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dimanche, 18 janvier 2009

SOLIDARITE AVEC ANNE KLING !

Nous reproduisons ici le compte rendu publié par Anne Kling de l'affaire qui l'oppose, devant le Tribunal administratif, à son employeur, une organisation internationale, suite à l'édition, en janvier 2007, de son livre La France Licratisée.

 

Nous tenons à manifester ici toute notre amitié et notre entière solidarité avec Anne face à cette nouvelle condamnation de la justice du Système.

 

Synthèse nationale

 

 

LE CONSEIL DE L’EUROPE A GAGNE (1er épisode)

 

forum_grenelle_033[1].JPGLa sentence dans le conflit m’opposant à mon employeur, le Conseil de l’Europe, à propos de mon livre La France LICRAtisée, vient de tomber. Le Tribunal administratif* rejette mon recours, donnant ainsi raison à l’Organisation internationale qui m’avait sanctionnée par une rétrogradation. J’en prends acte. Une audience publique s’était tenue le 22 septembre 2008 devant ce Tribunal. J’y avais développé ma plaidoirie, car je m’étais défendue moi-même, et l’Organisation avait présenté ses arguments. Il s’agit-là de documents publics, puisque énoncés dans le cadre d’une audience publique. Est également publique la sentence du Tribunal.

 

J’ai décidé de publier ces trois pièces – ma plaidoirie, celle de la partie adverse, la sentence – sur le blog, aujourd’hui et les jours suivants. Pourquoi ? Mais pour donner des éléments d’information, de réflexion et même de méditation, aux citoyens européens. Bien entendu, je m’abstiendrai de tout commentaire, puisque l’on ne commente pas les décisions de justice. C’est du reste inutile.

 

Je ne précise pas dans le présent préambule l’objet du litige, il est clairement expliqué dans ma plaidoirie.

 

Donc, voici aujourd’hui l’acte I : ma plaidoirie, présentée devant le Tribunal administratif, le 22 septembre 2008, comme si vous y étiez...

 

« Madame la Présidente, messieurs les juges,

 

La présente affaire se situe dans une longue lignée d’affaires similaires m’ayant opposée depuis six années à mon employeur, le Conseil de l’Europe. Ces affaires ont abouti à trois sanctions : la révocation, tout d’abord, puis le blâme et à présent, la rétrogradation.

 

Comme l’argument de la récidive a été très largement utilisé par la partie adverse, et va certainement l’être à nouveau tout à l’heure, je n’éluderai pas cet aspect des choses. Et même je commencerai par là.

 

Encore que je croie savoir qu’en droit, une affaire est considérée comme terminée lorsqu’elle a abouti à une sanction. Dans mon cas, la première - et principale - affaire a même abouti à une double sanction puisque les propos concernant l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne qui m’étaient alors reprochés ont été sanctionnés par une révocation qui a pris effet au 1er octobre 2002. A cette date, j’ai été mise à la porte du Conseil de l’Europe, en subissant de surcroît l’opprobre d’une révocation publique qui s’est étalée dans les pages du journal régional, qui indiquait clairement mon nom et celui de l’Organisation qui m’employait. Autre point litigieux dont je ne suis certes pas responsable, et sur lequel je reviendrai tout à l’heure.

 

C’était une sanction très lourde qui a duré près de deux ans, jusqu’au moment où votre Tribunal a ordonné ma réintégration, en mai 2004. A ce moment-là, le Secrétaire général a immédiatement rouvert une nouvelle affaire, se terminant par une nouvelle sanction : cette fois, celle du blâme, qui était la sanction initialement requise par le premier Conseil de discipline.

 

Voilà pourquoi il est permis de parler de double sanction pour une même faute.

 

On pourrait donc s’attendre à ce que ce sujet soit à présent considéré comme clos et la première affaire définitivement terminée.

 

Il n’en est rien et pour charger un dossier qu’il faut bien qualifier de plutôt mince au départ, pour bien alourdir un esquif plutôt frêle - en réalité pour étayer une absence de base juridique solide - l’argument de la récidive d’agissements dits fautifs est au contraire très lourdement martelé. Il sert à justifier du point de vue de l’Administration la lourde sanction qui m’est aujourd’hui infligée.

 

Le Statut du Personnel du Conseil de l’Europe  - qui régit les droits et devoirs réciproques des agents et de l’Administration - autorise l’exercice d’activités politiques et associatives. Ses articles 33, 34 et 35, en précisent les modalités.

 

J’ai fait usage de cette possibilité prévue par le Statut. Or, vous le savez, un engagement politique s’exerce dans la durée. C’est un long cheminement, ingrat la plupart du temps, surtout pour ceux qui s’écartent de l’idéologie officielle. C’est ce militantisme qui s’est effectivement exercé durant plusieurs années à travers un certain nombre d’actions et de propos, qui ne cesse d’être qualifié de « récidive » par l’Organisation.

 

Il faut donc admettre que ce qui serait qualifié de persévérance et loué comme tel, s’il s’agissait de défendre des idées et des opinions conformes aux siennes, est blâmé comme étant une « récidive » caractérisée lorsqu’il s’agit d’idées ou  de mouvements politiques qui ne plaisent pas. Car c’est là tout le fond de la question.

 

Cette persistance a même été qualifiée par le Conseil de discipline, dans son récent avis, de désinvolture, voire de mépris : « Ainsi, outre le manque avéré de prudence dans l’expression, le Conseil de discipline perçoit, dans l’attitude de l’intéressée, si ce n’est du mépris, du moins une désinvolture qui illustre un manque de loyauté à l’égard de l’Organisation »

 

Et un peu plus loin : « En conclusion, le Conseil de discipline est d’avis que Mme Kling n’a pas respecté les dispositions de l’article 25 du Statut du personnel, de par la réitération d’agissements contraires à ses obligations, la nature des manquements relevés et la désinvolture dont elle témoigne ».

 

Je  trouve éminemment regrettable que le Conseil de discipline se laisse aller à une telle interprétation de mes activités, voyant dans ma constance à défendre mes idées une marque de désinvolture, voire de mépris à l’égard de l’Organisation. Rien dans mon comportement ne l’autorise pourtant à tirer de pareilles conclusions qui sortent du cadre juridique et ne visent qu’à me  stigmatiser davantage.

 

Dès lors que le Statut du personnel reconnaît à un agent le droit d’exercer une activité politique, le Conseil de l’Europe est-il habilité à lui faire grief d’user de ce droit avec constance? Il le pourrait, certes, si ces activités étaient répréhensibles ou tombaient sous le coup de la loi, ce qui n’a jamais été mon cas.

 

Le Secrétaire général n’est par conséquent pas fondé à me reprocher, dans le but évident de renforcer le caractère prétendument « fautif » de mes agissements, la répétition d’actes licites et légitimes.

 

La longue suite des procédures disciplinaires engagées démontre en réalité

 

* Des précisions sur le Tribunal administratif seront fournies avec la sentence. 

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lundi, 12 janvier 2009

Samedi prochain à Montlhéry, galette des rois de Fier de l'être...

images.jpgSamedi prochain 17 janvier, à partir de 15 h 15, se déroulera à Montlhéry, dans l'Essonne, la traditionnelle galette des rois de nos amis de l'association Fier de l'être qui mène une action remarquable dans le sud de l'Ile-de-France.

Cette année, deux invités prendront la parole au cours de cette sympathique assemblée :

- Nicolas Gauthier, directeur du journal Flash ;

- Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre de la Direction nationale de la Nouuvelle Droite Populaire.

Nos lecteurs qui désirent assister à cette petite fête peuvent prendre contact avec Fier de l'être : 06 30 52 80 68 ou en écrivant à  fierdeletre@voila.fr

Cliquez sur :

 PDF_GALETTE_FIER_DE_L'ETRE 01_2009.pdf

vendredi, 09 janvier 2009

Pour Carl Lang : un nouveau groupe au Conseil régional de Basse-Normandie...

images.jpgMM. Jean-Marc Dénier, Claude Guitton, Eric Pinel et Mme Elisabeth Touzot, conseillers régionaux élus sous l'étiquette Front National, sont aujourd'hui suspendus pour non soumission à la fille de Jean-Marie Le Pen.

 

En effet, ils refusent de voir Marine Le Pen diriger, seule, le FN au détriment des cadres de valeur et ce, sans avoir obtenu l'aval d'un Congrès, voire contre ce dernier.

 

Ils refusent d'apporter leur soutien à celle qu'ils considèrent comme responsable de l'hémorragie de cadres et d'adhérents.

 

Ils refusent le concept de candidature "nomade" à la recherche du meilleur score électoral. Enfin, ils refusent d'élire une personne connue pour son absentéisme et son manque d'intérêt affiché pour les questions européennes.

 

Ce faisant, ils ont la conviction d'agir dans la fidélité aux idées défendues par Le Pen père, et donc à leurs électeurs.

 

Ils renouvellent leur soutien à Carl Lang, député européen sortant de la circonscription, et à son positionnement politiquement orthodoxe. Ils saluent particulièrement sa dernière prise de position en faveur du repos du dimanche, pour des raisons familiale, sociale et nationale.

mercredi, 07 janvier 2009

Mercredi 21 janvier : Robert Spieler sera à Toulouse...

Les Droits de l’Homme sont évoqués ou célébrés chaque jour de l’année en France, mais nos dirigeants y laissent implanter et financent la poudrière islamique.

 

TOULOUSE

 

Mercredi 21 janvier 2009 à 20 h 00

Les villes contre

l’islamisation

 

Dîner-débat

avec

Robert Spieler

Ancien député

Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

Initiateur en France de la campagne “villes contre l’islamisation“

 

 

998e165bff5bae1c6e5cb0d79f4b3288.jpg

Stop Islam

 

http://lvci.hautetfort.com

 

Participation 20€. Sur réservation

 

villescontrelislamisation@club-internet.fr

 

lundi, 25 février 2008

Strasbourg dans la rue solidaire des Serbes du Kosovo...

Samedi 23 février à Strasbourg, à l'appel de Robert Spieler et des organisations nationales et identitaires de la ville, une manifestation qui a rassemblé 250 personnes s'est déroulée en faveur des Serbes du Kosovo. Voir article ci-dessous.

lundi, 21 janvier 2008

Anvers : Robert Spieler représentait la France à la réunion de lancement de l'association européenne "Les villes contre l'islamisation"...

Source : Strasbourg d'abord

 

Jeudi 17 janvier, s’est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l’organisation européenne « Les villes contre l’islamisation ».

 

Plusieurs mouvements nationaux et identitaires européens, à l’initiative de Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams Belang, ont décidé de créer cette structure commune afin de renforcer et de coordonner leur lutte contre l’islamisation de nos villes.

 

Parmi les fondateurs, figurent le FPÖ (Autriche), représenté par son Président Heinz Strache ; Krake Rolf du Danemark, qui a lancé des initiatives populaires contre l’islamisation de son pays ; Henrique Ravelo, Président espagnol de Tierra y Pueblo ; Adriana Bolchini, d’Italie, ancienne proche de Oriana Fallaci et responsable d’une association anti-islamique ; Markus Wiener-Wolter, dirigeant de Pro Köln, association citoyenne très puissamment implantée à Cologne et farouchement opposée à l’implantation de mosquées-cathédrales dans Cologne.

 

Robert Spieler figure également parmi les fondateurs de l’association et entendait représenter tous ceux qui, qu’ils soient nationalistes, régionalistes ou identitaires, sont résolus à ce que l’Alsace et la France ne deviennent jamais terre d’Islam.

 

Après la conférence de presse, les membres fondateurs de l’association se sont retrouvés devant la mairie d’Anvers en brandissant des panneaux représentant une mosquée géante dans un cercle rouge barré.

 

Dans l’après-midi, visite sous protection policière du quartier du nord d’Anvers, totalement islamisé. Edifiant et significatif de ce que l’on peut attendre dans les prochaines décennies…

 

Dans la soirée, grande réception avec les militants et les élus d’Anvers du Vlaams Belang : 800 personnes.

 

L’association « Les villes contre l’islamisation » va organiser dans les prochaines semaines de nombreuses réunions de sensibilisation face à la menace islamique, partout en Europe.

 

La première de ces réunions aura lieu le samedi 2 février à Paris sous l’égide de la revue et de l’association Synthèse Nationale, dirigée par Roland Hélie.

 

Robert Spieler et Hilde De Lobel, députée du Vlaams Belang, seront présents lors de cette réunion et présenteront au public les objectifs de cette initiative.

vendredi, 18 janvier 2008

Lancement à Anvers de l’organisation européenne “Les villes contre l’islamisation”

Hier jeudi, s'est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l'organisation européenne "Les villes contre l'islamisation". Plusieurs mouvements identitaires ont en effet décidé de créer une structure commune au niveau européen afin de lutter contre “l’islamisation” de nos cités.

 

Cette organisation a été présentée à la presse par le porte-parole du Vlaams Belang, notre ami Filip Dewinter, le président du FPÖ (Autriche), Heinz-Christian Strache, et le président du mouvement régionaliste et identitaire Alsace d’Abord, Robert Spieler, qui représentait aussi la revue Synthèse nationale.

 

Afin de sensibiliser les Européens contre la menace islamique qui pèse sur nos villes, des grandes réunions publiques vont être organisées dans les prochains mois à Rotterdam, Paris, Londres, Milan, Cologne, Madrid, Strasbourg...

 

Samedi 2 février, lors du colloque organisé par Synthèse nationale à Paris, Robert Spieler expliquera le sens de cette démarche qui s'inscrit parfaitement dans la vaste réaction identitaire que nous entendons susciter.

jeudi, 10 janvier 2008

SDF : Le premier journal identitaire de la rue...

Solidarité des Français, la dynamique association dirigée par Odile et Roger Bonnivard, vient de lancer le premier journal identitaire de la rue. Au moment de la conception de ce journal, Odile m’avait fait l’honneur de me demander une contribution.

 

Voici le texte de celle-ci :

 

« Ils » n’ont plus le « monopole du cœur » !

 

Tout le monde se souvient du fameux « vous n’avez pas le monopole du cœur » adressé par Valéry Giscard d’Estaing à l’attention de François Mitterrand lors d’un débat télévisé quelques jours avant l’élection présidentielle de 1974. Si cette célèbre réplique eut le mérite de retarder de sept ans l’accession au pouvoir de Mitterrand, elle eut aussi l’inconvénient d’assurer la victoire à Giscard et à son « libéralisme avancé » dont on subit encore aujourd’hui, trente-quatre ans plus tard, les conséquences dramatiques. N’oublions en effet jamais que ce fut sous le septennat giscardien que furent adoptées des lois aussi ethnocides  que celle sur le regroupement familial ou celle sur l’interruption volontaire de grossesse… Il faut dire qu’à cette époque, la division du monde en deux blocs faisait que le choix en politique était limité.

 

Mais revenons à ce fameux « monopole du cœur » qui fit, des décennies durant, la fortune d’une gauche arrogante et intéressée qui, se cachant derrière cette formule magique, pouvait mieux exploiter les peuples et assurer ainsi son petit confort à la fois matériel et idéologique. Ce « monopole du cœur », imposé par la démagogie et le mensonge, qui justifia ici les pires atrocités et là les plus mesquines magouilles politico-financières, fut une sorte de miroir aux alouettes que personne n’osait vraiment briser de peur d’apparaître comme le pire des réacs que la terre n’ait jamais porté. Et pourtant…

 

Et pourtant, il y a cinq ans, une première brèche est apparue. Une brèche certes beaucoup plus discrète que la télévisuelle réplique giscardienne de 1974, mais une brèche bien plus profonde et ô combien plus dangereuse pour les menteurs patentés de la gauche caviar. Cette brèche, c’est l’association Solidarité des Français qui l’ouvrit en lançant à Paris les premières distributions de soupe au cochon. Cassant ainsi le mythe d’une gauche qui elle seule saurait être généreuse, les militants parisiens de SDF, qui furent vite rejoints par Solidarité alsacienne à Strasbourg, Solidarietà à Nice et par d’autres initiatives similaires à Marseille, Montbéliard et même en Belgique, ont eut l’immense mérite de remettre les choses en place et de montrer à la France entière que le problème actuel de la pauvreté est, qu’on le veuille ou non, lié à celui de l’immigration.

 

Cette immigration, née de la conjugaison des intérêts d’un patronat peu scrupuleux qui, dans les années 60, voyait en elle une main d’œuvre facile à exploiter, et ceux d’une gauche qui imaginait déjà un prolétariat de substitution capable de lui redonner un jour (le jour où le droit de vote lui serait accordé) les forces électorales qui lui manquent de plus en plus, a eu un effet pervers que seuls les nationaux et les identitaires ont vite dénoncé, à savoir celui de menacer directement l’identité de nos peuples européens. Dois-je préciser que je dis cela sans aucun mépris ni aucune haine contre personne, si ce n’est contre le système qui a engendré une telle situation.

 

En brisant ce monopole du cœur que la gauche s’était injustement attribué, Solidarité des Français, et ses associations satellites, ont imposé une nouvelle dimension sociale à la réaction identitaire que nous entendons susciter dans notre peuple. D’où l’acharnement de la gauche et des ses chiens de garde gauchistes contre cette association que chaque Français conscient et responsable se doit de soutenir.

 

Roland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

 

SDF n°1 Hiver 2008.pdf

dimanche, 23 septembre 2007

Le 21 septembre devant l'ambassade de Belgique à Paris

Le 11 septembre dernier à Bruxelles, la police belge a brutalement réprimé la manifestation pacifique organisée par le collectif SIOE contre l'islamisation de l'Europe. Plus de 150 manifestants (parmi lesquels des députés européens français, flamands et italiens) ont été arrêtés et malmenés par la police belge aux ordres du bourgmestre socialiste de Bruxelles.

Pour défendre la liberté d'expression des Européens, les associations Europae Gentes, présidée par Frédéric Pichon, et Chrétienté Solidarité, présidée par Bernard Antony (reportage filmé à consulter sur son site), ont organisé une manifestation de riposte le vendredi 21 septembre à 19 h 30 devant l'ambassade de Belgique au nom de la liberté d'expression des Européens face à l'islamisation.

À l'issue de ce rassemblement, Frédéric Pichon, Bernard Antony, Nicolas Bay, secrétaire général du MNR, et Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France,  ont successivement pris la parole au nom de leurs organisations respectives. Ils ont ensuite déposé une motion auprès de l'ambassade de Belgique.

mercredi, 08 août 2007

Roland Gaucher a été enterré aujourd'hui

c0073ee9556173f32d77d192e4740f99.jpgRoland Gaucher, décédé à l'âge de 88 ans le 26 juillet dernier (voir note du 27 juillet sur ce blog), a été inhumé ce mercredi 8 août. Une émouvante cérémonie religieuse a été célébrée en présence de sa famille et de ses amis, à Maisons-Laffitte. Plusieurs collaborateurs de National hebdo autour de son directeur, Jean-Claude Varanne, étaient présents, ainsi que Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France.  

samedi, 22 avril 2006

Revue de presse : VERS UNE ENTENTE EN ALSACE ?

Dégel à l'extrême droite alsacienne pour 2008
FN et Alsace d'abord pourraient présenter des candidats uniques aux municipales.

par Thomas CALINON
LIBERATION : mercredi 5 avril 2006


La «soupe au cochon», premier pas vers un rapprochement des extrêmes droites en Alsace ? Le collectif Solidarité alsacienne, qui avait lancé une campagne de distribution de soupe au porc pour les SDF cet hiver à Strasbourg, opération enrayée par les mesures d'interdiction du préfet du Bas-Rhin (Libération du 16 janvier), a mis fin à son action «sociale» cette semaine. Provisoirement sans doute, car la responsable de Solidarité alsacienne, Chantal Spieler, a évoqué la distribution prochaine de «sandwiches» et l'organisation de «petits déjeuners pour nos amis sans-abri». L'objectif est clair : occuper le terrain, fédérer les troupes d'extrême droite et servir les ambitions de son mari.

Plate-forme de combat. Chantal Spieler est l'épouse de Robert, ex-député Front national brouillé avec Le Pen et fondateur, en 1989, du mouvement régionaliste et islamophobe Alsace d'abord (AA). Robert Spieler, justement, vient de quitter la présidence d'AA. «Pour reprendre une totale liberté d'action et de parole que la logique partisane ne permet pas», explique-t-il. Désormais, il se consacre à deux associations : Défense de notre identité, «un lieu de rencontre entre membres du FN, d'Alsace d'abord et de Solidarité alsacienne», selon lui, et Strasbourg d'abord, plate-forme de combat en vue des municipales de 2008. Son ambition, c'est «l'union de la base» autour de «projets communs et précis». Et, visiblement, ça marche.

Mercredi soir, une soixantaine de sympathisants de Solidarité alsacienne ont manifesté devant un hôtel qui leur avait refusé la location d'une salle de réunion. Jeunes et vieux, crânes rasés et raies sur le côté, chaussures à boucle et bottes montantes, réunis sous le dénominateur commun d'«identitaires». Les militants d'AA brandissant des drapeaux rouge et blanc aux couleurs de l'Alsace côtoient ceux du FNJ en bleu-blanc-rouge. «Le temps des querelles doit être oublié. Moi, je m'en fiche que Robert soit d'Alsace d'abord», lance un membre du FNJ.

Dans une harangue, Roland Hélie (ex du FN et du Parti des forces nouvelles), membre du club Ligne droite présidé par Jean-François Touzé (FN), décrète «l'unité des patriotes et des identitaires, comme le souhaitait Le Pen à la dernière fête des Bleu-Blanc-Rouge». Christian Chaton (AA), conseiller général du Haut-Rhin, résume la pensée collective : «Il faut insister pour que notre voix se fasse entendre au sein du conseil municipal et de la communauté urbaine de Strasbourg»

Seuil des 10 %. Après quinze ans de lutte entre le FN et AA, les deux partis semblent songer à une candidature unique aux prochaines municipales à Strasbourg. En 2001, ils avaient respectivement recueilli 7,49 % et 9,20 % des voix dans la préfecture du Bas-Rhin. Théoriquement, une liste unique permettrait d'atteindre le seuil des 10 %, nécessaire pour se maintenir au second tour. «Pourquoi avoir des états d'âme ? Il faut qu'on rentre au conseil municipal de Strasbourg, et je soutiens qu'il faut s'unir pour gagner», observe Patrick Binder, président du groupe FN au conseil régional d'Alsace, qui lorgne, lui, sur la ville de Mulhouse. «Mais, précise-t-il, ce n'est pas à moi de me prononcer, et les décisions seront sûrement prises à Paris.» «Nous verrons pour Strasbourg. L'union doit se faire sur le terrain. Pour les états-majors, c'est une autre affaire», estime de son côté Robert Spieler.

En terme d'état-major, ce dernier a tout de même reçu un soutien de poids : Bruno Gollnisch. Le 15 mars, le numéro 2 du FN est venu partager un «casse-croûte identitaire» avec Solidarité alsacienne.

Source : www.liberation.fr

 

20:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |