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vendredi, 19 octobre 2012

ENSEMBLE CONTRE LE NOUVEAU TOTALITARISME.

Photo C. Pieter 03.10.2012 JPG.JPGPieter Kerstens

Notre correspondant

à Bruxelles

 

Comme la majorité silencieuse et indignée de beaucoup de mes compatriotes, j’ai lu les tracts distribués dans nos boîtes aux lettres depuis le début de l’année, en vue des diverses élections.

 

Depuis des lustres les libéraux ou les prétendus « chrétiens-démocrates », associés aux socialistes, président aux destinées de notre pays, de nos régions ou de nos communes. Et c’est toujours le même refrain : « Tout va très bien Madame la Marquise … ».

 

Pourquoi donc aujourd’hui devrait-on encore croire à leurs promesses, alors qu’ils ont été bien incapables de les réaliser hier ?

 

Comme beaucoup d’entre vous, je suis exaspéré par leur rage taxatoire et leur laxisme, et je n’hésite pas à vous communiquer ci-après les réflexions que m’inspire leur politique de gribouille, en ma qualité de citoyen, de parent, de contribuable et d’électeur, parce que la prochaine échéance électorale importante se situera au niveau des municipalités.

 

N’oublions pas que les maires sont aussi l’épine dorsale des partis et qu’ils sont le socle sur lesquels s’appuient les différents appareils au sein de l’Etat. Ils disposent d’une influence prépondérante et ne peuvent pas se retrancher hypocritement derrière un autre niveau de pouvoir, comme ils le font trop souvent.

 

La commune est la plus petite entité, après la cellule familiale, qui compose notre société.

 

Tout part à la dérive.

 

Pour ma part, je suis consterné par la déliquescence des valeurs et le manque de réflexion des édiles qui nous dirigent. Il ne s’agit pas d’être grand prophète pour percevoir ce que bon nombre d’entre nous ressentent depuis pas mal de temps, et plus que jamais depuis quelques années, devant ce qu’ils constatent dans leur environnement immédiat comme dans la situation actuelle qui leur est montrée à travers les médias ravageant tout espoir sur son passage : une inquiétante impression d’être pris dans des sables mouvants sans plus aucune branche à laquelle se raccrocher. En d’autres mots : TOUT PART A LA DERIVE !

 

Et vous en conviendrez : il ne pouvait pas en être autrement avec la politique pratiquée par ceux qui nous gouvernent, qu’ils soient de la droite courbe, du centre mou, de la gauche marxiste ou des khmers verts, dans leur aveuglement, leur démagogie, leur incompétence, leur veulerie, leur inconscience, leur irresponsabilité, et surtout, ô surtout leur incommensurable lâcheté.

 

La dernière chance.

 

Depuis que les barons, qui dirigent le Bananenland avec leurs patrons -les banksters-, ont confondu volontairement liberté et licence, ordre et tyrannie, morale et oppression, amour et fornication, égalité et nivellement, enseignement et endoctrinement, information et propagande, patriotisme et xénophobie, nationalisme et racisme, droit et force, devoir et faiblesse… OUI, TOUT PART À LA DERIVE et d’abord le sens des mots.

 

Ce qui est voulu, au nom d’une philosophie destructrice et qu’un seul vers de l’Internationale (hymne hurlé tous les 1er mai) définit clairement, c’est : « du passé, faisons table rase ».

 

Table rase de la famille, table rase de tout ce qui a fait de l’être humain, maître de sa destinée, le rouage d’une machinerie universelle qui décidera seule de son rôle, de son utilité ou de son rejet.

 

Le plus grave, face à ce déclin, c’est que ceux qui en pâtissent le plus continuent à prêter une oreille aux sirènes d’une démocratie prétendue menacée, alors qu’elle est chaque jour un peu plus bafouée ; c’est aussi que les mêmes crédules puissent encore accorder du crédit aux pharisiens sans scrupules qui ont trahi l’esprit de la loi sous prétexte d’en moderniser la lettre.

 

Il est grand temps de choisir entre la politique à la petite semaine que la « bande des Quatre » nous impose, tantôt au nom du changement dans la continuité, tantôt au nom de la continuité dans le changement (et la « normalité ») et une politique de redressement et de courage que nous avons proposée, politique qui s’est toujours vue passée sous silence, sauf à en travestir certains points afin d’alimenter les campagnes de calomnies et d’exclusion dont nous n’avons cessé d’être l’objet. Du grand art en matière de désinformation. Goebbels a trouvé ses maîtres chez nos soi-disant « démocrates ».

 

Ils ont vidé les caisses et rempli leurs poches.

 

Il est malvenu de vouloir rejeter les conséquences de la politique laxiste, menée ces 40 dernières années, sur les autres. L’Etat Providence, la société multiculturelle et métissée, le prêt-à-penser, l’augmentation inexorable des crimes et délits, la mobilité durable, la dépénalisation de la drogue, l’égalitarisme généralisé, l’ouverture de nos frontières au monde entier, la naturalisation forcenée de tous les clandestins et la possibilité pour tous d’occuper un siège dans nos universités, sans avoir la moindre vocation ni l’envie d’étudier, sont à mettre à l’actif de la mafia libéro-écolo-socialaud-centriste et ont abouti maintenant à une dette publique de 1.800 milliards d’€uros, dont les intérêts et la charge coûtent chaque jour 200 millions d’euros aux contribuables.

 

Si vous réclamez plus d’argent pour payer les retraites, pour être mieux soigné, pour mieux assurer l’enseignement de nos enfants, ou rétablir notre sécurité partout et à toute heure, il est indispensable préalablement de réduire de toute urgence le train de vie de l’administration et de toutes les collectivités locales et territoriales qui disposent de l’argent public comme d’une manne inépuisable pour assouvir leurs lubies les plus délirantes. Les socialauds-capitalistes ont participé à cette gabegie, ils en étaient les complices et n’ont rien dénoncé !

 

Quand ce n’est plus supportable, on ne supporte plus.

 

Les mêmes nous disent vouloir renforcer le nombre de policiers dans les rues et installer des milliers de caméras dans chacune de nos cités, comme à Londres, alors que là-bas les 10.000 yeux indiscrets n’ont en rien empêché les odieux attentats dans le métro le 7 juillet 2005 !

 

Demandez donc à votre entourage s’il se sent en sécurité lorsqu’il utilise les transports en commun ou se promène le soir dans les centres de nos cités. Si mes souvenirs sont bons, le gang au Pouvoir a voté pour les accords d’intégration de la Gendarmerie au sein du Ministère de l’Intérieur, qui devaient améliorer le maintien de l’ordre public et le respect de nos lois, tâches essentielles de la police et des maires. Combien de patrouilles la nuit ?

 

Les bonimenteurs des partis traditionnels exposent leurs priorités politiques en totale contradiction avec leur complicité dans l’invasion colonisatrice d’individus qui depuis 40 ans n’aspirent ni à une assimilation, ni à une intégration, mais uniquement à bénéficier d’avantages dont ils ne profiteraient jamais dans leur pays d’origine. Cela coûte des milliards d’euros depuis 1974, date légale de la fin de l’immigration.

 

 

Demandez aussi à vos enfants ce qu’ils pensent de la violence à l’école, des injures anti-sionistes et du racisme anti-blanc (qui lui existe depuis plus de 20 ans !)

 

Pourquoi il faudra punir les gourous de la pensée unique.

 

Encore un mot au sujet des libertés fondamentales garanties par notre Constitution (conviction, expression, réunion et presse).

 

 Depuis 20 ans, la classe politique et les gouvernements successifs ne tolèrent plus  aucune contradiction ; ils ont érigé des tabous, ils ont multiplié les lois liberticides à l’encontre de ceux qui n’adhèrent plus à leurs dogmes et contestent le « politiquement correct » (ce qui durant la guerre froide se nommait la langue de bois) ils ont instauré une police de la pensée et avec la barre des 10% de suffrages pour différents scrutins, interdisent toute émergence novatrice.

 

L’horizon est sombre car la majorité « démocratique » à laquelle adhérent les partis traditionnels avec leurs multiples courroies de transmission (syndicats, monde associatif, asbl ou centres culturels bidons…) travestit en parodie démocratique une réelle bêtise totalitaire qui met en péril le principe même de la liberté.

 

Osons le changement !

 

Demain, la réalité dépassera la fiction prémonitoire de « Big Brother » personnage virtuel du roman « 1984 » écrit par G. ORWELL en 1949. Alors il ne restera plus aux électeurs oubliés que le carton rouge pour mettre sur la touche les partis qui, hors des réalités, s’éloignent du bon sens commun des femmes et des hommes de notre communauté. Personne ne pourra leur reprocher leur choix s’ils donnent un signal fort, en votant pour les nationalistes, sans état d’âme et sans regret pour ceux qui les ont trompés si longtemps.

 

Pour le prochain scrutin, les électeurs devraient OSER PENSER et OSER AGIR…

 

Article publié dans le n°29 (septembre octobre 2012) de la revue Synthèse nationale cliquez ici

01:29 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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