vendredi, 04 juillet 2025
Vendredi 18 juillet, à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Jean Raspail
11:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Parution du nouveau numéro (n°120) de la Lettre des Amitiés Franco-Espagnoles
Sommaire :
- Éditorial d’Hélène Grimaldi
- En Espagne : « Mafia et démocratie » ; L’Espagne en panne ; À propos de la basilique ; 23 février 1981 : les Nationalistes se souviennent d’Antonio Tejero ; « L’Union des Patriotes pour l’Europe » signe « Make America Great Again » ; Sixte-Henri de Bourbon Parme : Prince fidèle ; José Manuel Albares : « Gaza appartient aux Palestiniens et aux habitants de Gaza » ; Le nouveau Pape Léon XIV et la guerre civile espagnole : un détail qui peut compter ; 1er avril 1939 : Fin de la guerre d’Espagne, victoire de la croisade antibolchevique ! ; Felipe VI prince des LGBTI
- En France : Forum pour la paix – Paris -10 mai 2025 ; Fête officielle de Sainte Jeanne d’Arc ; Entretien d’une militante féminine du mouvement national-syndicaliste espagnol fondé par José Antonio avec Hilda Lefort, Caryatide ; Catholicisme traditionnel et nationalisme
- À lire : Nouvelle lumière sur la répression franquiste : une étude révise la légende ; La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne
- Brèves
- Le CFH vous invite à soutenir
Pour la commander : cfh.grimaldi@free.fr
11:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
jeudi, 03 juillet 2025
FRANCE 2, ou l’anti-France à la manœuvre, en douce….
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premier venu ».
Je n’ai pas été déçu du voyage. Par-delà une comédie un peu simpliste mais bon enfant, les poncifs de l’actuelle société « progressiste » - plutôt décadente ! -, étaient presque tous réunis. La trame était la suivante. Une présentatrice de télévision, riche héritière, spécialisée dans les courses hippiques, devait se marier à un simple professeur de mathématiques dont elle était, au début, follement amoureuse. Mais, on sait que Cupidon aime à jouer, parfois, les troublions. De fil en aiguille notre speakerine tombe amoureuse cette fois-ci, de son garagiste, un Martiniquais passionné de chevaux de course – comme par hasard -, dont les parents aiment à dire que, « pourquoi ne pas être racistes comme tous les Français » ?
Cet amour qui semble impossible, va probablement se terminer par un mariage mixte. Et cette union est encouragée et sanctifié par le père – très volage -, de la jeune femme, et par sa mère, un transgenre divorcé du premier en raison, justement, de son changement de « genre » ! Vous suivez ? Mais, cerise sur le gâteau si je puis dire, au cours du téléfilm, nous avons droit par deux fois à une scène de contrôle policier à l’encontre du héros, type « contrôle au faciès », effectué par deux « méchants « policiers. Ça ne vous rappelle rien ? Et après cette heure et demi de télé, circulez, il n’y a plus rien à voir !
Plus rien à voir, vraiment ? Sinon que notre argent a servi à financer une œuvre du service public – la télé officielle de la « belle République française » -, qui, doucement et mine de rien, gentiment, instille dans les esprits que le mariage mixte serait devenu la norme, comme, sans doute, la transsexualité, sans parler de la banalisation du divorce. Mais là, pour le coup, il s’agit d’un véritable fait de société, quasiment irréversible.
Cette fiction met en avant un supposé racisme primaire et caricatural, qui ne serait l’exclusivité que des seuls autochtones, à commencer par ses policiers.
Bref, sous un titre insignifiant, ce film qui aurait pu être une simple comédie de mœurs comme Labiche ou Feydeau savaient en faire – les portes claquaient et les amants se cachaient dans les armoires pour la plus grande joie des spectateurs -, nous avons assisté à une belle œuvre de sape des valeurs traditionnelles, et à une sournoise accusation de racisme « blanc ».
18:56 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Comment Synthèse nationale a été à l'avant-garde du combat anti éoliennes...
Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut tout autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.
Alors, pour se consoler, les Français se dirent que c'était peut-être le prix à payer pour avoir l'électricité chez eux. Faire marcher son ordi ou son four à micro-ondes, sans oublier son chauffage d'appoint, passerait donc, si l'on en croit la propagande gouvernementale (de tous bords), par un tel sacrifice.
Mais, très vite, certains commencèrent à se poser des questions sur l'utilité de ces machines infernales. Non seulement les éoliennes sont onéreuses et dangereuses, elles sont surtout, compte tenu de leurs capacités infimes de production d'énergies, totalement inutiles. Au début, ce fut le cas de la Fédération environnement durable (FED), une association créée en 2007 qui tenta, sans doute trop poliment, d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur les côté néfastes de leur implantation massive. Mais elle ne fut guère entendue...
Un soir, en 2015, alors que nous dînions ensemble à Paris, mon ami Alban d'Arguin, qui venait de s'installer dans l'ouest de la France, me raconta comment, avec quelques voisins, il s'était engagé contre l'implantation d'un champ d'éoliennes à proximité de son village. Et comme Alban est avant tout un homme d'idées et de combat, doté de surcroit d'une solide formation juridique, il réussit, avec ses amis, à mettre à bas ce projet. À cette occasion, il découvrit toutes les arrière-pensées et les sources de profits gigantesques qui se dissimulaient derrière ces "bonnes intentions énergétiques". De là naquit l'idée d'éditer le livre "Éoliennes, un scandale d'État" qui sortit en janvier 2017.
Ce livre, qui remporta un vrai succès (près de 5.000 exemplaires vendus), remet les pendules à l'heure sur les prétentions écologistes et place le combat anti-éolien dans un contexte de lutte contre l'uniformisation planétaire voulue par les mondialistes.
"Éoliennes, un scandale d'État" inspira aussi, dans de nombreuses communes françaises, des foyers de résistance qui, bien souvent, eurent gain de cause. Les graines de la révolte étaient ainsi semées et les consortiums étrangers qui installent les éoliennes commençaient à faire grise mine.
Quelque temps plus tard, l'excellent Fabien Bouglé publia à son tour un livre (Éoliennes, la face noire de la transition écologique, aux Editions du Rocher) qui enfonçait le clou planté par Alban d'Arguin. Aujourd'hui, la France entière prend conscience de la supercherie, partout la résistance s'organise et la suite à donner au programme éolien est au centre de bien des débats parlementaires mettant ainsi l'ensemble des partis du Système (de LFI aux Républicains en passant par les macroniens) devant leurs responsabilités...
Je dois dire que, à Synthèse nationale, nous sommes assez fiers d'avoir été les premiers à donner une dimension politique à la contestation anti-éoliennes et que nous n'allons pas nous gêner, à chaque fois que nous en aurons l'occasion, pour le rappeler...
Roland Hélie
Le livre d'Alban d'Arguin, "Éoliennes, un scandale d'État", est toujours disponible, vous pouvez le commander en cliquant ici
11:03 Publié dans Combat anti-éoliennes, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 02 juillet 2025
Raoul Raketitch, un militant de grande valeur de la cause nationale nous a quittés
Raoul Raketitch, militant de la première heure du Front National, est décédé le mois dernier pour rejoindre, nous l’espérons, de vertes prairies où l’herbe est meilleure que sur cette terre de France quotidiennement martyrisée.
Responsable du secteur sud de la Fédération FN des Hauts-de-Seine, il avait été victime d’une sauvage agression par une bande de jeunes d’origine maghrébine, alors qu’il collait tranquillement des affiches du FN, à Chatillon. À l’issue de celle-ci, il avait perdu partiellement l’usage de l’ouïe, cette infirmité l’handicapant dans son travail, un emploi qui le mettait au service des autres.
J’avais eu, personnellement, une aimable controverse avec lui lors de la guerre en ex-Yougoslavie, lui penchant pour les Serbes, et moi pour les Croates et les Slovènes. Cette querelle n’avait eu aucune importance dans nos relations, toujours empreintes de respect et d’amitié. Il y a un an, il m’avait rendu visite sur « mes » terres de Seine-et-Marne et, moins d’un mois avant sa disparition, nous avions eu un échange téléphonique. Je ne pouvais pas savoir que c’était le dernier. C’est à des hommes de cette valeur que les députés du Rassemblement national doivent leur confortable situation électorale.
Repose en paix, Cher Raoul, auprès de ton frère ainé qui fut, lui aussi, un militant exemplaire du FN, ainsi qu’aux côtés de ton épouse disparue trop tôt. La France réelle a perdu un de ses serviteurs, mais elle ne le sait pas !
19:08 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Ce n’est plus un fait divers
Dans la soirée du 31 mai, 21 cambriolages ont été commis dans les environs du Parc des Princes. Dont un violent home-jacking. Une femme a été violemment agressé dans sa maison proche du parc des Princes, à la suite du match de foot qui a sacré le PSG contre l’Inter de Milan. Nous ne sommes plus dans le fait divers, mais dans le fait de société dans la mesure où cette délinquance d’une racaille qui ne respecte rien est devenu monnaie courante. Le Parisien rapporte les faits. On attend une réponse d’un Etat aux abonnés absents, quand bien même la police fait ce qu’elle peut malgré les embûches qu’elle rencontre.
Lire la suite ICI
Source : Le Parisien 2/7/2025.
10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Liberté d'expression : deux poids, deux mesures
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.
Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.
Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.
Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.
01:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 01 juillet 2025
Il y a la France du policier Florian et celle de la racaille Nahel Merzou
L'éditorial de Cyrano sur Riposte laïque cliquez ici
À l’occasion du deuxième anniversaire de la mort de la racaille Nahel Merzouk, qui a occasionné 6 jours d’émeutes, des centaines de policiers blessés et des pillages et vandalisations dans de nombreuses villes, il s’est trouvé un maire, celui de Nanterre, un nommé Raphaël Adam, pour proposer d’apposer une plaque en l’honneur du délinquant multirécidiviste. Cela à l’occasion d’un hommage qui fut un véritable flop, malgré la médiatisation et la présence des Insoumis et des Traoré.
Dans le même temps, curieusement, on retrouve un écrit du policier Florian – incarcéré durant 5 longs mois – durant les quatre premiers jours de sa mise en garde à vue. Manifestement, il avait déjà tout compris, même s’il n’envisageait pas encore tout ce qui allait suivre.
« Je me dis que je vais finir en détention provisoire pour calmer ces pauvres jeunes en colère. Tous les fonctionnaires de police que je croise jusqu’au dépôt sont dépités, ils se sentent trahis, abandonnés, livrés en pâture aux émeutiers. La colère d’une minorité de la rue l’a emporté, et un message d’impunité est envoyé aux délinquants. Ma tête sera servie sur un plateau aux médias pour calmer les esprits. »
Il ne savait pas encore le temps qu’allait durer son scandaleux emprisonnement, et encore moins que les juges de Nanterre allaient s’acharner contre lui, le traînant devant les assises pour meurtre.
On a vu, à cette occasion, deux France face à face pour reprendre les propos de l’ancien ministre de l’Intérieur de Macron, Gérard Collomb, aujourd’hui décédé. On a vu le camp patriotique défendre le policier Florian. On a vu Jean Messiha mettre en place une cagnotte qui atteindra rapidement 1,6 million d’euros, montrant une révolte populaire énorme qui s’est exprimée par le soutien financier au policier. On a vu les médias alternatifs patriotes rétablir les faits et dénoncer la manipulation de ceux qui pleuraient la mort de la racaille.
Mais en face, on a vu et entendu l’anti-France, la Nouvelle France, la France créolisée, les islamo-gauchistes, mais aussi l’ensemble d’un appareil d’État au service de la destruction de notre pays.
D’abord Emmanuel Macron qui, dès le premier jour, avait décidé que le policier était coupable, avant même que l’instruction ne soit commencée. Voilà qui nous rappelait la rapidité avec laquelle il fut décidé que l’incendie de Notre-Dame ne pouvait qu’être accidentel.
Et puis il y eut l’ensemble de la gauche, derrière les Insoumis, pour souffler sur les braises, hurler que la police raciste tue, et légitimer les émeutes et les dégâts qu’elles occasionnèrent.
Bien sûr, la racaille, celle que Karl Marx appelait la lie de la société, qui se moquait totalement du sort de Merzouk, en profita six jours durant pour mettre la France à feu et à sang, quand les policiers avaient l’ordre de se faire discrets et surtout de ne pas tirer.
Les juges de Nanterre firent leur part du travail, instruisant avec une partialité confondante, montrant leur idéologie et leur haine de la police, en s’acharnant – et ce n’est pas fini – sur le malheureux policier.
La presque totalité des médias de propagande, appartenant à des milliardaires qui arrosent la gauche, victimisèrent également la racaille victime de ses exactions et qualifièrent le policier d’assassin.
Bien sûr, les sportifs, comme Mbappé, et les artistes, comme Omar Sy, nous firent le coup de l’ange parti trop tôt.
Pour avoir fait son travail, et sans doute sauvé la vie de piétons ou d’automobilistes, le policier Florian a vu sa carrière brisée, sa famille menacée, l’obligation de déménager, et sa hiérarchie et le régime de Macron l’abandonner. Dans d’autres pays, il serait un héros.
Ces deux camps, celle de la France profonde et celle des racailles soutenues par toute la gauche, sont inconciliables et totalement antagoniques. L’une devra mettre l’autre hors de combat, et la gauche s’y prépare, en multipliant les agressions contre des patriotes et en cherchant à faire interdire toute parole alternative à sa conception totalitaire du monde.
Si le camp patriote vient à gagner les élections, il devra briser les reins et mettre hors de combat tous ceux qui sont payés pour briser la France. Et il y aura beaucoup de travail, tant ils sont nombreux. Mais ce sera le seul moyen de sauver le pays.
08:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Samedi 5 juillet, à Morlaix (29) : mobilisation anti éoliennes
01:26 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Les Français souffrent, mais l’État jette leur argent par les fenêtres
Michel Festivi
Les Français qui travaillent, ou qui ont durement travaillé pour avoir une retraite décente, souffrent et sont pressurisés de toutes parts, mais nos gouvernants envisagent de nous taxer encore plus, et parallèlement, ils n’hésitent pas à jeter l’argent du contribuable par la fenêtre. Quelques exemples parmi bien d’autres, de cette gabegie volontaire, de ce tonneau des Danaïdes.
On vient d’apprendre que 165 bus, qui ont été utilisés notamment pendant les jeux olympiques et paralympiques, ont été remaniés, réparés, et sont devenus accessibles aux personnes dites à mobilité réduite, pour ni plus ni moins être envoyés en Tunisie, gratuitement, en cadeau ! Pendant ce temps, bien des villes, bien des villages en France ne disposent pas d’assez de véhicules de ce genre, et ils auraient pu en profiter. Les personnes qui prennent régulièrement les transports en commun, savent de quoi je parle. Ces bus auraient pu rendre de grands services dans nos territoires, trop souvent abandonnés par les élites politiques parisiennes.
Autre exemple et non des moindres. Il concerne notre agriculture. Chacun sait que nos agriculteurs, qui travaillent très durs pour souvent une rémunération des plus faibles, sont persécutés par les normes, les taxes, les coûts sans cesse plus haut de l’énergie et des intrants, comme les engrais. Et bien 15 millions d’euros d’aides européennes ne vont pas être versés ni à la France, ni à l’Espagne, ni à l’Italie ni au Portugal etc, mais à l’Afrique du Sud pour soutenir des initiatives en faveur « de la diversité », et « de l’inclusivité », dans sa filière agricole. L’Europe wokiste est passée par là.
Je ne savais pas que l’Afrique du Sud se trouvait en Europe, on n’en apprend tous les jours ! Visiblement Bruxelles n’a rien à faire des paysans européens, et ce d’autant plus que ces pays comme l’Afrique du Sud sont des concurrents déloyaux, qui écrasent les prix et qui plombent nos productions, n’étant pas enserrés dans des règlementations kafkaïennes. Que fait le Président de la république et le premier ministre pour s’insurger devant un tel scandale ? Pourtant la voix de la France porterait et pourrait entraîner d’autres nations dans son sillage. Macron préfère se prélasser à Séville dans le cadre d’une réunion internationale : « pour aider les pays du Sud », encore un futur gâchis de plus.
Sans vouloir polémiquer, je me permets de faire une petite parenthèse. En 2017 comme en 2020, les gros syndicats agricoles notamment céréaliers, comme la FNSEA et l’ensemble de ses relais départementaux, les FDSEA, ainsi que le Syndicats des Jeunes agriculteurs aligné sur la FNSEA, ont appelé méchamment et massivement à refuser Marine le Pen et à voter Macron. Je sais bien qu’il existe d’autres syndicats agricoles, mais il faudrait aussi, peut-être, que la profession fasse le ménage chez ses représentants.
Quoiqu’il en soit le gaspillage étatique et permanent est à tous les niveaux. Le coût de l’audiovisuel public, est de plus de 4 milliards d’euros, il emploie 16 000 salariés qui possèdent tous un statut exorbitant du droit commun, et des avantages que le commun des mortels n’a pas. A-t-on encore besoin en France d’un service public pour les radios et les télévisions en 2025 ? Je dis non, trois fois non, d’autant que les chaînes et radios publiques sont les relais permanent du wokisme et de l’islamogauchisme, alors qu’elles se devraient de respecter le pluralisme. Il existe plus de 300 chaines de télévision, il existe YouTube et autres relais médiatiques pour s’informer utilement, il existe des télévisions et radios alternatives. Supprimons cette chape de plomb orwellienne, et la France se portera mieux, politiquement et financièrement. Mais pour agir ainsi, il faut une qualité, qu’aucun homme ou femme politique qui nous gouverne n’a, du courage et de la volonté.
Si l’état et les collectivités arrêtaient de donner de l’argent à tort et à travers au monde entier ; si l’on abrogeait « l’odieux visuel public », comme l’a qualifié si judicieusement Gilles William Goldnadel ; si l’État avait enfin le courage de s’attaquer au mille -feuille administratif en éliminant les doublons et en limitant le nombre d’élus ; si l’on supprimait une quinzaine voire une vingtaine d’agences gouvernementales qui ne servent strictement à rien chacun le sait, Bayrou n’aurait plus besoin de se gratter les méninges pour trouver de l’argent pour les futurs retraités et pour baisser les charges qui minent l’emploi, ni d’inventer de nouveaux impôts et taxes.
00:58 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |