a des limites à la complaisance, du moins devrait-il y en avoir.
La politique extérieure de l’État doit être menée dans l’unique intérêt de la Nation, qui se moque des états d’esprit d’un ministre partisan, qui trop souvent parle plus vite qu’il ne réfléchit. N’est pas Vergennes qui veut. Certains curieux personnages finiraient par nous faire regretter Maurice Couve de Murville qui, du moins, avait de la classe et de la retenue.
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Les nouveaux barbus
Dr Bernard Plouvier
Il ne s’agit nullement, dans ce petit texte, de se moquer de quelle que façon que ce soit des gens qui, par conviction religieuse ou par statut, ornent leur visage d’un additif capillaire, somme toute naturel. Ainsi des popes orthodoxes, des imams, mollahs et autres ulémas, des Kurdes Yézidis ou de leurs ennemis islamistes… une fois pour toutes, l’on doit refuser de différentier le musulman de l’islamiste, puisque le Djihâd est ordonné à tout fidèle – muslim en arabe – en bonne santé par neuf sourates coraniques sur 114 (mais les sourates consacrées en partie au Djihad sont parmi les plus longues).
De même, il serait ignoble de sembler se moquer des pauvres femmes affublées d’un virilisme pilaire, de commande génétique ou par maladie acquise, ce qui fait d’elles des clientes obligées des instituts de beauté et des pharmaciens, ce qui est moins ridicule (mais nettement moins rentable) que leur ancienne exhibition en tant que phénomènes de foire ou de cirque.
On se contente d’ébaucher une réflexion d’ordre sociologique sur l’épidémie qui gagne une foule d’Occidentaux, devenus subitement réfractaires au rasage… abandonnant un acquis culturel gréco-romain antique, du moins pour les guerriers non spartiates. La pédiculose fut toujours une des nombreuses plaies des armées en campagne ou au cantonnement, d’où la rareté de la barbe dans les armées de terre… et les Perses étaient réputés tirer la barbe de leurs adversaires lors du corps à corps !
Sans vouloir se référer le moins du monde à la supercherie psychanalytique (c’est, avec le marxisme, l’une des rares idioties humaines mortes sous le poids de son ridicule intrinsèque), on peut évoquer les études fort bien faites de psychiatres et de psychologues des XIXe et XXe siècles consacrées au phénomène de compensation.
Quand j’étais jeune interne, un philosophe remarquable (et glabre) m’a dit, parlant de ses confrères barbus, qu’ils « cachaient leur médiocrité sous leur barbe ». Il serait stupide de généraliser l’application de cette boutade, mais à la réflexion on peut y trouver un (petit) fonds de vérité. Considérer la barbe comme un attribut de la sagesse est d’une remarquable absurdité, même si certains historiens (et surtout des historiennes, frustrées ou atteintes de ce virilisme pilaire évoqué plus haut) ont généralisé le cas des philosophes grecs antiques… dont on ne connaît rien de l’apparence physique : seule la tradition artistique des sculpteurs nous les révèle barbus, ce qui est d’autant plus stupide qu’à l’époque hellénistique et qu’en la Rome du 1er siècle avant JC jusqu’à la fin du IIe siècle après JC, il était de bon ton de se raser quotidiennement. Ce fut un Imperator homosexuel (Hadrien) qui remit la barbe à l’honneur !
Cet attribut pileux est-il autre chose que le désir d’affirmer sa virilité par un être quelque peu dubitatif sur son ego ? Quel homme digne de ce nom a besoin de faire savoir, urbi et orbi, qu’il en est « Un » et non « Une » ? Faut-il corréler le renouveau de popularité de la barbe, depuis les années 1995 sq., à la reprise de la vieille lubie d’Otto Weininger (un schizophrène homosexuel refoulé, suicidé en 1903 à l’âge de 23 ans et demi) : la théorie du genre librement choisi, par certains esthètes de l’autoanalyse ou de l’originalité comportementale, en contradiction du sexe déterminé par la génétique et clairement exprimé dès la naissance (sauf malheureux et rares cas d’ambiguïté) ?
À la grande époque des anarchistes terroristes de France (en gros de 1880 à 1912), on appelait « poilu », non pas le barbu ou le moustachu, mais celui qui avait autant de témérité que de poils… en un endroit caché. Et le terme fut tout naturellement employé pour désigner nos remarquables aïeux qui firent preuve de courage et d’abnégation de 1914 à 1918. Il est vrai que Joffre avait exigé de ses soldats, en septembre 1914, qu’ils se laissent pousser la moustache, considérée par lui comme « un attribut gaulois » (alors que les Germains antiques se laissaient bien plus pousser les poils que leurs cousins celtes). Après la mode de la barbe (ou de son timide succédané : l’individu mal rasé), va-t-on assister au renouveau de la moustache ?
Ce serait merveilleux si nos contemporains mâles en profitaient pour retrouver l’ardeur combative de leurs aïeux, face aux nouveaux envahisseurs. Dans ce cas, on leur permettrait – et avec joie – toutes les formes d’hirsutisme qu’ils voudraient.
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jeudi, 21 janvier 2016
Discrimination positive et Démocratie
En conséquence logique de la subversion soixante-huitarde et de la fin de l’État régi par le Droit napoléonien, de nobles âmes et de beaux esprits, après avoir solubilisé leur marxisme dans l’alcool et goûté à la nouvelle trinité : Haschisch-cocaïne-LSD (et succédanés), ont inventé toutes sortes de béquilles sociales pour les moins aptes de nos contemporains, dont le plus beau fleuron demeure sans conteste la « discrimination positive ».
L’on nous avait longuement bassiné avec la honteuse discrimination raciale et sexiste (celle des vilains Blancs et des vilains mâles envers les pauvres colorés et les pauvresses du sexe faible). On nous refit le coup, en inversant la polarité, et en ajoutant le couplet sur les « handicapés ». Cela devint une grande conquête sociale, patronnée par Dame Démocratie… qui, telle qu’elle est présentée de nos jours par nos merveilleux politiciens et les marchands de soupe populaire des media, est une donzelle guère moins recommandable et vertueuse que ses sœurs Liberté, Égalité, Fraternité ou Historia.
Dans certaines Universités des USA – il aura fallu une dure campagne électorale entre Démagogues et Républicains pour qu’on l’apprenne dans notre beau pays où la sous-information sur certains sujets est une règle d’or -, 25% des étudiants sont admis non par ordre de mérite, mais en raison de leur race ou de leur couleur de peau… Liberty for all s’est mué en Black and Latinos are beautiful.
En France, dès l’Ancien Régime, existaient des bourses d’études pour les « pauvres méritants » (Napoléon Bonaparte en avait bénéficié) et l’Église catholique a toujours assuré l’enseignement quasi-gratuit pour ses ouailles douées les moins riches. Chacun concourrait ensuite selon ses mérites, sa force de caractère et ses aptitudes aux relations humaines. C’était avant la basse démagogie des champions de la promotion des médiocres et des sous-doués.
Or les profonds penseurs cités plus haut, qui sévissent plus que jamais de nos jours, semblent avoir oublié – s’ils les ont jamais sus – les fondements de la Démocratie, la vraie, pas celle des pitres. Ils sont au nombre de deux sur ce point particulier. La Loi doit être égale pour tous les citoyens (riches et pauvres, dominants et dominés, élus et administrés). Toute fonction, toute admission à un poste financé par l’État – gestionnaire du Bien Commun – doit se faire en fonction des mérites du candidat et non par piston (racial, religieux, maçonnique), nullement par l’effet du népotisme ou d’un léchage de bottes (voire plus si affinités), encore moins par une « promotion canapé ».
Si l’on s’en tient à la stricte définition de la Démocratie, soit un gouvernement favorable aux intérêts de la majorité des honnêtes citoyens – ce qui n’a rien à voir avec le type de régime politique, n’en déplaise aux sectaires –, une discrimination (si l’on préfère un choix biaisé par l’effet d’un quelconque favoritisme) est absolument, totalement, irrémédiablement un non-sens. La discrimination, quel que soit le signe arithmétique qu’on lui attribue, est le triomphe de l’arbitraire.
Les contribuables et les épargnants qui alimentent le budget de l’État, ceux qui créent, entretiennent et accroissent le Bien Commun, ont un devoir : celui de protester contre des lois iniques, contraires à toute éthique, quelle que puisse être la motivation pseudo-humanitaire affirmée par les clowns qui les proposent et par les démagogues qui les votent. Démocratie sous-entend : méritocratie… et non merdocratie !
En cas de persistance dans l’erreur, en cas de dénis répétés de Démocratie, la seule démarche citoyenne qui s’impose est de s’insurger contre un Pouvoir abusif, contre des tyrans qui n’ont ni sens moral ni dignité dans l’exercice de leurs fonctions électives.
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mercredi, 20 janvier 2016
Des viols racistes et de la télégonie
Dr Bernard Plouvier
La presse anticonformiste retentit de clameurs justement indignées à propos de l’épidémie de viols de la Saint-Sylvestre, Outre-Rhin. À Cologne, plus de 500 femmes ont été sexuellement agressées, battues (et parfois très violemment), enfin (qui en eût douté ?) volées, comme plusieurs dizaines d’Allemandes à Hambourg, et bien d’autres à Stuttgart. Dans tous les cas, les plaignantes accusent des agresseurs « de type arabe » (terme vague, on le reconnaît volontiers, mais qui exclut toute ambiguïté : il ne s’agissait pas de bambocheurs nordiques). Comble de l’ignominie, ces honorables « réfugiés-immigrés » ont procédé par bandes, d’une quinzaine d’individus à Stuttgart, d’une trentaine aux alentours de la gare de Cologne… et là, il n’existe plus le moindre doute : il n’est pas dans les usages des Européens de souche de s’en prendre à plusieurs à une femme isolée.
En dehors du caractère épidémique ponctuel de la chose, ces viols ne sont en rien une nouveauté. En France, on les déplore depuis le début des années 1980. Il en va de même en Scandinavie, en Belgique et en Grande-Bretagne. Les accusés sont en majorité (en quasi-totalité à Oslo) des immigrés africains, noirs, antillais et maghrébins, ou proche-orientaux, agissant autrefois en bandes séparées… moins différentiées de nos jours où l’islam a jeté un pont entre noirs et musulmans d’autres origines.
L’Allemagne, où l’on a accueilli 1,1 million d’immigrants-réfugiés politiques en 2015 (selon les statistiques du BAMF, le bureau fédéral des migrants et des réfugiés), connaît une flambée de viols depuis plus d’un semestre, touchant femmes et jeunes filles, mais aussi adolescents et jeunes mâles, avec des âges extrêmes de 13 et 55 ans, du moins officiellement, car les services de la police allemande, même s’ils sont plus coopératifs que les nôtres, ont tendance à minimiser les faits, sur ordre de la Chancelière… et, tout récemment, les chefs des polices suédoises ont intimé à leurs hommes l’ordre de ne plus signaler l’origine raciale des agresseurs sexuels pour ne « pas les stigmatiser » !
La recommandation des hauts-fonctionnaires suédois est d’une exceptionnelle stupidité, en plus d’être totalement opposée à la très démocratique honnêteté dans l’information des citoyens-contribuables. Car, désormais, le public, qui est moins sot qu’on ne le pense et a tendance à braver les interdits absurdes, fera automatiquement (et parfois abusivement) la liaison entre « violeur » et « immigré d’origine extra-européenne », comme, en France, l’on fait, depuis les années 1980 lorsque les media évoquent des actes odieux et des émeutes, l’amalgame automatique entre « jeunes » et « rejetons pourris de l’immigration ».
En notre pays et depuis les années 1980, dans les milieux immigrés honorables, on parle de ces violeurs - qui aggravent souvent leurs actes par des brûlures de cigarettes incandescentes ou des vols – comme de « requins vicieux ». Or les choses sont souvent plus complexes que la seule perversion sexuelle, qui se rencontre – on le reconnaît volontiers - dans toutes les races et tous les milieux sociaux.
Lorsque l’on a fréquenté la sous-littérature raciste africano-arabe, et les textes orduriers de certains rappeurs, l’on comprend que ces « intellectuels » de haute volée ont réactualisé une vieille théorie, aussi absurde que célèbre… c’est presque une constante de l’humanité : plus une thèse est idiote, plus elle fait florès.
En l’occurrence, il s’agit de la docte stupidité d’un universitaire français, qui avait ressuscité la vieille hypothèse lamarckienne de l’hérédité des caractères acquis, l’appliquant à la conception des enfants : Alfred Giard (1846-1908) et sa Télégonie. Si cet universitaire avait eu quelques connaissances historiques, il aurait pu rappeler à ses lecteurs que, dans la Rome archaïque dominée par les rois étrusques, l’enfant né d’une mère violée des années auparavant (donc non issu de ce viol) était réputé « spurcus », soit souillé. En outre, depuis des siècles, des éleveurs de bestiaux propageaient les mêmes âneries, qui pour vanter l’excellence de son taureau de compétition, qui pour prôner son étalon… dont les prestations étaient hautement tarifées. Quelques littérateurs vicieux y étaient même allés de leur comparaison entre les reproducteurs humains et ceux d’un monde animal de haute fantaisie.
Giard était à la fois un politicien radical-socialiste et un enseignant à l’École de médecine et à la faculté des sciences de Lille, demeuré célèbre comme spécialiste de la flore océanique, ce qui lui valut une élection à l’Académie des sciences. En 1904, dans son livre délirant, intitulé Controverses transformistes, il affirmait que le premier homme à féconder une femme la marquait de façon indélébile et que tous les enfants qu’elle aurait par la suite, même issus de géniteurs différents, porteraient la « marque » de ce premier agent fécondant. Cette thèse fut très célèbre au Japon, dans les pays danubiens et en Allemagne, où le livre Péché contre le sang, d’Arthur Dinter, paru en 1917, fut un best-seller jusqu’en 1945.
C’est en se fondant sur la télégonie que furent édictées les lois nazies condamnant à l’internement en camp de concentration (à mort, durant la guerre) des Slaves et des Juifs pour avoir « souillé à vie une Allemande » en ayant une relation sexuelle avec elle. C’est au nom de la télégonie que les racistes encouragèrent les viols de Chinoises par des Japonais, des viols de femmes bosniaques ou serbes par des Croates (et réciproquement), durant la Seconde Guerre mondiale.
Depuis 1945, la télégonie est toujours diffusée en terres d’islam et, comme le chantent certains rappeurs : « Bourrer un petit cul blanc », c’est propager la nouvelle race supérieure, d’origine africaine, destinée à « remplacer la race des faces de craie », en France, « cette putain », comme partout ailleurs en terres d’immigration-invasion. Il importe tout particulièrement, pour un violeur africain ou proche-oriental, « d’arriver le premier », pour « marquer à vie une meuf à cul blanc ».
Comme l’on voit, le niveau intellectuel de ces « penseurs » est exceptionnellement élevé, mais il ne faudrait pas oublier que la caution pseudo-scientifique de ce délire raciste est estampillée d’origine universitaire… et française ! C’est une autre conception du « Vivre ensemble ».
L’unique moyen de lutter contre ces viols racistes à finalité de procréation est de soumettre chaque violeur capturé à la castration. Celle-ci n’empêche nullement la récidive des viols (car persistent des androgènes surrénaliens qui permettent une érection, plus ou moins stable, et le castrat trouvera toujours une belle âme pour lui fournir de la testostérone de synthèse), mais l’honorable violeur ne pourra plus procréer. Être contraints de vivre ensemble, ce n’est en aucun cas tout permettre aux immigrants-envahisseurs.
Au cas où certains lecteurs souhaiteraient approfondir le sujet, on peut signaler :
- de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997
- Giard : Controverses transformistes, Naud, 1904
- Plouvier : Les Juifs dans le Reich hitlérien, volume 1, Dualpha, 2015
- Rostand : Science fausse et fausses sciences, Gallimard, 1958
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mardi, 19 janvier 2016
Les « Sages » de la Cour des Comptes et les économies nécessaires
Dr Bernard Plouvier
La Cour des comptes de la République (elle existait déjà sous l’Ancien Régime, sous la forme d’une Chambre, dont les avis n’étaient guère plus suivis que ceux des membres de l’actuelle Cour par nos merveilleux politiciens) émet ponctuellement chaque année une très copieuse brochure, aussitôt épluchée par les journalistes économiques et politiques. La dénonciation des scandaleuses dépenses abusives et d’une manière générale de la gabegie dans la gestion de la chose publique font la joie et les délices des plumitifs satiriques.
En ce début d’année 2016, les « Sages » (c’est le surnom qu’on leur donne, probablement pour les dédommager de leur rage de ne jamais voir suivies d’effet leurs propositions) ont accouché d’une grande idée : il faut faire des économies sur le Budget de l’État et celui des caisses sociales ! Un esprit taquin pourrait rappeler que les « économies » sont l’un des plus beaux Leitmotive de la vie publique française depuis le XVIIIe siècle. Après tout, c’est au nom des économies nécessaires, de l’indispensable péréquation fiscale entre les différents Ordres de la société et de l’exigence de la Nation de voter le montant et la répartition de l’impôt, que l’on a lancé le mouvement de 1788 qui a dégénéré, comme chacun sait, l’été de 1789.
En cette glaciale mi-janvier – pour cause de « réchauffement climatique » -, nos « Sages » ont frappé très fort : s’il est une économie « urgemment urgente » à réaliser en France, c’est celle des allocations-chômage ! Effectivement, la dette de l’Unedic (ex-Assedic) dépasse les 27 milliards d’euros (avec une prévision d’environ 29, 4 milliards pour la fin de l’année… alors que nos prodiges Hollande & Valls ont promis une baisse spectaculaire du chômage pour cette année : messieurs les « sages », vous êtes de dangereux agents de subversion pré-électorale).
Or, n’y aurait-il pas, ô « Sages » et moins sages théoriciens et praticiens de l’organisation de la vie sociale, des économies plus urgentes et plus déontologiques, en un mot mieux orientées vers la nécessaire éthique dans la gestion du Bien commun et de la solidarité ?
1 – Le budget de fonctionnement de la très efficace direction de notre merveilleux État (Présidence de la République & ministères) coûte très exactement 3 fois plus que celui de l’État allemand voisin. Or la France est peuplée d’environ (car on ne sait plus très bien à quel niveau se monte l’immigration clandestine) 67 à 68 millions d’habitants et l’Allemagne était peuplée de 81,2 millions au début de l’année 2015 (soit, de nos jours, environ 82,3 millions, par l’afflux d’1,1 million d’immigrés-réfugiés, dont chacun a pu constater le comportement civique exemplaire). Un budget de fonctionnement du haut état-major civil français trois fois supérieur, pour une population inférieure de 22% : c’est sûr, on pourrait grignoter un peu, voire beaucoup, sur les dépenses de nos excellences et de leurs pléthoriques cabinets de conseillers et chargés de mission.
2 – Nos roitelets de la Chambre et du Sénat dépassent largement le chiffre de 900 individus (927 selon les sources officielles), alors qu’aux USA (peuplés 300 millions d’habitants, là aussi en évitant de trop se pencher sur l’immigration illégale), les Sénateurs et Représentants nationaux sont moins de 600 (535 selon les statistiques officielles)… et l’on ne compte même pas les sinécures régionales des merveilleux féodaux de notre République. En outre, nos élus touchent encore des indemnités s’ils ont été blackboulés après deux législatures ; enfin leurs retraites sont plus que généreuses. Là aussi, de substantielles économies pourraient être réalisées.
3 – L’on pourrait également rogner quelque peu, voire éliminer totalement (puisqu’aussi bien leurs salaires ne sont pas précisément des aumônes), les frais de représentation, de logement, de déplacement etc. de nos élus, de leurs innombrables collaborateurs et des hauts-fonctionnaires ? Pour une directrice de l’INA mouchée, combien pourrait-on épingler d’excellences, de barons et de petits princes « indélicats » dans le maniement des fonds publics de fonctionnement… et l’on n’évoque même pas le cas des excellences qui usent du Mobilier national comme d’une brocante à usage personnel. Il est effectivement plus simple de s’en prendre aux chômeurs.
4 – Sur cette dernière catégorie de (pauvres) personnes, il existe certes des économies à réaliser… et de cette même façon « urgemment urgente » que pour nos élus dorés. Comment se fait-il qu’il existe en France une allocation pour les immigrés clandestins en plus de l’entière gratuité des soins en cas de maladie ? Par définition, un clandestin n’existe pas pour l’état-civil… sauf dans notre beau pays !
Idem, nous offrons généreusement une retraite aux immigrés âgés qui n’ont jamais travaillé dans notre pays, donc jamais cotisé à une caisse de retraite française. Les allocations-chômage sont octroyées à tout immigré sans travail, qui est en outre dispensé de payer, par de très généreux et très nombreux mécanismes d’allocations et de couverture sociale, quoi que ce soit pour les soins, la fourniture d’eau, de gaz, d’électricité, voire de loyer… le tout sans jamais avoir cotisé à une caisse sociale française.
Nos brillants théoriciens et praticiens de la Chose publique pourraient en revenir aux « Fondamentaux » : les caisses sociales ont été conçues sur le principe de la mutualité. De ce fait, seuls ceux qui ont alimenté ces caisses par le produit de leur travail ont droit aux allocations tirées de ces caisses. On peut étendre ce bénéfice aux descendants des travailleurs, mais il est totalement illogique, inéquitable, voire absurde d’en faire profiter d’authentiques parasites.
De fait, lorsqu’un pays compte plus de 5 millions de chômeurs, soit environ 12% de sa population en âge de travailler, on ne voit pas trop l’intérêt d’importer de nouveaux chômeurs, ni même des travailleurs immigrés (qui prennent le travail des autochtones). Leur entrée dans le pays ne représente d’intérêt que pour l’accroissement de la consommation intérieure. On sait bien que, même si cette consommation est en partie parasitaire, tout bénéfice est bon à prendre pour la grande, la moyenne et la petite distributions. N’en déplaise à ces vendeurs, le retour à leur continent d’origine est la solution la plus économique pour notre pays et surtout pour notre Nation.
5 – Enfin, s’il est des économies substantielles à réaliser, c’est également dans le surcoût en matières d’assurances, pour rembourser les dégâts, perpétrés par les sauvageons de l’immigration extra-européenne de façon quotidienne et surtout lors de leurs fiestas et leurs émeutes raciales, ainsi que les assurances-vie des victimes des fous d’Allah. L’on pourrait aussi réaliser des économies du côté des forces du maintien de l’ordre, de l’organisation judiciaire et des prisons. Renvoyer dans leur continent d’origine tous les criminels issus de l’immigration extra-européenne (ipso facto dénaturalisés) et tous les délinquants, quel que soit leur âge, dès la première récidive (qui doit entraîner automatiquement la perte de la nationalité française), est une mesure à la fois économique et juste.
Il est temps de ramener nos « maîtres » à une plus saine conception de la gestion du Bien commun, notamment dans ses coûts de fonctionnement. En outre, il serait bon de ne plus confondre la solidarité avec l’assistanat, notamment vis-à-vis d’une immigration extra-européenne de plus en plus mal tolérée par la Nation autochtone, en raison de l’inconduite des fruits pourris de cette immigration, qu’il s’agisse de voyous, de trafiquants, de violeurs ou de djihadistes.
C’est sûr, il faut faire d’importantes économies, mais il en est de plus urgentes à réaliser que d’autres et selon le principe fondamental de la préférence nationale, une valeur trop oubliée de nos jours.
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lundi, 18 janvier 2016
La nécessaire défense du Bien commun
Dr Bernard Plouvier
Les grands théoriciens de la vie publique se sont tous accordés (c’est si rare, concernant un sujet théorique !) sur les fondements de la vie en commun, soit ce qui amena le regroupement initial des tribus, autrefois errantes, en cités. Platon et Aristote, les sieurs Ambroise de Milan et Augustin d’Hippone, Thomas Hobbes, à plus de deux millénaires de distance, ont reconnu que la nécessité de se protéger, d’organiser la vie économique et sociale, d’assurer l’enseignement de la jeunesse et un règlement policé des différends, justifiaient amplement les restrictions à la liberté individuelle imposées par la vie en communauté (de la Cité-État au grand État moderne).
Si Aristote a écrit : « L’homme est un animal politique », cela ne voulait nullement dire qu’il assimilait tout homme de bon sens à un politicien – l’antique penseur ne délirait pas à ce point -, mais simplement que l’homme ne prenait pleinement possession de toutes ses facultés qu’en milieu urbain, étant moins soumis aux risques naturels et aux prédateurs (dont l’humain est le pire), et pouvait y exercer au mieux ses capacités personnelles… politique provenant du mot grec Polis, qui signifie cité ou ville.
La défense du Bien commun, c’est, vis-à-vis de l’étranger, pouvoir compter sur une armée, des douanes et une police des frontières vigilantes et puissantes. Depuis qu’ont été conclus les divers traités européens, les frontières sont refoulées aux limites externes de l’Union Européenne (et notre littoral méditerranéen et océanique forme notre part de frontières européennes, comme celle qui existe avec la Suisse, puisque cet État a très sagement défendu son indépendance). Or nos « frontières », médiates et immédiates, sont des passoires.
Pour complaire aux dirigeants des États islamo-pétroliers et des USA, qui ont tous une énorme part de responsabilité dans le chamboulement des pays actuellement ingouvernables : Libye et Tunisie, Irak et Syrie – et leur appendice maudit : l’État Islamique et son calife -, Afghanistan (et il serait sot d’oublier les gouvernements fragiles d’Égypte et des deux Soudans, de Turquie et du Pakistan, du Maroc et de l’Algérie, de l’Arabie saoudite et de Jordanie ou ceux du Sahel et de la corne de l’Afrique), nos gouvernants ont accepté – sans demander l’avis du peuple souverain – d’accueillir des « réfugiés » qui sont en très grande partie de jeunes mâles vigoureux, dont le voyage a été payé par des bienfaiteurs islamo-pétroliers, et dont le comportement est objectivement celui de conquérants. Seul un dément, un aveugle ou un sourd peuvent rester indifférents à l’invasion ainsi réalisée de notre Europe occidentale par une avant-garde fort active… à moins, bien sûr, d’avoir, pour fermer les yeux et les oreilles, un intérêt personnel ou partisan – avantages en nature ou arrière-pensée d’un renouvellement de l’électorat pour mieux conserver les sinécures dorées de la République.
Parallèlement, l’opération aéronavale déclenchée il y a deux mois en Méditerranée orientale par notre grandiose Président a surtout servi à ridiculiser notre armée, qui s’est avérée totalement dépourvue de réserves en munitions. Qu’il s’agisse de la police frontalière ou de l’armée, l’on peut difficilement soutenir qu’en France, de nos jours, le Bien commun soit protégé des agressions extérieures.
Reste le problème quotidien de la protection intérieure de notre Bien commun et des biens individuels, à commencer par le premier d’entre eux : la vie des honnêtes citoyens, celle de leurs enfants et de leurs vieux parents. Là encore, le bilan est accablant.
La finalité de la Justice – que, certes, l’on n’aura pas la naïveté de confondre avec l’équité – est de rendre son dû à chacun. En principe, le malfaisant (délinquant ou criminel) doit être puni et mis dans l’impossibilité de récidiver, c’est-à-dire de nuire de nouveau à d’honnêtes citoyens, dont le travail génère les impôts qui servent à conserver et accroître le Bien commun… on aurait presque honte de rappeler ces banalités si nos merveilleux élus – députés, sénateurs, ministres et Président – ne prenaient un malin plaisir à bafouer quotidiennement ces principes fondamentaux, tant par leur attitude et leurs discours irresponsables, que par leurs lois et décrets parfaitement iniques.
Au XXIe siècle, dans la République française, qui tourne de plus en plus à la Ripoublique, la propriété privée n’est plus un sanctuaire inviolable : l’honnête citoyen n’a plus le droit de défendre, par tous les moyens, ses biens ni même son intégrité physique et celle de ses proches. Pire encore, le principe de la légitime défense, reconnu de toute antiquité et par toutes les civilisations, est quasiment aboli, sauf – et pas toujours – pour les membres des forces de l’ordre. En clair, l’honnête citoyen n’a plus les moyens de se protéger de la canaille et de la crapule, en attendant une éventuelle intervention de la police ou de la gendarmerie, dont l’efficacité laisse parfois (et cet adverbe réalise un délicat euphémisme) à désirer.
Quant à la « Justice », il est rare qu’elle soit rendue, de nos jours, par un être intègre et impartial, se souciant davantage du Bien commun que de son profil de carrière et des réactions partisanes de la Chancellerie.
Dans un État de Droit, régi par la notion d’Éthique et le sens de l’honneur, les choses ne se passeraient nullement comme elles sont depuis le début des années 1980. Dans un pays régi par l’Éthique, la crapule qui a volontairement pris une vie par simple joie de nuire, par l’effet d’une brutalité de bête sauvage ou sous l’emprise de la haine politique, raciale ou religieuse, doit être exécutée : c’est équitable, en plus de prévenir tout risque de récidive. Qui viole doit être castré et amputé du 5e membre dont il a fait un usage ignoble : c’est juste et cela empêche la crapule de récidiver. Qui vole, dégrade, incendie volontairement doit payer l’ensemble des dégâts en plus du pretium doloris : ce n’est que justice et cela force la canaille à réfléchir à ce qu’il en coûte de récidiver. Qui, entré dans le pays comme immigré, doit travailler pour s’intégrer au peuple d’accueil et doit être expulsé s’il n’est bon à rien ou s’il s’avère délinquant, dès la première récidive, a fortiori s’il est un criminel et ce immédiatement.
Dans un État régi par l’Éthique, les élus, et en tout premier lieu les ministres et le chef de l’État, doivent être strictement contrôlés quant à leur honnêteté et sur le bien-fondé de leurs décisions. Ils doivent être punis, d’autant plus sévèrement qu’ils ont occupé un poste plus important, s’ils se sont avérés malhonnêtes – ce qui doit les faire exclure à vie des droits civiques -, et publiquement dénoncés, en plus d’être déchus définitivement de la nationalité, en cas de décision pernicieuse à la Nation. Car s’il existe des crimes contre l’humanité, il existe aussi des crimes contre la Nation, comme celui de la laisser envahir, meurtrir, souiller par des Barbares issus d’autres continents, qui importent très inutilement un surplus de haine sociale, raciale et religieuse.
Et s’il était un jour prouvé que cette immigration-invasion ait été autorisée, voire encouragée, pour des raisons de complaisance politique ou, pire, d’intérêts personnels, alors ceux et celles qui auraient commis ce crime d’État devraient être exécutés et leur mémoire balayée à jamais, comme on le fait avec l’ordure et la saleté.
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samedi, 16 janvier 2016
Au fait, avons-nous besoin d’une immigration d’origine extra-européenne ?
Dr Bernard Plouvier
L’année 2015 fut un grand cru de l’ignominie islamique en France : multiples attentats meurtriers, décapitation au couteau à céramique, assassinats d’enfants blancs et – c’est devenu une habitude depuis les années 1980 – multitude de viols de « petits culs blancs » par les honorables rejetons de l’immigration africaine et proche-orientale… avec à chaque fois la ritournelle « Allah akbar » éructée par le criminel, comme si la référence religieuse était une circonstance atténuante, voire une justification.
Elle fut également un grand cru de l’ignominie en Allemagne, en Suède, en Finlande, où les langues ne se sont déliées qu‘à l’occasion des violences (vols, viols et attentats pédophiles, incivilités permanentes à l’encontre des citoyens et des « forces de l’ordre ») perpétrées en Allemagne durant toute l’année, avec un pic exceptionnel dans la dernière nuit… là encore, il fallut le scandale de la Saint-Sylvestre pour apprendre que les « réfugiés » s’étaient aussi mal comportés en terres allemandes qu’à Calais (ou ailleurs en notre ex-beau pays).
Même si Français, Belges, Scandinaves et Germains semblent avoir la mémoire très courte en matière de vilenies islamiques, tout le monde n’a pas oublié les atrocités de 2014 : soldats et policiers britanniques et français poignardés (l’exemple de Joué-lès-Tours devrait être dans toutes les mémoires françaises, survenant un an juste avant la grande soirée du 13 novembre 2015), obligation faite à des Français d’hurler des slogans coraniques sous peine d’égorgement ou de castration (à Perpignan, entre autres endroits), sans oublier la recrudescence de vols, de mises à sac d’églises et de cimetières, d’attaques de magasins et, bien sûr, toujours les viols en tournante.
Or, en France, nous comptons, en estimation basse, 5 millions de chômeurs. Nos caisses sociales, ultra-déficitaires, ne sont maintenues en survie que par des emprunts, ce qui aggrave considérablement la Dette, et un déficit budgétaire toujours existant, malgré des promesses de sens contraire maintes fois renouvelées. Alors, pourquoi importer de nouveaux immigrants qui, par leur comportement de vandales ou de parasites (même les immigrants clandestins ont droit à une allocation d’État), non seulement n’apportent rien à la communauté nationale, en dehors de leur merveilleuse présence, mais aussi coûtent très cher ?
Devons-nous être les complices d’une immigration-invasion qui, à terme - dans un délai d’un demi ou d’un siècle -, génèrera une substitution de population dominante en France, par le seul effet de la différence de comportement matrimonial entre les Françaises de souche européenne et les immigrées, qui conservent une natalité de type africain ou proche-oriental, favorisée par l’octroi des allocations familiales même à des immigrés qui n’ont pas encore ou jamais travaillé en France… alors que ces allocations ont été mises en place pour les familles de travailleurs ?
Dans un pays où l’on a enfin mis un terme aux guerres et guérillas de religions, faut-il importer une religion de type médiéval par son fanatisme, une religion où la guerre sainte – le Djihâd – est rendue obligatoire à tout fidèle en bonne santé par neuf sourates de son livre réputé saint, le Coran ? Et ce, au moment où un calife autoproclamé invente une nouvelle forme de terrorisme djihadiste ? Est-ce opportun, est-ce simplement raisonnable ? Après tout, la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État exige un culte strictement privé et réprime tout débordement. Avant la Grande Guerre, certains maires socialistes ou radicaux francs-maçons interdisaient le port de la soutane dans leur commune. De nos jours, on laisse des musulmans obstruer des rues sous prétexte de prière et on accepte l’amalgame entre « salles de prières » et salles de sports (de combat) !
Enfin et surtout, pourquoi ne réprime-t-on pas les très nombreuses manifestations de haine islamique, les innombrables paroles et actes de racisme anti-Blancs ? Quel peut être, en définitive, l’intérêt d’importer d’honorables criminels, délinquants, trafiquants de drogues et d’armes ?
La Nation française doit-elle être punie pour des crimes commis aux colonies il y a des siècles, au plus tard il y a quelques décennies ? Ou doit-elle être remerciée par les ex-colonisés pour avoir, à ses frais (car si la colonisation fut profitable à certains entrepreneurs et financiers, elle fut effroyablement coûteuse pour les contribuables français), introduit dans leurs pays d’origine : l’hygiène, la fin des guerres tribales, l’explosion des rendements agricoles, la mise en valeur du sous-sol, l’instruction publique, des routes, aérodromes et voies ferrées, faisant passer d’un coup au monde moderne l’Afrique noire qui en était restée au néolithique ou à l’âge de bronze, comme le Maghreb et le Proche-Orient passaient très rapidement du Moyen-Âge à la modernité ?
Non seulement, l’immigration-invasion paraît une absurdité, démographique autant qu’économique, en période de chômage d’une ampleur inédite dans notre patrie, en plus d’être un crime contre la Nation. Mais la repentance n’est nullement ce qu’elle devrait être. Ce sont les immigrés qui devraient présenter leurs plus humbles excuses à la Nation française pour l’ignoble comportement en France des fruits pourris issus de leur milieu.
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mercredi, 13 janvier 2016
Des Nations et des Peuples
Dr Bernard Plouvier
La sémantique a ses exigences, qui ne font pas forcément bon ménage avec les contorsions verbales de politiciens en pleine déconfiture. Très secoué par l’échec de sa politique économique, par la flambée d’un chômage qu’il avait juré de résorber, par l’évidence du refus d’intégration à la société française des immigrés islamiques, africains et proche-orientaux, enfin par un terrorisme que son impuissance ne fait qu’encourager, notre sémillant et toujours agressif premier ministre ose affirmer que l’idée de « nation fait partie du bagage idéologique de la gauche »… il serait plus honnête de parler du miroir aux alouettes de pseudo-socialistes globalo-mondialistes confrontés à un mouvement populiste français en pleine croissance.
Ou bien Manuel Valls se moque ouvertement des Français, ou ce remarquable exemplaire de la gauche friquée ignore la signification du mot Nation. Éclairons donc sa lanterne. Ce terme nous vient de la langue latine où le mot Natio faisait obligatoirement référence à une origine commune des sujets ainsi désignés de façon collective. Par définition, chez nos grands ancêtres (et chez nous jusqu’aux années 1976 sq.), la Nation regroupait des êtres de même origine ethnique.
En 1882, Ernest Renan, remarquable historien des religions, mais piètre philosophe, a donné sa définition d’un « peuple » : « Avoir eu des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble et vouloir en faire encore ». Ce faisant, il définissait de façon rudimentaire ce qu’est une Nation.
Un peuple n’est qu’un ensemble administratif, un agrégat de personnes réunies à l’intérieur des frontières d’un État, jouissant des mêmes droits et soumises aux mêmes exigences légales, mais n’ayant pas forcément des ancêtres communs donc une histoire communautaire. Un peuple comprend des nationaux et des immigrés, ces derniers pouvant, s’ils le souhaitent et si les autochtones le veulent bien, s’intégrer à la Nation par le mariage et la procréation, mais d’abord et avant tout par le respect des usages et des lois du pays.
En 1956, le sociologue d’origine juive Marcel Mauss a présenté la Nation comme : « une société d’êtres unis moralement et culturellement… adhérant consciemment aux lois d’un État centralisé, stable et permanent, [doté de] frontières fixes ». La définition de Mauss est complémentaire et un peu supérieure dans le fond à celle, de tonalité romantique, du Breton, même si – pour des raisons de convenance ou par effet de mode : l’on était dans « l’après 1945 » - l’auteur n’y avait pas inclus la notion, pourtant fondamentale, de race… il est pourtant évident que, depuis la préhistoire et à l’exception des Trois Amériques où le brassage des races fut observé dès l’arrivée concomitante d’Asiatiques et de Sibériens au cours de la dernière glaciation, chaque continent habité a sa race propre et qu’il ne paraît guère utile de modifier cette adéquation.
Les Nations européennes – qui, par définition, appartiennent toutes à la race blanche (stupidement) réputée « caucasienne » - sont globalement réfractaires aux charmes vénéneux du melting pot à l’américaine. On pourrait reprocher aux Européens de n’avoir pas perçu la profonde unicité de la race européenne : ce fut la cause de bien trop de guerres fratricides. Toute l’histoire européenne des années 1840 aux années 1990 s’est faite dans le sens de la création ou du renforcement des États nationaux, selon le schéma : une Nation, un État. La politique mondialiste, indissolublement accouplée à la globalisation de l’économie, combat résolument ce principe fondamental.
Depuis la plus haute Antiquité, les Empires multinationaux ont toujours été instables et se sont toujours effondrés à cause de leur hétérogénéité ethnique… mais c’est un fait historique maudit, pour un élu fréquentant les instances politiques européennes annexées aux cercles de réflexions des vrais maîtres, les potentats de l’économie.
Les États multinationaux ne sont que des coexistences, fragiles et instables, de communautés non miscibles. On ne peut les maintenir en survie artificielle que par la dictature (ce fut le cas de l’URSS) ou grâce à une croissance économique durable (l’exemple des USA vient immédiatement à l’esprit : toute récession durable provoque une guerre extérieure et des émeutes raciales). À quoi bon faire courir le risque d’un éclatement qui génère morts et destructions, alors qu’il est si simple de faire respecter le sage principe du « chacun chez soi », ce qui définit l’État national.
Un État national doit, en priorité, faire respecter ses lois, qui ne doivent être modifiées – pour les plus fondamentales d’entre elles – qu’après avis de la Nation, seul souverain légitime. En aucun cas, des étrangers (en style noble : des allogènes, en style journalistique : des immigrés) ne peuvent exiger un changement de lois à leur avantage, sauf à l’imposer de force – ce qui définit l’état de guerre ou l’invasion violente –, sauf à être entrés en masse au point de constituer une nouvelle majorité de peuplement – c’est la substitution de population dominante.
Si la Constitution – la loi fondamentale de l’État – définit une langue officielle, celle-ci doit être connue et utilisée par les allogènes-immigrés-étrangers. En aucun cas, l’État ne doit diffuser d’écrits administratifs rédigés en une autre langue que l’officielle, ni accepter l’enseignement des humanités ou des matières scientifiques en une langue étrangère.
La naturalisation ne doit être octroyée qu’après une période de surveillance de l’immigré et en raison de services rendus à la communauté nationale. On ne doit pas tolérer l’absurdité de la « double nationalité »… comme s’il était possible de faire preuve de double loyauté. Sous aucun prétexte, les immigrés ne peuvent imposer leurs usages (tel l’immonde abattage clandestin d’animaux au domicile privé). L’ensemble des lois doit s’appliquer à tous et en toute rigueur, celles réprimant crimes et délits aussi bien que celle qui sépare l’État des confessions religieuses. Aucune exception ne peut ni ne doit être tolérée, même pour satisfaire les caprices de richissimes investisseurs étrangers, de généreux sponsors de clubs sportifs ou de partis politiques.
Le laxisme et la gabegie administratives, le mépris de la Constitution par les politiciens ne sont rien d’autre, en définitive, que les reflets du déclin de la Nation, par veulerie et lâcheté des autochtones. En revanche, notre continent, étendu de l’Islande à Vladivostok, permet d’espérer l’aide de Nations de race européenne dans la lutte commune contre les envahisseurs extra-européens.
L’alternative actuelle est simple : sursaut national ou asservissement. Toute l’histoire humaine en témoigne : une Nation lutte ou disparaît.
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Préhistoire de notre temps
Dr Bernard Plouvier
Durant les années 1960, de puissants hommes d’affaires et d’influence d’Europe occidentale avaient été mixés à leurs grands frères des USA au sein du Groupe Bilderberg, pour influencer la politique des États faibles (ceux d’Europe occidentale et scandinave). En 1973, la crème du Bilderberg fut assaisonnée de quelques magnats japonais et devint la Commission Trilatérale (à ne pas confondre avec la création, dans ces mêmes années 1960, de quelques chefs d’États du Tiers Monde : la Tricontinentale, dominée par des marxistes lassés de la tutelle des gérontes du Kremlin… c’est lors d’une réunion de cet organisme, en 1966, que Fidel Castro et quelques marxistes programmèrent à leur façon brouillonne le mouvement des années 1967-70, dont chacun sait qu’il culmina en 68).
Dans les séminaires fort discrets de la Trilatérale (en France : le Club Le Siècle), l’on enseigna aux Européens et aux Japonais que la protection sociale est un boulet économique et que, privatisée sur le mode US, elle serait plus efficace (sans ajouter à qui profiterait cette efficacité). Idem que seul le libre-échange est bon, que le capitalisme familial et strictement national est dépassé, que l’épargne des individus est très mauvaise, étant pernicieuse au Big Business. En 1999, lors du raout annuel de la Trilatérale, tenu à Davos et largement médiatisé une fois n’est pas coutume, l’on a lancé le slogan : « Mondialisation responsable », pour se concilier les gogos et même quelques écologistes bourgeois, et l’on a créé l’officine d’endoctrinement des clowns des media : le WEF (World Economic Forum).
L’économie devint globale et la vie politique, sociale et sous-culturelle fut mondialisée, par l’effet d’un impératif économique… c’était sans compter avec la perversité de milliardaires islamo-pétroliers sunnites qui voulaient ressusciter le califat, estimant venue l’heure d’une nouvelle vague de conquêtes pour l’islam. Ces émirs, sultans et roitelets richissimes et fanatiques commencèrent par investir massivement dans l’immobilier et le luxe, puis ils comprirent qu’ils pouvaient investir dans les milieux (dans toutes les acceptions de ce terme) politiques, médiatiques et sportifs européens.
À ce petit jeu, ils furent concurrencés par d’austères croyants, plus fanatiques et moins corrompus qu’eux. Ils tentèrent de les amadouer en finançant leurs achats d’armes et leur propagande, mais les exaltés prirent l’argent et poursuivirent leur délire politico-religieux, jusqu’au terrorisme global (visant aussi bien des musulmans que des infidèles), osant même coiffer les Saoudiens au poteau dans la résurrection du califat.
Et nous en sommes là : une Europe occidentale, scandinave et danubienne envahie d’immigrés islamiques, venus d’Afrique noire et maghrébine, du Proche-Orient (Irak, Syrie) et du Moyen-Orient (Afghanistan et Pakistan). La façon dont ces envahisseurs ont « payé » leur voyage est à elle seule riche d’enseignements : les voyageurs mâles ont été pour la grande majorité d’entre eux sponsorisés par des évergètes islamo-pétroliers.
Que ces immigrants se comportent de façon arrogante, violente et prédatrice n’a rien pour surprendre (sauf le gogo à qui l’on a fait croire qu’ils venaient « pour travailler » ou pour fuir une quelconque tyrannie politique). On a envoyé de jeunes combattants, dépourvus de la moindre qualification technique, mais fanatisés, à qui l’on a promis gloire et richesse (en plus du paradis d’Allah), à l’unique condition de conquérir une partie riche du Dâr al-Harb… ce domaine de la guerre, où les infidèles doivent être traités de façon impitoyable.
On veut bien admettre que nos politiciens débiles, surtout préoccupés d’amasser des biens grâce aux sinécures dorées de la République et aux dons généreux des islamo-pétroliers, n’aient rien vu venir… encore que l’efflorescence parallèle de mosquées et de cités de non-droit sur le sol national, la flambée de viols, les émeutes raciales auraient pu leur faire ouvrir un œil dès les années 1980, avant que la vague d’attentats, qui a débuté en 2014 dans notre pays, prouve à l’évidence que la programmation de la fin de l’Europe des Nations autochtones est l’un des buts de cette immigration-invasion, en plus du triomphe d’Allah, réputé tout-puissant, mais plus du tout miséricordieux.
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mardi, 12 janvier 2016
Forces du désordre et faibles de notre déclin
Dr Bernard Plouvier
En ce beau mois de janvier 2016, les media gouvernementaux (pourtant ô combien aseptisés & formatés) commencent à reconnaître ce qu’affirment depuis les années 1980 d’ignobles « fascistes » (prononcer « fachistes », ça fait plus crédible), à savoir que l’énorme majorité des viols commis en Europe occidentale sont perpétrés par d’honorables immigrés (ou rejetons d’iceux), qui procèdent par bandes (ce qui procure aux victimes – toujours des « petits culs blancs » - le plaisir douteux des « viols en tournante »), honorables immigrés qui pimentent leurs prestations de fins commentaires racistes et parfois de douceurs accessoires (vol, brûlures à la cigarette incandescente, morsures, coups de couteaux).
Tout cela était étalé dès le milieu des années1980 dans une foule de livres et de brochures, non vantés par les critiques littéraires ou sociologiques ni diffusés par les grandes messageries. On restait fidèle, dans la propagande officielle, au mythe rousseauiste du « bon immigré », un peu taquin, avatar du « bon sauvage » des grotesques publications du XVIIIe siècle. Seuls les candidats des mouvements populistes (toujours battus aux élections, grâce à l’effet de diabolisation utilisé par leurs adversaires) reprenaient cette accusation… c’étaient des « fachistes », des « nazillons », en un mot des « racistes » (et pour ressembler à certains utilisateurs de l’invective, veuillez la prononcer « lowacistes » : respectons le rhotacisme d’une partie de nos « hôtes »).
Or nous apprenons, à la jonction du grand cru 2015 de l’ignominie musulmane et d’un début très prometteur de cru classé dans l’immondice immigrée, que tout cela était vrai, bien réel, mais tenu caché par les directions de polices, tenues en bride par leurs maîtres gouvernementaux. En Finlande et en Suède, en Allemagne comme en Belgique, des policiers avouent sans vergogne avoir « menti sur ordre »… seuls les Norvégiens avaient abandonné depuis plus de 10 années ce comportement maffieux d’omerta, cette loi du silence pour éviter les pamoisons d’une opinion publique paniquée à l’idée que la police et la Nation d’accueil pussent être taxées de « racisme ». Au fait, ce silence sépulcral demeure un exercice obligé en France hollando-vallso-cazeneuvienne.
Face à ces « forces de l’ordre » qui étaient autant de faiblards et d’hypocrites, les délicieux fruits pourris de l’immigration continuaient en quasi-impunité à saccager et incendier, voler et violer, « suriner », voire – invention brevetée califat nouveau – décapiter au couteau à céramique. De temps en temps les merveilleuses crapules et canailles immigrées s’offraient une fiesta : caillassage de policiers et de pompiers, attaque de commissariats à la « Kala » voire au mortier, enfin le grandiose spectacle d’une émeute raciale, strictement corrélée en France à la « montée en puissance de l’islam », comme le signalaient dès 1990 de doctes universitaires, pourtant estampillés « de gauche ». Les faibles de notre déclin, ces merveilleux policiers de toutes variétés, faisaient semblant de « réprimer » ; en réalité, ils attendaient que le mouvement s’arrête faute de munitions ou par la fatigue des honorables insurgés.
En revanche, nos glorieux policiers de tous types redevenaient gaillards, voire brutaux, quand il s’agissait de cogner sur les autochtones qui protestaient contre la crapulerie des assassins et violeurs immigrés ! De faibles de notre déclin, ils redevenaient forces de l’ordre établi, celui de la mondialo-globalisation qui exige le brassage des races (pour amoindrir la résistance de l’élite de ces Blancs, jugée trop psychorigide) et une hyperconsommation des peuples - qu’elle soit justifiée par les gains issus d’un honnête labeur, par de l’argent volé ou obtenu par divers trafics, ou plus simplement de façon parasitaire, par les multiples subventions et allocations allouées par l’État aux immigrés… même clandestins !
C’est le scénario réalisé, ces jours-ci, en Allemagne de mémé Merkel ! Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, les policiers de Cologne, Hambourg et Stuttgart n’osent cogner sur les hordes d’immigrés maghrébins, proche- et moyen-orientaux qui agressent, en moyenne à 10 « mâles » contre une femme blanche, des passantes allemandes pour procéder à des attouchements sexuels, des coups et des blessures vulnérantes, des viols et – bien sûr – des vols. En revanche, avec quelle hargne, quelle violence, quelle virilité ces nobles pandores attaquent-ils des Allemands de souche européenne, désarmés, venus clamer le samedi suivant leur indignation. Ah mémé, te revoilà au bon temps de la RDA, où les Schupos cognaient sur leurs concitoyens qui réclamaient un peu de liberté !
Partout en Europe occidentale, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste, le scénario est le même. Le racisme est toujours reproché aux vilains Blancs, alors qu’à l’évidence, pour tout observateur ni sourd ni aveugle, le véritable racisme est celui des individus inutilement importés qui crachent leur haine du Blanc. On ferme les yeux sur les crimes et les délits mille fois répétés des « requins vicieux » de l’immigration : l’expression a été inventée par des immigrés musulmans honteux du débordement de haine et de malfaisance de rejetons de leur bord qu’ils n’avaient pas su éduquer, civiliser, policer… alors même que le minimum, pour ces délicieux immigrés et rejetons, eût été de manifester une politesse et une reconnaissance de bon aloi puisqu’on leur offrait les conditions d’une vie hautement civilisée au lieu de celles des infâmes et insalubres cités miséreuses d’Afrique ou du Moyen-Orient.
Lâcheté de pseudo-mâles immigrés qui osent s’attaquer en bande à une seule femme ; laxisme scandaleux de policiers, payés avec les impôts que l’on nous soutire, quand il s’agit de protéger des autochtones et de réprimer les crimes et délits des fruits pourris d’une immigration inutile à notre Bien commun ; brutalité immonde de ces mêmes policiers quand ils sont chargés, par des politiciens vendus aux maîtres de l’économie de marché, de réprimer les manifestations d’une colère légitime des autochtones floués, attaqués, souillés.
La mesure et comble. Ou les Européens se révoltent contre leurs tyrans abjects, nuls et trop souvent corrompus, ou ils sont mûrs pour la conversion à l’islam médiéval, l’esclavage et la mort. Le choix est clair. Les Européens sont-ils dignes de leurs ancêtres ou ne sont-ils plus que des veaux et des capons destinés à la boucherie ?
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lundi, 11 janvier 2016
Angela la douce versus Joseph le maudit !
Dr Bernard Plouvier
Il est des jours où l’écrivain d’histoire s’amuse un peu. Le samedi 9 janvier 2016, la police de Cologne – qui n’avait rien fait durant la nuit de la Saint-Sylvestre pour protéger des Blanches des privautés et autres violences d’honorables réfugiés maghrébins & moyen-orientaux – a sévi au canon à eau, au gaz lacrymogène et à la bonne vieille matraque (Ah, ces Allemands et leur Schlag [rossée] ! Un vieux réflexe, une vieille habitude ne se perdent jamais) contre deux milliers d’Allemands de souche venus dénoncer le laxisme gouvernemental et policier, face à une immigration non seulement massive (1,1 million de « réfugiés » en 12 mois), mais aussi crapuleuse.
Curieusement, ces patriotes allemands croyaient habiter un pays « démocratique ». Or, ce pays est dirigé par mémé Merkel, cette Angela qui fait la douce et la mijaurée face aux musulmans et sévit contre ses autochtones. Cela est-il étonnant ? Scientifique de haut niveau – ce qui sous-entend une indéniable rigueur d’esprit -, Angela vécut en RDA de l’année 1954 où elle vint au monde à 1989, soit jusqu’à l’écroulement d’un régime demeuré stalinien jusqu’à son dernier jour.
Pourtant, que mémé Angela (peut-être furieuse de n’avoir pas été nobélisée) réagisse comme au bon vieux temps des Wilhelm Pieck, Walter Ulbricht et autre Marcus Wolff, stupéfie l’observateur qui se souvient que cette Chancelière fit un sans-faute de 2005 à 2014, avant de disjoncter en 2015… et le médecin de se poser la question d’éventuels troubles d’ordre psychiatrique ou d’une possible tumeur cérébrale pour expliquer la genèse d’un tel revirement.
De par sa formation communiste, mémé ignore peut-être les fondements de la démocratie : Justice égale pour tous ; méritocratie dans l’attribution des postes publics (ce qui exclut toute discrimination, fût-elle « positive ») ; absolue liberté d’expression (sauf à réprimer calomnies et pornographie) ; recours à l’avis de la Nation pour toutes les grands choix de société (comme la peine de mort ou l’immigration de masse).
Il est amusant de comparer le comportement actuel de la douce et tendre Angela avec celui des hideux, maudits (etc.) Hermann Goering et Joseph Goebbels, dans une situation analogue : une manifestation de personnes contestant une décision officielle. En février 1943, à la suite d’un attentat perpétré à Berlin par des opposants (dont les deux tiers étaient juifs), Goebbels, dans sa fonction de Gauleiter, ordonne de rafler 11 000 Juifs pour les déporter vers le Gouvernement Général de Pologne… dont 1 700 Juifs époux de non-Juives, donc protégés ipso facto de la déportation.
200 de ces dames allemandes commencent à manifester le 23 février et maintiennent leur mouvement jusqu’à ce que Goebbels – après avoir consulté Goering, chargé de la « question juive » - fasse relâcher les 1 700 Juifs le 6 mars (non sans grogner dans son Journal, cf. l’entrée du 2 mars). Durant ces manifestations, les policiers nazis ont ordonné à ces Allemandes « de circuler », sous peine « de poursuites » (alors qu’aucune identité n’était relevée)… il n’y eut ni méchanceté de l’ignoble Gestapo, ni arrestation, ni coups de matraque, ni etc.
Évidemment, c’était au temps du méchant-vilain-pas beau Joseph Goebbels. À la belle époque de la douce et tendre Angela Merkel, il en va autrement.
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dimanche, 10 janvier 2016
L’immigration et l’enrichissement du pays d’accueil
Dr Bernard Plouvier
Même si les Français (et les autres peuples d’Europe occidentale) sont censés avoir la mémoire courte, il est peu probable que les quadragénaires aient oublié les beaux discours sur l’immigration de masse (alors d’origine africaine, noire et surtout maghrébine) destinée à fournir des travailleurs à une Europe en déclin démographique, du fait d’une absurde conception de la féminité, qui excluait les grossesses répétées et prônait à tout-va l’avortement de complaisance. A-t-on assez répété l’argument selon lequel les travailleurs immigrés venaient payer les retraites, dans un système de répartition !
Rappelez-vous, ce n’est pas si lointain : c’étaient les arguments récurrents des années 1983-2010. Certains y ajoutaient leurs réflexions venimeuses sur la nécessaire régénération des Européens par les membres de la race africaine (et quand on n’a plus voulu parler de « race », on a employé le mot « ethnies »). Ce mixage des races-ethnies était particulièrement encouragé par ceux-là même qui, depuis 33 siècles, au nom des stipulations du Deutéronome, des Livres d’Esdras et de Néhémie, s’y refusent majoritairement et pratiquent avec dévotion l’endogamie (que l’on pourrait aussi bien qualifier de racisme matrimonial), comme le font les Yézidis du Kurdistan (qui, du moins, ne gênent personne, accrochés à leurs terres ancestrales depuis 27 siècles, jusqu’à ce que la folie furieuse musulmane tente de les exterminer).
De la « pureté dangereuse » (brevetée Bernard-Henry Lévy) à l’idéal de « Panmixie » (de Pierre-André Taguieff) en passant par « le métissage avantageux » (de Jean Bernard) en a-t-on assez disserté des bienfaits de la race humaine unique (Juifs inclus ? Cela reste à déterminer), de la vie politique et culturelle mondialisée, de l’économie globalisée, bref du « grand village planétaire ». Tous ces beaux esprits ne faisaient que reprendre les élucubrations du métis eurasien Richard Coudenhove-Kalergi, chantre dès 1925 (in Idéalisme pratique) de la « race eurasiatico-négroïde… avec les Juifs pour personnalités dirigeantes » et celles des penseurs (presque tous juifs) des années 1943-50 qui appelaient de leurs vœux la « nécessaire disparition des États nationaux » : c’était la lubie du faussaire juif Imre Rosenbaum (devenu ‘’Emery Reves’’, après avoir réécrit les faux Mémoires de Fritz Thyssen et transformé les souvenirs de l’ex-nazi Hermann Rauschning) et l’espoir des théoriciens de même origine Robert Strausz-Hupé et Stefan Possony… Rien de bien nouveau sous le soleil !
À côté de cet « enrichissement génétique », de cette « régénération » des populations européennes par « l’immigration de masse » (cf. les élucubrations de Valérie Rabault, directrice de banque, et de Karine Berger du monde merveilleux de l’assurance-crédit), l’on insistait sur le gain matériel. Tout d’un coup, l’Afrique « boulet économique de la planète » devenait, d’un coup de baguette magique, la grande pourvoyeuse de super-travailleurs qui allaient enrichir l’Occident amolli, aveuli, en voie de vieillissement accéléré. Il eût été plus simple d’encourager les jeunes femmes européennes à passer de l’option zéro ou un enfant à celle de leurs mères : trois enfants en moyenne… mais il était plus amusant de parler de planning familial et de vanter la « grande avancée sociale » de l’avortement de complaisance.
En 2016, le bilan est accablant. Rien qu’en France, nous sommes « riches » de 8 à 10 millions d’immigrés d’origine africaine (le flou statistique est dû au sectarisme « antiraciste » des services du ministère de l’Intérieur et des Cultes), dont 7 à 9 millions de musulmans. Environ 2000 cités de non-droit se sont installées en 35 années de gabegie mondialiste. La délinquance et la criminalité, nettement orientées contre les Blancs (juifs et goyim pour une fois confondus), atteint des sommets qui ne demandent qu’à être dépassés. Le terrorisme, breveté califat nouveau, frappe depuis 2014 en France métropolitaine (même si les pouvoirs publics semblent ne s’en être aperçus qu’en janvier 2015). Les viols de masse de femmes et d’adolescents des deux sexes, blancs, sont bien connus en France depuis les années 1980, mais il a fallu un pic de criminalité de ce type, survenu en Allemagne la dernière nuit de l’An 2015, pour qu’on veuille s’en ressouvenir.
Quant à l’économie, elle est effectivement « florissante ». Plus de 5 millions de chômeurs (soit 10% de la population en âge de travailler) ; une croissance nulle (voire négative) ; un produit du travail des immigrés estimé en 2011 à 83 milliards d’euros à rapporter à 89 milliards d’euros dépensés par l’État et les collectivités (30 en dépenses de santé ; 52 en aides sociales, dont 3,2 milliards d’euros pour les seuls clandestins) ; l’exportation annuelle d’énormes sommes vers les familles demeurées en Afrique ; voilà le curieux « enrichissement » de l’État français.
Résumons-nous : l’immigration africaine et moyen-orientale a importé un racisme anti-Blancs, une délinquance et une criminalité hallucinantes, ciblées contre les autochtones. Elle a importé l’islam conquérant et les émeutes raciales, en plus de la querelle israélo-palestinienne. Racisme et terrorisme, émeutes raciales et criminalité : c’est sûr, notre vie de Français de souche européenne en a été bouleversée.
Durant ce temps, grâce à la consommation – en partie parasitaire, c’est-à-dire alimentée (sans jeu de mots) par les allocations diverses et variées distribuées avec le produit des impôts soutirés aux contribuables – les grandes compagnies de distribution (agro-alimentaire, habillement, électro-ménager et informatique, automobiles et scooters, produits pétroliers etc.) se sont prodigieusement enrichies, comme l’ont fait les grossiums du trafic de drogues et d’armes. L’enrichissement a existé, mais nullement pour la Nation française autochtone !
Il reste à examiner le cas de l’immigration asiatique : Indochinois, Japonais, Coréens, Chinois et Indous. Ceux-là, calmes et travailleurs, souvent très doués, se sont enrichis par leur travail en même temps qu’ils enrichissaient notre communauté nationale. N’eussions-nous eu que cette immigration qu’il n’y aurait jamais eu de problème.
Nos politiciens, du règne de Giscard à celui de l’actuel Président de la République, ont des excuses à présenter à la Nation française pour lui avoir tant nui par leur bêtise et leur laxisme. Puis ils doivent prendre de très énergiques mesures pour rendre à la France la paix intérieure et la prospérité qui étaient siennes avant la plongée dans la globalisation-mondialisation. Il est des pilotages sans visibilité qu’il faut savoir interrompre avant la catastrophe.
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samedi, 09 janvier 2016
On a les (anti-)héros que l’on mérite !
Dr Bernard Plouvier
Que des Français aient vénéré la mémoire d’un Napoléon Bonaparte, voire celle du général De Gaulle de juin 1940 (un Charles De Gaulle doublement « ponctuel », c’est-à-dire limité au 18 de ce mois terrible et arrivé pile au bon moment d’une période historique où il était nécessaire, pour un patriote français, de faire un geste purement symbolique, pour marquer son territoire, comme le font tous les animaux) peut se comprendre, même si chacun de ces deux héros d’épopée fut critiquable à bien des égards.
En revanche, la Mitterrandomanie actuelle est pitoyable, à la fois dérisoire à l’échelle de l’histoire de France et fausse dans tous ses aspects. Ce Janus bifrons, amoureux du fric et pseudo-socialiste de salons (comme Jaurès, autre imposture historique), homme de la gauche caviar-champagne de grandes marques, pétainiste décoré de l’Ordre de la Francisque (ce qui exigeait que l’on en ait fait personnellement la demande… que les pseudo-historiens du genre « gentil toutou de gauche » se renseignent avant d’écrire n’importe quoi à leur habitude), puis « héros » d’une forme plus que discrète de la Résistance, est d’abord et avant tout celui qui a placé la France dans la mondialisation des vies politique et sous-culturelle et dans la globalisation de l’économie.
C’est durant le règne mitterrandien qu’ont débuté les « délocalisations » d’entreprises (le mot lui-même était jusqu’alors inconnu ; il fallut l’inventer), ce qui fit doubler le chômage en moins de cinq années ! C’est Mitterrand qui fit voter, dès 1984 (les financiers US ne l’ont obtenue des Congressmen qu’en 1999) la Loi de désintermédiation, qui supprima la distinction entre banques de dépôts et banques d’investissements, ce qui permit aux banquiers de jouer avec l’argent de leurs clientèle : ce fut réellement une loi pousse-au-crime de surendettement.
Certes, ses prédécesseurs, les Machiavels à la petite semaine Giscard et Chirac avaient voulu relancer une consommation intérieure défaillante par leur immonde décret 76-383 du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai suivant) autorisant le regroupement familial pour les travailleurs immigrés, dont l’application fut ensuite étendue aux familles de chômeurs !
C’est durant les quatorze années du règne Mitterrandien que la France a été envahie par une immigration africaine (maghrébine puis noire), que se sont constituées des cités de non-droit autogérées par des mafias de trafiquants et d’imams, qu’ont explosé délinquance et criminalité (assassinats et viols à forte connotation raciste anti-Blancs), tandis que l’État gaspillait des centaines de milliards d’unités de compte, prélevés sur les contribuables, en subventions diverses et constructions aussitôt saccagées par les sauvages inutilement importés. De nos jours, les slogans à caractère raciste anti-Blancs fleurissent partout, salués comme autant d’exploits picturaux ou poétiques par un résidu de l’époque Mitterrandienne, son ex-ministre (fort ambigu) de la pseudo-culture.
C’est du règne désastreux de Mitterrand que date l’installation de l’islam conquérant sur notre sol national et les émeutes raciales, demeurées d’origine « mystérieuse » pour les seuls enquêteurs officiels, car dès 1990 paraissaient des études d’origine universitaire (donc composées par des gens fort prudents), rattachant l’explosion de violence urbaine à la montée en puissance de l’islam en France. C’est durant son règne qu’a débuté, en France, le racisme anti-Européen le plus abject.
Attila n’avait ravagé les Gaules que de façon brève et partielle. Mitterrand et ses nervis l’ont saccagée, souillée, meurtrie de fond en comble et de façon durable.
François Mitterrand ne fut toute sa vie qu’un bourgeois avide d’argent et de gloriole, un beau parleur égotiste et menteur (notamment sur son état de santé). Devenu chef de l’État, il se prosterna devant les intérêts de la finance cosmopolite et des entreprises multinationales. C’est sous son règne et par sa volonté que la Nation française fut jetée dans le monde féerique de la globalisation économique, de la mondialisation de la vie politique et sous-culturelle, du brassage des peuples et des races.
C’est très logiquement que son très pâle et lointain successeur essaie de le singer.
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vendredi, 08 janvier 2016
Le Droit en République bananière
Il y a belle lurette qu’est devenue désuète la jolie phrase du poète vantant « France, terre des arts, des armes et des lois ». Notre art est innommable. Nos armes sont obsolètes et de toute façon nous n’avons même pas assez de réserves en munitions pour envahir le Luxembourg ! Quant à nos lois, elles sont devenues mouvantes, les nobles juges les adaptant de telle manière que notre législation en devient aérodynamique, plus exactement à géométrie variable selon les vents politico-financiers dominants.
En ce début d’année (qui promet d’être un grand cru en matière d’ignominies), viennent d’être jugés des rappeurs « français », suant la haine par tous les pores, éructant par ce qui leur sert de bouche des phrases encourageant au meurtre de policiers ou de simples passants « à face de craie », conseillant à leurs auditeurs enthousiastes de « bourrer des petits culs blancs », de « niquer la France, cette putain », etc. Pour ces appels à la haine raciale, au meurtre et à la subversion, ces belles âmes s’en sont tirées avec trois mois de prison, peine assortie du sursis et immédiatement transformée en « travaux d’intérêt général », pour redonner une virginité à leur casier judiciaire (qui redevient « tout zouli, zouli »).
Avec leurs textes immondes et leur musique débile, plus répétitive que celle d’un Philip Glass (qui, du moins, a du talent), les nouveaux Mozart ont récolté un pactole, mais on ne les attaque pas au portefeuille, à la différence de ce que font les nobles juges avec des écrivains d’histoire « révisionnistes », coupables d’un délire de négation sur un point bien précis, ce qui relèverait au pire d’un traitement antipsychotique, plus simplement d’un haussement d’épaules (en régime de libre expression de la pensée).
Imaginons un court instant le scénario inverse de celui des honorables rappeurs quasiment « blanchis » (sans jeu de mots) par la « Justice » à la sauce taubiresque. Mettons en scène un ignoble travailleur-contribuable français de souche européenne, soit un Blanc (pardon : « une tête de craie », « un fromage blanc »), qui, excédé, aurait traité un honorable délinquant ou criminel issu du monde merveilleux de l’immigration africaine ou moyen-orientale de « voyou nègre », de « violeur arabe », de « branleur vivant d’allocations-chômage », de « vandale musulman » etc.
Quels hurlements, quel déchaînement de haine médiatique blesseraient nos tympans ! « L’immonde raciste » blanc devrait s’attendre à une peine de prison ferme (avec les douceurs arabo-africano-musulmanes associées), à de multiples amendes en faveur de l’honorable délinquant ou criminel « ignoblement insulté », de sa famille « scandalisée » (variante : « choquée ») et des innombrables et si utiles associations de lutte contre le racisme (à sens unique).
Tentons d’élever le débat, puisqu’aussi bien nos brillants élus, magistrats, philosophes et autres sociologues n’en semblent plus capables. Notre mère, la Grèce des VIe et Ve siècles avant JC, notre père, le Droit romain, avaient établi en principe éthique fondamental l’égalité de tous les citoyens devant la Justice (on reconnaît que ce n’était pas le cas pour les esclaves, considérés comme des choses et non comme des êtres, ou les métèques, soit les immigrés de l’époque).
Plus tard, le Droit fut modifié. Au temps de Louis XIV, pâle soleil du royaume de France, un profond auteur écrivait : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour [de justice] vous rendront ou tout blanc ou tout noir » (des adjectifs dépourvus de connotation raciste chez La Fontaine, il est bon de le préciser en notre époque d’inculture ahurissante et d’exceptionnelle mauvaise foi judiciaire).
Depuis lors, il y eut cette grande avancée politique et sociale de la Révolution de 1789 sq. C’est du moins ce que prétendent les pitres qui font semblant de nous gouverner et de nous administrer. Nous en bassine–t-on assez des « valeurs républicaines », des « acquis de la Grande Révolution » ! On en admire quotidiennement les résultats : des élus corrompus (savez-vous, braves électeurs qu’une députée ex-socialiste siège au Palais-Bourbon munie d’un joli bracelet électronique, car c’est une escroc condamnée par la Justice : il existe encore des juges intègres et courageux), une administration politisée et maçonnisée, une armée en état pitoyable, l’insécurité dans les villes et même dans les villages, 2000 cités de non-droit où règnent imams et racaille, une immigration-invasion qui impose ses règlements religieux en dépit de la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État, enfin un terrorisme tellement peu réprimé que le bon Président lui-même en prévoit la recrudescence pour cette année… et l’on ne parle même pas du marasme économique, hors-sujet ici.
Élevons encore le débat, au plan international cette fois-ci, en définissant ce qu’est une « République bananière ». C’est un État colonisé par une ou des multinationales qui ont asservi le milieu (dans toutes les acceptions de ce terme) des politiciens, des administrations et des fabricants d’opinion publique. Par exemple, l’on pourrait – hypothèse romanesque, figure de style, licence poétique – imaginer un État européen, de très vieille civilisation et riche d’un somptueux passé historique, dirigé par des multinationales du pétrole, du négoce agro-alimentaire et automobile, où « l’élite » serait soumise aux caprices de potentats-évergètes divers, où prédomineraient des islamo-pétroliers.
L’avocat-politicien Cicéron était une andouille ou un hypocrite lorsqu’il écrivait : « Cedant arma togae ». Depuis l’aube de l’humanité organisée en cités, le Droit n’a jamais été écrit que par le détenteur de la Force. Les sociétés ont toujours été dominées par les puissants qui étaient généralement les plus riches, sauf en régime populiste… et il faut voir comment les bons auteurs, qui révèrent la vraie puissance, celle de l’argent, traitent la mémoire des chefs populistes ! De nos jours, le pétrodollar, dans sa variété US et islamique, règne. Il est logique que le Droit, qui est l’une des grandes variables de l’histoire sociale, s’adapte à cette fantaisie du destin.
Bananière notre Ripoublique hollando-vallso-taubiresque ? Pas tout à fait. La qualification exacte serait islamo-pétro-dollaresque… en attendant d’être mauresque tout court. De façon logique, les Européens doivent cesser de commémorer le centenaire de la Grande Guerre. Les prostitués du pétrodollar, les Dhimmis de l’islam conquérant n’en sont pas dignes. Une Nation trop aveulie pour supporter un régime tyrannique et corrompu, vendu à l’étranger, ne mérite que l’esclavage ou l’extinction.
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jeudi, 07 janvier 2016
Les bonnes et les mauvaises Milices
Dr Bernard Plouvier
En Hollando-Vallserie taubiresque & cazeneuvienne, on ne manque certes pas d’occasions de mourir de rire. La fin de l’An 2015, cru exceptionnel du terrorisme musulman dans notre ex-beau pays, nous a apporté cette merveilleuse distinction entre « bonnes milices », composées de « gentils musulmans », et « mauvaises milices », composées d’honnêtes citoyens français exaspérés.
Durant le second semestre de l’an 2015, un préfet fort sourcilleux du Bien public (à moins que ce ne soit un simple carriériste) avait conspué un maire - en l’occurrence celui de Béziers, ville où l’immigration africano-musulmane fait de longue date peser une insécurité devenue de notoriété nationale. Le fonctionnaire de l’État, payé avec le produit des impôts versés par les contribuables, se proclamait « scandalisé » par la création d’une milice citoyenne destinée à protéger les personnes et les biens des honnêtes gens, menacés par une racaille trop bien connue et fortement typée. C’était l’archétype de la « mauvaise milice »… c’est tout juste si l’on n’évoquait pas les mânes de feu Joseph Darnand (par ailleurs, héros de 1916-18 et de 1939-40 : huit citations ; déclaré « artisan de la victoire » en 1918 et « premier soldat de France », en 1940 ; il est bon de le rappeler, car beaucoup d’historiens patentés semblent oublier ces faits).
En contrepoint, les pitres de l’hiver 2015-2016 nous vantent les « bonnes milices ». Des musulmans ont décidé de former des piquets près des églises et des temples pour assurer la tranquillité des chrétiens lors des messes de minuit et des célébrations diurnes du culte. Je vois d’ici le regard et le coup de gueule de mon père si on lui avait fait le coup ! Mon grand-père maternel, mort des suites de ses blessures de la Grande Guerre, n’avait guère l’occasion de sortir de chez lui avant de mourir un quart de siècle avant ma naissance, mais mon autre grand-père, qui avait fait – et plutôt honorablement - les deux guerres, en serait mort, soit de colère, soit d’un éclat de rire homérique.
En France, christianisée depuis près de deux millénaires, des musulmans – repoussés avec pertes et fracas il y a 12 siècles et réintroduits subrepticement il y a 40 ans par des politiciens, car l’on « fête » cette année le 40e anniversaire du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des travailleurs immigrés – osent jouer les « bons Samaritains » (qui sont des Juifs ultra-orthodoxes n’acceptant que la Torah)… alors même que ce sont des musulmans qui pillent, vandalisent, incendient églises, temples et synagogues, qui ravagent des cimetières chrétiens, qui tuent, violent et mutilent des Blancs et des Blanches.
Que les bons apôtres musulmans caressent rudement l’échine et nous débarrassent définitivement – de quelque façon que ce soit - de leurs rejetons maudits, pillards, vandales, incendiaires, violeurs, assassins, terroristes : OUI, mille fois OUI. Cela épargnera du temps et de la peine aux forces de l’ordre. Mais qu’ils ne viennent pas, CHEZ NOUS, jouer la comédie du gentil, du douceâtre, du « faiseur de beau geste », des « pères nobles » (alors qu’ils se sont avérés totalement incapables d’éduquer leurs rejetons, de les policer, de les amener au niveau minimal de civilisation) !
Hélas, il est des « Français » de souche, même des prêtres pour saluer cette « délicate initiative » ! Comme l’écrivait Jean Cau : « Nous sommes devenues les précieuses ridicules sodomisées »… enfin, certains capons et certaines femelles se comportent de cette façon. Il ne faudrait surtout pas que les musulmans, à la condescendance hautaine, jugent la masse des Français à l’aune des collaborateurs, des dhimmis et des soumis.
2015 fut l’année de la haine musulmane (en lecteur – peu sympathique, voire même franchement hostile - du coran, je me refuse à dissocier l’islamiste du musulman, puisque le djihâd est un impératif catégorique pour « tout musulman en bonne santé »). 2016 pourrait devenir bien moins paisible pour certaine communauté si ses rejetons pourris recommençaient à assassiner du Blanc pour le plaisir, que ce soit celui d’allah ou celui de ses tueurs. La patience, la mansuétude, les bonnes manières de gens hautement civilisés, face à des barbares, ont leurs limites, qu’il serait hasardeux de surestimer.
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mercredi, 06 janvier 2016
François Hollande-Émile Loubet : la continuité dans le changement.
Dr Bernard Plouvier
Certes, la Constitution de 1875 a été remplacée moult fois (elle fut remaniée en 1879, 1884, 1926, avant d’être abolie en 1940) et l’actuelle, celle de 1958, remaniée en 1962, fait de nous les (mal)heureux citoyens d’une Ve République, de plus en plus vacillante, entrée en état d’agonie, par l’indignité d’une foule de politiciens corrompus, voire repris de justice, et par leur totale incapacité à résoudre les vrais problèmes actuels : chômage d’une ampleur inédite, destruction progressive de l’industrie française, fiscalité écrasante, insécurité liée à une racaille immigrée pléthorique ainsi qu’au fanatisme musulman qui nous ramène à la pire époque médiévale.
Toutefois, la ressemblance est frappante entre le Président Émile Loubet (qui somnola au Palais de l’Élysée de février 1899 à février 1906, soit à la pire époque de l’affaire Dreyfus : lors de la phase d’assouvissement de la vengeance du « syndicat dreyfusard ») et notre merveilleux Président. Durant toutes ses années de présidence, Loubet ne se manifesta que par sa haine du catholicisme et par son activité « d’inaugurateur des chrysanthèmes » : c’est pour lui que l’expression fut créée, reprise soixante ans plus tard par Charles de Gaulle qui, dans ses écrits et ses discours, ne citait jamais ses sources.
Notre Loubet-bis se caractérise par une vigoureuse action contre ce qu’il considère comme l’ennemi public N° 1 de la France : le Front National, et par une activité débordante d’inaugurateur de plaques commémoratives, de cérémonies expiatoires, de célébrations funèbres et de commémorations d’icelles, une année plus tard, enfin de remises de décorations. En janvier, il célèbre l’anniversaire des premiers massacres parisiens perpétrés par des fous d’Allah ; en décembre, il en fera autant avec la seconde série, où les djihadistes ont décuplé leur score. Entretemps, il aura pu déplorer dignement les autres attentats dont il a prédit la survenue lors de ses « vœux », durant lesquels il a félicité les Français de leur grande victoire… sur le Front National, à défaut de pouvoir célébrer une victoire contre le chômage, contre le terrorisme ou contre l’État islamique. On a les victoires qu’on peut, surtout lorsqu’on manque de capacités et de munitions.
Tout cela est excellent pour sa grimpette périodique dans les sondages d’opinion. Hélas, monsieur « Je vais résorber le chômage en 2016 » (comme il l’avait promis pour les années 2013, 2014 et 2015) n’étant guère brillant sur ce point fort délicat, les scores de popularité s’effriteront jusqu’à la nouvelle cérémonie commémorative ou le prochain attentat qu’il condamnera dignement, ce qui inversera de nouveau la tendance. Les Montagnes russes de la popularité présidentielle nous amèneront doucement aux prochaines présidentielles, à moins que la guerre raciale et religieuse n’ait, d’ici là, dégénéré en authentique guerre civile.
Car, pendant que notre beau Président inaugure, décore et commémore, les Français de souche européenne continuent à souffrir de la très durable crise économique, à vivre dans l’angoisse des attentats contre les biens et les personnes. Au cours de l’année 2015, l’on a assisté à une spectaculaire augmentation des agressions physiques (ayons une pensée émue pour les oubliés de la propagande officielle : les Français poignardés, les innombrables femmes et jeunes filles violées, les passants et usagers des transports publics molestés, et même – c’est une nouveauté – les vieillards, malades et infirmes menacés d’incendie par le sabotage de l’installation électrique d’un petit hôpital). Parallèlement, les vols à l’arrachée, les cambriolages, les actes de vandalisme se sont multipliés.
Mais au ministère de l’Intérieur on s’est surtout ému de l’augmentation des « actes antimusulmans », soit des slogans et défilés de citoyens exaspérés. Le saccage de dizaines d’églises, durant l’année 2015, n’est guère mentionné par nos brillants ministres, mais le saccage d’une « salle de prières-salle de sports » (eh oui , dans certaine religion, il arrive qu’on mêle les genres : après tout quand on prône le Djihad, il est bon d’entraîner les ouailles aux sports de combat) est condamné avec une virulence proportionnelle aux espérances de soutien financier en provenance de la péninsule arabique (où l’on commence à entrer en récession du fait de la persistance des faibles prix du pétrole).
Loubet, par ailleurs financièrement honnête, avait gagné la reconnaissance de ses confrères politiciens corrompus en protégeant, par le secret de l’instruction les « Chéquards du Panama ». Notre bon Président semble n’avoir pas trop sévi envers les repris de justice de son Parti. Ces messieurs de la Ve ressemblent de plus en plus à ceux de la IIIe. C’est inquiétant, car ce troisième avatar avait fini dans l’abjection, par la plus écrasante défaite de notre histoire et l’invasion du territoire national.
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lundi, 04 janvier 2016
Existe-t-il une xénophobie en France ?
Dr Bernard Plouvier
Comme pour tout sujet, quelle qu’en soit la nature, il faut commencer par une définition… ce que ne font jamais nos pitres politico-médiatiques, qui pratiquent le flou artistique soit pour mieux tromper le public (qui est, de fait, d’une crédulité confinant parfois au crétinisme), soit parce qu’ils sont eux-mêmes des ignares, adeptes du psittacisme.
Xénophobie est un terme forgé du grec antique et signifie : peur de l’étranger. Nos grands ancêtres Grecs et Romains méprisaient les Barbares et en avaient peur, car ces Barbares étaient fort nombreux, même si leur organisation militaire et leurs connaissances techniques étaient nettement inférieures aux leurs… la cuisine, l’urbanisme et le luxe des Barbares étant parfois supérieurs : c’était une cause de faiblesse et non de force !
À l’évidence, les étrangers – du moins en période de paix, car on sait ce qu’il advint des envahisseurs à toute époque – ont toujours été bien accueillis à titre individuel dans notre pays. Certes, divers chroniqueurs US et germains se sont plaints d’un soi-disant mauvais accueil des commerçants français… mais qui a fréquenté des touristes US loin de chez eux – surtout s’ils ont laissé leur mégère à domicile – comprendra aisément la réserve voire la discrète irritation de Français réactionnelle à la goujaterie, l’arrogance et au débraillé de certains touristes US, comme d’ailleurs de certains allemands.
À toute époque et en tout pays, l’on a connu des marchands mal lunés mais en petit nombre, incomparablement inférieur aux praticiens du « sourire commercial » ou de l’affabilité parfois pesante. Il existe même en France des fonctionnaires sympathiques, voire serviables, et en plus grand nombre qu’en Allemagne, en Italie ou en Belgique… les Suisses et les Autrichiens étant généralement fort courtois et plutôt patients.
Les immigrés d’origine asiatique (Chinois, Coréens, Japonais et Indochinois) n’ont guère à se plaindre d’un éventuel mauvais accueil. Calmes et travailleurs, courtois et discrets, ils sont fort bien perçus par les Français de leur voisinage, d’autant que les jeunes manient en virtuoses (à la différence des grands-mères qui restent cloîtrées chez elles) la langue française. Ils ont même la remarquable courtoisie de régler en interne les problèmes de délinquance de leurs (inévitables) rejetons mâles indociles, beaucoup moins fréquents que les écoliers, lycéens, étudiants asiatiques discrets, intelligents et travailleurs. N’aurions-nous eu que cette seule immigration que jamais aucun problème ne se serait posé. La France (et l’Europe occidentale) s’est indéniablement enrichie en les accueillant.
Un peu plus de 41 années d’exercice de la médecine en hôpital public m’ont prouvé que les étudiants d’origine extra-européenne n’avaient pas à souffrir d’une quelconque xénophobie de la part des médecins de souche européenne et qu’ils bénéficiaient de la même qualité d’enseignement que leurs collègues nés Français de souche européenne.
Je n’ai jamais constaté la moindre répugnance d’un patient français de souche européenne à se faire interroger puis examiner par un étudiant ou un médecin diplômé d’origine extra-européenne. Il en va différemment pour les malades maghrébins face à des Noirs, qu’ils considèrent généralement comme « une race d’esclaves » : j’ai entendu cette ritournelle plus de cent fois. Abid en arabe signifie indistinctement noirs et esclaves, m’a expliqué l’un de ces racistes qui n’avait, sur sa table de nuit, qu’un livre : le coran. Plus tard, j’ai appris que, depuis le VIIIe siècle, de « savants » auteurs de langue arabe utilisaient indistinctement le pluriel abid pour désigner esclaves et Noirs ! De même, si les Noirs acceptaient de se faire soigner par des Blancs ou des Asiatiques, ils ne faisaient pas trop confiance aux Maghrébins… allez savoir pourquoi ?
La peur des étrangers, en tant que tels (ce qui définit la xénophobie), est-elle diffuse en France ? Non, du moins en période de paix. Mais sommes-nous encore en paix ? Sûrement pas !
Depuis le début des années 1980, il existe un état subintrant de guérilla civile dans des dizaines de villes de France. Cette guérilla a été débutée, est constamment entretenue par des voyous issus de l’immigration africaine (noire et maghrébine), avec la complicité active de politiciens, initialement simples démagogues, devenus ensuite des clients d’évergètes islamo-pétroliers. Vivre dans l’insécurité, avoir peur d’être la victime d’un énième épisode du terrorisme aveugle islamiste, ce n’est pas de la xénophobie, mais une légitime inquiétude.
Enfin, il faut dire un mot du racisme qui – à la différence de la xénophobie, qui s’apparente à un complexe d’infériorité – est lui-même une manifestation de paranoïa collective, soit un stupide complexe de supériorité. Ce racisme existe en France : c’est le racisme anti-Blancs et anti-Asiatiques de nos honorables immigrés-envahisseurs d’origine africaine et proche-orientale, comme chacun ayant des yeux et des oreilles peut quotidiennement s’en rendre compte.
La sémantique et le bon sens ont leurs exigences. La Nation – du moins dans ses couches les moins abêties par la grotesque propagande gouvernementale – commence à s’en apercevoir. C’est un peu tard, mais « mieux vaut tard que jamais », dit-on.
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dimanche, 03 janvier 2016
Hercules de foire ou Tartarins ?
Dr Bernard Plouvier
Il y a quelques années, lorsque j’étais encore chef de service hospitalier, un monsieur ordurier à la fois plus grand et beaucoup plus gros que moi m’avait menacé, en dépit de mes explications claires et répétées, de « m’écraser la g… » si son épouse, mourante d’un cancer, ne « guérissait pas vite ». N’étant pas précisément patient, j’ai enlevé mes lunettes – remises à la jeune interne que le gros monsieur avait initialement injuriée -, j’ai fermé les poings et l’ai assuré que j’attendais le premier coup pour riposter… et le matamore est parti en maugréant. Cela m’avait fait souvenir d’une phrase de mon grand-père paternel sur « les coqs de villages qui était parfois de simples chapons »… j’avais 7 ans et n’avais rien compris, mon aïeul m’assurant que « je pigerai plus tard ».
Nos glorieuses opérations aéronavales en méditerranée orientale et dans l’espace aérien de Syrie me font évoquer ces deux épisodes et cela n’a rien de risible. Sous Napoléon Ier, l’armée française était la meilleure de la planète, mais Napoléon était un logisticien, un tacticien et un stratège d’exception (hélas moins intéressé par le perfectionnement technique des armes). En 1918, l’on pouvait affirmer que l’armée française – bien qu’elle ait été conduite par des ânes ou des assassins, à l’exception des Lanrezac, Pétain et Franchet d’Espèrey – avait au moins fait jeu égal avec l’armée impériale allemande.
En 2015, une vingtaine de jours d’opérations auront suffi à tarir les provisions de bombes et de roquettes ! En outre, l’étude balistique précise de l’assaut du RAID contre un repaire d’assassins djihadistes – le grand spectacle télévisé de la fin de l’année - a démontré que sur les milliers de balles tirées, aucune (soyons gentils : « très peu ») n’avait touché les cibles visées !
Alors se pose une question angoissante. Faut-il féliciter nos militaires de « leur sang-froid » lorsqu’ils ne tuent pas un fou furieux qui attaque à la voiture-bélier un piquet armé de garde… ou faut-il incriminer un défaut d’entraînement au tir ? En temps de guerre – et nous y sommes -, l’essentiel est d’exterminer l’ennemi tant qu’il est armé (et une voiture-bélier est une arme bien plus redoutable qu’une « Kala » manipulée par des néophytes qui ne savent pas contrôler le tir de leur arme).
2016 commence… et l’on peut parier que, même si nos « chefs » sauront manipuler en virtuoses les media et se montrer de nouveau des rois du lamento et de l’imprécation lors des prochaines tueries de djihadistes, les Français de souche européenne, cibles visées prioritairement par les assassins susnommés, vont « déguster » et qu’ils ne seront même pas vengés.
De Gaulle était fort critiquable dans ses choix et n’a pas fait son devoir de chef en 1944-46 ou de 1958 à 1962, alors qu’il se devait de réconcilier les Français après deux guerres aux effroyables conséquences morales. Du moins, était-il un chef ; il l’a démontré en juin 40. Nos « chefs » actuels ne lui ressemblent guère ; on les comparerait plus volontiers au Tarasconnais des contes d’Alphonse Daudet.
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samedi, 02 janvier 2016
La France Hollando-vallsienne : Titanic ou radeau de La Méduse ?
Dr Bernard Plouvier
Pour fêter le passage du cru 2015 (celui des attentats les plus meurtriers jamais provoqués en Europe par des musulmans) à celui de 2016 (où l’on peut craindre pis encore, du fait de l’extrême mollesse de la réaction gouvernementale), l’on a assisté aux traditionnels incendies volontaires de poubelles et de véhicules à moteur… mais aussi, et c’est de l’inédit, au sabotage délibéré des installations électriques d’un hôpital.
Du côté de chez Cazeneuve, l’on joue les glorieux : SEULS 804 véhicules auraient été brûlés volontairement par la racaille dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier ! Mais l’on sait que les chiffres du ministère sont parfois « légèrement » minorés, pour éviter tout désagrément, tout grincement de dents du côté du bon peuple.
Et l’on se gargarise : cela fait 15% de véhicules détruits - par l’effet de la haine, de la bêtise, du vandalisme gratuit - en moins qu’au réveillon de l’an 2014. Pour obtenir ce grandiose résultat, il aura fallu mobiliser 110 000 policiers, gendarmes et militaires, en plus de 34 000 pompiers, soit des effectifs bien supérieurs à ceux de l’année précédente. À ce train là, si l’on veut passer en dessous de la barre des 500 véhicules incendiés, il faudra mobiliser un demi-million de membres des forces de l’ordre dans 12 mois. Il y a réellement de quoi pavoiser.
Mais il y a pire. Pour la première fois dans l’histoire de France – hors temps de guerre – un hôpital a été délibérément visé, par le sabotage de ses installations électriques de façon à ce que se déclenche un incendie. Ce type d’attentat, qui avait pour finalité de tuer ou de meurtrir davantage encore des malades et des invalides, est une véritable profanation civique. Seuls des fanatiques, des fous dangereux, des bêtes nuisibles peuvent oser s’en prendre à nos malades, hospitalisés alors que le reste de la population fête en famille la fin d’une année pénible entre toutes.
Pendant que la France coule, nos brillantissimes politiciens disputent d’une possible, éventuelle – si « antidémocratique » qu’elle fait pleurer les margots de gauche et hurler de rage les chevaliers du renoncement national (selon l’expression gaullienne) – déchéance de nationalité pour les auteurs d’attentats terroristes et leurs très nombreux complices actifs et passifs.
Ce n’est pas de la suppression d’une nationalité, que rejettent ipso facto les immondes assassins en souillant le territoire national de leurs crimes, qu’il faut discuter, mais de la suppression physique des assassins et de tous leurs complices, qu’ils agissent par fanatisme religieux ou politique, ou par l’effet de la bêtise la plus crasse jointe à la joie de nuire à autrui.
La France coule et nos élus discutent du nouveau sexe des anges : doit-on on non amputer du bénéfice de la double nationalité et de l’immense honneur d’être citoyen français des personnages ignobles ? Byzantinisme ridicule et abject. C’est le Salut Public qui est en jeu. Il n’est plus question de querelles d’esthètes. Il faut rétablir immédiatement la peine de mort et mettre le pays en état de loi martiale. Ce qui commence par la réduction immédiate des deux milliers de cités de non-droit établies en France métropolitaine par la racaille issue de l’immigration.
Si notre ventru Président ne s’en sent pas capable, qu’il cède sa sinécure élyséenne. Quant à la fraction non aveulie du peuple français de souche européenne, il doit être prêt à répondre à un ordre de mobilisation. Bien dirigé le Titanic n’eût pas coulé. Bien gouvernés, les Français peuvent redevenir dignes de leurs ancêtres et préparer un avenir meilleur pour leurs enfants et leurs petits-enfants, tout en protégeant efficacement leurs vieillards et leurs malades.
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jeudi, 31 décembre 2015
Le Grand Cru 2015…
Dr Bernard Plouvier
Le Grand Cru 2015… n’est probablement pas ce qu’on croit. Certes, on y a vu un grand spectacle politico-médiatique : le recyclage des déchets judiciaires couplé au sauvetage in extremis de nos excellences.
Les élections de décembre ont permis à la gauche mondialo-globaliste de se partager les prébendes régionales avec la droite globalo-mondialiste… cela fait autant de sponsors rassurés dans l’attribution des juteuses commandes officielles, couplées aux rentrées – discrètes, mais bien réelles – de Bakchich (en période d’islamisation-africanisation accélérée du pays, il importe d’utiliser, dès à présent, la nouvelle sémantique : on ne doit plus dire pot-de-vin, trafic d’influence, concussion ou autre synonyme de prévarication, il suffit d’adopter la terminologie immigrée).
À la tête du Parti de gouvernement, se succèdent des repris de justice, tandis que les honorables fils de nos excellences jouent au poker en prison. Bien mieux, pour affronter le FN, on ressort le plus capé des politiciens « de gauche » : un milliardaire ex-ministre qui a fait quelques mois de prison et qui se dit « ruiné » depuis plus de vingt ans, tout en demeurant un très riche propriétaire foncier. Avec le millionnaire du Front de gauche, ça va faire une drôle de paire de recruteurs de voix prolétariennes. Bien mieux, on vante les qualités d’un ex-repris de justice de la droite molle islamo-collaboratrice, celui qui, après une inéligibilité prononcée par de vilains juges, renonça à la politique puis revint faire de Bordeaux une grande métropole de l’islam. Mais tout cela – et quel que puisse être l’écœurement provoqué par leur retour, chez les gens dotés de conscience éthique – n’est rien… après tout, on ne nous a pas encore imposé la rentrée du vieux, gros et moche libidineux, chassé du FMI et qui accumule les poursuites judiciaires financières.
De même l’immonde terrorisme musulman - le Djihâd étant inscrit en toutes lettres dans les stipulations coraniques, un lecteur doté d’yeux et de jugeote ne peut ni ne doit différentier islam et islamisme - n’est pas une nouveauté. Dès le XIe siècle, l’islam fut terroriste, c’est-à-dire tua des innocents pour faire peur aux chefs d’État ou aux populations… allez étudier les exploits des Haschischins du Vieux de la Montagne ou ceux de l’immonde Tamerlan, l’inventeur des pyramides de têtes coupées, érigées en l’honneur d’Allah le tout-puissant et le miséricordieux. 2015 fut un cru classé de la barbarie musulmane en France. Certes ! Mais, en 2014, l’on avait connu le « surinage » de policiers à Joué-lès-Tours en plus d’attaques diverses de touristes sur les marchés de Noël ou de vandalisme d’églises par des crapules islamiques. « Français, vous avez la mémoire courte » !
Cela fait 35 ans que l’on connaît émeutes raciales, viols en tournante, rackets divers, vols et violences physiques de tous types, incendies volontaires et « caillassages » de pompiers et de policiers perpétrés par des barbus dont le joli coloris évoque l’origine exotique… et que l’on ne vienne pas nous taxer de racisme ou de xénophobie : les Asiatiques, calmes et travailleurs, n’ont jamais eu à souffrir du moindre problème en France car ils l’ont enrichie par leur labeur et leurs qualités humaines.
Non, 2015, c’est tout autre chose : c’est le retour de la Russie sur la scène internationale et c’est autrement plus intéressant et plus prometteur pour un Européen de souche. Désinformés comme ils le sont, nos chers compatriotes ignorent probablement que Wladimir Poutine a réglé en un rien de temps la guerre de Tchétchénie, alimentée depuis le début des années 1990 par les Saoudiens. Lorsqu’en août 2008, l’armée de Géorgie, entraînée, équipée par les USA et l’État d’Israël a envahi l’Ossétie méridionale, la 58e armée russe a balayé Georgiens et conseillers militaires US en 5 jours, tout en respectant les civils… ce qui fait un singulier contraste avec les actions US et israéliennes au Proche-Orient.
Quelques unités russes sont intervenues en ce cru 2015 dans le bourbier irako-kurdo-syrien, créé puis entretenu par US, Israéliens, Saoudiens, Iraniens et Turcs. Du coup l’Iran a retourné son caftan… et les Chinois sont arrivés en Méditerranée orientale. S’est-on assez ébaudi parce que le porte-avions chinois n’avait que quelques hélicoptères de combat et pas d’avion lorsqu’il a passé le Canal de Suez pour croiser au large des côtes syriennes en attendant que le Génie russe élargisse le chenal d’accès et le port militaire syrien.
Or, l’Océan Pacifique n’a de pacifique que le nom, surtout dans sa partie orientale et pour apprendre à des néophytes de l’Aéronavale la technique du décollage et surtout de l’appontage sur porte-avions, mieux vaut des eaux calmes. Celles de la Méditerranée orientale, par exemple, où l’ami russe dispose d’excellents instructeurs et où l’exiguïté empêche l’US-Navy de trop jouer à l’agent perturbateur, d’autant que les armes russes sont au moins équivalentes sinon supérieures en qualité à celles des US… bien sûr, on nous a gavés de films hollywoodiens où un Rambo détruisait seul (ou avec une frêle jeune fille) des bataillons entiers de Spetsnaz (les troupes d'élite russes), mais la réalité dépasse généralement la fiction.
Bientôt Hussein Obama, le crypto-islamiste nanti d’un Prix Nobel de la paix dès son entrée en fonction, quittera la scène après avoir détrôné en presque tous pays d’islam les vieux potentats, corrompus, certes - guère plus en fait que le moindre de nos seigneurs de la Ve République agonisant dans l’abjection -, mais surtout assagis par l’âge. Un adage de belle source nous apprend que c’est aux fruits que l’on doit juger l’arbre. Obama nous a fait présent du terrorisme islamique le plus abject du monde moderne (car le médiéval avait déjà été bien servi). Adieu donc Hussein et tâches de te faire oublier !
S’ouvre le règne de la Russie, débarrassée de l’abjection communiste et des mafias de toutes sortes, pas encore amollie par la richesse, pleine d’une vigueur juvénile. 2015 est un Grand Cru européen, qui en annonce d’autres, meilleurs encore.
10:24 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |