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mercredi, 11 juin 2014

Brochette, charrette, cohorte, fournée & C° …

Pieter Kerstens.JPGPieter Kerstens

Il est une évidence, c’est qu’une grande partie du monde culturel, sportif ou médiatique appartient à cette engeance qui combat le F.N depuis 40 ans, exclusivement par des anathèmes, des invectives ou des procès, car ces « bobos » sont incapables d’opposer des arguments rationnels aux thèses de la préférence nationale et de la défense de notre identité.

Ces ennemis du peuple et de la liberté d’opinion ne cessent de menacer et d’exercer un chantage envers ceux qui osent ne pas penser et s’exprimer comme eux.

Le F.N étant donc sorti des urnes le 25 mai 2014 en vainqueur, nous attendons que Yannick Noah quitte l’Hexagone demain, comme il s’y était engagé il y a peu « si le FN devenait le premier parti de France ». Bye, bye ! Et le joueur de poker viscéral et invétéré, le sieur Benguigui, pourrait l’accompagner, il ne manquera à personne.

Jean-Marie Le Pen a raison de recadrer le débat là où il aurait dû rester : à la richesse de la langue française et du bon usage du vocabulaire. Il suffisait aux ignares et aux handicapés des neurones, d’ouvrir un dictionnaire et de vouloir s’instruire.

Malheureusement, les Aliot, Collard et Philippot ont envenimé la polémique et semé la zizanie au sein du F.N, comme si étrangement l’UMPS, en proie aux divisions internes, n’attendait que cela.

Qui sont-ils donc, ces fonctionnaires issus de la bien-pensance, sans aucune légitimité, pour exiger la démission du fondateur du F.N ou envisager son exclusion, comme Dame Yade ?

Pour qui se prennent-ils, ces donneurs de leçons, arrogants et suffisants ?

La France d’en-bas –la majorité  silencieuse- donne raison aux propos de J-M Le Pen, car eux aussi ne supportent plus les attaques de Lady Caca et du show-business hyper friqué contre les électeurs du Front National.

NON, la déclaration de J-M Le Pen n’est pas une « faute politique », c’est au contraire une saine réaction en réponse aux agressions répétées des inquisiteurs de la Police de la pensée et des laquais du politiquement correct ! L’obligation d’autocensure est devenue insupportable.

Allons-nous demain être désignés comme « antisémites » lorsque nous achèterons des petits fours chez le pâtissier ?

L’hystérie des médias atteint des sommets d’intolérance et d’imbécilité. Comme c’était le cas pour la manipulation de Carpentras ….en 1990 et pour la tuerie du musée juif de Bruxelles le 24 mai dernier, quand tous ont accusé « l’extrême droite » et les grands blonds aux yeux bleus !

 « QUI VEUT TUER SON CHIEN, L’ACCUSE DE LA RAGE. »

19:48 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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