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samedi, 22 février 2025

Méfiez-vous, les "nazis" sont partout ! Ou quand l'absurdité finit par l'emporter...

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Synthèse nationale

Que nos "amis" les antifas, en bons obsessionnels maladifs de l'anti-fascisme qu'ils sont, voient des "nazis" partout, cela n'a rien d'étonnant. Après tout, c'est leur fonds de commerce... Quelques-uns en vivent grassement, une poignée d'excités et de naïfs y croit réellement et la majorité de nos compatriotes, fort heureusement, s'en fout complètement. 

Le moindre mot prononcé (parler de "races" ou de "nations" par exemple), le moindre geste effectué (saluer son voisin le matin ou ses auditeurs après une conférence en levant le bras droit), posséder une Mercedes ou une Volkswagen, avoir un livre de Raymond Aron dans sa bibliothèque, regarder Praud ou Morandini sur C-news... Bref, tout est bon pour se retrouver qualifier de "nazi" par les toquards antifas en mal de frissons.

Leur stratégie douteuse a au moins un avantage : c'est qu'à force de traiter de "fascistes" et de "nazis" les Français plus ou moins droitards, ceux-ci finissent par croire qu'ils le sont vraiment. Et comme ils sont donc eux-mêmes devenus "fascistes" ou "nazis", cela induit que les fascistes et les nazis sont, comme eux, de braves gens dont on dit beaucoup de mal sans savoir pourquoi... 

Pendant ce temps, le wokisme fait des ravages et l'islam progresse à grand pas sur notre continent. Les antifas jouent ainsi parfaitement leur rôle de bons petits collabos d'opérettes du moment.

Mais le plus inquiétant n'est pas là...

Le drame, c'est que face à ces balivernes anti-fascistes, ceux qui sont sensés incarner la résistance nationale, populaire et identitaire ; ceux qui rassemblent, d'élections en élections, un nombre croissant de Français qui veulent rester français dans une France française ; ceux qui sont les héritiers de celui qui a ouvert, sans rien renier, les yeux à un grand nombre de nos compatriotes ; ceux-là même courbent allègrement l'échine face au premier mirage venu. L'attitude grotesque de l'actuel président du RN suite au supposé "salut nazi" de Steeve Banon en est la parfaite illustration.

Banon (adulé lors du congrès de Lille en 2018 au cours duquel le FN devint RN) n'est peut-être pas un saint-homme aux yeux des tenants de la pensée dominante, mais de là à l'imaginer lui aussi comme étant un "tortionnaire de camps de concentration", il ne faut pas exagérer. Il n'est pas le premier à saluer son auditoire en tendant le bras. Il faut arrêter d'être hypocrites, cela peut arriver à quiconque se retrouvant face à une foule enthousiaste. Les photos de "grandes consciences universelles" (telles Obama ou Macron pour ne citer qu'eux) sont pléthores, et cela ne choque personne. 

Dans ce contexte, la décision de Jordan Bardella de ne pas prendre la parole à la Convention des conservateurs est non seulement ridicule mais, pire encore, elle est significative de l'incapacité du RN, en l'état actuel des choses, a résister aux injonctions du "camp du bien" une fois qu'il aura accédé au pouvoir. Si toutefois il y accède...

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12:10 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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