jeudi, 27 juin 2019
28 juin 1973 : dissolution par le pouvoir gaulliste du mouvement Ordre nouveau. Parution prochaine d'un nouvel ouvrage consacré à ce mouvement.
Il y a 46 ans, le 28 juin 1973, le pouvoir gaulliste, incarné à l'époque par Pompidou et Mesmer, procédait, suite à des incidents violents provoqués par les gauchistes lors de son meeting du 21 juin contre l'immigration sauvage (déjà), à la dissolution du mouvement nationaliste Ordre nouveau.
Ordre nouveau, créé en 1969, tient une place particulière dans l'histoire du nationalisme français et européen. Son existence, brève mais intense, fut déterminante pour l'avenir du mouvement national dans les décennies qui suivirent. ON ne fut-il pas l'une des composantes, et non la moindre, de la création du Front national ? Dans l'un de ses ouvrages paru il y a quelques années, Eric Zemmour voyait en l'année 1973 celle qui fut la plus riche en événements politiques de la seconde moitié du XXe siècle et il n'avait pas tort. Ce fut, entre autres, en 1973 que le Front national se présenta pour la première fois à des élections...
Cette année 2019 marque le cinquantième anniversaire de la création d'ON (décembre 1969) et, à cette occasion, un nouveau livre est, selon des sources généralement bien informées, en préparation. A l'origine de cet ouvrage de bon aloi, qui s'appuie sur les témoignages d'une quarantaine d'anciens cadres ou militants d'Ordre nouveau, il y a notre ami Jacques Mayadoux qui fut lui-même l'un des responsables de l'Union des lycéens nationalistes alors liées, tout comme le GUD, à Ordre nouveau.
Ce livre sortira en septembre dit-on. On ne vous en dira donc pas plus aujourd'hui, Nous aurons l'occasion d'en reparler...
Synthèse nationale
Un précédent livre sur Ordre nouveau cliquez ici
Le journal Pour un Ordre nouveau cliquez là
11:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Livres, Pour un Ordre nouveau, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 17 juin 2019
L’Europe des vaincus
Richard Dessens EuroLibertés cliquez là
À quand un jour férié pour commémorer ad libitum le débarquement du 6 juin 1944 ? Combien de temps encore arrêtera-t-on le temps pour se figer dans un passé révolu ? Le « devoir de mémoire », pour être sûrement nécessaire pour tout ce qui concerne la seule IIe Guerre mondiale, ne peut-il être moins envahissant ?
Surtout lorsqu’il est couronné par le discours du 6 juin de Donald Trump à Colleville Sur Mer, venu faire sa pub pour ses électeurs américains, qui, faisant référence à un IIIe Reich promis « pour Mille ans », proclame notre démocratie postmoderne « pour l’éternité ». Donald Trump plus fort qu’Adolf Hitler. Un malheur n’arrive décidément jamais seul…
D’autant qu’on ne peut réprimer un certain malaise à voir célébrer avec tant de faste et de grandiloquence effrénée, un évènement majeur certes, mais qui humilie le peuple allemand écarté bien sûr de ces réjouissances éternelles d’adversaires ou d’ennemis indéfiniment brandissant leur victoire. À l’heure de l’Europe unie et vivement fédérale parait-il, la défaite de l’Allemagne sans cesse ressassée, donne un goût amer à sa réalité, entretenant même à bas bruit des ressentiments et une fierté foulée aux pieds que les Allemands refoulent dans le silence.
Encenser les morts américains, anglais, canadiens, français en ignorant les morts allemands négligeables pour avoir suivi la cause, indéfendable bien sûr, du vaincu, n’est pas sain ni fédérateur pour redonner un devenir et des valeurs communs aux Européens. Il est curieux que pour ce qui concerne la commémoration de la IIème Guerre mondiale, tous les nationalismes et patriotismes deviennent brusquement à la mode pour ceux qui, par ailleurs, les combattent aujourd’hui.
Le débarquement a coûté quelques milliers de tués aux Alliés notamment anglo-américains. Toute la guerre (Europe et surtout Pacifique) a fait 400 000 morts chez les Américains lorsque l’URSS perdait 10 millions d’hommes et autant de civils et l’Allemagne 4 millions d’hommes et autant de civils sans compter les millions de femmes allemandes violées à l’est comme à l’ouest. Mais les statistiques sont vaines lorsqu’un GI tué vaut mille fois plus que mille soldats allemands. Vae victis.
Est-ce donc une « boucherie » très limitée anglo-américaine, eu égard aux pertes allemandes, que l’on célèbre ou un symbole qui doit être éternel ? Le triomphe d’une certaine idée de la démocratie, du progressisme, de l’ultralibéralisme, du mondialisme, de la mixité généralisée, sur la barbarie nazie qui en justifie tous les excès jugés pourtant exemplaires. Pour l’éternité. Donald Trump a d’ailleurs dans son discours loué une part de ces aspects des années d’après-guerre jusqu’à aujourd’hui.
Si on peut comprendre le besoin renouvelé de « faire son deuil » des souffrances et des morts de la guerre, Français et Alliés, on pourrait donc aussi comprendre la frustration et la douleur muette des Allemands auxquels on ne permet pas d’évoquer leurs morts par millions. Les choix idéologiques sont très supérieurs à des droits de l’Homme « universels » dont sont exclus les Allemands. Pour l’éternité. Tous les Allemands tués et les femmes violées étaient-ils d’ailleurs des bourreaux nazis ?
« Si j’étais né en 17 à Leidenstadt » est une chanson d’apaisement de Jean-Jacques Goldman qui pourrait modérer le triomphe ostentatoire des « vainqueurs » contre des « vaincus » pourtant alliés depuis 74 ans.
Mais, dira-t-on, ce ne sont pas les Allemands qui sont visés en tant que tels, mais l’idéologie barbare qui fut la leur pendant 12 ans. Idéologie tellement écrasée en 1945 dans le sang, mais dont on veut faire croire qu’elle est aujourd’hui tout aussi menaçante qu’il y a 80 ans.
Nos démocraties ne semblent vraiment pas très sûres de leurs valeurs pour s’obliger à perpétuer la mémoire funeste d’une idéologie morte il y a 74 ans. Ou bien n’ont-elles pas d’autres moyens de justifier leurs propres excès ? Besoin d’entretenir l’incarnation du Mal face au Bien des démocraties libérales postmodernes dans une sorte de nouvelle religiosité laïque et manichéenne?
C’est bien le problème posé par ce type de « commémorations » qui n’ont en réalité ni but historique ni volonté d’exaltation patriotique ni le besoin de respecter les sacrifices des tués, mais seulement une ambition politique et idéologique bien actuelle qui met mal à l’aise.
Il reste préoccupant que l’avenir de l’Europe continue à se bâtir en se référant à un contexte vieux de 75 ans. Il est certain qu’à ce compte-là, le devenir européen est très mal parti. Trump, lui, doit en être ravi.
Et si j’étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d’un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j’avais été allemand ?
Bercé d’humiliation, de haine et d’ignorance
Nourri de rêves de revanche
Aurais-je été de ces improbables consciences
Larmes au milieu d’un torrent.
09:12 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 01 juin 2019
14 JUILLET EN ANJOU : SUR LES TRACES DE CATHELINEAU
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vendredi, 31 mai 2019
Revue de presse : À l'automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l'affrontement
Source Le Point cliquez ici
Trois mois après le jour J, les Normands n'en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.
Jean-Pierre Beuve, correspondant du Point à Caen
« Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C'est une véritable terreur qui sème l'épouvante. L'exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».
À l'automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ?
Une fois libérés, la presqu'île du Cotentin et son port sont devenus une gigantesque base logistique. Sur les quais, un millier d'officiers et marins américains assurent, avec les dockers français, le débarquement quotidien de 10 000 tonnes de véhicules, munitions, nourriture. Le 29 septembre 1944, 1 318 camions GMC en partance de Cherbourg acheminent vers les troupes alliées du front 8 000 tonnes de matériel. Sur les premiers kilomètres de la « Red Ball Highway Express », la route du front, défilent hôpitaux, dépôts, aérodromes, camps de repos, chaînes de réparation pour tanks et camions.
Les entrepôts du Cotentin mobilisent des militaires en nombre : les 430 000 habitants du département de la Manche cohabitent avec 120 000 soldats américains, dont 50 000 Afro-Américains. D'emblée, la cohabitation, qui s'est prolongée jusqu'en 1946, ne s'annonce pas facile : « L'enthousiasme des Normands pour les forces anglo-américaines risque de s'inverser proportionnellement à la durée de notre séjour en Normandie », prévient dès l'été 1944 la 1re armée américaine.
Auteur du livre La Normandie américaine, fruit de nombreux témoignages et d'archives dépouillés aux États-Unis, l'historien Stéphane Lamache, 52 ans, met en relief le choc entre le Nouveau Monde et la vieille Europe : « D'un côté, de jeunes Américains très sûrs d'eux-mêmes, dotés en masse de matériels modernes tant en véhicules qu'en moyens de transmissions déjà miniaturisés. Une Amérique au top de son histoire. En face, des familles normandes évoquant Maupassant avec paysans en sabots, maisons au sol en terre battue et chevaux tirant des charrues. Après quatre ans d'occupation et le choc des bombardements, les Normands ont perdu leurs repères. »
La Libération a été payée au prix du sang et des destructions massives dans la Manche, 4 000 morts civils, le double de blessés, 10 000 maisons rasées, 50 000 autres endommagées, 130 000 sinistrés qui n'ont plus rien. « Après ce cataclysme, les Normands n'aspirent qu'à être débarrassés de la guerre. Les Américains visent la victoire finale sans plus se préoccuper des états d'âme des habitants », note Stéphane Lamache. Les graines du divorce sont semées.
Les premières blessures relèvent de l'amour-propre. Les GI, qui organisent des bals sous tente avec plancher, mettent en place des tournées en GMC pour amener les jeunes femmes sous leurs guinguettes. Mais pas ou peu de place pour les jeunes Normands. Le stade de Cherbourg devient un enjeu. Au terme de quatre mois de négociations, les mardi et jeudi sont réservés aux footballeurs cherbourgeois. Un mardi de mai 1945, une violente bagarre éclate entre joueurs de base-ball américains, campant sur place, et footballeurs qui réclament les lieux. La Presse cherbourgeoise compare les libérateurs avec les occupants précédents : « On ne peut pas dire que les relations [avec les Allemands] étaient cordiales mais elles furent correctes. »
À la rentrée scolaire 1945, l'état-major allié (le Shaef pour Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force) annonce vouloir maintenir dans plusieurs écoles des détachements de la Military Police, qui y sont installés depuis la Libération : « Maintenant que nous sommes en paix, nous ne pouvons pas tolérer que les militaires aient le pas sur la population civile », tonne le maire de Cherbourg, René Schmitt.
Accidents et agressions
Suivent les querelles financières et matérielles. Fin août 1944, les Américains emploient 7 000 travailleurs civils pour 75 francs par jour et une ration militaire. « Avec 100 francs, les Allemands payaient mieux » constatent les ouvriers. L'Organisation Todt, chargée de construire le mur de l'Atlantique, n'avait pas lésiné sur les moyens. Rapidement, les Français seront remplacés par des prisonniers de guerre allemands…
Les stocks américains suscitent des convoitises. Trop. Le 6 août 1944, treize dockers sont arrêtés pour le vol de 984 paquets de cigarettes et 188 savonnettes. Sanction : de quinze jours à un mois de prison. Dérober un jerrycan d'essence vaut quatre mois de prison. Le marché noir de l'Occupation continue : « On peut faire fortune aux dépens des Américains », souligne Stéphane Lamache.
Ces multiples agaceries réciproques auraient pu rester sans conséquence sans les bruyantes rafales tirées en l'air par des soldats ivres, mais surtout les morts accidentelles. Bien que les routes militaires soient interdites aux civils, on ne compte plus les victimes des camions américains : un enfant de 8 ans tué le 27 août 1944, une mère de famille le 11 septembre, un cycliste le 30 septembre, pour ne citer qu'eux. Autant d'accidents soigneusement rapportés par La Presse cherbourgeoise plus discrète à propos des violences et agressions par les troupes américaines. Du moins jusqu'à son « très sérieux avertissement » du 17 octobre 1944 sur les pillages, viols et assassinats. Le général français, Alphonse Juin, transmet l'article au général Eisenhower avec ce commentaire : « C'est le sentiment de tous les habitants de la Manche et de la Normandie au contact des Américains. » Mais il n'y aura pas de grand déballage.
Ségrégation
Les autorités américaines se disent « émues des crimes dont se rendent coupables les militaires de couleur (sic) » et répliquent dans le même journal en déclarant la « guerre à l'alcool pour enrayer la criminalité ». Une façon aussi de dénoncer le comportement mercantile des Normands qui vendent de l'eau-de-vie et l'inefficacité des pouvoirs publics français. Premières mesures : le couvre-feu est ramené à 22 heures puis 18 heures ; la vente d'alcool aux soldats est interdite. Un café de Carentan qui enfreint l'interdiction est fermé six mois.
En réponse aux exactions touchant les femmes, la justice militaire américaine frappe fort : le 23 novembre, trois GI sont condamnés à mort pour le viol de deux victimes en juillet 1944, près de Cherbourg. En août sont recensés dix-huit viols. Selon la gendarmerie, on en dénombre trente-cinq en septembre et sept en octobre. Dans les campagnes, plus aucune femme ne veut aller traire les vaches seule le soir dans les champs.
Auteur de Les Manchois dans la tourmente 1939-1945, l'historien Michel Boivin a recensé 206 viols d'origine américaine. Selon la Military Police, « 80 à 85 % des crimes graves (viol, meurtre) ont été commis par des troupes de couleur ». L'armée américaine des années 1940 est, à l'image du pays, ségrégationniste. À Cherbourg, on compte deux foyers de la Croix-Rouge : un pour les soldats blancs, un pour les noirs. Dans sa recherche de criminels, la police militaire s'est-elle montrée plus compréhensive pour les premiers que pour les seconds ? Les soldats de couleur cantonnés à la logistique ont stationné de longs mois dans le Cotentin, territoire étroit, alors que les combattants n'y ont que transité. La gendarmerie locale avait recommandé l'ouverture de maisons closes, les autorités américaines s'y sont opposées.
Les alliés de 1944 s'apprêtent à fêter le 75e anniversaire du Débarquement et ses scènes d'allégresse. Ne serait-il pas temps d'évoquer des épisodes plus sombres ?
10:41 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 26 mai 2019
10 JUIN 1979 : L'EURODROITE EXISTAIT DÉJÀ...
CHN n°4 : le Parti des forces nouvelles cliquez ici
CHN n°6 : Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez là
09:24 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 06 mai 2019
Dien Bien Phu, le 7 mai 1954
Jean-François Touzé
Pour beaucoup de jeunes de la génération qui m'a précédé, la chute de Dien Bien Phu, le 7 mai 1954, fut l'élément déclencheur de leur engagement au service de la cause nationale.
Hélas ! Bien d'autres drames allaient suivre engendrant d'autres abandons et d'autres trahisons.
Mais ces trois mots, Dien Bien Phu, scansion obsédante d'un chant funèbre et de rage, continuent de raisonner en nous comme un rappel constant au devoir militant.
Honneur à tous nos officiers, sous officiers et hommes du rang tombés en Indochine et à ceux qui subirent l’abomination physique et mentale des camps viets.
10:23 Publié dans Jean-François Touzé, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 23 avril 2019
Le PFN est toujours présent... rue du Louvre à Paris
10:22 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 22 avril 2019
UN DOCUMENT EXCEPTIONNEL PROPOSÉ PAR ROGER HOLEINDRE
Pour le commander cliquez ici
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dimanche, 14 avril 2019
13 avril 1990 : l'Agence Tass reconnait la responsabilité des soviétiques dans le massacre de Katyn
23:46 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 10 avril 2019
Samedi 27 avril, à Cauchy-à-la-Tour (62) : commémoration de la naissance du Maréchal Philippe Pétain
Comme chaque année, l'Association pour la Défense de la Mémoire du Maréchal Pétain (ADMP), célèbre l’anniversaire de la naissance du Maréchal à Cauchy-à-La-Tour (Pas-de-Calais), dans sa ferme natale.
PROGRAMME DE LA JOURNÉE DU 27 AVRIL 2019 :
10 h 00 : Rassemblement dans la Ferme Pétain (6, rue Camblain 62260 Cauchy-à-la-Tour).
10 h 30 : Messe célébrée dans une grange de la Ferme.
11 h 30 : Dépôt de gerbes à la Ferme Pétain.
13 h 00 : Déjeuner dans la propriété sous une tente (traiteur).
18 h 00 : Retour vers Paris.
UN CAR ADMP permettra de se rendre à Cauchy depuis Paris.
Le départ aura lieu à 7 heures très précises. Le retour est prévu au même endroit vers 20h30.
LES FRAIS DE PARTICIPATION POUR CETTE JOURNÉE SONT DE :
60 € pour le voyage en groupe, comprenant le prix du car, le déjeuner et frais d’organisation.
30 € pour tous ceux qui choisiraient de se rendre à Cauchy par leurs propres moyens.
Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire au plus tôt en raison de la réservation du nombre de places en car et du nombre de repas à prévoir (réunion à caractère privée).
Renseignements :
ADMP, 5, rue Larribe 75008 Paris - Tel : 01 43 87 58 48
10:52 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 03 avril 2019
Une balade dans l'Histoire de l'Irlande : les Pâques sanglantes de 1916
10:04 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 27 mars 2019
Il y aura 50 ans à l'automne prochain naissait le mouvement Ordre nouveau
Source EuroLibertés cliquez là
« La plupart de nos militants étaient révoltés contre la société, mais également intégrés dans leur génération ; ils n’étaient pas tombés d’une autre planète… »
À l’heure où l’actuel Président Macron, entend engager la dissolution de plusieurs groupes dit « d’extrême-droite » sans qu’on sache encore s’il s’agit d’un simple effet d’annonce légalement impossible à tenir (NDLR SN cliquez ici), il est intéressant de rappeler le précédent de la dissolution d’Ordre nouveau… il y a près de quarante-cinq ans !
Ancien dirigeant d’Ordre nouveau, Alain Renault a présenté la réédition d’un ouvrage collectif, introuvable pendant des décennies, résumant l’histoire et les positions de ce mouvement pas vraiment comme les autres. Souvenirs et remise en perspective…
(propos recueillis par Nicolas Gauthier)
Quarante ans après sa dissolution, le mouvement Ordre nouveau exerce toujours la même fascination. Nostalgie ? Ou effet de look sacrément efficace ?
La nostalgie est très « tendance », c’est même un marché… Il est bien certain que pour ceux qui ont connu cette époque, elle se confond avec leur jeunesse et ils entretiennent parfois la flamme comme d’autres font le succès de la « tournée des yé-yé »… Quant aux jeunes générations, elles peuvent naturellement être fascinées par un passé plus ou moins mythifié, comme nous étions nous-même fascinés par nos aînés de Jeune nation ou les grands anciens du Parti Populaire Français ou des Camelots du 6 février 1934. Qu’Ordre nouveau en soit le support n’a rien d’étonnant puisqu’il était le mouvement nationaliste le plus important des années 70 et que son action avait connu un fort retentissement médiatique.
Ce qui a fédéré « l’extrême droite » de l’époque, c’était l’anticommunisme. Cela suffisait-il à susciter une doctrine alternative au système d’alors ?
La plupart des militants étaient révoltés contre la société, mais également intégrés dans leur génération ; ils n’étaient pas tombés d’une autre planète. L’engagement par simple « anti-communisme » est souvent l’alibi de ceux qui veulent minimiser leur action de l’époque. Il y avait de nombreux autres moyens que le militantisme à l’extrême droite pour lutter contre le seul communisme. La première affiche d’Ordre Nouveau était « Face au Régime, face au marxisme, pour un Ordre nouveau », ce qui est loin d’une simple lutte contre les Rouges.
Certes, « l’Ordre nouveau » était une notion vague et la « doctrine alternative » n’a jamais été très développée. Quant au système d’alors, c’était le même que celui d’aujourd’hui, il s’est simplement renforcé. Il est d’ailleurs lui-même une sorte de communisme, les formes d’oppression sont simplement plus subtiles.
A contrario, l’extrême droite, à l’instar de l’extrême gauche, a donné naissance à un indéniable vivier de futurs talents. Était-ce là le destin d’Ordre nouveau ? Servir de pépinière plutôt que de sections d’assaut ?
Est-ce le mouvement qui donne du talent à ses adhérents ou ceux-ci qui apportent leurs talents au mouvement ? C’est l’éternel problème de la poule et de l’œuf. En réalité il y a une interaction et le militantisme est extrêmement formateur comme le relevait déjà Henry Charbonneau dans ses Mémoires de Porthos. On y côtoie une ménagerie diverse allant du gorille au singe savant, du videur de boîte au normalien, on apprend à rédiger, prendre la parole, arbitrer des conflits, jouer les imbéciles en certaines circonstances, tenter de passer pour intelligent dans d’autres, monter des coups avec une caisse vide, recruter… Recruter, c’est persuader un individu de payer une cotisation qui permettra d’imprimer du matériel qu’il sera chargé de propager à ses frais avec comme seule perspective personnelle un séjour au poste de police ou à l’hôpital.
Bref, quand on est devenu un bon militant, on est armé pour la vie, mieux qu’en acquérant 3 UV de plus dans son cursus universitaire. Quant aux sections d’assaut, il ne faut pas tomber dans le mépris affiché par quelques intellos pour de gros bras présumés microcéphales. D’abord, on peut être à la fois costaud, courageux, intelligent et cultivé. Je vous concède que l’espèce est rare, plus rare d’ailleurs que celle de ceux qui n’ont aucune de ces qualités. Mais, bien souvent, il vaut mieux disposer de quelques solides gaillards que d’évanescents exégètes de la pensée d’Oswald Spengler. Cela ne sert à rien de réfléchir dans une cave si l’absence de force vous interdit d’en sortir. Comme le dit un chant : « L’homme des troupes d’assaut trace le chemin de la liberté. »
Ordre Nouveau, présenté par Alain Renault, Éditions Déterna, collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 460 pages, 35 euros. Pour commander ce livre cliquez ici
Sur le site synthese-editions.com, un certain nombre de numéros de Pour un Ordre nouveau cont encore en vente cliquez ici
08:34 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 23 mars 2019
Un peu d'Histoire : 23 MARS 1919-23 MARS 2019, LE FASCISME A 100 ANS !
Forum SI cliquez ici
Lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale, en août 1914, Benito Mussolini, qui est alors le dirigeant le plus en vue du socialisme italien et le directeur de L’Avanti!, son organe de presse, n’est pas favorable à l’intervention de l’Italie dans le conflit. Et puis, il évolue, estimant que l’Italie ne peut rester en dehors de cet événement historique gigantesque, qu’elle pourrait récupérer enfin ses terres « irrédentes » en se rangeant aux côtés de la France et de la Grande-Bretagne contre les Empires centraux réactionnaires, et qu’enfin, selon une vision très léniniste, la participation à la guerre pourrait créer les conditions de cette Révolution qu’il appelle de ses vœux. Contraint de quitter le Parti socialiste en raison de cette évolution, il prend la tête de l’« interventionnisme de gauche », crée Il Popolo d’Italia (qui sera ensuite l’organe de presse du fascisme) avec l’aide des socialistes français (et l’accord de leur gouvernement), et lance une grande campagne pour l’intervention, aux côtés du poète Gabriele D’Annunzio, campagne qui culmine avec le « Mai radieux » et l’entrée en guerre de l’Italie en 1915.
Une fois la guerre terminée, Mussolini comprend qu’il doit donner un minimum d’organisation au vaste mouvement d’opinion qu’il a créé. Après diverses réunions et initiatives préparatoires, il convoque, le 23 mars 1919, une assemblée représentative de ceux qui le soutiennent (interventionnistes de gauche, syndicalistes-révolutionnaires, futuristes et « arditi » des troupes de choc de la Grande Guerre) dans une salle de la piazza San Sepolcro à Milan. 119 personnes sont venues, que l’on appellera ensuite les « Sansepolcrisiti ». Outre Mussolini, on note, selon certaines sources, la présence du futuriste Marinetti, des futurs « quadriumvirs » de la Marche sur Rome du 28 octobre 1922 (Balbo, De Vecchi, De Bono et Bianchi : cf. notre article du 28 octobre 2018), ainsi que celle de Roberto Farinacci, qui sera ultérieurement l’un des secrétaires généraux du Parti national fasciste. Mais l’on en est pas encore à la fondation d’un parti, qui ne devait avoir lieu que fin 1921. Pour l’instant, il s’agit de peser sur la vie politique italienne dans un sens à la fois nationaliste, en veillant à ce que les fruits de la Victoire ne soient pas oubliés, et socialiste, car l’interventionniste de gauche Mussolini et les syndicalistes-révolutionnaires qui l’ont suivi savent bien qu’il n’y a pas d’unité nationale sans justice sociale. Pour ce faire, ils décident donc de créer les Faisceaux italiens de combat (« Fasci italiani di combattimento »), structures très souples et décentralisées, dotées d’un programme très révolutionnaire et destinées à recevoir tous ceux, combattants et producteurs, qui veulent combattre à la fois l’égoïsme bourgeois et l’impuissance d’une certaine gauche, qui n’a pas pardonné la campagne interventionniste de Mussolini.
En ce 23 mars 1919, le fascisme était né. Il a profondément marqué l’Europe et le reste du monde : il n’a certainement pas dit son dernier mot !
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mercredi, 06 février 2019
6 février 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
Les Amis de Robert Brasillach CLIQUEZ ICI
08:32 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 11 janvier 2019
Un peu d'Histoire...
15:17 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 20 novembre 2018
20 NOVEMBRE : HOMMAGE À FRANCISCO FRANCO ET À JOSE ANTONIO PRIMO DE RIVERA
Le 20 novembre 1936, à Alicante, Jose Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, était assassiné par les rouges. Le 20 novembre 1975, à Madrid, Francisco Franco, chef de l'Etat espagnol, décédait après avoir dirigé l'Espagne pendant près de 40 ans et lui avoir redonné sa place de grande nation.
En s'engageant, au milieu des années 30, dans la grande croisade contre le bolchevisme, ces hommes ont épargné à leur pays de sombrer dans l'enfer communiste. ils ont probablement aussi évité à l'Europe de se retrouver, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, coincée entre le bloc de l'Est et une péninsule ibérique à la botte des soviétiques. Cela, il ne faut jamais l'oublier.
Voilà pourquoi, au moment où l'unité de l'Espagne est à nouveau menacée et que le peuple espagnol commence à s'éveiller, les nationalistes français et européens doivent honorer leur mémoire...
S.N.
Sur la Phalange,
lire le CHN 13 cliquez ici
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vendredi, 02 novembre 2018
Espagne : un "artiste" vandalise la tombe de Franco
Comme nous le rappelle l'excellent éditorial de Boulevard Voltaire d'hier, la tombe du Général Franco, sauveur de l'Espagne décédé le 20 novembre 1975, n'arrête pas de poser des problèmes à la clique socialiste momentanément au pouvoir à Madrid et qui ne sait plus comment se dépêtrer de cette affaire. Mais comme il y a toujours plus radical que soit, hier un scribouillard qui se prend pour un artiste est venu sur la tombe du Caudillo pour la maculer de peinture pensant peut être que cela allait précipiter les choses. Pauvre crétin qu'il est...
Arnaud Robert, dans le quotidien Présent cliquez ici d'aujourd'hui, revient avec humour sur ce "fait d'armes" d'un demeuré sans gloire : Il y a la myriade de « déséquilibrés » qui jouent du couteau halal ou de la voiture mal entretenue et incontrôlable.
Il y a par ailleurs les « artistes » du bon goût, activement promus par les médias, comme les Femen du cirque Soros, Jeff Koons et ses ballons gonflables, Paul Mc Carthy et son délicat plug anal ou ce peintre talentueux, Enrique Tenreiro, subversif ô combien !
Boris Vian allait cracher sur les tombes. Tenreiro, lui, a profané la tombe de Franco, profitant de la Toussaint. Quelle formidable « performance », quelle prise de risque insensée, quelle créativité, digne d’un Ribes !
Chapeau bas, monsieur l’artiste.
S.N.
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mercredi, 24 octobre 2018
Il y a 62 ans, Budapest se soulevait contre la dictature communiste
Lorsqu'il y a 62 ans, fin octobre 1956, les chars soviétiques écrasaient l'insurrection de Budapest, les nationalistes hongrois étaient sans doute loin d'imaginer que, 62 ans plus tard, leur pays serait le phare de la renaissance européenne... Comme quoi, il ne faut jamais douter, ni se laisser décourager.
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Samedi 1er décembre, Les Sables d'Olonne (85) : LE SOUVENIR VENDÉEN HONORE LES MORTS DE 1793-1794
00:30 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 23 octobre 2018
N'oubliez pas les 58 parachutistes français tués à Beyrouth au Drakkar le 23 octobre 1983
11:28 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 22 octobre 2018
Disparition du Professeur Robert Faurisson
Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 90 ans, du Professeur Robert Faurisson.
Que l'on soit d'accord ou pas avec ses travaux et ses conclusions, force est de reconnaître le courage et l'audace de cet homme qui a consacré sa vie à des recherches minutieuses sur un aspect pour le moins controversé de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale.
Les chacals de la bien-pensance institutionnalisée vont bien sûr se croire obligés de déverser leurs insultes sur la mémoire de ce chercheur opiniâtre, ce d'autant plus qu'il n'est plus là pour se défendre.
Pour lever toutes ambiguïtés, il faudra bien qu'un jour ou l'autre, de manière apaisée, le débat entre historiens soit ouvert sur les sujets soulevés par le Professeur Faurisson. RIP.
S.N.
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dimanche, 23 septembre 2018
Comme c'est bien dit...
17:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 23 juillet 2018
23 juillet : mort du maréchal Philippe Pétain
11:50 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 09 juillet 2018
Ile d'Yeu (Vendée) : MERCREDI 25 JUILLET, 67e ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL PHILIPPE PÉTAIN
16:31 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 11 avril 2018
LA HONGRIE, L'INSOUMISSION EXEMPLAIRE : BUDAPEST 1956, ORBAN 2018
Pour comprendre ce qui s'est passé à Budapest en 1956 : lisez les livres de David Irving Budapest 1956 Insurrection (2 volumes édités par Synthèse nationale en 2016).
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mardi, 10 avril 2018
Dimanche 15 avril, en Vendée : pèlerinage annuel en hommage aux Martyrs des Lucs
21:03 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 09 avril 2018
Samedi 28 avril, commémoration de la naissance du Maréchal Pétain
18:17 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 20 mars 2018
Samedi 21 avril à Avignon : Hommage à Charles Maurras en présence de Jean-Marie Le Pen
10:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 06 février 2018
En ce 6 février...
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vendredi, 19 janvier 2018
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI cette fin de semaine cliquez ici
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