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dimanche, 07 septembre 2025

Comme chaque année : Synthèse nationale était aux Journée chouannes de Chiré-en-Montreuil

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Les 55es Journées chouannes qui se sont déroulées samedi 6 et dimanche 7 septembre à Chiré-en-Montreuil dans la Vienne ont remporté un réel succès, que ce soit par le nombre des participants ou par la qualité des interventions.

Notre revue Synthèse nationale et notre maison d'édition étaient fidèles au rendez-vous et de nombreux amis sont venus sur notre stand.

Nous reviendrons bientôt sur cette belle fête annuelle.

23:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LANCEMENT MERCREDI D'UNE NOUVELLE RADIO ALTERNATIVE : RADIO FRONTIÈRES

 

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23:13 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villiers lance une pétition pour un référendum sur l'immigration

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Sauvons la France : exigeons un référendum sur l’immigration

Françaises, Français,

Nous sommes à l’heure de l’urgence vitale. L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres : c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de changer de peuplement. Nous sommes en train de changer d’art de vivre. Nous sommes en train de changer de civilisation. Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France.

Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes : regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la disparition d’un peuple.

Ne comptez pas sur la classe politique pour enrayer cette mécanique infernale de l’effacement national. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera.

Il n’existe qu’une issue : rendre la parole au peuple. Quand les élites oublient la France, c’est au peuple de rappeler les élites à l’ordre. Il n’y a qu’un seul chemin pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme : le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la survie de la France.

Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y contraindre. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb : une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard.

Voilà pourquoi je lance cette pétition. Pour exiger un référendum sur l’immigration. Pour dire haut et fort : « Rendez la parole au peuple ! »

Signez, faites signer, multipliez vos voix. Que ce cri soit si puissant qu’il devienne impossible à étouffer. L’heure n’est plus aux commentaires. L’heure est venue d’agir.

Pour nos enfants. Pour nos morts qui nous regardent. Pour la France éternelle.

Philippe de Villiers

Pour signer la pétition cliquez ici

23:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Santé mentale des jeunes : une génération au bord de la rupture

La santé mentale des jeunes filles « semble aller particulièrement mal » |  Radio-Canada

La rédaction de Breizh-Info

Un quart des jeunes Français entre 15 et 29 ans se déclare en dépression. C’est le constat glaçant qui ressort de l’enquête menée au printemps 2025 par la Mutualité Française, l’Institut Montaigne et l’Institut Terram, auprès de plus de 6 500 jeunes. L’étude, croisée avec les données de Santé publique France, confirme ce que chacun pressentait depuis la crise du Covid : une explosion des troubles psychiques chez les adolescents et les jeunes adultes, en particulier chez les femmes et les Ultramarins.

Des chiffres qui inquiètent

Selon cette enquête, un jeune sur quatre se considère en dépression. Près d’un tiers avoue avoir déjà eu des pensées suicidaires. La fatigue, la perte d’énergie et un sentiment diffus de désespoir traversent les réponses : six sur dix déclarent s’être sentis tristes ou déprimés dans les deux semaines précédant le sondage.

Les disparités régionales frappent : 39 % des jeunes ultramarins se disent dépressifs, avec des pics alarmants en Guyane (52 %) et en Martinique (44 %). En métropole, la Bourgogne-Franche-Comté affiche un taux bien plus bas (19 %), preuve que la crise est aussi sociale et territoriale. Les jeunes femmes sont davantage touchées (27 % contre 22 % des hommes).

Des réponses publiques fragmentées

Le gouvernement a fait de la santé mentale une « grande cause nationale » en 2025. Pourtant, les dispositifs restent jugés « fragmentés » et peu accessibles. Moins de 40 % des jeunes ont déjà parlé de leur santé mentale avec un professionnel. Beaucoup renoncent, par peur du jugement, par manque de moyens financiers ou par sentiment d’inutilité. En Outre-mer, seuls 30 % ont consulté un professionnel.

Les annonces ministérielles (détection précoce à l’école, formation de « secouristes en santé mentale », kits de sensibilisation pour 2026) peinent à convaincre soignants et associations. Derrière les chiffres, c’est l’urgence d’un malaise collectif qui transparaît.

Les causes profondes oubliées

Mais une question demeure : pourquoi cette explosion de la détresse psychique ? Les rapports officiels s’arrêtent trop souvent au constat ou à l’organisation des soins. Peu s’interrogent sur les causes sociétales. Aucun plateau TV, aucun journal ne s’interroge sur les causes profondes, histoire d’être certain de ne jamais apporter de solution.

Or, comment ignorer le rôle de l’explosion de l’individualisme, qui fragilise les solidarités familiales et communautaires ? Comment ne pas voir que l’absence de spiritualité et de repères transcendants laisse nombre de jeunes face au vide ? À cela s’ajoute un effondrement sécuritaire : sentiment d’insécurité dans l’espace public, menaces de violences, fractures identitaires… Dans un monde sans racines, livré à la tyrannie des écrans et des réseaux sociaux, les jeunes grandissent sans piliers stables.

Ce mal-être traduit aussi l’incapacité de la société française à transmettre un horizon collectif. Les chiffres le montrent : les jeunes ne se reconnaissent plus dans un avenir commun, et leur souffrance reflète une crise beaucoup plus large – celle du lien social et du sens.

Sans une réflexion sur ces causes profondes, aucune réforme technique ne suffira. Former des psychiatres, déployer des kits ou ouvrir des numéros verts est utile, mais insuffisant. C’est d’abord d’espérance, de cohésion et de repères dont une génération entière a besoin.

Faute de quoi, l’hexagone pourrait se retrouver avec une jeunesse brisée, enfermée dans la dépendance médicamenteuse ou numérique, incapable de se projeter, et donc incapable d’assumer son avenir commun.

Article publié sur Breizh-Info, le 4 septembre. Cliquez ici.

15:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tapisserie de Bayeux… le crime patrimonial de Macron

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Michel Onfray n’est pas le seul à dénoncer le prêt de la fameuse tapisserie de Bayeux aux Anglais. Cette tapisserie, joyau de notre patrimoine, est plus que fragile et risque fort de ne pas supporter son déplacement dans la perfide Albion. Outre cette affaire de prêt, c’est aussi la manière qui ne manque pas de choquer dans la mesure où Macron a pris cette décision seul, sans prendre l’avis des experts, tous remontés contre son transport.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 7/9/2025

09:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un été en France (suite)...

Refus d'obtempérer : leur nombre est en légère baisse depuis 2021, mais les  cas graves augmentent

Maurice Bernard

Le dimanche 20 juillet, dans la soirée, à Bordères-sur-l’Échez (Hautes-Pyrénées), deux hommes sur des motocross, en plein rodéo urbain (le "sport" préférés des zonards décérébrés), percutent une fillette de quatre ans, la blessent sérieusement au visage et prennent la fuite. Il n’y a pas eu d’émeute.

Le vendredi 25 juillet, à Oullins-Pierre-Bénite (Rhône), un homme à deux-roues percute volontairement un policier municipal à la suite d’un refus d’obtempérer, à proximité d’un point de deal, puis prend la fuite. Il n’y a pas eu d’émeute.

Le samedi 26 juillet, à Colomiers (Haute-Garonne), un homme au volant d’une puissante Mercedes immatriculée en Allemagne, roule à vive allure. Les forces de l’ordre tentent de l’intercepter mais il prend la fuite et finit par heurter violemment un véhicule transportant une femme et ses trois enfants. La mère et un des enfants sont blessés sérieusement et le chauffard s’enfuit à pied. Il n’y a pas eu d’émeute.

Le samedi 2 août, à Marseille, dans la soirée, un homme de 27 ans, bien connu des services de police, au volant d’une grosse Audi, fauche deux personnes et s’enfuit à pied… Il n’y a pas eu d’émeute.

Le samedi 9 août, à Rezé, dans la banlieue de Nantes, des véhicules de police, à la recherche de deux hommes, auteurs présumés de coups de feu, sont pris à partie par une quinzaine d’individus et volontairement percutés par le chauffeur d’une camionnette (qui, de plus, tente de renverser un policier). Il n’y a pas eu d’émeute.

Le samedi 23 août, à Nanteuil-lès-Meaux, en Seine-et-Marne, un individu, au volant d’une voiture de location, refuse un contrôle de la BAC, heurte volontairement l’un des policiers, lui inflige un traumatisme crânien et de multiples fractures et parvient à prendre la fuite. Il n’y a pas eu d’émeute.

Le jeudi 28 août, au péage de Sames, sur l’A64, le conducteur d’un véhicule refuse, lui aussi, un contrôle. Il accélère, percute un gendarme, le blesse grièvement et parvient à s’enfuir à pied tandis que ses quatre passagers sont arrêtés. Il n’y a pas eu d’émeute.

Le mardi 2 septembre, à Carpentras, le conducteur et les deux passagers d’un SUV Mercedes (à bord duquel se trouvent des produits stupéfiants), tentent d’échapper à la police près d’un point de deal. Le véhicule s’engage sur une voie rapide, à contresens et à pleine vitesse. Il percute frontalement une voiture et tue son conducteur, un jeune homme de 21 ans. Il n’y a pas eu d’émeute.

Pendant ce temps, le policier auteur du coup de feu qui a tué le jeune chauffard récidiviste de Nanterre, le 27 juin 2023, attend d’être jugé pour « homicide volontaire » par la cour d’assises des Hauts-de-Seine, au deuxième ou au troisième trimestre de 2026. Rappelons à ce sujet que la victime, Nahel Merzouk, a trouvé la mort après avoir tenté, en pleine ville, pendant une vingtaine de minutes, d’échapper à deux motards, au volant (à 17 ans, donc sans permis) d’une puissante Mercedes-Benz classe A immatriculée en Pologne et que les jours d'émeutes qui ont suivi, dans toute la France, se sont soldés par 1 milliard d'euros de dégâts…

On prête à Napoléon 1er cette formule : « L’art de la police est de ne pas voir ce qu’il est inutile qu’elle voie ». Craignons qu’avec de telles décisions, les forces de l’ordre finissent par trouver « inutile » de voir les véhicules suspects, les délits routiers, les rodéos urbains... Tremblez, braves gens, la bien-pensance et une certaine "justice" veillent !

07:30 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |