mercredi, 25 novembre 2015
Mardi 8 décembre, Chantonnay (85) : conférence sur la Vendée
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vendredi, 20 novembre 2015
20 novembre 1936 : assassinat de José-Antonio
Synthèse nationale archives cliquez ici
Mieux connaitre José-Antonio cliquez ici
Commander le livre en ligne cliquez là
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samedi, 01 août 2015
Cet été, le Calvados fête son Histoire
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samedi, 18 juillet 2015
Lucien Rebatet invité de Jacques Chancel (10 décembre 1969)
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jeudi, 26 mars 2015
26 mars 1962 : fusillade de la rue d'Isly à Alger
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mercredi, 04 mars 2015
Samedi 14 mars, inauguration de la rue Commandant Denoix de Saint Marc à Béziers
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dimanche, 01 mars 2015
Samedi 14 mars, l'association Oriflamme commémore Baudouin IV de Jérusalem
L'association "Oriflamme", organisatrice en mai dernier de la magnifique procession dans Paris en mémoire de Saint Louis, vous invite à la rejoindre à l'église Saint Eugène. Cliquez ici.
Samedi 14 mars 2015 - 10h : messe de requiem en l'honneur de Baudouin IV de Jérusalem, le "roi lépreux" (1161-1185)
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mardi, 20 janvier 2015
Quand le terrorisme était une valeur républicaine
Gérard-Michel Thermeau
Contrepoint cliquez ici
Si la réalité du terrorisme est ancienne, le mot français est un héritage de la Révolution française. La Première République est née dans et par la Terreur.
La monarchie à peine renversée, une première Terreur pousse les révolutionnaires à massacrer dans les prisons de Paris plus de 1000 détenus considérés comme des « ennemis de l’intérieur » prêts à égorger les « patriotes » en septembre 1792. La plupart des victimes étaient de banals détenus de droit commun. Les éléments radicaux ne cessent de faire pression sur les organismes officiels, contraints ainsi d’adopter une politique visant à faire peur aux ennemis de la Révolution, ces comploteurs, ces traîtres, ces puissances étrangères qui veulent, dans l’esprit des révolutionnaires, « terroriser » les partisans de la Révolution. La Terreur réelle répond à une menace terroriste contre-révolutionnaire fantasmée.
Dans la situation de guerre où la France révolutionnaire est en guerre contre l’Europe coalisée, toute opposition est traduite comme une « trahison ». La Seconde Terreur, légale cette fois, se met en place. Comme le déclare Danton : « soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être ». L’argument est toujours repris par les historiens : la Terreur légale a permis d’encadrer la violence et donc éviter une violence plus grande encore. « Il est temps d’épouvanter tous les conspirateurs » déclare le club des Jacobins dans son adresse à la Convention le 5 septembre 1793. La Terreur était désormais « à l’ordre du jour », formule creuse qui permettait toutes les mesures d’exception.
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vendredi, 02 janvier 2015
Histoire des Chouanneries...
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mercredi, 31 décembre 2014
Paris : exposition Saint Louis à la Conciergerie jusqu'au 11 janvier
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vendredi, 12 décembre 2014
Une initiative intéressante pour les familles : L'Histoire du soir...
En savoir plus cliquez ici
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mercredi, 26 novembre 2014
Le Cercle Franco-Hispanique a rendu hommage au Général Franco et à José Antonio Primo de Rivera
Dans le cadre de ses rendez-vous annuels, le cercle Franco-hispanique a maintenu la tradition de faire dire une messe pour le repos de l’âme de Francisco Franco et celle de Jose Antonio Primo de Rivera. Une petite cinquantaine de personnes a donc répondu présent à l’invitation qui leur avait été adressée le 19 novembre dernier, en la Chapelle du Sacré-Cœur-de-Jésus située au 20 rue Gerbert, Paris 15e.
C’est l’Abbé Toulzat, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X qui a prononcé une très belle homélie et redonné confiance et espérance dans le combat à poursuivre. Un sermon d’hommage rendu au Chef d’Etat espagnol très catholique et qui a remis la catholicité au premier rang des valeurs de son pays. Il faut dire que l’abbé Toulzat qui dirige la revue Fideliter connait particulièrement bien la question franquiste pour lui avoir consacré notamment plusieurs dossiers. Nous sommes dans de bonnes mains et nous sommes ici « chez nous » a-t-il dit. Semper fidelis nous va très bien !
D'autre part, le Cercle Franco-Hispanique vient de publier un petit livre fort intéressant dans lequel vous pourrez lire les sermons prononcés par Monsieur l'Abbé Beauvais ces dix dernières années lors des messes du 20 novembre.
Vous pouvez commander ce livre vendu au prix de 10 € (+ 3€ de port) au Cercle Franco-hispanique 4 bis, rue Caillaux 75013 Paris
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jeudi, 20 novembre 2014
20 NOVEMBRE 1936
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mercredi, 06 août 2014
A ceux qui donnent des leçons...
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lundi, 28 juillet 2014
Rien de nouveau au Proche-Orient...
NI HAMAS, NI TSAHAL : CETTE GUERRE N'EST PAS LA NOTRE !
Editorial de Roland Hélie publié dans le numéro 12 (janvier février 2009) de la revue Synthèse nationale :
Parmi les « dégâts collatéraux » provoqués par les affrontements qui se sont déroulés ces dernières semaines au Proche Orient, on pourrait presque inclure les nouvelles divisions que ceux-ci entrainent au sein de la droite nationale (1). Bien sûr, il convient de relativiser l’aspect tragique de ce constat car, fort heureusement, ces divisions n’ont pas encore entraîné mort d’homme… Néanmoins, ces événements sont survenus à point nommé, au moment où notre famille politique semble avoir beaucoup de mal à rebondir, pour creuser encore plus les fossés qui séparent les mouvements nationaux et identitaires entre eux et les éloigner de leur mission essentielle, celle de défendre notre peuple, notre nation et notre civilisation. Décidément, on peut leur faire confiance, les Juifs et les Arabes excellent dans l’art d’exporter leurs discordes partout, y compris là où on s’y attendrait le moins.
Ainsi, depuis le début de ce nouvel épisode de la guerre fratricide qui oppose les descendants des fils de Sem, toute la droite nationale se chamaille sur la position à adopter. Certains font une surenchère effrénée à la dialectique gauchiste, confondant au passage la légitime revendication du Peuple palestinien à disposer d’un Etat et les positions islamistes maximalistes du Hamas, alors que d’autres, au nom d’une notion totalement pervertie de l’Occident, se pâment d’admiration devant la force, réelle ou supposée, de l’armée israélienne. Une fois de plus, on nage en pleine confusion.
Depuis une trentaine d’années, je me suis personnellement toujours prononcé en faveur d’un Etat palestinien. A une époque où presque toute la droite nationale soutenait, probablement par nostalgie de l’Algérie française, l’Etat hébreu, nous étions alors ultra minoritaires, au sein des mouvements nationaux et nationalistes, à adopter une telle position. Nous l’expliquions tout simplement par le droit des peuples à disposer d’un Etat. Au même titre d’ailleurs que les Israéliens avaient le droit au leur. Je ne regrette en rien cet engagement, que je considère toujours comme le plus logique. Néanmoins, depuis, les choses ont nettement changé. La résistance palestinienne était alors nationaliste, laïque et révolutionnaire. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Hamas est islamiste, fondamentaliste et impérialiste (non seulement il veut détruire Israël, mais il veut aussi la fin de notre civilisation européenne). Nous sommes loin du baasisme bon teint ou du nassérisme triomphant de la seconde moitié du XXème siècle.
Deux peuples, un territoire : le bât blesse…
En fait, là où le bât blesse, c’est lorsque deux peuples ont la même prétention sur un même territoire. Comme c’est le cas dans ce sempiternel conflit israélo-palestinien. La solution la plus sage consisterait à procéder à une partition qui mettrait tout le monde d’accord. Mais peut-on encore, aujourd’hui, raisonnablement envisager une telle solution ? Toutes les tentatives de conciliation qui se sont succédées depuis la création, en 1947, de l’Etat d’Israël ont échoué. Plus encore, la situation n’a fait qu’empirer. J’en arrive donc à la conclusion qu’il est plus que temps de laisser les protagonistes se débrouiller entre eux. Tout le reste n’est que bavardages, postures esthétiques et, surtout, perte de temps… Prendre parti dans ce conflit n’apporterait rien au mouvement national.
S’il est vrai que les moyens et les méthodes de Tsahal sont totalement disproportionnés par rapport à ceux des Palestiniens ; s’il est vrai que si n’importe quel autre pays du monde avait utilisé les mêmes méthodes et les mêmes moyens pour régler un quelconque conflit avec un de ses voisins, toutes les « forces du bien » se seraient mobilisées pour éliminer ce « maudit pays » (souvenez-vous du sort qui fut réservé à la malheureuse Serbie il y a une dizaine d’années ou à l’Irak il y a vingt ans…) ; il n’en est pas moins vrai que le Hamas, qui n’hésite pas à mettre des enfants en première ligne face aux chars israéliens, considère qu’Israël doit être détruit et que, pour cela, tous les moyens sont bons, y compris le terrorisme aveugle. Terrorisme aveugle auquel les sionistes n’avaient d’ailleurs pas hésité à recourir, en d’autres temps, pour lutter contre les Anglais.
Entre ceux qui réclament « un soutien indéfectible à l’Etat d’Israël », comme s’ils ne savaient pas que les Etats n’ont pas d’amis ni d’alliés à soutenir mais que des intérêts à défendre, et ceux qui, souvent fraichement convertis au nationalisme, invoquent de fallacieuses raisons humanitaristes pour appeler à manifester, aux côtés de l’extrême gauche et des mouvements antiracistes, contre l’agression israélienne, nous n’avons vraiment pas à choisir. Peut-être que, si nous étions Israéliens, nous serions farouchement partisans de liquider la résistance palestinienne. De la même manière que, si nous étions Palestiniens, nous nous ferions un devoir de soutenir le Hezbollah ou le Hamas. Mais il se trouve que nous ne sommes ni les uns ni les autres, nous sommes Français et Européens et que, par conséquent, nous n’avons qu’un seul choix à faire : celui de la défense de nos intérêts et de nos intérêts seulement.
Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens…
Robert Spieler, au nom de la Nouvelle Droite Populaire, a parfaitement résumé la position qui conviendrait d’être prise par le mouvement national et identitaire dans son ensemble : « Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens ». Ce à quoi Pierre Vial, Président de Terre et peuple, ajoute de manière imagée : « Ni hallal, ni cacher »… Oui, tous ces emblèmes d’entités étrangères à notre civilisation européenne qui envahissent les rues de nos villes et qui détériorent, petit à petit, notre patrimoine et notre conscience collective doivent être rejetés simultanément. On ne peut pas à la fois combattre l’immigration de peuplement qui menace les fondements de notre civilisation et la violence qui en découle et qui s’amplifie partout sur notre territoire d’un côté et, de l’autre, glorifier les organisations terroristes, que celles-ci soient sionistes ou islamistes. On ne peut pas à la fois militer sincèrement pour une France française dans une Europe européenne et se pavaner derrière les drapeaux, quels qu’ils soient, de puissances ou d’organisations qui veulent la mort de notre identité. Il faut arrêter de dire et de faire n’importe quoi.
Nous ne pourrons libérer notre continent de ceux qui l’envahissent et de ceux qui le contrôlent que si nous nous appuyons sur les valeurs, les symboles et les traditions qui sont les nôtres. Pour cela, il faut d’abord redonner à notre peuple une conscience ethnique, condition sine qua non à notre redressement national et identitaire. Si nous voulons gagner, nous devons d’abord être ce que nous sommes.
Notes
(1) Lire à ce sujet l’article de Jérôme Bourbon publié dans Rivarol (n°2888 du 16 janvier 2009).
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mercredi, 09 juillet 2014
Colonel Antoine Argoud
Source La Flamme cliquez ici
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mardi, 08 juillet 2014
La Légion quitte Orange...
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samedi, 21 juin 2014
21 juin 1973 : meeting d'Ordre nouveau contre l'immigration sauvage à Paris...
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lundi, 19 mai 2014
La Serbie dans la Grande guerre
Centre culturel de Serbie cliquez là
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Grand succès de la procession Saint Louis...
Plus de 2 000 personnes étaient présentes à la grande procession organisée par l’association Oriflamme ce samedi 17 mai, à l’occasion du huitième centenaire de la naissance de Saint Louis, le 25 avril 1214.
Fait remarquable, que certains n'hésitent pas à qualifier d'historique, la présence conjointe des prétendants orléaniste et légitimiste au trône de France, le Comte de Paris, Henri d’Orléans, et Louis de Bourbon ("Louis XX"), montrant ainsi à tous leur attachement mutuel à l’Histoire de notre pays.
Derrière le clergé, un groupe de chevalier de l’Ordre de Malte en grande tenue précédait la statue de Saint Louis.
Le choeur Montjoie Saint-Denis ainsi que la Fanfare Royale "l’Avenir" d’Hanzinne animaient la procession en alternant cantiques, litanies, chants en français et en latin, ainsi que des pièces instrumentales.
La procession s’est magnifiquement conclue à Notre-Dame de Paris par une ostension solennelle de la couronne d’épines et des Reliques de la Passion acquises par Saint Louis.
Lire Ligue francilienne cliquez là
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vendredi, 16 mai 2014
La vérité sur Dien Bien Phu, par Roger Holeindre
Voici la dernière publication de Roger Holeindre : « Il y a 60 ans, Dien Bien Phu »
A l’occasion du soixantième anniversaire de cette héroïque tragédie, voici une belle brochure richement illustrée, qui est « est un hommage à ceux qui surent se battre, souffrir et mourir. »
Elle remet aussi quelques pendules à l’heure…
90 pages en couleurs, format 21 x 29,7 cm, nombreuses photos. 15 €. TTC.
Commande à passer au Cercle National des Combattants, 38 rue des Entrepreneurs, 75 015 Paris. Chèque à l'ordre du CNC.
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mercredi, 14 mai 2014
13 mai 70 : 1er meeting d'Ordre nouveau
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mardi, 06 mai 2014
RAPPEL : Dimanche 11 mai, hommage aux combattants d'Indochine
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mardi, 29 avril 2014
Dr Merlin chante Verdun...
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lundi, 28 avril 2014
Castelsarrasin, 7 mai 2014 : commémoration de Dien Bien Phu
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vendredi, 25 avril 2014
Lisbonne, 25 avril 1974 : la "révolution" qu'il faut mieux oublier...
Le 25 avril 1974, il y a 40 ans aujourd'hui, un soulèvement militaire orchestré par une poignée d'officiers marxistes, mettait fin à l'Etat nouveau instauré par le professeur Salazar 40 ans plus tôt. En quelques jours le Portugal sombrait dans la guerre civile et dans le chaos. Il mettra des années à s'en remettre.
40 ans après cette pénible période, alors que le pays est au bord de la crise, plus de 40% des Portugais considèrent qu'Antonio de Oliveira Salazar a été le plus grand homme de l'Histoire de leur pays. On comprend mieux pourquoi l'intelligentzia marxisto-mondialiste, pourtant si prompte à fanfaronner sur ses "victoires", se montre plutôt discrète sur cet anniversaire.
Pour mieux connaître cette période de l'histoire portugaise, lisez le livre que Jean-Claude Rolinat a consacré à celui qui fit de son pays une nation moderne : Salazar le regretté...
Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2012, 164 pages, 18,00€
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24 avril 1903 : naissance de José Antonio Primo de Rivera
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vendredi, 18 avril 2014
A l'origine était Ordre nouveau...
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jeudi, 10 avril 2014
2014 : 800e ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE SAINT LOUIS !
Une date à retenir. En savoir plus, cliquez là
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dimanche, 06 avril 2014
20 ans après sa mort : Léon Degrelle toujours tabou en Belgique
Pour en savoir plus, achetez le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Léon Degrelle...
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