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mercredi, 15 juin 2016

Quand va-t-on comprendre, en Occident, que la guerre des races et des religions est en cours ?

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Dr Bernard Plouvier

Combien faudra-t-il encore d’attentats, d’assassinats d’Européens de souche, civils ou policiers, combien de viols en série, pour que même le plus borné, le plus idéaliste des citoyens comprenne que l’Europe est en état de guérilla civile permanente depuis une demi-douzaine d’années ?

Il est évident que les gouvernements d’Occident ont eu grand tort d’aider les monstres de bêtise ou de cynisme de New York et de Washington à mettre le Maghreb et l’Afrique noire, le Proche- et le Moyen-Orients à feu et à sang. Mais ce sont les sieurs Sarkozy et Hollande, Blair et Cameron, ainsi que d’autres pions des USA qui, en, bonne logique, devraient servir de cibles aux terroristes nationalistes, arabes et africains, et aux islamistes.

Or ceux-ci ont privilégié l’attaque des obscurs citoyens, en représailles des victimes civiles d’Afghanistan, de Libye, de Syrie et d’Irak. Effectivement, le chiffre des morts par « dommage collatéral » ou par le blocus économique de ces pays lointains semble atteindre le million.

En quoi les peuples d’Europe sont-ils coupables de ces morts ? C’est bien difficile à dire. Seuls ceux qui ont voté pour tel ou tel pantin manipulé de New York ou de Washington pourraient à la rigueur être jugés responsables… mais aucun électeur ne pouvait deviner que le guignol qu’il avait soutenu allait engager les forces armées contre des objectifs strictement dépourvus d’intérêt national.

La vengeance aveugle est la pire des stupidités. Au racisme anti-Blancs et à l’islam djihadiste, il est possible de répondre par des mesures draconiennes. Pour l’instant, on ne s’y essaie pas dans cet Occident amolli, aveuli par un demi-siècle de propagande à l’eau de rose. Bien au contraire, on accumule les inepties.    

Presque partout, en Occident, l’on engage massivement des rejetons de l’immigration musulmane dans les forces de police, dans l’armée, dans le gardiennage de prison (où 80% des enfermés sont issus de l’immigration). Pire, les vigiles privés sont majoritairement recrutés dans le vivier où le Djihâd embauche : des jeunes issus de l’immigration exotique (variante : « des minorités ethniques »)… l’on retrouve cette même curiosité au Bataclan, en novembre 2015, que dans la boite pour invertis d’Orlando, en juin 2016 ! Quelqu’un va-t-il, un jour, tirer la leçon d’un passé trop proche pour qu’on ait eu le temps de l’oublier ?

La guerre civile est un jeu dangereux qui peut se jouer à plusieurs. Il est très périlleux, lorsque l’on est minoritaire dans un pays, de s’attaquer à la majorité. De silencieuse et assoupie, elle peut passer à l’état d’éveil furieux.

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jeudi, 09 juin 2016

Les chefs des syndicats, en France, sont-ils au-dessus des lois ?

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Dr Bernard Plouvier

Il peut paraître inapproprié, mais pas tout-à-fait ridicule comme on va voir, d’assimiler les dirigeants syndicaux et leurs nervis à des « terroristes ». En revanche, il n’est que trop juste d’affirmer qu’en Hollando-Vallserie, ces individus se placent volontairement au-dessus des lois, ce qui revient à dire qu’ils sont hors-la-loi.

Depuis près d’un mois, et alors que des catastrophes naturelles frappent lourdement la Nation française, des dinosaures de la lutte violente des classes au profit non des travailleurs mais de la seule sauvegarde de leurs emplois de permanents syndicaux, perturbent gravement l’activité économique du pays, défient les (lamentables) élus nationaux et, ce qui est infiniment plus grave, transgressent les lois en parfaite impunité.

Parmi les nombreux droits de l’homme que des idéalistes parfois éthérés, voire alcoolisés ou soumis à d’autres paradis artificiels, ont dressée, l’on trouve le droit au travail, le droit à la libre déambulation, le droit à la protection des individus par l’État lorsque leur santé ou leur sécurité sont gravement menacées, le droit de jouir en bons pères et mères de famille de leurs biens. Tout cela est foulé aux pieds par des personnages ivres de pouvoir et de joie de nuire à autrui.

Les dirigeants syndicaux décident la grève pour leurs affiliés ; c’est leur droit. Ils interdisent l’accès aux usines, aux bureaux et aux engins de service des autres travailleurs, qui refusent de participer à la mascarade d’une grève démagogique et politique, et ce au moyen de piquets de grève, où l’injure et la menace sont de mise. C’est une atteinte grave au Droit au travail, un droit jugé fondamental par toutes les institutions internationales.

Les dirigeants syndicaux décident la grève dans les services publics. Ce devrait être interdit pour deux excellentes raisons. Ces services sont la propriété de la Nation, seul souverain légitime de l’État ; il est donc hors de question d’y fomenter une grève sans avoir pris l’avis de l’ensemble de la Nation qui est à la fois propriétaire et usager de façon collective. Ces services forment les infrastructures indispensables à la vie de la communauté nationale. Il ne peut, en aucune façon, être question de prendre l’ensemble de la Nation en otage. C’est effectivement faire acte de terrorisme : le mot, qui paraît de prime abord excessif, devient juste quand la Nation subit de graves atteintes à ses droits, voire des risques potentiellement mortels.

Il est intolérable que des dirigeants syndicaux osent réduire considérablement la fourniture publique d’énergie – en perturbant la production d’électricité – ou l’accès des particuliers à une source d’énergie – en perturbant la fabrication et la distribution des carburants.

Il est proprement scandaleux que des syndicalistes paralysent les transports publics, gênant considérablement la vie des travailleurs, des enfants scolarisés et des malades devant se rendre en centre de soins.

Il est grotesque, déshonorant pour la Nation et dangereux pour la Santé publique que des syndicalistes arrêtent le ramassage des ordures ménagères. Du fait de cette ignominie, des villes françaises ressemblent désormais aux bidonvilles d’Afrique ou d’Amérique latine.

Prendre la Nation en otage, c’est effectivement faire acte terroriste. Paralyser les services publics, c’est se moquer de l’État et de la Nation, soit faire acte de Haute-trahison en période de très grave crise économique (faut-il rappeler que la France compte 5 millions de chômeurs ?). Interdire aux libres citoyens de France de travailler, de déambuler, d’accéder aux lieux d’enseignement et de soins, c’est se placer hors-la-loi.

L’ennui, c’est qu’il n’y a plus d’État, mais un Président qui joue à l’adolescent en quête de popularité et qui a décidé d’entrer en campagne pré-électorale, des ministres déconsidérés par d’idiotes déclarations, éclaboussés par une accumulation de scandales et qui ont prouvé, même au plus idiot des citoyens, leur incompétence et leur inefficacité.

Dans la gabegie hollando-vallsienne, nul ne sera étonné qu’un lobby défie l’État, en toute impunité, n’ayant en face de lui que des politiciens à la dérive et une administration dépourvue de direction. La Nation souveraine est ainsi dépossédée de ses droits, en plus d’être ridiculisée sur la scène internationale.

Dans tous les pays civilisés, les dinosaures fossilisés dans la lutte des classes et l’étatisation de l’économie ont été mis hors d’état de nuire. Après 100 à 120 millions de morts directement imputables à la sanglante sottise marxiste, nul humaniste ne s’en plaindra.

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lundi, 06 juin 2016

Le « revenu universel » et le bon sens des Suisses

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Dr Bernard Plouvier

L’expérience du XXe siècle, venant après celle des années 1789 sq., s’est chargée de démontrer que la Nation française n’est plus la « plus spirituelle d’Europe », comme l’avait proclamé, au début du XVIIIe siècle, le tsar réformateur Pierre le Grand.

S’est-on assez moqué des Suisses, réputés lents dans l’action et la pensée ? Or, il s’avère que les libres citoyens composant cette Nation refusent l’union des Économies européennes et son triste corollaire, l’Euro, dont l’utilité pratique est évidente pour le voyageur, mais l’est beaucoup moins pour les États en mal d’exportations. Item, la Nation suisse s’oppose à l’accueil massif des immigrants-envahisseurs africains et moyen-orientaux. Cerise sur le gâteau, cette Nation vient de repousser à une écrasante majorité l’immonde stupidité du « revenu universel ».

Le principe du revenu de base est d’allouer annuellement à chaque citoyen une somme (généralement un peu inférieure au SMIG – soit le salaire minimum interprofessionnel garanti), sans contrepartie, par le seul fait d’exister et d’être reconnu citoyen de l’État.

La source de cette manne providentielle est représentée soit par l’excédent budgétaire (ce qui ne se rencontrait en aucun pays, sauf dans les émirats pétroliers, jusqu’à la chute vertigineuse des cours du pétrole brut, provoquée par la profonde stupidité, en matière de stratégie économique, des maîtres des grandes compagnies pétrolières), soit par les bénéfices d’exploitation des Domaines et Régies d’État, soit, enfin, par une augmentation de l’imposition des riches et des grands travailleurs !

Quelles que soient les contorsions verbales des inventeurs et promoteurs de ce « revenu de base », il s’agit à la fois d’un encouragement au parasitisme social, de la dévalorisation la plus grotesque de la notion de travail, enfin d’un cadeau supplémentaire à la grande distribution, puisque ce « revenu » (qui n’est généré par aucun travail et n’est qu’un revenant-bon de naissance) est, à l’évidence, une invitation à consommer davantage… et « à l’œil » (variante « aux frais de la princesse »).

Or, tout a un coût, même la plus crasse démagogie. Le coût de cette ignominie est triple. D’abord, les authentiques travailleurs se voient exploités au profit « de tous », soit d’une majorité de sous-doués, de sous-productifs. C’est à la fois immoral et dévalorisant pour ceux qui œuvrent au mieux de leurs facultés pour enrichir le pays en même temps qu’ils s’enrichissent eux et leur famille par un travail honnête et bien fait.

En outre, on détourne le produit des impôts et des revenus des biens productifs de l’État de leur destination première, si l’on s’en tient à la raison d’exister d’un État (si l’on préfère au contrat social) : créer des infrastructures. L’État n’a pas vocation pour nourrir la paresse et le parasitisme social ; il n’existe que pour gérer et améliorer le Bien commun.

Enfin, cette mesure de basse démagogie fait croire aux imbéciles (étymologiquement, les faibles d’esprit) qu’ils peuvent vivoter sans travailler. C’est nier la grandeur du travail, pour soi-même, pour sa famille, pour la collectivité.

On sait bien que la destruction de toutes les valeurs humanistes est indispensable aux maîtres de la globalo-mondialisation. Seulement, quand les Nations inventives et travailleuses auront été cassées par le nivellement du brassage des races, par l’imposition de la barbarie médiévale islamique-djihadiste, par la démagogie la plus crasse, comment les maîtres du jeu économique feront-ils pour continuer d’engranger de superbénéfices ? On imagine qu’ils ne sont pas sots au point d’ignorer que l’argent, circulant ou virtuel, est devenu factice, que la spéculation boursière est toujours hasardeuse et qu’en définitive, on ne peut s’enrichir de façon faramineuse qu’en exploitant le travail d’autrui.

Dévaloriser le travail, même en ajoutant un gain temporaire aux grands patrons de la distribution, est à moyen terme proprement suicidaire pour nos bons maîtres.    

Bienheureux Suisses qui sont interrogés par les gestionnaires de leur État sur les grands choix de société.

Il n’existe pas de Démocratie en France, où le peuple souverain n’a pas été consulté pour l’abolition de la peine de mort et, à l’inverse, pour son application aux fœtus que des femmes indignes mettent à mort avec la complicité d’un État qui pousse l’abjection jusqu’à rembourser l’acte meurtrier, pseudo-médical, injustifiable au point de vue de l’éthique professionnelle.

Il n’existe pas de Démocratie en France, où le peuple souverain n’est pas consulté sur l’immigration de masse qui confine à l’invasion, avec ses corollaires : l’islamisation de la société, la substitution de population majoritaire dans le demi-siècle à venir.

La Démocratie, c’est non seulement une Justice égale pour tous, citoyens et ressortissants étrangers vivant à l’intérieur des frontières de l’État. La Démocratie, c’est aussi la consultation automatique du peuple, seul souverain légitime de l’État, pour tout choix majeur de société.

La Démocratie n’existe pas en France. En revanche, elle existe en Suisse.

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lundi, 30 mai 2016

Une nécessaire repentance des ex-colonisateurs pour le cas africain ?

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Dr Bernard Plouvier

Il est totalement absurde de reprocher à l’homme blanc d’avoir colonisé les populations d’un continent qui, pour l’essentiel, en étaient restées au néolithique voire au paléolithique, tout au plus au Moyen Âge (pour le Maghreb), quand les Européens y ont importé sciences et techniques.

De même, l’esclavage des Noirs fut d’abord une histoire de « rois nègres » (comme l’on disait alors) et de marchands musulmans et juifs, avec en fin de chaîne l’utilisation de cette main d’œuvre non spécialisée par des Blancs indignes d’eux-mêmes. On peut rappeler que les Britanniques et les Français furent les premiers à interdire le commerce des esclaves, alors que celui-ci perdure, sous des appellations masquées, en terres d’islam… même les experts de l’ONU ont été obligés de le reconnaître au XXIe siècle.

Le Liberia, pays indépendant du Blanc et de sa tutelle politique depuis le milieu du XIXe siècle, et l’Ethiopie, qui fut toujours indépendante sauf de 1936 à 1941, n’ont connu pour le premier que la dictature du parti unique (à partir de 1876), puis des guerres civiles d’une étonnante férocité, où des enfants et des adolescents ont démontré leur barbarie jusqu’en 2003, et, pour le second, le rezzou et l’esclavage jusqu’à leur interdiction par l’occupant italien et les guerres tribales.

Jusque-là, une éventuelle repentance européenne n’est guère appropriée. La création d’infrastructures en Afrique, pour faire passer ce continent de la somnolence médiévale ou de la sauvagerie préhistorique à la modernité, a coûté extrêmement cher aux contribuables européens. L’esclavage ne fut, du côté des Blancs, que l’affaire d’une minorité d’utilisateurs (sauf aux USA, où il fut institutionnalisé : la repentance, de ce côté-là de l’Atlantique est logique). Enfin, les prestations des seuls États noirs indépendants avant la généralisation de la décolonisation n’ont pas démontré une quelconque supériorité humaniste sur celles des États d’Europe, d’Asie ou des trois Amériques.

Pourtant, les menaces que le continent africain fait peser sur l’équilibre écologique, économique et politique de la planète méritent de sérieuses réflexions, voire une certaine repentance de la part de l’ex-colonisateur blanc.

La population africaine actuelle est d’environ 1,2 milliard d’êtres humains, soit 17% de la population mondiale, alors que l’Afrique, au sol et au sous-sol exceptionnellement riches, ne représente que 1,5% de Produit Mondial Brut. Depuis 1950, la population africaine a plus que quintuplé (elle était estimée aux alentours de 230 millions en 1950). L’on a surtout observé une innovation historique : l’urbanisation massive sans industrialisation, avec éclosion d’une énorme ceinture de bidonvilles autour de chaque cité et d’une explosion de criminalité et de délinquance.

En aucun autre continent la fécondité ne reste aussi primitive : au Maghreb, l’indice moyen est de 3 enfants par femme ; il est de 5,5 en Afrique tropicale ; l’indice de l’Afrique australe est intermédiaire. La mortalité infantile a été divisée par trois, même si elle demeure monstrueusement plus élevée qu’en Europe ou en Amérique du Nord.

En outre, le départ du colonisateur blanc s’est accompagné d’une effarante corruption des soi-disant élites, de la dégradation des infrastructures rurales et des quartiers périphériques des villes, d’un extraordinaire recul du maintien de l’ordre. Parallèlement, l’islam progresse du Nord au Sud à une vitesse effarante, recrutant d’excellents combattants pour sa violence djihadiste : les Africains noirs sont robustes, téméraires et prêts à tout pour échapper à une vie miséreuse.

La cause unique de la monstrueuse inadéquation d’une croissance démographique et d’une économie lamentable, c’est à l’évidence l’intervention intempestive de la technologie occidentale ! La baisse de la mortalité (notamment infantile), le doublement de l’espérance de vie moyenne, sont les conséquences de l’hygiène (notamment dans l’apport d’eau potable et le traitement des déchets organiques), des techniques obstétricales (qui ont quasiment fait disparaître le tétanos ombilical, autrefois endémique), des vaccinations, de l’antibiothérapie, des traitements antiparasitaires et antiviraux.

Autrement dit, l’on a procuré à un continent une technologie médicale moderne, sans inculquer aux populations le mode d’emploi pour obtenir une meilleure vie économique et sociale : faire moins d’enfants pour mieux les éduquer ; pacifier les populations ; apporter le goût du travail et de l’effort au lieu du spectacle des jouissances dans les sociétés évoluées et laborieuses depuis 2 à 3 millénaires… la télévision, pour des individus peu habitués, est une exceptionnelle source de ravages mentaux, en Afrique comme partout ailleurs.

Par humanitarisme mal compris (notamment le stupide dogme du « respect des cultures ancestrales », même ultra-primitives), l’Occident s’est rendu coupable d’un authentique crime contre l’humanité… et commence seulement à en payer les conséquences.  

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vendredi, 27 mai 2016

De l’art de mal gérer le Bien commun : Dette publique et gabegie politicienne.

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Dr Bernard Plouvier

L’un des grands ministres de l’histoire de France (ils ne furent pas si nombreux qu’on puisse facilement les oublier), Jean-Baptiste Colbert (in Maximes générales d’un bon gouvernement) a écrit : « L’impôt, pour être lucratif, doit être simple, d’une perception aisée par un très petit nombre de régisseurs et de comptables, afin de ne point salarier, aux dépens de la nation, un grand nombre d’inutiles, vampires de la société »… en nos jours de traitement informatique des données, l’administration du ministère des Finances en la Ve République française coûte plus cher à l’État que ne lui rapporte l’impôt sur les revenus !

L’impôt injuste, spoliant les grands travailleurs, et l’impôt maladroit, du fait de dépenses ineptes, est la négation même de la notion de Bien commun. L’imposition excessive favorise l’évasion des capitaux. En revanche, c’est une mesure stupide que d’exonérer de l’impôt un citoyen : quels que soient ses revenus, tout citoyen doit contribuer aux dépenses communes, même de façon minime. En outre, tous les gains doivent être imposés, même ceux des jeux et loteries, tandis que le profit des marchés illicites (issus de trafics clandestins ou de la corruption) doit être intégralement confisqué au bénéfice de l’État. Aucune immunité ne doit couvrir les malversations d’élus du peuple ou de fonctionnaires.

L’exemple français contemporain est assez instructif. Selon les données du ministère des Finances, les recettes de l’État, pour l’année 2014, ont été apportées à 56% par les taxes à la consommation, à 25% par les impôts perçus auprès des particuliers, à 13% par les impôts sur les sociétés, à 6% par les bénéfices d’exploitation des régies et Domaines. Les dépenses ont été réparties à hauteur de 25% en allocations diverses (aux associations et aux particuliers), de 12% pour le service de la Dette, 21% pour la Défense et la sécurité publique, 20% pour l’enseignement et la recherche, 22% pour les autres ministères… les dépenses ont très largement excédé les recettes, d’où un accroissement de la Dette ! Les politiciens démagogues sont d’abominables gestionnaires, irresponsables légalement autant que moralement.  

Depuis le début de l’ère mondialiste, divers prédateurs ont inventé une nouvelle forme de racket légal : le Charity business. En l'An 1999, 900 000 associations étaient légalement reconnues par l'État français. En 2003, on a calculé que depuis 1980, elles avaient tiré 308 milliards de Francs de la charité publique et engrangé 166 milliards de subventions publiques (soit l’équivalent de 72 milliards d’euros)… nul ne connaît le montant exact des sommes dépensées en coût de fonctionnement ni celui des détournements à des fins d’enrichissement personnel.  

Étant donné que, par les taxes à la consommation, les impôts sur les revenus et les successions, le bon peuple règle une énorme part de la dépense collective (81%, en 2014, pour l’exemple français), il est logique de prendre son avis, par voie référendaire, pour tout choix de société grevant les finances publiques : immigration massive, subventions aux associations, aide aux peuples attardés, entretien des ex-colonies qui continuent à être des boulets économiques pour la métropole sous l’appellation de départements d’Outre-mer, engagement de nouveaux fonctionnaires, etc… on ne méconnaît pas l’apport de l’impôt sur les sociétés, mais leurs dirigeants sont, eux, très largement écoutés des politiciens et des hauts-fonctionnaires.

Fin 2015, l’État français, peuplé de 64,5 millions d’habitants en métropole et de 2,1 millions dans les succursales extra-européennes, était riche de 5,65 millions de fonctionnaires zélés autant que consciencieux, alors qu’il devait faire face à 5 millions de chômeurs pleins ou partiels ou en « stages » (catégories A, B et C) et à 13 millions de retraités… seul notre Président dodu estime, en 2016, que : « Ça va mieux ».

Un État qui emprunte pour créer des infrastructures utiles (autoroutes, ports et aéroports, rail, télécommunications, production d’énergie au meilleur coût), pour mieux protéger la population et mieux instruire la jeunesse, est bienfaisant. Un État qui emprunte pour nourrir le parasitisme social (immigrés sans travail légal, associations) ou accroître le cheptel des fonctionnaires pour mieux caser les clients politiques et syndicaux est, par essence, un État démagogique et corrompu, appelé à disparaître.

Or, les sommes prêtées par les banques centrales ou supranationales aux États ne sont que de l’argent fictif, alors que le remboursement de la Dette (principal et intérêts) n’est nullement fictif. Chaque contribuable voit ainsi détourné, au profit des requins de la finance cosmopolite, une part de plus en plus considérable de l’argent qu’on lui soutire… alors même qu’un peu partout, les États réduisent les infrastructures en milieu rural ou dans les petites villes ; c’est singulièrement le cas en France.    

Tous les États de la planète, à l’ère globalo-mondialiste, sont surendettés. La Dette mondiale était en 2014 égale à 215% du Produit Brut mondial. En octobre 2013, des experts du Fonds Monétaire international ont recommandé aux maîtres du système de confisquer 10% de l’épargne des particuliers des Nations évoluées, pour éponger le surplus des Dettes étatiques constaté depuis l’effondrement financier des années 2007-2011, induit par l’explosion de bulles spéculatives et l’arnaque made in New York des subprimes.

Les experts ont calculé que pouvaient être ainsi soutirés 11 200 milliards aux libres citoyens des USA, 8 400 milliards aux vaches à lait de l’Union Européenne et 1 700 milliards aux Britanniques (toutes valeurs exprimées en dollars US). Personne n’a osé envisager de faire rendre gorge aux hyper-riches ! On imagine que cette solution sera imposée par les dictateurs populistes qui devront reprendre en mains les destinées nationales, une fois terminée la gabegie globalo-mondialiste.      

Depuis l’Antiquité, les théoriciens estiment que maîtres d’un État ont pour missions de gérer au mieux le Bien commun et de faire évoluer les institutions et les conditions de vie des citoyens à mesure qu’apparaissent les problèmes de fond. Toute réforme de fonctionnement doit être menée avec tact et intelligence, devant toujours être précédée d’une campagne d’information contradictoire, avant d’être soumise aux élus. Les réformes fondamentales (ou de structure) doivent impérativement être proposées pour avis au peuple souverain. Le despotisme éclairé n’est une bonne chose qu’avec des peuples arriérés et incultes.

La démocratie telle qu’elle est pratiquée un peu partout dans les pays de mode de vie occidental, depuis 1830, n’est rien d’autre que l’art de gouverner pour maintenir les privilèges de la caste au pouvoir. « Il est insane et immoral qu’une faction, toute puissante par sa richesse, maîtresse de l’industrie et du commerce, tienne en sa main plus d’un ressort de l’administration publique »… probablement pour éviter l’accusation rituelle d’antijudaïsme, le bon Léon XIII (in Rerum novarum) omettait de citer les maîtres de la finance. La « mondialisation », programmée dès la fin des années trente par Franklin Delano Roosevelt, et progressivement mise en place à partir de 1980, n’est en définitive que le triomphe absolu du Pouvoir économique sur tous les autres types de pouvoirs.

La démagogie n’a jamais été que l’art de faire croire à un peuple qu’il pouvait obtenir (presque) tout, sans effort notable. Seuls les plus modernes des populistes ont soutenu le contraire, exigeant énormément d’efforts pour surmonter une énorme détresse morale, ce qui est bien plus grave qu’une crise économique. De nos jours, partout en Occident, les autochtones ressentent une angoisse de ce type, associant désillusions et déréliction, sensation de péril imminent et surtout la tristesse spécifique de la fin d’une ère historique.

Le populisme, c’est la réaction d’un peuple qui se sent trahi ou abandonné par la caste dirigeante, inepte, inapte et/ou corrompue. C’est une aspiration à renouveler la structure et le fonctionnement du couple Nation-État, qui reste inassouvie tant que le peuple n’a pas trouvé son chef ou lorsqu’il se laisse prendre aux rets d’un démagogue. Le populisme, c’est la volonté d’un peuple de voir correctement géré le Bien commun (cher à Platon, Aristote, Hobbes etc.), c’est la nécessité de créer les meilleures conditions pour la génération à venir, en se souvenant que les prévisions d’expert à long terme s’avèrent constamment fausses.

Le populisme, c’est l’espoir pour un peuple de renaître, de recommencer une vie commune sur de nouvelles fondations. Le populisme, ce n’est nullement l’utopie égalitaire, qui est, au contraire, le Leitmotiv des propagandes démagogiques, dont le marxisme fut la plus pernicieuse. Le populisme, c’est se vouer à une grande aventure collective, à la fois politique, économique, sociale et culturelle… soit l’inverse de l’actuel individualisme stéréotypé. Le populisme est l’expression de la véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple et non plus le gouvernement pour défendre les privilèges de la caste économique et politicienne.

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jeudi, 26 mai 2016

L’actuelle France : l’invasion des sous-doués & la fuite des diplômés

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Dr Bernard Plouvier

L’État a pour première justification la protection des citoyens et de leurs biens acquis par le travail et l’épargne, parfois étalée sur plusieurs générations. « Si les individus, si les familles entrant dans la société y trouvaient, au lieu d’un soutien, un obstacle, au lieu d’une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plus à fuir qu’à rechercher » (Léon XIII, Rerum novarum, 15 mai 1891).

Même un athée doit reconnaître que le plus grand pape des temps modernes était un penseur économique et social d’exception, sans commune mesure avec les pitres qui font semblant de nous gouverner depuis un demi-siècle.

En 2016, les immigrés d’origine extra-européenne représentent 12 à 14 millions de la population implantée en métropole… il ne s’agit que d’estimations, puisque les honnêtes politiciens et leurs sous-fifres des bureaux ministériels cachent la vérité au peuple souverain ! Parallèlement, depuis 15 années, 50 000 Français de souche européenne, presque tous nantis de diplômes de valeur, émigrent chaque année.

D’un côté, entre une majorité de sous-évolués, parfois analphabètes, toujours arrogants, voire agressifs, important pour l’écrasante majorité d’entre eux une religion médiévale de haine pour « l’infidèle ». En contrepartie, des Français autochtones quittent définitivement le sol national devenu insalubre à leurs yeux.          

L’État de droit se définit par son résultat : la paix civile et sociale. Deux hommes d’État – les seuls que la France ait connus en un peu plus de deux siècles - ont écrit la même chose sur la genèse du désordre. « Le mépris des lois par le peuple et l’ébranlement de l’ordre social ne sont que les conséquences de la faiblesse des gouvernants » (Napoléon Ier à Sainte-Hélène) ; « L’anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures » (Raymond Poincaré, 1906).

La débâcle de l’Empire romain d’occident a commencé lorsque le Princeps senatus & Imperator Marc-Aurèle a détruit une bonne part du prestige impérial en octroyant sa succession à son abruti criminel et débauché de fils, Commode. Lorsque la Constitution ou la tradition laissent au chef d’État le choix de son successeur, celui-ci a le devoir de mettre en selle un homme capable et honnête.

De nos jours, seules les majorités électorales sont responsables de leurs mauvais choix. Et, depuis 1969, les Français ont choisi la pire collection d’incapables que l’on pouvait imaginer : un grand commis de la finance cosmopolite encourageant les bétonneurs des cités et du littoral, l’homme du regroupement familial des immigrés extra-européens, l’homme-lige de la finance internationale engageant le pays dans la globalo-mondialisation, le Président Black-Beur, l’agité qui avait des idées mais n’a jamais osé les appliquer, le vieil et ventripotent adolescent en goguette qui poursuit l’effort de destruction de la famille et de la Nation.

À la tête de l’État, on n’aperçoit que des ambitieux, des corrompus et des adeptes de la débauche, des touristes et des parasites. Enfin, et c’est plus grave, l’on n’aperçoit aucun homme d’action ni d’homme à idée. L’État est bafoué par des islamistes, des potaches, des gauchistes issus de la bourgeoisie, des syndicalistes avides de notoriété, des fonctionnaires qui paralysent les transports et tentent de le faire avec la fourniture d’électricité. La Nation est ridiculisée par l’incurie, l’incapacité, la lâcheté des soi-disant « chefs ».

La presse européenne se déchaîne, à juste titre, contre la chienlit française. Les Allemands feraient bien de chasser leur Chancelière devenus folle, mais pour l’instant ils s’amusent à nos dépens et comment leur donner tort ? On imagine sans peine le raisonnement des investisseurs étrangers : s’il est un pays où il ne faut pas envisager d’entrer, c’est bien la France en état de pourrissement avancé.

« La constitution et l’administration de la Société doivent procurer la prospérité publique et privée » (toujours Léon XIII). « L’État doit servir l’intérêt commun… selon la stricte justice qui veut que l’on rende à chacun son dû » (Thomas Hobbes, in Léviathan). Pour l’heure, l’État français – à la Dette pharaonique et qui ne survit qu’à coups de planche européenne à billets – dorlote immigrés et imams, gauchistes et potaches, mais tabasse les patriotes, les paysans au bord de la faillite, les défenseurs de la dignité familiale.

On comprend qu’affluent certains indésirables, tandis que d’autres, écœurés vont voir ailleurs si la soupe sociale est moins infecte.

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mardi, 24 mai 2016

Fin de l’État français ou suicide de la Nation ?

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Dr Bernard Plouvier

Ce n’est que trop évident : le chef de l’État et les ministres ont totalement perdu les commandes en France, et depuis plusieurs mois.

La folie furieuse n’est plus seulement limitée aux innombrables fruits pourris de l’immigration d’origine extra-européenne et aux fous furieux de l’islam agressif. Elle touche également une fraction de la jeunesse, soit un mélange de voyous des banlieues, de gauchistes venus majoritairement de familles aisées (la comparaison avec 1968 saute aux yeux de ceux qui ont subi cette farce alcoolo-sexuelle) et de soi-disant jeunes, fatigués avant d’avoir travaillé, dont l’ambition se borne à l’obtention du prestigieux autant qu’exaltant statut de fonctionnaire.

Là-dessus, les permanents syndicaux – dont l’emploi, peu fatigant, est menacé par la baisse des cotisants – se lancent à leur tour dans l’action violente. Depuis 2003, les travailleurs français boudent encore plus les syndicaux qu’auparavant : le taux d’affiliation ne dépasse plus les 8% (il est de 7,7 % depuis 10 ans, contre 18% en Allemagne et 25% au Royaume Uni). Et ce maigre gâteau doit être partagé en 8 grandes centrales !

Seuls les 5,5 millions de fonctionnaires français, surmenés et hyperproductifs comme chacun sait, sont d’excellentes recrues : 16,7% de nos bureaucrates estampillés d’utilité publique sont syndiqués. Que deviendraient les permanents syndicaux sans les gros bataillons de la fonction publique ?

Depuis 2015, la direction de l’État, poussée par les vrais maîtres : les patrons de l’Économie globale, s’efforce de rendre le marché français plus concurrentiel. Avec une durée du travail lamentable (35 heures hebdomadaires ; 41,5 années de travail avant la retraite) et de détestables habitudes (liée à près d’un siècle d’anachronique lutte des classes), la France n’est guère une cible de choix pour les investissements productifs. Et les fruits pourris de l’islam djihadiste ont même fait reculer dramatiquement le tourisme international, fort précieux stimulant de l’économie.

Pour engranger de nouvelles adhésions, les syndicalistes se laissent aller à une surenchère de violences, depuis le début de l’année 2016. On lynche des cadres supérieurs, à défaut de pouvoir le faire avec de vrais patrons, et l’on prend régulièrement la Nation en otage. Parce qu’en cas de blocage routier ou de pénurie de carburant, en cas de grèves des transports publics, ce ne sont ni les maîtres de l’économie, ni nos brillants politiciens gouvernementaux qui en subissent les conséquences, mais le vulgum pecus : le troupeau humain de base, composé de contribuables et de consommateurs… ceux-là mêmes qui font tourner la machine ! Décidément, nos brillants syndicalistes sont aussi stupides que nos politiciens ou que les dinosaures trotskistes.

Bref, l’État n’est plus dirigé et la Nation subit année après année, non seulement la honte de la dégringolade - où étaient les cités de non-droit dans les années 1960 ? -, de grands moments d’angoisse - attentats ; émeutes raciales ou de voyous gauchistes -, mais aussi un quotidien peu agréable : les voyages en train et en métro deviennent des situations à risque, comme d’ailleurs la simple déambulation dans deux mille quartiers des villes de France. En outre, les parents d’enfants et d’adolescents blancs peuvent légitimement redouter une agression voire un meurtre à chaque sortie de leur progéniture, ou même simplement dans leur vie quotidienne.

De tout cela, il n’est qu’un coupable : le corps électoral. Quand on élit, décennie après décennie, une invraisemblable bande de charlots, nuls, corrompus, débauchés, que peut-on attendre sinon un pays dont la vie politique est réduite à l’état « du chien crevé au fil de l’eau » ?

Si la Nation ne veut pas de l’insurrection, elle doit au minimum choisir plus intelligemment ses dirigeants. Cela devient urgent.

Il faut reformer le tissu industriel français en remettant le peuple au travail et en réintroduisant un équilibre de la balance commerciale – par des quotas précis d’importations-exportations, pays par pays -, renvoyer dans leurs continents d’origine des millions d’immigrés extra-européens dépourvus d’utilité pour la Nation, faire respecter l’ordre et réprimer efficacement le crime et la délinquance.

Il faut surtout réapprendre la fierté nationale. Les Français de souche européenne doivent seuls décider de leur destinée. Ils ont le devoir de préparer l’avenir de leurs enfants. S’ils n’en sont pas capables, ils finiront esclaves et leur progéniture connaitra les joies du métissage universel et de la régression islamique.

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lundi, 23 mai 2016

L’extension continue du non-droit en France

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Dr Bernard Plouvier

Nos gouvernants passent leur temps à voyager hors du territoire métropolitain. Étant donnée leur très faible influence sur les événements et la situation économique ou générale du pays, cela ne revêt guère d’importance. Qu’ils fassent du tourisme, tant qu’ils sont encore en fonction. Leur absence n’est remarquée de personne.

Toutefois, lorsqu’on apprend qu’ils voyagent pour enseigner aux autres peuples à régler leurs différends, pour leur prêcher les vertus supposées de la légalité républicaine, là on rigole un peu, voire beaucoup. Car l’on n’a pas vraiment l’impression que l’ordre et le calme règnent en France, que ce soit en métropole ou dans les DOM-TOM.

Selon les media officiels, nos brillants chefs se proposent de régler les guerres et guérillas de Libye, de Syrie et d’Iraq que la politique française (Sarkozy puis Hollande faisant semblant de régner) a puissamment contribué à créer ou réactiver. Ils ont même la prétention de proposer leurs bons offices pour régler l’imbroglio israélo-palestinien, inextricable depuis 1947 (avant même l’indépendance d’Israël). En Afrique, ils parlent de lutter efficacement contre l’islam ravageur et l’expression des haines tribales.

Depuis 2014, la France a connu des émeutes raciales (comme celles de Joué-lès-Tours et de Tours-Nord en 2014) et les attentats islamiques de 2015. On ne compte plus les émeutes raciales aux Antilles ou à Mayotte depuis que François Hollande dirige le pays (ça n’était pas mieux durant la prestation élyséenne de Sarkozy, force est de le reconnaître).

La nouveauté, ce sont les émeutes gauchistes ou trotskistes perpétrées un peu partout dans les grandes villes, à l’imitation de la capitale, depuis quatre semaines. Les policiers, si forts en gueule, en coups de matraque et en lancers de gaz lacrymogènes, lorsqu’ils s’attaquent à d’honnêtes citoyens protestant contre le mariage des homosexuels ou qu’ils chargent des patriotes désarmés qui tentent de réveiller la Nation aveulie à propos de l’immigration-invasion, ces policiers si réjouis lorsqu’il s’agit de s’attaquer à des automobilistes ayant dépassé la vitesse limite, ces hommes puissants se font minuscules, timides comme des pucelles, lorsqu’ils sont confrontés à des meutes d’immigrés violents (on l’a vu à Calais et ailleurs sur la côte de la Mer du Nord) ou à de jeunes gauchistes munis de barres de fer et de cocktails Molotov.

Pourtant, c’est devant le voyou dangereux que l’on reconnaît l’agent des forces de l’ordre et non devant d’honorables mères de famille ou des hommes qui ne font qu’hurler leur amour de la Patrie. Nos policiers semblent se comporter comme nos brillants politiciens : ils sont désemparés face à de véritables émeutes. Et, comble de ridicule international, cette chienlit non ou très mal réprimée survient en « état d’urgence »… Hollande, Valls et Cazeneuve ont des excuses à formuler à la Nation pour la ridiculiser en permanence depuis les premières émeutes islamiques de 2014. Les directions de la Police doivent être remplacées : un chef est toujours responsable de la médiocrité générale de ses hommes.

Sur les blogs israéliens, l’on salue la visite du sieur Valls en étalant les statistiques issues des ministères français de l’Intérieur et de la Ville. Sans même tenir compte des villes et cités classées en 4e catégorie (celle de la petite délinquance quotidienne) – dans ce cas, il faudrait citer la quasi-totalité des villes de France -, on peut relever quelques faits ahurissants.     

En catégorie 1 – celle des villes et quartiers de ville considérés comme des zones de non-droit permanent (viols en tournantes, trafics divers, rackets, rixes, morts multiples par balle ou coup de poignard) -, on relève 22 villes de la région parisienne en plus des 18e et 19e arrondissements de Paris, auxquels il faut ajouter 46 villes de province et 18 quartiers dépendant de villes réputées plus calmes. Amiens, Angers, Avignon, Brest, Clermont-Ferrand, Dreux, Grenoble, Le Havre, Lille, Marseille, Montpellier, Mulhouse, Nantes, Nîmes, Perpignan, Roubaix (et Hem), Rouen, Strasbourg, Toulouse, et l’ensemble de la conurbation lyonnaise sont réputées villes à haut risque, selon les quartiers (par exemple : 18 secteurs de Marseille, l’ensemble de Lille-Sud, la quasi-totalité des quartiers de Roubaix et de sa commune jumelle, Hem, sont réellement dangereux pour un Français de souche européenne).

En catégorie 2, on classe les quartiers « très difficiles », où la violence de jour est quotidienne (avec au moins une mort violente par semaine) : 32 villes de la région parisienne et le 20e arrondissement de Paris, auxquels il faut ajouter 145 cités de province (et 15 secteurs de Marseille).

En catégorie 3 (les quartiers difficiles, mais où les violences ne sont quotidiennes que de façon nocturne), on note 96 cités de la région parisienne, les 11e, 12e, 13e, 14e, 15e, 17e arrondissements parisiens, auxquels il faut ajouter 95 villes de province.

Dans chaque ville comptabilisée, plusieurs quartiers (ou cités, au sens moderne du terme) sont des zones à haut risque. Au total, on arrive aux alentours de 2 000 quartiers de France métropolitaine où un Blanc n’a absolument pas intérêt à mettre les pieds !

Tout ceci est permanent et lié à « l’enrichissement de la France » par l’immigration européenne. Si l’on y ajoute l’affligeant spectacle des violences urbaines des « étudiants » et des casseurs des quatre dernières semaines, perpétrées en « état d’urgence », l’on se dit que nos hommes politiques ont, en effet, des leçons à donner ! De même, on pourrait envoyer à l’étranger, comme « conseillers », nos directeurs de polices et nommer à leur place des militaires de choc.

Car si les prestations du Président et des ministres tournent au ridicule, la Nation française porte encore en elle les moyens de guérir la lèpre sociale qui envahit notre pays. Pourra-t-on attendre 2017 et ses échéances électorales ? Cela devient de moins en moins évident, à mesure que l’ordre disparaît, à mesure que le non-droit s’étend à l’ensemble du pays, à mesure que plus personne n’assume la charge fondamentale de l’État : faire régner l’ordre à l’intérieur des frontières et assurer la protection vis-à-vis de l’étranger.

Face à la subversion islamique et gauchiste, face à l’incompétence et la corruption matérielle et morale des élus, la Nation a le droit de s’insurger… peut-être en a-t-elle, désormais, le Devoir.

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mercredi, 18 mai 2016

Substitution de populations en France : fantasme ou évidence ?

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Dr Bernard Plouvier

Plutôt que d’argumenter dans le vide, il est bon de s’accrocher aux chiffres, à condition qu’ils soient aussi exacts que possible.

En 2012, l’INSEE a publié – avec un retard significatif – le bilan démographique français de l’année 2008… mieux vaut tard que jamais !

On y apprenait qu’il n’y avait que du fantasme dans les arguments des féaux de Jean-Marie Le Pen et de sa fille qui naviguaient alors (presque) de conserve. Il n’y avait que 5,3 millions d’immigrés nés hors d’Europe (en quasi-totalité issus d’Afrique noire et maghrébine et du Proche-Orient) et il était hors de question de dénombrer les Antillais, par définition citoyens français, même s’ils n’étaient nullement de souche européenne.

Toutefois, en y regardant de plus près, ces 5,3 millions d’immigrés étaient associés à 6,7 millions de descendants, nés en France et ipso facto naturalisés… le « fantasme » pesait 12 millions, sur 66 millions de métropolitains (soit 18%). Le total reflétait assez bien la réalité que chacun pouvait apercevoir en grandes villes, à moins d’être aveugle et sourd.

Depuis lors, l’immigration extra-européenne amène, bon an mal an, au moins 100 000 individus annuels (non comptés les clandestins, régularisés à coup de 0,3 million à la fois aussi bien par les gouvernements Fillion que Valls). En huit années, cela fait près d’un million (beaucoup plus en fait si l’on pense aux clandestins)… et n’oublions pas que les Antillais ne sont toujours pas dénombrés.

Sur les 200 000 naissances métropolitaines annuelles, 25% sont « à risque de drépanocytose » (ce qui ne fut jamais une maladie de « Gaulois » et descendants… on en trouve chez des Européens d’origine sarde ou sicilienne, qui ont bénéficié de razzias de pirates mauresques jusqu’au milieu du XIXe siècle). Sur huit années, cela fait encore 0,4 million (en estimation basse : on ignore le chiffre des naissances exotiques clandestines).

À l’approche de l’année électorale 2017, la France métropolitaine est riche d’approximativement 13,5 à 14 millions d’extra-Européens, non comptés les clandestins ni une grande majorité d’Antillais (ce qui amoindrit singulièrement la fiabilité de l’estimation), le tout sur une population globale comprise entre 64 et 64,5 millions de résidants (20 à 21% de la population en estimation basse). Comble de bonheur, les 40 000 à 50 000 émigrants annuels sont presque tous des Français de souche européenne.

Comme le dit notre plantureux Président : « Tout va bien » ! Et le gros marchand de sable poursuit : « Dormez bien les petits ». Le réveil sera terrifiant. L’ennui est que l’on ne pourra balayer le cauchemar grâce à une pirouette mentale. Il faudra bien affronter d’une manière ou d’une autre l’épouvantable réalité. Jouera-t-on le scenario londonien ou le russe ?

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samedi, 07 mai 2016

Un muslim maire de Londres

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Dr Bernard Plouvier

Qu’il soit d’emblée évident pour tout lecteur qu’il ne s’agit nullement de mettre en doute l’honorabilité du nouvel élu, avocat et politicien professionnel (engagé dès l’âge de 15 ans dans le Parti travailliste). Très loin d’être une affaire de personne, le titre de cet article sous-entend une triple réalité : ethnique, religieuse et morale.

Les rues de Londres, de Birmingham et d’une foule d’autres villes britanniques (Irlande du Nord presque exclue) sont aussi pittoresques que les nôtres : on y croise énormément de têtes non-européennes, de voiles islamiques, de souks… et lors de son premier voyage en Grande-Bretagne, l’année 1981, François Mitterrand avait constaté ce qui n’existait pas encore en France à cette époque : une émeute raciale, dominée par les Jamaïcains (pour amateurs, lire Verbatim I, de Jacques Attali, témoin de première main).

Il faut reconnaître que depuis cette époque, nous avons rattrapé le temps perdu, grâce à une immigration massive en provenance d’Afrique noire et maghrébine et à sa natalité exubérante. En Grande-Bretagne, en plus d’Antillais et d’Africains assez émotifs et instables, l’on jouit d’une immigration asiatique, notamment indo-pakistanaise, composée de gens beaucoup plus calmes, talentueux et travailleurs (le nouveau Lord-Maire est un islamo-pakistanais).

Le recensement de l’An 2011 a démontré que le nombre de musulmans (muslims) avait doublé en dix années. Certes, Mohamed est le premier prénom attribué à des nouveau-nés dans la ville de Londres, mais les muslims n’y sont qu’un million sur les 8,4 millions d’habitants. Le problème est donc double.

Tout le monde le sait, il existe un défaut de natalité des Britanniques de souche européenne (c’est, en réalité, le cas de tous les pays d’Europe, occidentale, scandinave, danubienne et orientale) : le différentiel de natalité entre chrétiens (55% des Britanniques), athées déclarés (25%) et les muslims et hindous varie du simple au double ou au triple selon les quartiers des grandes villes.

La seconde partie du problème est évidente : il n’y a pas ou plus de conscience raciale chez les Européens. On avait déjà observé le phénomène aux USA lors des deux élections de Barak-Hussein Obama : il avait récolté 95% des voix de Noirs, mais aussi 40% des voix de Blancs.

Quels que soient ses mérites intrinsèques, le nouveau maire ne pouvait l’emporter par les seules voix musulmanes, même additionnées des voix de sujets non-musulmans provenant de l’immigration asiatique. À Londres, résident encore une majorité d’Européens de souche.

Il ne s’agit pas, dans ces considérations, de racisme : aucune race n’est supérieure à une autre. Il ne s’agit même pas de xénophobie : les non-Européens sont toujours les bienvenus comme étudiants, stagiaires ou touristes. Il s’agit de réfléchir à un simple phénomène de continentalisme : les Européens veulent-ils ou non demeurer les maîtres en Europe ?

Tant que cette question n’aura pas été résolue par l’affirmative, le continent ira dans le sens souhaité par les maîtres du métissage universel. Il est des moments, dans une civilisation, où la bêtise et l’irréflexion peuvent devenir suicidaires.

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mercredi, 04 mai 2016

Il ne faudrait pas prendre nos maîtres pour des imbéciles

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Dr Bernard Plouvier

Sauf quelques Pygmées et deux ou trois Papous, tout le monde semble avoir compris qu’hormis la Chine, la Russie et leurs rares amis, la planète est dirigée par de richissimes personnages, inconnus pour la plupart, et dont la seule hantise est le réveil des nationalismes.

Lorsqu’on a beaucoup d’argent et que l’on domine l’essentiel des media, il est aisé d’inonder le grand village mondial de sa propagande. Celle-ci est fondée sur une très artificielle joie de vivre, procurée par la consommation - à crédit pour beaucoup -, rehaussée d’un pseudo-humanisme planétaire (autrefois, on eût employé l’adjectif de tiers-mondiste), teinté d’écologisme de pacotille – car sans assise scientifique - et de bons sentiments. En bref, pour singer le monde du Net, où l’on veut faire vite et se débarrasser de toute syntaxe : le bling-bling & le gnangnan.

L’Europe, par l’ancienneté de sa civilisation et le dynamisme de ses Nations, est, pour nos maîtres, un obstacle à la paisible jouissance de leur fortune et de leur toute-puissance. C’est la raison pour laquelle on lui impose une immigration massive d’individus exotiques et l’implantation de l’islam.

Venus de pays où le goût de la palabre et les rythmes de travail sont à l’opposé de nos conceptions, les immigrés (variante politiquement correcte : réfugiés en provenance de pays où nos bons maîtres ont semé haines tribales, chaos économique et guerre civile) ne peuvent qu’être – au moins pour longtemps – un boulet économique en plus d’être une plaie sociale. Quant à l’islam, seuls des sourds, des aveugles et des illettrés peuvent en méconnaître l’extrême dangerosité.

Face à l’éveil (tardif) en Europe occidentale et scandinave, de la fraction la moins abrutie par l’excès de jouissances et par la niaiserie, nos bons maîtres vont jouer la carte maîtresse, dont l’efficacité est connue depuis l’Antiquité, voire peut-être depuis la préhistoire : diviser pour régner.

Grâce à leurs fonds, d’autant plus illimités qu’ils manœuvrent à leur guise la planche à billets verts, et à l’omniprésence de leurs media, les maîtres de la société globalo-mondialiste vont, dans chaque grande élection, susciter une multitude de candidatures pour affaiblir leurs véritables ennemis : les populistes.

Car, de ce côté, il y eût toujours et partout, un excès de Divas et de francs-tireurs… si l’on préfère, un défaut de Chef et d’obéissance. Les sondages d’opinions, outre qu’ils sont souvent biaisés (voire truqués), oublient – volontairement ou non - de prendre en compte l’addition des candidats potentiels du même bord. Or cette addition apparente est une véritable soustraction qui se traduit quasi-automatiquement par l’élimination du scrutin final.

S’il est probable que – pour la présidentielle française de 2017 -, on procède à des primaires à l’américaine dans la droite-centre-marécageux et dans la gauche-bobo-caviar, il est beaucoup moins évident qu’on le fasse chez les populistes (ou nationalistes, comme on voudra)… faute d’unité, il est absolument évident que les patriotes ne seront pas représentés au tour final.

Plutôt que de s’intéresser aux prédictions des uns et des autres, il serait bon de se pencher sur le meilleur chemin d’aller à la défaite… et, par antithèse, sur l’unique condition d’une victoire : l’Unité.

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vendredi, 29 avril 2016

Manifestants ou organisateurs du désordre public ?

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Dr Bernard Plouvier

Tous les Français – sauf les sourds et les aveugles, réels ou volontaires - savent que, depuis les années 1980, chaque manifestation générée par un mouvement social est quasi-automatiquement transformée en mini-émeute par les jeunes casseurs des banlieues, bien typés ethniquement : pillages, destructions de biens privés ou publics, incendies variés, affrontements violents avec policiers et pompiers.

Certes ! Mais depuis le début de cette année 2016, probablement tenus en laisse par les mollahs et narcotrafiquants de quartiers – eux-mêmes sensibles à certains ordres venus de « l’islamo-étranger » -, les racailles de banlieues restent à l’écart des grèves et des manifestations (à l’exception bien sûr des fééries calaisiennes, où ils sont chez eux et entre eux et de la réaction aux défilés des anti-immigrés).

De fait, les rares manifestations de patriotes opposés à l’immigration, dénommés « fascistes » par la presse bien-pensante, sont d’un calme surprenant, du moins tant que les nervis des groupes gauchistes et trotskistes, ou des contre-manifestants islamistes associés à des bobos en principe français, ne viennent perturber leurs défilés peu achalandés… et la police sait sur qui il faut taper et sur qui il faut éviter de le faire.

Les manifestants de la contestation syndicale classique (Air France ; intermittents du spectacle ; foules ameutées par les syndicats pour grogner contre la Loi révisant le Code du travail, etc.) et les potaches du très curieux mouvement Nuit debout-gouvernement couché-spectateurs assis (ravis ou ébahis devant leur téléviseur) prouvent qu’il n’est plus besoin, en France Hollando-Vallsienne, de casseurs exotiques pour se comporter en purs voyous.

On s’attaque aux forces de l’ordre (sauf à pouvoir s’attaquer à des cadres de direction, moins bien préparés à l’auto-défense que nos honorables policiers), on casse indifféremment du matériel public ou privé, on brûle des voitures, on pratique le sectarisme le plus outrancier : certains chassent de l’académicien juif, d’autres du Blanc, d’autres encore de l’hétérosexuel… et tous y vont de leurs slogans marxistes & anarchistes, parfois curieusement confondus.

Le ridicule n’ayant – en dépit du proverbe – jamais tué personne, nos étudiants et lycéens usent et abusent de tout ce qui ferait rougir de honte un humaniste… et certains vont plancher en fin d’année scolaire sur un sujet de philosophie ! Pas de panique : étant donnés le contexte préélectoral, l’impopularité effarante du gouvernement et du chef de l’État, la haine socialiste pour l’élitisme, le cru 2016 du Bac avoisinera les 99,9% de reçus.

Le grand acquis de cette merveilleuse année 2016 - où le chômage décroît (par transfert habile d’individus de la catégorie A aux deux suivantes, et par un usage plus habile encore, hélas plus coûteux, des stages de formation), où « la France va mieux » (c’est notre plantureux Président qui l’affirme, qui ne saurait ni se tromper ni nous tromper), où les islamo-terroristes ont reçu l’ordre de se calmer au moins jusqu’aux prochaines présidentielles – est que nos manifestants gaucho-bobos n’ont plus de leçon de vandalisme et de guérilla urbaine à recevoir des immigrés turbulents.  

Ce sera, sans nul doute, la marque, la griffe de la présidence hollandienne.

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jeudi, 28 avril 2016

Les charmes vénéneux de la double appartenance

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Dr Bernard Plouvier

Tout le monde a entendu parler de cette triste maladie dénommée schizophrénie où, parmi bien d’autres symptômes, le patient développe un dédoublement de la personnalité. Depuis la plus haute Antiquité, bien des gens ont été tentés par ce que l’on appelle, faute de mieux, une double vie.

Cette dualité d’allégeances ou d’appartenances est très différente de la succession, somme toute naturelle, d’avis et de comportements différents, voire opposés, au cours d’une même existence. Chacun a pu voir que, depuis les années 1990, une majorité d’ex-communistes réputés purs et durs se sont admirablement adaptés aux joies de l’hyperconsommation, dans notre monde d’économie globale (donc de production délocalisée pour obtenir de moindres coûts de fabrication) et d’uniformisation de la propagande (sur un mode à la fois gnangnan et consumériste).

Seules quelques Nations réfractaires à la pensée unique au sein du grand village mondial admettent encore la phrase qui, selon Platon, définissait la vie politique : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de l’État » (in Les Lois).

Cinq siècles plus tard, Jésus de Nazareth était déjà plus ambigu. Certes, il affirmait : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et Mammon ». Mais en une autre occasion, il reconnaissait la dualité de tout homme, à la fois fidèle d’une religion et citoyen d’un État : « Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu »… en l’occurrence, il ne s’agissait que de s’acquitter de l’impôt, ce qui fut toujours ressenti comme une douloureuse corvée, alors que l’impôt était, au moins en principe, une source d’infrastructures indispensables à la vie organisée.

Depuis le XVIIIe siècle, se sont répandues en Europe des idées cosmopolites, résumées en une alternative proposée par Diderot : « Vaut-il mieux éclairer l’humanité qui durera toujours ou sauver et organiser une patrie qui doit finir ? ». C’était l’archétype du faux problème, puisque l’humanité n’était alors formée que de la juxtaposition de patries… du moins jusqu’à ce que la propagande mondialiste impose ce dogme : il n’existe ni races, ni patries ou nations, mais une seule humanité.

Pourtant, dans ce monde globalo-mondialisé (de façon artificielle et, a priori, fort transitoire) prospère la très curieuse notion de double nationalité… si le titulaire est en plus un croyant fanatique ou un membre d’une secte multinationale (appartenant, entre autres exemples possibles, à la Franc-maçonnerie ou à un réseau mondialiste), cela fait une triple allégeance et l’on peut multiplier ainsi les appartenances.

Lorsque l’on a accumulé l’expérience de plusieurs décennies de vie sociale et professionnelle, l’on sait que les joies d’une double vie (familiale, professionnelle, politique, syndicale etc.) sont très largement inférieures aux charges, ennuis divers et petits drames qu’elle entraîne.

Et cela n’est rien en comparaison de la dichotomie éthique… pour faire plus simple : des conséquences morales induites par deux attachements intensément vécus, d’ordre affectif, intellectuel et/ou spirituel.      

Un joli dicton viennois (prouvant que l’Autrichien n’est finalement pas si éloigné du Prussien, quoi qu’il affirme) prétend que : « La fidélité, c’est de ne pas avoir de second maître ». Chacun est libre de le méditer et de l’interpréter à sa guise.

Vivre, c’est faire preuve de libre-arbitre : vivre, c’est donc choisir. L’être humain étant seul, sur cette planète, doté de transcendance, se doit de choisir sans être obligé de se sentir diminué, humilié, meurtri par ses choix.

Il est évident que dans les années à venir tous les Européens doués de sens éthique devront faire un choix essentiel entre le consumérisme excessif (et à crédit), couplé à des sentiments et des actes tiers-mondistes, et le retour à l’indépendance européenne, politique, économique, ethnique… bref, le retour à ce que l’on connaissait avant la féérie globalo-mondialiste.         

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mercredi, 27 avril 2016

François le catholique et Finis Europae

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Dr Bernard Plouvier

Une question se pose à qui a un peu fréquenté l’histoire des événements et des idées : pourquoi s’en prendre à ce pape d’un genre nouveau ? Après tout, François Ier (et peut-être dernier), venu des Amériques, fait ce pourquoi on l’a élu : il casse la domination européenne sur le catholicisme. Ce faisant, il suit une logique qui nous ramène au proto-christianisme.

L’étymologie et la théologie ne peuvent que donner raison à ce pape - démagogue, roublard et subversif, si on le juge du point de vue d’un Européen -, à ce jésuite fin connaisseur de l’histoire et de la théologie, si on le juge de façon objective… ce qui est certainement plus facile à l’athée européen qu’au catholique d’Europe.

Katholichos signifie : pour tous [les humains]. Quant à la théologie morale, elle est fondée sur l’Agapè : l’amour (supposé) de la divinité pour ses créatures, avec son corollaire, l’amour en retour des créatures pour le créateur et pour tous les frères et sœurs en Jésus-Christ qu’il a plu à la divinité de leur octroyer (débiles mentaux, pervers, islamo-terroristes compris… et on en passe).

Du IIe au IVe siècles, les Pères de l’Église (style Justin, au IIe siècle) ou ceux dont l’Église a moins honoré le souvenir (du type Lactance, à cheval sur les IIIe et IVe siècles) n’ont eu de cesse de combattre l’État et la notion de Patrie. « Les chrétiens voient un frère en chaque être humain… Toute patrie terrestre est Terra incognita pour le chrétien » (Justin, né en l’actuelle Naplouse et mis à mort sous le principat du bon Marc Aurèle, piètre Imperator, mais qui savait différentier l’ami de l’ennemi) ; « L’attachement à la patrie est, par essence, un sentiment hostile et malfaisant » (Lactance)… et l’on pourrait multiplier les exemples, jusqu’à ce que les invasions barbares fassent trembler le bon Ambroise de Milan (IVe siècle) et que la prise de Rome par les Goths d’Alaric (en 410) fasse pleurer quelques évêques.

Lorsque le démagogue jésuite venu d’Argentine prône l’invasion de l’Europe par des Africains et des Proches-Orientaux, il démontre la persistance de cette prodigieuse faculté de nuisance d’une foi naïve glorifiant la charité (soit : la bonté sans espoir de réciprocité), ce culte de la douceur dans un monde de brutes, cette ouverture absolue à tous, y compris les destructeurs, les pillards et les incendiaires, les violeurs et les égorgeurs.

Il paraît que divers philosophes, moralistes et autres délicats penseurs auraient dit, écrit et peut-être pensé (c’est déjà moins sûr) que la douceur triomphe de tout, y compris de la haine et des armes… parlez-en aux mânes des merveilleux Oulianov-‘’Lénine’’, Bronstein-‘’Trotski’’, Dougashvili-‘’Staline’’, Sar Saloth-‘’Pol-Poth’’ ou de Mao Tsé-toung, interrogez le survivant Fidel Castro et vous entendrez l’immense éclat de rire tartare, judéo-bolchevique ou de quelque autre exotisme. Ceux-là et leurs émules islamiques savent que la Force crée le Droit.

Qu’au pays de La Fontaine, il faille répéter que « La raison du plus fort est toujours la meilleure » témoigne, certes, de la faillite de l’instruction publique, mais aussi du caractère hautement pernicieux de la propagande émolliente déversée à pleins tubes cathodiques (et sur le Net) depuis les années 1980-1990, soit les débuts de l’ère globalo-mondialiste, où des requins d’affaires se sont associés aux piranhas islamiques pour détruire l’Europe.

Le pape actuel joue sa partition catholique et le fait admirablement. Son solo de flûte (ou de « pipeau ») fait de lui l’avatar du joueur d’Hameln (Hamelin pour les oreilles françaises)… mais dans le droit fil du scénario chrétien original : opposé aux notions de races, de patries, de légitime défense & vantant les charmes du métissage universel, de la douceur, voire du martyre qui permet d’accéder plus vite et de façon quasi-automatique à la féérie de la vie surnaturelle.

C’est plus tard, que l’Église a changé son enseignement, vantant les charmes (autrefois vénéneux) de la guerre juste voire sainte… puis vint le Concile Vatican II, où des pères (en grande partie jésuites), fins connaisseurs de l’histoire et des thèses du proto-christianisme, ont joué la carte du retour à la « pureté des origines », soit l’Utopie jointe à l’Uchronie.

Que le pape jésuite suive cette voie, c’est logique et même légitime dans son délire religieux. Ouvrons les yeux : ce n’est pas le musicien qu’il faut combattre mais la partition originale !

Un Français devrait se souvenir de l’un de ses auteurs, Denis Diderot, qui fut emprisonné au Fort l’Évêque pour avoir écrit entre autres Pensées philosophiques : « Avec la femme et le prêtre on ne discute pas : il y a les maisons de correction ». Il n’existe plus, en notre beau pays, de maisons de ce type. Il faut donc que les Français de souche – et d’une manière générale, tous les Européens autochtones – tirent les conclusions qui s’imposent du Monde tel qu’il est devenu.        

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mardi, 26 avril 2016

Une supercherie toujours enseignée : la destruction de Guernica y Luno, le 27 avril 1937, par un bombardement nazi !

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Dr Bernard Plouvier

Contrairement à ce que de nombreux historiens veulent nous faire croire, Adolf Hitler hésite beaucoup avant d’intervenir dans la guerre civile espagnole. Il n’aime guère les conservateurs espagnols (« Un parti de curés ») et n’aimera jamais le régime franquiste (« Un régime de profiteurs capitalistes, manœuvrés par la prêtraille »). C’est la même raison qui pousse Mussolini à refuser son aide le 21 juillet 1936, quatre jours après le début de l’insurrection des « nationalistes » menés par les généraux José Sanjurjo y Sacanell et Federico Franco y Bahamonde.

Pour s’opposer au risque d’implantation d’un régime marxiste en Europe occidentale, le Führer cède le 25 juillet, son entrée en lice entraînant celle du Duce (et non l’inverse comme le braillent encore certains pitres). Quarante avions allemands de transport (des Junkers 52) font passer les Espagnols de la Bandera (des fantassins de la Légion étrangère) du Maroc espagnol à Séville.

25 000 volontaires allemands, en congé de la Wehrmacht, serviront dans les rangs franquistes (mais il n’y aura jamais plus de 7000 Allemands à la fois sur le sol ibérique). Ils combattront aux côtés de 44 000 troupiers (dont un tiers de Maures) et phalangistes espagnols, 25 000 policiers « nationalistes », 20 000 volontaires portugais, enfin 80 000 volontaires italiens (jamais plus de 40 000 à la fois) et quelques centaines de volontaires internationaux.

Ces forces antimarxistes sont opposées à 46 000 soldats, 42 000 policiers « rouges », qui sont bien plus composés de radicaux anticatholiques et d’anarchistes que de marxistes espagnols, renforcés de 60 000 « combattants de la liberté », tous marxistes (25 000 d’entre eux proviennent d’URSS, le reste est issu des Partis communistes d’Europe et des Amériques et des célèbres « compagnons de route » des marxistes).

Adolf Hitler n’a expédié qu’un seul bataillon de chars légers (des Panzer I et II, très peu performants ; les Allemands utiliseront beaucoup de chars soviétiques capturés), quelques excellents canons à commande électrique (du type 88 – Flak) utilisés comme canons de DCA et antichars, ainsi qu’une centaine d’avions de combat.

Les Français expédient illégalement aux forces rouges plus d’une cinquantaine d’avions de combat (le ministre de l’Air Pierre Cot couvrant son chef de cabinet Jean Moulin) et Staline envoie un millier de chars et autant d’avions de combat… se faisant payer l’équivalent de 450 millions de $ en or.

Le 27 avril 1937, neuf Heinkel 111 jettent, de 2000 mètres d’altitude, 7,9 tonnes de bombes sur la cité basque de Guernica y Luno, qui compte environ 5500 habitants, vouée à l’industrie métallurgique. La charge totale de bombes des 9 appareils est inférieure à celle d’un seul bombardier britannique Lancaster (11 tonnes de bombes) ; elle équivaut à celle d’un B17 de l’Air Force Corps des USA (8 tonnes) de la Seconde Guerre mondiale.

S’il fallait en croire la presse communiste et sympathisante, ce raid aurait tué 1500 civils et en aurait blessé un millier (alors que les statistiques des bombardements durant les années 1939-1945 font état de deux à trois fois plus de blessés que de morts)… soit un ratio tués/tonne de bombes 1000 fois supérieur à celui des bombardements de terreur des aviations britannique, canadienne et US au-dessus de l’Europe continentale quelques années plus tard, avec des avions nettement plus performants, mais aussi des populations plus avisées et mieux protégées.

Ces curieuses statistiques ne pourraient que faire sourire, si l’on ne respectait la mémoire des victimes. En revanche, il est proprement scandaleux que de soi-disant universitaires utilisent encore, dans leur version politiquement correcte des faits, de telles inepties. Toute guerre est, pour paraphraser Shakespeare, « une histoire pleine de bruit et de fureur, racontée par un idiot », mais la guerre civile espagnole fut et demeure le triomphe de la désinformation de la part de ceux dont le métier est théoriquement d’approcher la vérité.  

En réalité, le bombardement des Heinkel a tué 262 êtres humains, pour la majorité d’entre eux concentrés dans le même bâtiment, et n’a occasionné que de faibles dégâts, en revanche l’armée des « rouges », en retraite sur le front basque, a dynamité la cité quelques heures plus tard, permettant aux nombreux correspondants de presse de sensibilité marxiste de tirer des clichés dramatiques et de composer des articles emplis de lyrisme. Loin d’être une « ville ouverte », Guernica était une cité travaillant pour l’industrie de guerre du gouvernement « rouge » (on y recensait quatre fabriques de munitions).

La cible visée par les aviateurs allemands n’était pas la ville, même pas ses usines que les nationalistes espéraient prendre les jours suivants, mais un pont enjambant le Rio Oca, de façon à freiner la retraite des « rouges » vers Bilbao, pour en capturer un maximum. La notion de « bombardement de précision » sera introduite par la propagande de guerre US, en 1943, pour calmer l’émotivité des chrétiens aux USA… et ce sera, bien sûr, un ignoble mensonge.

À l’époque du bombardement de la ville basque, dans son atelier parisien, Pablo Picasso finissait de peindre, à sa façon géniale ou grotesque au gré du lecteur, une scène tauromachique. Il lui suffit de changer le titre de son œuvre pour que celle-ci devienne un symbole politique majeur du XXe siècle, puis les critiques d’art trouveront quantité d’interprétations symboliques, politiques et même psychanalytiques, à la présence d’un taureau dans cette composition.

Mystification et désinformation furent de tout temps les méthodes de travail des propagandistes, mais les marxistes du XXe siècle furent des maîtres… déjà surpassés par nos glorieux fumistes globalo-mondialistes.

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lundi, 25 avril 2016

Les nouveaux parasites

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Dr Bernard Plouvier

Le lycéen a ceci en commun avec le jardinier qu’ils connaissent tous deux (en théorie ou en pratique) ce qu’est une plante parasite. Certains parasites, tel le gui, sont beaux, mais témoignent de la sénilité de l’hôte qui les accueille.

On nous l’a suffisamment seriné – et sur tous les tons : les immigrés extra-européens sont venus enrichir l’Europe de leurs prodigieuses facultés et de leur exceptionnelle capacité de travail. En quelle que sorte, ils nous ont fait l’immense honneur de venir payer la retraite des vieux Européens. C’était la comptine des années 1990-2005.

Depuis lors, beaucoup d’eau a coulé sous pas mal de ponts écroulés. Très vite il est devenu évident que 25 à 30% des immigrés en âge de travailler ne seraient jamais que des chômeurs de très longue durée, tandis qu’un autre quart ne trouve un emploi que grâce à la ségrégation raciale de la « discrimination positive », cette mesure « d’aide à l’embauche » étant fort coûteuse à l’État, en plus d’être antidémocratique et parfaitement immorale.

Étant donné que, depuis 2005, croissent de façon vertigineuse la Dette publique, le gouffre de la Sécurité Sociale et des autres caisses (dont celles du chômage et des retraites), ainsi que les chiffres du chômage, il paraît urgent de quantifier le rapport qualité/prix de cette immigration extra-européenne.

En clair, il s’agit de déterminer les proportions exactes du bénéfice apporté à la collectivité par leur travail et le coût en structures d’accueil : y a-t-il un solde positif ou, au contraire, un surcoût ? Inutile de chercher des statistiques issues de l’État français sur cet épineux sujet : il n’y en a point d’accessible au bon peuple, pourtant seul souverain légitime de l’État.

Le débat vient d’être relancé en Europe par une déclaration de la ministresse suédoise des Finances, Magdalena Andersson (qui n’est pas une excitée : elle est de « centre gauche », soit le marécage le plus calme qui soit). Elle a demandé au Parlement de voter l’équivalent en couronnes locales de 6,24 milliards d’euros/an durant 4 ans pour régler la note de l’immigration des années 2014-15, ce qui met le coût de l’immigré nouveau à 30 000 euros/an… du moins en principe.

Car cette base de calcul est totalement erronée. Bêlant probablement d’optimisme, la bonne dame n’a rien prévu au titre du coût des vols, pillages, dégradations diverses et incendies volontaires, des avortements nécessités par les viols, des poursuites judiciaires pour crimes et délits et leurs suites carcérales. La ministresse bien-pensante ignore tout, semble-t-il, des mœurs des honorables immigrés d’origine extra-européenne. Renseignements pris, les honorables Africains – noirs et maghrébins -, les merveilleux Proches- et Moyen Orientaux se comportent en Scandinave (Suède, Norvège, Danemark, Finlande, Islande et l’on peut en rapprocher les États baltes) exactement comme les sauvageons des banlieues de France, de Belgique, d’Allemagne ou de Grande-Bretagne.

Qu’en est-il en France, riche de 10 à 11 millions d’immigrés d’origine extra-européenne de 1ère et 2e générations ? Aucun surcoût, voire même un bénéfice appréciable pour l’immigration d’origine extrême-orientale, hélas très minoritaire. Il en va tout autrement avec les autres.

Les recettes fiscales de l’immigration, directes & indirectes et les taxes locales, sont estimées entre 20 et 25 milliards d’euros. Le coût pour l’État est estimé entre 60 et 65 milliards d’euros/an - dont 18 de dépenses sécuritaires pour l’année 2014 (ce chiffre est certainement très largement dépassé depuis le début de 2015) et entre 10 et 20 milliards d’euros de fraudes sur les assurances sociales -, auquel il faut ajouter 21 milliards d’euros annuels pour l’intérêt du surplus de la Dette publique généré par cette immigration (c’est André Posokhow qui a rappelé cette évidence, oubliée des calculateurs prodiges de la gauche-bobo qui l’ont, bien sûr, agoni)… et ceci ne prend pas en compte l’énormité des dépenses d’assurances (répercutées sur les primes versées par les assurés), pour réparer les agressions et dégâts commis quotidiennement par les fruits pourris de l’immigration sur les personnes privées et leurs biens.

De 42 milliards (en équivalent d’euros) estimés par Pierre Milloz en 1997, le coût réel – public et privé - de l’immigration est passé aux alentours de 100 milliards d’euros annuels… pour avoir la joie de voir travailler un peu moins de 3 immigrés sur 4 en âge de le faire. C’est très cher payé. En bonne logique comptable, l’on dirait que l’investissement n’est guère rentable.

Quitte à faire venir des travailleurs étrangers, faisons-les venir soit d’Europe de l’Est soit d’Extrême-Orient.  

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samedi, 23 avril 2016

Au nom de l’intérêt public !

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Dr Bernard Plouvier

C’est en se référant à cette noble formulation, qu’un juge de notre vertueuse République exige l’ouverture d’un centre pour réfugiés-immigrés dans l’un des quartiers de France où la vie est la plus chère : le XVIe arrondissement de Paris !

Après tout, ces réfugiés-immigrés vivant de la charité publique (via le détournement d’une partie de nos impôts, redistribuée en allocations & subventions qu’ils obtiennent sans travail de leur part) ne sont que modérément sensibles à la cherté de la vie, puisqu’ils se comportent en parfaits parasites.

De même, la pollution du Bois de Boulogne n’est guère plus préjudiciable à la France que celle des alentours de Calais et de Grande-Synthe, ou de villages bretons ou poitevins… d’autant que ledit bois est bien connu pour ses trafics de stupéfiants et ses passes de prostitué(e)s en tous genres, y compris les plus improbables. Donc, allons-y pour la jolie formulation : « Au nom de l’intérêt public » !

Mais, quel intérêt est-il en cause ? De quelle communauté parle-t-on dans cette affaire « d’intérêt public » ? Exclusivement de la clientèle des partis « de gauche », actuellement en pleine déconfiture, et qui ont impérativement besoin de se refaire une santé par la naturalisation en masse de ces immigrés-réfugiés, associée – bien entendu - à une reprise en force de la démagogie tiers-mondiste la plus flamboyante.

Parce que si l’on parle de l’intérêt de la Nation française, qui représente le seul public légitime - étant le seul souverain de l’État -, dans ce cas, personne et surtout pas un magistrat de la République ne peut se prévaloir de dire ce qu’est son intérêt. Pour l’excellente raison que nul n’a demandé l’avis de ce « souverain » depuis qu’en 1976 (par le décret funeste de regroupement familial), des politiciens ont imposé une immigration de masse, aggravée de façon exponentielle depuis le milieu des années 1980.

L’intérêt de la Nation française commande-t-il une immigration extra-européenne massive ? Bien évidemment ! Avec plus de 5 millions de chômeurs, l’intérêt national commande d’importer encore et toujours plus d’Africains, de Moyen et de Proches-orientaux, dont une majorité n’a aucune qualification et dont les rares techniciens ont souvent besoin de la célèbre « discrimination positive » pour se faire embaucher.

Il est également évident que, dans un pays où existent déjà environ 8 à 10 millions de musulmans, l’intérêt national commande, et d’urgence, d’en importer encore quelques millions de plus, de façon à voir pulluler davantage encore les mosquées et les boucheries hallal, de façon à voir circuler davantage d’individus en djellaba et nantis de ce voile islamique prôné ouvertement à l’école des sciences politiques de Paris ces derniers jours.          

À l’évidence encore, il est de l’intérêt public bien compris d’importer toujours plus de jeunes musulmans célibataires pour voir se multiplier les viols de « petits culs blancs », de préférence en « tournantes » (c’est plus pittoresque), et, bien sûr, pour favoriser ces attentats qui mettent du piment dans la vie par trop monotone de la Nation… ces attentats qui devraient ne reprendre avec force qu’une fois passées les prochaines présidentielles : les maîtres du vrai Pouvoir vont probablement en freiner le rythme jusqu’à cette échéance électorale, ne souhaitant pas favoriser un sursaut patriotique.

Maintenant si l’on veut réellement analyser, monsieur le magistrat de la République, le véritable INTÉRÊT PUBLIC, soit celui de la NATION, seul SOUVERAIN LÉGITIME de l’ÉTAT FRANÇAIS (on utilise les majuscules, de façon à ce que même le plus malvoyant des juges puisse lire), les mesures qui s’imposent et d’urgence ne sont, certes pas, de multiplier les « centres d’hébergement de réfugiés-immigrés ».

Non ! Il s’agit de respecter les fondements de la démocratie. Or, la Démocratie repose sur deux piliers : l’égalité de tous devant la Loi et la prise des grandes décisions par la Nation.

Les mesures qui s’imposent – et d’urgence – sont donc de demander à la Nation sa décision souveraine en matières : d’immigration d’origine extra-européenne ; d’opportunité ou de dangerosité extrême d’engager des musulmans dans les forces armées, les forces de police et de gardiennage de prisons, sachant que la totalité des terroristes sont des musulmans ; de la nécessité de se séparer des DOM-TOM, boulets économiques, riches de seules charges budgétaires ; de rétablir la peine de mort dans des cas bien précis ; de maintenir ou de supprimer la légalité de l’avortement de complaisance, qui réalise chaque année un génocide d’environ 220 000 à 250 000 Français de souche européenne ; de statuer en matière de fourniture d’énergie ; de chasser du territoire national tous les chômeurs inutilement importés et de renvoyer dans leurs continents d’origine les millions d’extra-européens pour qu’ils mettent en valeur leurs pays, de façon à multiplier les centres de production et à stimuler le commerce international. Tels sont les choix stratégiques actuels.

Car on se moque absolument de l’avis sur ces questions de notre plantureux Président, d’ailleurs en voyage exotique perpétuel, de l’avis de notre distingué premier ministre, toujours entre deux cures (nécessaires) de relaxation, ou de celui du frétillant ministre de l’économie « En Marche » vers Matignon et l’Élysée.

Tant que l’on n’aura pas demandé son avis au seul souverain légitime de l’État, soit la Nation, nul – pas même un digne magistrat de la République – ne pourra argumenter : « Au nom de l’intérêt public ».

La Démocratie a ses exigences. On aurait presque honte de le rappeler, tant la chose est évidente… hélas, elle ne semble pas évidente pout tout le monde.  

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lundi, 18 avril 2016

L’actuelle inversion des valeurs en Europe occidentale

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Dr Bernard Plouvier

Autrefois, quand un étranger s’établissait dans un pays d’accueil, il en adoptait la langue et les usages. C’était à la fois une manifestation de pure logique et un désir d’intégration (qui ne signifie pas obligatoirement : assimilation, qui – elle – implique une union physique par mariage et engendrement).

De nos jours, où les maîtres du jeu économico-politique veulent casser les valeurs identitaires (si l’on préfère : les valeurs nationales), les immigrés sont encouragés à se comporter en envahisseurs, exigeant le respect de leurs usages exotiques et ne prenant pas toujours la peine d’apprendre la langue du pays, qu’ils considèrent davantage comme une zone à conquérir que comme un site de refuge.

Ils y sont grandement aidés par une multitude de collaborateurs locaux qui préfèrent sacrifier les coutumes ancestrales à l’ombrageuse fierté des envahisseurs. Les boucheries hallal remplacent les boucheries de tradition ; le porc disparaît des cantines de l’État ou des municipalités ; le port de la chemise brodée d’édelweiss est devenu prohibé par nombre d’enseignants suisses qui tolèrent parfaitement que de jeunes musulmanes arborent leur voile islamique ; les islamistes peuvent hurler leurs prières en pleine rue, le vendredi soir, et nombreux sont les politiciens à aider, avec l’argent public, la construction de mosquées

L’on pourrait multiplier les exemples de cette inversion de polarité. Plutôt que de forcer les nouveaux venus, issus de cultures et de mentalités opposées à celles des Européens, on exige des autochtones, pourtant encore majoritaires, une tolérance d’usages médiévaux, d’abus manifestes, d’ingérences multiples dans la vie de la Nation.

Ceci s’explique très aisément. La veulerie d’une majorité de citoyens-électeurs a permis l’accès aux apparences du Pouvoir d’une cohorte de politiciens rarement efficaces, parfois corrompus, mais tous soumis à la propagande globalo-mondialiste qui exige, pour assurer la pérennité de la domination des maîtres de l’économie, la réduction des Européens en un état proche de l’abêtissement, qui sera grandement favorisé par le brassage des races, riche d’une promesse de métissage généralisé.

La grande peur des bien-pensants actuels est le réveil de fierté des Européens de souche, face à la désertification industrielle de leur continent, à l’afflux d’immigrés d’origine extra-européenne, à l’invasion par les islamistes conquérants.  

La vie en société doit tenir compte de l’opposition irréductible, car génétiquement programmée, entre les hommes d’ordre et les libéraux. Il ne s’agit pas de la simple opposition entre la « droite » et la « gauche » parlementaires, notions simplettes devenues universelles depuis les pitreries rhétoriques puis l’agitation sanguinaire des membres des assemblées françaises, qui ont débuté l’année 1789.

Le tenant de l’ordre n’est pas obligatoirement un conservateur aux plans politique et social, mais il est de personnalité obsessionnelle. Fiable, psychorigide et intransigeant, il peut être altruiste, mais de façon méthodique, donc légaliste. S’il est sentimental, il devient le serviteur fanatiquement dévoué d’une grande cause. Sa motivation est le sens du devoir et le sens de l’honneur.

Le libéral, en économie comme en politique, est un enthousiaste sectaire : il croit au progrès, mais il hait toute tradition. Altruiste avec l’argent commun, le produit des impôts, il peut être le pire des esclavagistes dans sa famille ou son entreprise. Le libéral est par essence un égoïste, dont la motivation est le succès personnel, un homme qui n’en fait qu’à sa guise tout en se donnant bonne conscience et en voulant paraître à son avantage dans la comédie humaine.

En raison de caractéristiques cérébrales différentes, l’homme, plus rationnel, est bien plus légaliste que la femme, elle-même généralement plus sensible aux charmes d’un accommodement entre parties opposées. Cette propension féminine à « arranger les choses », à ne pas suivre les règlements, à détruire les valeurs anciennes et à tolérer l’importation d’absurdités exotiques pour éviter des affrontements, est à la mode en Europe occidentale, où les hommes se sont laissés imposer depuis 1945 le féminisme, dans tous ses débordements.

Tant que les Européens n’auront pas pris conscience de l’érosion quotidienne de leurs valeurs identitaires par la mollesse politique et administrative, ils iront lentement mais sûrement vers la pire catastrophe de leur histoire.

La fin de l’Empire romain d’Occident pas plus que la Shoah ne furent des catastrophes européennes, mais elles en initièrent d’autres.

Du IIIe au VIe siècles, l’Empire accueillit de gré ou de force des tribus germaniques (dont certaines aidèrent à repousser l’invasion asiate des Huns), mais ce fut l’occasion d’une régénération du capital génétique européen, tandis que la catastrophe venait de l’implantation d’une foi rejetant la force. Le christianisme fut l’un des pires agents de destruction de l’Empire romain d’Occident… en Orient, les empereurs ayant compris la leçon, domestiquèrent leurs patriarches et poursuivirent la rude tradition impériale.

La Shoah fut une catastrophe pour les Juifs, mais elle leur permit d’obtenir un Etat indépendant en plus d’un afflux considérable – qui n’est toujours pas tari - de richesses. L’évocation quotidienne de cet épisode historique fut une catastrophe pour les Européens, étant source de dévirilisation, de repentance grotesque dans sa durée et ses effets, puisqu’étant devenue tous azimuts.

Des pleurs sur le sort des Juifs on est passé à la ridicule tolérance d’un islam militant et conquérant, à l’abjecte résignation face aux viols de la dernière Saint-Sylvestre en Allemagne, aux discours absurdes, parce qu’incomplets, sectaires et faux, sur la colonisation et l’esclavage. Les politiciens mollassons d’Europe occidentale et scandinave enfoncent jour après jour les Européens dans leur abjection.

L’Europe a besoin d’hommes d’ordre pour se régénérer. Leurs premières actions seront, bien sûr, de faire respecter les lois de séparation des États et des cultes par les islamistes et d’organiser le retour dans leurs continents d’origine des immigrés extra-européens, pour qu’ils puissent les civiliser, les faire prospérer à l’européenne.

L’Europe n’est pas une terre d’islam et ne doit jamais le devenir. L’Europe n’appartient qu’à la race européenne, de la même façon que l’Afrique n’appartient qu’aux Africains.  

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dimanche, 17 avril 2016

La chasse au Nobel de la paix est ouverte

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Dr Bernard Plouvier

La Chancellière allemande a raté le prix l’An 2015, après avoir accueilli – sans demander l’avis du peuple souverain, mais quand l’on est issue de RDA, c’est un réflexe que l’on n’a pas forcément acquis – 1,1 million d’immigrés africains, proche- et moyen- orientaux, si sympathiques, courageux, probes etc… au point que les artistes en tous genres se précipitent pour apporter leur soutien à ces êtres d’élite et d’exception, comme certains le font, en France, à leurs concurrents de la « Jungle calaisienne ».

Chacun se souvient de la nuit blanche du 31 décembre à Cologne, Hambourg et autres hauts-lieux festifs de l’immigration islamique, mais le second semestre de 2015 avait été riche de crimes et de délits en Allemagne, comme on l’a appris depuis lors. Il est probable que, dans un an ou deux, l’on saura si les honorables immigrés-réfugiés ont poursuivi en 2016 leur apostolat islamique et criminel (comme ils le font en France et en Belgique). Pour l’instant, les administrations policières et judiciaires allemandes sont aussi silencieuses que de célèbres communautés sicilienne et napolitaine.

D’Italie, via l’Argentine, et de la Cité-État du Vatican, nous vient le second candidat : un homme de poids autant que de théâtre, le pape actuel. Il n’a pas craint le ridicule, alors qu’il dirige un clergé miné par les accusations d’homosexualité et de pédophilie, de se rendre sur le haut-lieu du saphisme antique : l’île de Lesbos.

Il s’y est livré à son habituelle comédie burlesque et démagogique, accompagné de gouvernants grecs et d’un patriarche orthodoxe, pour tancer les vilains Européens qui n’accueillent pas assez d’immigrés extra-Européens, dans leur continent durement touché par une crise industrielle et commerciale de longue durée, saturé de chômeurs et d’immigrés.

Tout au plus, le pontife a-t-il déclaré qu’il comprenait la peur de certains Occidentaux, sans trop insister sur le sujet du terrorisme qui, à l’évidence, est une exclusivité islamique depuis une dizaine d’années.

Pour donner l’exemple, le pape emmène avec lui, dans son jet, une vingtaine d’immigrés… tous musulmans ! Il se propose de les accueillir (pour combien de temps ? l’honnête homme ne l’a pas précisé) dans la Cité du Vatican. Le pontife aurait pu choisir des chrétiens de Mésopotamie ou de Syrie, et tout le monde aurait compris la portée de son geste, mais cela n’aurait pas calmé sa soif de popularité, de démagogie, de tra-la-la médiatique : il a préféré des islamiques.

Et là on rigole : vendredi prochain (et les éventuels vendredis suivants), où ces honorables fils de la « vraie foi » vont-ils prier et qui sera leur imam ? Entendre adorer Allah en arabe, au Vatican, ça ne va pas manquer de sel ! Le pape les a pris et recueillis ; va bene, mais qu’il les garde !

L’Europe est déjà submergée de musulmans, qui ont introduit leurs coutumes médiévales et barbares sur notre continent. Ce n’est plus d’immigration qu’il faut parler. C’est le retour dans leur continent d’origine des Extra-Européens musulmans qu’il faut organiser. Plus de discours, des actes !

A-t-on dit au pape latino-américain que, depuis la fin du Moyen-Âge, les Européens n’acceptaient plus d’ingérence pontificale dans les affaires temporelles ?  

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lundi, 11 avril 2016

La chienlit Hollando-vallsienne

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Dr Bernard Plouvier

Depuis une quinzaine de jours, mais avec une agressivité et une capacité de nuisance accrues de jour en jour du fait de l’énorme publicité donnée à ce mouvement grotesque, des potaches contestent les stipulations d’une loi visant à modifier la réglementation d’un monde dont ils ignorent tout : celui du Travail.

Que cette loi soit critiquable, c’est une évidence. La ministresse, qui en a endossé la responsabilité, n’y connaissait manifestement pas grand-chose. Comme sa consœur de l’Éducation nationale, elle n’avait pratiquement jamais travaillé de sa vie, hormis de « petits boulots » d’étudiants, avant de se lancer en politique.

Effectivement, notre pays se meurt lentement, en grande partie parce que les élus sont des professionnels de l’agit-prop. qui n’ont jamais exercé un métier utile à la Nation. Il faudra bien, un jour, que les citoyens réfléchissent à deux fois avant de laisser les apparences du Pouvoir à des rhéteurs professionnels, des handicapés de l’utilité sociale, des bons à rien faire d’autre que de pérorer et promettre la lune.

La première remarque de fond, concernant les manifestations d’étudiants et de lycéens, porte sur leur existence même. Il s’agit de rassemblements de masse, simultanément organisés dans une soixantaine de villes, ce qui doit quelque peu perturber le fonctionnement de nos glorieux policiers, alors que nous sommes « en état d’urgence » !!! Si l’on voulait ridiculiser le pays et faire fuir les investisseurs étrangers, on ne pourrait faire mieux. Et le remarque est identique concernant l’action des candidats terroristes, qui en est grandement facilitée… à moins que les « barbus » aient reçu l’ordre de se calmer en attendant les présidentielles de 2017, pour éviter un raz-de-marée patriote.

La seconde remarque porte sur les participants, les suiveurs, tels qu’on a pu les observer grâce aux innombrables reportages télévisés. Dans l’ensemble, histrions et hystériques se donnent en spectacle ; c’est plus simple que de travailler les mathématiques, la philosophie ou la biologie.

L’on a manifestement affaire à des potaches élevés en petits princes et en jolies (pas toujours) princesses, qui ne connaissent rien, mais absolument rien, des dures réalités de la vie, et qui, à se fier à leurs déclarations, ont déjà une mentalité de petits fonctionnaires !

L’expérience de mai 1968 et de son remake raté de 1969 (oublié de bien des « historiens ») permet à l’auteur de ces lignes d’imaginer qu’il y a probablement fort peu de fils et de filles de pauvre pour traîner dans ces manifestations. Ceux-là doivent être en train de « bosser » pour faire mieux que papa et/ou maman ; ceux-là savent qu’étudier est un privilège qui permet une véritable promotion, acquise et justifiée par l’utilité sociale.

Après tout, cette vérité profonde est bien connu des véritables travailleurs : à savoir que les revendications sont toujours inversement proportionnelles à la quantité et à la qualité du travail fourni et que les meilleurs travaillent plus qu’ils ne râlent.

Que des manifestations, tolérées par un « Pouvoir » aux abois, en régime laxiste, dégénèrent en mini-émeutes et en dégradations & pillages de toutes sortes, n’étonnera que les niais. Il est probable, en outre, que diverses manifestations aient dégénéré en orgie alcoolo-sexuelle, selon la recette soixante-huitarde bien connue. Simplement, préservatifs et Loi Veil éviteront les grossesses non désirées.

Reste le cas des meneurs, reçus en grande pompe par un premier ministre en déconfiture et son ministre de l’Économie, plus souriant que jamais depuis qu’il a démontré à tout le monde qu’il se positionnait pour les présidentielles de 2022, tout en devenant candidat au poste de premier ministre, quel que soit le résultat de celles de 2017 : quand on se place ailleurs, on est forcément bon à tout et bon pour tout. Il a du moins l’avantage d’être jeune et (peut-être) dynamique.

Ces meneurs sont de futurs politiciens qui préparent leur avenir. Les plus travailleurs entreront à l’ENA, les plus friqués dans une école de commerce ou de management, les autres se contenteront d’une licence de droit ou de sciences économiques, voire de sociologie… et tous tenteront de se faire admettre au Grand-Orient, voire au Club Le Siècle.

Avec de telles « élites », les potaches qui manifestent se préparent un avenir glorieux.

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samedi, 09 avril 2016

Pédophilie : perversion, crime et « péché »

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Dr Bernard Plouvier

L’actualité – en l’occurrence les errements d’un évêque catholique – fait resurgir un grave problème de société, aussi vieux que l’humanité. Comme pour d’autres sujets, les pitres des media désinforment plus qu’ils n’informent.

La pédophilie, qui ne fut réprimée durant l’Antiquité que par des règlements de comptes entre familles ou individus, fut diversement punie ensuite selon les civilisations, les chrétiens étant les moins laxistes jusqu’à la disparition de l’influence du clergé sur la justice (en France, au milieu du XVIIIe siècle)… même un athée - c’est le cas de l’auteur de ces lignes - se doit de le reconnaître.

Au XXe siècle, elle fut considérée avec un certain détachement par les Occidentaux, lorsqu’elle était pratiquée en milieu exotique. Sa pédophilie menée auprès de jeunes Tunisiens n’empêcha nullement André Gide d’être nobélisé. Henry de Montherlant et Roger Peyrefitte firent un concours de « tableaux de chasse » pédophiles jusqu’aux années 1970. Seul le IIIe Reich lutta très vigoureusement contre la pédophilie incestueuse, les familles étant un haut-lieu de sa pratique, où l’on pratique volontiers l’omerta.

En terre d’islam comme en Asie du Sud-Est, la pédophilie fut volontairement négligée par les autorités jusqu’aux vingt dernières années, et la nouvelle rigueur législative ne fut pas dépourvue d’arrière-pensées financières : lourdes amendes et dédommagement aux parents… souvent consentants, voire organisant la prostitution de leur progéniture. Jusqu’à la fin du XXe siècle, le « tourisme sexuel » fut une pratique hautement orientée vers la pédophilie… les médecins étant sollicités par les « touristes » de retour en zone civilisée pour détecter et soigner les inconvénients de la prostitution pédophile (qui existait même en France, durant les années 1980-2000… on ne jurerait pas qu’elle ait disparu de nos jours). 

La pédophilie (homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle) est d’abord et avant tout un problème d’ordre médical. Il s’agit d’une perversion, ce qui se définit comme un acte (ou un discours) qui nuit à la santé physique ou mentale d’autrui et du pervers lui-même. Comme tout comportement animal, la sexualité et le rapport dominant-dominé sont génétiquement programmés.

On ne le répétera jamais assez : l’homme est un animal, ne se différentiant du reste des primates que par un néocortex à six couches de neurones superposées qui lui offre la transcendance, soit la faculté de juger ses actes, avant, après, mais aussi en cours de réalisation. Le libre-arbitre (soit le choix préalable à l’acte) existe, certes de façon rudimentaire, chez nombre d’animaux, comme n’importe quel éleveur de chiens ou de chevaux peut le constater et comme l’ont révélé les travaux des éthologues germaniques et scandinaves.  

Le pédophile est un individu immature émotionnellement et sexuellement. Il est peu capable, voire totalement incapable, d’avoir des relations sexuelles complètes avec une personne adulte et consentante. C’est un timide, volontiers sournois, qui veut dominer son partenaire ou assouvir une homosexualité dont il a honte (en valeur absolue ou simplement pour son retentissement social).

Depuis la glorieuse révolution soixante-huitarde, nombre de médicastres et de psy. en tous genres s’intéressent davantage au pervers qu’à ses victimes, osant même prétendre que le scandale public de la révélation de ses agissements suffit à éviter les récidives, ce qui est entièrement faux : les études judiciaires US et canadiennes le démontrent… comme d’ailleurs l’expérience du médecin confronté aux pervers pédophiles (ce fut mon cas à trois reprises).

On ne peut rééduquer un comportement humain, puisqu’il est génétiquement induit, donc soumis à la récidive. Il faut traiter par moyen chimique le psychotique, le névrotique, le psychopathe, le sociopathe ou l’enfermer à vie… voire l’exécuter s’il a doublé son acte pédophile de l’assassinat (ce qui est beaucoup moins rare qu’on ne le croit : presque tous les assassinats d’enfants et d’adolescents sont la suite d’un crime de pédophilie pénétrante).

La pédophilie est un délit ou un crime, au plan pénal, selon qu’il s’est agi d’attouchements ou de pénétration, voire de viol. La majorité sexuelle (différente de l’âge pour l’autorisation au mariage) varie, selon les pays, de 12 à 21 ans. En France, elle est de 15 ans (16 en Belgique et au Canada ; de 16 à 18 ans, selon les États de l’Union, aux USA). La mention juridique française « mineur de 15 ans » est un idiomatisme juridique signifiant « mineur de moins de 15 ans » : il est bon de le savoir pour décrypter les informations publiées.

Reste à envisager une notion purement religieuse : celle de « péché ». Un athée doté d’une surconscience (ce qui n’a rien à voir avec le grotesque « surmoi » de la supercherie psychanalytique freudienne) parlerait de faute morale et ne se la pardonnerait jamais… ce qui explique nombre de suicides.

Un chrétien ne peut que suivre le texte évangélique, terrible (Évangile selon Matthieu, XVIII, 5-7) : « Quiconque accueille un petit enfant… c’est moi qu’il accueille. Mais si quelqu’un scandalise l’un de ces petits qui croient en moi, il vaut mieux pour lui être jeté en mer avec une meule attachée autour du cou… Malheur à l’homme par qui le scandale arrive ». Non seulement, il s’agit d’un péché, mais apparemment aussi d’un « péché mortel » que le Christ jugeait inexpiable.

En zone d’islam, l’on s’autorise des relations jugées pédophiles en terres civilisées : Mahomet (qui connut une dizaine d’épouses, dont certaines obtinrent le divorce) eut des relations sexuelles avec l’une d’elles, Aïcha, alors que celle-ci n’était âgée que de neuf ans : c’est la sîra, soit la biographie officielle du prophète, qui nous l’apprend. Un Européen n’a que faire des us et coutumes d’Arabie, au VIIe siècle. Il est hors de question qu’en Europe soient institutionnalisées la polygamie et la pédophilie, par égard envers des immigrés exotiques.

Enfin, il est évident que les pédophiles orientent volontiers leur activité professionnelle vers les jeunes, dont certains sont si aisés à dominer. Que l’enseignement ou les clergés soient plus fréquentés par les pédophiles que d’autres types d’activité ne surprendra personne.

Le seul sujet d’étonnement tient au caractère tardif de l’intérêt des nobles et vertueux commentateurs : après tout, les procès de prêtres et religieux catholiques, en 1936-37, dans le Reich hitlérien, étaient liés soit à des affaires de fraude fiscale et d’évasion de capitaux, soit – pour la majorité d’entre eux – à des affaires d’homosexualité pédophile… les vertueux journalistes étrangers (et à leur suite, la quasi-totalité des historiens patentés) parlèrent de « persécutions » !

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vendredi, 08 avril 2016

Paris, l’ex-Ville Lumière, devenue capitale de la Cloche

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Dr Bernard Plouvier

Avec la globalo-mondialisation, tout change en France. Nos dirigeants étalent sans vergogne leurs émois sexuels et leur avidité. L’on ferme des écoles, des bureaux de poste, des gares et des sous-préfectures, pour comprimer les dépenses, mais le déficit public pharaonique n’empêche nullement de multiplier, année après année, les allocations et subventions aux millions d’immigrés d’origine extra-européenne. Pendant ce temps, l’on fait appel à la générosité populaire pour la recherche scientifique, pour les pauvres, pour les malades, les sans-abri, les sans-papier, etc.

Si l’on préfère : l’État, qui soutire de plus en plus d’argent aux contribuables, offre de moins en moins d’infrastructures, favorise l’intrusion d’étrangers qui coûtent beaucoup à la collectivité, et se transforme en music-hall grivois et obscène… ce qui n’est pas sans rappeler le scénario de l’Allemagne de Weimar, durant les tristes années 1930-32.

Nos très curieux « socialistes », associés aux écologistes bourgeois, ne ratent pas une occasion de verser des larmes de crocodile sur les misères sexuelles du sidéen trop avarié pour attirer encore le client, sur les couples bizarres victimes « d’homophobie », sur les malheurs d’immigrés-réfugiés à qui nul Français n’a demandé d’affluer sur un sol déjà fort encombré de chômeurs de très longue durée… l’on pourrait allonger la liste des lamentations indues.

Un observateur impertinent ne peut que s’étonner du mélange de fausse compassion et d’immobilisme à la tête (supposée) de l’État. Après tout, un chef se doit d’abord et avant tout d’agir, plutôt que de pleurnicher entre deux banquets et trois voyages à l’étranger. Or, notre glorieux Président et son gouvernement brassent surtout du vide. Après la comédie du pseudo-état d’urgence, on joue le mélodrame de la réforme du droit du travail. Bientôt, on se lancera dans la campagne des présidentielles pour sauver quelques sinécures, dans le désastre qui semble s’annoncer.

Pourtant, le spectacle quotidien offert par notre capitale, haut-lieu touristique (du moins avant les attentats islamiques de 2015), aurait de quoi réveiller nos « chefs » s’ils se souciaient tant soit peu du Bien commun, au lieu de tout laisser pourrir.

Promenez-vous dans Paris, d’Ouest en Est, du Sud au Nord, le long des rives de la Seine… et vous verrez une multitude de clochards, pour moitié des autochtones (dont beaucoup mériteraient un séjour en hôpital psychiatrique) et pour moitié des immigrés, inutilement importés… car on peut difficilement soutenir que ces individus sont là « pour payer la retraite des vieux Français ».  

Paris est souillée par du débris qui n’a plus d’humain que l’appellation. Après les crimes des djihadistes, le triste spectacle de cette sous-humanité est une nouvelle offense à la dignité des Français et ne peut que détourner les touristes d’une ville autrefois célèbre pour sa beauté.

Il n’est que temps de balayer la racaille qui plastronne dans les palais de la République. Bêtes, corrompus et incapables, ils sont indignes d’être à la tête d’une Nation qu’ils aveulissent par leur incurie, le spectacle de leurs pitreries, les scandales de leur vie dissolue et de leurs turpitudes financières.

Paris est devenue la capitale de la Cloche, ce n’est hélas que trop évident. Il serait temps que Paris ne soit plus le chef-lieu d’un pays de cloches.

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jeudi, 07 avril 2016

Le totalitarisme rampant

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Dr Bernard Plouvier

Comme toujours lorsqu’on aborde un sujet trop souvent traité par les media, il importe de le définir avec précision. Le totalitarisme n’est nullement propre à une idéologie : c’est le comportement de tout régime où l’on veut obtenir l’uniformité de comportement, de pensée et d’expression.

Par définition donc, il s’agit d’un système où les maîtres de la vie politique et judiciaire imposent une réglementation sur tous les sujets, y compris l’exercice professionnel et la vie privée des individus, en plus d’un prêt à penser et de confusions sémantiques obligatoires, devenant des stéréotypes… du genre : « Seul le Blanc est raciste », ce qui fait hurler de rire qui a un peu fréquenté les études historiques et les quartiers chauds, riches en immigrés exotiques.

Par la volonté des génies du soi-disant gouvernement européen, siégeant à Bruxelles, et du fait de la complicité active de leurs confrères qui font semblant de gouverner à Paris, Berlin, Londres, Rome et autres lieux, l’Europe occidentale est entrée dans un totalitarisme, encore mollasse et sournois, mais qui envahit progressivement toutes les activités quotidiennes.

Jamais le régime nazi (que l’auteur de ces lignes connaît un peu cliquez ici) n’a légiféré sur la vie privée, hormis pour réprimer l’inceste, lutter contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, interdire stupidement certaines unions (notamment avec ceux qui depuis 33 siècles pratiquent rituellement l’endogamie) et limiter la vitesse des automobiles en ville, en une période où les « démocrates » préféraient ignorer les crimes et délits sexuels et ne s’intéressaient guère aux accidents de la circulation.

De nos jours, les parents et grands-parents deviennent délinquants s’ils calottent un rejeton grossier, arrogant ou malfaisant. De la même façon, il est mal vu de forcer les (pas toujours) charmants potaches à travailler plus et mieux : leçons et devoirs sont devenus presque intolérables, et l’on va même jusqu’à adapter l’orthographe française au crétinisme et à la débilité ambiants.

L’agriculture et l’artisanat sont victimes d’une foule de décrets bruxellois qui règlementent jusqu’aux insecticides et pesticides, voire la fabrication des fromages, pour complaire à quelques ânes bâtés de l’écologie mondaine… et lorsque les rats pulluleront de nouveau, l’on pourra étudier in vivo ces cas de peste qui n’existent plus, de nos jours, que dans les zones les plus arriérées de la planète.

De la même façon, l’on met une foule d’obstacles à l’obtention du gaz de schistes ou du pétrole de roches, par révérence aux multinationales qui ne veulent pas de cette concurrence, d’autant plus gênante que les coûts d’extraction sont moindres qu’on ne le pensait. Quant à la pollution des nappes phréatiques, c’est un argument stupide, bien digne des écologistes ignares : les zones d’extraction se situent à des centaines de mètres du niveau des nappes…  au XVIIIe siècle, les mines de charbon étaient déjà réputées frelater les sources d’eau potable !

Tout ce qui est utile aux véritables maîtres du jeu économico-politique devient ipso facto vérité évangélique : nécessité d’une immigration de masse avec, en corollaire, l’islam envisagé comme une religion de paix et d’amour ; réchauffement climatique ; notion de « rogue state » (État voyou… soit celui qui résiste à la globalo-mondialisation) ; la grande avancée technologique de la voiture électrique (sans trop se soucier de la fréquence du rechargement des batteries) ; le péril viral imminent, partant, la nécessité de donner de larges aumônes aux organismes quêtant pour l’Afrique (sans trop se soucier, là encore, de la véritable destination des sommes ainsi collectées) etc.

Les grandes vérités, répétées jour après jour, sur tous les tons, par les media, les politiciens et les manifestants des rues et des boulevards sont, bien sûr : la nécessité du métissage universel, le « péril fasciste » et la « dérive sécuritaire »… en résumé, les slogans de la lutte très active de nos maîtres contre le bon sens et la simple autodéfense des Nations européennes, menacées dans leur existence même.

Les Européens se croyaient débarrassés du totalitarisme depuis la fin du fanatisme chrétien et de l’impérialisme communiste. Fatale erreur ! On leur impose le fanatisme et l’obscurantisme médiéval de l’islam, la sottise des écologistes aussi arrogants qu’ignares – et qui font un tort considérable à la véritable écologie -, une réglementation multinationale grotesque – qui fait reculer d’année en année l’échéance d’une véritable union des Nations européennes -, un humanitarisme de pacotille, niais en apparence, très fortement mercantile dans sa triviale réalité – qui est une offense au principe même de la solidarité humaine.

Notre époque est abjecte, non seulement par son hédonisme et sa platitude, mais aussi par la profonde médiocrité de sa propagande omniprésente, standardisée au point qu’on la retrouve quasi-identique dans tous les continents… « l’ennui naquit un jour de l’uniformité », a écrit notre La Fontaine. De la bêtise, de l’arrogance et de l’incompétence des maîtres, surgira l’insurrection dans chaque continent.

Du totalitarisme globalo-mondialiste, naîtra l’Europe unie, la vraie : celle ces Nations de souche européenne.  

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mercredi, 06 avril 2016

Scandale du Panama – Bis repetita

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Dr Bernard Plouvier

Décidément, les Français s’amusent beaucoup avec les détails croustillants des investissements panaméens… encore faut-il avoir un peu de mémoire ou de culture pour s’en souvenir.

Le scandale de la liquidation judiciaire de la Compagnie du percement du Canal de Panama s’est étalé de 1891 à 1893. Il a démontré à quel point étaient pourris les milieux (dans tous les sens du terme) de la politique, du journalisme, de la banque, et même des hauts-fonctionnaires de la Justice et de la Sûreté de la IIIe République… les chéquards du Panama et leurs corrupteurs se referont une virginité grâce à l’affaire Dreyfus, d’autant que l’intérêt communautaire d’un grand nombre d’accusés le commandait.

En avril 2016, une officine chargée de révéler des scandales, au besoin un peu épicés de malice et de sous-entendus calomniateurs, lance l’affaire Panama Papers, soit une partie (soigneusement expurgée) des archives d’une société internationale de placements. Cette vertueuse officine se nomme pompeusement Center for Public Integrity… et là, on rigole franchement.

Parce que derrière cette dénomination éthiquement irréprochable, on trouve les Fondations globalo-mondialistes Carnegie, Ford et Rockefeller, ainsi que la plus honnête des officines bancaires cosmopolite la célébrissime et irréprochable société Goldman-Sachs (demandez aux Grecs ce qu’ils en pensent) et mieux encore : le sieur Soros, un archange de vertu kascher (casher serait plus juste).

Cet être irréprochable est le spéculateur juif le plus connu de la planète, qui a trafiqué (au sens commercial du terme, bien entendu) sur les monnaies et les matières premières. Né György Schwartz, il a préféré adopter le nom moins ashkénaze de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme). C’est un grand philanthrope, interdit de séjour en Russie. Ce très honnête homme a été condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière ; il est donc partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance !

Évidemment, avec de telles cautions, l’on comprend que le CPI ait quelque peu (oh, trois fois rien !) trié ses révélations. Elles touchent le gouvernement islandais… qui a libéré en un temps record la Nation islandaise de la faillite et d’une Dette prodigieuse, ce qui n’a pas fait la joie des requins de la finance cosmopolite, qui voulaient mettre l’ile en coupe réglée.

De même, le vertueux CPI épingle Vladimir Poutine et ses soutiens, quelques dignitaires chinois et, qui en eût douté ? Bachar el–Hassad… bref, rien que des amis de la globalo-mondialisation ! Faut-il croire que le très bénin David Cameron ait pêché contre la pure doctrine pour être éclaboussé, via la mémoire de son père, ou qu’on l’incite à s’engager bien davantage dans la campagne électorale pour éviter la sortie de la Grande-Bretagne du business financier européen ?

En France, c’est – bien sûr – le Front national que l’on tente de salir par la bande (voire même hors des limites du billard politique)… alors que les plus belles canailleries de ces 15 dernières années sont venues du Parti socialiste et des ex-gaullistes (dont l’appellation change tellement souvent qu’on ne sait plus trop laquelle employer).

Pour être crédible, il faut être soi-même honnête : impartial dans l’information et propre dans les fonds de fonctionnement. Au moins a-t-on appris, grâce à ce scandale d’information partielle qui tourne à la désinformation, quels relents dégageait l’officine au très joli nom de Center of Public Integrity.

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mardi, 05 avril 2016

Les nouveaux « Collabos » et le Héros

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Dr Bernard Plouvier

En ce printemps de l’An 2016, les Européens de l’Ouest et ceux de l’Est s’opposent de façon caricaturale dans leurs rapports à l’islam conquérant et aux djihadistes.

À l’Ouest, rien de nouveau ! En Allemagne, une ex-violée de la Saint-Sylvestre déclare comprendre la frustration sexuelle des immigrés maghrébins et regrette d’avoir porté plainte. Le pape François hurle ses imprécations contre les Européens égoïstes qui refusent d’accueillir davantage d’Africains, noirs et maghrébins, de Proche et de Moyen-Orientaux… en majorité musulmans !

En France, on dépense quelques millions d’euros dans une grande campagne de lutte contre le racisme : Tous unis contre la haine, qui a pour but de faire croire aux crétins décérébrés que la France est peuplée de millions de vilains Blancs racistes, agressant, par simple joie de nuire, du gentil Noir, de l’adorable Maghrébin, du vertueux Turc (variantes : Proche- ou Moyen-Oriental). Cette coûteuse absurdité va jusqu’à nier l’existence même du racisme anti-Blancs.

Un ou une carriériste d’Air France veut faire porter le voile islamique aux hôtesses de l’air d’origine européenne pour les vols à destination de l’Iran ou qui en proviennent… et par la suite, on imagine que cette mesure de prostitution commerciale sera étendue aux lignes desservant les autres États islamiques.

On ne compte plus les mosquées, en Belgique, en France, en Scandinavie, où imams et oulémas gueulent tous les vendredis soirs leur haine de l’infidèle. Et pendant ce temps, d’honnêtes politiciens, à la recherche des voix d’immigrés, bradent terrains et bâtiments municipaux pour permettre l’édification de nouvelles mosquées (qui servent parfois aussi de salles de sport de combat).

En France, le porc est interdit dans les cantines scolaires et, bientôt, il sera difficile de trouver une viande qui ne soit pas halal.

En Belgique, à Molenbeek, des rejetons de l’immigration arabo-musulmane et congolaise se sont violemment affrontés à la police anti-émeute le 1er avril, ce qui a occasionné les habituelles scènes de pillage et de vandalisme, en plus de l’écrasement d’une Belge par un gentil chauffard maghrébin… les contribuables et les assurés belges paieront la note. Une élue locale, probablement hautement intellectualisée, a incriminé, non les émeutiers immigrés, mais des « fascistes ». Renseignements pris, des militants de Génération Identitaire voulaient manifester, mais ne l’ont pas fait : ils ont respecté l’interdiction qui leur avait été signifiée par le chef de la police du Grand Bruxelles. Mais les extra-Européens ont trouvé bonne l’occasion de démontrer ce dont ils sont capables à tout moment : rébellion, émeute raciale et destructions. Cela, c’est la façade Ouest de l’Europe.

À l’Est, une lueur d’espoir naît. Il existe, là-bas, un homme d’État qui a pris conscience du péril. Là-bas, il existe des héros prêts à mourir pour combattre l’islam conquérant. Pendant que les politiciens français, belges, allemands etc. donnent des milliards d’euros à la Turquie (où l’on tente de devenir une puissance nucléaire), des soldats russes se battent en Syrie, au sol et dans les airs, contre l’État Islamique, où le calife Abou Bakr II coordonne les attentats qui ensanglantent l’Europe.

Il y a quelques jours, le lieutenant russe Alexandre Prokhorenko s’est battu jusqu’à la mort face aux djihadistes. Sa mort glorieuse a enthousiasmé les vrais Européens. Quelque part à l’Est, l’on forme encore de vrais soldats, qui savent pourquoi ils se battent et qui le font jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut, non pas dans des missions de police, mais en combattant le Mal à la racine.

À l’Ouest, clowns des media et pitres politiciens globalo-mondialistes pérorent sur un inexistant « péril fasciste » et sur la très curieuse « nécessité » d’accueillir encore des millions d’extra-Européens dans un continent en voie de paupérisation et en proie à un énorme chômage.

À l’Est, on envoie des troupes écraser le Mal, de façon à y réexpédier les réfugiés pour qu’ils puissent de nouveau vivre chez eux, pour moderniser leurs pays (Libye, Irak, Syrie, Afghanistan, Yémen etc.), en exploiter les richesses naturelles, échanger avec les pays développés le produit de leur travail et ne plus vivre en état de boulets économiques pour les peuples civilisés.

Le véritable humanisme est de pacifier les pays islamiques, ravagés depuis que George Bush Jr et Hussein Obama en ont donné l’ordre, de façon à ce que leurs ressortissants puissent travailler et entrer dans le monde du commerce équitable, valeur contre valeur, sans vivre aux crochets des Nations qui sont devenues prospères, en deux millénaires, à force de travail. Paix et Travail seront plus profitables à l’humanité que le triomphe d’une religion où un chef de très haute volée encourage ouvertement les assassinats et les attentats terroristes.    

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lundi, 04 avril 2016

Les roublards du voile islamique

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Dr Bernard Plouvier

Chacun sait avec quelle vigueur nos politiciens nationaux et locaux font respecter la Loi de 1905, instituant la séparation entre les religions et l’État. Officiellement, le port du voile islamique est interdit dans les établissements publics, scolaires et universitaires, hospitaliers et administratifs… il faut n’avoir pas fréquenté récemment ces établissements pour croire encore en l’application de la loi.

Toutefois, cette loi existe et jusqu’à son abolition, chacun est censé, non seulement ne pas l’ignorer, mais également l’appliquer.

Or, pour des raisons de (re)conquête du marché iranien (ni très riche, ni très important) les dirigeants de la société Air France, dont l’État détient encore 15% du capital, ont tenté d’obliger leurs hôtesses à porter le voile islamique, d’abord lors des vols vers l’Iran ou en provenant, avec l’arrière-pensée de l’exiger pour les trajets vers les autres États médiévaux, où la femme est l’humble servante de son nabab d’époux, dans son harem où il peut concentrer quatre femmes, en plus des esclaves dans les pays où persiste (discrètement) cette pratique, esclaves dont le despote peut user à sa convenance… lisez le coran !

Dans ces conditions, pourquoi n’habillerait-on pas nos hôtesses européennes d’un sari pour les lignes destinées à l’Inde ou ne les déguiserait-on pas en geishas (avec ou sans les attributs de ces « hôtesses » d’un genre très spécial) ? Où s’arrêtera-t-on dans la prostitution commerciale ? C’est la seule question à poser, lorsqu’on se trouve confronté à une telle crétinerie.

L’Europe fut exportatrice de civilisation. Il serait sot de l’oublier. Si les chefs d’État musulmans parlent haut et fort, c’est parce que des Européens et des Nord-Américains d’origine européenne ont découvert des champs pétrolifères dans des pays, où ils stagnaient depuis des millions d’années et où ils auraient pu le faire longtemps encore sans la technologie occidentale.

L’islam n’est fort que des pétrodollars de ses émirs, mollahs et roitelets, qui utilisent une démographie de primitifs pour envahir l’Occident et y porter une guerre de races et de religions.

Nous autres, Européens, n’avons pas à leur faciliter la tâche. Bien au contraire ! La très ignoble proposition d’un ou d’une carriériste d’Air France doit servir de sujet de réflexions. L’occident est malade des excès de zèle d’agents collaborateurs des nouveaux envahisseurs.

Plutôt que de hurler contre un « péril fasciste » inexistant ou pour le maintien d’une sous-activité de certaines catégories de travailleurs français, liée à quelques lois du travail obsolètes, il devient urgent de comprendre quel est le vrai péril et qui sont nos pires ennemis.

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dimanche, 03 avril 2016

Déclin et mort des grandes civilisations

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Dr Bernard Plouvier

C’est un truisme que de comparer le déclin de l’Europe occidentale à la chute de l’Empire romain - ce qui est d’ailleurs une fort mauvaise expression, car sa disparition, loin d’être brutale, fut précédée d’une décadence étalée sur trois siècles, entrecoupée de sursauts, hélas peu durables.

On sait depuis les réflexions de Jacob Burckhardt (in Considérations sur l’histoire universelle, de 1868, une œuvre largement rééditée depuis lors) que son apogée précède de peu la chute d’une civilisation.

L’apogée de l’Europe occidentale et centrale fut long, échelonné du XVIIe siècle à 1918. Son déclin, amorcé en 1918, attendit toutefois l’année 1945 pour se révéler pleinement : l’ultra-capitalisme rooseveltien et l’impérialisme marxiste se partagèrent l’Europe, puis ses colonies à mesure de leur soi-disant indépendance. Le camp marxiste se polarisant rapidement entre Moscou et Pékin, le monde subit une tripartition en matière de zones d’influence, jusqu’à l’effondrement du camp marxiste. La domination, peu subtile et source d’aveulissement, des Nord-Américains est contestée, depuis les environs de l’An 2000, par les géants russe et chinois, en pleine renaissance.

Il ne faut pas déployer de trésor d’imagination ni une grande profondeur d’analyse pour comprendre les causes de l’effondrement progressif de la Rome impériale… et ces causes sont exactement les mêmes que celles de notre déclin d’Européens.

Toutes les sociétés antiques furent fondées sur le nationalisme matrimonial et politique. Ce fut le cas à Rome jusqu’à Caius Julius Caesar, qui brisa les tabous en épousant la gréco-égyptienne Cléopâtre VII et surtout en introduisant des Gaulois et des Ibères au Sénat. C’est le fils de Septime-Sévère, le meurtrier débauché Caracalla, qui fit de tous les hommes libres de l’Empire des citoyens romains.

Il est bon de préciser qu’en dépit d’affirmations contraires de pieux chroniqueurs mal renseignés, Saül de Tarse, plus tard saint Paul, ne fut jamais « citoyen romain », mais jouissait du titre de citoyen de la ville de Tarse, ce qui était tout différent. Le seul Juif qui ait jamais obtenu le titre de civis romanus avant l’année 212 fut le traître et renégat Flavius Josèphe, lui-même auteur raciste et menteur, comme chaque lecteur de sa prose peut s’en rendre compte.

Lorsqu’en 212, Caracalla octroie le bénéfice de la prestigieuse appellation et de ses privilèges, ce n’est évidemment pas par l’effet d’une bonté d’âme qui lui fut toujours étrangère, mais pour des raisons fiscales : 10% de la valeur des successions de citoyens romains revenaient automatiquement au Trésor impérial.

En 1976, par leur ignoble décret 76-383 du 29 avril, paru au JO du 2 mai, portant sur le « regroupement familial » des travailleurs immigrés – une décision prise, bien sûr, sans avoir consulté le peuple souverain -, Valéry Giscard et Jacques Chirac ont voulu relancer une consommation intérieure française défaillante pour cause de dénatalité autochtone et de premier choc pétrolier. On retrouve le même souci économique, présenté, bien entendu, comme une mesure humaniste !

Dans les deux cas, les conséquences furent identiques. On introduisit dans l’État des individus issus d’autres races et d’autres cultures que celles des hommes qui avaient créé, façonné, enrichi l’État. La plupart des nouveaux élus se conduisirent en parvenus, prenant les privilèges, sans faire le moindre effort pour s’en montrer dignes… et une grande majorité des intrus de notre époque continuent de le faire.

À l’heure du péril, aux IVe –Ve siècles, les nouveaux promus ne fournirent pas ou très peu de soldat pour défendre l’Empire. De nos jours, deux mille cités de non-droit égaient la France, mais il existe aussi des « quartiers dangereux » en Belgique (ils auraient même tendance à défrayer la chronique en 2016), en Grande-Bretagne (tout le monde se souvient des émeutes raciales qui ont commencé au début des années 1980, sans cesser depuis) et en divers pays scandinaves, tandis que des rejetons de l’immigration musulmane font parler d’eux de curieuse façon : vols, viols et autres agressions physiques, trafic de drogues et d’armes, vandalisme effarant et gratuit, émeutes raciales et, depuis 2014, terrorisme islamiste aveugle.

À l’évidence, il semble fort peu prudent d’admettre des musulmans dans les forces de l’ordre, les armées ou les organismes pénitentiaires des États européens : en d’autres temps, l’on aurait parlé de 5e colonne.

La seconde cause de la décadence romaine antique (et de la nôtre) fut et demeure une extraordinaire flambée de bien-être. Le confort de vie et la sûreté n’ont jamais été plus grands dans l’Empire qu’à son apogée des Ier et IIe siècles ou, chez nous, durant les années 1965-1980, en dépit de quelques remous plus spectaculaires que profonds. En tous temps, l’on a pu constater que les fils de nantis sont rarement prêts à se sacrifier pour protéger le Bien commun, s’ils forment une majorité des politiciens « de gauche » et des manipulateurs d’opinion publique. Trop de bien-être amollit, physiquement et mentalement. Jamais les « bobos » (qui sont de toutes les époques) n’ont été aussi mous et aussi naïvement voués aux slogans humanitaires que de nos jours… ce qui introduit l’item suivant.

La troisième cause de décadence et de chute fut le christianisme. Une religion d’essence féminine, qui prêche l’agapè (l’amour du dieu créateur & père éminent des humains et la pratique de la charité – soit un don total, sans espoir de réciprocité) et le désir d’en finir au plus vite l’existence de cette « vallée de larmes » pour rejoindre le créateur dans son mythique paradis, n’est peut-être pas l’option idéale quand les Barbares sont installés aux frontières - et, de nos jours, ils vivent non seulement au-delà, mais aussi en-deçà des frontières, et même dans la capitale des États ! Ambroise le Milanais le reconnaissait au IVe siècle… à la notable différence des historiens ecclésiastiques actuels qui nient toute responsabilité du christianisme dans l’affaiblissement du recrutement et de la vigueur de l’action militaire.

Encore faut-il signaler qu’aux IVe et Ve siècles, comme par la suite d’ailleurs, les Barbares, s’ils détruisirent l’extraordinaire organisation urbaine des Romains, apportèrent à l’Europe occidentale un capital génétique fort précieux : l’élément nordique de la race européenne. Les populations du Maghreb et du Proche-Orient conservèrent un vernis d’urbanisme romain, mais en revinrent aux rythmes de travail méditerranéens, avant de se soumettre aux « cavaliers d’Allah » : l’Europe actuelle n’a besoin ni des uns ni des autres.    

Introduction massive d’allogènes, mollesse physique et morale, humanitarisme déplacé ou anachronique, tels sont les ingrédients de la décomposition puis de la perte des grandes civilisations (de la romaine antique à la chinoise médiévale). N’y aurait-il pas une leçon à méditer, en notre (triste) époque ?

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vendredi, 01 avril 2016

Suppression de lits d’hôpitaux : gabegie ou nécessité ?

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Dr Bernard Plouvier

Du fait de coûts de fonctionnement trop élevés, tous les hôpitaux publics ont accumulé une énorme dette, les directeurs singeant nos glorieux politiciens. Au lieu de détecter et de corriger les nombreux comportements pervers (ce qui signifie : erronés) des directions, on prend la mesure la plus stupide qui soit dans un pays où la population vieillit, s’alcoolise et s’enfume de plus en plus, où l’on accueille des immigrants au profil sanitaire rarement satisfaisant (les maladies vénériennes ont explosé ces dernières années, notamment le Sida et la vérole) : on annonce la suppression de 16 000 lits hospitaliers, soit, selon les régions, de 5 à 12% du potentiel public.

Il est évident qu’il y a des économies budgétaires à réaliser dans les hôpitaux français, dont les salaires forment 80 à 85% des dépenses. Les coupes sombres doivent être toutefois intelligemment réalisées, ce qui ne peut plaire aux démagogues. Un peu plus de 41 années de pratique médicale en hôpital public (sans secteur privé, ce quasi-apanage des « médecins de gauche » !) ont appris à l’auteur de ces lignes un certain nombre de vérités déplaisantes.

Depuis les années 1980 et avec une croissance plus grande de lustre en décennie, les médecins hospitaliers ont vu s’amplifier les effectifs des agents administratifs, tout dévoués… à leur train-train ou à leur profil de carrière. Cette prolifération s’est accompagnée d’une débauche de circulaires et de règlements, dans lesquels des juristes ou des individus dépourvus de diplôme utile en milieu hospitalier et surtout de bon sens ont eu la prétention de dicter leur conduite aux médecins. Le dégraissage du mammouth administratif réduirait en partie la charge salariale et surtout économiserait beaucoup de temps perdu par le corps médical à répondre à d’inutiles enquêtes, destinées non seulement à justifier l’existence d’individus au comportement de parasites, mais encore à en accroître le nombre.

De la même façon, l’on a vu se multiplier les postes techniques, alors que les services de buanderie, de restauration, de nettoyage, de réparation pourraient être sous-traités à des entreprises privées, de bien meilleur rendement, dotées d’un coût de travail bien inférieur. Évidemment, cela ne ferait nullement les affaires des syndicats, qui recrutent essentiellement leurs effectifs dans le personnel extra-médical… et seul un inconscient des risques judiciaires oserait prétendre que les syndicats les plus démagogiques (traditionnellement liés aux dinosaures communistes et trotskistes) attirent préférentiellement les agents les plus médiocres et les moins travailleurs.

Le recrutement des médecins n’est pas non plus exempt de critiques. C’est avec effarement que l’on a constaté, depuis le milieu des années 1980, une embauche ou une cooptation, progressivement croissantes, de médecins issus de pays à faible niveau technique, le premier immigré ayant mis un pied dans un centre hospitalier servant de point de cristallisation à d’autres candidatures de même origine. Il faut noter, toutefois, que du côté des médecins autochtones, on recrute parfois des praticiens de très médiocre qualification, mais dotés d’appuis familial, politique ou maçonnique : le népotisme, le snobisme exotique et les ascenseurs sociaux traditionnels exercent toujours leurs charmes (variante : leurs ravages) dans le recrutement médical.

Vue l’extraordinaire multiplication des chefs de service d’origine non-européenne en hôpitaux de seconde catégorie (soit : hors CHU), on peut imaginer que, bientôt, d’ex-internes de CHU voire d’ex-chefs de clinique rempliront le rôle d’assistants de médecins exotiques sous-qualifiés… c’est en quelque sorte le monde à l’envers, mais l’on sait qu’en France, depuis les années 1980, l’on « marche sur la tête ».

La situation actuelle exige des remèdes, c’est évident. Parmi les solutions de bon sens, on ne voit aucune place pour la suppression de lits, dans une population qui croît et vieillit. En revanche, sont à réaliser de très substantielles économies de fonctionnement et un retour à la prise de décisions par les médecins. Après tout, un hôpital n’est pas fait pour caser des agents administratifs, des électeurs ou des amis d’élus locaux, mais pour soigner… et, pour ce faire, l’on n’a encore rien inventé de mieux qu’un médecin compétent et dévoué à la notion de service public. On rappelle cette évidence : les infirmières ne sont que des auxiliaires des médecins et n’ont en aucun cas de rôle à jouer dans les démarches diagnostique et thérapeutique… le temps perdu en conflits ridicules a également un coût.

En totale contradiction avec la logique féodale des maires, présidents-nés des conseils d’administration, il faut dégraisser les effectifs administratifs et techniques (ces derniers pouvant être remplacés avantageusement, en qualité et en quantité de travail, donc en coût, par une sous-traitance privée). Il faut envisager un recrutement démocratique des médecins : soit l’application du principe fondamental de la méritocratie, en opposition au favoritisme. Les concours sur titres et sur épreuves doivent être réintroduits et remplacer le principe trop souvent vicié de la cooptation.

Il faut en revenir à la notion de service public qui est, non pas une planque pour sous-doués ou clients d’une hiérarchie politicienne, mais un apostolat. Enfin, la médecine hospitalière doit en revenir à la stricte hiérarchie du savoir, dégagée de la démagogie des crétins, suffisants autant qu’ignares, des associations diverses et de l’ingérence trop souvent inepte des administrations centrale et régionales, où l’on sait fort bien plastronner, se créer un empire féodal et fustiger les dépenses d’autrui, mais où l’on se penche rarement sur les graves erreurs dites stratégiques, en réalité politico-administratives… le tout, sans penser à la finalité du système qui est d’apporter aux Français les soins les meilleurs et au coût le plus raisonnable.

On rappelle que les soins procurés aux étrangers doivent être payants. La Sécurité Sociale est un immense acquis des travailleurs ayant cotisé. Toute autre conception de cette avancée sociale relève de la plus basse démagogie. La démocratie a aussi pour fondement le principe : À chacun son dû.  

Si l’on devait un jour arbitrer, dans une logique d’organisation de dépenses, entre la conservation d’un service public de santé performant et le renvoi dans leur continent d’origine de millions d’immigrés désœuvrés, ne vivant que d’allocations et de subventions diverses, occasionnant un énorme surcoût en destructions, dégradations, actes de vandalisme, vols, viols et tueries, le choix serait vite fait !

L’État se doit de gérer le Bien commun, c’est-à-dire le domaine créé puis entretenu grâce à l’argent soutiré aux contribuables. C’est à ces derniers que doit revenir, en dernière analyse, le droit de choisir.

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mercredi, 30 mars 2016

De l’abjection à la désinformation

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Dr Bernard Plouvier

S’il faut en croire les media aux ordres, l’Europe occidentale ne court qu’un seul péril, à Paris, Bruxelles, Prague, Bratislava, Cologne, Dresde etc. : le populisme, l’hydre fasciste !

On aurait pu penser que le terrorisme islamique et ses commanditaires et agents de logistique - soit des centaines d’imams et d’oulémas gueulant leur haine de l’infidèle tous les vendredis soirs dans des mosquées sises en terres européennes, et des milliers de sympathisants des cités à majorité musulmane - formaient un authentique péril pour notre vie publique. Nenni !

On aurait pu s’interroger sur l’immense 5e Colonne des musulmans au sein des armées et des polices d’Europe… certains officiers se souviennent de la fraternisation des musulmans d’une unité française avec la très peu fiable population d’Afghanistan. Non, derechef !

L’unique péril, ce sont quelques dizaines de courageux patriotes manifestant leur rejet d’une immigration-invasion, programmée de Washington & de New York, pour mieux dominer, asservir, ruiner une Europe trop inventive.

Or cette technique du rideau de fumée, de la désinformation absurde n’est pas neuve. Nos glorieux socialistes friqués, associés aux écologistes mondains & bourgeois, lisent et relisent le grand modèle : le coup médiatique du 6 février 1934… de l’Élysée et de Matignon, parviennent, aux éditeurs de vieux textes, des commandes de livres consacrés à ce grand classique de l’abjection politique !        

Les auteurs de manuels d’histoire à usage scolaire et universitaire le proclament tous, qui ne peuvent ni se tromper ni nous tromper : dans la soirée du 6 février 1934, la police parisienne, par son loyalisme et sa fermeté, a mâté une « émeute fasciste visant à renverser la République ».

Il existe toutefois un petit ennui, minime on le reconnaît volontiers : cette description des faits est fausse de A à Z, comme c’est bien souvent le cas de la narration historique contemporaine établie par les valets du Pouvoir.

La République serait belle s’il n’y avait tant de politiciens corrompus et ces tristes sires d’agents corrupteurs. C’est ce que pensent quotidiennement, depuis janvier 1934, les patriotes, notamment ceux qui ont défendu le territoire national durant les combats de la Grande Guerre, ces hommes dont Clemenceau disait à la Chambre en 1918 : « Ils ont des droits sur nous »… et ce politicien médiocre, qui jamais n’eut la fibre sociale, se garda bien de faire voter les lois qui eussent haussé les Anciens Combattants au niveau de protection sociale des Teutons vaincus, mais auraient irrité les véritables maîtres du régime : financiers, entrepreneurs et négociants de haut vol.

Depuis la retraite, en 1929, pour cause de maladie incurable et invalidante du grand Raymond Poincaré, l’État français va mal. Les puissances d’argent, pour un temps bridées par ce véritable homme d’État, ont repris les commandes et le peuple, qui conserve encore un grand fonds de bon sens (la télévision n’est pas encore inventée), sent confusément que rien ne va plus à la direction apparente des affaires publiques.  

Le « suicide », pour le moins fort curieux, constaté le 8 janvier 1934, de la canaille Alexandre Stavisky, ouvertement protégé par divers politiciens et hauts-fonctionnaires, génère d’acides commentaires sur les corrompus et les corrupteurs et rappelle aux plus âgés de bien tristes souvenirs.

On évoque de nouveau la faillite retentissante, en 1930, du banquier véreux Albert Oustric, les crapuleries bien connues de Marthe Hanau (arrêtée en 1928) ou du banquier Karl Blumenstein, l’homme des faux titres hongrois, mis hors d’état de nuire en 1927. Dans tous les cas (et il en existe bien d’autres à l’époque), ces scandales financiers, qui engloutissent les économies d’actionnaires-gogos, impliquent de nombreux députés, sénateurs et ministres, ainsi que des directeurs de journaux.

L’affaire Stavisky paraît plus grave encore aux patriotes : l’administration judiciaire est gravement compromise et pas seulement les habituelles canailles politiciennes et journalistiques. C’est même le procureur général près la Cour d’appel de Paris, beau-frère de M. le Président du conseil des ministres, Camille Chautemps, qui est accusé de complicité active.

Le 28 janvier, Chautemps remet au Président de la République, Albert Lebrun, la démission de son « ministère d’insalubrité publique » (comme on l’écrit dans Le Figaro du même jour, qui ne passe guère pour avoir jamais été une feuille d’exaltés). Que les âmes sensibles se rassurent immédiatement, l’honorable politicien radical, cacique de la Franc-maçonnerie, redeviendra ministre dès juin 1935 et même de nouveau Président du Conseil sous le Front populaire.

Arrive Édouard Daladier, précédé d’une réputation d’honnête homme, qui ne l’empêche nullement d’intriguer pour faire obtenir une fort belle situation à son fils, du moins ne l’a-t-il pas fait auprès de l’escroc Oustric, à la notable différence de Léon Blum. Daladier a confié l’Intérieur à un politicien radical et franc-maçon Eugène Frot, un homme décidé à se faire un nom et à passer pour un « soutien du régime » (il votera les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en juillet 1940).    

Dans la soirée du 6 février, alors que pérorent les députés au Palais-Bourbon, manifestent séparément les membres de deux cortèges, dont les slogans antiparlementaires sont identiques : celui des communistes, assez peu fourni, et l’énorme cortège disparate formé des Croix de Feu, tous Anciens Combattants et pour certains d’entre eux sortis mutilés des combats de la Grande Guerre, et d’agitateurs de la Ligue monarchiste d’Action française (dont quelques-uns sont armés).

Les députés prennent peur, car ils apprennent que le principal cortège, celui des Anciens Combattants qui ont l’expérience de la guerre, se dirige vers la Chambre. Le ministre Frot obtient de Daladier, dépassé par les événements comme il le sera toute sa vie, l’autorisation de tir pour la police parisienne et les gardes mobiles.

C’est ainsi que, tandis que plusieurs dizaines d’honorables députés fuient le Palais par l’arrière du bâtiment, les « forces de l’ordre » tuent ou blessent de l’Ancien Combattant et du mutilé de guerre. Avant de suivre le gouvernement dans la démission, Frot donne le ton aux journalistes gouvernementaux (et à travers eux aux historiens académiques et universitaires) : la police a sauvé la République et la Démocratie, face à des « émeutiers fascistes ».

L’appellation « fasciste » réveille les communistes, qui se dissocient aussitôt du mouvement de contestation antiparlementaire. Le 10 février, ils défilent main dans la main avec les parlementaires socialistes et radicaux, ceux-là même qu’ils traînaient dans la boue quatre jours plus tôt. Cette « manifestation Antifa » du 10 février1934 sera, rétrospectivement, considérée par les historiens bien élevés comme « l’acte fondateur du Front Populaire »… un front commun dont Joseph Staline ne veut pas entendre parler jusqu’à l’été de 1935. Jacques Doriot l’apprend à ses dépens, qui est chassé du PCF sur l’ordre des maîtres du Komintern, pour avoir proposé au printemps de 1934 ce que Staline ordonnera de faire l’été de 1935 : « Avant l’heure, c’est pas l’heure » !

Quant aux politiciens et hauts fonctionnaires qui ont protégé Stavisky, il ne leur arrivera rien : il est inutile au lecteur émotif de s’inquiéter, la « Démocratie » est bonne fille ! En revanche, un magistrat trop zélé disparaît.

Le 20 février, le conseiller à la Cour d’appel de Paris Albert Prince, chargé du dossier Stavisky, est assassiné. Certes, la Sûreté Générale – par définition aux ordres du gouvernement - tente d’accréditer la version du suicide. Cela n’est guère évident pour un cadavre ligoté et attaché à des rails de chemin de fer… mais il existe encore des auteurs assez bien élevés pour évoquer un « doute » quant à la mort de cet honnête juriste. Le dossier Stavisky, établi par le conseiller Prince, disparaît fort opportunément et la mort du magistrat est définitivement classée dans la rubrique des suicides.

Le nouveau pantin au ministère de l’Intérieur, Albert Sarraut, radical et franc-maçon comme il se doit, félicite l’honnête policier qui a réglé ce ballet… Pierre Bonny y gagne la réputation de « premier flic de France », que lui attribue un autre membre du guignol ministériel, Henri Chéron. L’inspecteur principal Bonny, authentique canaille, est chassé de la police un an plus tard, devient un « privé » puis un agent français d’élite au service du SD-Gestapo, associé à Henri ‘’Lafont’’-Chamberlin.

De nos jours, policiers et agents de renseignements utilisent toujours de merveilleuses canailles et crapules perverses comme indicateurs, mais – fait nouveau – ils ont aussi à leur disposition au moins un courageux kamikaze qui n’a pas osé se faire exploser et qui gazouille à volonté. On s’adapte et on innove !  

Mais lorsque dans la Ve République française, agonisant dans l’abjection, la corruption, les affaires de fesses et surtout l’inefficacité des « chefs », des pitres ressortent l’argument éculé du « complot fasciste », l’honnête homme, vaguement teinté de culture historique, ne peut que sourire : on a trop souvent fait le coup aux Français. Il est temps pour nos bons « maîtres » de changer de registre et de considérer les véritables périls… on reconnaît que c’est difficile quand les emprunts d’État (et les caisses du Parti aux apparences du pouvoir) sont alimentés par des bienfaiteurs islamo-pétroliers.

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lundi, 28 mars 2016

L’ignorance délibérée du mal

Un racisme anti-Blanc qui n’intéresse pas les médias.jpg

Dr Bernard Plouvier

Pour célébrer le printemps et les tempêtes d’équinoxe, nos gentils gouvernants ont investi allègrement quelques millions d’euros, tirés du produit de nos impôts, dans une grande campagne médiatique de lutte contre « le racisme et l’antisémitisme »

Déjà, pour la seconde partie de la formulation, l’auditeur-spectateur, au fait de la sémantique et de l’actualité, ne comprend guère. En effet, dans un pays où depuis trente-cinq ans, les injures, coups et attentats antijuifs sont le fait à 95% (en estimation base) d’Africains – noirs et maghrébins – musulmans, utilisant l’arabe dans leurs prières et dans la vie courante, on a un peu de mal à intégrer la formulation d’un « antisémitisme » qui serait le fait d’usagers d’une langue sémitique et de fidèles d’une religion sémitique.

Peut-être serait-il temps de s’adapter au « vivre ensemble », une situation à laquelle les Juifs de France, comme tous les autres Français de souche européenne, sont confrontés du fait de l’immigration-invasion. Après tout, avoir l’immense honneur d’héberger en énorme quantité des « chances pour la France » vaut bien un petit sacrifice d’amour propre.

Un sexagénaire sait d’expérience qu’avant les années 1975, l’expression « Putain de ta race » n’existait pas en France… et fut (très inutilement) importée par les honorables immigrés venus du Maroc. Le caractère raciste de cette injure a été nié le 23 juin 2005 à la 17e Chambre correctionnelle de Paris (où l’on juge généralement les « négationnistes », faussement dénommés « révisionnistes »)… mais l’expression (de même origine) « Enculé de ta race » est jugée « offensante pour la dignité des homosexuels », étant de ce fait sanctionnée pour « homophobie ». La « Justice » serait-elle rendue par des schizophrènes (soit des individus à double personnalité) ?

Le principe paranoïaque du racisme étant stupide, on ne peut que se féliciter de l’initiative de nos merveilleux gouvernants, non sans estimer qu’après l’énorme vague de profanations d’églises et de cimetières chrétiens (depuis 2010), d’attentats meurtriers des fous et des folles d’Allah (2014-2016), il y avait peut-être mieux faire en matière de propagande onéreuse. Tant qu’à dépenser l’argent soutiré aux contribuables, autant le faire en faveur de la majorité.

Il est évident qu’il n’existe aucune « race élue de dieu », aucune « race supérieure » (un seul débile mental suffit à détruire cette prétention), pas plus que de « race inférieure » (un seul surdoué annihile cette dénomination). Prétendre le contraire est faire preuve de délire mégalomaniaque… et la paranoïa délirante relève du traitement psychotrope, bien plus que des tribunaux.

Ce principe étant posé, on jette un œil sur l’initiative « Tous unis contre la haine ». Là encore, l’affirmation comme le présupposé éthique sont excellents et emportent l’adhésion de tout être de bonne foi. Hélas, l’étude des textes, la visualisation des vidéos sont une source d’étonnement… et bien plus encore l’appel du N° téléphonique recommandé aux victimes d’actes et d’injures racistes. Hé oui ! En 2016, le « racisme anti-Blancs » n’existe pas pour les organisateurs de cette parade, pas plus que pour le réceptionniste.

Le racisme anti-Blancs a pourtant été reconnu comme une caractéristique nouvelle de la société française, en 2005, par des penseurs juifs (« élus de gauche » & écolos bourgeois exclus) et condamné au Pénal à plusieurs reprises depuis 2013… il faudrait peut-être en avertir les hauts-fonctionnaires, surmenés donc mal informés, qui chapeautent « Tous unis contre la haine ».

Il est évident qu’il faut lutter en France contre le régime de ségrégation raciale, cette « discrimination positive » qui lèse les jeunes Français de souche européenne au profit des rejetons de l’immigration extra-européenne. Cette forme d’apartheid est condamnable au titre des crimes contre l’Humanité, tels qu’ils ont été définis par l’ONU : nul ne peut être pénalisé du fait de son appartenance ethnique.

Il est évident que les « ratonnades anti-Blancs », bien connues dans les banlieues de Paris et de Lyon, mais aussi de Marseille, Béziers, Montpellier, Rouen, Roubaix etc., doivent être vigoureusement réprimées par les forces de l’ordre et punies par la « Justice ». Il est évident qu’il existe en France, non pas « 500 » Molenbeek, mais deux mille cités de non-droit, où pompiers et médecins ont peur d’être appelés, où les « forces de l’ordre » pénètrent le moins souvent possible, parce qu’elles y sont constamment ridiculisées. Il est peu probable que les commissariats et gendarmeries attaqués à l’arme lourde ces deux dernières années l’aient été par des Français de souche européenne.

Si « Tous unis contre la haine » permet d’établir de véritables statistiques ethniques des violées, des violés (eh oui, cela existe : un médecin en voit et même de plus en plus souvent depuis les années 1990) et des violeurs, cette initiative coûteuse aura entraîné une avancée sociologique. De même, si les fonctionnaires en charge de cette action établissent de façon rigoureuse les statistiques d’actes de violence physique, d’injures et de profanations-dégradations à caractère raciste, l’argent du contribuable n’aura pas été gaspillé.

En revanche, il est inutile de nous resservir le couplet du gentil Noir, de l’adorable Maghrébin, du vertueux Turc (variantes : Proche- ou Moyen-Oriental) agressés par de très vilains Blancs et/ou Asiatiques… on le connaît déjà, même si, dans la réalité quotidienne, ce schéma simpliste se rencontre de façon beaucoup moins fréquente que l’inverse. C’est bien connu : un arbre peut facilement cacher une forêt. C’est affaire de point de vue.

11:36 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |