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vendredi, 11 mars 2016

Le paradoxe et le génocide

3922191237.jpgDr Bernard Plouvier

Durant les années 1960-70, les médecins devaient parfois envoyer en Belgique ou en Suisse des femmes enceintes à qui leur grossesse faisait courir un risque grave, tant était sévère et restrictive, en France, la législation sur l’avortement thérapeutique.

Puis vint la « grande avancée sociale », la Loi du 17 janvier 1975, qui dépénalisa l’avortement volontaire, le transformant en un geste médical. Des hommes et des femmes qui avaient choisi un métier de grande noblesse, au moins théorique, sont passés du statut de soignant à celui d’avorteur, soit d’assassin de fœtus sains, abandonnés par absence d’amour de leur génitrice.

Le sigle IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) est indéniablement plus joli que l’expression : avortement de complaisance. Toutefois la réalité demeure celle d’un meurtre prémédité, avalisé par la loi. Même si certains pitres ont osé parler « d’eugénisme », à propos de ces IVG… l’eugénisme a pour but d’éviter la reproduction des adultes et adolescents tarés, physiquement ou mentalement. Pour les théoriciens de l’eugénisme, né à la fin du XIXe siècle, il s’agissait d’élever le niveau de qualité des enfants à naître, nullement d’assassinats.

L’on n’arrête pas les « progrès sociaux » ! Le 8 mars 2016, le Journal Officiel de la République Française rend public, afin que nul n’en ignore, le remboursement intégral (variante : à 100%) des soins liés à l’avortement volontaire. L’on évoque même, chez les honorables élus du peuple, la prochaine suppression du délai de réflexion de 7 jours, entre la première consultation de la candidate à l’avortement et le passage à l’acte tueur.

Dans l’Évangile de Thomas, l’on trouve une belle phrase de Jésus de Nazareth. À une Juive qui lui demandait s’il lui était permis de refuser d’avoir des enfants, Jésus aurait répondu : « Consommes toute plante, mais ne manges pas celle de l’amertume ». Même chez un athée, les textes religieux ont parfois une curieuse résonnance.

De nos jours, les journaux people lamentent le sort des mères chinoises, trop vieilles pour enfanter, désolées par la mort prématurée de leur enfant unique. Avec 1,4 milliard d’autochtones, les Chinois n’ont pas trop de souci à se faire pour l’avenir de leur Nation, même si l’on peut compatir aux drames individuels.

Néanmoins, plutôt que de verser des pleurs de sauriens sur les malheurs exotiques, il est peut-être plus urgent de se pencher sur le sort de notre continent et sur l’avenir de notre race. Ce sont 220 000 fœtus que l’on assassine annuellement dans notre pays. Merveille des merveilles, les mères sont quasi-toutes des Européennes de souche, l’avortement étant jugé un crime aussi bien chez les musulmans que chez les Juifs judaïsants.

Bien évidemment, pour compenser ce manque à naître, l’on importe annuellement des dizaines de milliers d’immigrés d’origine extra-européenne. C’est le nouveau paradoxe français, qui prend des allures de génocide. On peut remercier les honorables ministres, sénateurs et députés pour ces grandes avancées sociales… ou se souvenir de leur rendre justice le jour où les Français auront décidé d’être de nouveau dignes de leurs ancêtres.

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dimanche, 06 mars 2016

Crises économiques et crises financières

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Dr Bernard Plouvier

Trop souvent, l’on confond crise financière et récession économique. Cela se comprend volontiers, car presque toujours la première engendre l’autre, de façon fugace ou durable. Or, les mécanismes de survenue peuvent être différents et les moyens d’en sortir le sont aussi.

De 1830 à nos jours, la totalité des crises financières multinationales a résulté de l’explosion de bulles spéculatives :

  • 1837, New York, spéculation sur les prix du coton
  • 1847, Londres, sur les actions des chemins de fer
  • 1857, New York, sur les cotations et les achats à découvert de nombreuses variétés d’actions
  • 1866, Londres, mêmes anomalies
  • 1873, Reich et Autriche-Hongrie, spéculation de banquiers ni véritablement allemands ni réellement autrichiens sur l’immobilier et les valeurs boursières, crise exportée vers les cousins de Londres et de New York qui avaient participé à la spéculation
  • 1882, Paris, à la suite de deux années d’agiotage boursier, dans ce qui était devenu en 1877 « la République aux Républicains »
  • 1893, New York et Francfort/Main, spéculation hasardeuse sur les chemins de fer et diverses actions (s’ensuivit une crise économique de 3 années)
  • 1907 et 1913, New York et « les cousins» de Berlin, Hambourg, Londres et Francfort (avec une moindre participation des correspondants de Paris), par spéculation boursière effrénée (ce qui mène à la constitution de la Federal Reserve en décembre 1913)
  • 1929 et 1937, New York : spéculation boursière effrénée (tout le monde connaît « La Grande Crise » ; on connaît moins la rechute dramatique de 1937)
  • 1989 et 1997, explosions de deux bulles spéculatives, la première japonaise, la seconde touchant l’ensemble de la péninsule malaise et des marchés financiers de l’Asie du Sud-Est 
  • 2001-2002, énième explosion d’une bulle spéculative aux USA (sur les entreprises informatiques)
  • 2007, 2009 et 2011, New York : monstrueuse spéculation immobilière et financière

En Europe, on avait connu au XVIIe siècle l’explosion de la spéculation sur les bulbes de tulipes, aux Pays-Bas néerlandais, et, en France, vers 1720, l’ascension puis la chute tout aussi vertigineuses l’une que l’autre du système de John Law.

Le point de départ n’est pas toujours absurde : investir dans la mise en culture de terres vierges sous un climat fertile (c’était l’origine du système de Law), promouvoir des secteurs d’innovation (du chemin de fer à l’informatique), c’est le fondement même de l’investissement intelligent et rentable sur le long terme.

Or, les spéculateurs à grande échelle exigent des profits à court terme. Le financier avide est un joueur et un psychopathe qui veut rafler une mise maximale et le plus tôt possible. C’est parfaitement incompatible avec une économie saine, qui - par définition – exige du temps, de l’ingéniosité, enfin énormément de travail.

Les trop célèbres cycles de Nicolas Kondratiev (placé sous la sainte garde de la bienveillante autorité du GOULAG en 1930 et liquidé en 1938, lors de la dernière purge du bon Joseph du Kremlin), font sourire. Pour fonder sa Loi simpliste, il a mélangé des crises économiques d’intensité, de diffusion géographique et de durée très variables, élaborant de jolis schémas de phases ascendantes et descendantes, durant approximativement 25 à 30 années chacune, se terminant par une crise économique durable. En outre, ses renseignements étaient parfois erronés : il estimait que 1788-89 avaient été en France des années de bas prix de vente (ce qui est entièrement faux) ; de la même façon, la reprise de 1896 avait été précédée d’une remontée des prix durant le lustre précédent, ce qu’il semble méconnaître.

Les seuls enseignements à tirer du XIXe siècle économique et financier sont la rapacité des boursicoteurs, qui se comportent comme des flambeurs, voire comme des psychopathes, et le fait que toute grande poussée économique est liée à l’introduction puis l’exploitation d’une innovation technique : transports rapides, domestication de la vapeur puis de l’électricité, explosion de la chimie de synthèse, bouleversements de la métallurgie etc.

La France est devenue un pays riche de 1830 à 1914, alors que plus de 70% des Français étaient pauvres. Grâce à une conception meilleure de l’économie : une forte consommation induite par de bons salaires, les Français travailleurs des années 1955-1975 sont devenus aisés (surtout si l’on compare leur niveau de jouissances matérielles avec celui de leurs pères) en travaillant énormément.

Une crise économique survient faute de crédit (quand ceux-ci se sont volatilisés lors d’une bulle spéculative ou que l’État ne remplit pas sa fonction de créateur de monnaie saine) ou lorsque le marché est saturé. De nos jours, d’absurdes règlements communautaires brident toute initiative, tandis qu’un libre-échangisme stupide, car déséquilibré, favorise l’invasion du marché intérieur par des produits médiocres voire des imitations réalisées à très bas coût par des populations exotiques peu exigeantes (l’économie chinoise est en grande partie fondée sur l’imitation des innovations occidentales).

Notre enseignement (primaire, secondaire, technique et universitaire) est devenu lamentable, incapable de produire des techniciens, des savants en nombre suffisant [pour prendre un exemple bien connu de l’auteur : la qualité actuelle des étudiants en médecine est absolument navrante].

Nos travailleurs veulent du loisir et nos chômeurs ne sont que modérément motivés pour œuvrer. Nous souffrons, certes d’une invasion d’immigrés extra-Européens, grotesque en période d’énorme chômage des autochtones. Mais nous souffrons aussi de sous-instruction et de sous-motivation des autochtones et c’est infiniment plus grave que l’immigration-invasion, à laquelle d’énergiques mesures mettront fin, d’une façon ou d’une autre.

Pour guérir d’une crise économique, il faut innover, soit créer, produire et répandre des produits nouveaux. Cela ne se fait que grâce à une forte technicité, un labeur immense et la protection par l’État du ou des secteurs porteurs.

Il nous faut retrouver notre liberté d’action en même temps que le feront les autres Nations européennes : instaurer un nouvel esprit européen, en liaison avec l’immense Russie et en rupture des USA. Il faut surtout nous reprendre : enthousiasme, respect des valeurs du travail, de la famille et de la race européenne… que cela plaise ou non au demi-monde des politiciens et des media aux ordres des multinationales.

Chaque Européen doit désormais clamer son indignation face à l’existant et réclamer de véritables consultations populaires sur les grands choix de société. Il ne s’agit pas d’élire un clown à la place d’un autre, de faire triompher l’un ou l’autre des partis vautrés devant les maîtres de la spéculation. Il importe de créer une société nouvelle, fondée sur nos valeurs, en rejetant avec force les nouveautés de Wall Street et les vieilleries proche-orientales.  

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samedi, 05 mars 2016

Lâcheté & mensonges sont les deux mamelles de l’État Hollando-Vallsien

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Dr Bernard Plouvier

Tout le monde se souvient de la répression minable – et plutôt féroce – exercée par nos courageux CRS lorsque d’honorables parents et adultes sains d’esprit ont défilé pour marquer leur désapprobation de la légalisation du « mariage » entre personnes de même sexe (ce qui réalise une authentique antinomie) et l’adoption d’enfants par des homosexuels.

Tout le monde se souvient de la charge héroïque des glorieux CRS contre des manifestants français protestant contre l’invasion de Calais par des hordes de voyous immigrés. À cette occasion, on a arrêté un général chenu qui avait à son actif quelques actions militaires au service de l’État, ce que n’ont jamais eu les Hollande, Valls et autre Cazeneuve, à moins de faire passer des parlottes au Siècle ou dans telle ou telle officine plus ou moins secrète pour des « actions au service »… de leur carrière.

Depuis le 25 janvier 2016, circule sur le Net une vidéo montrant des CRS armés qui laissent courageusement passer, en s’écartant respectueusement, une meute d’immigrants qui courent ravager les installations portuaires de Calais, de façon à tenter de passer clandestinement en Grande-Bretagne. Au cas où certains Français, si bien informés par nos honnêtes journalistes des chaines télévisées et radiophoniques, l’ignoreraient, ce genre de scène se passe aussi à Dieppe.

Cette vidéo – aussi honteuse, par sa lâcheté, que la charge brutale à coups de matraque et de gaz lacrymogènes des honnêtes Français, deux semaines plus tôt, et dans la même cité – appelle plusieurs commentaires.

D’abord la preuve est faite qu’il n’y a pas, qu’il n’y a jamais eu « d’état d’urgence » en France depuis novembre 2015. En « état d’urgence », les manifestations violentes, ou qui risquent de le devenir, sont par définition interdites. Cette vidéo démontre qu’il n’en est rien et que, bien au contraire, des immigrés violents obtiennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent, où ils le veulent, face à un « Pouvoir » à la dérive, et que nos forces de l’ordre ne sont plus que des matamores, prêts à frapper d’honnêtes citoyens et à s’aplatir devant les hordes étrangères… en quelle que sorte des « faibles de notre déclin » !

La préfète du Pas-de-Calais devait avoir des ordres pour laisser faire une telle gabegie, puisqu’elle n’a pas été aussitôt révoquée par notre « viril » ministre de l’Intérieur et notre « puissant » premier ministre qui aime tant à singer l’homme en colère. À consulter cette vidéo et à la comparer avec la charge violente des CRS contre d’authentiques Français, on comprend ce que sont nos Janus bifrons : des taureaux furieux face aux honnêtes contribuables, des bouvillons apeurés face aux envahisseurs-casseurs.

Puisque ces « chances immigrées pour l’Europe » veulent absolument passer en Grande-Bretagne et ne veulent pas rester en France (on les embrasserait presque pour cette sage décision), pourquoi ne pas les y autoriser ? Après tout, des « chances » comme celles-là, il faut savoir les partager.

Enfin, une notion de Droit ne peut être ignorée. La Nation française, seule souveraine légitime, n’a pas été consultée par son mandant Hollande… notre prospère Président n’est nullement le souverain de l’État. Il n’en est que le gestionnaire…et dans la course au prix du plus minable, il est parti pour concurrencer victorieusement Chirac, le Président Black-Beur, et Satan sait si le défi était dur à relever.

Plutôt que de pérorer sur un soi-disant « état d’urgence » qui restera la plus belle supercherie du non-règne Hollando-Vallsien, il importe de réaliser au plus tôt la seule mesure démocratique qui s’impose : un referendum sur l’immigration européenne et, pendant que l’on y est, l’on pourrait exiger, en codicille, le strict respect de la Loi de 1905 consacrée à la laïcité de l’État par les musulmans. La France n’est pas encore un pays de Charî’a. Elle est encore régie par la Constitution de 1958. Et si des lâches et des menteurs se sentent inférieurs à leur tâche, dépassés par les événements, qu’ils s’en aillent. On ne trouvera jamais pire qu’eux.

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jeudi, 03 mars 2016

Le métissage universel : avenir ou cauchemar de l’humanité ?

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Dr Bernard Plouvier

Deux constatations de départ : les races existent au sein de l’espèce Homo sapiens sapiens ; on a publié en Europe, depuis la fin du XIXe siècle - et bien avant que le métis Richard Coudenhove-Kalergi ne débute son apostolat, dans les années 1920 sq. -, un nombre effarant de livres vantant les qualités du métissage, généralement écrits par des individus provenant d’une race imaginaire, auto-proclamée élue de la divinité pour diriger le troupeau humain et où l’on pratique rituellement l’endogamie.

Le racisme ne peut en aucun cas être la conséquence de la subdivision de l’humanité en quatre grandes races fondamentales (blanche ou caucasienne, qu’on ferait mieux de dénommer européenne ; noire ou africaine ; asiatique et mélanésienne) avec une multitude de sous-variantes, liées aux produits de métissage, car la réalité de ce phénomène est aussi vieille que la pré-humanité… la génétique nous a fait connaître des métissages entre Homo sapiens neandert(h)alensis et Homo sapiens sapiens ou entre Homo sapiens sapiens et Homo sapiens denisoviensis.

Le racisme est une vue de l’esprit parfaitement stupide, puisque l’on trouve des surdoués et des crétins dans chacune des races fondamentales et dans leurs sous-variantes. Un seul surdoué suffit à mettre fin à la notion de race inférieure et une poignée de crétins à celle de race supérieure. Nous autres, Européens, avons hébergé au sein de notre groupe ethnique tellement de marxistes ces dernières 150 années que nous pouvons abandonner définitivement tout sentiment indu de supériorité.

À ce propos, si l’on considère l’effarante surreprésentation de membres de la soi-disant race élue d’un certain Yahvé dans les milieux marxistes, où l’on fut directement responsable de la mort de 100 à 120 millions d’êtres humains et d’au moins deux milliards de vies irrémédiablement gâchées, l’on peut imaginer que se fera jour très prochainement, de ce côté-là, une certaine repentance avec excuses publiques adressées à l’humanité souffrante.

Des années 1890 à nos jours, de Jakob Novicow aux immortels théoriciens de la « pureté [raciale] dangereuse » et de la « panmixie », a-t-on assez vanté les charmes et les bienfaits du métissage universel !

Or, il existe depuis ses origines un continent peuplé des races différentes qui ont donné naissance à toutes les variantes possibles de métis : les Trois Amériques, peuplées lors de la dernière glaciation, à la fois d’Européens de l’Est (des Sibériens et des Aïnos) et d’Asiates (Lapons et Mongoloïdes), les Européens d’Occident apportant ensuite un nouveau contingent de Blancs en plus des malheureuses victimes de la Traite négrière.

Chacun connaît les bienfaits du melting pot nord-américain et brésilien : émeutes raciales et flamboiement de racismes, en ville et aux champs, en prison comme dans les forces armées. Les deux mandats du métis Obama ont apporté, comme nul n’en ignore, paix et prospérité non seulement aux libres citoyens des USA, mais aussi au monde occidental et aux pays d’islam. Encore deux ou trois métis surdoués comme lui à la tête des USA et nous serons délivrés pour quelques siècles de la domination fort pesante de ce pays trop grand et trop riche pour la tranquillité du reste de la planète.

Un Européen qui a goûté, depuis ces quarante dernières années, aux charmes peu discrets de l’immigration-invasion africaine ne peut qu’approuver, sans la moindre restriction, le slogan : « L’Afrique aux Africains ». Il est curieux que le slogan similaire : « L’Europe aux Européens » soit devenu répréhensible en certains pays d’atteintes répétées à la libre expression de la pensée.

Qui connaît un peu le Japon et la Chine sait que l’on n’y goûte guère les immigrés non-asiatiques s’ils sont bruyants et turbulents ou sont jugés trop nombreux. Reconnaissons que les Asiatiques sont suffisamment travailleurs et prolifiques pour n’avoir pas à importer en grand nombre d’immigrés venus d’autres continents. Quant aux métissages, ils y sont tolérés, mais sans le moindre enthousiasme… et l’on fait dans la litote en parlant de tolérance.

La conclusion s’impose d’elle-même : si le racisme est une absolue stupidité, largement démontrée par l’histoire, le métissage est affaire de goût et d’habitude. À dose homéopathique, il peut passer pour une expérience amusante. Pour envisager sa généralisation, qui serait la conséquence d’un énorme brassage de populations induit par une immigration massive (soit la répétition annuelle durant 20 ou 30 ans de ce qui s’est passé en Europe occidentale et danubienne l’An maudit 2015), il faut au moins demander l’avis des autochtones.

On sait, par la malheureuse et honteuse expérience marxiste, ce qu’il en coûte de souffrances et d’abjection à imposer par la force un dogme peu judicieux, voire du plus haut crétinisme. On est encore en droit d’espérer que cette douloureuse leçon ne soit pas perdue !

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mercredi, 02 mars 2016

L’islam et le terrorisme : un adultère de longue durée

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Dr Bernard Plouvier

Nul ne peut le nier : Mahomet a ordonné la « guerre sainte et juste », le Djihâd, pour imposer l’islam à tous les peuples de la Terre. Mais dans son esprit, comme pour tout muslim de stricte obédience, ce Djihâd était et aurait dû demeurer une affaire de combat direct entre hommes. Seuls des lâches osent s’en prendre armés à des hommes désarmés, à des femmes et à des enfants. Dès son origine, l’islam fut une religion de rudes combattants, mais non de lâches, bien au contraire. Le Djihâd originel fut une affaire de combat, voire de corps à corps, engageant physiquement et moralement le guerrier d’Allah, pas une affaire d’assassinat (qui, par définition, est un meurtre prémédité).

C’est ainsi que fut conçue et réalisée la première vague d’expansion de l’islam aux VIIIe –Xe siècles, qui s’accompagna d’énormes destructions de biens, d’exécutions massives des prisonniers de guerre qui refusaient de se convertir et de réduction en esclavage des femmes et enfants des peuples conquis, en application des sourates coraniques 8, 47 et 60.

À la fin du XIe siècle, dans le massif iranien du Khârezm, le chiite Hassan ibn Sabbah fonda une secte de fanatiques, prêts à tuer au nom d’Allah tous ceux que le maître leur désignerait. Dans leur repaire d’Alamout, les apprentis-terroristes étaient gavés de Haschisch, mais également dopés par une doctrine qui éliminait un principe coranique fondamental, selon lequel un muslim (musulman en langue arabe, celle que le fidèle devrait seule employer) ne doit pas tuer ni même blesser volontairement un autre muslim. Car le Vieux de la Montagne dictait sa loi tant aux sultans sunnites qu’aux roitelets chiites, en les menaçant, voire en faisant exécuter par des tueurs silencieux les personnages rétifs. L’islam, vicié, accouchait du terrorisme politique, exclusivement ciblé sur la personne de chefs de tribus, de chefs d’État et de leurs ministres. Au XIIIe siècle, les conquérants mongols débarrassèrent le Moyen-Orient de la capacité de nuisance des successeurs d’Hassan.

Mais un Mongol fit bien pire, au siècle suivant. Timur Leng (Tamerlan, pour les Occidentaux) inventa le génocide de propagande. Ce fou d’Allah, né en 1336, usa sa vie à propager l’islam sunnite par des guerres de conquête, soumettant 27 royaumes et même l’Ouest de l’Empire chinois, ne connaissant jamais la défaite, en raison de l’enthousiasme religieux de ses soldats et d’une supériorité en armement (ses troupes avaient le monopole de l’arc composite). Au début de chaque campagne, il prenait d’assaut une grande ville, que ses soldats pillaient et incendiaient, puis la population était entièrement exterminée, les crânes étant empilés pour former des pyramides. Quelques témoins laissés délibérément en vie apportaient le message aux autres cités du royaume à conquérir au nom d’Allah le tout-puissant : reddition & conversion ou extermination.

À sa mort, survenue en 1405, Tamerlan, l’émir de Transoxiane, régnait sur toutes les terres, de l’Anatolie et du Caucase jusqu’en Chine. Partout, on y adorait Allah… ou on faisait semblant, dans l’attente d’un mouvement de libération. Un descendant de ce fou d’Allah, Babur le Grand, fonda l’Empire moghol des Indes en reprenant les méthodes du grand ancêtre.

La colonisation par l’Européen et la décrépitude de l’Empire ottoman assoupirent le fanatisme destructeur des islamistes, sauf en péninsule arabique, tellement pauvre et aride que les Turcs s’en désintéressaient. Mohamed ibn Abd el Wahhab (mort en 1792) ressuscita l’islam primitif (ou salafisme), s’alliant avec un Saoud, obscur chef de tribus, régnant sur quelques oasis du Riyad. Ce retour à la pureté des origines de l’islam s’accompagna de la stricte observance de la Charî’a et de l’extermination systématique des infidèles qui s’aventuraient sur les terres du roitelet saoudien. Nul ne pouvait prévoir qu’un Saoud unifierait l’Arabie durant les années 1925-35, ni qu’il deviendrait l’un des hommes les plus riches de la planète grâce à la découverte puis à l’exploitation par des ingénieurs US d’immenses réserves de pétrole. Le salafisme saoudien ou Wahhabisme est, en principe, opposé au terrorisme aveugle (qui tue au hasard), s’il ne répugne pas à exterminer des cibles précises, choisies de préférence chez les sionistes.

En 1928, un lettré égyptien, Hassan el-Banna fonda ses confréries salafistes, xénophobes, haineusement anti-occidentales : les Frères musulmans et les Mères musulmanes (devenues ensuite Femmes musulmanes). Dès 1936, sous la direction de son gendre Saïd Ramadan, le mouvement devint terroriste, étant combattu – une fois l’indépendance obtenue après la Seconde Guerre mondiale - par les gouvernements égyptiens et syriens (dont ceux des Assad, père et fils) et soutenu par les Saoudiens, les cheikhs du Qatar et les USA (un an avant l’arrivée à l’apparence du Pouvoir d’Hussein Obama… dont l’action est typiquement celle d’un crypto-islamiste, du moins si l’on en juge d’après les résultats).

Le Turc Alparslan Türkes (mort en 1997) a de son côté amalgamé l’islam sunnite au racisme pantouranien (Turcs, Azéris, Turkmènes, Tadjiks et Uzbeks), pour déclarer une guerre impitoyable aux Kurdes (descendants des antiques Mèdes) et aux chiites. Son mouvement terroriste, dont le but est de faire dominer la Terre par les Touraniens, « peuple élu d’Allah », est soutenu discrètement par les Israéliens et les USA, dans le cadre de leur guerre contre les chiites d’Iran, d’Irak, de Syrie et du Liban. On comprend aisément que la position de la Turquie soit ambiguë dans la guerre contre l’État Islamique (sunnite et antikurde)… et l’on sait le rôle qu’ont joué les proches de l’actuel Président turc Erdogan dans la commercialisation discrète du pétrole extrait dans la région de Mossoul, capitale de l’État Islamique, du moins jusqu’à ce que l’offensive russo-syrienne bloque la frontière..

Le dernier-né des fous d’Allah, Abou Bakr II, est à la fois l’un des chefs temporels de cet État Islamique et le calife auto-proclamé de Mossoul. Il a autorisé les femmes à jouer aux djihadistes et intensifié le Djihâd en autorisant les attentats même dans le Dâr al-Islam. Aucune sourate du Coran, aucun hadith n’envisage la participation des femmes au combat, encore moins celle d’enfants impubères. Il serait donc absurde, pour un véritable fidèle, d’armer femmes et enfants ou de les envoyer en kamikazes, porteurs de charges d’explosifs, pour tuer à l’aveugle des fidèles (ce qui est l’horreur suprême pour un musulman) ni même des infidèles innocents. Ce terrorisme, responsable de morts instantanées, contrevient en effet à l’enseignement de la sourate 39 qui proclame que tout être humain peut se convertir jusqu’à son dernier instant de vie : le tuer de façon inopinée lui ôte cette ultime chance. À l’évidence, le terrorisme aveugle est opposé à la pure doctrine coranique.

L’Europe s’était crue débarrassée des guerres religieuses, sauf dans les îles britanniques… mais sont-elles réellement européennes ? Avec l’immigration musulmane massive, qui est allée crescendo des années 1970 jusqu’à nos jours, les Européens ont laissé s’installer sur leur sol une religion médiévale par son fanatisme conquérant et sa brutalité, important en outre la haine irréductible entre musulmans et Juifs sionistes.

Il est évident que de nombreux chefs d’États extra-européens avaient et ont toujours intérêt à casser la puissance inventive, technique et culturelle de la race européenne. Ce n’est nullement une raison pour faire le jeu de ces Machiavels de bas étage. Le retour vers le Dâr al-Islam est, pour les musulmans, non pas un Droit, mais un Devoir… ou une mesure de bon sens. Car la patience et la mansuétude des Européens ne seront pas éternelles.

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lundi, 29 février 2016

« Une vie ne vaut rien ; rien ne vaut une vie »

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Dr Bernard Plouvier

André Malraux était un curieux auteur, souvent prolixe et confus, parfois illisible, mais dans ses grands jours (hélas rares), il était exceptionnel. Ce fut le cas lorsqu’il forgea ce chiasme grammatical qui résume à la perfection les XXet XXIe siècles de l’ère dite « chrétienne » (probablement par antinomie, car jamais l’on n’y respecta le commandement de charité).

La première moitié du chiasme illustre admirablement les années terribles 1914-1980, où deux guerres atroces, qui ont détruit l’essence et l’indépendance de l’Europe, l’immonde barbarie marxiste, les génocides de la décolonisation se succédèrent ou s’associèrent pour faire du XXe siècle le plus sanglant et le plus barbare de l’histoire humaine telle qu’on la connaît (ou que l’on croit la connaître). La seconde moitié du chiasme – soit le triomphe de l’individualisme & de l’hédonisme – caractérise le monde occidental depuis les années 1960 et, depuis les années 1980, la quasi-totalité des autres pays, débarrassés de l’ignominie marxiste et non touchés par la recrudescence de barbarie musulmane.

De nos jours, toutefois, en zones (encore) riches et (presque encore) prospères d’Europe occidentale et scandinave, les deux parties de la phrase de Malraux (tirée de l’un de ses rares romans qui ne déclenchent ni la migraine ni l’hilarité du lecteur : Les Conquérants) s’appliquent simultanément.

Une vie d’enfant poignardé ou assassiné par un voleur de voiture en cavale, une vie de clients de bar ou de magasin mitraillés, de femmes violées, puis parfois assassinées, de passants soufflés par une explosion, ne vaut manifestement rien, hormis les larmes de crocodiles des pantins de la politique et des pitres des media, qui, tous, connaissent l’origine de la plupart de ces crimes : le racisme anti-européen et le fanatisme musulman inutilement importés, pour complaire aux bienfaiteurs, sponsors, investisseurs islamo-pétroliers. Une fois pour toutes, il faut arrêter de distinguer les termes musulman et islamiste fanatique, puisque le Djihâd est ordonné à tout musulman en bonne santé par neuf sourates coraniques et, vis-à-vis des assassins non-musulmans, il faut cesser les arguties pseudo-humanistes concernant leur réinsertion.

Puisque l’humanité souffre (ou semble souffrir) de surpopulation – ce sont des experts qui nous l’affirment -, les familles des victimes pourraient au moins espérer que les assassins capturés vivants soient exécutés, ainsi que leurs complices. Hélas, à ces meurtriers, à ces pervers, à ces fous furieux fanatiques sortis d’un cauchemar moyenâgeux, nos merveilleux politiciens appliquent la seconde partie du chiasme de Malraux.

Rien n’est plus précieux que la préservation, dans une jolie prison dotée d’un tas d’avantages matériels, de la vie d’assassins, de fanatiques meurtriers, de psychopathes, d’alcooliques et de drogués dangereux, sans oublier les tueurs pervers, qu’on laisse ensuite sortir pour qu’ils puissent de nouveau donner libre cours à leur criminalité, à leurs perversions, à leur capacité illimitée de nuisance, inscrites dans leur génome et non réprimées par une conscience éthique, par définition inexistante chez ces rebuts de l’humanité.

Une seule conclusion s’impose : l’espèce humaine n’a pas progressé moralement depuis l’aube des temps historiques. Au moins, nos ancêtres savaient-ils qu’il n’est pire bête féroce que certains êtres humains et qu’une bête nuisible doit être éliminée. Cette antique sagesse, fruit du plus élémentaire bon sens, a disparu, anéantie par une naïveté confinant au crétinisme. Et même les Suisses, que l’on a connus mieux inspirés, se laissent convaincre par une propagande absurde de ne pas expulser les immigrés criminels, à défaut d’en débarrasser définitivement le genre humain. 

Ces tristes constatations, bien en phase avec notre époque où les dingues triomphent à la ville et aux écrans, petits et grands, poussent tout naturellement à évoquer un autre aphorisme de l’auteur cité en introduction. Pour qualifier les contorsions mentales des pitres pseudo-humanitaires actuels, on ne peut en effet mieux faire que de soupirer avec Malraux : « C’est là où l’extrême subtilité affleure mystérieusement le niveau de la connerie ».  

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vendredi, 26 février 2016

Du bon usage (électoral) de la torture des statistiques

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Dr Bernard Plouvier

Notre bon Président – qui aura passé son séjour élyséen en tourisme de tous types, sexuel, gastronomique et intercontinental – l’a promis : il ne briguera un second mandat que si le chômage décroît… sinon il enverra le sémillant premier ministre au casse-pipes.

D’un autre côté, tout le monde connaît, depuis le milieu du XIXe siècle – soit l’époque où les statistiques des États évolués sont devenues moins imprécises qu’auparavant – le dicton quelque peu agaçant pour un scientifique : « On peut faire dire n’importe quoi aux statistiques »… à quoi l’honnête homme répond en ajoutant : « à condition de les truquer », ce qu’un mathématicien « libéral » (entendre « de gauche ») corrige en parlant « d’interprétations innovantes ». En ce glacial mois de février 2016, nous sommes en pleine interprétation « innovante » (variante : surréaliste ; en plus simple : franchement malhonnête) des derniers chiffres du monstre dénommé CHÔMAGE.

Les statisticiens séparent les chômeurs intégraux (réellement sans travail ou œuvrant « au noir », ce qui est un autre moyen de biaiser les statistiques), des chômeurs partiels et des individus travaillant de façon intermittente ou saisonnière. Dans le ragoût statistique, on mélange tout cela, d’où on exclut les « sans emploi en cours de stage professionnel » (autrefois on pouvait exclure temporairement les jeunes adultes envoyés au service militaire)… et toujours, l’on a joué sur ces volants pseudo-mathématiques, mais de grand intérêt pour la propagande en période pré-électorale.

Les chiffres du chômage (comme pour n’importe quel autre ingrédient de la cuisine politicienne) sont manipulables au gré et à la fantaisie de chacun ayant intérêt à présenter des résultats partiels, caviardés. Soyons honnêtes, cette situation n’a rien de nouveau : presque toutes les études historiques doivent s’appuyer sur des archives d’État remaniées, des documents partiels et partiaux. Nos politiciens contemporains marchent dans les pas de leurs devanciers. Ils ne sont pas plus à blâmer que tous ceux qui ont trafiqué chiffres et documents ces derniers millénaires. Toutefois, ils pourraient le faire avec un peu plus de subtilité, puisque le public, dans sa frange éclairée, est un peu moins niais qu’autrefois.

En l’occurrence, le Yo-yo statistique du chômage français (départements métropolitains & exotiques) est amusant à considérer de loin (il n’est nullement réjouissant pour un chômeur de longue durée… qui n’intéresse guère nos politiciens assurés d’être encore payés par l’État quelque temps après avoir été blackboulés).

Mai 2012, à l’arrivée des néo-socialistes aux apparences du Pouvoir, l’on dénombre en approximation grossière 4,4 millions de chômeurs de tous types (A-B-C, non compris les stagiaires, cf. supra). Fin 2015 : 5,5 millions et notre bel Élyséen promet etc. (voir plus haut). Miracle, hurlé sur tous les tons : en janvier 2016, l’hydre a reculé de 0,8% !

Du côté des statisticiens-fonctionnaires, l’on observe une retenue certaine : ce « recul » est lié au « défaut d’actualisation de la situation de chômeurs en fin de droits »… autrement dit, des sujets, trop désespérés pour croire encore au système étatique de mise en rapport de la demande et de l’offre d’emploi, ne renouvellent pas leur inscription à une structure dont l’inefficacité est devenue proverbiale. Une fois encore, il serait inélégant de reprocher aux « chefs » du jour ce qu’ont fait tous leurs prédécesseurs : truquer, torturer, caviarder les chiffres à des fins électoralistes.

Que devient la simple morale dans tout cela ? Tout le monde (officiel) s’en moque. Qui s’attaque réellement au problème qui ruine la vie de millions de Français de souche ? Personne. Nous sommes, en France, des minables en matière d’emploi, comparés non seulement aux valeurs sûres (Allemagne et Grande-Bretagne, Danemark et Suède, Belgique et Pays-Bas, Suisse), mais aussi aux États autrefois jugés peu compétitifs comme l’Irlande, la Lettonie, l’Islande.

Plutôt que de truquer des statistiques, ce qui est à la portée du premier margoulin venu, l’on pourrait mettre en œuvre la politique de préférence nationale – soit en faveur des autochtones et non des naturalisés d’origine extra-européenne – en matière d’embauche, un recours au protectionnisme dans les secteurs sinistrés, la suppression de toute aide aux étrangers inutilement importés, la fin des dépenses absurdes d’un État considéré comme une pompe à subventions par les politiciens et leur clientèle de parasites, la fin des avantages sociaux qui plombent la compétitivité des entreprises… mais nullement la fin des lois sociales équitables, et l’introduction de la véritable participation de tous les travailleurs aux bénéfices des entreprises, au prorata de la quantité et de la qualité du travail fourni par chacun.  

Il y a de véritables réformes sociales et d’énormes économies à réaliser, ne serait-ce que de rendre au secteur privé une notable partie des 6 millions de fonctionnaires dont chacun connaît la remarquable productivité. L’on n’a nul besoin de truquer les chiffres ou de donner la parole aux démagogues. L’on a besoin de bon sens, de rigueur et d’honnêteté. Cela ne peut se faire que grâce au retour à une véritable indépendance de la Nation française.

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mercredi, 24 février 2016

Le masochisme serait-il devenu une « valeur occidentale » ?

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Dr Bernard Plouvier

Le pape François, la luthérienne Angela Merkel et, depuis peu, les dirigeants du mouvement Amnesty International reprochent, et fort durement, aux Européens de ne pas être assez généreux dans l’accueil des « réfugiés », d’être d’immondes égoïstes, voire d’authentiques « criminels par abstention » puisque chaque jour meurent des êtres humains qui tentent désespérément de gagner notre (supposé) Eden.

Curieusement, on ne reproche que très discrètement, voire pas du tout, leur manque de générosité, leur égoïsme, leur potentiel criminel au gouvernement et aux citoyens des USA… pourtant réellement responsables des malheurs des authentiques réfugiés, issus des pays ravagés par les guerres civiles, ethniques et religieuses, certes ancestrales, mais qui ont proliféré, explosé depuis les règnes de George Bush junior et de ses néo-conservateurs presque tous juifs, puis celui, plus désastreux encore d’Obama, fils de musulman et titulaire du Prix Nobel de la Paix pour l’année 2009.

Que le leader catholique et la chancelière teutonne courent eux aussi après un Nobel de la Paix, ceci ne concerne qu’eux, l’association Amnesty-machin en ayant déjà été dotée. Leurs larmes de crocodile, leurs gémissements bizarres ne devraient nullement émouvoir les Européens, du moins la fraction la moins sotte des populations européennes et pour plusieurs raisons.

D’abord, l’Europe est victime d’un chômage d’ampleur considérable et le simple bon sens commande de ne pas importer de (supposés) travailleurs exotiques quand il n’y a pas assez de travail pour les autochtones… on rappelle aux néo-socialistes actuels que c’était le dogme de leurs ancêtres du Front populaire.

Ensuite, des centaines de milliers d’Africains, noirs et maghrébins, continuent de se ruer à l’assaut de l’Europe, même lorsque leur pays d’origine n’est pas victime de guerre civile ou étrangère : ceux-là ne sont nullement des « réfugiés », mais des candidats à l’immigration économique et l’on en revient au paragraphe précédent. Les Français n’ont nul remords de conscience à éprouver : dans un pays où le chômage touche (en chiffres honnêtes, non trafiqués par nos « chefs ») entre 5 et 5,5 millions d’individus, nous avons accueilli 10 à 11 millions d’Extra-Européens… dont 25% des sujets en état et en âge de travailler sont des chômeurs !

Pour les authentiques réfugiés (Afghans, Syriens, Irakiens et Kurdes, Libyens, Yéménites, et on en oublie), il ne faudrait pas oublier d’où vient le crime initial, qui sont les fauteurs de guerre civile ou étrangère, à forte connotation de haines raciales et religieuses : les roitelets de la péninsule arabique, les gouvernements successifs des USA depuis une trentaine d’années, l’actuel gouvernement islamique de Turquie, enfin les gouvernants de l’État d’Israël.

Certes, des gouvernants réputés « Français » sont très inopportunément intervenus en Irak (après l’invasion du Koweït), en Afghanistan, en Libye et de nos jours en Syrie, mais la Nation n’a jamais été consultée par referendum sur l’intérêt de ces guerres, exotiques autant que coûteuses… si le sieur Chirac a refusé de s’associer à la 2e guerre d’Irak, qui s’est terminée par la pendaison de son dictateur et le chaos local, rapidement étendu au pays voisin, ce ne fut nullement par réflexe gaulliste d’indépendance vis-à-vis des USA et de l’OTAN (ce n’était que la noble raison invoquée), mais parce que Chirac, premier ministre de Giscard, avait entretenu des relations intimes avec Saddam Hussein lorsqu’il servait de super-négociant en armes de fabrication française ; le dictateur irakien tenait Chirac, devenu Président de la Ripoublique, par les (censuré), disons par le portefeuille.

Alors les belles oraisons, les cris d’indignation sur commande, les injures à peine voilées d’un pape démagogue, de la luthérienne devenue subitement démente, ou d’une officine cosmopolite, devraient laisser froide l’opinion publique française. Après tout, le masochisme, la haine de soi, le reniement de notre civilisation et de notre histoire ne sont que des jeux d’esthètes riches et repus, de gauchistes déboussolés ou d’ambitieux atteints de la fièvre nobélienne.

Le véritable humanisme est de forcer les Africains à maîtriser leur démographie de primitifs et de les contraindre à mettre en valeur leur énorme continent, au sol et au sous-sol fabuleusement riches : c’est à eux, si fiers de leur négritude, de travailler pour faire passer l’Afrique de l’état de boulet économique pour les autres continents au statut d’autosuffisance alimentaire. Le véritable humanisme, c’est d’anéantir le djihadisme, grotesque anachronisme médiéval au XXIe siècle et de laisser les peuples du Proche et du Moyen Orients s’auto-administrer.

Car si une repentance doit se faire jour, c’est non pas du côté des Nations occidentales qui furent des exportatrices de civilisation, mais chez les maîtres du jeu actuel : les tout-puissants patrons de l’économie et du côté de leurs marionnettes du demi-monde de la politique et de media.

Plutôt que d’un masochisme généralisé, l’Occident a besoin d’une repentance bien ciblée.           

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lundi, 22 février 2016

Islamophobie, nouveau délit ou légitime protection ?

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Dr Bernard Plouvier

Depuis novembre 2015, la France vit un curieux « état d’urgence », où de bonnes âmes estiment que l’on importune trop les gentils musulmans (alors que des musulmans ont massacré environ 150 honnêtes Français dans ce pays, en l’année maudite 2015). À la faveur de cet état bizarre, l’on voit procéder à des gardes à vue pour un nouveau délit de la pensée : celui d’islamophobie.

Or, l’actualité joue des tours à nos « chefs », grands quémandeurs d’emprunts, voire de dons d’origine islamo-pétrolière. Le vendredi 19 février 2016, le site anticonformiste voxnr cliquez ici, relayant le quotidien britannique The Independent – où les informations font généralement l’objet d’une stricte vérification et qui ne paraîtra bientôt plus que sur le Net - rapporte de curieuses nouvelles en provenance de l’Eden de la Charî’a : l’État Islamique.

Ces deux premiers mois de l’An 2016 qui promet d’être encore un grand cru de l’infamie islamique, trois adolescents ont été jugés puis égorgés rituellement (dont au moins deux en présence de leurs parents) parce qu’ils avaient manqué la prière solennelle du vendredi dans leur mosquée et un quatrième, âgé de 15 ans, pour avoir écouté de la musique occidentale dans l’épicerie paternelle de Mossoul.

The Independent ne faisait que reprendre des faits rapportés par un journal kurde, donc ennemi de l’EI, paradis terrestre d’Allah. Les informations sont donc à n’accepter qu’avec réserves et en attendant une confirmation ou une infirmation… toutefois, tout le monde a pu visualiser – avant censure exigées par les âmes délicates de notre gouvernement – des vidéos d’égorgements réalisées un peu partout depuis 2012 dans le monde merveilleux régi par la Charî’a. Les nouvelles narrées par Ara News n’ont donc rien d’inédit ni de surprenant a priori.

Deux remarques s’imposent. Une réflexion de forme d’abord, concernant la pudeur des journalistes so british qui parlent de « décapitation »… alors qu’il s’agit d’égorgement, indéniablement moins instantané et plus douloureux pour la victime offerte en sacrifice au buveur de sang dénommé Allah, qu’un couperet de guillotine. La seconde, au fond, porte sur l’espionnage de tous sur chacun en terres d’islam, correctement rapporté par nombre d’enquêteurs dès les années 1980, en Iran puis ailleurs : on en revient aux bons temps de l’Inquisition, de la Terreur française des années 1792-1794 ou du Guépéou.

De nos jours, en France – ex-terre des arts, des armes et des lois… ça, c’était avant, bien avant notre triste époque de médiocrité post-soixante-huitarde -, écrire la vérité sur les crimes immondes, sur la barbarie médiévale, sur l’obscurantisme des pays régis par les fous furieux de l’islam tout-puissant, devient un délit d’opinion : celui d’islamophobie… qui est en passe de devenir - après le racisme, l’homophobie ou le doute sur la pertinence des arguments scientifiques concernant un éventuel « réchauffement climatique » - un crime social majeur, passible du lynchage médiatique et de poursuites judiciaires.

Pourtant, les faits sont là. Pourtant, le risque croît d’année en année de voir s’implanter en Europe occidentale et danubienne – dans un délai de 25 à 50 ans, selon les endroits – des régimes de Charî’a. Pourtant, les clowns qui font semblant de nous gouverner osent parler de « Démocratie », soit un régime où la liberté d’expression est pleine et entière, sauf à faire dans la pornographie ou la calomnie. Est-ce calomnier l’islam que de dénoncer les sourates qui ordonnent à tout fidèle en bonne santé de se lancer dans le Djihâd, ou de dénoncer les pratiques de juges et de bourreaux qui suivent les commandements de la Loi coranique ou Charî’a ?

Il arrive un moment où l’excès de stupidité apparente dans nos règlements et leur application par des magistrats aux ordres ressemble trop à de la pure trahison des intérêts de notre Nation, pour que l’on ne se pose la question d’un « complot » contre la France, contre l’Europe… même si cela fâche des esthètes à double nationalité, franco-maghrébine.    

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samedi, 20 février 2016

Les nouveaux socialistes, au service des ploutocrates

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Dr Bernard Plouvier

En de mois de février 2016 où le Président turc, rompant avec une autre tradition kémaliste après avoir cassé l’orientation laïque de son pays, ose défier l’armée russe (a priori avec l’aval de l’hôte bizarre de la Maison Blanche), en ce même mois où une chaîne française de télévision publique diffuse des images de bombardements russes de précision en Syrie comme s’il s’agissait de bombardements de la coalition de l’OTAN, les socialistes français bravent tous les interdits traditionnels de leur Parti concernant le Droit du travail.

Il est évident que la Loi sur les 35 heures payées 39 (40 en fait, puisqu’on était passé de 40 à 39 en 1981) a plombé lourdement les prix de revient des entreprises. Il suffisait, pour rendre une certaine compétitivité à l’industrie française, effectivement bien mal en point depuis l’entrée, dès 1981, dans la féerie globalo-mondialiste, de réintroduire la semaine de travail de 40 heures et de se libérer au moins partiellement, c’est-à-dire dans les secteurs menacés d’implosion, du carcan libre-échangiste.

Non, les « socialistes » français ne veulent surtout pas de ces mesures de pur bon sens, de salut national, comme le seraient l’arrêt des prestations-chômage aux immigrés et l’institution de la préférence nationale en matière d’embauche… toutes idées défendues depuis plusieurs décennies par un mouvement jugé « démagogue » par les idéologues « de gauche ».

Or, voici que les néo-socialistes, façon Hollande-Valls et consorts, sont en voie d’imposer – grâce au célébrissime art. constitutionnel 49-3 – une réforme du Droit du travail, qui est un cadeau, en grande partie illégitime, aux employeurs.

Entendons-nous : toute mesure destinée à rendre de la puissance à l’industrie et à l’artisanat français sont bonnes, de façon à cesser les « délocalisations d’entreprises » et à diminuer enfin le chômage des Français de souche, étant entendu qu’en bonne logique aucun immigré ne devrait avoir un emploi en France tant qu’il y aurait un seul Français de souche au chômage... c’était la doctrine des Cachin, Thorez et Marchais, des Salengro et Jean Lebas. Mais cette doctrine, c’était avant… avant que les « socialistes de salons », que la « gauche caviar et champagne de grande marque » ne soient mis en selle par feu Mitterrand.

Étonnante loi que celle proposée : on y laisse à l’appréciation des comités d’entreprise la fixation du temps de travail (jusqu’à 12 heures/jour), d’éventuelles réductions du salaire de base et même du tarif des heures supplémentaires, le retour aux 10 heures de travail quotidien pour les apprentis mineurs d’âge (une mesure qui annule des dispositions législatives prises avant la Grande Guerre en Allemagne, en France et même en Russie tsariste !), l’autorisation de procéder à « un plan social » (soit des licenciements sans faute d’employés) même dans les entreprises ne rencontrant pas de difficulté économique, l’autorisation de licencier un employé qui refuse la modification (acceptée par le comité d’entreprise) de son contrat de travail, prévu lors de son embauche.

Toutes ces mesures étaient celles qui, durant l’entre-deux-guerres, étaient réclamées par les patronats les plus rétrogrades, celles qui définissaient « l’extrême-droite », la vraie, celle qui se moquait du peuple et de ses difficultés existentielles.

À l’évidence, nos « chefs » n’ont plus de socialistes que la (fausse) appellation. Ils ne sont certes pas, des populistes, c’est-à-dire des hommes et des femmes soucieux des intérêts de la Nation. On savait déjà qu’ils agissaient pour ne pas fâcher leurs bienfaiteurs islamo-pétroliers. On sait désormais qu’ils travaillent pour les gros employeurs, en clair les multinationales qui régissent tout en tous pays… à l’exception des réfractaires chinois et russes, tant vilipendés.  

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jeudi, 18 février 2016

Obama-Erdogan : le couple à haut risque de guerre ?

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Dr Bernard Plouvier

Envisageons froidement ce qu’est l’état du monde islamique depuis que, depuis 2008, les USA sont dirigés par un crypto-islamiste – Barack-Hussein Obama – et que la Turquie, renonçant à sa laïcité kémaliste, est redevenue un régime islamique, sous la férule du sunnite Recep Erdogan, très fidèle allié, non des USA et de l’OTAN, mais d’Obama, ce qui n’est pas tout-à-fait la même chose.

Obama (né en 1961) est, chacun peut le découvrir aisément à la lecture de ses confidences publiées aux USA, le fils d’un musulman d’Afrique orientale (Ouganda-Kenya), devenu plus tard athée et alcoolique (ce qui est une autre façon de rejeter l’islam). De 6 à 10 ans, en Indonésie, le petit Barack-Hussein a été répertorié « musulman »… vu le jeune âge de l’individu, on reconnaît volontiers que cette mention sur un dossier scolaire ne correspond pas obligatoirement à une conviction profonde.

Toutefois, c’est aux fruits qu’on juge l’arbre. Partout en terres d’islam, la politique guerrière du Prix Nobel de la Paix pour l’année 2009 s’est faite au détriment de vieux potentats amollis et au bénéfice des musulmans les plus exaltés : Tunisie & Libye, Irak & Syrie, mais aussi Soudan du Nord, Yémen, sans compter une guérilla au Pakistan, en Indonésie et aux Philippines, enfin, une agitation ultra-violente au Sahel et dans les pays d’Afrique centrale et occidentale.

Cerises sur le gâteau : l’État Islamique (EI - Daesh, si l’on préfère) et l’immigration-invasion musulmane imposée à l’Europe occidentale et danubienne, pour y amener la paix et la prospérité, comme chacun peut le constater.

L’EI, a été armé et financé par les émirs et roitelets islamo-pétroliers de la péninsule arabique et la Turquie, voire Israël (où l’on a commercialisé le pétrole de Mossoul, devenu source d’autofinancement de l’EI, jusqu’à ce que, tout récemment, l’offensive des Russes et des Syriens loyalistes bloquent la frontière turque par où les camions citernes et les barils étaient exportés, le relais étant pris par des proches du Président Erdogan).

Recep Erdogan (né en 1954), qui est sans conteste la plus forte personnalité politique depuis la mort de Mustafa Kemal ‘’Atatürk’’ en 1938, dirige la Turquie depuis 2003 (comme premier ministre, puis comme chef de l’État, triomphalement élu en 2014). L’homme est un sunnite fanatique qui, de 2008 à 2012, a cassé l’état laïc imposé par Kemal, avec l’approbation d’une majorité de l’électorat. Il n’est pas sans intérêt de signaler que sous la direction d’Erdogan, le Turquie est en passe de devenir une puissance nucléaire « civile » !

C’est aussi, plus discrètement, un pantouranien. Mais le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan et le Turkménistan étant des chasses gardées de multinationales dirigées des USA, il ne peut agir que dans le Turkestan chinois (ou Xinjiang), où il a fort peu discrètement organisé une agitation pantouranienne, très rudement réprimée par les gouvernants chinois, guère réputés pour leur patience : le racisme chinois se heurte de plein fouet au racisme touranien. Vu le rapport de forces en Asie centrale, il est peu probable que ce heurt débouche sur une guerre à l’échelle planétaire.

En revanche, l’action combinée des roublards Obama et Erdogan au Proche-Orient est grosse d’un casus belli, certes exotique, excentré, d’intérêt médiocre : la Syrie n’est qu’une zone de passage pour pipe-lines et l’on pourrait en construire ailleurs comme on l’a fait en contournant l’Afghanistan où l’agitation de fanatiques primitifs rendait impossible leur implantation.

Ce genre de conflit régional peut déboucher sur une guerre mondiale : on s’est bien étripés, de 1914 à 1918, à propos de la Bosnie, annexée quelques années plus tôt par l’Empire austro-hongrois, convoitée par des trublions serbes, encouragés par la Russie impériale, trop assurée d’un soutien français et de la haine que vouait l’establishment britannique à une Allemagne trop dynamique. Un petit conflit régional peut déboucher sur un règlement de comptes intercontinental ; on ne le sait que trop depuis 1914 et 1939.

Or, après avoir titillé l’aviation soviétique à la fin de l’An 2015, le bon apôtre Erdogan - sous couvert d’une énième opération militaire contre des Kurdes haïs de façon multiséculaire par les Turcs (mais aussi par les Iraniens, les Irakiens et les Syriens) – se rapproche dangereusement d’un affrontement direct avec les forces russes engagées par Vladimir Poutine pour soutenir le gouvernement légal de Syrie, qu’Obama veut à toute force voir disparaître avant d’être contraint de déguerpir de la Maison Blanche.

La question qu’un Européen, englué dans l’OTAN, est en droit de se poser est la suivante : serait-il envisageable que les deux fous d’Allah, le déclaré (Erdogan) et le caché (Obama), aient planifié une jolie guerre – si utile au big business et au triomphe d’Allah le tout-puissant – opposant le bloc sino-russe au bloc occidental & islamique ?

Car ce que n’avaient pas prévu les géniaux politologues de la fin du XXe siècle et du début de l’ère mondialiste se réalise sous nos yeux éberlués : une collusion, contre nature, contre toute logique et bien sûr opposée aux intérêts des Nations européennes, entre les politiciens de certains gouvernements de la soi-disant Europe Unie et les fous furieux de l’islam conquérant, collusion organisée par le curieux Président US, avec la bénédiction de dirigeants des multinationales, aux yeux rivés sur la courbe prévisionnelle des bénéfices à cinq ans.

Délire ou triste réalité ? L’avenir nous le démontrera assez vite.

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dimanche, 14 février 2016

Manœuvres pré-électorales pour un désastre annoncé

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Dr Bernard Plouvier

En ce glacial et tempétueux mois de février (« réchauffement climatique » oblige), les crocodiles, usagés et moins connus, s’ébrouent dans le marigot politicard. Et l’on comprend la raison de cette agitation : à la présidentielle de l’année prochaine, l’un des deux sauriens – celui de la droite mondialo-globaliste ou celui de la pseudo-gauche globalo-mondialiste – emportera pour cinq années le jackpot des sinécures dorées de la Ripoublique, qu’il pourra distribuer aux plus puissants de ses partisans.

Car, dès à présent, tout est joué. Au premier tour, 60 à 65% des inscrits iront voter avec un reste d’enthousiasme. Le ou la candidat(e) des populistes arrivera en tête avec peu ou prou 35% des suffrages ; le candidat de la droite molle-divers centres marécageux et celui des pseudo-gauches, mâtinées d’écologistes de diverses obédiences, en plus des minorités sexuelles, des dinosaures marxistes, syndicalistes et maçonniques, et des groupuscules d’immigrés ayant le droit de vote, remporteront chacun entre 25 et 30% des voix.

Au second tour, et après 15 jours de propagande démagogique sur fond de scénario « républicain-apocalyptique », 55 à 60% des Français iront voter et sera élu Président soit le candidat estampillé droite molle, soit le candidat certifié pseudo-gauches, tous deux étant inféodés aux évergètes de la finance cosmopolite et/ou de l’islamo-pétrodollar… une resucée de la 2e élection de Chirac le Nul Black-Beur, avec un score moins insultant pour la Nation française, puisqu’en une douzaine d’années de gabegie et de descente aux enfers, les Français sont devenus un peu moins niais.

Qu’importe à la Nation que le nouveau locataire de l’Élysée se nomme Hollande ou Sarkozy (Juppé étant moins probable, en dépit d’un fort soutien d’émirs du pétrole), la France continuera de s’éteindre, de s’aveulir. Le chômage continuera de s’aggraver, par désindustrialisation accélérée et mort à petit feu de l’agriculture et de la pèche françaises, la Dette connaîtra une croissance exponentielle, pour alimenter une immigration-invasion en augmentation continue, avec les menus inconvénients du péril djihadiste (déjà connus, mais qui n’ont pas suffi à réveiller les Français autochtones), et, non plus la probabilité, mais cette fois-ci la certitude de la substitution de population dominante en France pour la seconde moitié du XXIe siècle.

L’électorat français – composé comme partout ailleurs de 75% de sous et de moyennement doués – n’aura que ce qu’il mérite. Quant aux autres Français autochtones, les productifs, les inventifs, les honnêtes travailleurs, ils auront un choix : émigrer – ce qui est à la portée du premier couard venu, mais qui, en principe, assure la survie, au prix d’un déracinement – ou s’insurger. Parce qu’après tout, mourir pour défendre la terre des ancêtres, cela ne manque ni de panache ni d’intérêt. L’histoire abonde en sursauts salvateurs. Alors, pourquoi pas en France, avant qu’elle ne soit devenue terre de Charia.  

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samedi, 13 février 2016

Hédonisme et sens de l’honneur : incompatibilité ou alternative ?

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Dr Bernard Plouvier

L’étude de l’histoire démontre aisément l’opposition entre les partisans du bien-être, pour eux-mêmes et leurs proches, et les humains motivés par le sens de l’honneur… qui n’est pas l’équivalent de la gloriole.

Or, l’histoire humaine démontre également que certaines périodes favorisent la première attitude et d’autres la seconde. L’opposition n’est nullement permanente, mais se fait plutôt selon un phénomène de bascule, en fonction des conditions de l’époque. Autrement dit, l’inné et l’acquis jouent leur rôle dans ce choix individuel et collectif. On peut le démontrer par deux exemples suffisamment proches de nous pour que l’oubli et les déformations induites par les concepteurs de dogmes historiques n’aient pas embrouillé les faits.

En août 1914, la quasi-totalité des hommes de 20 à 35 ans des pays d’Europe occidentale, danubienne et orientale se sont rués à l’assaut les uns des autres, emportés par leur chauvinisme. Cet enthousiasme guerrier, signalé par tous les témoins, n’est discuté que par les universitaires qui évoquent « l’été 14 » comme s’il formait un tout homogène. Or, s’il est évident qu’au mois de juillet la majorité des opinions publiques espérait encore que l’on puisse éviter une guerre pour un motif aussi futile que l’assassinat d’un prince héritier, en août, une fois la guerre enclenchée, les Nations (à l’exception de la magyare, où l’on haïssait l’archiduc assassiné) se sont ruées à la guerre, ignorant tout de ce que seraient ses tristes réalités.   

L’été de 1939, il n’y a, certes, nulle passion guerrière en France, où aucun intérêt national n’est en jeu, mais l’on est enthousiaste par inconscience en Pologne, et en Grande-Bretagne, où l’on compte faire la guerre avec l’Armée française et la Royal Navy.

Ce contraste ne fait que refléter la dissemblance entre les situations. Chauvinisme et croyance, fortement ancrée dans chaque opinion publique, en son « bon droit » en 1914. Refus « de se faire casser la gueule pour rien » en 1939. On ne peut pas reprocher les illusions, bellicistes pour les pères, pacifistes pour les fils (en outre, horrifiés par les récits des survivants du premier épisode), sans remarquer l’énorme différence de contexte entre les deux périodes.  

Il existe des individus génétiquement programmés pour être, en toutes circonstances, des lâches et d’autres des téméraires. Chacun de ces deux groupes ne doit pas dépasser 5 à 10% de l’humanité. Le reste, soit l’écrasante majorité, choisira l’une ou l’autre option, en tenant compte de l’ambiance générale et de la conjoncture, c’est-à-dire de ce que l’on croit savoir des événements et des intentions de ceux que l’on présente comme des ennemis.

Pourquoi évoquer ces banalités, objectera-t-on ? Parce que notre époque est l’un de ces moments de l’histoire des civilisations où se présente l’alternative : hédonisme versus sens de l’honneur.

En Occident, les Nations autochtones sont confrontées à ce que la globalo-mondialisation pouvait offrir de pire. Face à la destruction rapidement progressive de l’industrie, de l’agriculture et du commerce nationaux, face à une immigration-invasion africaine et moyen-orientale, en énorme majorité musulmane, qui expose à la probabilité d’une substitution de population dominante durant la seconde moitié de notre XXIe siècle et à l’implantation de l’anachronisme islamique, face à la confiscation de tous les pouvoirs par les maîtres de l’économie, les Nations européennes autochtones doivent choisir entre les petits plaisirs, les petites joies, le confort et la révolte, l’insurrection, le refus de ce monde de médiocrité intellectuelle et spirituelle.

Hédonisme versus Honneur. Il faut choisir… avant que d’être submergés. Car, s’il est vrai que ce sont les minorités agissantes qui font l’histoire, il n’en est pas moins vérifié que, sauf à pouvoir utiliser unilatéralement des armes de destruction massive, la guerre à un contre cinq ou six - ce fut la proportion des combats en Europe durant les années 1943-45 - est constamment perdue !      

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vendredi, 12 février 2016

L’Inaptocratie (in english : ineptocracy), conséquence logique de la globalisation-mondialisation

ineptocracy.jpgDr Bernard Plouvier

En 2006, lorsque l’État fédéral tarda à venir au secours des sinistrés US de l’ouragan Katrina, un journaliste accola le néologisme d’Ineptocracy au gouvernement de George W. Bush (qui, en comparaison de son lamentable successeur, passe désormais pour un gestionnaire rigoureux des Finances US, même si sa politique étrangère, orientée par les néo-conservateurs judéo-US, fut désastreuse, moins toutefois que celle du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama).  

David Remer, journaliste et sujet de Sa Gracieuse Majesté britannique, a repris le terme, en 2012, pour qualifier le spectacle pitoyable de la vie politique et administrative française. Depuis lors, rien n’a changé… et l’on pourrait affirmer, sans encourir le risque d’être taxé de méchanceté, qu’il en va ainsi depuis 1981, c’est-à-dire lors de l’intégration de la France - Mitterrand régnant ou faisant semblant – aux fééries de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et pseudo-culturelle.

Le mot est une chimère grammaticale (l’adjectif anglais « Inept » étant accolé au classique verbe grec antique utilisé pour signifier l’art de commander : « kratein »). Au plan sémantique, sont interchangeables, en langue française, les adjectifs « inapte » et « inepte », pour l’excellente raison que nos « chefs » sont à la fois l’un et l’autre… et ceci est fort logique.

Que nos élus et nos agents de la haute administration (en France, nos merveilleux Énarques) se révèlent parfaitement inexperts à diriger la répression de la délinquance et de la criminalité n’étonnera personne, puisqu’ils ont l’ordre d’accepter une immigration islamique brutale, inculte, pratiquant avec virtuosité trafics de drogues et d’armes, vols et rackets, assassinats pour cause religieuse ou de règlement de comptes entre bandes rivales, enfin viols, coups et blessures, en plus de l’expression la plus ordurière d’un racisme quotidiennement exprimé.

Qu’élus, économistes, experts ès n’importe quelle spécialité, s’avèrent incapables de gérer l’économie du pays au mieux des intérêts de la Nation, ne peut surprendre que les niais : ils ne dirigent rien, recevant leurs ordres par des circuits complexes, de telle façon que le chef théorique de l’État ignore jusqu’à l’identité des véritables décideurs.

Élus et hauts-fonctionnaires ne sont guère utiles aux intérêts des Nations. Cela n’est que trop vérifié : corruption omniprésente ; détournement de l’argent public en faveur des sociétés privées appartenant aux amis de la majorité en place ; quasi impunité (sauf règlement de comptes personnels ou politiques) des Banksters et des chefs d’entreprises, des élus et des hauts-fonctionnaires peu délicats dans leur gestion ; lâche complicité de l’immigration-invasion musulmane… le tout par absolue soumission – admirablement rétribuée, cela va sans dire - au seul vrai Pouvoir de notre époque : l’Économique.  

À quoi sert de ruminer la définition des dictionnaires anglo-américains du mot Ineptocracy, soit : le gouvernement des moins capables, des incompétents notoires, élus par une majorité de minables, puisque le système mis en place dans les années 1980 sq. exige la simple obéissance des pseudo-chefs d’États et de gouvernements aux ukases des patrons du very-hyper-big business.

La conclusion s’impose d’elle-même. Les Nations du bloc globalo-mondialiste ne peuvent rien attendre du résultat d’élections, systématiquement faussées par les énormes quantités d’unités de compte (selon la monnaie locale) octroyées pour le financement de tous les partis dits de gouvernement… nos bons maîtres laissent à l’électorat la joie de mettre aux apparences du Pouvoir le pantin à la mode du jour. Et la loi du nombre – démocratie oblige - fait le reste : 75% de crétins et de peu doués ne peuvent qu’élire les plus beaux démagogues, ceux qui promettent la lune (résorption du chômage, réduction des impôts, croissance économique, sécurité, égalité etc.).

Ergo, si les Nations exploitées par le système globalo-mondialiste veulent se sortir de l’ineptie ambiante et de l’inaptitude des « chefs », elles doivent s’insurger et mettre en place de véritables régimes populistes. L’étude de l’histoire offre des exemples que chacun est libre de méditer.

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jeudi, 11 février 2016

De l’utilité des guerres

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Dr Bernard Plouvier

L’histoire humaine (et animale) répond à trois grandes motivations, généralement associées : la géographie (soit des terrains estimés riches et intéressants à conquérir ou dont la possession offre un avantage stratégique défensif ou offensif), l’orgueil d’espèce, de race ou de nation (soit la jouissance issue de la domination), enfin la joie de nuire à autrui (ce que les Allemands nomment Schadenfreude et les Anglo-Saxons gloating).

L’un des plus rudimentaires théoriciens de la polémologie (en plus d’être un écrivain ennuyeux) Carl von Clausewitz l’a écrit (in De la guerre, dont la 1ère publication date des années 1832-34) : une guerre peut être limitée dans son objectif si elle vise à obtenir un gain territorial ou un avantage commercial ; elle peut, au contraire, s’avérer illimitée dans ses moyens et sa durée si elle ambitionne l’anéantissement de l’ennemi. S’il ne fallait retenir qu’une idée (géniale) des livres de ce raseur, ce serait celle-là.

« En régime de libéralisme, c’est le marché (économique) et non le contrat (politique) qui est le vrai régulateur de la société » a écrit Pierre Rosanvallon (in Le libéralisme économique. Histoire de l’idée de marché, Seuil, 1989). C’est une excellente définition du rapport de forces existant, d’abord en Europe et aux USA, puis un peu partout en pays industrialisés, des années 1830 à nos jours, sauf dans les régimes populistes et les ridicules expériences d’économie marxiste. La trinité dorée des financiers, des négociants et des entrepreneurs, aux intérêts souvent enchevêtrés, domine le milieu politique et celui, plus vénal encore, des media.

Montesquieu (in De l’esprit des lois, de 1748) a écrit l’une des plus grosses sottises de l’histoire des idées : « Le commerce adoucit les mœurs et dispose à la paix ». Cette docte niaiserie fut immédiatement exploitée en Grande-Bretagne par David Hume et Adam Smith, puis développée, dans les années 1896-1914, par Jean Jaurès, qui fréquentait les salons des richissimes financiers juifs de Paris, effectivement pacifistes, du fait de leurs investissements en tous pays.

Certes Adam Smith avait longuement disserté (in De la richesse des Nations, de 1776) sur le travail productif et l’improductif (comme la fabrication des armes), mais ce théoricien quelque peu primaire avait oublié le phénomène de redistribution : tout argent gagné, même en effectuant un « travail improductif », alimente la consommation, donc la production, la transformation des matières premières et les services (transports, assurances, commerce).

Une guerre détruit des biens (en plus d’innombrables vies humaines, de valeur marchande diversement appréciée selon les époques), mais elle stimule extraordinairement les industries agro-alimentaires, textiles et de transformation du cuir, en plus des fabrications d’engins de transport et de destruction. Enfin, elle draine l’argent privé vers le secteur public qui le redistribue au secteur industriel et commercial, sans oublier les financiers omniprésents. C’est « l’utilité des guerres », une idée chère au Président Franklin Delano Roosevelt, durant les années 1937-1945, une idée que l’expérience des deux Guerres Mondiales a fait comprendre aux maîtres de l’économie. Enfin, la reconstruction, après déblaiement des ruines, et l’exploitation médiatique de l’héroïsme (réel et imaginaire) des vainqueurs sont d’énormes sources de profits… si bien que le cycle guerre-reconstruction & exploitation se renouvelle périodiquement.  

Effectivement, de 1850 à nos jours – soit le triste début de XXIe siècle, où dominent l’économie globale et la mondialisation des vies politique et sous-culturelle, mâtinées de l’utilisation de l’islam dans sa forme la plus barbare -, la plupart des guerres ont eu une cause économique, soit isolée (on pense à la Guerre de l’opium sino-britannique du milieu du XIXe siècle aussi bien qu’à la Guerre du Coltan des années 2010-2012), soit associée à une ou des causes politiques (de la Civil War des USA jusqu’à la Seconde Guerre mondiale). Certaines enfin furent le résultat d’un mélange plus complexe de causes économiques, politiques et morales (ce fut le cas de la Grande Guerre, où les opinions publiques, survoltées par le chauvinisme pratiqué comme seule activité intellectuelle commune à toutes les classes sociales, voulaient en découdre pour s’évader d’une vie monotone).

L’éthologie et l’étude de l’histoire humaine le prouvent aisément : l’homme – comme le reste du monde animal - est invariable dans ses comportements, ce qui est très logique puisque ceux-ci sont génétiquement programmés, depuis l’émergence de l’espèce et jusqu’à sa disparition ou à sa transmutation en sur-espèce. Seuls les êtres d’exception – ce qui définit la sainteté – parviennent, en toutes situations, à dominer leur programme malfaisant, opérant le choix de ce qu’ils nomment le Bien, par opposition à ce qu’ils croient être le Mal. Et depuis des milliers d’années, l’on disserte savamment sur le libre-arbitre et la transcendance… qui n’ont jamais empêché ni les crimes individuels ni les guerres.

En outre, l’activité guerrière suppose une grande inventivité, pour surprendre et surclasser l’ennemi. À toute époque, la guerre et sa préparation furent l’occasion de grands progrès technologiques. Comme l’a écrit, au 6e siècle avant notre ère, Héraclite qui enseignait en la cité d’Éphèse : « La guerre est mère de toutes choses », y compris de l’architecture défensive, des arts et de la littérature.

La Foi, l’Espérance et la Charité sont peut-être vertus théologales, mais « le monde tel qu’il va », comme l’écrivait Arouet-‘’Voltaire’’, n’est régi que par la puissance, qu’elle soit liée à la finance ou aux armes. Et il en sera ainsi « tant qu’il y aura des hommes ».  

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mercredi, 10 février 2016

Réflexions inexpertes sur le droit de grâce

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Dr Bernard Plouvier

L’auteur n’étant pas un juriste, ses réflexions sur un sujet qui touche à l’interférence entre des pouvoirs d’essences (en principe) différentes ne peuvent qu’être impertinentes… le lecteur est donc averti d’entrée de jeu.

L’histoire nous enseigne que ce droit fut, toujours et partout, un droit régalien, c’est-à-dire exclusivement dévolu au titulaire du pouvoir exécutif… c’est dire à quel point ont erré le vieux Cicéron, qui a tenté de nous faire accroire que les armes cédaient devant la toge du magistrat, ou ce lourd Montesquieu (pas celui des Lettres persanes, l’autre – celui qui était président à mortier et nous asséna son Esprit des lois) qui s’est littéralement moqué des gens d’esprit avec sa « séparation des pouvoirs ».

L’un et l’autre de ces jurisconsultes éminents, dont la mémoire a défié les siècles, savaient pertinemment qu’ils mentaient, l’expérience leur ayant forcément appris que le Droit n’est jamais que l’expression policée de la Force. D’ailleurs chaque révolution, chaque guerre, chaque mutation socio-économique (pour user du jargon des sociologues) amènent leurs innovations dans le Droit civil, pénal et criminel et même dans le Droit international.

Changeant et mouvant dans ses principes et plus encore dans leur application, le Droit est non pas une constante – c’est à l’équité qu’est dévolue cette permanence universelle et diachronique -, mais une variable, voire une girouette évoluant au gré des vents dominants des dogmes politiques, des croyances religieuses ou de l’opportunité sociale.

Gracier un ou une condamné(e) ou commuer sa peine (ce sont deux choses différentes, car la véritable grâce est la remise totale de la peine) forment ce qu’il est convenu d’appeler le droit de grâce.

Curieusement, ce droit n’a jamais été octroyé à un groupe de savants magistrats. En toute logique, la victime ou, à défaut, sa famille devraient être entendues, car s’il y eut condamnation d’un accusé, il y eut aussi une victime… ce que l‘on oublie de plus en plus dans notre société post-soixante-huitarde, où toutes les valeurs classiques sont, non pas oubliées, mais systématiquement et volontairement inversées.

Le droit de grâce est constitutionnellement dévolu au chef de l’État qui est très rarement un juriste de formation, mais qui est constamment un politicien, soit un individu très sensible aux bruissements de l’opinion publique, façonnée pour les faits divers par les journalistes (c’est le seul privilège qui reste à ces auxiliaires du véritable Pouvoir – de nos jours : le pouvoir économique – et dont la rémunération et la notoriété dépendent directement des services rendus aux titulaires du Pouvoir).

En matière de faits divers sans retentissement politique ni économique, les journalistes sont libres de laisser vagabonder leur imagination. Ils peuvent ainsi transformer un coupable en victime d’erreur judiciaire (variante : victime d’acharnement judiciaire, quand la culpabilité est trop évidente pour être entièrement niée… mais tout est permis à qui entre dans le monde merveilleux des « circonstances atténuantes »). Parfois même, un journaliste plus inventif que ses confrères refait l’instruction de l’affaire à sa façon, transformant une victime en bourreau (variante : pédophile, ivrogne, incestueux, voire simplement autoritaire… bref tous les ingrédients de la supercherie psychanalytique, ce qui est un raffinement suprême dans l’argumentation, la friandise pour public ignare, ne demandant qu’à être ému).

Ainsi ficelé, le dossier transforme le condamné en victime-justicier et la victime initiale en abominable individu. Ne manque plus que la touche finale de démagogie : le grave chef de l’Etat qui s’est penché des nuits durant sur l’épineux dossier… avant d’octroyer ou de refuser le fameux droit en fonction de l’état de l’opinion publique. Car la mascarade judiciaire – c’en est une que de revenir sur un jugement d’Assises, suivi d’une confirmation en Cour d’appel – a pour unique finalité, non pas cette équité, trop sublime pour être humaine, mais une remontée de la cote de popularité du « chef ».

Cette popularité est indispensable à l’autocrate pour éviter l’insurrection des mécontents et des ambitieux qu’il craint constamment. Elle est tout aussi nécessaire au Président d’un régime dit démocratique, qui est presque toujours un candidat potentiel aux prochaines élections. Balzac l’a écrit : notre vie n’est que « Comédie humaine 

Les noms et les œuvres de messieurs Cicéron et Montesquieu ont défié le temps, peut-être parce qu’ils étaient de grands naïfs (c’est peu probable pour le premier cité puisqu’il fit une grande carrière de politicien aux opinions et allégeances mouvantes), ou plus simplement parce qu’ils ont menti avec panache, nous faisant croire en l’équivalence des termes Équité et Justice. On attend encore le régime politique qui sera fondé sur cet idéal et l’être d’exception qui en imposera l’application.    

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mardi, 09 février 2016

Islamophobie ou christianophobie ?

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Dr Bernard Plouvier

Allez consulter le registre orthographique de votre ordinateur ou de très récents dictionnaires (en version papier, ça existe encore) et vous constaterez que s’ils ont enregistré une « islamophobie » et l’ultra-classique « antisémitisme », le mot « christianophobie » n’est pas prévu ! Pourtant, la réalité existe et depuis la fin des années 1980, corrélée - qui en eût douté ? - à l’immigration islamique. Il faut donc remettre à l’heure nos références de vocabulaire et surtout notre conception de la « vie ensemble »…voire se souvenir de ce qu’avait écrit Renan (et d’autres auteurs après lui) : on ne mêle pas impunément deux civilisations et les fidèles de plusieurs religions, surtout si l’une ou l’autre prêchent la « guerre sainte » ou le mépris des non-initiés.

Toute référence à de menus travers des Juifs – voire à d’énormes escroqueries - devient acte ou parole « antisémites » (alors qu’on devrait les qualifier d’antijuifs... et uniquement s’ils étaient calomnieux ou généralisant abusivement un comportement individuel). De la même façon, tout avertissement concernant les dangers évidents de l’invasion musulmane qui déferle sur l’Europe occidentale et danubienne devient « discours islamophobe »… et l’on n’est pas trop assuré que les commentateurs indignés aient lu le Coran et ses prescriptions sur le Djihâd, en résumé qu’ils sachent au nom de quoi ils s’indignent (sur commande).    

Des tombes juives ignoblement profanées et toute la France officielle tombe en pamoison, puis résonne d’indignations. Une mosquée-salle de sports de combat ou une boucherie hallal stupidement saccagées et politiciens & media hurlent à l’islamophobie… et l’on ne peut leur donner tort : une partie non négligeable des Français, des Britanniques, des Belges, des Allemands, des Scandinaves etc. ne supporte plus les ignominies des racailles, des fruits pourris de l’immigration-invasion. Que la réaction soit absurde autant que mal ciblée, on le reconnaît volontiers, mais la réalité devient insupportable en une multitude de villes d’Europe.

Or, ces actes d’islamophobie et de judéophobie, qui émeuvent tant les clowns des media aux ordres, ne sont quasiment rien au plan quantitatif en regard du nombre croissant d’actes anti-chrétiens, au point qu’a été créé un Observatoire de cette christianophobie, inconnue des dictionnaires les plus récents ! A priori, cet Observatoire - il en existe tellement – devrait être indifférent à l’athée (c’est le cas de l’auteur de ces lignes). Or, il est évident à tout Européen de souche que les sites, monuments et œuvres d’art chrétien font partie du Bien commun, au même titre que les vestiges de l’Antiquité gréco-romaine, celtique ou germano-scandinave.

Grâce à cet Observatoire, l’on apprend que pour le seul mois de janvier 2016 – et dans la plus totale indifférence des media aux ordres – 23 lieux de culte, cimetières, écoles et œuvres d’art chrétiens ont été vandalisés et/ou partiellement incendiés. Pour la seule Bretagne, ce sont 19 cas similaires qui ont été enregistrés durant l’année 2015, grand cru de l’immondice islamiste. Nos glorieux policiers et gendarmes n’enquêtent guère ou très mollement et presque toujours sans résultat… il faut reconnaitre qu’ils sont surmenés à force de verbaliser les automobilistes ou de réprimer les manifestations plus que légitimes d’autochtones excédés de la barbarie islamique (150 morts en 2015, pour la France) et des exactions quotidiennes des racailles de l’immigration-invasion.  

La situation française devient explosive. La Nation ne peut rien attendre des mols politiciens qui vont mendier leur pitance chez les islamo-pétroliers et sont donc des collaborateurs conscients non seulement de l’immigration-invasion, mais aussi des ravages exercés par les racailles sur notre vie sociale et sur notre patrimoine. À trop jouer avec la patience des Français (et des autres Européens de souche), l’islam conquérant et ses complices risquent fort d’être confrontés à une insurrection des autochtones, qui ressemblera fort aux combats de la Libération, inévitablement suivis d’une Épuration.

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Serait-il possible qu’un jour un « penseur » différentie le Populisme de « l’Extrême droite » ?

medef-ps.jpgDr Bernard Plouvier

Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.  

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.  

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.

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lundi, 08 février 2016

Faut-il s’appesantir sur la politique spatiale des Nord-Coréens ?

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Dr Bernard Plouvier

2016 est à l’évidence un grand cru en matière d’islam conquérant, mais faut-il à toute force l’envisager sous l’angle d’une nouvelle guerre du Pacifique ? Cela paraît peu probable pour plusieurs raisons.

Il est évident que le régime nord-coréen est à la fois un dinosaure, étant l’unique survivant des dictatures militaro-communistes de la planète, et un pion (mineur) dans la guerre d’influence qui se joue à trois pour la domination du Pacifique-Nord. Certes, ce pion minuscule a la prétention, depuis un quart de siècle – soit la fin de l’URSS -, de jouer en solitaire. Encore faut-il analyser sa capacité de nuisance, qui paraît sans commune mesure avec celles des USA et du nouvel élan islamiste.

C’est une puissance nucléaire depuis 2006, ne maîtrisant le lancement des fusées de haute altitude que depuis 2012 et qui en est encore qu’à l’étude de la rentrée dans l’atmosphère sans désintégration des capsules lancées… autrement dit, et contrairement à ce que l’on hurle à l’ONU, ses « missiles balistiques » ne sont nullement opérationnels. Leur portée ascensionnelle peut leur permettre de mettre un satellite en orbite, mais leur portée terrestre demeure toute théorique, même si de nombreux sites du Net – espace rêvé de désinformation – veulent faire croire que l’Alaska, la Sibérie, l’Inde et l’Indonésie sont menacés, autant que la Chine, la Corée du Sud et le Japon voisins.

Relativisons un peu ce « géant » de la nuisance internationale : moins de 30 millions d’habitants, serrés dans un pays fort petit, donc « atomisable » très facilement. Le crypto-islamiste de la Maison Blanche n’a-t-il pas une nouvelle occasion de détourner l’attention des opinions publiques du seul danger qui soit en cours de réalisation : l’invasion islamique de l’Europe occidentale et danubienne ?

Un petit État aux ressources très limitées, dépendant pour sa technologie du colossal voisin chinois comme il dépendait jusqu’en 1990 de l’URSS, sert de Satan de secours à une administration US qui a participé directement à la contamination de l’Asie du Sud-Ouest et de l’Europe par le djihadisme.

Les opinions publiques européennes, désinformées en permanence, sont très facilement orientables vers des leurres. La minuscule Corée septentrionale en est l’un des plus facilement exploitables puisque ses dictateurs successifs poursuivent inlassablement une fuite en avant, simplement pour assurer quelques années de survie à une caste dirigeante sans projet réel. Qu’importent aux Européens les misères d’un peuple exotique qui rejoue en solo et à vide le scénario marxiste, quand sur notre continent débute une invasion ultra-violente, programmée par de très puissants apprentis-sorciers.       

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dimanche, 07 février 2016

Les vidéos de la honte

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Dr Bernard Plouvier

Ce samedi 6 février 2016, des patriotes viennent à Calais clamer leur indignation face au comportement des envahisseurs africains, proche- et moyen-orientaux, presque tous musulmans, de ce que l’on appelle désormais – dans les media de l’ensemble de la planète : quelle réclame pour notre pays ! – la « jungle de Calais ». Des journalistes sont présents et grâce aux vidéos, l’on peut se rendre compte de ce qui s’est réellement passé, loin de la propagande des collaborateurs de l’immigration-invasion.

L’on voit des « jeunes » musulmans se moquer des patriotes français, en toute impunité, car les « forces de l’ordre » protègent les semeurs de trouble musulmans et leurs collaborateurs de la « gauche » (en réalité vautrée devant le petrodollar, nouvel avatar du veau d’or) ! L’on voit, des musulmans arborer un drapeau antifasciste nouvellement créé… il faudrait peut-être apprendre à ces extra-européens que le fascisme fut une affaire interne à l’Italie d’après la Grande Guerre et que ce mouvement a disparu en 1945.

L’on voit des musulmans utiliser ce torchon pour en draper les statues de Charles et Yvonne De Gaulle, celle du défunt Président étant taguée en rouge d’un « Nik la France » du plus bel effet : les débiles nouveaux ne savent même plus orthographier correctement leurs injures. Ils ne doivent maîtriser que l’arabe… et la réforme de l’orthographe porte peut-être aussi sur les injures à caractère pornographique. Avec la qualité humaine de nos envahisseurs, qui peut savoir ?

L’on voit, enfin ! agir les forces de l’ordre… et c’est pour arrêter un septuagénaire, général de corps d’armée du cadre de réserve, ex-patron de la Légion étrangère. BRAVO, messieurs les courageux CRS ! Il est effectivement plus facile de s’attaquer à sept contre un (les vidéos le prouvent) à un vieux militaire français, désarmé et manifestement fort peu belliqueux, plutôt que de ramener à la décence des racailles musulmanes, agitant un drapeau sans existence officielle et hurlant leur haine des patriotes français.

Sans les vidéos de ce samedi, nul n’aurait cru cela possible. La déchéance de la France hollando-vallso-cazeneuvienne défie toute appréciation. Y-a-t-il encore un homme raisonnable (à défaut d’être patriote) dans les hautes sphères de l’État, ou faut-il croire qu’à force de gueuletonner, de sniffer des rails entre deux parties de jambes en l’air, plus personne ne songe à autre chose qu’à ne surtout pas mécontenter les bienfaiteurs islamo-pétroliers, indispensables au gonflement du trésor de guerre du parti au pouvoir, alors que s’annoncent des présidentielles fort rudes ?

Lors de la Libération, les Résistants auront beaucoup de travail pour traiter comme il se doit les traîtres et pour épurer les différents corps de l’État.

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La nouvelle querelle byzantine : la prolongation du (non-)état d’urgence

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Dr Bernard Plouvier

Tous les historiens se moquent des Byzantins qui, au milieu du XVe siècle, se préoccupaient de querelles théologiques alors que Constantinople était assiégée. En réalité, l’Empire romain d’Orient, abandonné des Européens, était réduit à sa seule capitale depuis des décennies et le peuple comme son Basileus savaient qu’ils n’avaient rien d’autre à espérer qu’une éventuelle clémence du sultan turc lorsque ses troupes auraient enfin pris d’assaut les murailles de l’énorme et très riche cité.

Dans ces conditions, disserter du sexe des anges ou de la dévolution au Père seul ou au couple Père-Fils de l’Esprit Saint et autres spéculations métaphysiques, cela faisait passer le temps et oublier l’imminence de la fin d’un monde… c’est curieux, ce genre de rappel historique nous évoque l’actualité !

De nos jours, alors que menacent une tornade financière et une invasion islamique d’une violence extrême dont nous n’avons dégusté que les prémices, les adeptes du néo-byzantinisme dissertent sur les « importantes dérives de l’état d’urgence ». Cet état fut proclamé d’un ton solennel autant que grave, en novembre 2015, par notre bon Président, devenu subitement fort soucieux du bien-être des Français. Notre sémillant premier ministre a dit, la décade précédente, que l’état d’urgence perdurerait jusqu’à disparition de l’État Islamique… soit une promesse qui évoque l’expression enfantine « saint glin-glin ».

La « gauche de la gauche » (néologisme délicieux en une époque où tous les politiciens sont littéralement vautrés devant le veau d’or, à l’exception de rares populistes d’Europe danubienne, centrale et de l’Est) et diverses ligues (il existe, le bon peuple devrait le savoir, de bonnes et de mauvaises ligues) hurlent et se contorsionnent à propos d’abus de notre soi-disant état d’urgence, soit quelques milliers d’assignation à domicile d’islamistes, alors qu’en deux mille cités de non-droit et dans les mosquées qui se multiplient dans notre pays, les fanatiques de l’islam sont stricto sensu innombrables.

On savait déjà, grâce à une remarquable biographie d’Andreï Vychinski, le procureur des grands procès staliniens, que la Ligue Internationale des Droits de l’Homme n’avait pas plus protesté que le PCF ou les diplomates de la Société des Nations contre les parodies judiciaires organisées par ‘’Staline’’, en 1936-38, pour se débarrasser de (très timides) opposants. De nos jours, les « humanistes » semblent oublier que si l’on « persécute » des musulmans jugés « un peu exaltés » par la presse collaborationniste, ce sont près de 150 Français de souche européenne qui ont été exterminés l’An 2015 (de janvier à novembre… en n’oubliant surtout pas les victimes isolées qui n’ont pas fait la Une des journaux, à la différence des tueries collectives).

Or, une question (mineure, on le reconnaît, comme tout ce qui relève de la politicaillerie) se pose. Est-ce une querelle byzantine ou le machiavélisme d’un Exécutif empêtré dans une mesure électoraliste, qui devait n’être que symbolique et s’est avérée extraordinairement populaire ? Notre beau Président, dont le comportement est trop souvent celui d’un adolescent en goguette, n’est certes pas un homme à poigne, encore moins cet apprenti-dictateur que de curieux commentateurs font semblant d’apercevoir.

C’est un doux opportuniste qui a besoin de se sortir d’un guêpier sans faire perdre trop de voix et de sinécures aux membres de son parti, ne sachant même plus s’il pourra ou non tenter de conserver la place élyséenne, dont on sait qu’elle est bonne et gratifiante. Alors, ce Tartarin, joue avec autant de finesse qu’il le peut une scène de comédie de boulevard : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! ». Pourtant, avec un tel homme et un tel « état d’urgence », les islamistes n’ont pas trop de craintes à développer.

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samedi, 06 février 2016

Langues étrangères et Tribunal correctionnel

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Les honorables collaborateurs de l’invasion-immigration, étant effrayés du nombre de leurs déconvenues électorales, ne savent plus vers quel juriste se tourner pour faire condamner les résistants. Désormais – à la suite d’un échange verbal au Conseil régional Nord-Artois-Picardie -, l’on sait que le maniement en virtuose des langues étrangères peut être interprété par des ignares comme une manifestation de « racisme », avec les outrages médiatiques et les conséquences pénales que cette accusation entraîne… ce qui, pour l’amateur d’histoire humaine, évoque les procès médiévaux pour « blasphème ».

Si vous maniez l’argot anglo-US (le slang), vous n’aurez guère de problème, même si – après avoir fait un séjour dans certains quartiers fréquentés par des Antillais - vous usez de termes pornographiques. Déjà le Rotwelsch (l’argot germanique) risque de vous valoir une accusation d’antijudaïsme, tant les termes Yiddish y abondent… vous pourrez toujours dire que le Yiddish est richissime en termes humoristiques et qu’une allusion à cette langue est en elle-même une preuve d’humour et non de méchanceté. Un juge d’origine ashkénaze ne pourra qu’abonder dans votre sens.

Le drame est de connaître les langues exotiques, celle des anciennes colonies. Un conseiller régional (bien sûr du Front National, victime toute désignée) a osé employer un mot d’usage ultra-courant dans la République du Viêt-Nam : Nhà quê et il l’employait fort bien, prouvant l’exactitude de ses connaissances linguistiques, à la différence de ses interlocuteurs ignares. Face à une argumentation qu’il a jugée débile, l’élu a demandé « Vous nous prenez pour des Nhà quë ? »… ce qui signifie : « Vous nous prenez pour des paysans du Danube ? », variante des « péquenots ». Aussitôt, émotion du côté de la gauche-droite-en passant par le centre marécageux : INJURE RACISTE !!!

Eh non, pitoyables politiciens ! Votre confrère a fait preuve de connaissances linguistiques étendues, qui deviennent presque anachroniques en une époque où le niveau moyen de l’élu français et du bachelier français en est réduit au basic English. De fait, coïncidence remarquable, la réaction lamentable des politicards de la gamelle, néo-collaborateurs de l’immigration-invasion, survient au moment même où l’on officialise une réforme de l’orthographe destinée à transformer la langue d’Arouet-‘’Voltaire’’ et de Chateaubriand en un langage informe pour débiles.

On reconnaît volontiers que les altérations d’un terme exotique peuvent trahir la sémantique originelle. Ainsi du mot Chleuh, qui désigne un Berbère du Haut-Atlas. Pour les combattants des combats de pacification du Maroc en 1912, le terme désignait un rude guerrier. Il a été immédiatement utilisé, durant la Grande Guerre, pour désigner les Allemands (en concurrence avec les termes de boche et de fridolin) : mon grand-père et mon père n’usaient que de ce terme pour désigner nos ennemis d’Outre-Rhin, même lorsqu’ils furent devenus des partenaires commerciaux et politiques. Or, avec l’émigration sépharade en Israël, le terme chleuh désigne là-bas un « idiot » : de l’admiration de combattants pour de rudes adversaires, on en est passé à un terme méprisant, fleurant peut-être le « racisme »… mais l’on abuse tellement de ce terme, qu’un honnête homme ose à peine l’employer.

Que nous vivions une époque de fin d’un monde est une évidence. Les néo-collaborateurs auraient toutefois tort de croire que la Nation française est mûre pour l’esclavage ou la soumission veule aux envahisseurs. Ils feraient bien de réfléchir à un avenir un peu plus éloigné que celui des prochaines échéances électorales. Si la Résistance l’emporte, éventuellement aidée par des Libérateurs venus d’Europe de l’Est, nos néo-collaborateurs risquent une nouvelle Épuration… qui pourrait être aussi rude que celle des années 1944-47.

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vendredi, 05 février 2016

Nos chers immigrés : déracinés ou transplantés ?

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Dr Bernard Plouvier

D’abord, il faut s’entendre sur l’adjectif accolé aux immigrés d’origine africaine et proche-orientale. Officiellement importés pour travailler, voire « financer les retraites des vieux Européens », ces immigrés coûtent beaucoup plus qu’ils ne rapportent aux États et aux Nations d’accueil (les chiffres ont été publiés par Yves-Marie Laulan et son Institut de Géopolitique des Populations).

Le produit du travail de ceux d’entre eux qui ne chôment pas est nettement inférieur au coût des allocations-subventions et de la construction d’infrastructures, vite dégradées par bêtise, négligence ou vandalisme, à l’exportation de capitaux vers les continents d’origine, enfin à l’énorme surcoût des actes de guérilla civile constatés depuis le début des années 1980. Tout cela est bien connu : nos immigrés d’origine africaine et proche-orientale nous sont chèrement onéreux… à la différence des immigrés extrême-orientaux calmes, travailleurs, inventifs.

Si l’on avait pris l’initiative de renvoyer en leur pays d’origine ces immigrés pour raison économique dès que le chômage massif s’est abattu sur les pays d’Europe occidentale et danubienne, l’actuelle situation économique et sociale serait plus claire et l’avenir moins préoccupant.

D’autre part, il est évident qu’un immigré honnête, travaillant de façon efficace, et dont les enfants se comportent en êtres civilisés, est infiniment plus utile à nos pays européens qu’un autochtone bon-à-rien, pilier de bar, philosophe de la canette et chômeur professionnel. Contrairement à ce que l’on voit écrit ici et là depuis l’An 2015, première année de la nouvelle invasion islamique, l’immigré pour raisons économiques est probablement moins nocif que le « réfugié politique ».

Toutefois, cet immigré est, par définition, un déraciné, ce qui ne manquera pas de poser problème, sauf désir et possibilité d’assimilation véritable à la Nation d’accueil, à ses usages et à ses lois. Un groupement étranger de grande taille dont les membres refusent de se reconnaître dans les us et coutumes du pays d’accueil ne peut qu’être un danger pour la Nation autochtone. Il convient de renvoyer à l’expéditeur ces êtres déracinés, refusant de s’adapter ou qu’il est impossible d’assimiler.

L’An 2015 nous a offert un autre spectacle, très mal analysé par les pitres des media et de la politique : celui d’un authentique essai de transplantation, si l’on préfère la greffe de nouveaux conquérants sur un ensemble de peuples avachis. Et c’est bien autre chose.

Expédiés, voyage payé, par des bienfaiteurs du monde islamique (les nababs du pétrodollar), ils se comportent en minorité turbulente (vols, vandalisme, agressions physiques et viols, rébellion contre les forces de l’ordre), en attendant de manifester le but réel de leur venue : faire passer de la théorie à la pratique la notion de Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Il est évident que les émirs et roitelets du pétrole et leur Frankenstein, le calife Abou Bakr II de Mossoul, ne s’attendent pas à une victoire immédiate, mais au contraire à une guerre longue. Toutefois, ils ne doutent pas un instant que ce Djihâd ne soit suivi d’une totale victoire en Europe faible et aveulie.

Les transplantés de l’islam ne sont pas déracinés : ils sont venus implanter le Dâr al-Islam en Europe. Il est grand temps de s’en préoccuper. L’avenir de nos enfants et petits-enfants, autant que l’honneur exigent une puissante réaction populaire. Il serait sot d’attendre quoi que ce soit du milieu politique occidental, abêti et / ou corrompu.

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jeudi, 04 février 2016

Salaires, assistanat et dignité du travailleur

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Dr Bernard Plouvier

Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent d’énormes erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne et une plus juste appréciation de la psychologie humaine auraient pu leur faire éviter.

L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.

Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaires (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.    

Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État, au service du seul Pouvoir : l’économique, redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre émotion sociale notable que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.

Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.

En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient, depuis les années 1880, des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels – l’augmentation du coût de la vie étant strictement corrélée aux augmentations de salaires - n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années précédant la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.

Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. Comme l’a écrit Jean Anouilh, lorsqu’un jour il décida de jouer au (très bon) fabuliste : « Jamais ce que l’on vous donne ne vaudra ce que l’on prend avec sa griffe et sa dent ».

La dignité humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est ce qui fait la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.

Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980, que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.

Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la très bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.

Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand d’honnêtes parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.

Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité. Leur ego monstrueux, leur cynisme d’affairistes sont tels qu’ils ignorent une notion fondamentale : celle de la profonde dignité des êtres humains à forte conscience éthique. Cette carence dans l’information, liée à la fausseté de leur esprit, provoquera leur perte… et nul ne versera une larme sur leurs malheurs.      

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mercredi, 03 février 2016

Effondrement des cours du pétrole : où sont passés les sous ?

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Dr Bernard Plouvier

Entre autres nouvelles, plus ou moins agréables, mais toujours fort attendues, le mois de janvier amène rituellement la publication des indices économiques de l’An vieux.

Nul n’est étonné d’apprendre, s’il l’ignorait encore que, pour la énième année consécutive, le chômage s’est accru. Mais nos brillants « chefs » ayant promis, juré d’en  « inverser la courbe », il suffit de leur faire confiance et… de patienter.

La conjonction de deux autres indices est déjà plus étonnante : la croissance économique française fut de 1,1% en 2015, alors que pour la première fois depuis des lustres l’inflation a été NULLE. Or nos beaux théoriciens, à la suite de l’ambigu Lord John Maynard Keynes, sont formels : c’est l’inflation qui stimule la croissance. Or, sous Giscard, nous avions peu ou prou 10 à 15% d’inflation annuelle et une croissance très basse à partir de 1974. À l’inverse, le IIIReich maudit, où – c’est un dogme estampillé d’origine universitaire, c’est dire s’il est solide comme l’acier de chez Krupp – les dirigeants étaient « des ignares en matière d’économie », le PIB avait augmenté de 50% de 1933 à 1938, avec seulement une inflation cumulée de 6% en 6 années (elle fut de 19% en 1933-34 aux USA et de 44% en 1936-37 en France, avec des valeurs négatives de croissance). Bref, l’histoire réelle – qui n’est pas forcément celle enseignée dans les écoles et les universités – nous apporte parfois de petites joies et rejetons l’hydre de l’inflation qui ne rapporte qu’aux vendeurs et aux spéculateurs.

Mais tout cela n’est que fariboles en comparaison du séisme économique et financier des seconds semestres de l’An 2014 et de 2015 – un cru décidément maudit : l’effondrement des cours du baril de pétrole et des produits dérivés de même origine. De janvier 2011 au joli mois de mai 2014, le prix moyen – une fois corrigées les minimes variations mensuelles – avoisinait les 110 dollars US ($, si l’on préfère). En six mois, le cours chute de 100 à 60 $ et reste à ce niveau, de janvier 2015 jusqu’au début juin. Au début de l’automne 2015, il est à 45 $ et se retrouve négocié entre 33 et 35 $ en janvier 2016. En clair, il a perdu 45% de sa valeur en un an (et 65% en 18 mois).

Or, les indices des prix français à la consommation pour l’année 2015 tombent en ce même mois de janvier 2016. Et l’on constate que les prix de l’énergie n’ont chuté que de 4,7% pour le pékin de base ; les prix des articles textiles ont également un peu chuté (par diminution des coûts du transport maritime entre l’Orient producteur et l’Occident consommateur et ce grâce à la chute du prix du gas-oil, ou gazole). À l’inverse (et alors que nos braves paysans hurlent sur tous les tons qu’ils vendent à trop bas prix leurs productions), les prix alimentaires ont augmenté de 0,4% pour le consommateur (c’est beaucoup plus d’ailleurs pour certains produits, mais l’indice est forcément chose globale) et que les services ont augmenté de 1,2%.

Alors une question se pose. Qui s’est goinfré ? Qui a profité de la baisse vertigineuse des cours du pétrole ; sûrement pas l’automobiliste dont le carburant n’a sûrement pas chuté des deux tiers, ni même de 50% ou de 40%. L’État, grande puissance taxatrice, n’a pas répercuté la baisse de la matière première. Qui donc s’est également servi ? Puisqu’à l’évidence, il existe une marge énorme entre une baisse de 65% du coût de la matière première énergétique N°1 de la planète et son prix au détail. C’est une excellente question, à laquelle nos honnêtes politiciens, démocrates comme ils s’en vantent tous, vont répondre incessamment.  

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vendredi, 29 janvier 2016

Du bon usage de la fonction hospitalière

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Dr Bernard Plouvier

En ce mois de janvier 2016, comme pour reposer l’opinion publique des ignominies islamiques en Europe occidentale, la presse bruit du triste comportement de jeunes stagiaires affecté(e)s en services hospitaliers consacrés aux déments et débiles mentaux. Et ceci pose de nombreux problèmes, sans commune mesure avec la simple répulsion provoquée par les sévices physiques et moraux infligés aux patients. S’indigner est chose aisée ; éviter les récidives est plus utile ; réformer est indispensable.

D’abord, il convient de déterminer quels idiots administratifs ont pu exposer sans examen psychologique préalable des adolescents, et surtout des adolescentes de 16-17 ans, au contact effrayant d’humains qui n’en sont plus vraiment malgré les apparences, ayant perdu ce qui nous différentie des autres espèces animales : le cerveau… certes imparfait, mais avec ses six couches de neurones du néocortex, il est ce que l’évolution des espèces animales a fait de mieux pour l’instant.

On a osé, par l’effet d’une irréflexion et d’une irresponsabilité qui confinent au pur crétinisme, mettre des gamines, qui rêvent du prince charmant qui les couvrira de baisers, voire de bijoux, des idiotes à peine sorties du monde merveilleux de Walt Disney et des bisounours, qui ne pensent qu’à flirter et regarder des téléfilms made in USA débiles et sirupeux, en relation immédiate avec des « enveloppes corporelles » vidées de ce qui fait l’essence de l’être humain. Comme l’écrivait Erich-Maria Remarque (in L’Obélisque noir) à propos de débiles mentaux et de déments : « à côté de ces monstres, les animaux sont des dieux ».

Le contact avec déments, psychotiques graves et débiles profonds est déjà un traumatisme pour un étudiant en médecine lors de ses premiers stages hospitaliers (en 3e et 4e années d’études)… alors plonger gamins et gamines dans cet enfer terrestre est une absurdité, une erreur grotesque qui, dans notre monde où grâce aux téléphones-appareils photo et vidéo portables chacun peut se croire devenu le nombril du monde, débouche sur la mise en scène de sottises qui dégénèrent vite en cruautés. Plutôt que de se référer à la supercherie psychanalytique, il suffit de se remémorer La Fontaine : « Cet âge est sans pitié »… et il évoquait des gamins de moins de 10 ans ; chacun sait que les « ado » sont pires.

Depuis la fin des années 1980, les administratifs ont progressivement imposé leur dictature dans les hôpitaux, passant du rôle de gestionnaire, plus ou moins habile et mégalomaniaque, mais toujours carriériste, à celui de « chef » omnipotent, tenu en bride, exclusivement pour la question financière, par « l’autorité régionale de santé » (qui change d’appellation toutes les décennies). Le médecin chef de service, considéré comme un gêneur, est informé une fois prises les décisions, et l’infirmière-surveillante, autrefois associée aux médecins, a été placée dans la mouvance administrative, au point que certaines surveillantes ne font même plus la visite des malades avec les médecins !  

Les abominations, qui ont indigné l’opinion à juste titre, doivent servir à autre chose qu’alimenter les jérémiades sur le passé et « la jeunesse dépravée actuelle »… lamentations d’autant plus déplacées que c’est la société que nous avons créée ou tolérée qui a façonné cette jeunesse. Les « dysfonctionnements » (c’est le terme administratif pour désigner une faute, une carence d’encadrement ou tout autre accident) témoignent de l’absurdité kafkaïenne de notre système hospitalier.

Il est temps de se souvenir qu’un hôpital n’est pas « une affaire à gérer comme n’importe quelle entreprise » (paroles très souvent entendues depuis les années 1995 sq. par l’auteur, chef de service hospitalier durant trente années), mais une structure de soins, physiques et mentaux. C’est d’abord et avant tout le médecin qui soigne, étant seul habilité à établir les diagnostics, à prescrire les thérapeutiques et à juger de l’évolution… même si certaines infirmières ont voulu usurper ces fonctions, selon le schéma du principe de Peter qui veut que chaque acteur de la comédie humaine s’élève jusqu’à son plus haut degré d’incompétence.

L’ignominie récente doit être l’occasion de prendre conscience des dangereuses dérives administratives et financières qui ont présidé à la « politique hospitalière » des deux dernières décennies. Les soins sont d’abord et avant tout affaire de médecins. C’est au chef de service et à la véritable surveillante de soins de décider qui il faut affecter aux « endroits sensibles » et qui doit en être exclu. Les administratifs doivent se contenter du rôle de gestionnaires et non de celui de dictateurs, singulièrement à propos de sujets dont ils ignorent tout.

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mercredi, 27 janvier 2016

Les media et le pourrissement de l’opinion publique française

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Dr Bernard Plouvier

Depuis le début des années 1980, notre pays subit une immigration-invasion qui a non seulement accéléré son rythme d’accroissement ces dix dernières années, mais a également importé un bien inutile surplus de haine raciale et religieuse, en plus d’avoir introduit une nouvelle criminalité : le défi quotidien à l’État, avec ses moments de pointes (les fiestas de voyous contre forces de l’ordre et pompiers et, friandise suprême, les émeutes raciales).

Depuis 2014, avec un record qui ne demande qu’à être battu : celui de l’année 2015, le terrorisme islamique s’est abattu sur la France, réprimé par l’État avec la plus extrême faiblesse et une inefficacité telle que le Président de la République a cru bon d’avertir ses chers administrés du risque de nouveaux attentats.

Tout ceci est bien connu (ou devrait l’être). Or, surprises du dernier week-end – qui prouvent que l’on est encore loin d’avoir touché le fond, alors que l’on croyait impossible d’explorer plus avant les abysses de l’abjection depuis les ignominies des mois de novembre et décembre derniers -, on manifeste POUR les immigrés et un fou furieux vient, sur les écrans, clamer son approbation enthousiaste des agissements terroristes des fidèles d’Abou Bakr II et de son État Islamique... le tout devant une ministresse, issue elle-même de l’immigration-invasion, qui reste coite face à ce déchaînement de haine, à cet encouragement au crime.

Il existe certes des lois réprimant l’apologie de crimes contre l’Humanité, mais qui oserait, en France molle et corrompue, cliente des émirs et roitelets islamo-pétroliers, les appliquer dans toute leur rigueur à un cacique du système islamique pur et dur ?  

Nous a-t-on assez injuriés, depuis les années 1980, parce qu’il semblait que l’on ne respectait pas suffisamment un devoir de mémoire à propos d’une Shoah ancienne, fort peu française dans son essence et son organisation, au demeurant très largement indemnisée… et l’on ressort l’argument à chaque fois qu’un malheureux Juif est victime d’un fou d’Allah. Or c’est de la réduction en esclavage de la Nation française autochtone, après extermination de sa couche la plus patriote, qu’il s’agit désormais ! Le devoir est à la fois de mémoriser sans oubli possible les ignobles événements des années passées, mais aussi et surtout de se défendre avec la dernière énergie, soit d’être prêt à mourir s’il le faut pour assurer la survie des enfants et petits-enfants de notre race.

Il devient urgent de nettoyer les écuries et porcheries françaises : la haute direction de l’État, nos media consensuels et l’ensemble de l’islamisme militant installé en France. À la différence d’un Augias, nous n’avons pas d’Hercule local à notre disposition, même si l’on peut espérer, en cas de péril extrême, disposer d’un allié de poids venu de l’Est européen.

Nous devons surtout compter sur nous-mêmes et créer une armée de patriotes, prêts à s’engager physiquement au combat, dès que l’ennemi, déjà largement installé dans le pays, déclenchera la guerre permanente, aidé de sa puissante 5e colonne : les musulmans des forces de police et de gendarmerie, de l’armée et du gardiennage de prisons, et leurs collaborateurs et collaboratrices autochtones dévoyés.

En attendant le jour du combat, il faut inlassablement dénoncer la pourriture des media vendus aux maîtres du système économique. Ceux-là mêmes qui ont fait savoir, en ce mois de janvier 2016, qu’il était nécessaire d’introduire en l’Europe occidentale 1 million d’immigrés extra-européens supplémentaires par an durant une vingtaine d’années pour soutenir la « croissance économique »… ce qui signifie, traduit en langage clair et moins noble : maintenir les profits issus de la consommation de masse, au besoin aidée par les allocations tirées du produit de nos impôts.

Il y a croissance et croissance : la vraie qui est liée à la production et à l’exportation de nos produits et la fausse qui n’est qu’une hyperconsommation, parasitaire ou à crédit. Pour nos maîtres, tout bénéfice est bon à prendre et plus il y a de consommateurs dans les pays encore riches, plus les profits sont grands.

Le grand art de nos maîtres et de leurs valets est de masquer le sens des termes, de pratiquer la confusion sémantique… en termes moins savants : d’embrouiller le bon peuple. Il faut reconnaître qu’ils y parviennent encore très facilement. Il reste à faire un énorme travail de désintoxication d’une opinion publique abêtie et aveulie par 35 années de pourrissement systématique.  

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mardi, 26 janvier 2016

La France, province de l’Europe

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Dr Bernard Plouvier

Il serait temps que l’opinion publique autant que nos stratèges politiques et militaires comprennent cette profonde réalité qui fait grincer les dents des « souverainistes » : la France est devenue, légalement et pratiquement, une région (ou une province) de l’ensemble européen. Il faut donc tirer les conséquences de ce fait incontestable, sauf à vouloir repasser en mode nationaliste et s’enfermer dans l’autarcie politique, comme le font, avec un indéniable succès, les Suisses… qui ont un ratio immigrés/natifs bien inférieur au nôtre.

La première conséquence de l’actuel état de fait est d’ordre militaire et douanier. Dans le contexte de notre époque d’immigration-invasion musulmane, ces deux fonctions : la sécurité aux frontières et la défense, n’en font plus qu’un. Or, à toute époque historique, les stratèges du temps de paix se sont lourdement trompés, tant sur les moyens que sur la durée, voire – et c’est plus grave – sur les objectifs de la guerre prochaine.

En 1990-93, quand l’URSS et ses satellites du Pacte de Varsovie se sont effondrés, il était devenu évident pour le moindre pékin d’Europe occidentale qu’il fallait pivoter de 90 degrés vers le sud les regards angoissés, ainsi que les objectifs militaires des États du continent. Lorsque ce pékin de base exposait cette idée aux stratèges issus de Saint-Cyr ou de Polytechnique, comme aux demi-dieux sortis de l’ENA, il se faisait considérer comme un parfait abruti, qualifié de « dangereux » quand il ajoutait que l’OTAN n’avait plus aucun intérêt, ne servant objectivement que les seuls intérêts de l’État ploutocratique des USA.

Un quart de siècle plus tard, l’OTAN s’est couvert de gloire en déstabilisant – de 2008 à nos jours – les vieilles dictatures musulmanes, transformant ces pays en zones de guérilla permanente et en centres de formation des guerriers de l’islam. Il y aurait beaucoup à dire sur la véritable personnalité de Barack-Hussein Obama, fils de musulman ensuite officiellement passé à l’athéisme : le crypto-islamisme du Président des USA peut aisément se déduire de son action politique… c’est aux fruits qu’on juge l’arbre. En l’occurrence, les fruits sont pourris.

Il y a pire. L’OTAN, initialement créé à fort juste titre pour contenir le communisme, s’est mué en organisme de combat contre la seule Russie, pourtant occidentalisée, d’économie de type libéral, en voie de rechristianisation accélérée, où le chef de l’État tente de lutter contre le capitalisme de spéculation et contre une maffia qui n’a de russe que le nom (elle est composée de Juifs, de Géorgiens et de Tchétchènes : rien que d’affirmer cette triste réalité vous fait passer pour un « révisionniste »). Il est évident que la Russie de Wladimir Poutine fait hurler nombre d’humanistes financiers de Wall Street, Washington, Londres et autres hauts-lieux de la saine spéculation et de l’arnaque juridiquement inattaquable.

D’un autre côté, l’on nous assure que « la question de guerre ne se pose plus de nos jours comme autrefois… Il n’y a plus de menace à nos frontières » (in conférence donnée le 26 mars 2012 à l’Académie des Sciences morales et politiques – soit un curieux accouplement d’adjectifs -, par un stratège de poids, l’ex-chef d’état-major des armées françaises, Jean-Louis Georgelin). N’importe qui peut aisément se rendre compte que l’on a simplement déplacé notre souveraineté frontalière aux États limitrophes de l’Union Européenne… ce qui, en France, correspond à notre littoral méditerranéen, largement ouvert sur l’Afrique, et au littoral atlantique, offert à qui veut se donner les moyens de débarquer clandestinement.

Or, tout a basculé au mois de novembre 2015, moins en raison des attentats islamistes qui ne sont pas une nouveauté s’ils sont devenus d’une ampleur inquiétante, qu’en raison d’un début d’affrontement entre forces aériennes de l’OTAN (en l’occurrence l’aviation turque) et force aérienne russe. L’OTAN contre la Russie : cela peut plaire aux USA, voire à leur « 51e État » - la Grande-Bretagne, si peu « européenne » -, à leurs alliés touraniens (qui, de la Turquie au Turkménistan, menacent le Sud de la Russie et l’Ouest de la Chine), mais en aucun cas aux véritables Européens.

Notre continent ne se réduit pas à l’Union des économies européennes occidentales, centrales et danubiennes, encore moins à une relation de dépendance - qui confine à l’asservissement – avec les USA. Notre continent est le berceau de la race blanche (« caucasienne » selon les anthropologues peu savants du XIXe siècle ; en réalité, elle naquit de façon plurifocale des rives de la Baltique aux grandes plaines russo-ukrainiennes). L’Europe s’étend de l’Islande à Vladivostok. Il est temps de s’en souvenir et de mieux choisir nos amis et nos ennemis.

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lundi, 25 janvier 2016

L’Europe face au nouveau type de Djihâd

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Dr Bernard Plouvier

Il est évident que le Coran, qui prêche l’amour mutuel entre fidèles (muslim, en langue arabe), au moins de façon théorique - car son enseignement n’a jamais empêché les assassinats pour raison privée ou pour cause de différend politique, voire ethnique (en Algérie, par exemple) -, prône également la lutte impitoyable contre les apostats (sourate 4) et les infidèles (athées et croyants en un autre dieu). Les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 ordonnent à tout muslim en bonne santé de participer à la guerre sainte (ou Djihâd), tandis que d’autres sourates (3 et 10) glorifient la mort au combat des guerriers de l’islam. Nul lecteur du Coran ne peut le nier.

Toutefois, les condamnations du récent terrorisme djihadiste par de nombreux musulmans (pas tous, loin de là, et singulièrement pas par les jeunes voyous qui ravagent tant de quartiers de cités européennes, qui trafiquent, volent et violent dans les zones de non-droit et dans les lieux où ils se sentent en nombre et en force face à des policiers fort peu présents et rarement pugnaces) sont probablement honnêtes et justes.

La lutte pour imposer l’islam là où il n’est pas pratiqué par tous - ce qui définit le domaine de la guerre, Dâr al-Harb, par opposition au domaine de l’islam - est une affaire de combat entre hommes et seuls des lâches osent s’en prendre armés à des hommes désarmés, à des femmes et à des enfants. Dès son origine, l’islam fut une religion d’hommes rudes, mais non de lâches, bien au contraire. C’est une affaire de combat, voire de corps à corps, qui engage physiquement et moralement le guerrier d’Allah, pas une affaire de meurtre.  

Il est exact que les sourates 8 et 47 n’encouragent pas à la clémence envers les vaincus qui refusent de se convertir à l’islam. Le djihadiste peut tuer ses prisonniers, les vendre comme esclaves, prendre tous leurs biens (dont femmes et enfants). Il ne doit y avoir ni compromis avant ou durant le combat, ni bienveillance envers le vaincu infidèle, mais jamais la doctrine de Mahomet n’a encouragé l’assassinat pur et simple d’individus désarmés, si elle autorise les relations sexuelles avec les femmes non-musulmanes, considérées à l’égal d’esclaves… l’actuel comportement des jeunes mâles envoyés en Europe, pour former l’avant-garde de l’islam conquérant, ne surprend que ceux qui n’ont rien compris à la mentalité des djihadistes ni au contexte géopolitique actuel.

Aucune sourate du Coran, aucun des innombrables volumes de hadiths (des commentaires sur le Coran) n’envisagent la participation des femmes au combat, encore moins celle des enfants impubères. Il serait donc absurde, pour un véritable fidèle, d’armer femmes et enfants ou de les envoyer en kamikazes, porteurs de charges d’explosifs, pour tuer à l’aveugle fidèles et infidèles. En outre, cette forme de terrorisme, responsable de morts instantanées, contrevient à l’enseignement coranique qui proclame que tout être humain peut se convertir jusqu’à son dernier instant de vie : le tuer de façon inopinée lui ôte cette ultime chance. À l’évidence, le terrorisme aveugle est opposé à la pure doctrine coranique.

Il en va autrement de certains ulémas et mollahs, infiniment plus agressifs en paroles, tout en se gardant bien de s’exposer eux-mêmes. Quand l’un d’eux est tué, c’est par une action de commando nord-américain ou israélien, voire par l’effet d’un de ces « dommages collatéraux », inhérents aux bombardements de populations civiles.

Il importe de comprendre que les règles du Djihâd ont récemment changé par la volonté d’un homme : Abou Bakr II, autoproclamé calife le 29 juin 2014 et intronisé le 5 juillet suivant dans la grande mosquée de Mossoul, et de ce fait paré du titre de commandeur des croyants.

Un calife est le personnage religieux le plus important de l’islam en sa variété sunnite (qui regroupe plus d’un milliard de fidèles), à condition, bien sûr, d’être reconnu comme tel par les fidèles et surtout par les docteurs de la loi coranique, les très nombreux ulémas. La différence essentielle avec la papauté réside dans l’absence d’élection et même de collège électoral. Le fait même qu’Abou Bakr II n’ait pas été immédiatement réduit en cendres, lors de sa proclamation du 29 juin 2014 et de la cérémonie du 5 juillet, est la meilleure preuve pour ses fidèles qu’il est bien l’envoyé d’Allah, qui l’inspire directement ou par le biais de l’archange Gabriel.

Ibrahim Awad est né en 1971, dans une famille de chorfa (des individus réputés descendre de Mahomet par les femmes). Théologien islamique de la mouvance salafiste irakienne, il a été arrêté par les troupes d’occupation nord-américaines en 2004, détenu quelques mois, puis relâché, étant officiellement considéré comme quantité négligeable. Or, en mai 2010, cette soi-disant nullité succède au premier émir du tout jeune État Islamique du Kurdistan irakien, créé, armé, financé par les émirs et roitelets pétroliers de la péninsule arabique pour détruire leurs ennemis d’Irak et de Syrie et servir d’épine irritative à l’allié trop arrogant des USA.

Dès l’an 2010, Awad ordonne de multiplier les attentats, à la fois contre les chrétiens, les Juifs et les Yézidis (de lointains descendants de Zoroastriens qui refusent tout prosélytisme et pratiquent l’endogamie). De même, il lance l’offensive qui permet à l’État Islamique d’Irak et du Levant de contrôler actuellement le Nord de l’Irak et l’Est de la Syrie, en n’oubliant pas que la très riche zone pétrolifère de Mossoul sert de quartier général à cet État, le pétrole étant commercialisé par des Turcs (de l’entourage intime du Président Erdogan) et en partie acheté par des négociants israéliens !

Depuis 2010, une nouvelle forme de terrorisme djihadiste exerce ses ravages, à la fois en Occident et en terres d’islam (par exemple au Pakistan, en Malaisie et en Indonésie), par décision du calife autoproclamé. Désormais, des musulmans jugés tièdes, voire honorables, sont devenus des cibles d’attentats meurtriers, imprévisibles sauf à infiltrer le quartier général de l’État islamique. Abou-Bakr II a une vision très personnelle du djihad, peu conforme à la pure tradition coranique. Il a réactualisé, vis-à-vis des victimes musulmanes des attentats qu’il commandite, la très cynique phrase d’un prélat français lors de la Croisade des Albigeois : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ».  

La simple honnêteté commande de reconnaître ces faits, tandis qu’une nouvelle guerre religieuse féroce, impitoyable et très stupide, commence à ensanglanter notre continent.

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dimanche, 24 janvier 2016

Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?

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Dr Bernard Plouvier

Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.

Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.

Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.

De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.

Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.

Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.

De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice. 

Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.  

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