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vendredi, 27 mars 2020

Confinement prophylactique : Calcul Politique ou Horreur économique ?

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Bernard Plouvier

Les Français – à la différence des Britanniques ou des Néerlandais – goûtent aux joies curieuses du confinement imposé par décret, avec de lourdes amendes pour les contrevenants autochtones – les racailles   (souvent importées) n’en faisant qu’à leur guise, avec la complicité des « faibles » de l’ordre.

Or, si la pandémie à coronavirus est indéniable (un demi-million de cas contrôlés, ce 27 mars, au bout de 4 mois d’expansion de l’épidémie), la mortalité demeure très faible : moins de 25 000 morts en 4 mois, sur 176 États touchés (chaque État des USA ou de Chine est comptabilisé séparément, ce qui explique le nombre « d’États » répertoriés)... soit une mortalité de 4,5%, parfaitement stable depuis 15 jours (cf. le Global Cases du Johns Hopkins University and Hospital, réactualisé toutes les 6 heures). 

À ce jour, la mortalité française est d’environ 5,7%, la britannique de 4,9% et la néerlandaise de 5,8% : confinement ou non, la mortalité ne varie guère.

En outre, l’analyse de la mortalité chinoise permet de confirmer ce que l’on avait compris dès les premières semaines : 95% des morts portent sur des sujets de plus de 65 ans, les autres étant des sujets à immunité très déficiente ou présentant une pathologie respiratoire chronique sévère. La sélection naturelle joue à plein, comme dans les épidémies grippales bien connues.

Si nos doux princes n’avaient pas stupidement paniqué, s’ils avaient consulté les données épidémiologiques que tout le monde médical connaissait dès la fin de février, l’on aurait limité le « confinement » aux seuls sujets à risque, en recommandant aux sujets vaquant à leurs occupations de se tenir éloignés, jusqu’à la fin de l’épidémie, des parents et amis qui risquent des complications s’ils deviennent contaminés par cette virose à transmission respiratoire.

La solution française a été adoptée dans une ambiance de folie obsidionale : « C’est la guerre »... contre un virus qui s’en moque totalement et touche qui il trouve sur son passage. Drôle de guerre contre un microbe adapté à une foule d’espèces animales ! Y-a-t-il eu seulement une panique du côté de nos princes ou bien a-t-elle dégénéré ensuite en calcul politique ?

La panique témoigne d’une irréflexion & d’un manque de sang-froid qui disqualifient à vie des « gouvernants » qui n’ont réussi qu’à mettre le pays en état de crise économique majeure : en 15 jours, l’on assiste à une diminution d’un tiers (en réalité 35%) de l’activité économique française.

Certes, l’on assiste à une spectaculaire montée du chômage aux USA, liée à la réduction de la consommation intérieure et des exportations : c’est un chômage conjoncturel – donc très différent du nôtre, qui est structurel, lié à une désindustrialisation massive, contre laquelle Trump lutte avec un franc succès depuis 3 ans aux USA.

La panique, chez les « dirigeants » est un crime contre la Nation. Il faudra s’en souvenir, lors des échéances électorales.

Mais le calcul politique ne serait-il pas plus machiavélique et infiniment plus dangereux pour l’État et la Nation ? Avoir réussi à cloîtrer la quasi-totalité d’un peuple ne donnerait-il pas des idées à nos « bons » maîtres ? Le Peuple de France – « peuple de veaux », selon l’expert Charles De Gaulle - vient de démontrer qu’il était discipliné.

A contrario, l’on s’est aperçu que les envahisseurs, très inutilement importés, refusaient de suivre les consignes et parvenaient sans difficulté à narguer gendarmes et policiers, fort timides avec les Extra-Européens et fort arrogants avec les Souchiens ! L’on s’est une nouvelle fois aperçu que le « Vivre ensemble » était illusoire et que les inutilement importés se comportaient en indisciplinés, dans un pays qu’ils considèrent comme un territoire à conquérir.

Le problème des racailles devra être réglé en son temps et de façon légale. Mais l’on a de bien plus urgents soucis et de plus graves dans l’immédiat.

Avoir placé le pays en activité monstrueusement ralentie témoigne déjà d’une totale irresponsabilité au plan mental... mais nullement pénal. Toutefois, leur succès dans la claustration des honnêtes citoyens ne va-t-il pas donner de curieuses idées de nature dictatoriale à nos « élus », si contestés depuis deux années, en chute libre dans tous les sondages d’opinion jusqu’en février ? 

Il ne faudrait pas que, pour échapper aux sanctions électorales – voire à un passage en Haute-Cour pour incompétence dramatique -, nos « doux » princes jouent aux matamores et se transforment en maîtres disposant des « pleins pouvoirs » pour résoudre une crise économique qu’ils auront créée de toutes pièces par une série de décisions absurdes.

De la sotte panique et d’un coup de tête idiot ne doit pas naître une dictature... car, dans ce cas, l’insurrection pour cause de Salut Public deviendrait un devoir pour la Nation. 

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mercredi, 25 mars 2020

Effets d’annonce, bobards et complotisme : le coronavirus et les Fake News

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Bernard Plouvier

Les pandémies ont souvent donné lieu à des rumeurs. Lors de la Grande Peste du XIVe siècle, on a accusé les lépreux (alors très nombreux en Europe, par importation d’Afrique et du Proche-Orient), les sorciers & sorcières et, parfois, des Juifs d’empoisonner l’eau et les aliments. On a brûlé, pendu, passé par le fer. De nos jours, on se contente du lynchage médiatique.

En 1918, la pandémie était appelée « Grippe espagnole » et cette soi-disant origine ibérique était une Fake New. Mais, lors des tractations de Paris pour établir le soi-disant Traité de Paix, on inventa un autre bobard : « La grippe de 1918 est bien partie de l’Est, ayant eu son premier foyer en Allemagne, où l’on s’était efforcé de tenir la chose secrète » (in Le Concours médical du 20 avril 1919)… le vaincu, tenu pour unique responsable du déclenchement de la guerre, devait l’être aussi de la propagation de l’épidémie meurtrière !

Pour le SIDA, la CIA et le KGB furent accusés de façon contradictoire et parfaitement stupide, d’avoir procédé à des manipulations d’un virus simiesque... c’était il y a tout juste 40 ans !

On récidive avec Maître Coronavirus, passé au rang de superstar lors de sa 3e épidémie, devenue pandémie par la stupidité & l’avidité des maîtres du négoce intercontinental. Les vrais patrons de notre monde frelaté avaient réussi jusqu’à présent à interdire les contrôles sanitaires des cargaisons et des passagers en provenance des pays sales.

On peut laisser tomber les accusations complotistes de manipulations virales sur ordre des organisations d’État. C’est du pur délire, car une arme virale est une arme-boomerang qu’aucun stratège politique ne voudrait utiliser.

En revanche, il faut exiger la protection de l’Occident par des contrôles sanitaires stricts aux frontières, pour les voyageurs et migrants venant des pays sales, et l’établissement de zones de quarantaine près de tous les ports et aéroports à gros trafic intercontinental.     

Les discours sur le « vaccin qui sauve » sont déplacés lorsqu’une épidémie virale est déclenchée. Un vaccin n’a d’effet que de façon préventive. Lorsqu’il est mis au point lors d’une épidémie, il arrive trop tard... et risque fort de n’avoir aucun intérêt par la suite, car les virus (notamment ceux contenant de l’ARN, comme les coronavirus, les virus du SIDA ou celui de l’hépatite B) mutent très vite, surtout lorsqu’à l’occasion d’une pandémie, ils sont hébergés par quantité d’espèces animales et quantité d’individus humains : ils s’adaptent aux défenses immunitaires qu’ils rencontrent et deviennent de plus en plus virulents.

On pourra créer un vaccin polyvalent pour les coronavirus, comme on l’a fait pour les Myxovirus influenzae de la grippe, mais sans pouvoir en garantir une grande efficacité. Tout ce que l’on peut dire, c’est que si le coronavirus Covid-19 revient dans l’hémisphère Nord, il sera beaucoup moins nocif, rencontrant des millions d’individus immunisés par un premier contact.

Il est, en effet, probable que l’on peut multiplier par 1 000 (voire plus) le nombre des malades reconnus pour estimer le nombre des contaminés asymptomatiques (les « porteurs sains »). Les études épidémiologiques des années à venir nous apprendront quel coefficient multiplicateur l’on doit appliquer aux coronavirus.

L’hydroxy-Chloroquine et ses dérivés sont à l’étude dans de nombreux laboratoires de virologie depuis plus de dix ans, sans que jusqu’à présent les chercheurs aient crié : Victoire ! Rien ne prouve pour l’instant que ce traitement soit statistiquement efficace : pour la grippe, la Chloroquine est un échec, idem pour le SIDA. Rien, en revanche, ne s’oppose à un essai de traitement, moins coûteux que les antiviraux, dont l’efficacité reste discutée.

Mais si l’on se décide à utiliser ce produit, il doit l’être dès les premiers symptômes de coronavirose - plus tard, il risque de n’être plus efficace -, en respectant toutefois certaines contre-indications. Ce produit peut être très dangereux dans certaines atteintes du myocarde, chez les épileptiques et les myopathes, ou encore chez les sujets atteints de pathologie de la macula - la zone la plus importante de la rétine. Si l’on exclut ces sujets à risque, son utilisation à moins de 10 mg/kg et par jour durant deux à trois semaines est probablement dépourvue de gros risque - sauf allergie, bien sûr.

Sur ce point, l’on n’a du mal à comprendre les réticences de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) que si l’on ignore son fonctionnement. Cette organisation supra-étatique est une féodalité, à la tête de laquelle se battent divers clans de médicastres et experts, davantage politiciens que professionnels de la santé. La direction arbitre, ses choix n’étant pas toujours heureux - l’abandon de la vaccination jennérienne contre la variole risque d’être une catastrophe sanitaire infiniment plus grave que la coronarovirose actuelle.

Les rumeurs complotistes sur la guerre entre multinationales de la recherche et de la commercialisation des produits pharmaceutiques sont amusantes. Elles ne sont ni neuves ni originales. La guerre existe de façon permanente, évoluant en fonction du lobbying de tel ou tel groupe sur tel ou tel gouvernement, mais jamais la direction d’un groupe n’oserait empêcher la diffusion d’un produit efficace. L’effet boomerang serait catastrophique pour l’image de marque, la direction et les bénéfices du groupe... et il s’agit de centaines de milliards de $. On ne joue pas avec le feu, lorsqu’on est à la tête de tels groupes.     

Quant à la panique des populations, elle ne devrait toucher que celles et ceux qui ont tout à redouter de ce virus et qui seuls devraient rester chez eux, « confinés ». Depuis le début de la pandémie – avec un décalage moyen de 10 à 15 jours entre les premiers symptômes et le décès -, la mortalité reste stable, aux alentours de 4% (entre 3,7 et 4,5%) des sujets malades.

Les seules mesures de précaution auraient dues être appliquées aux plus de 65 ans, aux immunodéprimés, insuffisants respiratoires chroniques, alcooliques et tabagiques chroniques. On a préféré paniquer l’ensemble de la nation française. Ce fut une erreur tactique, qui s’intégrait peut-être dans une stratégie politique ! La médecine est une chose trop sérieuse pour être confiée à des politiciens ne pensant qu’à leur image de marque et à leur réélection.      

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dimanche, 22 mars 2020

Premières leçons à tirer pour la France, vers le 110e jour d’épidémie

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Bernard Plouvier

La pandémie de coronavirus – Covid-2019 – a débuté en décembre 2019. Aux alentours du 110e jour, on relève de façon cumulative, dans les 171 États touchés (les grandes provinces chinoises et les États des USA étant comptés chacun de façon séparée), un peu moins de 310 000 cas confirmés de sujets malades, dont 92 400 sont considérés comme guéris sans séquelle apparente (30%), avec une mortalité stable depuis trois semaines à 4-4,3% des malades (en valeur absolue, le 22 mars 2020, on dénombre un peu moins de 13 100 morts liées directement ou indirectement à la pandémie).

On ne sait encore s’il faut compter 100 ou 1 000 sujets porteurs sains du virus : des sujets contaminés, sans symptôme ou avec une banale indisposition de quelques heures ou deux à trois jours, comme c’est si fréquent durant les mois d’hiver... de fait, la remarquable carte épidémiologique « Global Cases » du Johns Hopkins University and Hospital montre de façon indubitable que l’hémisphère Sud, qui en est à la jonction de l’été et de l’automne, n’est pratiquement pas touché (on verra ce qu’il en adviendra dans trois mois, au début de l’hiver sous-équatorial).    

Objectivement, il existe bien une pandémie (30 à 300 millions de sujets contaminés ; un tiers de million de malades)... et elle s’avère remarquablement peu meurtrière : moins de 15 000 morts en 3,5 mois, infiniment moins que le coût en vies humaines d’un bombardement terroriste, d’une journée ou d’une nuit, sur les villes d’Allemagne ou du Japon durant la Seconde Guerre mondiale ou d’un tsunami d’Océan Indien ou Pacifique.

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jeudi, 19 mars 2020

L’Occident et le reste du monde : les Épidémies meurtrières

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Bernard Plouvier

L’histoire de l’Europe fut et reste une suite d’invasions en provenance des autres continents. Mais ce fut aussi une histoire d’épidémies parfois très meurtrières en provenance « d’ailleurs » et cela reste le cas.

Les exemples d’épidémies de maladies bactériennes, prenant l’allure d’un cataclysme pour notre continent sont connus depuis l’Antiquité.

La peste (Yersinia pestis Orientalis et Occidentalis) a ravagé les rivages méditerranéens du 8e au 6e siècles avant J.-C., apportée de Perse d’où elle provenait d’Asie centrale (la dénomination de Y. pestis Occidentalis ne doit nullement faire croire à une origine « occidentale » de la première pandémie répertoriée !). La Grande Peste du milieu du XIVe siècle fut importée en Italie et en France par des navires provenant des rives de la Mer Noire, mais l’épidémie avait suivi la Route de la Soie. La 3e pandémie, débutée à la fin du XIXe siècle est venue à la fois d’Inde et de Hong Kong... il n’y a guère elle sévissait encore dans les zones rurales des USA.

Déjà les mécanismes étaient identiques à ce que l’on notera par la suite durant de très nombreuses épidémies meurtrières : une origine asiatique et une transmission par le négoce intercontinental. La cause première était un contact trop étroit entre les Asiatiques et des animaux, en l’occurrence des rongeurs et leurs puces. Il est évident qu’une très grande concentration d’humains favorise la propagation et la virulence des germes.

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mardi, 17 mars 2020

Hyper-Génial Président ou Dictateur abusif ?

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Bernard Plouvier

En période d’épidémie, les mesures de santé publique doivent être conseillées par les médecins à l’autorité exécutive qui décide en dernier ressort.

Confronté à une épidémie liée à un germe déjà connu, le médecin se doit d’étudier les précédents. En l’occurrence, pour la coronavirose dite Covid-2019, il est évident que la 3e épidémie suit fidèlement les deux premières par le très faible nombre de sujets malades et sa faible mortalité.

Ce 17 mars 2020, au bout de 13 semaines d’évolution, on constate (selon la statistique épidémiologique de la Johns Hopkins University, à la mise à jour de 14H – heure française) que l’infection a « parlé » dans 155 pays chez 185 000 personnes (sur une population planétaire de 7,7 milliards d’individus), dont 80 200 sont considérées comme guéries sans séquelle, avec une mortalité cumulative de 7 300 personnes (4%).

On considère qu’il y a mille infectés asymptomatiques pour un sujet malade... mais l’étude calme et méthodique des sérodiagnostics des deux années à venir nous renseignera avec précision.

Ce n’est pas une pandémie de grippe sévère, encore moins une épidémie de peste ou de choléra... et c’est un phénomène infiniment moins dramatique qu’un tsunami dans l’Océan Indien : celui du 26 décembre 2004 qui a ravagé les côtes cingalaises, thaïes et indonésiennes a occasionné 230 000 morts en 48 heures.

Donc, paniquer à propos du coronavirus est une attitude peut-être génératrice de bénéfices secondaires politico-médiatiques, mais objectivement absurde.

Mettre le pays en cessation d’activité, interdire aux citoyens de se balader sous peine d’amende, c’est du jamais vu... et cela rappelle furieusement les périodes d’occupation d’un pays par une armée ennemie ou celles de guerre civile.

D’autant que si les « conseillers médicaux » de notre Président-Dictateur-Maréchal (le stade du général est dépassé !) estiment qu’il faut confiner la population pour calmer la vague épidémique, les médecins britanniques estiment au contraire que l’épidémie se tassera d’autant plus vite qu’un maximum de personnes auront été contaminées... la mortalité en France est en Grande-Bretagne est actuellement identique : inférieure à 2,5% des sujets malades.

Seule l’Italie subit une mortalité de près de 8%, mais avec un système hospitalier dont tout le monde sait depuis plus de vingt ans qu’il a été détruit à force d’économies et de nominations médicales au piston.

Si l’on examine froidement la situation, sans vouloir faire d’effet d’annonce, nous ne sommes pas plus en guerre contre le coronavirus que contre les myxovirus grippaux : ils nous tombent dessus – toujours en provenance d’Asie – et nous avons pour devoir de traiter chaque cas le mieux possible, en sachant que les épidémies virales de transmission respiratoire tuent les sujets à immunité cellulaire défaillante (et le virus grippal tue plus que le coronavirus)... que ça plaise à tel conseiller de rang professoral ou à tel politicien ambitieux n’est d’aucune importance.

Casser la dynamique d’un pays durant une à deux semaines pour une épidémie de ce type est purement et simplement grotesque.

Manque de sang-froid, manque de réflexion sur la véritable information (après tout les chiffres de l’épidémie, malades et victimes, sont réactualisés plusieurs fois/jour et disponibles à toute heure sur le Net), agitation et discours irresponsable à des fins de réélection – car Hyper-Génial Président a compris que sa réélection se jouait sur ce problème... cela fait naître une triste constatation chez le citoyen-lambda.

On a l’impression de revivre de folles journées annonciatrices d’un « vent mauvais », celui de la dictature policière et du totalitarisme stalinien : « Pensez comme MOI, Grand Président » ou je commence par distribuer des amendes, puis des jours de prison, puis je déclare la Loi martiale.

Si Monsieur Macron avait mis le dixième de son énergie actuelle à régler la criminalité et la délinquance des milieux immigrés ou à fermer les frontières, non à un virus qui s’en moque, mais aux indésirables, il passerait pour un homme qui se penche réellement sur nos problèmes. Hélas, il fanfaronne sur un sujet qui le dépasse totalement.          

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samedi, 14 mars 2020

L’efficacité des systèmes hospitaliers nationaux confrontés à une même épidémie

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Bernard Plouvier

L’extraordinaire qualité des épidémiologistes de l’hôpital universitaire Johns Hopkins (Baltimore, État du Maryland) permet de suivre quotidiennement le nombre des patients soignés pour coronavirose confirmée, d’étudier la mortalité induite par l’épidémie, comparée au nombre des guérisons déjà constatées.

Dans le feu de l’action, cela permet d’estimer, à première vue, le degré d’efficacité des hôpitaux, puisque les cas répertoriés sont presque tous hospitalisés.

3,5 mois après le début de l’épidémie Covid 2019 ou -19, on en arrive à un peu moins de 146 000 cas prouvés, dont 71 700 malades sont déjà considérés guéris (donc sans séquelle), tandis qu’un peu moins de 5 600 personnes ont succombé (3,8% : le pourcentage de mortalité est stable depuis plus d’une semaine, restant inférieur à 4%).

Bien plus intéressante est l’étude de l’efficacité des prises en charge dans les pays qui ont jusqu’à présent subi la plus grosse attaque, soit plus de 5 000 infectés, prouvés et soignés - les statistiques de mortalité restant floues pour ce qui est de la Corée du Sud.

La Chine, qui totalise près de 81 000 cas répertoriés, affiche une mortalité de 4% (un peu moins de 3 200 morts). L’Iran, très touché également, fait à peine moins bien avec 4,5% de mortalité (515 morts sur un peu moins de 11 370 cas).

La France se situe honorablement avec ses 2,15% de mortalité, faisant un peu mieux que l’Espagne avec 2,5%  (pour un peu moins de 5 300 cas)     

L’Allemagne est de loin le pays le plus performant : mortalité actuelle de 2 pour mille, alors que l’infection a touché le même nombre de personnes qu’en France soit un peu moins de 3 700 cas jusqu’à présent.

La catastrophe italienne se confirme : 7,1% de mortalité (un peu plus de 1 260 morts pour 17 660 cas recensés).

Et ceci permet déjà d’entamer une réflexion de fond.

Dans un système de Santé publique, on doit faire des économies sur le personnel administratif, en dégraissant les deux-tiers de ces baratineurs, planqués dans leurs bureaux ou épuisés à force d’enchaîner les réunions et causeries. Quelques gestionnaires et des informaticiens suffisent, les services techniques (cuisine, blanchisserie, travaux d’entretien reviennent moins cher s’ils sont sous-traités au secteur privé)... ça ne fera pas plaisir aux syndicats, mais il en est ainsi. 

Il est absurde, grotesque de fermer des lits hospitaliers en période d’expansion démographique.

Il est criminel de mégotter sur l’engagement de vrais soignants réellement diplômés et dont la qualification doit être évaluée au bout de 3 à 6 mois de période probatoire. Bien évidemment, aucun soignant ne doit être engagé sur piston familial ou tribal, syndical, politique, maçonnique ou autre... et l’on sait ce qu’il en est en Italie (mais aussi dans certaines régions de France).

Il faudra, en fin d’épidémie, étudier minutieusement le comportement des politicards et de leurs conseillers, et féliciter qui doit l’être : les soignants efficaces. Enfin, l’information de Santé publique ne doit plus être abandonnée à des clowns carriéristes, mais à de véritables soignants expérimentés.  

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jeudi, 12 mars 2020

« Paniquez, paniquez, il en restera toujours quelque chose »

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Bernard Plouvier

Depuis Beaumarchais, la propagande s’est multipliée de façon exponentielle : on est passé de la vitesse du cancanier à pied aux réseaux sociaux planétaires en direct. Les gens en sont encore moins sages et l’on n’a fait que faciliter la tâche des manipulateurs d’opinion.

Voilà que nos politiciens – dont l’efficacité à la tête des États n’échappe à personne – jouent aux « lanceurs d’alerte » et aux propagateurs de panique.

Pourtant, il semble logique de raisonner froidement... et, pour une fois, les statistiques – à qui l’on « ne fait dire ce que l’on veut » que lorsqu’on les truque – aident l’homme de bon sens.

1 – La pandémie de grippe 2009-2010 a touché, en 16 mois, plusieurs centaines de millions de personnes. La mortalité a d’abord été estimée aux alentours de 150 000 victimes. Puis les chiffres de l’OMS ont paru fort suspects et une méta-analyse publiée dans The Lancet le 26 juin 2012 faisait état d’environ 284 000 morts. Certains épidémiologistes ont même doublé cette estimation, la portant à 575 000 morts.

2 – La 3e épidémie de coronavirus (Covid 2019) a débuté la première semaine de décembre 2019. Au bout de 3,5 mois d’extension, on décompte, ce 12 mars 2020, un peu moins de 127 000 cas répertoriés de façon cumulative (Bulletin quotidien du Johns Hopkins Hospital and University de Baltimore), avec un peu moins de 4700 morts (et plus de 68 000 guérisons confirmées).

Si l’on veut bien réfléchir au problème : la mortalité globale (pays à bonne hygiène et pays à médiocre hygiène) est de 3,7 %, quasi exclusivement composée de sujets de plus de 65 ans. En Chine, où l’épidémie a débuté, l’on comptabilise un peu moins de 81 000 cas, dont un peu moins de 3 100 morts (mortalité un peu inférieure à 4%)

Pour le cas français (2 300 cas), la mortalité est d’environ 2%. Seule l’Italie semble en situation « critique » avec 6,6% de morts (sur un peu moins de 11 000 cas), mais la situation hospitalière italienne est catastrophique depuis des années. 

Les conclusions sont plutôt simples à tirer :

- Trois mois d’évolution permettent d’affirmer que le problème réel a été fortement exagéré. Une foule de patients contaminés est asymptomatique... les études ultérieures nous permettront de savoir quel est le ratio Asymptomatiques/Malades, parmi les sujets contaminés et de confirmer ou non les risques liés aux tranches d’âge. Cela permettra de mieux cibler les conseils de santé publique lors de la prochaine épidémie.

- La mortalité de la 3e épidémie semble confirmer celle des deux premières : elle est de type « sélection naturelle », portant sur les sujets retraités. C’est fort triste pour les sujets morts et leurs familles, mais l’impact sur la population active sera très faible et quasi-nul pour la génération montante. Des « consommateurs » meurent, mais restent en vie les futurs producteurs et l’élite à venir... qu’on veuille le reconnaître ou non, c’est la grande leçon à retenir de cette nouvelle épidémie.

- Pourquoi créer une telle panique et désorganiser pour quelques semaines la vie de plusieurs pays ? Réponse : nos merveilleux politiciens sont inaptes à faire autre chose que d’organiser leur propagande, de protéger leur réputation... et certains en profitent pour faire quelques coups bas à leurs concurrents.

- L’unique message qu’il faut faire passer est de conseiller aux plus de 65 ans de rester chez eux, le temps que l’épidémie se tasse. Des parents, des voisins peuvent prendre commande, par téléphone ou net, de leurs besoins et laisser le ravitaillement à la porte, tandis que la famille entretient les relations humaines par télécommunications... pour une fois les « réseaux sociaux » pourraient être utiles à autre chose que d’entretenir le narcissisme des jeunes et des moins jeunes !

Au plan strictement médical, il y a de gros progrès à faire pour informer le public : c’est une tâche trop importante pour la laisser aux mains ignobles des politiciens et des clowns des media.

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mercredi, 11 mars 2020

L’économie globale et la priorité donnée aux négociants sur les financiers

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Bernard Plouvier

De 1830 aux débuts de l’économie globale et de la mondialisation de l’american way of life, les maitres du jeu furent les financiers, d’où des taux d’intérêts jouant au yo-yo (et divers slogans vantant la merveilleuse « inflation »), un endettement pharaonique des États et des particuliers, enfin quelques crises de spéculation (1873, 1929, 1937, 2007-2009 et on en oublie) pour pimenter la vie de dizaines de millions de pauvres diables réduits à la misère parce que de gros financiers, souvent cosmopolites, se comportaient en flambeurs.

Vers 1980-90, a débuté la nouvelle ère, qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane. Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Producteurs et surtout à celui des Négociants internationaux.

Le grand projet rooseveltien était d’américaniser la production agricole et industrielle et de faire de la planète un grand marché – l’URSS étant exclue, qui devait servir de repoussoir, de contre-exemple, au moins pour les premiers temps de l’ère du « One World–One Government ». Qu’il ait ou non développé le projet d’une fusion des races et des peuples en une « moyenne humaine », on ne le saura jamais, car Roosevelt ne s’est guère exprimé sur ce point... là encore, les complotistes vont un peu vite en besogne.

FDR n’était pas au service « des trusts » (et n’était pas plus dévoué à celui des Rockefeller qu’à d’autres) ; il n’était nullement au service « des Juifs » : les « complotistes » errent totalement. FDR s’est servi de tous ceux et de toutes celles qui pouvaient faire démarrer puis avancer son projet, qui, pour d’évidentes raisons historiques, n’a pu commencer que 40 années après sa mort, une fois disparue l’hydre communiste qui avait dominé bien plus d’États qu’il ne l’avait prévu dans son plan machiavélique.

Vers 1990, après l’implosion des ridicules économies marxistes, les USA croyaient se retrouver en position de monopole, ayant vassalisé l’Occident, les pays d’islam et l’Asie non maoïste.

Les gouvernants chinois viennent chambouler la donne par leur suprême intelligence : ils multiplient l’efficacité de l’économie occidentale par la discipline d’un régime dictatorial et poursuivent la politique d’imitation des produits issus du génie européen et nord-américain, ainsi que l’irrespect des conventions internationales sur les brevets de fabrication.

Qu’elle soit l’effet d’un hyper-capitalisme ultra-libéral ou d’un capitalisme hautement surveillé par l’État, l’économie actuelle n’est pas dominée par les financiers, mais par l’entente des grands entrepreneurs et des grands négociants, qui ont domestiqué les clowns de la politique et des media, succédant aux financiers dans ce rôle de manipulateurs d’opinions publiques et de marionnettes.

Par l’effet du triomphe de la production et de la distribution de masse – étendues à presque toute la planète -, les banques centrales ont reçu l’ordre d’anéantir (ou presque) l’intérêt de l’argent. C’est le reniement de 3 à 4 milliers d’années d’agiotage et de manipulations monétaires, au profit de la consommation massive, générant de superbénéfices inégalement répartis entre producteurs et négociants, gros et petits.

Donald Trump poursuit la grande politique rêvée par FDR. Il le fait avec le punch et l’absence d’hypocrisie qui le caractérisent : c’est-à-dire en parfait Yankee. Il dicte sa loi, parce qu’il dispose de la plus grande armée, du plus gros complexe militaro-industriel et des entreprises multinationales les plus puissantes, les plus innovantes et les plus impitoyables.

La minorité agissante de l’humanité actuelle est placée devant une alternative très simple. Ou bien, elle accepte un monde dominé par l’American way of life, ce qui implique à terme l’éclosion d’une humanité métissée, d’un Homo Consumans standard, gentil hédoniste, le tout dans une ambiance de féminisme hystérique, soit une formidable régression culturelle... en attendant une formidable régression de polarité inverse, apportée par les mâles djihadistes.

Ou bien, l’on organise, continent par continent, des empires ou des fédérations d’États populistes. Pour l’heure, les nations d’Amérique latine tentent des expériences malhabiles et non coordonnées. En l’Europe, l’Axe Berlin – Moscou pourrait servir de point de départ à un Empire fédératif, à l’unique condition que l’Allemagne réexpédie dans leurs pays d’origine les millions d’Extra-Européens qui sont venus la squatter. Ce sera la condition sine qua non pour réunir dans cet Empire les peuples d’Europe centrale, occidentale et scandinave.

L’Europe aux Européens est un slogan tellement évident et naturel que les princes du négoce en font un corpus delicti : énoncer cette banalité (qui est le slogan jumeau de « l’Afrique aux Africains » ou de la célèbre Doctrine de Monroë) mène droit en correctionnelle et, bientôt, non plus au lynchage médiatique, mais à l’égorgement rituel. 

Le monde dominé par le négoce ne peut être que cosmopolite. Un monde populiste ne peut se faire qu’en fédérant des nations homogènes.    

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samedi, 07 mars 2020

Les pays de la grande Hypocrisie

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Bernard Plouvier

Le site (Net) TV5MONDE a publié le 5 mars 2020, le jugement d’un tribunal du Tennessee ordonnant l’expulsion de Friedrich-Karl Berger, un nonagénaire, citoyen des USA depuis près d’un demi-siècle, parce qu’il avait été, dans sa lointaine jeunesse, un gardien du camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg.

Ce programme spécial de traque et d’expulsion des citoyens US ex-nazis n’a été créé qu’en 1979... c’était déjà un peu tard, un quart de siècle après la guerre. De 1980 à nos jours, 67 ex-nazis, devenus de libres citoyens des USA, ont été dénaturalisés, livrés à un lynchage médiatique, puis expulsés. Le dernier cas connu, en août 2018, portait sur un homme de 95 ans.     

De nos jours, les procureurs de ce programme spécial du ministère fédéral de la Justice ne peuvent effectivement s’en prendre qu’à des nonagénaires. On n’a pas encore la notion qu’ils se soient attaqués à des centenaires, mais l’on peut faire confiance à des juristes comme Eli Rosenbaum qui geint : « le temps travaille contre nous, les procureurs », pour étendre vers la gamme des 100-110 printemps les si utiles recherches.

Ce doit être rageant, pour un vengeur juif, de constater que Dame Nature et Demoiselle Sélection Naturelle sont infiniment plus efficaces que sa haine. C’est avec une angoisse indicible, un effroi incommensurable que l’on constate la fin programmée de la si noble mission de ces merveilleux juristes voués à la traque des « animaux nazis » - une expression ayant cours en Israël. Toutefois, on leur fait confiance pour trouver un gibier de substitution.

De très odieux voyous de l’écriture historique pourraient rappeler l’effroyable surmortalité des camps de prisonniers de guerre (PG) contenant d’ex-membres de la Wehrmacht, de 1944 à 1946, dirigés par les autorités US, françaises et belges en Europe « libérée »... des nazis, mais nullement des communistes.       

Elle a été estimée à 1,1 million, sur un total de 5,9 millions PG (soit 18,6% de morts, à comparer avec la mortalité des PG français, britanniques et nord-américains détenus par le Reich : 3%) : environ 311 000 morts du 8 mai au 8 septembre 1945, puis un peu plus de 793 000 (en y comprenant 67 200 PG morts dans le mois suivant leur libération) du 9 septembre 1945 au 1er janvier 1946 (Bacque, 1990). Cette sélection fort peu naturelle avait été réalisée par le froid et la faim, le manque de soins et d’hygiène, soit autant de sources d’épidémies, mais aussi par des sévices, incluant les meurtres gratuits (Bacque, 1990). En résumé, un authentique crime de post-guerre, un génocide (selon la définition de l’ONU : des meurtres pour raison de différend racial, ethnique, politique...) ayant la pure haine et la basse vengeance pour seules motivations.

Bien entendu, la noble cohorte des grands historiens bien-pensants et bien-disants s’est ruée à l’assaut du manant, de l’amateur révisionniste James Bacque. Or cet homme a été défendu par une foule d’ex-soldats de l’US-Army qui avaient observé les conditions de captivité des vaincus, et aussi par de nombreux ex-gardiens de camp US, honteux de ce qu’ils avaient laissé faire, voire de ce qu’ils avaient fait. Même les statistiques officielles de l’US-Army (totalement fausses) révèlent une mortalité dans les camps de PG allemands administrés par les USA en Europe 4 fois supérieure à celle des camps de Grande-Bretagne où les vivres étaient pourtant sévèrement rationnés (Lowe, 2012).

Enfin, puisque l’actualité nous rappelle le camp de Neuengamme, il est bon de rappeler un fait bien connu ou qui devrait l’être, un crime de guerre des Chevaliers du ciel de la glorieuse Royal Air Force : le scandale de l’attaque des navires partant de Lübeck vers la Suède, le 3 mai 1945.

Ce jour, partent environ 20 000 déportés libérés, sur ordre d’Heinrich Himmler, des camps de Neuengamme (Hambourg) et du Stutthof (Dantzig), transportés sur quatre paquebots ou cargos allemands strictement dépourvus d’arme et porteurs d’immenses drapeaux arborant une énorme Croix Rouge. La direction de la Croix Rouge suédoise a directement averti l’état-major du 21e Groupe d’Armées allié (Fieldmarshall Bernard Montgomery) de ce transfert humanitaire.

Trois bateaux sont attaqués par des Typhoon de la RAF, armés de roquettes air-sol. Le Thielbeck, un petit cargo de 2 800 tonneaux, coule avec 2  750 déportés et une centaine d’hommes d’équipage ou d’escorte. Le Cap Arcona, gros paquebot de 27 500 tonneaux, prend feu puis sombre gardant dans sa carcasse 4 650 déportés et un demi-millier d’hommes d’équipage : il n’y a que 316 survivants, d’autant que les chevaliers du ciel mitraillent les naufragés survivants... eh oui !

Au total, le score de ce jour s’élève à 7 300 déportés (dont quelques Juifs) et 600 Allemands assassinés, qui se croyaient couverts par le drapeau de la Croix-Rouge (Jacobs, 2004). Fatale erreur ! il semblerait que la société Rolls-Royce ait fait circuler des photographies des épaves pour vanter la qualité de ses roquettes et en faciliter la vente. Pure calomnie, cela va sans dire.

L’Occident, devenu succursale de l’économie globale et de la mondialisation de la propagande, est réellement puant d’hypocrisie.

Pour amateurs, indications bibliographiques :

  1. Bacque : Morts pour raisons diverses. Enquête sur le traitement des prisonniers de guerre allemands dans les camps américains et français à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Sand, 1990
  2. Jacobs, E. Pool : The 100-year secret. Britain’s hidden World War II Massacre, The Lyons Press, Guilford [Connecticut], 2004 (pour l’instant les vengeurs de la mémoire juive outragée n’ont pas encore osé attaquer l’État britannique au titre de la Shoah, mais ce livre pourrait servir d’argument !)
  3. Lowe : L’Europe barbare. 1945-1950, Perrin, 2013 (première édition anglaise de 2012)

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jeudi, 05 mars 2020

Les Tartarins de l’épidémiologie et du « Principe de précaution »

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Bernard Plouvier

Chacun sait que, depuis le début du XXIe siècle, il existe dans tous les pays occidentaux un rejet de la caste politicienne, une perte absolue de prestige de nos soi-disant princes, dont même les plus simplets de nos contemporains commencent à comprendre qu’ils ne sont que des pions interchangeables, au service des véritables patrons de la nouvelle ère : les maîtres du seul vrai Pouvoir, l’économique.  

Or, si tous les sondages réalisés depuis le lustre 2001-2005 démontrent cette perte de crédibilité et la désaffection des citoyens pour les pitres qui font semblant de gouverner, les sondages d’opinion de la dernière décade montrent, de façon ahurissante, que les populations « font confiance à leurs gouvernements » pour les protéger de la « pandémie à coronavirus ». 

Autrement dit, pour redorer le blason de nos Machiavel, il a suffi d’organiser une panique à l’échelon planétaire, avec la complicité des clowns amoraux des media, et pour un fait épidémiologique MINEUR, une infection dont la mortalité est faible, ne touchant que la petite frange en état de déficit immunitaire sévère (soit un infime pourcentage) de chaque population.

Moins que jamais, notre monde n’est régi par la froide raison et le bon sens. Le XXIe siècle n’est nullement « un siècle des sciences et de la technique », mais demeure, comme les millénaires précédents, une époque « enchantée », où n’importe quel gourou peut lancer un « message » fou, grotesque, disproportionné à la réalité du fait causal.

Notre monde n’est nullement « désenchanté », nullement rationnel. Et c’est logique : Homo Sapiens sapiens demeure ce qu’il est depuis l’éclosion de l’espèce, un gogo crédule. Les prêtres de tous les cultes, les gourous de toutes les sectes, les politiciens les plus ineptes, les démagogues les plus minables restent les rois de la masse imbécile.

Théoriquement, ce qui différencie les régimes populistes des ploutocraties (variante : « démocraties libérales »), des théocraties et des doctrines de haine sociale – comme le crétinisme marxiste -, c’est l’élévation du niveau culturel des membres non débiles mentaux  des Nations. C’est une raison supplémentaire de tenter le pari du Populisme en Occident.     

Chacun sait que, depuis le début du XXIe siècle, il existe dans tous les pays occidentaux un rejet de la caste politicienne, une perte absolue de prestige de nos soi-disant princes, dont même les plus simplets de nos contemporains commencent à comprendre qu’ils ne sont que des pions interchangeables, au service des véritables patrons de la nouvelle ère : les maîtres du seul vrai Pouvoir, l’économique.  

Or, si tous les sondages réalisés depuis le lustre 2001-2005 démontrent cette perte de crédibilité et la désaffection des citoyens pour les pitres qui font semblant de gouverner, les sondages d’opinion de la dernière décade montrent, de façon ahurissante, que les populations « font confiance à leurs gouvernements » pour les protéger de la « pandémie à coronavirus ». 

Autrement dit, pour redorer le blason de nos Machiavel, il a suffi d’organiser une panique à l’échelon planétaire, avec la complicité des clowns amoraux des media, et pour un fait épidémiologique MINEUR, une infection dont la mortalité est faible, ne touchant que la petite frange en état de déficit immunitaire sévère (soit un infime pourcentage) de chaque population.

Moins que jamais, notre monde n’est régi par la froide raison et le bon sens. Le XXIe siècle n’est nullement « un siècle des sciences et de la technique », mais demeure, comme les millénaires précédents, une époque « enchantée », où n’importe quel gourou peut lancer un « message » fou, grotesque, disproportionné à la réalité du fait causal.

Notre monde n’est nullement « désenchanté », nullement rationnel. Et c’est logique : Homo Sapiens sapiens demeure ce qu’il est depuis l’éclosion de l’espèce, un gogo crédule. Les prêtres de tous les cultes, les gourous de toutes les sectes, les politiciens les plus ineptes, les démagogues les plus minables restent les rois de la masse imbécile.

Théoriquement, ce qui différencie les régimes populistes des ploutocraties (variante : « démocraties libérales »), des théocraties et des doctrines de haine sociale – comme le crétinisme marxiste -, c’est l’élévation du niveau culturel des membres non débiles mentaux  des Nations. C’est une raison supplémentaire de tenter le pari du Populisme en Occident.     

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lundi, 02 mars 2020

Les Coronaviroses... ou quand la médecine sert d’alibi à l’économie politique

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Bernard Plouvier

En l’année 1968 (celle de tous les périls pour l’Occident !), une équipe des USA isole une nouvelle classe de virus lors d’une épidémie de diarrhée murine (souris) et porcine. Les recherches sont lentes, car a priori ce virus « exotique » (semblant alors n’exercer de ravages que sur le bétail chinois... tant pis pour Mao !) semble bien bénin pour l’espèce humaine.

On apprend petit-à-petit qu’il s’agit d’un gros virus à ARN (l’Acide Ribonucléique), avec une enveloppe lipidique... exactement comme pour les paramyxovirus, réputés responsables de banales laryngites chez l’homme - parfois très sévères chez le nouveau-né et le nourrisson. Mais c’est aussi le groupe du virus respiratoire syncytial (VRS pour les initiés), l’agent des bronchiolites et des broncho-pneumonies sévères du petit enfant, dont les premiers cas furent diagnostiqués dans les années 1950 et qui devint, dans les années 1970-80, la terreur des services de réanimation infantile.

Toutefois les coronavirus n’inquiètent pas trop : ils sont censés donner des syndromes d’allure grippale, un peu particuliers par la fréquence des gastroentérites et des laryngites ou des laryngo-trachéites : le sujet contaminé tousse 3 à 4 semaines, mais s’en sort sans trop de problèmes sauf cas de surinfection bactérienne trop tard diagnostiquée et traitée.

Bref, une ambiance de grippe avec de loin en loin une insuffisance respiratoire suraiguë, souvent mortelle quoi qu’on fasse : la classique pneumopathie interstitielle, reconnaissable au simple cliché de thorax (et bien mieux grâce au scanner), l’effroi du médecin pneumologue, car il sait qu’il va refiler le malade au réanimateur (donc parfois à lui-même, avec la casquette « de garde »)... et que l’issue sera généralement fatale, pour l’excellente raison que cette complication témoigne d’un effondrement des défenses immunitaires – par défaut constitutionnel ou de façon acquise, par un cancer, un traitement immunodépresseur, une insuffisance rénale, etc. On parle de « grippe maligne » ; famille & médecins en sortent meurtris.  

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vendredi, 21 février 2020

Rétablir l’Harmonie ou tout casser !

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Bernard Plouvier

Curieuse fin d’hiver que celle de l’An 2020. Grand Président Macron découvre les menus inconvénients de l’implantation de l’islam en France – bien élevé comme il l’est, il n’ose parler d’invasion !

En Italie, un courageux homme politique, le seul qui ait tenté de s’opposer à l’immigration-invasion, est sous le coup d’une procédure judiciaire déclenchée par cette activité de Protecteur de la Nation italienne contre les envahisseurs indésirables et probablement indésirés... mais, chi lo sa ?

Puisqu’aussi bien, en Italie comme en France, en Belgique, aux Pays-Bas ou partout ailleurs en Europe occidentale, aucun des « Démocrates » aux apparences du pouvoir n’a demandé son avis à la Nation quant à l’utilité d’importer massivement des non-Européens, majoritairement illettrés et sans la moindre qualification professionnelle, en une période de chômage massif !

Dans l’un ou l’autre cas, le français et l’italien (et l’on n’a même pas évoqué la succession de l’Oie grasse d’Outre-Rhin qui devrait prendre sa retraite après avoir importé massivement de l’inutilisable), tout est fait pour empêcher le triomphe électoral d’un chef populiste.

On comprend bien que les vrais puissants qui tirent les ficelles de nos pantins ne tiennent pas à voir se multiplier les Trump et Poutine, mais à trop ouvertement se moquer du Bon Peuple, les financiers, négociants, esclavagistes d’Asie et manipulateurs des media risquent fort de se retrouver avec quelques révolutions bien sanglantes et très destructrices.

Depuis deux ans, les Gilets Jaunes de France se sont manifestés pour des raisons fiscales absurdes. Le seul problème français n’est nullement l’excès (réel) d’impôts et de taxes, mais la mauvaise utilisation qui en est faite. Utiliser le Bien Commun pour stimuler une immigration inutile et parasitaire est pure ignominie. Elle ne sert que les intérêts de la distribution de masse, grâce à de multiples subventions aux ZZ (les Z’honorables Z’immigrés, que pourtant nul Français n’a demandé à recevoir), qui leur permettent de consommer sans travailler.

On comprend que, terrorisé par des élections de mi-mandat, Grand Président Macron change de discours en un virage que seul jusqu’à présent dans l’histoire contemporaine un « Staline » avait osé prendre : un virage politique à 180 degrés. Voilà, d’un coup, GPM décidé à « comprendre le petit peuple de France ». Au moins, pour une fois, au lieu de faire grincer des dents, Jeunot Ier fait rire.

On sait bien que les Français sont majoritairement des « veaux » (appellation gaullienne certifiée d’origine), mais la ficelle électorale est un peu grosse. Après cette couleuvre, GPM voudra nous faire croire – pour assurer sa réélection au Palais – qu’il n’est pas le Président des riches !  

Il est temps d’arrêter les sottises. Il faut rétablir l’harmonie entre la réalité des faits et les institutions. Il est nécessaire d’en revenir à la Démocratie : Égalité de tous les citoyens devant la Loi, totale Liberté d’expression (sauf calomnie et pornographie), Referendum obligatoire sur tous les grands sujets de société – immigration extra-européenne, stricte séparation des cultes et de l’État (et non plus un financement occulte de l’islam), lutte forcenée contre la corruption politique et administrative, interdiction des sectes maçonniques qui gangrènent l’État, interdiction du financement étranger des partis politiques et des syndicats, peine de mort, avortement de complaisance, durée légale du travail (un « âge de retraite » est en soi une absurdité... qui témoigne de l’amateurisme de Macron and Co), protection de l’agriculture, de l’industrie et du commerce français et, si besoin, le droit de dire... bien des choses aux clowns de Bruxelles.

De tout cela, c’est à la Nation de décider et non aux pitres, politiciens professionnels au casier judiciaire pas toujours vierge, mais à l’expérience professionnelle nulle ou fort mince.    

Au total, il faut rendre l’État à la Nation... sinon, l’on risque une véritable explosion et non des manifestations de rues, qui peuvent paraître effrayantes à de gentils cadres dynamiques qui ne sont jamais sortis de leurs beaux quartiers, mais qui ne sont rien à côté des excès de toute Révolution.    

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mercredi, 12 février 2020

L’homme d’action face aux femelles et aux capons

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Bernard Plouvier

Il y a deux millénaires, un très grand esprit semble avoir enseigné cette profonde vérité : « C’est aux fruits qu’on juge l’arbre ». Et nos paysans répètent depuis des siècles qu’on récolte ce qu’on a semé... du moins en qualité, la quantité dépendant d’une foule d’éléments contingents.

Les pays d’Europe occidentale et scandinave sont gouvernés par des femelles et des capons, et sont donc des proies faciles pour les masses d’immigrés d’origine extra-européenne. Et, en France macronienne, l’on n’a même plus le droit d’énoncer cette évidence : l’immigration à coup de millions de femmes, d’hommes et d’enfants, cela s’appelle une "invasion".

L’"invasion" que nous subissons – sans avoir été consultés, ce qui témoigne du caractère totalitaire des régimes européens, singulièrement du français - n’est pacifique qu’en apparence, parce que dans le lot des aimables réfugiés politiques, économiques, sanitaires, climatiques etc, se sont glissés nombre d’adeptes du Djihâd, comme nul ne l’ignore depuis 2014 sq.

Curieusement, dans les deux grands États de la planète gouvernés par des hommes, des vrais, les immigrés sont fort peu nombreux et sont vite rentrés dans le rang après quelques attentats perpétrés au nom d’une divinité moyen-orientale, révérée en son temps par le crypto-islamique Barak-Hussein Obama.

Poutine et Trump savent que la force dicte le droit, selon les principes bien connus : dieu est du côté des gros bataillons (et si la divinité n’en a cure, du moins le succès est garanti par l’anéantissement de l’ennemi) & force doit toujours rester à la Loi.

En nos États décadents, des esprits évaporés glapissent sur les droits des minorités et inventent des lois loufoques sur l’inexistence des races humaines, sur la repentance pour avoir sorti des peuplades arriérées de la crasse, de la maladie et du travail inefficace, sur le droit au mariage pour tous les « genres » y compris les plus improbables, sur l’abolition de la peine de mort... sauf pour les fœtus, car sur ce point, on assassine par centaines de milliers chaque année en France macronienne – et c’est même remboursé SS ! 

Pendant que nous nous enfonçons une année après l’autre dans le déshonneur, les vrais hommes agissent... et ça marche fort bien !

La Russie redevient un grand pays industriel, où l’on s’équipe et favorise la consommation intérieure – ça change de l’ignominie communiste où seuls les nomenklaturistes n’étaient pas des pauvres. L’armée russe est redevenue la première de la planète, à égalité d’entraînement et de sophistication matérielle avec celle des USA. Néanmoins, la politique du grand Poutine est résolument pacifique, ce qui ne fait pas plaisir aux fous furieux qui veulent imposer leur impérialisme au nom de leur seul vrai dieu.

Aux USA, après les années Obama où les produits chinois avaient envahi la distribution US, la méthode Trump est un succès comme on ne peut guère en rêver dans la France macronienne... qui ne gagne pas ! Exportations et créations d’entreprises au zénith, chômage au nadir, importations maîtrisées, croissance économique réelle (et non pas soutenue par de grossiers artifices de calcul).

À toute époque, la véritable force a moins reposé sur le nombre des humains (après tout, l’Afrique – le boulet économique de la planète – a un poids démographique égal à 3,7 fois celui des USA : 1,22 milliard vs 330 millions) que sur la puissance de travail et l’inventivité, mais aussi sur la volonté du patron, sur sa détermination dans la prise de décisions et l’énergie avec laquelle il impose sa politique.

Poutine comme Trump agissent et gagnent en dépit des critiques, des crises de nerfs et des larmes (de crocodile) des manipulateurs des media. Le réaliste se reconnaît au fait qu’il n’est pas impressionné par la démagogie, même criarde, ni par les injures. Il agit et il gagne.

L’homme d’État – soit une rareté dans l’histoire humaine – est celui qui règle, au mieux des intérêts de sa Nation, une grave crise, généralement d’ordre mixte : économique et morale. En politique, seul est grand celui qui réussit à surmonter ce type de crise et crée les institutions destinées à éviter de nouvelles épreuves à son peuple.

Le contraste entre ce que nous fûmes, Européens d’Occident, et ce que nous sommes devenus n’est pas à notre honneur. 

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jeudi, 30 janvier 2020

Macron philosophe n’est guère meilleur que Macron politicien

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Bernard Plouvier

Lorsque notre sémillant Président parle de pourfendre le racisme en Israël, on ne peut qu’approuver chaudement et l’en féliciter. Encore faut-il préciser les choses et parler honnêtement.

Il est évident qu’il n’existe aucune « race supérieure », aucune « race élue pour dominer » les autres ou lui imposer sa loi. Le racisme n’aboutit qu’à l’esclavage d’une soi-disant « race inférieure » par une soi-disant « race supérieure » et aux massacres de masse, appelés « génocides » depuis 1943... un barbarisme grammatical moderne pour une triste réalité antique.

« L’élection divine » est une absurdité identique à celle de « la mission du prolétariat » (ou de n’importe quelle classe sociale), ou encore du fardeau de telle ou telle caste réputée meilleure que les autres. On espérait que la fin dans l’abjection, la corruption et l’inefficacité des dictatures sanglantes communistes avait sonné le glas définitif de ces dangereuses stupidités d’un autre âge. Mais l’humanité restera toujours ce qu’elle est : indécrottable dans sa stupidité et ses débordements criminels.

Plus précisément, lorsque M. Macron évoque la « résurgence de l’antisémitisme », on est étonné qu’il n’en détaille pas les causes et qu’il ignore tout de la sémantique et des réalités qu’elle sous-tend.

En Israël, on comprend que M. Macron déplore un regain de haine anti-juive, que bon nombre d’auteurs juifs dès le XIXe siècle recommandaient de dénommer « antijudaïsme », en détachant ou non cette appellation de sa connotation religieuse. De fait, si certains Juifs parlent l’hébreu – langue sémitique, presque oubliée des Juifs ni rabbins ni étudiants de Yeshivah avant 1945 -, plus d’un milliard de mahométans usent de l’arabe pour leurs prières et leurs imprécations : c’est aussi une langue sémitique et de loin la plus utilisée.

Or la quasi-totalité des agressions physiques de Juifs, depuis près d’un demi-siècle, sont le fait de mahométans, usant une langue sémitique, ou d’antisionistes, conspuant les mesures dirigées contre les Palestiniens, les Syriens, etc. qui sont aussi des locuteurs sémitiques. Parler « d’antisémitisme » à propos du regain de haine antijuive, c’est éminemment ridicule.

La sémantique débouche tout naturellement, ici, sur la politique internationale du Proche-Orient qui – contrairement à ce que dit M. Macron – ne devrait pas impliquer les citoyens français ni même la République française, établis sur un autre continent : l’européen, qui a déjà assez de causes d’inquiétudes graves pour ne pas se mêler d’affaires qui remontent à un siècle, les premières tueries interethniques en Palestine remontant au début des années 1920.

Ce sont affaires régionales, envenimées à plaisir par quatre générations d’activistes. Nous n’avons aucune raison de nous immiscer dans des haines ethniques, religieuses, économiques, où la mauvaise foi est réciproque. Si M. Macron a de l’énergie à revendre, qu’il l’applique à régler les problèmes d’insécurité qui se multiplient en France, un État qu’il a voulu diriger.  

Oser dire que « l’antisémitisme » (entendre : la haine spécifiquement dirigée contre des Juifs en tant que juifs) n’est pas « le problème des Juifs, mais celui de la République », fait entrer la question dans le domaine philosophique et sociologique autant que politique.

Quel sociologue admettrait-il qu’il puisse exister depuis 2 à 3 millénaires une persécution d’un peuple innocent de toute faute ? D’une manière générale, tout le monde sait qu’il n’existe pas d’effet sans cause.

Déjà vers 1890, Lazare Bernard (ou « Bernard Lazare », comme l’on voudra) reconnaissait qu’il fallait en chercher les causes, non seulement chez les non-Juifs (les Goyim), mais aussi chez les Juifs. Parmi ces causes endogènes, il citait le racisme matrimonial juif (si l’on préfère l’endogamie juive), le repli communautaire juif qui préexistait au christianisme (les pogroms d’Alexandrie étaient monnaie courante bien avant la naissance de Jésus de Nazareth), la préférence communautaire etc.  

Faire l’impasse sur le « séparatisme juif » n’est pas sérieux - après tout, Nahum Goldmann a dit des Juifs qu’ils étaient « le peuple le plus séparatiste du monde » et ce Président du Congrès Juif Mondial et de l’Organisation Sioniste Mondiale devait bien savoir de quoi il parlait.

Il est évident qu’il faut combattre cette viciation de l’esprit humain dénommée racisme. Il est évident qu’il faut combattre les haines interethniques – et en Europe, nous souffrons presque quotidiennement de la haine anti-Blancs des envahisseurs violents issus d’autres continents.

À ce titre, M. Macron a raison d’évoquer la stupide haine anti-juive qui, pour diverses raisons, semble redevenir d’actualité, mais il devrait au même titre évoquer la haine anti-Blancs, particulièrement absurde en Europe, continent d’origine de la race blanche.

Lorsqu’on veut résoudre une grave question, il faut bien poser le problème, sans éluder l’étude de toutes ses causes, de façon à prendre les mesures qui s’imposent : protéger les honnêtes citoyens de la racaille – quelles que soient les opinions et les origines ethniques des voyous - ; utiliser correctement les forces de l’ordre ; réintroduire la peine de mort pour les assassins.

Enfin et par-dessus tout, il faudrait cesser de nier certaines évidences et cesser de prendre les français pour des crétins.

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mardi, 07 janvier 2020

Quels expansionnistes mahométans l’Occident doit-il craindre ?

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Bernard Plouvier

En ce début d’année 2020, on déplore une attaque ciblée d’un drone made in USA contre un chef de guerre iranien, en omettant généralement de rappeler les dizaines de civils et de soldats US qui ont servi de cibles aux fous furieux chiites, associés à ce qui reste de l’État islamique Daesh, en 2019.

Que l’homme de la Maison Blanche ait eu une réaction (limitée, car très bien ciblée) n’étonnera que les (fausses) pucelles effrayées. Après tout, il semble bien qu’en 2019, l’US-Army nous ait délivré du fou Abou-Bakr II, le calife auto-proclamé qui avait ravivé le Djihâd en 2014, en donnant son aval au terrorisme non-ciblé un peu partout en Occident. Le général iranien transformé brutalement en pure énergie était chargé de revigorer les guérillas d’Irak.

Or, plutôt que de craindre un Iran dont l’économie se porte très mal, d’où l’élite s’est sauvée de 1979 à nos jours, vers l’Occident, et dont l’armée a démontré son peu d’efficacité dès les années 1980, l’on ferait beaucoup mieux d’estimer à sa juste valeur le risque turc.

Là aussi, l’élite a fui en grande partie, mais le bloc anatolien peut compter sur 75 millions d’un peuple connu pour son opiniâtreté et son fanatisme, orientable au gré du potentat vers l’impérialisme teinté d’islamisme. Certes, ces dernières années, les Turcs se sont vautrés dans le consumérisme à l’occidentale, ce qui a stimulé l’économie nationale : les supermarchés sont plus fréquentés que les mosquées.

Seulement à Ankara, règne un démagogue fort dangereux. Il est charismatique (on sait depuis les expériences du XXsiècle, que la laideur physique n’y fait guère obstacle) et vole de succès en succès. L’économie, même si elle entre en (discrète) récession depuis 2018, a connu une formidable croissance ces 15 dernières années.

Même si la corruption est énorme (mais, en France, l’on devrait être discret sur ce point : l’expérience prouve qu’hélas nous n’avons plus de leçon à donner sur ce point), la nation vote massivement pour son dictateur à chaque consultation électorale. Erdogan est même parvenu à transformer la République laïque de Mustafa Kemal en terre de nouveau fanatiquement sunnite... Atatürk doit se retourner dans son (fort sobre) mausolée.

Erdogan est à notre porte Sud-Est, avec un peuple jeune et prolifique, des fabriques d’armes robustes et assez précises, une armée au moral gonflé par des opérations faciles contre des milices du Moyen-Orient.

Si le rêve pantouranien d’Alparslan Türkes (mort en 1997) semble pour l’instant éloigné (c’était le mirage d’une fédération de Turcs, Azéris, Ouzbeks, Tadjiks et Turkmènes, financée en partie par la culture du pavot et ses produits dérivés), son autre projet, celui d’un retour d’expansionnisme ottoman en terres danubiennes est toujours envisagé. D’autant qu’il existe de fortes 5e Colonnes en Macédoine, Albanie, Kossovo, Bosnie-Herzégovine et Allemagne.

Enfin, les doux sionistes d’Israël ne peuvent qu’encourager Ankara à massacrer du Kurde : Erdogan y gagnerait les puits de pétrole de Mossoul et environs. Divers politiciens-affairistes des USA (plutôt de la mouvance « Démocrate ») verraient d’un bon œil une domination turque (sous tutelle US) sur l’Irak (zones pétrolifères) et la Syrie (zones idéales pour les pipe-lines)... déjà, le Turc exige un « droit » sur les pipe-lines sous-marins de Méditerranée qui longent Chypre.

Il est logique de penser qu’un fou conquérant à nos portes est plus dangereux qu’une cohortes de mollahs médiévaux perdus au milieu du Moyen-Orient et menacés aussi bien par le colosse US que par le colosse russe..     

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mercredi, 01 janvier 2020

Macron Dégage !

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Bernard Plouvier

Non seulement cet arriviste prétentieux n’a strictement rien fait d’autre depuis deux ans que de mettre en furie la fraction la plus pauvre et la moins réfléchie de notre malheureuse nation.

Mais en plus, les videos de la nuit du 31 décembre 2019 au 1er janvier 2020 montrent  des scènes de guerre civile, de chaos à Toulouse, Strasbourg, Limoges et dans bien d’autres villes. Nantes est devenue une métropole du crime. L’administration de Macron, c’est la honte pour notre pays ! Alors que ce jeune prétentieux dégage !

Il est indispensable que notre nation reprenne en mains ses destinées : on chasse les pourris, on réexpédie chez eux les immigrés extra-européens qui sont en situation de parasites, de criminels ou de délinquants récidivistes, et on se remet au travail.

On reconstruit notre France, en limitant la mixité raciale, en refusant le remplacement de population dominante, en appliquant dans toute sa sévérité la Loi de séparation des cultes et de l’État, ce qui revient à combattre militairement l’islam djihadiste, à la fois meurtrier et conquérant.

On refait une France où les campagnes ne doivent plus être déshéritées, étant indispensables à notre survie, et pas seulement alimentaire : la vie urbaine n’est supportable que si l’on peut retrouver un contact avec la nature.

On restaure un enseignement de qualité, où les humanités, les sciences et les techniques soient enseignées et surtout pas les immondices tiers-mondistes et droits-de-lhommesques.

On réinstaure notre fierté de Français qui furent de brillants colonisateurs pacifiant et modernisant des continents arriérés, au prix de dépenses énormes de la part des contribuables français.

Et le petit sot prétentieux va se vautrer dans la repentance abjecte et les poncifs les plus éculés de cette gauche ringarde qu’on croyait morte avec l’immonde bête soviétique !

Macron et sa clique de politiciens plus arrivistes encore que ceux qui entouraient un Sarkozy et beaucoup plus nocifs que la bande de nuls de l’administration Hollande doivent dégager. Sinon, il va falloir les y aider.

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mardi, 31 décembre 2019

Bienheureux Nippons et Russes : ils sont gouvernés !

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Bernard Plouvier

Le gouvernement japonais avait une épine (très médiatisée) dans le pied. Il a éliminé la chose en organisant « l’évasion » du Libanais Carlos Ghosn, qui va ainsi émouvoir les Aïcha et Margot du Proche-Orient et de notre crédule et très sot Occident, avec le récit des souffrances endurées dans les geôles nippones, où l’on ne lui servait pas de foie gras ni de grand cru classé tous les jours.

Les gouvernants nippons sont gens intelligents et pragmatiques. Ils viennent de le démontrer. Les menus inconvénients infligés au tyranneau industriel et au grand manieur d’argent vont-ils faire réfléchir ses honorables confrères : spéculateurs et entrepreneurs au comportement bizarre ? Rien n’est moins sûr.

Chacun sait que la Grande crise économique qui a débuté en 1929, plongeant dans le chômage de longue durée des dizaines de millions d’honnêtes travailleurs et réduisant à la misère leurs familles, fut la conséquence d’une spéculation effrénée de psychopathes avides de gains faciles, durant les années 1925-29. Une fois obtenu un certain retour à l’activité économique, les mêmes ont recommencé leurs singeries asociales, de 1935 à 1937. Il en est résulté une rechute de la crise aux USA, à partir du 2e semestre de 1937.

Depuis le début de l’ère globalo-mondialiste, on ne compte plus les scandales financiers aux USA ou en Extrême-Orient. Le dernier cataclysme en date, celui de la spéculation immobilière aux USA accouplé au scandale d’une arnaque aux contrats en cascade (les « subprimes »), a ralenti l’économie occidentale durant cinq années.

Et la presse occidentale est tellement bien domestiquée qu’aucune remarque désobligeante n’a été faite sur l’origine tribale des principaux acteurs de cette déroute financière. Seules quelques publications chinoises, russes et mahométanes ont osé l’évoquer, sans obtenir d’écho en Occident.

Pas plus que pour ces affaires nauséabondes de course au fric facilement gagné, les crapuleries sexuelles de divers politiciens ou de stars du show-business n’émeuvent les foules, blasées à force de contempler la pornographie télévisée ou importée par le net.  

De même, les Français encaissent de façon pluriquotidienne des annonces publicitaires télévisées où 70% des acteurs et actrices ne sont manifestement pas de souche européenne. C’est une façon simple de faire passer la pilule de « l’irréversibilité » de l’immigration-invasion, de la nécessaire « mixité raciale » et de préparer en douceur la substitution de population dominante en Europe occidentale et scandinave.

En Russie, il en va autrement. Sous le règne du satrape imbécile et corrompu Eltsine, la Russie avait atteint le fond du gouffre. En moins d’un quart de siècle, Vladimir Poutine en a refait une grande puissance, a liquidé les crapuleries djihadistes et a chassé les maffiosi qui encombraient les allées du pouvoir et l’économie. Il y a gagné – allez savoir pourquoi – une réputation « d’antisémite », dont il se moque résolument.

Quel rapport peut-il y avoir entre Ghosn et Poutine ? C’est celui de la triste comparaison entre notre Occident dégénéré et une Europe de l’Est où l’on prépare l’avenir de la race européenne.

Qu’un Ghosn ait pu devenir un symbole de « l’économie française » est pour nous, Français de souche européenne, une flétrissure. Certes, un Strauss-Kahn avait bien paru, vers 2010, indiquer un certain avenir politique à notre malheureux pays. Les sympathiques Nord-Américains nous ont fait comprendre qu’il serait logique d’y renoncer, comme les Nippons nous ont débarrassés de la calamité libanaise.

Les Français vont-ils enfin réagir ? Difficile à dire. En tous cas, les joyeux lurons ZZ (Z’honorables - Z’immigrés) vont leur fournir matière à réflexions en illuminant nos quartiers d’incendies volontaires de voitures (d’autrui), pour égayer le changement d’année.

La jolie Merkel et notre angélique Président ont raison : les ZZ sont l’avenir d’une certaine conception de l’Europe occidentale.

Notre espoir d’Européens gît à l’Est.

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samedi, 28 décembre 2019

Les Français vont-ils être capables de se supporter ?

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Bernard Plouvier

Dans la Rome antique, après chaque époque de guerre civile, on décrétait une Indulgentia perfecta. Non pas cette « indulgence plénière », cette « absolution » laxiste de ceux qui ont ensuite dominé l’Urbs, prenant (fort mal) le relais des grands républicains puis des empereurs les plus efficaces, mais l’amnistie pour tous les délits et une peine modérée pour les crimes politiques d’une époque terminée (per-fecta : une fois les faits révolus). En France, on ignore manifestement la chose !

Grand Président Macron y va de sa ritournelle sur les « crimes de la colonisation », pour mieux asseoir l’exploitation des richesses du sol et du sous-sol africain par diverses sociétés multinationales, peut-être celles qui envisagent d’un bon œil de subvenir à certains besoins lors des prochaines campagnes présidentielles.

Et certes, Grand Président Macron a des excuses à faire... mais aux contribuables français des siècles passés, pour le détournement de milliards d’unités de compte prélevées sur le produit des impôts et des taxes, soit ce qu’il en a coûté pour abolir les guerres tribales en Afrique, en Asie et en Océanie, pour sortir de la préhistoire l’Afrique équatoriale, et pour dynamiser un Maghreb médiéval, assoupi sur son coran.

Des excuses sont également nécessaires aux Français contemporains – nous ! – pour leur avoir imposé, sans référendum, une immigration de masse d’origine extra-européenne, strictement inutile, sauf pour relancer une grande distribution mise à mal par le sens de l’économie de la nation française, une immigration où la part des voyous et des émeutiers semble à la fois plus élevée et plus coûteuse que la part des honnêtes pères de famille.

D’un autre côté, décennie après décennie, on veut nous culpabiliser pour une shoah dont ni Charles de Gaulle ni François Mitterrand (il en faut pour tous les goûts) ne jugeaient coupable la nation française. De fait, il y a belle lurette que les rares antijudaïques meurtriers de France ont été exécutés ou sont morts en exil. Cela n’empêche pas certains excités & insatiables de réclamer, année après année, davantage de dédommagements, commémorations, instituts de déploration etc.

De Gaulle a dit en décembre 1969 : « Quant aux Français de demain, je ne vois pas pourquoi ils auraient honte du passé de la France et le renieraient en quoi que ce soit ».

De Mitterrand, on peut à bon droit ne retenir que ce qu’il a dit en 1994 : « La France n’a pas d’excuse à donner pour ce qu’a fait l’État de Vichy... C’est une demande excessive de gens qui ne sentent pas profondément ce qu’est l’honneur d’être Français... C’est l’entretien de la haine et ce n’est pas la haine qui doit gouverner le France ».

Aucun État, aucune Nation ne sont exempts de fautes et de crimes, c’est la seule leçon universelle de l’histoire. Mais pour aller de l’avant, pour demeurer une Nation, il faut savoir réconcilier tous les membres de cette nation. Reconnaître les fautes est utile pour ne pas les reproduire. Mais le rabâchage masochiste n’est que perversion.

Et c’est chose parfaitement intolérable quand les marchands du temple, qui ont intérêt à ressasser encore et encore les errements du passé, tirent un bénéfice de nos divisions. Face à l’avenir et à la montée des périls, les Français de souche européenne doivent s’UNIR.     

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lundi, 23 décembre 2019

La Nouvelle réalité : répression & laxisme

de_monzie_anatole0605r3.jpgBernard Plouvier

En 1943, au pire moment d’incertitude, un politicien écarté de toute fonction publique, le député-affairiste Anatole de Monzie (en médaillon) a écrit (in La saison des juges) : « La répression ne saurait se manifester que par crises : l’alternance de la poigne et du pardon constitue la norme des sociétés ».

Quelle sublime stupidité, à la mesure du personnage vénal et ambigu, qui, durant sa période de gloire, dans les années trente, flirtait avec Mussolini et avec des agents du PCF stalinien ! Car il peut coexister répression et laxisme aussi abjects l’une que l’autre. Et cette dualité définit les périodes de décadence.

Notre société libérale faisandée – celle de France, de Belgique, des Pays-Bas, de l’Allemagne et des pays scandinaves – a instauré une « Justice » schizophrène où coexiste le laxisme le plus effarant et la répression la plus étonnante de la simple observation des réalités sociales.

On n’en est même plus au stade de la négation de la liberté d’expression de la pensée non-conformiste. On en est arrivé à condamner ceux qui observent les faits réels et en déduisent la moins improbable évolution de notre société !

D’un côté, règne le plus total laxisme envers les criminels et les délinquants issus de l’immigration extra-européenne, ni punis pour leurs encouragements à la haine meurtrière envers les Blancs ou pour leurs innombrables vols et dégradations de biens privés et publics, ni même punis pour leurs viols. Et cela peut s’expliquer de trois façons.

La quantité phénoménale de crimes et de délits commis par les envahisseurs pourrait décourager nos merveilleux magistrats. D’autant que certains d’entre eux ne jugent pas selon leur conscience éthique, mais sur des critères politiques... chacun connaît cette merveille appelée « Syndicat de la magistrature » et son fameux Mur !

La seconde explication serait celle de la démagogie électoraliste. Les politiciens de gouvernement, qui dirigent notre « Justice », ne peuvent fâcher leurs sponsors, qui profitent des bénéfices du détournement d’énormes sommes tirées des impôts et des taxes vers la consommation de masse favorisée par les subventions de tous ordres en faveur des immigrés inutilement importés.

La troisième serait celle – impensable dans nos démocraties où les politiciens sont sélectionnés pour leur scrupuleuse honnêteté, cela va sans dire – de la pure trahison, soit le financement des partis de la démagogie par l’argent étranger : l’islamo-pétrodollar et / ou celui du trafic d’armes ou des stupéfiants.     

Quelle qu’en soit la raison, du côté des envahisseurs, on observe un effarant laxisme judiciaire. Nantes, Brest et Rennes sont en train de rejoindre Marseille, Villeurbanne ou Roubaix au palmarès des villes insalubres, malades de l’immigration extra-européenne et tout le monde s’en moque !  

C’est d’ailleurs la même quasi-impunité pour les politiciens qui ont (Oh ! à peine) fauté contre la probité dans l’exercice de leurs charges électives. Pourvu qu’ils ne crachent pas dans la soupe en dénonçant leurs petits camarades et qu’ils hurlent haut et fort leur attachement aux valeurs du brassage des races, des droits de toutes les minorités même les plus improbables et qu’ils respectent le veau d’or, ils sont assurés de peines ultralégères, vite « oubliées » des media aux ordres. On ne compte plus les pourris inéligibles qui font leur rentrée dans les sinécures de la Ripoublique !

En revanche, la répression écrase les odieux réfractaires aux bizarreries sexuelles ou aux charmes du métissage généralisé, conséquence inéluctable, à terme, de l’immigration-invasion. Les condamnations pleuvent un peu partout en Europe occidentale sur ces thèmes.

Notre société va mal, par l’effet du matraquage médiatique et surtout de l’irréflexion de la masse à qui ne suffit plus seulement « du pain et des jeux », mais qui réclame les promesses les plus absurdes et obtient les reculs les plus ahurissants de gouvernants apeurés.

Le parlementarisme a toujours démontré sa totale inefficacité en cas de grave crise de société. Il est temps de remodeler les institutions.    

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samedi, 23 novembre 2019

La Nouvelle « Justice » de la République macronienne

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Bernard Plouvier

Le jeune et fringant Emmanuel avait multiplié les promesses électorales, puis avait été élu par un tiers du corps électoral - les abstentionnistes ayant fait le jeu de ce brillant jeune homme.

Mais dans son super-hyper-extra programme – grâce auquel il serait facile « de trouver du boulot », dans lequel la « France allait gagner » etc. -, dans ce joli programme, il ne nous avait pas dit que, sous son règne plutôt abject, il allait côtoyer la pitre racaille immigrée (des photographies le prouvent) et que la « Justice » allait en profiter pour se moquer ouvertement des « Valeurs de la République »… et allons-y de cette triste rengaine qu’on nous ressasse à longueur de débat télévisé ou de discours de politicard aveugle et sourd aux vrais problèmes de la Nation !

Un demi-fou noir veut à tout prix devenir célèbre. Il prend un nom amerlocque et appelle à tuer du Blanc, de tous âges, y compris les bébés. Ce fou furieux raciste va – selon nos « Valeurs Républicaines » - récolter une lourde peine de prison pour « incitation à la haine et à la violence raciale »… c’est normal, c’est écrit dans notre Code pénal !

Eh bien, NON ! la « Valeur Républicaine » dans la France macronisée, la France « niquée » par les esthètes du rap – si l’on préfère d’honorables « immigrés venus enrichir notre France de leur différence » - est d’infliger une « amende avec sursis » (le 19 mars 2019).

Et le Lumumba de l’ordure, l’Idi Amine Dada du clip en remet une couche, avec un nouveau clip où « il baise la France jusqu’à l’agonie ». Dans les hôpitaux, on avait connu des détraqués sexuels qui s’envoyaient leur chèvre ou même un cadavre, mais le Nick de ses fesses fait cela avec « les grands-mères »… après tout, ça évite de transformer un viol en naissance indésirable et puis s’il y a des candidates pourquoi les en priver ?

C’est ce qu’ont dû se dire les nobles juges, garants des « Valeurs de la République », lors de la seconde plainte, induite par son nouveau chef d’œuvre. Le Nick Conrad a été acquitté en cet automne de réchauffement climatique : « les faits n’étant pas clairement établis… les preuves étant insuffisantes pour que l’infraction soit constatée » !  

Imaginons le scenario d’un Blanc ou d’un Jaune ou d’un Vert (paraît que ça existe) qui éructe, sur scène ou ailleurs, qu’il « baise les imams » (variante : les honorables jeunes filles de l’immigration extra-européenne qui doivent être fort belles puisqu’elles sont voilées, ou encore les grands-mères en burkini moulant), que va-t-il se passer avec les « Valeurs Républicano-macroniennes » ?

La réponse est simple : de nouvelles tueries au couteau à céramique et des émeutes raciales aux abords des quartiers dits « sensibles ». Et bien sûr, le couple présidentiel viendra assurer les ZZ (Z’Honorables Z’Immigrés) de leur soutien… et les « Valeurs Républicaines » exigeront une lourde condamnation (d’ailleurs justifiée) du délinquant.

La seule chose que la Nation est en droit d’exiger du jeune excité élu par un tiers de l’électorat, c’est l’Isonomia – soit l’Égalité absolue de tous les citoyens et des résidents étrangers devant la Loi.

La « Justice » à la « langue fourchue », celle qui a deux poids et deux mesures, c’est une « Valeur Ripoublicaine ».

Depuis deux années, nous sommes non pas gouvernés, mais ballottés de déclaration fracassante en promesse sensationnelle, et nous continuons à flirter avec le chiffre de 6 millions de chômeurs et nous totalisons une quinzaine de millions d’immigrés d’origine extra-européenne dont chacun ayant des yeux et des oreilles peut constater qu’ils ne sont pas tous de grands travailleurs ni des prix de vertu. 

Une leçon s’impose à tout amateur de « Valeur » européenne - on se moque qu’elle soit démocratique, autocratique, socialiste ou continentaliste - : ne plus voter pour des clowns, pour des gens qui se moquent de la Nation. Exiger le respect de notre race et de notre culture… ou alors, il faudra passer à l’action.     

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Allah, divinité du succès démographique et de l’expansion impérialiste ?

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Bernard Plouvier

Le très BCBG Pew Research Center de Washington (D.C.) vient de publier un rapport sur les migrations de populations. Attention ! Ne surtout pas croire qu’il s’agit d’une officine « raciste », populiste ou néo-n’importe quoi de politiquement incorrect.

Le PRC, fondé par Andrew Kohut, dépend d’un organisme caritatif fort bien-pensant : on y adore la divinité « Réchauffement climatique » et l’on y dépense environ 250 millions $ par an au profit de la Croix-Rouge et de la recherche anticancéreuse (où il a effectivement plus de chercheurs que de trouveurs, comme disait « le général micro »).

Le rapport publié ces dernières semaines apporte des estimations chiffrées que l’on ne parvient pas à obtenir des gouvernements de France, Allemagne, Grande-Bretagne et autres États si merveilleusement démocratiques : celles concernant les entrées illégales (donc hors « réfugiés » économiques, climatiques ou chassés par une guerre exotique) dans les 28 pays européens étudiés (Grande-Bretagne incluse), et ce de 2014 à 2017.

En 2014, la fourchette d’entrées clandestines (mais réalisées au vu et au su de tous, « honnêtes » journalistes inclus) était estimée entre 3 et 3,7 millions – majoritairement des mâles de moins de 40 ans. En 2015 : de 3,3 à 4,9 millions. En 2016 : entre 4,1 et 5,3 et, en 2017 : de 3,9 à 4,8 millions. La composition de ces « illégaux » est de plus en plus « mâle jeune », voilà qui va réchauffer les femelles européennes frustrées !  

Additionnons et faisons, non pas un rêve, mais un cauchemar : l’on arrive à un total coquet de 14,3 à 18,7 millions d’envahisseurs illégaux en 4 petites années, dont 75 à 80% de mahométans, et chacun sait qu’ils sont tous de doux agneaux.     

Ces clandestins proviennent d’Afrique (entrée par l’Italie, la Grèce, Malte ou les pays ibériques), d’Orient (Proche et Moyen ou encore d’Asie du Sud-Ouest, dont de merveilleux Afghans ; entrée via la Turquie, la Roumanie, la Bulgarie, mais aussi tous les ports méditerranéens).

En ce XXIe siècle qui se présente pour les Européens de souche encore plus funeste que le très sombre XXe siècle, une question se pose. Mahomet, l’inventeur d’allah – l’un des nombreux « seuls vrais dieu » - aurait-il créé la divinité capricieuse et tyrannique du succès ? En matière de démographie et d’impérialisme rampant, cela paraît indéniable.

Le futur des Européens se prépare dans le ventre des mahométanes. Demain, tous Dhimmis ou tous esclaves… à dire vrai, il n’y a pas grande différence. Alors pourquoi ne pas décider de mourir en combattant comme l’ont fait ceux de nos ancêtres qui étaient des hommes, pas des larves ?  

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samedi, 16 novembre 2019

Lazare-Bernard et Polanski : deux destins parallèles ?

4194086.jpg-c_215_290_x-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgBernard Plouvier

Roman Polanski est indéniablement un cinéaste de très grand talent. Son Rosemary’s baby a effrayé des millions de spectateurs et en a réjoui des milliers d’autres. Son Chinatown, consacré à un sujet sexuel sulfureux, reste inoubliable, moins toutefois que son chef d’œuvre dans le genre fantastique : La Neuvième porte, servi par une distribution aussi impeccable que celle de Chinatown.

Seulement, l’excellent metteur en scène (et pas mauvais acteur) est aussi un pédophile, comme bien d’autres, certes - comment oublier les plaidoyers curieux de l’ineffable Daniel Cohn-Bendit ou les prestations immondes du Très honorable Lord Leon Brittan, héros des chatteries pédophiles, durant les années 80 et 90, du quartier de Westminster, l’affaire ayant été étouffée par la police de la Gracieuse Elisabeth II jusqu’au début des années 2010 ?   

Que fait un Juif talentueux, lorsqu’il est conspué un peu partout et même recherché (sans trop d’insistance) par diverses polices ? Il détourne l’attention en consacrant un film à la Shoah (succès garanti), puis un autre à l’inusable affaire Dreyfus – où, avec son compère le romancier Richard Harris, bien connu des spécialistes du IIIe Reich pour son Fatherland, il se mélange un peu les pinceaux de scénariste en oubliant certains personnages-clés et en regroupant certains individus sous le même patronyme.

Qu’importe ! Ce sera un succès, car l’on traîne dans la boue certaines composantes de la Nation française.

Hélas, des « jaloux », des « envieux » ont osé évoquer la « culture du viol » lors du lancement à grand spectacle du film. Et le scandale espéré, car source de profits, tourne à la déconfiture de l’obsédé sexuel, faisant passer à l’arrière-plan, au moins transitoirement, les réalités troublantes de l’affaire Dreyfus, beaucoup moins simplette que ne l’écrivent universitaires et académiciens - on en reparlera dans un autre article consacré au vrai procès d’Alfred Dreyfus qui fut celui de Rennes, l’été de 1899, et non l’indéniable erreur judiciaire parisienne de décembre 1894.

Or, le recyclage d’un Juif très contesté par ses contemporains grâce à l’affaire du capitaine au bizarre comportement – signalé par tous ses contemporains, dreyfusards compris – avait déjà été observé, de 1896 à 1906. On présente l’anarchiste Lazare Manassé Bernard, devenu « Bernard Lazare » en 1887, lorsque ce littérateur déserté par le succès avait voulu se démarquer du souvenir laissé par le richissime filou juif Samuel Bernard.

La campagne anti-judaïque provoquée par le scandale de la Compagnie du percement du Canal de Panama, reçoit en 1894 son renfort inattendu. Depuis 1890, Bernard-« Lazare » multiplie les articles sur la question juive, tel celui où il présente les ashkénazes comme « descendants de huns », dans la livraison du 1er septembre 1890 des Entretiens politiques et littéraires : « Tous les israélites sont las de se voir confondre avec une tourbe de rastaquouères et de tarés ; ils sont las de cette perpétuelle équivoque qui les range parmi des spéculateurs véreux, des fabricants de musique imbécile, des journalistes sans esprit, des politiciens sans talent ». La violence de « Lazare » n’a rien à envier à celle de son contemporain Édouard Drumont, la bête noire des auteurs bien-pensants. Quant à son jugement musical, il est bien plus grossier que celui pour lequel on conspue Richard Wagner depuis près d’un siècle.

Quelques mois avant le début de l'affaire Dreyfus, paraît son brûlot L’antisémitisme, son histoire et ses causes. C’est un salmigondis des articles qu’il a publiés sur la question depuis quatre ans, mêlant les attaques contre les ashkénazes aux lamentations sur les persécutions des Juifs au Moyen Âge et à des commentaires sur l’accusation de « peuple déicide ». Il fait de Karl Marx un « talmudiste lucide et clair » : il n’est pas sûr que l’intéressé, anti-judaïque, élevé dans la religion luthérienne, aurait apprécié ; en outre, le rapprochement est osé entre le Talmud et la notion de clarté.

Dès les premières phrases, « Lazare » innove, du moins s’agissant d’un auteur juif : « Les causes générales de l’antisémitisme ont toujours résidé en Israël même, et non chez ceux qui le combattent ». Il explique l’antijudaïsme par l’attitude « insociable », « exclusive » du juif, « isolé du reste de l'humanité… Bien que l'antisémitisme se donnât successivement comme raison première une base religieuse, puis sociale, et pour finir nationale, son élément essentiel demeurait toujours le particularisme que les Juifs s’imposaient à eux-mêmes... Cette nation juive... puisait sa force dans sa croyance en la supériorité juive »… on croirait lire du Spinoza ou du Schopenhauer !   

« Lazare » insiste beaucoup sur « le juif révolutionnaire » - c’est la grande période de la répression du nihilisme et du terrorisme révolutionnaire en Russie : « Les juifs furent toujours des mécontents... perpétuellement inquiets, en l’attente d’un mieux qu’ils ne trouvaient jamais réalisé... N’ayant aucun espoir de compensation future, le Juif ne pouvait se résigner aux malheurs de la vie… Le Juif est par essence un individualiste, un révolté... Ainsi, le grief des antisémites paraît fondé : le Juif a l’esprit révolutionnaire ».

On imagine mal un auteur non-juif oser écrire, de nos jours : « En général, les Juifs, même révolutionnaires, ont gardé l’esprit juif et, s’ils ont abandonné toute religion, ils n’en ont pas moins subi, ataviquement et éducativement, l’influence nationale du Juif ». Nahum Goldmann a dit la même chose dans les années 1970 !

Petite suggestion amusante pour un éditeur vaguement suicidaire : publier ce texte sous un faux nom de Goy et parier sur le nombre de jours séparant la mise en vente du livre et le dépôt de plaintes des innombrables associations antiracistes et/ou de défense des droits de l’homme.

Cette attitude critique disparaîtra bientôt chez « Lazare », devenu l’employé de la famille Dreyfus et de ce « syndicat dreyfusard », dont les bons auteurs nous assurent (à la suite d’un article de Zola paru dans Le Figaro du 1er décembre 1897) qu’il n’a jamais existé. Hélas, ce gaffeur de Clemenceau l’a désigné en toutes lettres, en 1898, dans un article de L’Aurore où il se félicitait de son « renfort par des intellectuels » ; en ont également parlé l’universitaire Louis Havet qui fut une figure marquante de ce syndicat, et Alexandre Millerand, socialiste et demi-juif par sa maman, futur Président de la République… au fait, l’expression « syndicat dreyfusard » avait été lancée, en 1895, par la très radicale-maçonnique Dépêche de Toulouse !

Dès qu’il est engagé, en 1895, par Mathieu Dreyfus (le seul personnage sympathique de cette triste affaire), « Lazare » devient un laudateur des qualités merveilleuses du Juif et un contempteur féroce, haineux, des anti-judaïques. En 1896, cet homme de conviction fait paraître : Contre l’antisémitisme, où il fait l’éloge du « nationalisme juif » et présente les anti-judaïques français comme « les défenseurs du capitalisme catholique ». Cette absurdité, ce mensonge grotesque ont emporté la conviction de nombreux auteurs au XXe siècle. En 1899, « Lazare » décrit les Juifs comme « un peuple de martyrs », en majorité formé d'êtres « mourant de faim ».

Les prosélytes, c’est bien connu, vont toujours trop loin ! Après avoir lancé, en 1895, l’immonde accusation : « Dreyfus a été condamné parce qu’il était juif » - ce qui était un pur mensonge, il a récidivé en présentant, avec bien d’autres, le procès de 1899 - désastreux pour le « syndicat qui n’existait pas » - comme « une réédition du premier procès » - ce qui était un autre mensonge, un « énaurme » mensonge, comme aurait beuglé Flaubert.

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jeudi, 14 novembre 2019

La belle « expertise » que voilà : Grand Merci Président Macron !

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Mustafa Laabid (à gauche)

Bernard Plouvier

Selon ses habitants, vivre en Bretagne procure certains privilèges : la triade « Vent, Froidure et Pluie » - qui aura été particulièrement vive en cette année 2019, au témoignage de Bretons qui ne croient guère au « réchauffement climatique » -, mais aussi goûter aux charmes vénéneux de l’invasion progressive d’une province épargnée jusqu’au premier lustre du XXIe siècle.

Grâce à l’excellent site d’information Breizh-Info.BZH cliquez ici, n’importe quel francophone peut suivre, jour après jour, les attaques d’honorables immigrés contre les conducteurs de bus, les viols, l’importance du trafic d’armes et de stupéfiants et, par-dessus tout, les fusillades bi ou tri-hebdomadaires de Nantes, capitale du crime et de la délinquance des immigrés du Pays Gallo. À Brest, ce sont les joyeuses flambées de voitures – comme d’ailleurs en d’autres cités bretonnes qui ont accueilli la fleur de l’Afrique.

À Rennes, se joue un autre scenario : celui de la pourriture politicienne inutilement importée. Aux dernières législatives, le mouvement « En Marche… pour la fin de la France et l’Europe africanisée » avait offert eux Rennais un député de double allégeance franco-marocaine.

Le sieur Mustafa Laabid, député, était Président d’une association recevant des fonds publics en principe destinés au « quartier sensible » du Blosne. Pour les non-initiés aux subtilités rennaises, ce quartier sud de la capitale bretonne est celui que l’on aborde par le périphérique Sud, au débouché des routes de Châteaubriand (sud-est… ah ! François-René, que tu as bien fait de vivre aux XVIII-XIXe, c’était sanglant, mais on était entre nous !) et de Redon (ouest)… ou que l’on évite, si l’on jouit d’un minimum de bon sens, de même que l’on évite, de nos jours, le quartier de l’Épeule à Roubaix ou celui de Wazemmes à Lille.  

L’honorable élu macronien a détourné quelque sommes – l’aumône de la Ripoublique, son traitement misérable de député ne lui suffisant pas – pour prendre d’innocentes vacances au Maroc. Il est évident que sa condamnation par le Tribunal correctionnel (3 ans d’inéligibilité et 10 000 euros d’amende) ne le satisfait pas : comment parviendrait-il à se faire réélire ? Il se pourvoit donc en appel et c’est là que l’histoire de concussion devient amusante !

D’abord, il accuse : sa « condamnation me pourrit mon mandat » !!! Ce n’est pas sa propre pourriture qui est en cause, mais le tam-tam journalistique entretenu par « des jaloux » qui aimeraient lui piquer sa place. Les électeurs peuvent apprécier la hauteur de vues et le sens éthique de l’élu. La conclusion de sa requête d’appel fait hurler de rire ou de honte : à cause du jugement en première instance, l’honorable élu « a du mal à faire valoir ses compétences et son expertise » ! On a bien lu !!! 

Ah ! Grand Président Macron, l’on a toujours connu des pourritures politiciennes durant nos tristes IIIe, IVe et VRépubliques, dites « des copains et des coquins », mais où, quand et comment la Nation, seule souveraine, de l’État français a-t-elle été consultée sur l’opportunité d’engager de tels « experts » en détournements de fonds publics. Nous avions déjà nos pourris autochtones ; était-il nécessaire d’aller en chercher d’autres en Afrique ?

Ces « quartiers sensibles », de quelle faune sont-ils peuplés ? Nous avions déjà nos délinquants made in Europa ; était-il indispensable d’en importer d’Afrique noire et maghrébine, d’Orient proche et moyen, voire des Antilles ?

Allons, électeurs français, cela ne sert à rien de marcher contre l’islam djihadiste, religion objectivement criminelle. C’est contre l’immigration extra-européenne qu’il faut tourner les projecteurs et informer honnêtement nos concitoyens sourds et aveugles du fait d’une absurde propagande tiers-mondiste ou mondialiste.     

L’Afrique aux Africains ! D’accord. Mais aussi l’Europe aux Européens !

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lundi, 07 octobre 2019

Le Zéro et l’Infini, version XXIe siècle : Macron et ses électeurs

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Bernard Plouvier

Emmanuel Macron, jeune et beau gosse, de l’énergie et du bagout à revendre, présente toutefois un petit inconvénient – oh, minime, on le reconnaît volontiers : son bilan est aussi nul que celui des Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande qui l’ont précédé.

Grand Président People c’est :

  • L’immigration incontrôlée (avec 1 à 1,5 million d’immigrés en situation illégale en plus des 10 à 13 millions d’autres, dit « légaux », voire naturalisés)
  • Une propagande mensongère quant aux bénéfices supposés des immigrants africains, antillais et proches-orientaux (où l’islam djihadiste recrute), d’où :
  • Des mensonges, également, sur l’innocuité de l’islam en France
  • Un chômage qui continue de croître
  • Et une croissance des dépenses publiques, en dépit des promesses électorales
  • Le mépris total du menu peuple et des notions de famille et de patrie (mais le mondialiste Macron ne doit même pas connaître les mots de Nation et de Terre des Pères)

Bref, ce jeune Président, très arrogant, « dominateur et sûr de lui » (comme aurait dit un spécialiste de la chose, l’illustre « Général-micro »), nous a apporté – à nous autres Français de souche européenne - moins que Zéro : du négatif !

L’ennui est que la stupidité – osons le mot : la CONNERIE – des électeurs français donne à l’observateur un aperçu de l’Infini.

Au total, Macron a de fortes chances d’être réélu si ses maîtres lui offrent quelques dizaines de millions d’unités de compte (dollars ou euros, cela importe peu) pour battre la grosse caisse médiatique.

La démocratie est la loi du nombre et, sauf accident rarissime, c’est le nombre de millions versés aux media qui oriente le million de votes, unité avec laquelle on élit un Président de la Ripoublique.

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samedi, 05 octobre 2019

5e Colonne mahométane : combien de morts faudra-t-il pour enfin ouvrir les yeux ?

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Bernard Plouvier

Un fou furieux antillais et mahométan, employé au ministère de l’Intérieur, poignarde quatre employés de la Préfecture de police de Paris. Et il ne s’agirait ni d’un crime raciste anti-Blancs ni d’un attentat de djihadiste !  

Pourtant, des injures racistes, des viols racistes, des attaques racistes anti-Blancs et anti-Blanches (non pas verbales – celles-là se comptent par centaines tous les jours depuis les années 1980, mais des attaques physiques), les Français du « menu peuple » des grandes villes (Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille-Roubaix-Tourcoing, mais aussi Douai ou Cambrai, Saint-Étienne, Rouen etc… lisez les livres qui ont paru sur le sujet depuis le début du règne de Mitterrand-la catastrophe), ces « petits-Blancs », ni riches ni protégés,  les connaissent bien. Cela fait partie de leur quotidien.

Seulement, dans la France de Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron, soit un seul Politicard cosmopolite en 6 apparences - la sainte trinité chrétienne est largement dépassée ! -, chacun sait que seuls les Blancs sont racistes et seuls les colorés sont des gentils, purs de tout crime et de toute intention malfaisante… du moins dans les fantasmes des politicards et de leurs complices des media.

Pourtant depuis 2014, les émeutes raciales de Joué-lès-Tours, les assassinats multiples de djihadistes (à la « Kala », à la voiture-bélier ou plus simplement au couteau en céramique) auraient dû ouvrir les yeux et les oreilles de nos princes et de leurs valets.

Seulement, il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre, pire aveugle que celui qui ferme volontairement les yeux… surtout quand l’islamo-pétrodollar et l’islamo-haschischo-dollar viennent renflouer les caisses électorales des « partis de gouvernement ».

Quel régal d’entendre, ce 4 octobre, madame Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement de la République Française, nous faire la leçon sur les « Fake news » concernant l’assassin de la Préfecture de Police, le sieur Michael Harpon, Antillais et mahométan, qui a usé d’un couteau en céramique (l’arme préférée des djihadistes de cette décennie) pour exécuter quatre fonctionnaires qui avaient le malheur de travailler dans les mêmes locaux que ce fou furieux.

Fake news, madame Ndiaye : allez expliquer cela aux familles des assassinés ! Puis, si vous avez une once de conscience, démissionnez, car vous avez trahi les devoirs de votre charge.

Quant aux Français de souche européenne, s’il en existe encore un seul pour voter en faveur du Grand Président Fake News, c’est à désespérer de l’avenir de la Nation. 

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vendredi, 27 septembre 2019

Minable 1er s’en est allé. Aura-t-il sa place en Enfer ?

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Bernard Plouvier

Il est de tradition de ne dire que du bien des chers disparus. Pour Chirac, cela va être mission impossible. L’on ne tire pas sur une ambulance, ni ne bombarde un navire-hôpital, et, en principe, on salue le contenu d’un corbillard. Derechef, c’est, dans le cas présent, moralement impossible.

Cet homme fut non seulement un politicien retors et menteur, un viveur sans retenue, très probablement un corrompu, mais il fut surtout un criminel d’État, de conserve avec l’autre vieillard que l’on ne pleurera pas, Valéry Giscard.

Nul citoyen français de souche européenne ne doit pardonner à ces deux politiciens d’avoir exercé leur capacité de nuisance à la puissance maximale, lorsque, le 29 avril 1976, ils ont osé publier le Décret 76-383 (paru au Journal Officiel de la République le 2 mai) autorisant le regroupement familial des travailleurs immigrés.

Cet acte avait pour but de stimuler la consommation intérieure qui paraissait trop faible aux producteurs et aux distributeurs. De fait, sur ce point, les bénéfices de ces messieurs-dames furent accrus dans des proportions vertigineuses et une foule de professionnels du demi-monde de la politique et des media au service du Big Business salua cette « grande avancée sociale », comme ils le firent, dans un autre registre, avec l’avortement de complaisance, autre don à la France du tandem Giscard-Chirac, soutenant Simone Veil. 

Aucun de ces dictateurs n’avait consulté l’unique souverain de la République française : la Nation, avant d’obérer l’avenir du peuple de France. On exterminait de futurs bébés « souchiens » et l’on importait des millions d’Africains, de Roms et de Moyen-Orientaux.

Nul patriote ne doit se sentir obligé de retenir son mépris pour Chirac, le Président Black-Beur. L’athée se sent d’un coup désolé de ne pouvoir croire à la damnation éternelle et aux supplices infernaux. Pour un rien, on se mettrait à espérer que Satan existe. Après tout, notre vie terrestre ressemblant plus souvent à un Enfer qu’à autre chose, pourquoi pas !  

11:40 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 septembre 2019

Le mauvais citoyen

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Bernard Plouvier

Aux bons temps de l’URSS, paradis des travailleurs, comme chacun sait, on répandait un slogan, devenu ritournelle : « Un assassin n’est dangereux que pour un seul homme ; le mauvais citoyen est nuisible à tout un peuple ».

C’était une philosophie un peu sommaire. Mais, à cette époque, on croyait beaucoup à la rééducation des criminels de droit commun, que l’on n’exécutait qu’à la 3eou 4erécidives. En revanche, on envoyait en Sibérie ou en hôpital psychiatrique ceux des dissidents qu’on n’avait pas fait disparaître… le Bon Joseph du Kremlin en avait expédié un ou deux millions, en 1936-38.

La bonne question à poser est, bien sûr et en valeur absolue, donc valable en tout temps et pour tous les pays : Qu’est-ce qu’un mauvais citoyen ?

De plus en plus, en Europe occidentale – pas seulement en Macronie où le phénomène est poussé fort loin, on le reconnaît avec fierté -, est considéré comme tel celui qui se proclame l’ennemi du régime et défie ouvertement le pouvoir.

En l’occurrence, il s’agit de l’abominable individu qui trouve insupportable la dictature des LGBT militants, ou celle des partisans d’un surplus d’immigration d’origine extra-européenne (ces malheureux « réfugiés » qui ne demanderaient qu’à travailler et s’intégrer), ou encore celle des chantres d’un islam de légende (religion d’amour, du féminisme bien compris et de l’entente entre les peuples… si, si !).

Horreur et scandale suprêmes, il existe même des « fachos » pour réclamer une Justice équitable, impartiale, où l’on appliquerait la Loi dans sa sévérité votée par les élus du peuple ; des arriérés qui exigent le respect des usages et des coutumes autochtones, tenant à saluer les gloires nationales, en lieu et place d’illustres exotiques (allez demander à Bernard Lugan ce qu’est devenue l’Afrique du Sud, après le passage du non-regretté Nelson Mandela). Ou encore, ces « réactionnaires » qui souhaitent un minimum de courtoisie et de calme dans les relations humaines et osent exiger un maximum de professionnalisme et d’honnêteté au travail.

De fait, on a dressé le portrait-robot de l’ennemi de la Nouvelle Société Qui Gagne… à être très vite remplacée.

Car après tout, c’est la Nation qui est seule souveraine et non pas une mafia d’élus ou de hauts-fonctionnaires, qu’ils soient les hommes et femmes de main d’un État ou d’une structure floue supranationale.

Le seul véritable patron de l’État, c’est son corps électoral. Et si les citoyens sont honnêtes, ils doivent en tout premier lieu penser à l’avenir de leurs enfants. Le vrai Bon Citoyen doit exiger le respect des notions universelles et diachroniques : celles de l’honneur, du travail, de la famille et de la patrie, même si l’on étend désormais la patrie à l’Europe des Nations de souche européenne.          

Le régime actuel est mauvais, fondé sur l’éphémère petit plaisir, sur le matérialisme primaire : en clair sur le fric et la frime.

Le bon citoyen doit rejeter cette ignominie et voir au-delà de la grosse Merkel ou de Jeunot Ieret Dernier. Le Bon Citoyen doit gérer la chose publique comme le faisait le Citoyen Romain, notre seule référence d’Européens, en bon père de famille.

Au XVIIIesiècle, une chanson française se terminait par : « Et merde au roi d’Angleterre qui nous a déclaré la guerre » (ce qui prouve que Pierre Cambronne était bien de son époque). La nôtre doit être tout aussi rude dans son expression, mais dirigée contre les vrais maîtres du moment : multinationales de la production, du négoce, de la finance et de la manipulation du crétin de base qui forme l’essentiel des opinions publiques… et le lecteur n’a que l’embarras du choix, le Net ayant largement fait connaître la ribambelle des Ripoux qui nous dirigent.

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dimanche, 08 septembre 2019

 Des « circonstances atténuantes » à la tuerie de Villeurbanne ?

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Bernard Plouvier

Pour la énième fois depuis 2014, un « réfugié » mahométan tue et blesse avec un poignard d’honnêtes passants, par le simple fait qu’ils ne sont pas de sa race et de sa religion. 

Le fait est patent. Néanmoins, voilà-t-il pas qu’au lieu de se pencher sur le caractère multi-récurrent du phénomène depuis cinq longues années, meurtrières à souhait, les journalistes des chaînes télévisées et radiophoniques cherchent et trouvent (!) des excuses au meurtrier, comme ils le font avec les violeurs et les pédophiles, sauf s’ils sont européens de souche et/ou (de mauvais) chrétiens.

Pourtant, les choses sont simples : chaque mois, on tue du « Souchien », du non barbu - un mahométan y regarde à deux fois avant d’expédier un barbu puisque cet artifice pileux est fort « tendance » chez ses coreligionnaires. L’évidence du crime sélectif et gratuit devrait être constatée par nos « chers journalistes ». Que non pas !

Tout le monde connaît le déchaînement de haine envers ceux qui nient la réalité de tel ou tel génocide. Or, le négationnisme se porte bien, s’il a pour but de renforcer la politique immigrationniste de nos princes, toutes tendances confondues, depuis la funeste année 1976 et le décret de regroupement familial des travailleurs immigrés décidé par le couple maudit Giscard-Chirac. 

Crevez, Français de souche européenne, vous n’intéressez pas nos princes et leurs valets du monde merveilleux des média, au service de la méga-consommation. 

Après tout, si vos enfants meurent, s’ils sont rackettés, tabassés, violés, c’est peut-être parce que, depuis un demi-siècle, vous votez pour les candidats d’une mafia au service, non pas de la Nation, non pas du « peuple souverain », mais au service des superbénéfices des producteurs et des négociants… qui n’ont pas toujours une quelconque attache française ni même européenne. 

Électeurs, vous avez gravement péché contre la Nation et l’État. Vos enfants et petits-enfants en subiront toutes les conséquences… à moins d’un sursaut d’honneur et d’orgueil national, de moins en moins probable, s’agissant d’un « peuple de veaux », comme disait ouvertement le sieur de Gaulle. 

Faudra-t-il attendre un salut de l’Est ?  

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lundi, 02 septembre 2019

De Panurge au Sheeple : l’espoir d’une Renaissance occidentale ?

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Bernard Plouvier

Au début de notre nouvelle ère globalo-mondialiste, des résistants nord-américains ont forgé un néologisme, celui de Sheeple : le peuple de moutons, asservi à la désinformation des chaînes télévisées et devenus dépendants de la nouvelle drogue, les réseaux sociaux.

De fait, une majorité d’adolescent(e)s luttent contre leur angoisse existentielle en étant rivé(e)s, vissé(e)s, « scotché(e)s » à leur tablette Net ou à leur téléphone-microordinateur portable.

Quant aux adultes, ils sont devenus des consommateurs béats de l’opium télévisuel, qui leur apporte des images (remaniées), des informations triées, voire « reforgées » par des orfèvres en manipulation.

On comprend fort bien que l’ordinateur ou un téléphone portable branchés sur le Net distribuent l’information de façon quasi-instantanée et aseptisée. On élimine ce qu’il peut y avoir d’offensant pour la vue ou l’odorat dans les contacts humains pour n’en retenir que l’échange d’idées, le ping-pong des réactions, dans l’ambiance parfois survoltée, mais si délicieusement primaire du commentaire incisif, enthousiaste ou indigné.

L’on assiste presque partout, du moins dans les zones couvertes par les satellites de télécommunications, au triomphe de la pensée réflexe, de l’automatisme idéatoire, résultat du formidable bourrage de crânes, du formatage de la pensée des moutons, dominés, bernés, dirigés par des loups.

C’est ainsi que l’on en vient – grâce à un exemple, à peine semestriel, de tuerie perpétrée par un psychotique blanc, alors que l’on cache les milliers de meurtres effectués quotidiennement par des Noirs, des Maghrébins, des Latino-Américains, des Moyen-Orientaux – à exiger des Européens ou des Nord-Américains blancs qu’ils se dessaisissent de leurs armes  – « Turn in your guns » signifie : livrez vos armes à feu à la police… alors que l’exemple de l’Afrique du Sud démontre les risques évidents pour les Blancs de leur désarmement, face aux hordes noires surarmées.

Certes, l’exemple cité n’est pas bon : « L’Afrique aux Africains » est un slogan légitime. Mais un jour, en Europe ou en Amérique du Nord, les populations de race européenne seront confrontées chez elles à la même stupidité : on aura désarmé la race civilisatrice, alors que l’islamo-pétrodollar et l’argent des trafics de drogue alimente d’énormes ventes d’armes aux à ceux venus d'ailleurs.

Lorsque le prêtre (atypique) et médecin François Rabelais fixait pour la postérité l’image des « moutons de Panurge », l’Europe était bien installée dans sa Grande Renaissance, qui fit des Européens la race civilisatrice par excellence, non sans ratés c’est évident : rien de ce qui est humain ne peut prétendre à l’approche de la perfection.

Le mouvement Sheeple, né au début du XXIsiècle aux USA, est l’avatar nord-américain des mouvements populistes, nés en Europe occidentale au contact des aspects les plus sordides et les plus dangereux pour notre avenir de l’imposition de l’American way of life.

Il faut combattre le Mal par tous les moyens : des idées pour l’élite ; des slogans et des images pour la masse et c’est ce que fait le mouvement Sheeple et sa lutte « for Freedom ».

Dans tous les cas, le but est de « désabrutir »… un néologisme vaut parfois mieux que cent discours.

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samedi, 31 août 2019

La Belle Époque des accusations délirantes est revenue

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Bernard Plouvier

Tout le monde s’en souvient – ou le devrait : au temps du bon Joseph du Kremlin, le 2Tsar Rouge, lorsque le Big Boss avait un mouvement d’humeur, lorsqu’il voulait se débarrasser de rivaux ou simplement épurer les hauts cadres du PC de l’URSS, le Procureur-général de l’URSS accusait les dignitaires devenus indésirables de trahison au profit de « l’impérialisme étranger » ou des « gouvernements fascistes ».

C’est ainsi que des Juifs furent exécutés comme espions au service du IIIReich tandis que d’autres l’étaient au titre de « vipères lubriques du capitalisme ». En ces temps-là, sous la botte de Soso Dougashvili-« Staline », on savait rigoler !

C’était de l’humour noir, voire carbonisé, en plus d’être souvent d’une rare grossièreté. Mais une quantité invraisemblable de pitres, dans les PC étrangers, chez les compagnons de route (les « idiots utiles ») ou dans les associations Antifa (telle la Ligue des Droits de l’Homme, où l’on jugea corrects les Procès de Moscou « puisque les accusés avouaient leurs crimes » !), poursuivirent jusqu’en 1956 (année de la publication du Rapport Khrouchtchev) l’adoration du demi-dieu et la calomnie des victimes de ces assassinats judiciaires.

En nos jours de « conscience éclairée », dans le monde merveilleux du XXIsiècle de l’ère chrétienne – ou du Iersiècle de la nouvelle ère globalo-mondialiste, au gré du lecteur -, voulez-vous stigmatiser un malfaisant qui ne pense pas comme vous, il suffit de trouver la bonne formule et ça marche tout aussi bien que sous le délicieux Joseph… à ceci près qu’on tue moins (sauf du côté des égorgeurs djihadistes) : après tout, même un ennemi est un consommateur et l’essence même de notre Nouvelle Société Qui Gagne est résumée par l’équation Vente = Profit.

N’êtes-vous point d’accord avec tels ou tels chiffres fantastiques (jamais assez élevés pour certains génocides et toujours trop pour d’autres), êtes-vous effrayé par l’afflux énorme d’immigrés-envahisseurs de l’Europe occidentale & scandinave, refusez-vous de croire que ces arrivants exotiques soient tous des Mozart ou des Mère Theresa, de futurs Prix Nobel ou de dévoués sauveteurs… attendez-vous à une dénonciation pour « incitation à la haine raciale », « à la xénophobie », « au racisme » ou – péril suprême – au crime inexpiable d’antijudaïsme, stupidement dénommé « antisémitisme ».

Émettre des doutes sur une historiographie faite de contes bleus et d’accusations tenant davantage du folklore et de la propagande que des faits tels qu’on peut les appréhender grâce à des archives non caviardées est une activité aussi pleine de risques que de s’opposer autrefois aux ukases d’un « Lénine » ou d’un « Staline », ou aux lubies du pédophile le plus meurtrier de l’histoire humaine : « Mao tu sais tout ».

Il est évident que nier des crimes de masse, au prétexte que les lamentations et les réclamations des survivants et des ayants-droit des victimes sont épicées de très curieux « témoignages », est du pur délire. Mais tout ceci n’est qu’affaire d’esthète : nul n’est obligé de s’intéresser à l’histoire ni d’être chatouillé par le désir éthique d’approcher l’insaisissable « Vérité historique ». Dame Vérité ne peut être connue que par une essence surnaturelle, ce qui est de l’ordre de la métaphysique, donc des nuées impénétrables à la raison humaine.

En revanche, l’honneur d’un homme lui commande de penser au-delà du simple horizon de sa vie, gaie ou misérable – cela importe peu. Nous autres, Européens de souche, avons un devoir impératif : celui de laisser à nos descendants le continent que nos pères nous ont transmis, avec ses tares et ses noblesses, son histoire événementielle, scientifique et technique, son fabuleux héritage culturel.

Si, pour remplir ce devoir d’honneur, il faut affronter le lynchage médiatique ou une « justice » aussi sectaire que le furent l’Inquisition ou les procédures des barbares dictatures communistes, c’est toujours moins chèrement payé que d’éprouver la honte de n’avoir rien fait, de n’avoir rien dit, quand se préparait la Grande Substitution de populations dominantes en Europe.

La lucidité n’est pas, ne sera jamais une « incitation à la haine raciale ». C’est une manifestation de pur bon sens et un devoir envers nos descendants. « L’Europe aux Européens » est un slogan aussi légitime que d’autres, bien mieux admis : « L’Amérique aux Américains » ou « L’Afrique aux Africains ».

En 1785, Sébastien-Roch Nicolas, un bâtard de chanoine qui s’était fait connaître sous le pseudonyme littéraire de « Chamfort », avait écrit : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». Quatre ans plus tard, débutait la grande chienlit qui dégénéra en tueries innommables et en guerres quasi-ininterrompues de 1792 à 1815.

Les Européens ont le choix : exiger et obtenir dans chaque pays un referendum sur l’immigration extra-européenne ou bien courir le risque d’une guerre des races et des religions. C’est lors d’une guerre, civile ou internationale, que l’on perçoit le véritable déchaînement de la haine et ce n’est guère à l’honneur de la bête humaine. En médecine, l’on dit avec raison que, lorsque cela est possible, « prévenir vaut mieux que guérir ».   

10:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |