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mercredi, 19 décembre 2018

Emotion, intoxication, manipulation, rumeurs, sensiblerie

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Pierter Kerstens

Réchauffement climatique, attentats terroristes, gilets jaunes, affaire Benalla, Pacte de Marrakech, guerre en Syrie, immigration sauvage, autant de sujets où les divers groupes de pression utilisent l’opinion publique, aux fins de voir aboutir leurs démarches particulières, comme intervenant alors qu’en réalité c’est bien la population qui serait le bénéficiaire ou la victime de leurs agissements.

La règle d’or chez la majorité des politiciens est de ne prendre position qu’à partir du moment où l’opinion publique se manifeste. D’où l’importance des « campagnes d’information » et des sondages d’opinion.

Par l’utilisation des « réseaux sociaux », d’Internet, de l’intelligence artificielle, des algorithmes et des satellites espionnant dans votre assiette, il est de plus en plus difficile de comparer les sources d’informations aux mains de quelques groupes mondiaux.

Cette concentration permet la diffusion rapide et à grande échelle de n’importe quelle nouvelle, vraie ou fausse.

Selon une stratégie habilement élaborée et mûrement planifiée, un lobby peut, durant des années mystifier une population avec la complicité des ses dirigeants, dans un but financier, social, médical ou dogmatique.

Le fin du fin est évidemment la manipulation émotionnelle des individus -car la moins suspecte de visées mercantiles- et c’est avec délectation que les chantres humanitaristes s’en sont emparé.

Je constate que les exemples les plus criants de désinformation nous viennent des Etats-Unis pour les dernières décennies :

  • Les campagnes anti-tabac des américains en sont arrivées au point qu’il est maintenant préférable de « fumer un joint » ou « sniffer une ligne de coke » plutôt que de griller une cigarette dans les toilettes. La cocaïne et le hash remplacent le tabac, pour le plus grand bonheur des prophètes de la drogue !
  • « Black Power » le cri de haine de Stokely Carmichael et des Panthères Noires en 1966 a conduit à la méthode des quotas, à la « discrimination positive » et au « politiquement correct », choix qui se sont révélés catastrophiques après 40 ans d’application, car ce n’est pas la masse des handicapés du cerveau qui contribue à la grandeur d’une nation.  Boileau l’avait d’ailleurs exprimé depuis longtemps : « Il n’y a pas de sot métier, il n’y a que de sottes gens ! »

A force de vouloir absolument faire des universitaires de chaque tête blonde, il n’est pas étonnant aujourd’hui que les médecins soient incapables de prononcer un diagnostic précis et correct, que des architectes arrivent tout juste à expliquer un plan et de ne plus trouver de cordonnier dans votre quartier.

  • Et pour avoir inculqué à nos enfants l’égalitarisme, la passivité, la sensiblerie, l’humanitarisme, le multiculturel et le métissage à tous les étages, les enseignants du primaire jusqu’à l’Université ont pourris l’avenir de nos peuples.

En exacerbant à outrance l’émotionnel, la sensiblerie et le sentimental, les charlatans des Droits-de l’Hommiste ont ouvert les frontières aux hordes qui, comme les coucous, s’installeront dans vos pantoufles sans protestations de votre famille.  La sanglante tuerie du marché de Noël à Strasbourg devrait tout de même faire réfléchir quant au « Vivre Ensemble » proclamé par le maire, Roland Ries.

Hallal partout, tranquillité nulle part.  La preuve : combien de manifestations en Europe contre le Pacte de Marrakech, réel cheval de Troie pour notre civilisation 

Les gilets jaunes, c’est bien, mais la RECONQUISTA, c’est mieux !

Et selon la sentence d’André Gide : « Toutes choses sont déjà dites ; mais comme personne n’écoute, il faut toujours recommencer. »

16:21 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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