vendredi, 14 février 2025
Une compilation d'articles sur Jean-Marie Le Pen
En complément au Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Marie Le Pen qui sort prochainement cliquez ici, notre Ami François Floc'h a rassemblé un certain nombre d'articles dans le document en PJ qu'il met ici à votre disposition cliquez ici. Qu'il en soit vivement remercié.
N'hésitez-pas à le faire circuler autour de vous...
16:51 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sarah Knafo, avec talent, remet le chien de garde du Système dénommé Aphatie à sa juste place...
16:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 22 février, dans le Gard : une conférence de Roberto Fiorini
14:30 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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De la coalition Arizona outre-Quiévrain
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Les Français ont connu en 2024 près de quatre-vingt jours de vacance ministérielle. La démission de Gabriel Attal, le 16 juillet, puis l’adoption de la motion de censure contre Michel Barnier, le 4 décembre, ont réactualisé la vieille notion de gouvernement chargé des affaires courantes. L’Hexagone a ainsi renoué pour l’occasion avec les anciennes pratiques des IIIe et IVe Républiques.
Inhabituelle en France, cette situation de gouvernement démissionnaire ou intérimaire qui se prolonge dans le temps est fréquente en Belgique. En 2010 – 2011, la vacance gouvernementale dura 541 jours ! Les retombées changent de l’Hexagone en raison de la structure fédérale de l’État belge. Les gouvernements régionaux et communautaires disposent de nombreuses compétences qui remplacent avantageusement l’absence gouvernementale.
Huit mois se sont écoulés depuis les élections législatives du 9 juin 2024. Après 236 jours de négociations serrées, le 3 février dernier, le premier ministre libéral flamand Alexander De Croo a laissé la place à une équipe de pleine exercice sous la direction du bourgmestre d’Anvers, Bart De Wever (photo ci-dessus-NDLR). Une révolution !
Né en 1970, Bart De Wever préside la NVA (Nouvelle Alliance flamande) fondée en 2001, suite à l’implosion du parti indépendantiste – autonomiste flamand Volksunie. Lecteur assidu d’Edmund Burke, Bart De Wever soutient une ligne conservatrice-libérale. Séparatiste (l'article 1 des statuts de son parti prônant l'indépendance de la Flandre) mais favorable à une confédération belge dont les seuls éléments d’unité seraient la monarchie, la bière et l’équipe de football, la NVA incarne une ligne nationale-centriste. Elle appartenait à la formation européenne de l’Alliance libre européenne (ALE) qui rassemble des régionalistes de gauche et qui siège dans le même groupe que les Verts. Maintenant, ses trois actuels euro-députés ont rallié le groupe Conservateurs et réformistes européens (CRE). L’Italienne Giorgia Meloni ne peut que se féliciter de cette nouvelle arrivée qui renforce son poids au sein du Conseil européen. Elle pouvait déjà compter sur le premier ministre tchèque Petr Fiala du Parti démocratique civique.
La médiastructure bien-pensante déplore ce net infléchissement vers la droite de plusieurs États-membres de l’Union. Outre l’illibéral hongrois Viktor Orban et le patriote slovaque Robert Fico, il faut désormais prendre en compte les Néerlandais (avec des ministres du parti de Geert Wilders et du Mouvement paysan - citoyen), les Bulgares (dont des membres du nouveau gouvernement proviennent d’ITN, c’est-à-dire « Il y a un tel peuple »), classé « populiste », et du soutien sans participation des Démocrates de Suède à l’alliance de centre-droit au pouvoir. ITN et Démocrates de Suède font d’ailleurs eux aussi partie des CRE. Ce nouveau contexte peut donc renforcer l’audience de Giorgia Meloni qui bénéficie de la perte d’influence de la dyarchie franco-allemande en attendant l’avènement d’un gouvernement réunissant les nationaux-populistes et les conservateurs sous la conduite de Herbert Kickl en Autriche.
Les belles âmes abonnées à la moraline subventionnée s’inquiètent de la nomination de Bart De Wever. La NVA n’est pourtant pas une formation séparatiste radicale. Elle a déjà participé à une coalition gouvernementale entre 2014 et 2018 sous la houlette de l’ineffable Charles Michel. Les médiacrates tétanisés décrivent Bart De Wever en nationaliste. Il est surtout un nationalitariste pour qui l’assimilation passe d’abord par la langue : est Flamand celui qui parle le néerlandais. Par exemple, la députée flamande au Parlement dit européen, Assita Kanko, est originaire du Burkina Faso. Très en pointe contre l’islam, elle défend la cause catalane, l’écologie, les droits LGBTQIA+++ et pourfend le relativisme culturel.
Bart De Wever a conclu une alliance entre cinq partis dont les couleurs rappellent le drapeau de l’Arizona. Aux côtés de la NVA (jaune) participent les francophones du Mouvement réformateur d’orientation libérale (bleu) et les Engagés (turquoise), d’anciens-démocrates chrétiens désormais sécularisés. Chez les Flamands, on rencontre les démocrates-chrétiens (orange) et Vooruit (En avant !) (rouge), les socialistes de Conner Rousseau connu pour ses prises de position sceptiques envers l’immigration. Cela nous change d’Arthur Delaporte et de Boris Vallaud... Comment va réagir l’Internationale socialiste à cette coalition avec le centre-droit ? SMER – Social-Démocratie du Premier ministre slovaque Robert Fico fait toujours partie de cette Internationale…
Le compromis entre les socialistes et les nationaux-centristes en Flandre n’est pas une surprise d’autant que les Flamands s’accordent tous sur l’objectif final d’obtenir leur souveraineté nationale. Mais cet accord tiendra-t-il alors que se profilent trois mesures explosives : la réforme du marché du travail, la révision des règles d’allocation du chômage et la refondation du système des retraites ? Le nouveau gouvernement s’engage aussi à réaliser des économies d’un montant de vingt milliards d’euros ! Ce plan ambitieux ne concerne toutefois pas la sécurité intérieure, ni la défense dont les dépenses devraient fortement augmenter. L’accord a été rendu possible par la victoire récente en Wallonie du Mouvement réformateur (29,58 %) et des Engagés (20,65 %) dans une région sclérosée par des décennies de clientélisme socialo-écologiste.
L’arrivée de ce nouveau gouvernement a des répercussions en Wallonie, dernière république soviétisée sinistrée au monde. La médiacratie wallonne exerce un strict cordon sanitaire contre tout porte-parole patriote ou identitaire. Elle n’hésite jamais à jeter en pâture à travers des articles biaisés et des reportages fielleux des personnalités non conformistes. Ce climat liberticide n’empêche pas le président du Mouvement réformateur, Georges-Louis Bouchez, d’accueillir dans sa formation un ancien cadre et des anciens candidats du mouvement protestataire anti-immigré « Chez nous ».
Dépassé à la fois, en haut, par la supranationalité pseudo-européenne et ultra-atlantiste (l’OTAN), et, en bas, par la régionalisation et la communautarisation, l’État fédéral belge malingre et dysfonctionnel n’est qu’une coquille vide en proie à une islamisation galopante ainsi qu’à une emprise grandissante des narco-trafiquants. La tâche ministérielle de Bart De Wever se révèle plus que colossale, elle devient herculéenne.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°143, mise en ligne le 11 février
14:24 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quand Trump parle à Poutine : d’un côté les antidépresseurs, de l’autre les pop-corns
Regis De Castelnau
Emmanuel Todd avait pointé que « Le job de Trump allait être de gérer la défaite américaine face aux Russes ». C’est commencé. Et ça sent la fin de partie. Dans une surenchère ruineuse pour ses propres intérêts, l’Union Européenne dirigée par l’agent américain belliciste von der Leyen s’était précipitée à la suite de l’administration démocrate pour déclarer la guerre à la Russie. À une Europe alignée sur l’hystérie des tarés qui dirigent les pays baltes, Trump vient de dire directement et indirectement : « vous avez servilement soutenu Biden, eh bien démerdez-vous, nous on se barre ». Et le spectacle des valets désormais sans maître que sont les dirigeants européens, Macron en tête, est une friandise. Donald Trump : « Je viens d’avoir un appel téléphonique long et très productif avec le président russe Vladimir Poutine [….] Nous avons chacun parlé des points forts de nos nations respectives et du grand avantage que nous tirerons un jour de notre collaboration. Mais d’abord, comme nous en sommes tous deux convenus, nous voulons mettre un terme aux millions de morts qui ont lieu dans la guerre avec la Russie et l’Ukraine. Le président Poutine a même utilisé ma devise de campagne très forte, « LE BON SENS ». Nous y croyons tous deux très fermement. Nous avons convenu de travailler ensemble, en étroite collaboration, notamment en visitant nos nations respectives. » Ça c’est pour rappeler à l’Occident qui est le patron et que les questions se règlent entre grandes personnes. Pour les détails c’est Pete Hegseth le secrétaire d’État à la défense américain qui s’y est collé à la réunion des ministres de la Défense de l’OTAN : « Pas d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. C’est l’Europe, et non l’OTAN ou les États-Unis, qui doit prendre l’initiative d’assurer la sécurité de l’Ukraine. Tout déploiement de troupes européennes en Ukraine ne sera pas couvert par l’article 5 et ne sera pas considéré comme une opération de l’OTAN. Aucune troupe américaine sur le terrain. Les Européens doivent prendre l’initiative de fournir une aide létale et non létale à l’Ukraine. » Traduction : démerdez-vous, on se barre (bis). On n’est pas plus aimable. Macron, Starmer, Scholz, VDL, Rutte, Kalas, etc. etc. font rentrer des tonnes de Lexomil, de Temesta, Valium, Effexor, et autres Prozac. Gare aux ruptures de stocks. Pour ceux qui avaient prévu cette issue depuis trois ans, attention aux excès de schadenfreude. Cela peut conduire à l’indigestion de pop-corns.
Source : site Vu du droit
11:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Parution imminente du Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Marie Le Pen
La livraison du 29e Cahier d'Histoire du nationalisme, réalisé sous la direction d'Aristide Leucate et annoncée pour la seconde partie du mois de février, approche.
Il est à l'imprimerie et ne va donc pas tarder à être envoyé à nos nombreux lecteurs, près de 300, qui l'ont passé en pré-commandes. Encore un tout petit peu de patience, et vous pourrez, dans quelques jours, lire ce Cahier de 250 pages, abondamment illustré, rassemblant des documents et des contributions de 32 personnalités de la droite de conviction.
Face aux calomnies déversées par la bien-pensance institutionnalisée contre le Menhir, ce livre a aussi vocation à remettre les choses à leurs justes places.
Pour celles et ceux qui ne l'ont pas encore commandé : cliquez ici
10:46 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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