mercredi, 27 mars 2019
Il y aura 50 ans à l'automne prochain naissait le mouvement Ordre nouveau
Source EuroLibertés cliquez là
« La plupart de nos militants étaient révoltés contre la société, mais également intégrés dans leur génération ; ils n’étaient pas tombés d’une autre planète… »
À l’heure où l’actuel Président Macron, entend engager la dissolution de plusieurs groupes dit « d’extrême-droite » sans qu’on sache encore s’il s’agit d’un simple effet d’annonce légalement impossible à tenir (NDLR SN cliquez ici), il est intéressant de rappeler le précédent de la dissolution d’Ordre nouveau… il y a près de quarante-cinq ans !
Ancien dirigeant d’Ordre nouveau, Alain Renault a présenté la réédition d’un ouvrage collectif, introuvable pendant des décennies, résumant l’histoire et les positions de ce mouvement pas vraiment comme les autres. Souvenirs et remise en perspective…
(propos recueillis par Nicolas Gauthier)
Quarante ans après sa dissolution, le mouvement Ordre nouveau exerce toujours la même fascination. Nostalgie ? Ou effet de look sacrément efficace ?
La nostalgie est très « tendance », c’est même un marché… Il est bien certain que pour ceux qui ont connu cette époque, elle se confond avec leur jeunesse et ils entretiennent parfois la flamme comme d’autres font le succès de la « tournée des yé-yé »… Quant aux jeunes générations, elles peuvent naturellement être fascinées par un passé plus ou moins mythifié, comme nous étions nous-même fascinés par nos aînés de Jeune nation ou les grands anciens du Parti Populaire Français ou des Camelots du 6 février 1934. Qu’Ordre nouveau en soit le support n’a rien d’étonnant puisqu’il était le mouvement nationaliste le plus important des années 70 et que son action avait connu un fort retentissement médiatique.
Ce qui a fédéré « l’extrême droite » de l’époque, c’était l’anticommunisme. Cela suffisait-il à susciter une doctrine alternative au système d’alors ?
La plupart des militants étaient révoltés contre la société, mais également intégrés dans leur génération ; ils n’étaient pas tombés d’une autre planète. L’engagement par simple « anti-communisme » est souvent l’alibi de ceux qui veulent minimiser leur action de l’époque. Il y avait de nombreux autres moyens que le militantisme à l’extrême droite pour lutter contre le seul communisme. La première affiche d’Ordre Nouveau était « Face au Régime, face au marxisme, pour un Ordre nouveau », ce qui est loin d’une simple lutte contre les Rouges.
Certes, « l’Ordre nouveau » était une notion vague et la « doctrine alternative » n’a jamais été très développée. Quant au système d’alors, c’était le même que celui d’aujourd’hui, il s’est simplement renforcé. Il est d’ailleurs lui-même une sorte de communisme, les formes d’oppression sont simplement plus subtiles.
A contrario, l’extrême droite, à l’instar de l’extrême gauche, a donné naissance à un indéniable vivier de futurs talents. Était-ce là le destin d’Ordre nouveau ? Servir de pépinière plutôt que de sections d’assaut ?
Est-ce le mouvement qui donne du talent à ses adhérents ou ceux-ci qui apportent leurs talents au mouvement ? C’est l’éternel problème de la poule et de l’œuf. En réalité il y a une interaction et le militantisme est extrêmement formateur comme le relevait déjà Henry Charbonneau dans ses Mémoires de Porthos. On y côtoie une ménagerie diverse allant du gorille au singe savant, du videur de boîte au normalien, on apprend à rédiger, prendre la parole, arbitrer des conflits, jouer les imbéciles en certaines circonstances, tenter de passer pour intelligent dans d’autres, monter des coups avec une caisse vide, recruter… Recruter, c’est persuader un individu de payer une cotisation qui permettra d’imprimer du matériel qu’il sera chargé de propager à ses frais avec comme seule perspective personnelle un séjour au poste de police ou à l’hôpital.
Bref, quand on est devenu un bon militant, on est armé pour la vie, mieux qu’en acquérant 3 UV de plus dans son cursus universitaire. Quant aux sections d’assaut, il ne faut pas tomber dans le mépris affiché par quelques intellos pour de gros bras présumés microcéphales. D’abord, on peut être à la fois costaud, courageux, intelligent et cultivé. Je vous concède que l’espèce est rare, plus rare d’ailleurs que celle de ceux qui n’ont aucune de ces qualités. Mais, bien souvent, il vaut mieux disposer de quelques solides gaillards que d’évanescents exégètes de la pensée d’Oswald Spengler. Cela ne sert à rien de réfléchir dans une cave si l’absence de force vous interdit d’en sortir. Comme le dit un chant : « L’homme des troupes d’assaut trace le chemin de la liberté. »
Ordre Nouveau, présenté par Alain Renault, Éditions Déterna, collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 460 pages, 35 euros. Pour commander ce livre cliquez ici
Sur le site synthese-editions.com, un certain nombre de numéros de Pour un Ordre nouveau cont encore en vente cliquez ici
08:34 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
samedi, 23 mars 2019
Un peu d'Histoire : 23 MARS 1919-23 MARS 2019, LE FASCISME A 100 ANS !
Forum SI cliquez ici
Lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale, en août 1914, Benito Mussolini, qui est alors le dirigeant le plus en vue du socialisme italien et le directeur de L’Avanti!, son organe de presse, n’est pas favorable à l’intervention de l’Italie dans le conflit. Et puis, il évolue, estimant que l’Italie ne peut rester en dehors de cet événement historique gigantesque, qu’elle pourrait récupérer enfin ses terres « irrédentes » en se rangeant aux côtés de la France et de la Grande-Bretagne contre les Empires centraux réactionnaires, et qu’enfin, selon une vision très léniniste, la participation à la guerre pourrait créer les conditions de cette Révolution qu’il appelle de ses vœux. Contraint de quitter le Parti socialiste en raison de cette évolution, il prend la tête de l’« interventionnisme de gauche », crée Il Popolo d’Italia (qui sera ensuite l’organe de presse du fascisme) avec l’aide des socialistes français (et l’accord de leur gouvernement), et lance une grande campagne pour l’intervention, aux côtés du poète Gabriele D’Annunzio, campagne qui culmine avec le « Mai radieux » et l’entrée en guerre de l’Italie en 1915.
Une fois la guerre terminée, Mussolini comprend qu’il doit donner un minimum d’organisation au vaste mouvement d’opinion qu’il a créé. Après diverses réunions et initiatives préparatoires, il convoque, le 23 mars 1919, une assemblée représentative de ceux qui le soutiennent (interventionnistes de gauche, syndicalistes-révolutionnaires, futuristes et « arditi » des troupes de choc de la Grande Guerre) dans une salle de la piazza San Sepolcro à Milan. 119 personnes sont venues, que l’on appellera ensuite les « Sansepolcrisiti ». Outre Mussolini, on note, selon certaines sources, la présence du futuriste Marinetti, des futurs « quadriumvirs » de la Marche sur Rome du 28 octobre 1922 (Balbo, De Vecchi, De Bono et Bianchi : cf. notre article du 28 octobre 2018), ainsi que celle de Roberto Farinacci, qui sera ultérieurement l’un des secrétaires généraux du Parti national fasciste. Mais l’on en est pas encore à la fondation d’un parti, qui ne devait avoir lieu que fin 1921. Pour l’instant, il s’agit de peser sur la vie politique italienne dans un sens à la fois nationaliste, en veillant à ce que les fruits de la Victoire ne soient pas oubliés, et socialiste, car l’interventionniste de gauche Mussolini et les syndicalistes-révolutionnaires qui l’ont suivi savent bien qu’il n’y a pas d’unité nationale sans justice sociale. Pour ce faire, ils décident donc de créer les Faisceaux italiens de combat (« Fasci italiani di combattimento »), structures très souples et décentralisées, dotées d’un programme très révolutionnaire et destinées à recevoir tous ceux, combattants et producteurs, qui veulent combattre à la fois l’égoïsme bourgeois et l’impuissance d’une certaine gauche, qui n’a pas pardonné la campagne interventionniste de Mussolini.
En ce 23 mars 1919, le fascisme était né. Il a profondément marqué l’Europe et le reste du monde : il n’a certainement pas dit son dernier mot !
02:19 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 06 février 2019
6 février 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
Les Amis de Robert Brasillach CLIQUEZ ICI
08:32 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 11 janvier 2019
Un peu d'Histoire...
15:17 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 20 novembre 2018
20 NOVEMBRE : HOMMAGE À FRANCISCO FRANCO ET À JOSE ANTONIO PRIMO DE RIVERA
Le 20 novembre 1936, à Alicante, Jose Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, était assassiné par les rouges. Le 20 novembre 1975, à Madrid, Francisco Franco, chef de l'Etat espagnol, décédait après avoir dirigé l'Espagne pendant près de 40 ans et lui avoir redonné sa place de grande nation.
En s'engageant, au milieu des années 30, dans la grande croisade contre le bolchevisme, ces hommes ont épargné à leur pays de sombrer dans l'enfer communiste. ils ont probablement aussi évité à l'Europe de se retrouver, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, coincée entre le bloc de l'Est et une péninsule ibérique à la botte des soviétiques. Cela, il ne faut jamais l'oublier.
Voilà pourquoi, au moment où l'unité de l'Espagne est à nouveau menacée et que le peuple espagnol commence à s'éveiller, les nationalistes français et européens doivent honorer leur mémoire...
S.N.
Sur la Phalange,
lire le CHN 13 cliquez ici
09:53 Publié dans En Europe et ailleurs..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 02 novembre 2018
Espagne : un "artiste" vandalise la tombe de Franco
Comme nous le rappelle l'excellent éditorial de Boulevard Voltaire d'hier, la tombe du Général Franco, sauveur de l'Espagne décédé le 20 novembre 1975, n'arrête pas de poser des problèmes à la clique socialiste momentanément au pouvoir à Madrid et qui ne sait plus comment se dépêtrer de cette affaire. Mais comme il y a toujours plus radical que soit, hier un scribouillard qui se prend pour un artiste est venu sur la tombe du Caudillo pour la maculer de peinture pensant peut être que cela allait précipiter les choses. Pauvre crétin qu'il est...
Arnaud Robert, dans le quotidien Présent cliquez ici d'aujourd'hui, revient avec humour sur ce "fait d'armes" d'un demeuré sans gloire : Il y a la myriade de « déséquilibrés » qui jouent du couteau halal ou de la voiture mal entretenue et incontrôlable.
Il y a par ailleurs les « artistes » du bon goût, activement promus par les médias, comme les Femen du cirque Soros, Jeff Koons et ses ballons gonflables, Paul Mc Carthy et son délicat plug anal ou ce peintre talentueux, Enrique Tenreiro, subversif ô combien !
Boris Vian allait cracher sur les tombes. Tenreiro, lui, a profané la tombe de Franco, profitant de la Toussaint. Quelle formidable « performance », quelle prise de risque insensée, quelle créativité, digne d’un Ribes !
Chapeau bas, monsieur l’artiste.
S.N.
10:29 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 24 octobre 2018
Il y a 62 ans, Budapest se soulevait contre la dictature communiste
Lorsqu'il y a 62 ans, fin octobre 1956, les chars soviétiques écrasaient l'insurrection de Budapest, les nationalistes hongrois étaient sans doute loin d'imaginer que, 62 ans plus tard, leur pays serait le phare de la renaissance européenne... Comme quoi, il ne faut jamais douter, ni se laisser décourager.
Pour mieux comprendre la Hongrie :
Le commander en ligne cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
Les commander en ligne cliquez ici
09:52 Publié dans En Europe et ailleurs..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Samedi 1er décembre, Les Sables d'Olonne (85) : LE SOUVENIR VENDÉEN HONORE LES MORTS DE 1793-1794
00:30 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 23 octobre 2018
N'oubliez pas les 58 parachutistes français tués à Beyrouth au Drakkar le 23 octobre 1983
11:28 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 22 octobre 2018
Disparition du Professeur Robert Faurisson
Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 90 ans, du Professeur Robert Faurisson.
Que l'on soit d'accord ou pas avec ses travaux et ses conclusions, force est de reconnaître le courage et l'audace de cet homme qui a consacré sa vie à des recherches minutieuses sur un aspect pour le moins controversé de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale.
Les chacals de la bien-pensance institutionnalisée vont bien sûr se croire obligés de déverser leurs insultes sur la mémoire de ce chercheur opiniâtre, ce d'autant plus qu'il n'est plus là pour se défendre.
Pour lever toutes ambiguïtés, il faudra bien qu'un jour ou l'autre, de manière apaisée, le débat entre historiens soit ouvert sur les sujets soulevés par le Professeur Faurisson. RIP.
S.N.
10:09 Publié dans Informations nationales, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
dimanche, 23 septembre 2018
Comme c'est bien dit...
17:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 23 juillet 2018
23 juillet : mort du maréchal Philippe Pétain
11:50 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 09 juillet 2018
Ile d'Yeu (Vendée) : MERCREDI 25 JUILLET, 67e ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL PHILIPPE PÉTAIN
16:31 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 11 avril 2018
LA HONGRIE, L'INSOUMISSION EXEMPLAIRE : BUDAPEST 1956, ORBAN 2018
Pour comprendre ce qui s'est passé à Budapest en 1956 : lisez les livres de David Irving Budapest 1956 Insurrection (2 volumes édités par Synthèse nationale en 2016).
PROFITEZ DE CETTE OFFRE :
LES 2 VOLUMES POUR 35 €
Pour les commander cliquez ici
12:03 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 10 avril 2018
Dimanche 15 avril, en Vendée : pèlerinage annuel en hommage aux Martyrs des Lucs
21:03 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 09 avril 2018
Samedi 28 avril, commémoration de la naissance du Maréchal Pétain
18:17 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 20 mars 2018
Samedi 21 avril à Avignon : Hommage à Charles Maurras en présence de Jean-Marie Le Pen
10:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 06 février 2018
En ce 6 février...
10:14 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 19 janvier 2018
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI cette fin de semaine cliquez ici
13:37 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 16 janvier 2018
Samedi 20 janvier à Paris : HOMMAGE DE L'ACTION FRANÇAISE À LOUIS XVI
15:16 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 05 janvier 2018
Un peu d'Histoire : Franck Abed revient sur la biographie de Louis XIX écrite par François de Coustin
François de Coustin, d’abord journaliste, avait commis en 1989 Gens de noblesse. Il occupe aujourd’hui la fonction de conseiller pour le patrimoine et l’histoire, auprès du Gouverneur de la Banque de France. Il nous propose une biographie passionnante consacrée à Louis XIX, ce roi oublié par l’histoire et les Français.
Qui connaît la vie ou même l’existence de Louis-Antoine de Bourbon-Artois, duc d’Angoulême (1775-1844) ? Poser la question revient en réalité à y répondre. Cet ouvrage lui donne une seconde vie, et lui rend justice parce que malgré tout « les vaincus de l’histoire ont aussi contribué à l’écriture de celle-ci, à leur façon ».
Lire ce texte cliquez ici
Louis XIX, François de Coustin, Perrin, 2017, 480 pages, cliquez ici
23:35 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
jeudi, 07 décembre 2017
Jeudi 7 décembre : dîner-débat avec Gabriele Adinolfi et Philippe Conrad sur les 100 ans de la révolution bolchevique
01:51 Publié dans Gabriele Adinolfi, Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 27 novembre 2017
Un dîner-débat avec Gabriele Adinolfi et Philippe Conrad jeudi 7 décembre à Paris sur le centenaire de la révolution bolchevique
16:57 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 20 novembre 2017
20 NOVEMBRE : ANNIVERSAIRE DE L'ASSASSINAT DE JOSE ANTONIO PRIMO DE RIVERA, FONDATEUR DE LA PHALANGE ESPAGNOLE
SUR JOSE ANTONIO CLIQUEZ ICI
07:41 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 30 octobre 2017
Lorsque Barcelone acclamait le Général Franco
Comme chacun est sensé le croire (pour respecter les dogmes de la pensée dominante), la Catalogne aurait terriblement souffert du franquisme...
Pourtant, lorsque le Général Franco s'est rendu en 1970 à Barcelone, soit plus de 30 ans après la fin de la sinistre république de triste mémoire et son accession au pouvoir, les Catalans ne semblaient pas lui en tenir beaucoup rigueur si l'on en juge par le reportage ci-dessus.
A moins qu'il s'agisse de figurants ou que, derrière chaque habitant de la capitale de la Catalogne venu acclamer la Caudillo, une baïonnette soit sournoisement pointée. Mais sur le film, on ne les voit pas.
11:08 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 23 octobre 2017
Il y a un an, à l'occasion du 60e anniversaire de l'insurrection de Budapest (octobre 1956), Synthèse nationale éditait l'intégralité de l'oeuvre magistrale de Davis Irving sur cet événement
L'acheter en ligne cliquez ici
À propos du livre de David Irving
Le cauchemar d’une nation
Un entretien avec Yannick Guibert
Automne 2016 , à l’occasion du 60e anniversaire du soulèvement de Budapest, Synthèse nationale a publié la traduction intégrale, inédite à ce jour, du livre « Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation », de l’historien anglais non conformiste David Irving.
Nous publions ici un entretien réalisé pour le site EuroLibertés avec Yannick Guibert, traducteur de cet ouvrage en deux volumes.
Propos recueillis par Fabrice Dutilleul.
Que représente la Hongrie en Europe dans les années cinquante ?
Ce pays s’étend sur environ 90 000 km2, soit à peine un cinquième de la France, au cœur de l’Europe. Dominée par une capitale surdimensionnée qui concentre près du quart de la population (dix millions) et l’essentiel des activités économiques secondaires et tertiaires, le pays a alors des frontières communes avec la Tchécoslovaquie, l’URSS, la Roumanie, la Yougoslavie et l’Autriche avec laquelle il a aussi partagé une longue histoire commune.
Après la Ire Guerre mondiale, le traité de Trianon ampute la Hongrie des deux tiers de son territoire et de plus de la moitié de sa population. Dès 1920, après la brève et sanglante république des soviets de Bela Kun, l’amiral Horthy rétablit le Royaume (très catholique) de Hongrie dont il assume la régence. Alliée fidèle du IIIe Reich, la Hongrie sera envahie par les Soviétiques dès septembre 1944 ; ils occuperont Budapest en février 1945 après trois mois de siège.
Quel est le gouvernement qui prend la tête du pays en 1945 ?
C’est un gouvernement fantoche communiste formé à l’instigation des Soviétiques dès leur entrée en Hongrie et installé à Debrecen à la suite de l’Armée rouge. Dans le camp des vaincus, le peuple hongrois subit les exactions des vainqueurs : pillages déportations, viols illustreront la libération par les communistes.
Toutefois, en vertu des accords de Yalta, des élections libres sont organisées en novembre 1945 et elles furent un désastre pour Moscou : le Parti des Petits propriétaires obtint la majorité absolue (57%), suivi des sociaux-démocrates et des communistes (17%), le Parti national paysan arrivant quatrième. Les communistes hongrois tombaient de haut, mais leur chef, Matthias Rakosi – né Matthias Roth en 1898 à Budapest – disposait d’un atout majeur : la présence de l’Armée rouge. Doté d’une intelligence supérieure, il fut l’inventeur de « la tactique du salami » qui permit aux Communistes d’atteindre le pouvoir absolu dès 1948 après avoir menacé, noyauté, corrompu, abusé ses concurrents politiques et la population hongroise.
S’ensuivit une politique économique aberrante visant à imposer à ce pays profondément rural une industrie lourde et la collectivisation des terres. Parallèlement, la terreur rouge s’abattait sur le pays et tout opposant se voyait persécuté, enfermé, dénoncé : une première vague de procès staliniens épura le parti de tous ses éléments considérés comme trop tièdes. Une police politique très efficace, l’AVO (rebaptisée ensuite AVH), assurait la consolidation du régime. L’activité économique se délitait, la misère triomphait, une chape de plomb recouvrait la Hongrie.
Puis, au printemps 1953, la foudre frappa le monde communiste : Staline meurt ! Ceci entraîna des troubles bien au-delà du rideau de fer, mais notamment en Hongrie : grèves dans les aciéries chères au régime, manifestations paysannes massives dans la Puszta, la grande plaine hongroise. Un vent de réformes se leva qui se traduisit par une timide libéralisation économique et politique : un nouveau gouvernement formé par Imre Nagy, vieux routard du communisme, venait tempérer l’action de Rakosi qui demeurait à la tête du PC. Ce dernier put ainsi s’opposer efficacement à la Nouvelle Voie de Nagy et provoquer sa chute début 1955.
Mais il est trop tard pour revenir à un régime stalinien et l’année 1956 va connaître un foisonnement de contestations politiques dans les milieux intellectuels, même au sein du Parti…
C’est ce qui va conduire à l’insurrection de 1956 ?
Elle débutera à l’issue des grandes manifestations étudiantes, fruits de cette agitation intellectuelle, qui se déroulent le 23 octobre 1956 à Budapest.
Ce mardi, vers 15 heures, deux cortèges rassemblant une dizaine de milliers d’étudiants chacun s’ébranlent parallèlement au Danube, l’un côté Pest à partir de la faculté de droit, l’autre côté Buda à partir de Polytechnique. Tous les deux se dirigent vers les statues du général Bem et du poète Petöfi, héros de la révolution de 1848.
Initialement interdite par le Parti, la manifestation fut autorisée à la dernière minute face à la détermination des étudiants. Déstabilisé par la dénonciation du stalinisme au sein même du Kremlin par les nouveaux maîtres et en premier lieu Nikita Khrouchtchev lui-même, le Parti communiste hongrois s’est ramolli : il a même interdit à la police de tirer.
Tout se déroule dans un calme bon enfant jusqu’à la dislocation vers 18 heures où certaines voix s’élèvent pour que l’on puisse exprimer à la radio les revendications des étudiants ; de plus, entre-temps, de nombreux ouvriers des équipes du matin qui venaient de débaucher s’étaient joints à la manifestation, ainsi que les employés qui sortaient des bureaux : plus de 50 000 personnes se retrouvèrent ainsi dans la rue. Alors qu’un petit groupe allait à la maison de la radio pour exiger la diffusion de leurs revendications, la masse des manifestants se dirigea vers la place du Parlement où la foule rassemblée exigea le retour au pouvoir d’Imre Nagy.
À la maison de la Radio, durant la nuit, l’affrontement tourne au drame, les gardes de l’AVH chargés d’en interdire l’accès, affolés par la pression des manifestants, ouvrent le feu, faisant une dizaine de victimes. Scandalisés par ces meurtres, des policiers réguliers et des officiers de l’armée commencent à donner des armes aux manifestants. Puis deux fausses ambulances font irruption : il s’agit en fait de transports d’armes et de munitions camouflés pour l’AVH encerclée à l’intérieur de la Radio… La foule s’en empare et l’affrontement tourne à la guérilla jusqu’au petit matin. Durant la nuit, d’autres manifestants déboulonnent la gigantesque statue de Staline qui dominait la place des Héros.
Comment réagit le gouvernement communiste ?
Affolé, le Politburo qui venait de nommer Imre Nagy à la tête du gouvernement, fait appel aux troupes soviétiques stationnées en Hongrie pour rétablir l’ordre. Les blindés soviétiques investissent les rues de Budapest au petit matin et se positionnent autour des centres nerveux du gouvernement.
Le 24 au matin, tout a basculé : ce ne sont plus des intellectuels ou des étudiants qui occupent la rue, mais les classes populaires, et en premier lieu des ouvriers, armés et avides d’en découdre. Ils attaquent les commissariats pour trouver des armes, récupèrent celles des clubs de tir sportifs de leurs usines et s’emparent même d’arsenaux de banlieue qu’ils connaissent bien.
Les insurgés établissent des places fortes notamment à la caserne Kilian où le colonel Maléter rejoint la cause rebelle, le cinéma Corvin à Pest, places Széna et de Moscou à Buda.
La marée rebelle se répercute de villes en villes : Györ, Debrecen… avec une grève générale dans tout le pays et le démantèlement des fermes collectives dans les campagnes.
En une semaine, le Parti communiste hongrois s’est effondré : de ses 800 000 adhérents, il ne peut plus compter que sur l’AVH et l’Armée Rouge pour le défendre. Son siège à Budapest est pris d’assaut le 30 octobre et ses occupants massacrés Mais après un cessez-le-feu et le départ apparent de l’Armée Rouge de Budapest, Kadar et Münnich forment un gouvernement prosoviétique le 4 novembre… C’est le retour des troupes russes qui écrasent l’insurrection entre le 4 et le 11 novembre, même s’il y a encore des combats sporadiques jusqu’au début décembre.
Le bilan est de 2 500 à 3 000 morts, 17 000 à 19 000 blessés (dont 80 % à Budapest), tandis que 200 000 Hongrois parviennent à se réfugier en Autriche.
Source EuroLibertés, 29 novembre 2016
Pour commander les deux volumes de David Irving :
Insurrection Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation (vol. 1), 330 p., 22 € cliquez ici
Insurrection Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation (vol. 2), 352 p., 22 € cliquez là
Les deux volumes cliquez ici
Ecoutez, ou ré-écoutez, l'émission Synthèse réalisée le sur Radio Libertés sur l'insurrection de Budapest le novembre 2016 cliquez là
12:57 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
dimanche, 20 août 2017
Deux ans après la disparition d'Emmanuel Ratier, l'IER s'organise
10:52 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
samedi, 22 juillet 2017
Mardi 25 juillet, Ile d'Yeu
12:46 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 18 juillet 2017
Espagne, 18 juillet 1936, début de la Croisade de libération nationale
10:38 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 10 juillet 2017
Deux rendez-vous pour honorer la mémoire du Maréchal Pétain
08:56 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |