jeudi, 07 janvier 2016
Les bonnes et les mauvaises Milices
Dr Bernard Plouvier
En Hollando-Vallserie taubiresque & cazeneuvienne, on ne manque certes pas d’occasions de mourir de rire. La fin de l’An 2015, cru exceptionnel du terrorisme musulman dans notre ex-beau pays, nous a apporté cette merveilleuse distinction entre « bonnes milices », composées de « gentils musulmans », et « mauvaises milices », composées d’honnêtes citoyens français exaspérés.
Durant le second semestre de l’an 2015, un préfet fort sourcilleux du Bien public (à moins que ce ne soit un simple carriériste) avait conspué un maire - en l’occurrence celui de Béziers, ville où l’immigration africano-musulmane fait de longue date peser une insécurité devenue de notoriété nationale. Le fonctionnaire de l’État, payé avec le produit des impôts versés par les contribuables, se proclamait « scandalisé » par la création d’une milice citoyenne destinée à protéger les personnes et les biens des honnêtes gens, menacés par une racaille trop bien connue et fortement typée. C’était l’archétype de la « mauvaise milice »… c’est tout juste si l’on n’évoquait pas les mânes de feu Joseph Darnand (par ailleurs, héros de 1916-18 et de 1939-40 : huit citations ; déclaré « artisan de la victoire » en 1918 et « premier soldat de France », en 1940 ; il est bon de le rappeler, car beaucoup d’historiens patentés semblent oublier ces faits).
En contrepoint, les pitres de l’hiver 2015-2016 nous vantent les « bonnes milices ». Des musulmans ont décidé de former des piquets près des églises et des temples pour assurer la tranquillité des chrétiens lors des messes de minuit et des célébrations diurnes du culte. Je vois d’ici le regard et le coup de gueule de mon père si on lui avait fait le coup ! Mon grand-père maternel, mort des suites de ses blessures de la Grande Guerre, n’avait guère l’occasion de sortir de chez lui avant de mourir un quart de siècle avant ma naissance, mais mon autre grand-père, qui avait fait – et plutôt honorablement - les deux guerres, en serait mort, soit de colère, soit d’un éclat de rire homérique.
En France, christianisée depuis près de deux millénaires, des musulmans – repoussés avec pertes et fracas il y a 12 siècles et réintroduits subrepticement il y a 40 ans par des politiciens, car l’on « fête » cette année le 40e anniversaire du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des travailleurs immigrés – osent jouer les « bons Samaritains » (qui sont des Juifs ultra-orthodoxes n’acceptant que la Torah)… alors même que ce sont des musulmans qui pillent, vandalisent, incendient églises, temples et synagogues, qui ravagent des cimetières chrétiens, qui tuent, violent et mutilent des Blancs et des Blanches.
Que les bons apôtres musulmans caressent rudement l’échine et nous débarrassent définitivement – de quelque façon que ce soit - de leurs rejetons maudits, pillards, vandales, incendiaires, violeurs, assassins, terroristes : OUI, mille fois OUI. Cela épargnera du temps et de la peine aux forces de l’ordre. Mais qu’ils ne viennent pas, CHEZ NOUS, jouer la comédie du gentil, du douceâtre, du « faiseur de beau geste », des « pères nobles » (alors qu’ils se sont avérés totalement incapables d’éduquer leurs rejetons, de les policer, de les amener au niveau minimal de civilisation) !
Hélas, il est des « Français » de souche, même des prêtres pour saluer cette « délicate initiative » ! Comme l’écrivait Jean Cau : « Nous sommes devenues les précieuses ridicules sodomisées »… enfin, certains capons et certaines femelles se comportent de cette façon. Il ne faudrait surtout pas que les musulmans, à la condescendance hautaine, jugent la masse des Français à l’aune des collaborateurs, des dhimmis et des soumis.
2015 fut l’année de la haine musulmane (en lecteur – peu sympathique, voire même franchement hostile - du coran, je me refuse à dissocier l’islamiste du musulman, puisque le djihâd est un impératif catégorique pour « tout musulman en bonne santé »). 2016 pourrait devenir bien moins paisible pour certaine communauté si ses rejetons pourris recommençaient à assassiner du Blanc pour le plaisir, que ce soit celui d’allah ou celui de ses tueurs. La patience, la mansuétude, les bonnes manières de gens hautement civilisés, face à des barbares, ont leurs limites, qu’il serait hasardeux de surestimer.
14:09 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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