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vendredi, 06 septembre 2024

Un bien inutile « Haro sur le Barnier ! » 

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Bernard Plouvier

Pour une fois, le Président Macron a surpris en prenant une sage décision. Il a écarté d’un revers de main une coalition « de gauche », disparate et sans majorité de gouvernement, car sans autre programme que les gesticulations de l’absurde Mélenchon et de ses pom-pom girls wokistes, genristes, immigrationnistes, hystériques… en un mot : passéistes.

Avec Barnier, on pourrait gouverner du Centre macronien au Mouvement national, pour mettre fin à l’insécurité meurtrière et aux trafics divers qui fleurent bon le banditisme immigré : trafics de stupéfiants, d’armes et de prostituées, assassinats et crimes gratuits au couteau ou à l’arme de poing.

Avec Barnier, on pourrait décider de modifier la Constitution en passant au scrutin proportionnel pour les élections législatives et municipales, comme cela se fait pour les européennes.

La preuve est faite que la multiplication presque indécente des partis et l’émiettement des votes rend la pays, sinon ingouvernable, du moins en proie à la fête des fous – variante politique de la fièvre du samedi soir, où brûlent les voitures et où l’on s’entretue dans ou près des boîtes de nuit. 

Macron, qui a tout loupé – et dans les grandes largeurs -, pourrait finir en beauté grâce à un changement de régime électoral permettant à la volonté populaire de désigner réellement quel programme de gouvernement appliquer pour sortir du marasme économique : réindustrialiser le pays, assainir le néo-peuplement d’origine extra-européenne, faire respecter la Loi dans son intégralité, revigorer les campagnes et les petites villes laissées à l’abandon par des « services publics », davantage préoccupés de réparer les dégâts permanents induits par une jeunesse dévoyée et très inutilement importée d’autres continents.

À trois reprises, en juin-juillet de cette année, la Nation s’est exprimée, mais le total des voix n’a pas été pris en compte et le Parlement s’est enrichi de gens bizarres, élus par des grenouillages d’un autre temps. Les temps sont pourtant révolus de l’anarchie entretenue par le millier (Chambre + Sénat) de petits rois ambitieux, qui se comportent en roquets et en fofolles.

Si l’on veut sauver le système démocratique, il faut que chaque voix compte, que chaque citoyen puisse s’exprimer librement – sauf calomnie et pornographie, cela va sans dire. Mais il est consternant de constater que calomnies et pornographie se portent fort bien, alors que tout va mal dans le pays !

Un vieux « général de TSF », qui s’est surtout signalé par ses aptitudes à créer et entretenir la guerre civile, a osé dire un jour : « Moi ou le chaos ». Dans la situation réellement explosive de notre pays, il ne reste que deux éventualités :

• Ou bien, les politiciens comprennent qu’il est temps de respecter l’expression du vote populaire,

• Ou bien, l’on assiste à l’insurrection d’une Nation opprimée, envahie, salie et abandonnée par ses « élus » et ses « élites ».  

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mercredi, 28 août 2024

Du coup de blues macronien au retour des Jacobins

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Bernard Plouvier

En aucun cas, le mot « jacobinisme » n’est synonyme de centralisation. Celle-ci fut d’origine monarchique, enclenchée en France à la jonction des XIIIe et XIVe siècles par Philippe IV Le Bel (Homme) et son équipe, poursuivie jusqu’à la fin du règne désastreux du colossal mollasson Louis XVI, qui a, par sa faiblesse et sa profonde nullité, largement mérité son sort : il n’était pas fait pour être roi, mais pour être un merveilleux artisan, bon époux et tendre père de famille. 

Le jacobinisme est la doctrine parlementaire, née en 1791, qui faisait des élus du domaine législatif les surveillants, voire les maîtres de l’Exécutif, en une époque où la Constitution donnait au roi des Français le droit de nommer les ministres, qui étaient des techniciens et non des politiciens.

De façon tout-à-fait abusive, les IIIe et IVe Républiques – que le millier de petits rois élus transforma trop souvent en Ripoubliques inefficaces et corrompues – furent fondées sur le principe jacobin qui permettait à tout élu, à condition d’être fortement soutenu par un groupe d’influence ou un relais médiatique, de devenir ministre un jour ou l’autre. Et pour qu’un maximum de ces augustes personnages influents puisse jouer aux excellences d’un semestre, il fallait organiser la foire connue sous l’expression : instabilité gouvernementale.

Pour le malheur des deux tiers des Français – un tiers d’abstentionnistes par mépris de la racaille politicienne et un tiers d’opposants à Sa Seigneurie -, le sieur Emmanuel Macron fut élu Jeunot Ier en 2017. Sa prestation ayant été lamentable, on pensait en finir très vite avec lui, quand un virus très peu meurtrier – sauf dans la propagande intéressée des fabricants de vaccins bizarres – lui permit de retrouver une assise. En 2022, il put jouer Macron-II, Le Retour, grâce à un discours « Je vous ai sauvés », très prisé des retraités, aimant beaucoup le plus jeune de nos Présidents.

Pourtant, ce discours ressemblait un peu trop à celui de 1958 : « Je vous ai compris », qui fut à l’origine d’un état de guerre civile. Macron recommença à faire peu et très mal, car il est difficile d’œuvrer pour une Nation, quand l’on est arrivé aux apparences du pouvoir grâce au soutien de la finance cosmopolite et de quelques très grosses multinationales. Macron-II, ce fut la négation de l’immigration-invasion et de l’insécurité publique. Et tout naturellement, le Président archi-détesté d’une majorité de Français prit 3 raclées électorales en juin-juillet 2024, suivies d’un coup de fatigue.

Car le désastre des élections européennes (en juin) avait déterminé une réaction de colère d’un individu émotionnellement immature. Le brillant énarque, très mal éduqué – il avait déclaré publiquement qu’il « avait envie d’emmerder les Français », du moins ceux qui ne vénéraient pas ses immenses qualités -, cassa son jouet (une petite majorité à la Chambre) et en appela à un électorat… qui, pourtant à l’évidence, le haïssait à hauteur des trois-quarts. Les deux baffes supplémentaires de juin-juillet désarçonnèrent Sa Suffisance, qui tenta d’amuser la galerie grâce à une présence très médiatisée aux Jeux Olympiques. Hélas, les problèmes non résolus ne s’effacèrent pas : aucun coup de baguette magique n’avait agi.

Bien au contraire, l’abominable Mélenchon – le grand vaincu des législatives : allez consulter le nombre d’élus de son petit groupe en le comparant à celui de la précédente législature – et ses très arrogantes pom-pom girls réclamèrent le pouvoir, tout le pouvoir, pour leur soi-disant Nouveau Front Populacier, qui n’avait fait que rééditer la supercherie de 1936 : en cas d’alliance républicaine des partis du centre et de gauche, ce sont les plus gueulards, les plus démagogues qui l’emportent.

Le résultat final des législatives n’a démontré qu’une chose : le caractère anti-démocratique du scrutin d’arrondissement qui, en l’occurrence, a mis en place une Assemblée qui ne peut dégager de majorité stable de gouvernement, mais peut – pour la première fois depuis 1958 – jouer à l’obstruction, à l’immobilisme, et donner libre cours aux querelles de Divas, qui sont l’essence même du jacobinisme.

On avait tort de voir en Emmanuel Macron un dictateur. C’est un « roseau peint en fer » (comme on disait autrefois en terres germaniques), soit un vrai faible qui joue au dur, mais se révèle désemparé lorsque les concurrents ne veulent plus accepter de jouer selon ses règles. Pour la première fois depuis l’instauration de la Ve République, l’Exécutif de la France est à l’encan. Et l’on assiste au déchaînement d’arrogance et de capacité de nuire des mille petits rois de nos deux assemblées.    

Si par bonheur, E. Macron démissionnait, il faudrait sauter sur l’occasion pour élire un vrai chef d’État et réformer une Constitution qui n’est fonctionnelle qu’avec d’authentiques hommes de gouvernement – à défaut d’hommes d’État qui sont des exceptions - et qui n’offre pas assez d’indépendance au Pouvoir Judiciaire, d’où doit être bannie l’influence du demi-monde de la politique, des sectes et des syndicats. Le Législatif est là pour voter ou repousser des projets de loi. C’est à l’Exécutif de gouverner.

Il faut cesser le mélange des genres et en revenir aux fondamentaux, qui sont immuables et ne dépendent absolument pas du type de régime. Toutes les institutions sont bonnes si elles sont adaptées à ce qu’il y a de mieux chez l’homme ; toutes sont mauvaises lorsqu’elles laissent libre cours au malsain, au grotesque et au malhonnête.

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dimanche, 25 août 2024

Un nouvel âge des ténèbres ou le réveil de l’Occident aveuli ?

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Bernard Plouvier

1 - La décadence des vieux peuples civilisés…

Dans son roman Classe 22 (publié en Allemagne en 1928 et en français l’année suivante), l’excellent romancier Ernst Glaeser, ni marxiste, ni national-socialiste, décrivait l’ambiance fin de civilisation régnant dans le Reich en 1918, vaincu par le blocus ennemi et par la révolution judéo-bolchevique davantage que par les victoires militaires alliées : « La classe patricienne meurt. Une nouvelle classe, dont la philosophie de la vie est différente de la nôtre, prend les commandes ».

Cette description est applicable à l’effondrement actuel de la civilisation humaniste en Europe occidentale et scandinave, sous l’assaut d’une invasion extra-européenne massive et de l’islam conquérant, sectaire, intolérant et meurtrier : le nombre d’Européens massacrés au poignard depuis 15 ans – en période de paix, du moins officielle - atteint le chiffre hallucinant de près d’un demi-millier !  

À l’œil de l’historien ou du philosophe, un culte s’avère totalitaire s’il exige du fidèle une absolue obéissance au dogme et une soumission aveugle à ses rites et à ses pratiques. Qu’il soit d’inspiration politique – ce fut le cas de la barbarie marxiste - ou d’essence religieuse – l’islam en est un excellent exemple -, le mouvement veut saisir l’homme dans son intégralité : esprit et corps à la fois, voire cette âme, censée représenter une émanation de la divinité.

Quoi qu’on en dise, les deux phénomènes totalitarisme politique et totalitarisme religieux sont de même nature, naissant tous de la perversion de la conscience éthique de l’être humain.

Une théocratie réclame son dû au nom du dieu, présenté comme seul authentique - les autres n’étant que le fruit de l’imagination délirante d’imposteurs. Un totalitarisme politique pose la même exigence au nom d’un idéal social, patriotique ou racial. Et certaines croyances mêlent leur dieu à l’imposition d’un racisme endogamique ou d’un égalitarisme, qui reste toujours théorique, car le haut-clergé et les haut-dignitaires de l’État restent toujours au-dessus des lois : en régime non-démocratique, il existe toujours des gens « plus égaux » que d’autres !

Il n’est rien de nouveau dans tout cela, et depuis la plus haute Antiquité. Généralement, les grands-prêtres d’un culte finissent par adoucir leur sectarisme, en dépit de nombreuses protestations de fanatiques menant un combat d’arrière-garde. Le mouvement accomplit alors une Renaissance humaniste, dans laquelle s’instaure une cohabitation entre fidèles et libres-penseurs, non sans agressions verbales et littéraires, cela va sans dire ! Seules une débâcle économique majeure ou une défaite militaire écrasante peuvent faire disparaître le mouvement.

Le drame de l’Occident des premières décennies du XXIe siècle était prévisible dès les années 1970. Était alors en gestation le réveil d’un islam agressif, conquérant, intolérant et l’implantation de théocraties en pays mahométans. Et tout cela était directement provoqué par la générosité des Occidentaux, payant d’énormes royalties alors qu’ils avaient découvert puis réalisé à grands frais l’exploitation des richesses enfouies depuis des millénaires dans le sous-sol des pays mahométans, que les autochtones avaient été trop arriérés pour les détecter et les commercialiser !  

Dans les années 1944-45, Adolf Hitler en avait perçu les prémices, mais ses vainqueurs, occupés à se congratuler de leur victoire et à se partager le monde, ne trouvèrent rien de mieux à faire sur le moment que d’écraser de façon sanglante les indépendantistes – soit les islamistes et leurs inspirateurs marxistes.

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samedi, 10 août 2024

L’ordure comme moyen d’expression du Pouvoir

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Bernard Plouvier

En 1936, même un Thorez, un Daladier ou un Salengro savaient exprimer des idées parfois assez rudes en un français correct… seule la Prima Donna Blum se laissait parfois aller à « haïr » ses adversaires politiques à la tribune de la Chambre.

De Gaulle savait anéantir ses nombreux opposants en usant de répliques cinglantes, sans jamais recourir à la vulgarité, comme d’ailleurs ses successeurs Pompidou, Giscard ou Mitterrand. Le style canaille ou relâché est arrivé plus tard.

De nos jours, nous sommes, du moins officiellement, dirigés par des furies – puisque les genres ni les sexes ne sont plus fixes ni fiables, utilisons le mot quel que soit l’individu envisagé – qui, dans leur langage branché autant que vipérin, ne reculent plus devant l’injure la plus grossière… et dans ce domaine, ce n’est même pas Mélenchon qui descend le plus bas !

Après le Président Emmanuel Macron qui avait « envie d’emmerder les Français » - il y arrive d’ailleurs fort bien, étant même un virtuose de la chose -, c’est la mairesse de Paris, la dénommée Hidalgo, qui éructe un « Fuck les réacs, fuck l’extrême-droite »… faut-il croire que l’honorable mairesse a de quoi « fucker » activement les uns et les autres, comme une boxeuse dotée de chromosome Y ?

Sous Hidalgo, le Gai Paris est devenu la ville aux rats en goguette vespérale et nocturne, puis la capitale du Gay sous toutes ses formes : plantureuses, décadentes, moches, puant la bêtise, l’obscénité et le blasphème – ce qui étonne même un athée !         

Au pays de Robespierre – certes « terroriste » mais de langage toujours châtié et de tenue toujours irréprochable -, nos actuelles « élites » fleurent le caniveau… et, en dépit de parfums coûteux, la chose est toujours malodorante. Toutefois en démocratie, il convient de respecter la vox populi. Si les immondices de la France des années 2020 sq. forment le spectacle « sons et images » que la Nation veut donner d’elle-même et des élus qu’elle a désignés pour faire semblant d’administrer l’État, c’est fort bien. Inclinons-nous devant les pitres et l’ordure verbale.  

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lundi, 29 juillet 2024

Merci Grand-Président Macron

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Bernard Plouvier

Grâce à la « cérémonie » d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, les Français savent désormais qu’ils ne peuvent tomber plus bas. Et cette certitude est une très bonne nouvelle : après avoir touché le fond, on ne peut que reprendre la progression vers un meilleur avenir, chose qui paraissait difficile à envisager depuis la chienlit de 1968.

L’État et la ville de Paris se sont coalisés pour tenter de ridiculiser la Nation, à très grand coût, mais Macron-Déficit rejoindra dans l’histoire de notre pays la reine Marie-Antoinette, dénommée « Madame Déficit »… et nul ne sait le sort que l’avenir réserve à notre Génial Timonier ?

Reconnaissons toutefois, que le chef de l’État donnait l’impression d’être embarrassé, lors de cette mascarade. Coupable ou pas de cette « prestation », Macron est responsable, car toujours et partout les erreurs et les âneries des sous-ordres engagent le Chef.    

La folie LGTB n’a pas déshonoré la Nation, parce que les détraqué(e)s qui se sont donné(e)s en spectacle n’ont rien à voir avec la culture française. La honte rejaillit sur les organisateurs et les acteurs de cette représentation innommable.

Même le grand ancêtre de la folie furieuse du Tout-Sexuel, le sieur Freud, aurait rougi de la somme d’immondices transmise par télévision à l’ensemble de la planète, lui qui était jusqu’en 1938 un admirateur de Benito Mussolini.

Au final, les honnêtes citoyens, floués à trois reprises en juin-juillet 2024 lors d’élections qui n’ont servi à rien, prennent leur revanche en constatant qu’ils n’ont absolument rien de commun avec les dégénérés – organisateurs et (très mauvais) acteurs – qui ont osé exhiber leur déchéance.         

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dimanche, 21 juillet 2024

Et si les Macronneries finissaient très mal ?

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Bernard Plouvier

On ne cesse de nous parler, non sans raison, de la démence du Président américain, des morts innombrables de la Guerre d’Ukraine, des émeutes raciales un peu partout en Europe envahie d’Extra-Européens, du risque de faillite d’État, en Europe et ailleurs. Mais il y a d’autres sujets à envisager.

Il serait peut-être temps de réfléchir au déni de Démocratie qui se passe sous nos yeux, en France. En juin-juillet 2024, à trois reprises, des élections générales ont démontré qu’entre 35 et 40% de l’électorat ne voulait plus des « Trois i » : Immigration-Invasion d’Extra-Européens, Insécurité, Islam djihadiste – mais l’islam est par définition djihadiste, si l’on suit le Coran !

À trois reprises, ces élections n’ont servi à RIEN ! Le chef de l’État, désavoué 3 fois en deux mois, s’accroche au Pouvoir ; les grenouillages entre groupes minoritaires de députés se poursuivent à la Chambre ; le pitre Mélenchon et ses pom-pom girls s’agitent comme s’ils avaient été plébiscités par la Nation, ce qui n’est nullement le cas.

À l’évidence, l’expression du suffrage universel est bafouée par les plus écœurantes manœuvres politiciennes qu’on ait vues depuis longtemps.

Là-dessus, Macron le Superbe engage le Peuple Souverain qui le vomit dans une escalade d’injures avec le gouvernement russe et multiplie les envois, coûteux pour les contribuables français, d’armes au pays d’Europe le plus corrompu et le plus mal administré : l’Ukraine.  

Dans ce contexte, un bookmaker ingénieux serait tenté de commencer à prendre les paris. La bonne question, très angoissante, est effectivement celle-ci : qui débutera la première insurrection ?

La Nation écœurée par des magouilles politicardes d’un autre âge, la Française, ou la Nation meurtrie par une guerre absurde et avilie par une corruption hors-normes, l’Ukrainienne ?   

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samedi, 20 juillet 2024

Cessons de nous gargariser avec le mot « Démocratie » !

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Bernard Plouvier

Parmi les soi-disant acquis de la « glorieuse Révolution » des années 1789 sq., il y aurait la Démocratie.

C’est une double absurdité, historique et politique !

Pour les élections aux États Généraux, selon le règlement publié le 24 janvier 1789, pouvaient voter, à la maison commune (l’hôtel de ville, là où il existait) ou à l’église du village de leur domicile (principal, en cas de pluralité de biens fonds), tous les sujets majeurs – donc âgés d’au moins 25 ans -, mâles, qui payaient la capitation (ce qui permettait d’exclure les vagabonds). Les veuves chefs de foyer pouvaient voter par l’entremise d’un procureur.

À dire vrai, ce règlement n’a pas été appliqué à Paris où les maîtres des corporations ne voulaient pas être traités comme leurs compagnons : on n’y vota qu’en avril et le système avait été tellement enrichi de complications que seuls 10% des inscrits votèrent. On rappelle que ce n’est qu’en 1944 que l’on accorda le droit de vote aux femmes majeures (la majorité étant alors de 21 ans).

Les protestants (ou membres de la Religion Prétendument Réformée), qui jouissaient des droits civiques depuis novembre 1787, avaient pu voter et être élus. Les Juifs Séfarades furent électeurs, mais non-éligibles ; ils avaient exigé et obtenu que soient exclus du droit de vote les Ashkénazes. 

À l’évidence, on avait respecté ce que l’on appellera plus tard le suffrage universel, à un bémol près, lié à la haine millénaire existant entre membres différents de la communauté juive.

On rejoua d’ailleurs le même scenario durant la Révolution : le 28 janvier 1790, l’Assemblée Constituante offrira la plénitude des droits civiques aux Séfarades, mais pas aux Ashkénazes, à la demande expresse des premiers. Il fallut attendre le 27 septembre 1791, trois jours avant la dissolution de l’assemblée, pour que le député Henri Grégoire, un prêtre catholique, obtienne l’octroi des droits civiques à tous les Juifs acceptant de prêter le serment civique… et dès 1792, les Juifs du Sud-Ouest réclamaient à l’Assemblée Législative la création d’un territoire autonome juif dans le département des Landes ! Le 15 mai 1791, l’Assemblée Constituante avait octroyé les droits civiques aux « hommes de couleur » libres.

Autrement dit, à l’exception des non-Européens, les droits civiques préexistaient à la Révolution. La démocratie, en France, préexistait à la chute de la monarchie réputée de droit divin !  

Si l’on observe la vie politique actuelle, on s’aperçoit que les grenouillages partisans entre le premier et le second tours d’élections législatives faites au scrutin d’arrondissement peuvent inverser la véritable expression de la volonté populaire. L’été 2024, le parti très largement majoritaire en voix se retrouve en 3e position en nombre de sièges, après une gauche ultra-divisée et un groupe de soutien à un chef de l’État que l’écrasante majorité du pays vomit !

Alors, à défaut de pouvoir changer de Constitution, de mettre en place un régime réellement démocratique – où la majorité de l’électorat décide de la majorité au Parlement -, on doit au moins changer de disque et cesser de rabâcher le slogan surréaliste d’une « France démocratique ». Pour l’instant, c’est une publicité mensongère : l’année 2024 vient à deux reprises de le confirmer.  

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jeudi, 18 juillet 2024

Rafle du Vel d’Hiv et mensonges éhontés

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Bernard Plouvier

Il semblerait que Marine Le Pen ait dit publiquement que la Rafle de Juifs de la Seine (Paris et grande banlieue) des 16 et 17 juillet 1942 aurait été organisée par les « autorités administratives de l’État français ».

Cette assertion est tellement stupide et mensongère qu’on ne peut employer que le conditionnel et imaginer qu’un journaleux, ivre de haine ou de haschich, ait totalement déformé les propos de la Présidente du Rassemblement National. Car il s’agit d’une telle déformation des faits, d’un tel délire que seul un Chirac avait, jusqu’à nos jours, osé vomir une telle insanité. Avant de donner quelques précisions sur un fait important des années d’Occupation, il importe de rappeler quelques déclarations. 

Charles De Gaulle avait dit, parlant des années d’Occupation : « Quant aux Français de demain, je ne vois pas pourquoi ils auraient honte du passé de la France et le renieraient en quoi que ce soit » (décembre 1969). Il avait d’ailleurs dit la même chose à de nombreux intimes 

François Mitterrand, devenu son lointain successeur, avait, en 1994, abordé les revendications des vengeurs de la mémoire juive : « C’est l’entretien de la haine et ce n’est pas la haine qui doit gouverner la France ».

Un auteur israélien renchérissant, à propos des « années noires », a écrit qu’on ne notait « aucun signe d’un antisémitisme actif et répandu, aucune preuve que la politique antijuive eût été activement ou passivement soutenue par la population française » (Asher Cohen), et s’il avait été bien informé de la politique de Philippe Pétain, de François Darlan et de Pierre Laval, il aurait pu ajouter que les autorités du RSHA (la Direction des polices de sécurité du Reich) en charge de « la question juive » en France n’avaient cessé de protester de 1941 à 1944 sur le « sabotage » de la politique de concentration, puis de déportation des Juifs citoyens français.

Le 16 juillet 1995, Jacques Chirac – qui fut sans contestation possible l’un des plus minables chefs d’État français depuis le Moyen Âge, et la concurrence était pourtant rude – a osé évoquer une « faute collective de la France » à propos de la « Rafle du Vel d’Hiv », ainsi appelée parce qu’on a parqué provisoirement au Vélodrome d’Hiver de Paris les malheureuses victimes de cette rafle ordonnée de Berlin dans des circonstances très précises.

De ce pur délire verbal à sous-bassement électoraliste, issu d’un être indigne de sa fonction, est née une stupide repentance, ouvrant droit à de nouvelles indemnisations payées par les contribuables français. Pire encore, à compter du discours irresponsable de ce politicien dépourvu de dignité autant que de connaissances historiques, les sociétés françaises travaillant pour l’exportation eurent à subir le chantage du lobby juif des pays où elles voulaient œuvrer.  

Après la honteuse déclaration à caractère électoraliste de Jacques Chirac, le politicien de la France « black-beur », l’ex-Président François Mitterrand a déclaré en privé : « Je ne vois pas pourquoi la France devrait s’excuser de crimes dans lesquels elle n’a rien à voir collectivement, des crimes commis par des minorités activistes, complices des Allemands… La France de l’époque, c’étaient des millions de braves gens paumés, patriotes et antiallemands, pas des antisémites ». Au moins, Mitterrand, qui avait connu de près les acteurs de la politique française de Vichy, savait-il de quoi il parlait.

Les faits authentiques sont simples à exposer, même si leurs motivations sont parfois plus complexes que ne l’écrivent les auteurs-vengeurs. Outre la lutte contre le marché noir, c’est l’activité terroriste des communistes qui provoque les premières arrestations de Juifs et non leur appartenance ethnique.

En juillet-août 1940, sur ordre des services économiques du Commandant militaire suprême en France (le MBF), des commerçants Juifs sont arrêtés pour ventes à des prix dépassant de beaucoup le tarif imposé.

En mai 1941, sur ordre du MBF, la police parisienne – qui par les stipulations de l’armistice des 22-25 juin 1940 est subordonnée à l’Occupant – reçoit l’ordre de convoquer 6494 Juifs étrangers et apatrides (à l’exclusion des Juifs citoyens d’États neutres) et de les remettre au Sipo-SD [ce que les auteurs mal informés résument par : « Gestapo »] pour internement à Pithiviers ou Beaune-la-Rolande, avant un transfert en camps de travail tous situés en Zone Occupée de France… nul ne le sait à Vichy ou ailleurs en France, mais dans le Reich, on prépare l’Operation Barbarossa et on se méfie beaucoup des Juifs, suspects d’être peu ou prou marxistes. 3710 Juifs se présentent et sont internés.

Du fait de la couleur verte de leur convocation, les conteurs d’histoires appellent cette opération la « Rafle verte », alors qu’il n’y a eu aucune rafle stricto sensu, mais une convocation dans des bureaux de police. Au Sipo-SD [un service complexe, regroupant des policiers de la Kripo – la police judiciaire -, de la Gestapo – la police politique – et du SD-Ausland – l’espionnage et le contre-espionnage du Parti nazi à l’étranger], on enrage car les policiers français n’ont pas fait de zèle, ne recherchant pas les Juifs qui ne se sont pas présentés. De Vichy est arrivé un rappel du gouvernement français : aucun Juif citoyen français innocent de crime ou de délit ne peut être arrêté du seul fait de sa « race ».

Avec Barbarossa (22 juin 1941), tout change. Débute le cycle Attentats contre des Allemands désarmés en plus de sabotages matériels & Répression. Aucun héros de la Résistance communiste ne se dénonçant jamais, l’on exécute des otages, choisis préférentiellement dans le camp communiste et chez les Juifs, congénères de Karl Marx.      

La première rafle parisienne a lieu du 20 au 25 août 1941, où les policiers parisiens sont cette fois-ci encadrés de gendarmes militaires allemands, requis par le Sipo-SD. 4232 Juifs sont arrêtés dont 1 200 Juifs citoyens français – ces derniers étant tous libérés de septembre à novembre, après une réaction de fureur de l’amiral Darlan et du ministre Pucheu : le Vice-Président du Conseil des ministres et le titulaire de l’Intérieur avaient prêté « leur police », pour arrêter des communistes, mais nullement des Juifs citoyens français. À l’ambassade allemande à Paris, on grogne contre les policiers français peu zélés et contre « l’incompréhension » des patrons de l’État français, indifférents à la « question juive ».  

En décembre 1941, les communistes enclenchent une décade sanglante, d’où une riposte du Sipo-SD avec arrestation de 990 Juifs de Paris, dont 734 citoyens français – René Blum, frère de Léon, fait partie du lot. Ils sont expédiés au camp de Royallieu (Compiègne), où 92 d’entre eux meurent lors du terrible hiver 1941-42. Sont libérés 73 grands malades, mais les autres détenus sont déportés vers le complexe concentrationnaire d’Auschwitz le 27 mars 1942, en dépit des demandes de libération de 357 anciens combattants. Pour une fois, les Allemands résistent aux réclamations du maréchal Pétain : ils ont choisi des notables qui avaient participé « à une campagne de haine antiallemande » avant l’Occupation 

La Guerre à l’Est ne tournant pas trop bien, au RSHA de Berlin, on intensifie la lutte contre les Juifs, dans le cadre de la guerre contre le « Judéo-bolchevisme ». Reinhard Heydrich vient en personne, du 5 au 11 mai 1942, installer son représentant en France, Karl Oberg, avec ordre de déporter tous les Juifs de France « vers l’Est ». Le 7 mai, Adolf Eichmann, chargé de la logistique de la déportation, réclame un premier contingent de 50 000 Juifs, puis un second de 100 000 pour le deuxième semestre de 1942. Il revient à Paris les 30 juin et 1er juillet pour ordonner la capture de ces Juifs et leur expédition par chemin de fer vers l’Est.

On rappelle que, selon les estimations officielles, la déportation des Juifs de France vers le système concentrationnaire du Reich a touché environ 75 000 Juifs, la mortalité directe et indirecte des Juifs de France durant cette guerre étant chiffrée entre 75 000 et 78 000 personnes, dont 24 000 Juifs citoyens français. Toutes les estimations chiffrées sur la Seconde Guerre mondiale sont fortement critiquables, on le sait ; mais la différence entre le nombre de victimes exigées par Eichmann pour la seule année 1942 et le nombre total de déportés, de 1942 à 1944, saute aux yeux. Et l’on en revient à la Rafle du Vel d’Hiv.

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lundi, 15 juillet 2024

Poker menteur ou déclin nord-américain ?

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Bernard Plouvier

L’attentat contre le candidat à la Présidentielle américaine Donald Trump est-il le reflet d’un déclin de la puissance de ce pays ou la conséquence des mensonges médiatiques qui occupent une place indéniable dans l’attentat lui-même.

À l’évidence, les sbires du Secret Service – soit le service de protection des grands élus des États-Unis et des Présidents retraités – se sont avérés aussi lamentables que sous Lincoln (c’est d’ailleurs ce brave « Aby » qui avait créé ce service, craignant beaucoup un attentat… il avait raison), Garfield, McKinley, FD Roosevelt (qui échappa à toute blessure), JFK ou Reagan (grièvement blessé).

Non seulement, les agents du SS – on a les SS qu’on mérite - n’ont rien vu venir, mais il a fallu 4 tirs pour qu’ils se rendent compte de ce qui arrivait : le bilan est de 3 blessés (dont Trump, manifestement visé à la tête et dont une balle n’a fait que blesser une oreille) et d’un mort. Le Secret Service actuel semble assez peu performant… à moins que l’enquête du FBI apprenne aux citoyens du futur des précisions qui feront la joie des complotistes, mais si ces détails existent, il faudra des années pour qu’une information véridique circule - remembre The case JFK !

Ce n’est pas un scoop : depuis les années 1980, les États-Unis sont gangrenés par la violence. Les tueurs sont en grande majorité des Noirs – les statistiques ethniques le prouvent surabondamment. Ici, les bonnes âmes respirent et les journalistes ont la chance de pouvoir annoncer que le tueur maladroit – il est plus que probable que le mort a été un malheureux « dégât collatéral » - est ou était un Blanc et c’est là que commence le poker menteur aux États-Unis, repris bien sûr par nos merveilleux journaleux « français » !

L’assassin de 20 ans ressemble aux hippies des années 60-70. On imagine mal un patriote américain à cheveux longs, un blond vaguement prognathe. Pourtant les media-menteurs américains claironnent déjà qu’il s’agit d’un « Républicain ». C’est intéressant pour les Démocrates en perdition… il existe néanmoins un petit ennui : c’est faux !

En fin de matinée ce dimanche 14 juillet, circulait sur le Net une vidéo montrant le futur assassin clamant sa haine des Républicains. On a su ensuite qu’il avait envoyé de l’argent à une association Démocrate. Certes, il s’est inscrit aux primaires du camp des Républicains de Pennsylvanie, mais il est infiniment probable qu’il l’avait fait pour voter en faveur d’un opposant à Trump ou éventuellement pour perturber gravement ces primaires - sa voiture contenait des explosifs.     

Se pourrait-il que nos merveilleux journaleux de France se documentent avant d’écrire n’importe quoi ? Ce qui se passe dans la mélasse médiatique américaine tient à la fois du sirop d’érable, de la carpe yiddish et du boudin – dont chacun sait qu’il est fait avec du sang… soit des ingrédients que l’on peut laisser Outre-Atlantique. Notre soupe médiatique est suffisamment nauséabonde pour ne pas y adjoindre les mensonges "made in USA"

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mardi, 09 juillet 2024

La pourriture institutionnelle française

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Bernard Plouvier

Le régime électoral du scrutin d’arrondissement à deux tours, entre lesquels les grenouillages entre directions de partis peuvent s’opérer, n’est qu’une parodie.

C’est en cela que la Ve République est devenue une Ripoublique bananière, où l’argent étranger vient influencer l’expression des électeurs, grâce à une campagne médiatique de haine et de mensonges d’une ampleur considérable, rappelant la technique de base des orateurs marxistes : « Fais haïr tes adversaires ».

On ne fera jamais croire à quiconque que Mélenchon, le roi de la démagogie haineuse, puisse être plébiscité par la nation française et, de fait, ce clown grimaçant et baveux ne l’est absolument pas.

Mais dans le système électoral anti-démocratique des magouillages, on peut voir les macroniens – qui sont l’expression du capitalisme le plus forcené, le plus hautain, le plus arrogant – voter pour des marxisants qui sont trop idiots pour avoir tiré les conséquences du dramatique XXe Siècle soviétique et maoïste.

La France est pour l’heure ingouvernable, par la volonté d’un gamin prétentieux qui a préféré casser son jouet plutôt que de passer la main à un autre, plus capable que lui.

Le peuple souverain s’est exprimé. Le peuple souverain va souffrir. Le peuple souverain doit se souvenir que lorsque l’on fait des sottises, l’on doit en subir les conséquences.

Les conditions de vie des Français vont s’aggraver par l’effet d’une des rares constantes de l’humanité : le poids de la bêtise et de l’irréflexion.

Le remède est l’instauration d’une République populiste où chaque voix compte, donc un système de proportionnelle intégrale, le seul qui soit démocratique… mais c’est un régime qui ne convient ni aux médiocres, ni aux impulsifs ; c’est le régime de la Volonté du peuple et non celui des manipulateurs et des agents corrupteurs, ceux qui promettent la lune et sans effort ! 

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mardi, 02 juillet 2024

Les difficultés ne font que commencer : elles sont innombrables ! 

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Bernard Plouvier

Il n’est nullement assuré que les historiens de l’avenir s’intéressent à la dissolution de la Chambre par un Macron aux abois, fin juin 2024. En revanche, ils chercheront à comprendre comment les Français ont laissé des politiciens détruire leur pays en cinquante années de folie furieuse : 

• Loi Veil autorisant l’avortement de complaisance, donc la chute dramatique de la natalité autochtone 

• Décret de regroupement national des travailleurs immigrés pour relancer la consommation intérieure, ouvrant la voie à l’invasion extra-européenne  

• Lois stupides abaissant la durée du travail et l’âge d’accès à la retraite alors que la concurrence planétaire se durcissait 

• Sottises féministes et « genristes », aboutissant à la parodie du mariage homosexuel et aux grossesses par procuration 

• Pseudo-écologie de pacotille générant des obligations et des interdictions totalement fantaisistes, alors que le climat terrestre dépend quasi-exclusivement de l’activité solaire. Il est évident qu’il faut gérer la terre (ressources naturelles, consommation) en « bon père de famille », selon l’expression du Droit romain, mais il est stupide de se plier à des exigences issues des ruminations mentales d’incompétents et de frustré(e)s du marxisme, tout juste bons pour un traitement psychiatrique

• Destruction de l’Instruction publique et des infrastructures régaliennes, dont le système hospitalier public

• Désertification industrielle, alors qu’aux USA le mouvement s’est inversé depuis vingt ans 

• Ensauvagement de la société, directement en rapport avec des rejetons inéduqués par des parents lamentables, en immense majorité provenant de l’immigration extra-européenne, islamisée ou convertie aux joies du trafic de stupéfiants, d’armes, de prostitué(e)s ou de réfugiés (nouveau « marché porteur »).

C’est à ces problèmes que devront s’attaquer les gouvernants

Et dans une ambiance de haine entre les grands groupes d’électeurs : 40% de populistes qui veulent casser l’ambiance de gabegie, ramener l’ordre et la décence ; 25% de déçus de l’effondrement du communisme et des autres formes de « socialisme » mal compris – car le vrai socialisme, c’est comprendre que travailler beaucoup et bien, c’est à la fois enrichir sa famille et la collectivité ; 25% de conservateurs qui trouvent que « tout ne va pas si mal » tant qu’ils ont assez d’argent pour vivre dans l’abondance matérielle ; 10% de j’men’foutistes. 

Avec le système des magouilles du scrutin d’arrondissement, rien ne permet de présumer que le Mouvement National – authentique révolte du Pays d’en-bas doté d’un minimum de bon sens – obtiendra une majorité de gouvernement.

Macron le Nocif sera gagnant : il sera parvenu à empêcher toute réforme de structure de l’État

La Nation sera une fois de plus perdante

Et peut-être une fois de trop, car bientôt la majorité de l’électorat sera d’origine extra-européenne… et ce sera : « Y-A-Bon la charîa ! »     

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lundi, 01 juillet 2024

Bilan de la Macronie : en marche vers un danger trop connu

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Bernard Plouvier

Il est évident que le bilan du séjour élyséen de notre Génial Grand Timonier ne peut qu’être provisoire. Constitutionnellement, notre moderne Attila conserve une capacité de nuisance, en dépit de ses déculottées électorales… à moins que par un beau geste – que l’on n’espère pas trop de Sa Suffisance –, il ne s’en aille comme le fit Charles de Gaulle en 1946 puis en 1969.

Même s’il nous réserve des surprises, il restera tristement célèbre pour deux évidences.

  • Non seulement, il n’a rien fait pour améliorer l’existant, mais encore il a aggravé les imperfections les plus criantes de notre République agonisante : Insécurité, Invasion d’éléments étrangers à notre continent et qui veulent changer notre organisation sociale et culturelle, Désertification industrielle – donc dépendance, singulièrement d’une Asie où, la richesse aidant, les potentats deviennent de plus en plus agressifs -, Effondrement de l’instruction publique et du système hospitalier, Chômage stable aux alentours de 6 millions de victimes, « pleines ou partielles ».
  • À quoi, notre Président-Dictateur-Général, par une touche très personnelle, vient ces deux dernières années d’ajouter un risque de guerre continentale. Même Chirac – certes coincé par ses compromissions antérieures avec Saddam Hussein – avait évité de nous emmener dans l’aventure d’une guerre avec les sunnites pour des armes de destruction massive que jamais nul ne trouva.

On ne sait trop combien de nos pièces d’artillerie, ni combien de milliers d’obus ont été expédiés en Ukraine pour un conflit bien moins clair dans ses motivations que ne le prétend la propagande estampillée OTAN. On ne sait même pas le nombre de « conseillers militaires » français qui y sont engagés, tant l’activité macronienne est de type Nacht und Nebel (une expression qui n’est pas « nazie », étant tirée des premier et quatrième épisodes de la Tétralogie de Richard Wagner).

On sait encore moins comment vont réagir les deux grands protagonistes : celui de Washington (soit l’entourage du sieur Biden, atteint de démence – on en a eu confirmation cette fin juin) et celui de Moscou. Vont-ils estimer que les terres entre Don et Dniepr, peuplées à l’Ouest d’Ukrainiens et à l’Est de Russes, peuvent être partagées selon le Droit des peuples ou, au contraire, vont-ils faire dégénérer un conflit d’intérêt purement régional en guerre continentale, voire en Armageddon nucléaire ?

À la limite, on s’en ficherait comme on est en droit de se désintéresser de la très longue guerre entre sionistes et antisionistes : ça se passe loin à l’Est, même si cet « Est », fort corrompu et fanatisé, emplit la planète de ses bruits de haine et de ses manifestations sanglantes de fureur idiote.

L’ennui est que notre Génial Timonier, incapable de régler quel que problème français que ce soit, est allé fourrer son nez dans une guerre qui ne nous concerne en aucun cas.

La bonne question à se poser est celle-ci : est-ce que notre Génial excité va ou non nous précipiter dans une guerre encore plus stupide que la Guerre pour Dantzig… dont on fêtera en septembre le 85e anniversaire ?  

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samedi, 29 juin 2024

Des Vaccins et des Fous : les conséquences délétères de la covidiomania

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Bernard Plouvier

Moins d’un lustre après la pleine période de covidio-folie, soit les années 2020-22, l’on constate une recrudescence de deux maladies, souvent bénignes, mais parfois très graves, qui avaient très fortement régressé, des années 1975 à nos jours : la coqueluche et la rougeole.

Lassés, voire furieux, de l’inefficacité réelle des vaccins anti-Covid 19 (et variantes) et de leurs effets secondaires – réels ou supposés, car le recul est trop faible pour en apprécier la réalité et la durabilité -, de très nombreux parents n’ont pas fait ou renouvelé les vaccins de leurs enfants concernant ces deux maladies… sans compter que les innombrables immigrés venus de pays exotiques en ont multiplié les cas inutilement et dangereusement importés. 

Certains vaccins sont à la fois très utiles et peu dangereux. Il serait dommage de s’en priver, par réaction exagérée au scandale des vaccins anti-Covid mis sur le marché dans la hâte, sans longue étude préalable, par refus, orchestré par les politiciens démagogues et les directeurs de grands laboratoires pharmaceutiques, de respecter le principe de précaution… singulièrement nécessaire quand on se propose d’injecter à un humain de l’ARN messager viral !

Renoncer à prévenir tétanos, diphtérie, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, rougeole-rubéole-oreillons, méningococcie ou papillomavirus est très stupide : c’est annihiler les progrès du précédent siècle, où les politiciens n’osaient pas trop jouer à l’apprenti-sorcier en matière de médecine.

Il est nécessaire de réutiliser massivement le BCG qui, s’il ne protège de la tuberculose que chez environ 75% des vaccinés, en évite au moins les formes graves, tout en stimulant l’immunité cellulaire, ce qui est excellent en prévention de nombreuses maladies virales et, peut-être, dans la lutte anticancéreuse.

Il est stupide de ne pas reprendre la vaccination jennérienne qui immunise contre les diverses formes de variole, en respectant bien sûr ses contre-indications et en surveillant les vaccinés : c’est aussi un vaccin qui stimule de façon efficace l’immunité cellulaire.

Ce n’est pas parce que des politiciens affolés et totalement incompétents, entourés de conseillers soit apeurés soit inexperts, ont fait réellement n’importe quoi durant les tristes années perdues - 2020, 2021 et 2022 – qu’il faut abandonner les bonnes pratiques de l’époque d’avant la covidio-folie.

Enfin, si les cas de tuberculose et de maladies vénériennes prolifèrent de nouveau en Occident, c’est à l’évidence pour deux raisons :

1 - Les Occidentaux ont abandonné les habitudes de prophylaxie entrées dans les mœurs lors de l’irruption épidémique du SIDA dans les milieux sexuellement dépravés… qui sont devenus, en nos tristes jours, des vedettes médiatiques.

2 – Il n’existe aucun contrôle sanitaire aux frontières, alors que les immigrés exotiques - « réguliers » ou non, mais toujours illégaux puisqu’aucun peuple souverain n’a été consulté sur l’intérêt de leur accueil - amènent avec eux des maladies infectieuses ni dépistées ni traitées.  

La médecine est une science qui n’a pas à subir les conséquences de l’irrationnalité des opinions publiques et des tristes sires qu’elles élisent.    

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dimanche, 23 juin 2024

Quand les joueurs de flûte se muent en apprentis-sorciers

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Bernard Plouvier

Les millésimes 2020 sq. resteront marqués du sceau de la haine et celle-ci n’est un bonne chose que pour les marchands d’armes et les voyous manipulant les crétins – si l’on préfère, les propagandistes et leur cible préférée les sous-doués et les moyennement doués, deux catégories d’humains qui pèsent lourd, puisqu’ils représentent 75% des sujets testés dans toutes les études du Quotient Intellectuel (Q.I.) effectuées de 1890 aux années 1970 – après, on n’a plus osé en publier beaucoup !

Après le déchaînement de haine à l’encontre des climato-sceptiques, l’on s’est vigoureusement attaqué à ceux qui osaient dire que la nouvelle covidiose n’était qu’une pandémie assez banale, ne tuant que selon le principe de la sélection naturelle, comme les pandémies de grippe : il ne s’agissait nullement d’une maladie effroyable comme la peste ou le choléra importés d’Asie, ou ces viroses d’origine simiesque inutilement importées d’Afrique.

L’on a aussi connu une recrudescence des haines raciales : parti des États-Unis – ce melting pot qui a dégénéré en pot-pourri -, le mouvement s’est propagé en Europe Occidentale et Scandinave envahie de partout. Les émeutes raciales françaises sont une friandise hexagonale que nos merveilleux "jeunes" nous resservent quand ils « ont les nerfs », mais les Européens des Pays-Bas, de Belgique, de Norvège ou de Suède ont aussi leur lot de festivités son et lumière, un peu coûteuses certes, mais chacun sait que l’Européen est un contribuable fort complaisant.

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lundi, 10 juin 2024

Résultats des élections européennes : victoire ou défaite pour la Nation ?

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Bernard Plouvier

Une défaite pour la Nation ? Théoriquement, NON !

Puisque le Rassemblement National dépasse les 30 % de suffrages, soit plus que les deux listes suivantes réunies :

  • Celle de la véritable « extrême droite » : les macronistes qui œuvrent pour le patronat néo-esclavagiste, pour les maîtres des USA qui cherchent la guerre contre la Russie et/ou contre la Chine pour asservir le reste de la planète à leur volonté de puissance – si l’on préfère la politicaille au style boutiques de luxe, restaurants haut-de-gamme, et habitations princières en ghettos mondains ;
  • celle de « gauche », soit le parti de la démagogie bobo-friquée, faussement humaniste – si l’on préfère la gauche caviar-vodka & parlottes-foie gras + extrémistes (gauche, extrême-gauche et pseudo-écologistes totalisent à peine 30 %)

Et pourtant, OUI ! C’est une défaite.

Parce que plus de 45% des électeurs français se sont détournés avec mépris d’un scrutin qui devait être ce référendum sur l’immigration extra-européenne que les princes refusent obstinément d’organiser depuis le Décret ignoble de 1976 qui a inauguré l’immigration-invasion de la France par des légions d’extra-Européens.

Si l’on présente la France comme un « pays démocratique », cela doit vouloir dire que la Nation – le corps électoral – est obligatoirement consulté pour toute décision grave engageant l’avenir du pays comme le sont : l’abolition de la peine de mort pour les assassins, l’avortement sans raison médicale, l’euthanasie pour les malades dont l’État est sans espoir, le maintien ou le retrait de l’État de ses possessions extra-européennes, pour le droit à un enseignement libre de toute attache dogmatique et politique… et le refus ou l’acceptation d’une invasion par des populations étrangères à notre continent, à nos usages, à notre culture.

Jamais nous – citoyens français – n’avons été consultés sur tout cela qui fut décidé par des « élus » qui n’avaient pas reçu de mandat impératif pour se prononcer sur ces choix fondamentaux de société.

En conclusion :

Que Macron ait reçu une baffe monumentale est une excellente chose : c’est le résultat de 7 années d’arrogance et d’inepties, de gabegie financière et d’incapacité à dialoguer, à gérer, à prévoir l’avenir.

Que le Parti anti-immigrationniste soit le premier Parti de France rend quelque espoir à la partie de la Nation qui ne veut pas mourir sous le poids des non-invités dont sont issus la plupart de ceux qui pillent et saccagent, poignardent et violent, trafiquent et vandalisent, transformant nos villes et nos villages en lieux de trafics, en bidonvilles insalubres et en cités de non-droit où règnent caïds de la pègre et gourous d’une religion exotique.

Mais l’avenir de nos enfants et lointains héritiers exige davantage : il faut assainir le pays, reprendre en mains ferme l’exercice de la Loi, fermer les voies d’entrées dans le pays et réexpédier les non-invités, les non-désirés dans leur continent d’origine.

Et ce sera un travail de très longue haleine nécessitant une parfaite coordination entre une Nation qui veut rester française, unie aux autres nations européennes, et pour cela s’engage à coopérer avec un vrai pouvoir politique, orienté vers la défense des intérêts de la Nation.

Tout le reste n’est que fariboles, notamment les querelles de Divas, qui doivent passer bien après la réalisation des idéaux. Et plus jamais l’on ne doit constater une abstention électorale supérieure aux 10 % de débiles et de nullards qui forment l’élément sous-doué de toute population.

Source cliquez ici

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dimanche, 16 juillet 2023

Les acquis de la Guerre d’Ukraine ou quand les « stratèges US » redécouvrent la Lune !

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Bernard Plouvier

En ce mois de juillet 2023, où les tant célébrées « contre-offensives ukrainiennes » - qui devaient écraser les troupes russes et reprendre tout le terrain perdu en février-mars 2022 – se traînent lamentablement depuis le printemps, gagnant non des kilomètres, mais quelques centaines de mètres, et « libérant » non pas des villes d’ailleurs peuplées de Russes depuis l’ère stalinienne, mais quelques hameaux, les « cerveaux » du Pentagone et de la CIA accouchent de leurs commentaires.

Et ils sont gratinés : ils redécouvrent… ce qu’Alliés et Centraux avaient compris progressivement de 1915 à 1918 !

D’abord, rien ne se passe jamais comme prévu, ni dans les événements ni dans le planning – avec une seule exception : le Blitzkrieg prodigieux de la Wehrmacht à l’Ouest en mai-juin 1940, durant lequel une armée moins nombreuse et moins nantie de chars (d’ailleurs mal armés), mais associée à une force aérienne bien plus puissante, et d’un dynamisme à toute épreuve, avait écrasé diverses forces très disparates, où les généraux étaient des ganaches incapables de coordonner forces terrestres et forces aériennes, où les transmissions étaient lamentables, dont les combattants étaient amollis par huit mois de quasi-inaction, où enfin le motif d’entrée en guerre – empêcher les Allemands de reprendre une terre germanique (Dantzig et son Hinterland) – avait disparu d’entrée de jeu.

Comme en 1939, la propagande actuelle présente très mal le motif de guerre : le sort des Russes opprimés par les Ukrainiens, à direction extrêmement corrompue. Les Allemands de Dantzig et du Korridor étaient brimés par les Polonais de 1919 à 1939… on reconnaît volontiers que cette notion ne transparaît pas des merveilleux travaux des « historiens » de l’ère shoahtique !

Les génies US redécouvrent l’importance du camouflage (déjà démontrée en 1915 par les Français et les Allemands), face au rôle majeur de l’artillerie guidée non plus par observateur fixe mais par drones. À dire vrai dès 1939, la Luftwaffe guidait les artilleurs de la Heer par transmissions radio instantanées, mais du côté de l’US-Army, il y eut tant de « bavures » coûteuses en hommes et même en généraux US, en Italie ou en France, que cette coopération ne semble pas avoir été une spécialité nord-américaine - les GI’s parlaient d’ailleurs de « The US-Luftwaffe » pour stigmatiser les conséquences de la criminelle incompétence du service de coordination au sein de l’US-Army.

Les génies redécouvrent l’importance tactique des petites unités, rompues à l’action de commandos ultra-mobiles : l’équivalent des Stoss-Truppen allemandes (1917-18) ou des Corps francs français (1917-18, puis en 1939-40), repris par les Britanniques à compter de 1941. Mais hier comme aujourd’hui, l’action de ces petites unités est limitée à des coups d’épingle (très appréciés des journaleux, comme ils l’étaient durant la Grande guerre), si elle n’est pas suivie immédiatement par une action puissante d’une ou plusieurs divisions – ce fut le cas de la prise de Riga en septembre 1917, puis dans la zone de Caporetto en octobre 1917.

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dimanche, 02 juillet 2023

Expiation

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Bernard Plouvier

Les émeutes raciales qui agrémentent la vie des Français de souche européenne depuis plus de trente ans ne sont qu’une expiation d’à peu près 50 années d’une lâcheté qui confine au crime contre la Nation - le seul crime irrémissible, n’en déplaise aux théologiens, ces gens qui osent faire parler une ou des divinités !

50 années, cela nous ramène au règne désastreux de Valéry Giscard de notre destin. Le 17 janvier 1975, la Loi Veil dépénalise l’avortement non-thérapeutique et promeut ainsi le droit à l’avortement de complaisance. En pratique, seules des femmes de souche européenne – en plus de quelques prostituées exotiques – y ont recours, privant ainsi la France d’environ 225 000 enfants de souche européenne chaque année.

Le complément naturel de cette loi dévastatrice, édicté pour stimuler la consommation intérieure, fut le Décret du 29 avril 1976 (Giscard–Chirac) instaurant le regroupement familial pour les travailleurs immigrés. Les conditions légales pour en bénéficier furent très vite dépassées, oubliées !

Et ce fut une arrivée massive d’Africains, noirs et maghrébins, suivis de Proche-Orientaux, puis d’Afghans, Tchétchènes et autres ressortissants de pays où la culture du pavot est une institution nationale, tandis que la culture du cannabis et la consommation du Haschisch suivent fidèlement les progrès de l’extension de l’islam – c’est une notion bien connue des historiens.

De 1981 à nos jours, les merveilleux électeurs français n’ont jamais cessé de d’attribuer les apparences du pouvoir aux partisans de l’immigration massive, en dépit de ses nuisances (années 1980-90), puis de ses crimes (viols massifs, émeutes raciales, attentats terroristes et assassinats racistes) qui font notre quotidien joyeux au XXIe siècle.

Le Président perpétuel, interchangeable car obéissant aux mêmes ordres issus des globalo-mondialistes, Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron poursuit la noble œuvre giscardienne : immigration massive ; destruction systématique de l’industrie, « délocalisée » ; disparition des infrastructures publiques, sauf dans les grandes villes où les émeutiers détruisent ad libitum, ce qui exige une reconstruction permanente, d’où une absence de crédit pour les campagnes et les petites villes encore calmes car peu envahies de voyous.

Et nos prostitués de la politique et des media en rajoutent sur la repentance, alors que les soi-disant « bavures policières » sont toujours réactionnelles aux ignominies comportementales des voyous de l’immigration et des voyous gaucho-fils-à-papa friqués.

La prostitution de nos chefs n’est que le reflet du crétinisme de l’électorat. 40% des électeurs ne vont plus voter, dégoûtés de la nullité, de la démagogie, de la corruption du personnel qui fait semblant de diriger la Ripoublique depuis le départ gaullien en 1969… de ce fait, De Gaulle passe pour un grand homme, alors qu’il était surtout un géant de la mégalomanie. On partage l’écœurement de ces Français ; on comprend moins leur passivité, qui est une complicité de crime contre la Nation.    

Environ 35% d’électeurs lobotomisés suffisent à placer à la tête de l’État les petits génies qui font semblant de nous gouverner avec le soutien du bourrage de crânes des prostitués fort bien payés des media-menteurs.

Les 25% restant – d’ailleurs incapables de se regrouper derrière un vrai chef honnête et droit – sont diabolisés. Ce sont les « Fâchos » indispensables à la propagande des pourris qui manipulent les crétins, pendant que la racaille ravage notre pays.

En définitive, les Français n’ont que ce qu’ils méritent : corruption et incapacité « en haut », sauvagerie importée sans qu’aucun avis n’ait été demandé au Peuple Souverain, et pleurs imbéciles « en bas ». Le Président-perpétuel attend que les envahisseurs naturalisés soient en nombre suffisant pour décider d’un referendum sur l’immigration extra-européenne !

Les Français de souche européenne expient leur crime contre la Nation française. Leurs descendants se révolteront ou seront esclaves.          

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dimanche, 26 février 2023

La Nouvelle Grande Époque des rois du bobard

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Bernard Plouvier

Notre très distingué Président-Dictateur-Général avait lancé, lors de son premier quinquennat illustre entre tous, la « chasse aux Fake News » - en France, on avait pourtant le choix entre « Canard journalistique » ou plus simplement « Bobard de propagande », mais notre sémillant jeune Président n’est pas très fort en histoire, littéraire ou non, et de toute façon préfère le chic de l’expression anglo-US.

De toute façon, cette ouverture de la chasse ne déboucha sur rien. Car ce fut très vite la Covidiomania, soit l’épisode de longue durée du plus éhonté des bourrages de crânes depuis la Grande Guerre. De fait, notre Grand Timonier nous avait prévenu : au nom de la France, il déclara la guerre... à un virus qui s’en moque.

Les fausses informations sur cette virose plus bénigne qu’une pandémie virale ont toujours cours et, bientôt, nous atteindrons les 4 ans de désinformation caricaturale sur le virus et ses variants. Et nul ne peut oublier le stock de bobards sur ses « vaccins », qui ne vaccinent en rien, même ceux qui procèdent par l’injection d’ARN messager viral dans des organismes humains... et personne ne veut faire la relation entre ces « vaccins », fabriqués et approuvés en toute hâte, et la surmortalité constatée en 2022, dans les zones hyper-vaccinées (Europe Occidentale), comparée à une sous-mortalité en zones sous-vaccinées (l’Europe pauvre de l’Est et du Sud-Est), si l’on se réfère à la mortalité d’avant 2020.  

En 2023, nous avons droit – en tant que Français – à divers bobards économiques dont celui, réellement hilarant, de la « taxation des superprofits » (une affaire conjoncturelle et rarement durable), pour régler le problème structurel du financement – par définition à très long terme – de la retraite des vieux travailleurs. Au moins peut-on s’ébahir du spectacle grotesque, offert par nos clowns surpayés du Palais-Bourbon !

Ailleurs, ce n’est pas mieux. Les lecteurs du canard de référence de la crème internationale des « penseurs » - The New York Times, célèbre par diverses campagnes de désinformation  (celles de 1916-22 ou de 1933-46 sont dans toutes les mémoires des historiens, ou devraient l’être) – sont eux aussi à la fête.

Toutes les semaines, ils peuvent depuis plus de 20 ans déguster la chronique hebdomadaire du sieur Paul Krugman – titulaire du pseudo-Nobel d’Économie en 2008 pour ses thèses d’inspiration keynésienne sur l’économie de marché. En 2016, ce grand penseur prédisait l’effondrement de l’économie des USA en quelques mois, si Donald Trump était élu. Chacun sait, qu’avant la ruine économique planétaire induite par la gestion absurde de la covidio-folie, l’économie US, dopée par Trump, avait atteint des records d’activité industrielle inconnus depuis le début de l’ère globalo-mondialiste.

De nos jours, le grandiose Krugman présente l’Ukraine de son congénère Zelenski comme une « démocratie... imparfaite comme en toute nation ». On abonde dans son sens : la vraie démocratie est chose fort rare, reposant sur trois grands piliers : une Justice égale pour tous les citoyens – l’isonomia -, la dévolution par concours anonyme de tous les postes payés par l’argent public – la méritocratie-, enfin le recours systématique au plébiscite pour tout choix majeur de société – soit, les grandes mesures qui engagent l’avenir à court et moyen termes d’une Nation : guerre (hors urgence liée à l’invasion du territoire national) et paix, politique démographique, durée légale du travail, peine de mort, immigration, intolérance envers les criminels et délinquants multirécidivistes, législation sur les toxicomanies etc.

Ce que ce bon Krugman – un homme très utile, car ses chroniques sont une source inépuisable de rire, certes involontaire, car l’homme se veut très sérieux – oublie de rappeler, c’est que le régime ukrainien est né, en 2014, d’un putsch militaire quelque peu – oh, si peu ! - aidé, financé, orchestré par le « tandem du Bien, du Bon et du Juste » : Obama (Président) et Biden (Vice).

De la même façon, il n’informe guère son public Bon Chic Bon Genre globalo-mondialiste d’un fait bien connu, à savoir que le régime ukrainien est considéré comme le plus corrompu d’Europe... et pourtant la concurrence est rude.

Notre merveilleux chroniqueur quasi-nobélisé (l’Économie fut une discipline ajoutée tardivement à la liste des célèbres Prix scandinaves, ce qui n’a pas plu à tous les membres du marigot universitaire) doit être aussi mauvais en histoire que notre très distingué PDG. Il semble ignorer que le délicieux Joseph du Kremlin a, durant les années Trente, dépeuplé quelque peu l’Est de l’Ukraine, implantant des Russes entre Dniepr et Don. 

Même un chroniqueur ignare en histoire contemporaine ne peut oublier que, de 2014 à 2022, des activistes aux ordres des maîtres de Kiev ont fait souffrir – oh, si peu ! – les Russes du Donbass, soit les grandes régions de Louhansk, du Donetz, de Zaporizia ou de l’antique Chersonèse que Poutine a décidé en février 2022 de « secourir » - après avoir vainement tenté d’obtenir du « gentil démocrate de Kiev » l’arrêt des persécutions ethniques.

Il ne s’est même pas agi d’un « piège » des USA ou de l’OTAN vis-à-vis de la Russie de Vladimir Poutine, mais d’une volonté de « nettoyage ethnique » du Donbass, pour permettre aux délicieux financiers, entrepreneurs et négociants cosmopolites de mettre le grappin sur des ressources minières que Poutine voulait mettre en valeur, en coopération avec des entreprises allemandes, ce qui ravivait de vieilles haines du côté de New York et de Washington.

D’un chroniqueur « nobélisé » (ou presque), on serait en droit d’attendre autre chose que des imprécations d’un manichéisme primaire, tout juste bonnes pour des querelles d’école primaire.

Soyons honnêtes : c’est ce type d’information-désinformation que nos Z’honnêtes journaleux nous servent quotidiennement depuis une année, aidés de vieux généraux de plateaux télés. Et ça ne sert à rien de zapper : on trouve le même bourrage de crânes sur toutes les chaines de TV et de radio ! Cent ans après la désinformation sur la Grande Guerre et ses « Réparations », on en reprend une grosse dose et au quotidien.

C’est sûr, le « Français moyen », cher à ce gros pontife ridicule Édouard Herriot, n’a fait aucun progrès dans l’esprit critique. Il faut dire que, de nos jours, on préfère enseigner les œuvres sublimes d’auteurs exotiques à l’expression bizarre que les œuvres, écrites en bon français, d’un La Fontaine, d’un « Voltaire » ou d’un Diderot.     

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vendredi, 10 février 2023

L’irresponsabilité du Président Macron

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Bernard Plouvier

Il est évident, pour le moindre « pékin » comme pour n’importe quel général de plateau de télévision, que vendre des armes à un pays en guerre, de façon unilatérale – soit sans en proposer aussi à l’autre camp -, c’est se placer en situation d’allié ou, si l’on préfère de co-belligérant plus ou moins passif.

Donner ou vendre des armes peut passer pour un geste passif : on se lave les mains de ce qu’en fera le destinataire ! Toutefois, une question  majeure se pose, qui aurait dû être envisagée préalablement à toute décision et à toute action.

Notre très distingué Président-Dictateur-Général aurait-il oublié la Constitution de la Ve République ? Même dans sa révision de 2008, elle impose (art. 35) l’autorisation formelle, exprimée par la majorité du Parlement, pour entrer en de guerre, sauf invasion du territoire, cas de force majeure nécessitant une riposte immédiate, prévu par l’art. 16, ou état de siège (art. 36) décrété conjointement par le chef de l’État et le gouvernement.

Envoyer des conseillers militaires, vendre ou donner des armes et des munitions, des chars, des canons et des avions de combat, ce ne serait donc pas participer à une guerre ? C’est du moins ce que nous répète à longueur de discours notre bien-aimé & vénéré Président. On « aide l’Ukraine à se défendre »... en passant sous silence un menu fait : si V. Poutine a lancé son opération il y a juste un an, c’est parce que des éléments armés de l’État ukrainien bombardaient les populations civiles russes établies entre Dniepr et Don.

Il faudrait que notre Grand timonier, assez peu savant en Matière d’histoire contemporaine - on l’a vu à propos de la réalité du fait colonial -, se documente. Si la population implantée à l’Est du Dniepr et à l’Ouest du Don était massivement ukrainienne en 1920, il y eut ensuite le règne du 2e Tsar Rouge. On ne nie absolument pas que Joseph Djougashvili, surnommé « Staline » (l’Homme de fer) par « Lénine », ait été un ruffian politique de grande ampleur, un assassin de masse et on ne nie absolument pas le résultat de ses actes. À force de dépeupler l’Ukraine (le bon « Staline » a parlé de « 10 millions de morts », dans la soirée du 15 août 1942, à Moscou, devant Churchill et le médecin de ce dernier, Lord McMoran), à force de transplanter des populations au sein de son URSS, il a transformé la géographie humaine entre Don et Dniepr !

Les Républiques autonomistes situées entre ces deux gigantesques fleuves sont russophones. Que cela plaise ou non aux mafiosi qui règnent à Kiev (on rappelle que de nombreuses excellences amies du très noble Zelenski sont sous le coup de mandats d’amener pour cause de corruption) n’est d’aucune importance pour nous, Français.

Notre distingué Président n’a pas à nous engager dans une guerre – et pas si « passivement » que cela, puisque des militaires français ont été expédiés dans la zone des combats. Du moins, il n’a pas à le faire sans l’avis du Congrès, soit les deux assemblées délibérant simultanément sur un point d’importance capitale... car, si l’Homme du Kremlin est aussi irascible que la propagande française actuelle veut nous le faire croire, il pourrait lui aussi se déclarer en guerre contre la France et notre Nation, si mal dirigée, pourrait en subir d’énormes conséquences, bien supérieures aux nuisances induites par de bruyants défilés de « Gilets jaunes » ou de grévistes !  

Notre génial Président serait bien inspiré de relire la Constitution. Certes, par ses art. 67-68, elle déclare « irresponsable de ses actes » le chef de l’État... sauf, toutefois, en cas « de crime d’agression », soit en cas de guerre non provoquée, qui – tout le monde le sait depuis le Tribunal Militaire Interallié dit « International » de Nuremberg – est « un crime contre la paix » !

Il est diverses façons d’envisager la notion « d’irresponsabilité ». On n’envisagera pas la façon psychiatrique, ce qui serait « une injure au chef de l’État », mais on pourrait s’étonner de l’irresponsabilité certaine qu’est la non-réponse à l’invasion du territoire par des Africains et Proches-Orientaux (on pense à ces « pauvres » Afghans qui, presque partout en Europe, se conduisent en voyous). Or l’immigration-invasion, parfaitement illégale, puisque non-autorisée par l’unique souverain-maître de l’État : la Nation, c’est pourtant la réalité vécue par les Français depuis plus d’une dizaine d’années !      

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mercredi, 28 décembre 2022

La très inutile importation des haines interethniques en Europe

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Bernard Plouvier

En tout pays et à toute époque, la cohérence de l’État dépend de la cohésion nationale. C’est déjà une chose difficile à obtenir au sein d’une nation homogène, quand surviennent des querelles politiques et/ou religieuses, alimentées par d’ambitieux démagogues ou par de dangereux fanatiques.

Cela devient absolument impossible dans une société multi-raciste, ce qui est obligatoirement le cas de toute société multiraciale. Les exemples du Proche-Orient hellénistique et du monde romain, puis à l’époque moderne ceux des USA, du Brésil et du Mexique, des Indes ou de la Russie tsariste ont largement démontré cette évidence.

C’est d’ailleurs pourquoi, dans notre monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation de la propagande, l’on a quelque peu bousculé la réalité des faits dans l’enseignement de cette vieille catin d’Historia – l’histoire telle qu’on l’écrit et qu’on l’enseigne officiellement, du moins en Occident. Pour ne pas heurter la sensibilité et la susceptibilité, si vives toutes deux, de nos merveilleux immigrés et des indécrottables cosmopolites – ceux qui se veulent « citoyens du monde » -, l’on a simplifié la narration : seul le Blanc est raciste ! De ce fait, on a multiplié les aides et béquilles sociales, regroupées sous l’anti-notion de la discrimination positive.

L’Europe n’est jamais parvenue en 20 siècles à obtenir l’assimilation d’une majorité de Juifs, dont certains se sont en outre révélés de formidables agents subversifs aux XIXe et XXe siècles – sauf à nier la réalité du marxisme théorique, de la pratique du judéo-bolchevisme, du trotskisme et du gauchisme. De même, quinze siècles n’ont rien changé aux us et coutumes extra-européennes des Tziganes (ou Roms...) qui nomadisent des confins occidentaux de la Mer Noire jusqu’en Scandinavie et aux Îles Britanniques.

La leçon n’a manifestement pas été apprise, puisque depuis la décolonisation, l’on a accueilli en Europe occidentale – et singulièrement en France – des dizaines de millions d’Extra-Européens... et, ô surprise, il s’est avéré qu’une écrasante majorité d’entre eux exigeaient aussi le droit de cultiver leur différence et celui de transformer des cités européennes en douars maghrébins, en ghettos (et bidonvilles) de Noirs et de Moyen-Orientaux.

Un certain patronat esclavagiste voulait des manœuvres peu coûteux et les nations d’accueil – qui n’ont jamais été consultées sur l’opportunité de cette invasion exotique - ont eu droit à des émeutes raciales, à l’expression des haines exotiques, avec – cerises sur le gâteau empoisonné – une multitude d’assassinats, de viols, d’incendies volontaires, de pillages et de vols avec violences physiques, en plus de revendications religieuses absurdes. Car de nombreux envahisseurs réclament l’imposition de leur charî’a médiévale et obscurantiste, obtenant même des Francs-maçons du Grand-Orient si nombreux dans nos administrations « françaises » une lutte active contre le christianisme implanté en Europe depuis plus de 1 500 ans !

Comble de bonheur, nous autres, Français de souche européenne, devons supporter l’expression des haines opposant Juifs et mahométans depuis les guerres menées par ou contre l’État d’Israël, depuis sa première année d’existence. Nous avons été une cible privilégiée des chevaliers du djîhad, soit d’immondes terroristes aveugles, à compter de 2014. Dans les hôpitaux, depuis les années 1970, l’administration « conseille » de ne pas mettre dans la même pièce un Algérien et un Marocain ou un Tunisien, en raison des haines nationalistes opposant ces « frères de l’Oumma » (ou membres de la communauté sunnite)... et il ne viendrait pas à l’esprit d’un médecin chef de service, même athée, de faite cohabiter un sunnite et un chiite.

De même, il faut respecter les haines opposant les Kurdes aux Turcs (mais aussi aux Syriens, Irakiens et Iraniens qui possèdent aussi une partie du sol des ex-Mèdes devenus Kurdes). Il est déconseillé de faire cohabiter des Malgaches des hauts-plateaux (d’origine africaine) avec les Malgaches de la côte orientale (plutôt d’origine mélanésienne), ou encore des Tziganes (généralement chrétiens) et des Maghrébins... j’ai même le souvenir d’une rude empoignade dans un service médical entre un Berbère et un Arabe, tous deux venant de la même province algérienne ! Et il ne faudrait pas oublier les Arméniens, qui s’estiment toujours « moins bien traités que les Juifs ».

Un certain nombre de leçons doivent être tirées, dans la France hollando-macronienne, celle des tristes années 2014-2022 :

  • Nous ne devons plus accueillir un seul « immigrant-réfugié-malheureux » en provenance d’un autre contient que le nôtre. Réservons notre compassion aux seuls Européens... et il sera déjà bien difficile de calmer les haines ancestrales, d’ailleurs attisées par quelques journaleux cosmopolites, qui veulent gommer la notion de fierté nationale - l’exemple russo-ukrainien actuel démontre pourtant la profonde stupidité de leur vision d’un « Monde unique ».
  • Il faut organiser un plébiscite sur le rétablissement de la peine de mort pour les assassins... de façon à ne plus jamais revoir le scandale de l’affaire de Nice où la tuerie djihadiste de 80 personnes et les blessures de 300 autres, par un attentat au camion-bélier, se solde par des peines de prison pour des complices d’assassinat qui osent d’ailleurs contester la « lourdeur de la peine ». Comment proportionner le châtiment au crime si l’on n’exécute pas les assassins, leurs commanditaires et leurs soutiens logistiques ? Il est curieux que les Européens qui se disent admirateurs de l’islam omettent de préciser que le droit islamique n’est pas tendre avec les criminels.
  • Bientôt, les policiers se dégoûteront d’un métier où ils n’ont même plus le droit de défendre leur intégrité physique. Qu’est devenue notre France, où les émeutiers peuvent blesser des membres du service d’ordre, souvent en toute impunité ?

Le pouvoir macronien ne repose que sur 35% de l’électorat. Son expression est purement verbale : Président et ministres déblatèrent alors que les émeutes raciales se multiplient, alors que les haines multi-ethniques sont plus vivaces que jamais. Le « Vivre ensemble » est une utopie – variante moins noble : c’est une connerie funeste et meurtrière – et si les Français connaissaient un peu l’histoire des civilisations, ils le sauraient depuis longtemps.

Plutôt que « Vivre ensemble », tentons le « Chacun dans son continent d’origine »... et l’on aura encore fort à faire pour pacifier les relations entre nations issues d’une même race !

Car la bête humaine, toujours et partout, redevient féroce dès que l’organisation étatique relâche sa pression. Le laxisme se paie toujours très cher, en biens vandalisés et en vies gâchées ou volées.       

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dimanche, 25 décembre 2022

L’Europe actuelle ou le Libéralisme sans Force

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Bernard Plouvier

Même un écrivain d’histoire spécialisé dans l’étude du Reich maudit peut apprécier de vivre dans un régime de liberté(s)... surtout si la liberté d’expression de la pensée est comprise dans le paquet-cadeau libéral !

Toutefois, l’actualité nous démontre que l’État libéral en France est vicieux : durs envers les patriotes et lâche, par veulerie probablement induite par des raisons économiques ou financières, avec les fous furieux inutilement et illégalement importés par millions.

Et cette absurde dualité domine la vie publique, depuis l’année 2014 (les premiers attentats djihadistes en France ont débuté cette année-là, de façon « artisanale », soit au coup par coup, à Joué-lès-Tours et à Perpignan) jusqu’à nos tristes jours de Français (très mal) « dirigés » par Macron-le dépassé par les événements, après Hollande-le Bouddha-gras-nul !

À l’évidence, pour les « diriger », les électeurs français choisissent les « meilleurs » ! Plus exactement – tandis qu’un tiers des citoyens se dérobe constamment à son devoir d’expression - entre 35 et 40% de l’électorat optent pour les plus gros démagogues, ceux qui sont prosternés devant la toute-puissance des maîtres de l’économie US qui commandent la politique impérialiste des USA, donc la pseudo-politique de l’Europe des Économies Unies... qui ressemble tant au « chien crevé voguant au fil de l’eau ».

Soit l’expression usitée en France durant les années 1924-40 pour conspuer les gouvernants soi-disant français qui, par snobisme ou par intérêt, avaient mis la politique extérieure française à la remorque du Foreign Office. Il en résulta la très utile Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre Dantzig alors peuplée à 97% d’Allemands !

2022 restera un grand cru de la nullité de l’État soi-disant français. Après les émeutes des Marocains à propos d’une coupe du monde de football perdue aussi bien par l’équipe de France que par celle du Maroc, après les « tensions » à Montpellier entre Maghrébins et Gitans (ou Roms ou Tziganes, comme on voudra), les assassinats de 3 Kurdes par un dément (enfin placé en hôpital psychiatrique, où il sera réduit à l’état de légume inoffensif par un subtil mélange de neuroleptique et d’antipsychotique) ont déclenché des émeutes avec d’énormes saccages aveugles & les traditionnels incendies perpétrés par des Kurdes enragés... d’où une cinquantaine de policiers blessés à Paris et à Marseille, les 23 et 24 décembre.      

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mercredi, 21 décembre 2022

Le Soleil au service des imprévoyants

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Bernard Plouvier

Vaniteux comme lui seul peut l’être, et battant sur ce point tous ses prédécesseurs, notre Génial Grand Timonier a osé organiser une parade de la défaite footballistique dans la capitale, espérant regonfler son score de popularité, bien réduit depuis l’envolée des prix à la consommation, l’apparition d’une pénurie énergétique et la multiplication des dépôts de bilans d’entreprises.

Par ses choix politiques dépourvus de bon sens, il est effectivement responsable d’une partie de tout cela. Mais béni – sinon des dieux auxquels nul n’est encore tenu de croire – du moins par le hasard, il est secouru par notre étoile.

Alors que l’hiver avait commencé très tôt et durement, des éruptions solaires de faible ampleur, mais néanmoins répercutées sur notre planète, procurent un redoux transitoire... et, aussitôt, les foldingues de l’écologie de pacotille nous ressortent leurs âneries sur le CO² produit en excès !

En réalité, du 11 au 15 décembre, puis à compter du 21, l’on a assisté et l’on continue d’assister à des éruptions solaires, certes modestes et très inférieures à celles de l’été et du début de l’automne. Mais si cela se poursuit, nous jouirons d’un hiver peu sévère, grâce au Soleil et nullement en raison de l’activité des humains et autres animaux.

Il serait temps de familiariser les Français avec l’étude de notre étoile et de ses caprices éruptifs, temps de remplacer l’étude obsessionnelle de la production du CO² par l’activité animale – infiniment moins grande que celle induite par Dame nature terrestre – par celle de l’indice Kp, témoignant de l’activité solaire qui retentit sur notre géomagnétisme !

En résumé, le tandem Hollande-Macron – soit les deux « génies de la prévoyance » qui ont laminé notre production électrique par l’énergie nucléaire – est provisoirement sauvé de la faillite énergétique grâce à un Deus ex machina. 

La leçon que doit tirer notre Nation du crétinisme de nos princes est qu’il devient urgent et  absolument nécessaire de reprendre en mains notre présent pour préparer l’avenir de nos descendants : une Europe peuplée d’Européens, la fin du système mafieux politico-financier, le refus de l’implantation de l’islam conquérant, enfin une gestion rationnelle de nos ressources et une administration de l’État par des gens honnêtes et compétents... Tout est à faire !   

 

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jeudi, 24 novembre 2022

Réflexions sur les larmes des sauriens de l’Ill

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Bernard Plouvier

S’il ne s’agissait de morts prématurées d’êtres humains, les larmes de crocodile versées par les si utiles Eurodéputés de Strasbourg sur le « terrorisme russe » feraient hurler de rire et pour diverses raisons.

Toute guerre est par définition une cause de terreur pour les civils qui sont pris entre deux feux. Il serait bon de méditer l’une des rares phrases intéressantes de Karl v. Clausewitz : « La guerre est un acte de violence ; il n’y a pas de limite à la manifestation de cette violence ».

Et ce ne sont pas les Yankees, les seuls belligérants qui aient osé utiliser l’extraordinaire puissance de désintégration d’atomes lourds dans une guerre, qui peuvent prétendre le contraire !  

Durant les années 1940-45, les bombardiers britanniques et nord-américains ont écrasé – par des « bombardements de zone », strictement dépourvus de toute précision – des cités industrielles, des quartiers d’habitation proches de gares, de ports ou de nœuds routiers, voire des villes totalement dépourvues du moindre objectif militaire ou industriel. Et l’on a glorifié les nobles aviateurs alliés et leurs grands stratèges aériens !

De nos jours, on parle de « terrorisme » quand des tirs remarquablement ciblés de missiles russes s’en prennent à des centrales de fourniture d’électricité !

De 1940 à 1945, 600 000 Allemands, 60 000 Français, et 61 000 Italiens sont morts victimes des « bombardements libérateurs » des forces aériennes alliées.

En 2022, les tirs de missiles russes tuent tantôt un, tantôt trois civils... et l’on attribue généreusement aux Russes deux malheureux paysans polonais tués par un missile ukrainien ! De fait, dans un pays dirigé par un clown professionnel, il est logique que les artificiers ukrainiens soient de facétieux tireurs, à moins qu’ils n’aient abusé – pour se réchauffer en période quasi-hivernale – d’alcool de grains. En réalité, la plupart des missiles russes détruisent leur cible sans tuer d’être humain.   

On sait depuis longtemps que la propagande de guerre pue le mensonge utilitaire et que tout paraît bon aux fanatiques pour diaboliser leur ennemi.

Ce que les opinions publiques commencent à réellement comprendre ces dernières années, c’est la stupidité, la corruption mentale voire matérielle et l’inutilité fondamentale des politiciens professionnels.

L’actualité des années 2015-2022 (terrorisme djihadiste, covidiomania, immigration-invasion & insécurité pour les autochtones d’Europe, entreprise de destruction de l’Union Européenne par les USA à l’occasion d’un conflit frontalier russo-ukrainien) démontre que nos « élus » ne sont que des pantins manipulés par les maîtres de l’économie et qu’il serait bon pour les Nations d’Europe de se révolter, non pour des raisons de taxes ou de vie chère, mais simplement pour rester des Européens maîtres de leur continent.

Nos slogans doivent être : US go Home, Back to Africa, Non à la Chine et à l’islam, l’Europe aux Européens. Il est urgent de remanier les Constitutions pour rendre sa Souveraineté à chacune des Nations autochtones d’Europe.  

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mardi, 22 novembre 2022

L’avenir de la France selon Emmanuel Macron

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Bernard Plouvier

On aime bien savoir notre Grand Timonier au loin – et de fait, il voyage énormément. Car l’on espère toujours que, loin de l’Élysée, il nuira moins au pays !

Erreur funeste : il cause et – voulant imiter de Gaulle, magicien du verbe souvent stupide – il lance des phrases destinées à passer à la postérité. Sa dernière sottise a été éructée à Bangkok et en anglais – histoire de montrer que la langue française est vouée à l’extinction sur la scène internationale.

Selon notre Génial Président-Dictateur Général – dont le visage démontre qu’il vieillit à vitesse accélérée ; au moins, ça nous évitera des présidences à répétition, façon Franklin Delano Roosevelt, le créateur de notre enfer d’économie globale et de mondialisation de l’american way of life -, les Français sont fiers, voire arrogants, mais doutent d’eux-mêmes.

N’importe quel observateur du « monde comme il va » depuis 4 ou 5 millénaires peut découvrir sans trop d’efforts que bien des peuples se sont montrés « fiers et arrogants » au cours de l’histoire. Depuis quelques décennies, il semble bien que les champions de l’arrogance soient les Yankees, les Juifs et les Chinois... bien plus que les Français, totalement déboussolés par une immigration-invasion pillarde, incendiaire, criminelle et gouvernés par une bande de politiciens souvent débauchés et plus souvent encore corrompus, soit matériellement – ce qui est justiciable -, soit mentalement – ce qui devrait les faire écarter de toute fonction.

De fait, notre merveilleux Élyséen est l’un de ces globalo-mondialistes qui dépriment tant les nationalistes d’Europe. Pas besoin de chercher très loin la tristesse, la déréliction des Français – ou des Anglais (on n’ose plus parler de « Britanniques », puisque Gallois, Écossais ou Orangistes de l’Ulster veulent faire sécession), des Belges, des Espagnols - : le vécu quotidien depuis les années 1976-80 parle de lui-même.

Non ! Les Français ne peuvent douter que, depuis Giscard, ils soient gouvernés par des traîtres à la Nation, qui de façon purement illégale – c’est-à-dire sans jamais avoir sollicité par referendum le Peuple Souverain – lui imposent une immigration massive d’Extra-Européens, qui ont transformé notre vie en cauchemar. Même pour un idiot sorti de feue l’ENA, devrait être évidente l’équation : immigration africaine et proche-orientale = criminalité + délinquance + incivilités permanentes. Avant de mourir, un Giscard l’avait déploré, de même qu’un Tapie après avoir été molesté et cambriolé.

Ce n’est que lorsqu’un riche politicien hyper-protégé est attaqué par une meute de nos merveilles immigrées qu’il daigne comprendre enfin la misère de la condition du Blanc en France, soit dans le pays qu’ils ont volontairement laissé envahir pour de basses raisons économiques.

La condition humaine fut toujours plus ou moins infernale. Mais celle du Français de souche européenne atteint un remarquable niveau d’horreur sous le règne de Macron-II. Et le pire réside dans le fait que ce prince, comme ses prédécesseurs, est un authentique élu du peuple ! Si la France devient la poubelle du Tiers-Monde, un pays d’insécurité majeure et de corruption, c’est uniquement par la faute d’un électorat aussi bête que celui d’Outre-Manche.

Le Français doit d’abord et avant tout douter de son jugement : mettre à la tête de l’État des guignols qui choisissent des ministres issus de l’immigration pour capter les votes extra-européens, ce n’est pas « se tirer une balle dans le pied », mais programmer la fin de la Nation française. Macron n’est rien par lui-même : il n’est que le symbole d’une Nation aveulie.  

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samedi, 19 novembre 2022

Du bon usage d’une « Tête-de-pont »

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Bernard Plouvier

Pas besoin de s’appeler Clausewitz ou von Manstein – entre autres exemples possibles – pour savoir que l’implantation d’unités militaires dans une petite zone ennemie située au-delà d’une mer ou d’un fleuve n’a d’intérêt que si l’on a les moyens de pousser du « million d’hommes », servis par d’énormes moyens d’action guerrière et une logistique puissante, au-delà de cette base de départ.

Ce n’est pas un hasard si l’Opération grotesque de Dieppe en août 1942 a été un fiasco intégral. On n’avait envoyé au massacre de petites unités que pour calmer l’irascible Joseph du Kremlin qui réclamait ce qu’on lui avait promis depuis plus d’un semestre : une action à l’Ouest de l’Europe pour soulager l’Armée Rouge.

Et Churchill, l’incarnation de l’égoïsme so british, envoya des Canadiens se faire hacher menu ou croupir en Stalag et Oflag... délicieux « Winnie » - on se demande ce que ce raciste forcené aurait pensé du trio d’Indo-Pakistanais qui est à la tête de la mairie de Londres, du Gouvernement de Sa Majesté Charles III et du Home Office !

En 1942, les Britanniques n’avaient pratiquement pas de réserves en hommes à faire tuer ni en matériel offensif. Il en allait tout autrement l’année 1943 où les débarquements (anglo)-US de Sicile et d’Italie furent le prélude à des campagnes où les Alliés alignaient 3 combattants contre un (du côté allemand, car les Italiens ne se battirent pas : ils attendaient – sauf exception patriote – les cigarettes et les dollars d’occupation des G.I.... ce fut l’illustration de l’immondice de Brecht : « D’abord la bouffe, et après la morale »), 4 chars contre un, 6 canons et mortiers contre un et 20 avions contre un.

Et l’on rejoua le scenario de façon plus convaincante encore en juin 1944, en ravageant toute la Basse-Normandie !

Une tête de pont russe à l’Ouest du Dniepr, à hauteur de Kherson – la ville proche de son embouchure -, n’avait de sens que si l’Armée poutinienne jouissait d’une masse de manœuvre importante et très solidement armée pour s’assurer le contrôle de la vaste zone située à l’Ouest du dernier coude du Dniepr. Du gel des positions durant trois mois dans une tête-de-pont difficile à ravitailler, on peut raisonnablement inférer que l’Armée russe ne dispose pas de cette puissance offensive ni de la dureté nécessaire pour gagner une guerre.

Poutine n’est pas « Staline » : ses généraux ne sont pas fusillés en cas d’échec ; les soldats qui reculent ne risquent pas de tomber sous les balles des sbires du NKVD-NKGB ; enfin, il n’a pas d’allié puissant capable de lui fournir en abondance des armes et des munitions. 

Qu’il ait cru être dans son « bon droit » pour défendre les Russes entre Dniepr et Don - effectivement les clowns judéo-ukrainiens manipulés par les merveilleux Démocrates de Washington et de New York poussaient un peu loin la plaisanterie depuis le putsch de 2014 -, témoigne simplement de la naïveté du dictateur charismatique du Kremlin.

Jamais dans toute l’histoire, la notion d’Équité n’a triomphé, sauf à être étayée par une puissance guerrière supérieure à celle de l’ennemi abusif et de ses alliés.

Il est évident que les Accords de Munich de fin septembre-début octobre 1938 étaient la pure expression du Droit des peuples à s’auto-administrer ou à rejoindre la mère-patrie – Sudètes, Polonais de Teschen, Magyars de Slovaquie, Slovaques et Ruthènes en avaient plus qu’assez de la dictature des haineux francs-maçons de Prague. Il est évident qu’imposer une Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre le contrôle de Dantzig, alors peuplée à 97,6% d’Allemands, était une ignominie si l’on se réfère au Jus Gentes.

Mais les Allemands ayant finalement perdu la guerre, les Accords de 1938 qui ont évité une guerre aux Européens et la courte Campagne de Pologne furent considérés comme des « crimes » et les merveilleux historiens carriéristes n’en finissent pas de déblatérer des âneries sur le sujet et à mépriser allègrement les principes juridiques... et ils ont raison ! Car, toujours et partout, le Droit ne fut et reste que l’expression policée et formelle de la Force.

Tout le monde sait que les professionnels du prêchi-prêcha font depuis toujours parler la ou les divinité(s) en faveur des gros bataillons. Le nouveau personnel du bourrage de crânes étant composé d’employés du dieu-$, avatar de Mammon, les Russes sont devenus des suppôts de Satan et le demi-dément Biden est le nouveau Papa-Noël.

Si Poutine ne mobilise pas bientôt du million d’hommes décidés à se battre, voire à mourir pour la patrie, il finira comme Saddam Hussein et les Russes deviendront esclaves des merveilleux judéo-yankees. L’histoire, si elle ne se répète jamais à l’identique, bégaie en permanence.               

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mardi, 08 novembre 2022

Le XXIe siècle ou le triomphe du néant

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Bernard Plouvier

Au XVIIIe siècle de l’ère faussement dénommée chrétienne – faussement, car en quel pays et à quelle époque de cette ère a-t-on connu la réalité des mots Amor et Caritas ? -, où sont nées toutes les idées folles dont l’application aggrava considérablement la vie des Terriens, les « penseurs » avaient décidé de se proclamer « Lumières »... en toute modestie, cela va sans dire.

Il en sortit le « libéralisme économique » (resucée moderne de l’esclavagisme, avec un peu plus, voire beaucoup plus de confort matériel) et de nouvelles formes de totalitarisme – on s’étripa moins pour Jésus ou Yahvé et davantage au nom de la liberté, de l’égalité et de la fraternité humaine, avant d’en revenir aux égorgements rituels au nom d’un Allah de moins en moins miséricordieux à mesure que la manne pétrolière assure la fortune de ses émirs, imams, mollahs et autres merveilleux penseurs.

Grâce au « Siècle des Lumières », les XIXe et XXe siècles furent des époques de guerres et de révolutions subintrantes. On n’avait plus le temps de s’ennuyer dans l’Enfer terrestre et, pour s’endormir, on n’avait que l’embarras du choix entre des textes philosophiques abscons, des proclamations politiques délirantes et de la littérature romanesque – on y inclut les œuvres des « historiens » - de plus en plus perverse, sanglante et baveuse, où le bruit et la fureur – un salut au Grand Will - le disputaient aux sentiments entremêlés : jalousie, nationalisme étroit, sexualité animale et désir de rédemption.    

Au XXIe, que l’on doit appeler le 1er siècle de l’ère globalo-mondialiste ou rooseveltienne, l’on assiste au triomphe du nul, voire du nullissime – soit le néant élevé à la hauteur d’un art, avec cette touche de fascination induite par le contact avec la pure connerie humaine. Les « réseaux sociaux » en sont seuls responsables qui permettent à Ducon et  Super-Nulle de se transmuter en « influenceur-influenceuse », en lanceur-lanceuse d’un pseudo-nouveau mode de pensée, d’un niveau tel qu’il procure ce vertige du vide, cette fascination du rien – « pseudo-nouveau », car ce n’est pas à cette vieille guenon, l’humanité envisagée de façon globale et diachronique, que l’on peut apprendre de nouvelles grimaces et contorsions.

Ce que l’on peut et doit reprocher à Donald Trump ou à Emmanuel Macron (au début de son premier quinquennat), c’est d’avoir gouverné en lançant des commentaires sur les réseaux sociaux, ce qui les a mis au même niveau que les Bimbos, rappeurs et autres agités du texto. Par amour de la publicité, par goût du sensationnel et de la réaction immédiate – dite à chaud, ce qui ôte toute autocritique et fait perdre toute possibilité de réflexion -, la direction (au moins apparente) d’États fut ravalée au rang de gaminerie adolescentesque.

Un excellent Président des USA, porteur d’un espoir de renouveau économique pour son pays et de paix internationale, et un chef d’État français, objectivement inactif en dépit de son agitation brouillonne et totalement inefficace, se sont eux-mêmes abaissés au niveau de la presse people et des shows télévisés standardisés : une expression instantanée et irréfléchie, pour un public au niveau intellectuel qui affleure tantôt le « ras des pâquerettes » et tantôt le caniveau où vomissent les ivrognes et les camés.

Après les années 1830-1914, puis 1919-1933, où les maîtres de l’économie avaient dirigé le monde dans leur seul intérêt, l’on avait assisté brièvement au retour du fait politique domestiquant le fait économique pour ses besoins – cela dura jusqu’au début des années 1980 dans les pires régimes que l’humanité souffrante se soit laissé imposer : les dictatures marxistes.

L’économie globale et la mondialisation de la désinformation ont débuté en 1945 dans les vastes zones dominées par les vrais maîtres des USA et se sont imposées dans de vastes zones de la planète. Un confort de vie inédit s’est accompagné de l’imposition du néant intellectuel : hédonisme, métissage et totalitarisme droit-de-lhommesque sont les options choisies par les nouveaux dictateurs maffieux des pays à mode de vie occidental.

L’opposition vient de la Russie et des terres d’islam, où l’on en est revenu au mélange des genres qui caractérisait l’Ancien Régime en Occident, soit le recours au clergé maffieux pour soutenir les politiciens maffieux qui surveillent de près les maîtres maffieux de l’économie. Elle vient aussi des États-dinosaures : Chine-Corée-Cuba, dictatures « rouges », où l’on associe le libéralisme économique au totalitarisme maffieux-marxiste.   

L’affrontement entre ces trois blocs, dirigés par des castes également corrompues et criminelles, aussi absurdes les unes que les autres, est inévitable.

Le plus cocasse dans l’affaire, c’est que le bloc des milliardaires – en unités de compte, en matériel militaire et en bombes utilisant la fission nucléaire – est le plus fragile. Il doit périodiquement rendre des comptes, certes truqués, à une opinion publique, certes infantilisée par la désinformation et les crétineries des « réseaux sociaux », mais dont 10 à 20% des membres restent vigilants, cultivés, ayant conservé leur esprit critique.     

Ce n’est pas en se cachant dans des réserves – tels des Amérindiens -, ni en se lamentant sur la disparition d’un soi-disant Âge d’Or qui n’a jamais existé – en paraphrasant « Mark Twain », on peut soutenir que les Âges d’Or n’ont jamais été que des Âges du Toc –, que l’on pourra inverser le processus de déliquescence actuel en Amérique du Nord et en Europe.

Soit l’on se lance dans une révolution – qui sera ultra-violente, car nos merveilleux gouvernants ont partout introduit une énorme 5e colonne de non-Occidentaux restés fort primitifs et qu’on a laissé s’armer -, soit l’on tente de persuader les vrais Européens – les hommes et femmes de race européenne – de s’unir pour vivre à l’européenne, chasser les intrus, reprendre les commandes de leur civilisation et se souvenir de la leçon des années 1970 sq. : les continents et leurs populations-souches ne sont pas des entités mixables ou assimilables.

Chacun doit rester dans son continent d’origine, pour le développer et le domestiquer, ce qui permettra des échanges commerciaux, touristiques et culturels, dans le respect mutuel... à condition, bien sûr, que Biden et son entourage de maffieux bellicistes ne déclenche pas l’Armageddon nucléaire et ne transforme pas notre Enfer en gigantesque brasier volcanique.     

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mercredi, 02 novembre 2022

Crétin-roi

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Bernard Plouvier

Ubu est détrôné : qu’il s’agisse des gouvernants ou des agents subversifs, ce sont les crétins qui donnent le « La » dans l’ère de l’économie globale et de la mondialisation de la sous-culture.

On nous casse les ... (pieds, pour rester poli) avec les émissions de CO² pour expliquer une météo fantasque, lorsqu’il fait un peu plus chaud que la « norme », présentée – sans réelle preuve historique - par de faux savants.

Et l’on oublie de mentionner deux faits : les périodes de froid glacial inhabituel sont aussi fréquentes et souvent plus durables que les « coups de chaud » ;  il a existé ces vingt derniers millénaires d’énormes épisodes de réchauffement, qui ont occasionné une fonte massive des glaces polaires, en des époques où la Terre n’était nullement industrialisée et n’était peuplée que de quelques dizaines ou centaines de milliers d’humains.

Lorsqu’un politicien-crétin accroît les taxes à la consommation « pour protéger la planète en pénalisant l’émission de CO² », il est aussi stupide et sous-informé que l’agent subversif-crétin qui bloque la circulation routière pour le même motif imbécile.

Même si l’on considère que le pire diable existant sur l’Enfer terrestre est l’être humain – en reconnaissant que les sauriens, les serpents venimeux et les grosses bêtes carnivores  ne sont pas non plus des angelots -, l’humain n’est, en fait, qu’un diablotin strictement incapable, par son activité ordinaire même répétée par 8 milliards d’exemplaires, de modifier quoi que ce soit à la réalité terrestre. Un peu de modestie s’impose. 

La « chose » qui commande tout sur Terre et singulièrement son climat, c’est l’étoile loco-régionale, le Soleil, dont toutes les civilisations intelligentes ont fait le dieu (ou la déesse) créateur et destructeur.

Depuis 2014-15, notre étoile est entrée dans un cycle d’éruptions – un cycle qui, habituellement, dure entre 10 et 12 années. En 2022, nous avons observé des séries d’éruptions, génératrices d’orages électromagnétiques et thermiques, en juillet et en août, puis à la fin de septembre et au début d’octobre : d’où un été et un début d’automne chauds... avec chute brutale de la température les 31 octobre et 1er novembre, jours où la Terre a cessé de répercuter, pour un temps, les aléas de l’activité solaire automnale, en attendant la nouvelle série éruptive.

Fichons la paix aux humains standards qui vivent comme ils le peuvent et ne sont nullement responsables du climat. En revanche, cessons de considérer comme des héros, comme de preux chevaliers de Dame Démocratie – qui, en réalité, est une vieille catin -, les ordures ultra-friquées qui téléguident les pantins de la politique et les prostitués des media.   

En cette année 2022, ce sont les bellicistes fous furieux de Washington qui sont un réel danger pour l’humanité et pour la planète. Si son entourage de Super-crétins immatures parvient à faire ordonner par le demi-dément Biden une guerre nucléaire contre la Russie ou la Chine, l’on assistera au plus formidable réveil volcanique depuis un bon million d’années et c’en sera fini pour longtemps de toute civilisation moderne !

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mercredi, 26 octobre 2022

Si les Français étaient moins anesthésiés...

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Bernard Plouvier

... d’abord, ils n’auraient pas réélu Emmanuel Macron, après un quinquennat nullissime, une gestion catastrophique de la corona-crise, des scandales répétés du côté de hauts-fonctionnaires, de ministres ou autres élus du peuple – et l’on espère qu’un jour, Macron et ses comiques troupiers répondront de leur bêtise et de leur crimes économiques et sociaux devant une Haute-Cour !

Si les Français étaient plus lucides et au vu de l’énormité des problèmes actuels de la France, ils descendraient massivement dans les rues et sur les places publiques pour exiger :

• le départ des guignols qui font semblant de nous gouverner alors qu’ils ne font qu’appliquer des ordres issus des grands maîtres de l’économie occidentale ;

• un référendum immédiat sur l’immigration d’origine extra-européenne, soit la consultation du seul souverain de l’État – le collège des électeurs – sur un problème de sécurité nationale, de conditions de vie présentes et d’avenir de la Nation  ;

• une réforme profonde du secteur judiciaire, avec interdiction faite aux magistrats d’être membres d’un parti politique – ou d’un syndicat politisé – et d’une secte maçonnique ; on rappelle qu’un procureur ou un juge n’ont pas à œuvrer pour leur plan de carrière ou la protection de leur tribu ou de leurs amis : ils ont pour mission de juger en équité... sinon, qu’ils aillent planter des choux (ce qui est utile) ou qu’ils fassent à visage découvert de la politicaille (ce qui est parfaitement inutile pour la Nation, mais fort enrichissant pour les parasites sociaux que sont les politiciens professionnels). On ne doit plus voir le scandale de procès dont l’instruction dure des années ou celui de dénis de justice – des peines dérisoires pour les violeurs d’origine extra-européenne et des peines de prison ferme pour des opposants politiques patriotes n’ayant commis aucun crime ;

• l’application exacte des lois sur l’exclusion des immigrants clandestins et la mise en pratique de la proportionnalité entre peine judiciaire et crimes ou délits commis, ce qui nécessite la réintroduction de la peine de mort : qui a pris volontairement une vie doit payer son crime de la sienne ; c’est l’unique prophylaxie des récidives meurtrières... et on se moque des bêlements d’avocaillons et autres irresponsables ;

• l’arrêt de la participation à des conflits qui ne regardent en RIEN la Nation française (en Afrique, en terres d’islam ou aux confins de l’Ukraine et de la Russie) et la récupération immédiate des armes de haut niveau données ou prêtées à un ou des États étrangers, ce qui diminue considérablement la (déjà très faible) puissance de nos forces armées ; d’une manière générale et sauf attaque-surprise du territoire national, toute intervention guerrière ne doit être débutée qu’après recours au peuple souverain... et non par simple avis demandé à un parlement de godillots ineptes et trop souvent de comportement canaille ou crapuleux.

Mais, tout cela exigerait que les Français soient moins formatés et plus courageux... car, si comme cela est plus que probable notre Génial Grand Timonier s’accrochait à sa place (« même qu’elle est bonne », disait Coluche), il faudrait passer à la phase insurrectionnelle !  

Et là, il faudrait des hommes de 1792 ou de 1914, pas les pleurnichards mous et gras actuels.

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samedi, 13 août 2022

Tribune libre : il ne restera rien de la civilisation française…

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Bernard Plouvier

Et ce sera justice ! Quand on ne veut plus défendre ses valeurs et sa sécurité les armes à la main, on devient esclave ou on meurt. C’est l’unique leçon de l’histoire.

À force de tourner les regards vers la Shoah – unique période historique devenue digne d’intérêt, de larmes et de quêtes depuis les années 1970 -, à force de beugler le rituel : « Plus jamais ça ! », on oublie que la vie sur Terre a toujours été un Enfer, parce que les comportements de la bête humaine sont immuables.

Notre histoire, à nous Européens occidentaux, s’est bâtie ni en Égypte ni à Jérusalem, mais a été façonnée par Rome, celle de la République, puis celle de l’Empire. Lorsque les Romains devenaient les maîtres d’une nouvelle province, d’un nouvel ensemble de tribus, ils apportaient leur fabuleuse civilisation, mais les révoltes étaient impitoyablement matées : la mort pour les chefs et l’esclavage pour les prisonniers et leurs familles.

De la même façon, les révoltes intérieures, serviles ou non, étaient réprimées très brutalement. Les voyous, les pillards, les assassins étaient considérés pour ce qu’ils étaient : des inassimilables, des parasites destructeurs, et ils étaient impitoyablement éliminés.

De ce fait du 2e siècle avant J.-C., jusqu’à la fin du IVe siècle, Rome domina et civilisa progressivement toutes les terres, du Mur d’Hadrien jusqu’aux terres rhénanes et danubiennes, et l’ensemble du littoral méditerranéen, jusqu’aux abords de l’Empire des Parthes. Chaque invasion était sèchement combattue et donnait lieu à des représailles en territoire ennemi.

Puis au Ve siècle, tout fut détruit en Occident : la niaiserie chrétienne avait frappé. On accueillait l’ennemi comme un frère égaré, on jugeait ignoble de tuer, fût-ce un envahisseur pillard ou tueur. Le grand mot, d’une ineffable stupidité, devenait : « Aimez-vous les uns les autres » ! On comprend que longtemps, les civilisateurs romains n’aient vu en cette foi, bizarre et parfaitement inadaptée à l’animal humain, un dérivatif romanesque à la rudesse de la vie, une consolation pour esclaves et femelles.

Mais au Ve siècle, la mollesse morale et physique s’était généralisée et ce fut la fin, en Occident, d’une grandiose civilisation. Si à Byzance, on survécut un millénaire de plus, ce fut grâce à la subordination totale du clergé aux Empereurs : bien avant Jeanne d’Arc et son christianisme national français, les Byzantins avaient transformé leur clergé en agent de propagande nationaliste et belliqueuse.  

Durant le dernier tiers du XXe siècle, l’Occident s’est féminisé, puis s’est établi le règne des capons droits-de-lhommesques, alors même que – grâce à la complaisance de politiciens idiots, démagogues ou vénaux – la pire invasion de notre histoire débutait. Elle se poursuit de nos jours à un rythme accéléré et, fatalement, par le biais du régime démocratique – c’est-à-dire par la Loi du Nombre -, la substitution de population majoritaire accouchera dans moins d’un demi-siècle d’une Europe occidentale tiers-mondisée et islamisée.

Il est amusant de constater que les leaders juifs qui n’ont eu de cesse de pousser les Occidentaux à l’accueil large et généreux des immigrants africains, proches et moyen-orientaux, de pousser au « métissage bienfaisant » des populations européennes avec les envahisseurs, n’ont pas encore compris que, dans l’Europe africanisée et orientalisée, l’antijudaïsme sera plus brutal et généralisé que jamais et qu’ils ne pourront plus exprimer leur différence !   

L’unique Devoir de mémoire qui vaille tient en deux propositions : « C’est la force qui dicte le droit » (il a fallu beaucoup de temps et de mots à Thomas Hobbes et à Baruch Spinoza, séparés par une génération, pour aboutir à cette conclusion, évidente à qui étudie l’histoire !) et « Ce qui a été sera de nouveau » (Qohelet, I-Prologue).

Parfois la force appartient à un législateur sage, tels Hammourabi ou Octave-Auguste ; dans bien d’autres cas, elle est dévolue à un fou furieux et règne alors la pure démence. On connaît assez bien les grandes lignes des 4 derniers millénaires, suffisamment pour savoir que les plus belles des civilisations meurent sous les coups de barbares avides et violents.  

Nous vivons – et uniquement de notre faute – une fin de civilisation. En clair, nous sommes des criminels à retardement, car ce sont nos petits-enfants et leurs rejetons qui souffriront de la dictature raciste et sectaire des Nouveaux Occupants.

Puis ce sera la lente Reconquête : celle d’Ibérie a duré un demi-millénaire ! Encore faudra-t-il, pour obtenir la reconquête de notre continent sur ses envahisseurs étrangers au continent et à sa civilisation, qu’il reste des Européens, d’esprit et de corps mâle.       

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mardi, 21 juin 2022

Et Maintenant, à quelle sauce Génial PDG va-t-il nous accommoder ?

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Bernard Plouvier

La « logique ripoublicaine » veut que, lorsqu’un Président de la Ve République perd sa majorité de députés-« godillots », il s’en forge une autre en séduisant assez de chefs de groupuscules pour faire voter tous ses projets de lois. D’où « d’étranges alliances », des coalitions disparates, permises par la multitude des « douceurs » que le chef de l’État peut offrir aux opportunistes.

Tout dépend de la capacité de prospection des « chasseurs de têtes » qu’en principe notre Emmanuel aurait dû lancer sur le front des nouveaux élus dès la nuit qui a suivi sa courte défaite électorale.

Or, il se peut que Génial Président-Dictateur-Général décide de n’en faire qu’à sa tête de gamin mal élevé et autocratique. Jupiter, fâché, peut décider de saisir les opportunités de la Constitution que d’aucuns, autrefois et avant d’en utiliser les charmes vénéneux, appelaient un « coup d’État permanent ». 

Bref, « Manu le sale gosse vexé » risque fort de dissoudre l’Assemblée Nationale avant même qu’elle prenne séance.

Génial PDG dispose absolument de tous les relais médiatiques qui comptent : chaînes de télévision et de radio, présentateurs charismatiques et blogmen à louer. On imagine aisément qu’il va tenter une grande opération séduction-chantage. Je vous souris, vous endors, vous promets la lune soit : « Donnez-moi les moyens de vous aider » alternant avec le gros : « Moi ou le chaos », soit la formule-clé gaullienne qui a marché de 1958 à 1968. 

Mais cette fois-ci, Génial séducteur & menaçant Jupiter va devoir sortir l’artillerie lourde : sourires et promesses vont alterner avec l’entretien de la peur panique. Il gouverne depuis 2017 avec 35% de l’électorat, dont il n’a perdu qu’une minime fraction qu’il lui faut récupérer, alors que près de 55% des inscrits se détourne de la gamelle politicienne qui pue un peu trop et refuse désormais de déposer un bulletin dans des urnes dont on ne sait même pas le degré de fiabilité.

On va donc entendre le joli discours de lutte contre le racisme (sourire aux rarissimes immigrés africains qui ont peur de la police ou de la « Justice »), contre « l’antisémitisme » (Juifs de France, je vous protège… et là, petit problème : les seuls actes antijuifs viennent des immigrés noirs et maghrébins qui forment l’autre réservoir de voix à mobiliser pour petit Emmanuel).

Son gros électorat étant cossu et craintif, gentil Emmanuel va promettre de lui conserver… la santé : il doit lui permettre de jouir plus longtemps encore de son fric ! Et là on attend une nouvelle noria de mensonges comme ceux que lui et ses différentes équipes de branquignols ont servi depuis 2020. Au moins, les connaisseurs vont pouvoir s’esbaudir. 

2022 s’annonçait désespérante puisqu’après un quinquennat non pas nul – comme ceux de Chirac ou Hollande -, mais négatif, notre Génial PDG avait été, non pas blackboulé comme un gros prétentieux inefficace, mais réélu dans un fauteuil.

2022 risque de devenir grandiose. 24 heures après son succès, Mélenchon, à la coalition éclatée, n’est plus que le dictateur d’un groupuscule microscopique. La Marine risque fort de ne jamais voir son groupe de 89 députés. Et Génial PDG va tenter son numéro d’escamoteur.   

Avec lui, on descend certes dans des profondeurs inexplorées, mais dans une ambiance tellement primaire que l’on en reste estomaqué : jusqu’où peut-il abêtir l’électorat français ? Réponse à la très prochaine rigolade. 

Quand il sera enfin « déchargé des affaires », Macron devra absolument publier sa nouvelle théorie de la communication sociale. Il aura créé le grotesque inconnu ; il lui appartiendra d’en formuler la théorie.

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