jeudi, 13 décembre 2012
Le Mans : un clandestin agresseur de trois jeunes filles est défendu par l'officine parasitaire SOS-racisme !
Version SOS-racisme (cliquez ici) : l’expulsion de la honte : Wissem, lycéen, scolarisé au lycée Sud du Mans
« Ça fait mal mec, il était dans ma classe depuis l’année dernière ». « Faites tout pour ramener Wissem, ramenez-le, je vous en supplie ! C’est un gars tellement adorable. » Paroles d’amis de Wissem ayant alerté SOS-Racisme.
C’est avec effroi et stupéfaction que l’association SOS-Racisme a été alertée par des camarades de classe de Wissem de l’arrestation et de l’expulsion de ce dernier vers la Tunisie dans la journée du mercredi 12 décembre.
Wissem REKIK, lycéen tunisien, scolarisé au lycée Sud du Mans, poursuivait une scolarité exemplaire en 2ème année de bac professionnel « plastiques et composites » et donnait toute satisfaction à ses professeurs et à sa famille vivant au Mans, notamment sa tante.
Maintenant, la version du Maine libre (cliquez là) : Le Mans. Menacé d’expulsion, Wissem avait été condamné pour violences
Nous relations dans nos éditions de jeudi et vendredi la mobilisation organisée pour soutenir Wissem Rakik (cliquez ici), jeune Tunisien de 19 ans, menacé d’expulsion. Arrivé sur le territoire français le 11 juillet 2011, il bénéficiait alors d’un visa court séjour de trente jours, et se trouve actuellement sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.
Jeudi, une opération de soutien s’est mise en place : des enseignants et des élèves du Lycée Sud, où il est scolarisé en première plasturgie, se sont rassemblés devant l’établissement, puis des professeurs accompagnés de Bernard Lebrun, le porte-parole de Réseau éducation sans frontière, ont rencontré la secrétaire générale de la préfecture afin d’obtenir que le jeune homme obtienne un titre de séjour pour terminer ses études en France.
Une mobilisation décidée un jour avant que Wissem Rekik ne se rende à une convocation au commissariat, puis se déplace à Paris au consulat de Tunisie, où l’on devait attester de sa nationalité tunisienne.
Si le jeune homme a déclaré avoir perdu son passeport, les autorités françaises ont pu fournir une photocopie de celui-ci. Dans l’attente de la réponse du consulat, la procédure se poursuit, avant qu’une décision ne soit prise.
Seulement, pour lui, un point pourrait ne pas plaider en sa faveur : le jeune homme a été récemment condamné par le tribunal correctionnel du Mans à trois mois de prison avec sursis, pour violence en réunion. Le 12 février dernier, dans la rue Gambetta, au Mans, il a violemment agressé trois jeunes filles avec d’autres jeunes gens.
En attendant d’être fixé sur son sort, il est revenu au Mans, assigné à résidence.
Source 3e voie cliquez ici
NDLR : En fait, une fois de plus SOS-racisme nous montre son vrai visage : celui d'une officine qui n'hésite pas à se mettre au service de la racaille. Une seule solution pour en finir avec cette escroquerie : la dissolution de SOS racisme ! Soutenez notre campagne cliquez là.
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