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vendredi, 05 février 2016

Nos chers immigrés : déracinés ou transplantés ?

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Dr Bernard Plouvier

D’abord, il faut s’entendre sur l’adjectif accolé aux immigrés d’origine africaine et proche-orientale. Officiellement importés pour travailler, voire « financer les retraites des vieux Européens », ces immigrés coûtent beaucoup plus qu’ils ne rapportent aux États et aux Nations d’accueil (les chiffres ont été publiés par Yves-Marie Laulan et son Institut de Géopolitique des Populations).

Le produit du travail de ceux d’entre eux qui ne chôment pas est nettement inférieur au coût des allocations-subventions et de la construction d’infrastructures, vite dégradées par bêtise, négligence ou vandalisme, à l’exportation de capitaux vers les continents d’origine, enfin à l’énorme surcoût des actes de guérilla civile constatés depuis le début des années 1980. Tout cela est bien connu : nos immigrés d’origine africaine et proche-orientale nous sont chèrement onéreux… à la différence des immigrés extrême-orientaux calmes, travailleurs, inventifs.

Si l’on avait pris l’initiative de renvoyer en leur pays d’origine ces immigrés pour raison économique dès que le chômage massif s’est abattu sur les pays d’Europe occidentale et danubienne, l’actuelle situation économique et sociale serait plus claire et l’avenir moins préoccupant.

D’autre part, il est évident qu’un immigré honnête, travaillant de façon efficace, et dont les enfants se comportent en êtres civilisés, est infiniment plus utile à nos pays européens qu’un autochtone bon-à-rien, pilier de bar, philosophe de la canette et chômeur professionnel. Contrairement à ce que l’on voit écrit ici et là depuis l’An 2015, première année de la nouvelle invasion islamique, l’immigré pour raisons économiques est probablement moins nocif que le « réfugié politique ».

Toutefois, cet immigré est, par définition, un déraciné, ce qui ne manquera pas de poser problème, sauf désir et possibilité d’assimilation véritable à la Nation d’accueil, à ses usages et à ses lois. Un groupement étranger de grande taille dont les membres refusent de se reconnaître dans les us et coutumes du pays d’accueil ne peut qu’être un danger pour la Nation autochtone. Il convient de renvoyer à l’expéditeur ces êtres déracinés, refusant de s’adapter ou qu’il est impossible d’assimiler.

L’An 2015 nous a offert un autre spectacle, très mal analysé par les pitres des media et de la politique : celui d’un authentique essai de transplantation, si l’on préfère la greffe de nouveaux conquérants sur un ensemble de peuples avachis. Et c’est bien autre chose.

Expédiés, voyage payé, par des bienfaiteurs du monde islamique (les nababs du pétrodollar), ils se comportent en minorité turbulente (vols, vandalisme, agressions physiques et viols, rébellion contre les forces de l’ordre), en attendant de manifester le but réel de leur venue : faire passer de la théorie à la pratique la notion de Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Il est évident que les émirs et roitelets du pétrole et leur Frankenstein, le calife Abou Bakr II de Mossoul, ne s’attendent pas à une victoire immédiate, mais au contraire à une guerre longue. Toutefois, ils ne doutent pas un instant que ce Djihâd ne soit suivi d’une totale victoire en Europe faible et aveulie.

Les transplantés de l’islam ne sont pas déracinés : ils sont venus implanter le Dâr al-Islam en Europe. Il est grand temps de s’en préoccuper. L’avenir de nos enfants et petits-enfants, autant que l’honneur exigent une puissante réaction populaire. Il serait sot d’attendre quoi que ce soit du milieu politique occidental, abêti et / ou corrompu.

09:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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