Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 30 novembre 2008

Extraits du discours de Robert Spieler prononcé dimanche 23 novembre lors de la journée de Synthèse nationale :

forum_grenelle_130[1].JPG

Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite populaire

 

 

L’Europe au cours de sa longue histoire a vécu des heures d’epouvante, mais aussi d’espérance. Charles Martel, la Reconquista, Lepante furent des heures lumineuses où l’Europe repoussa l’invasion musulmane.

 

Le 31 mars 1271, lorsqu’ils prennent pied sur la muraille du Crak des Chevaliers, les soldats du sultan d’Egypte jettent le cri de ralliement de la guerre sainte musulmane : «  Allah Akbar ». La clef de la terre chrétienne en Terre Sainte vient de leur tomber entre les mains.

 

1453, sans doute la plus grande catastrophe pour l’Europe et la Chrétienté : la chute de Constantinople. L’empire byzantin, qui avait depuis huit siècles été le rempart contre l’Islam, disparaît. Rien ne semble plus faire obstacle, en Méditerranée, aux envahisseurs.

 

Et, pourtant, la Résistance s’organise. Les chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, installés à Rhodes depuis la chute de la Terre Sainte, mènent le combat sur terre et sur mer. Une poignée d’irréductibles. Ils résistent face à une gigantesque armée de 100 000 hommes, dirigée par quatre renégats, dont un descendant de la famille impériale byzantine. Trois assauts terribles. Le 27 juillet 1480, les Turcs prennent pied sur les murailles de Rhodes. Le grand maître à la tête de ses troupes  a donné pour mot d’ordre : « Mourons ici, mes chers frères, plutôt que de reculer ». Pierre d’Aubusson est blessé cinq fois. Mais les Turcs refluent. L’Europe a vaincu.

 

1683, colline du Kahlenberg. 70 000 soldats polonais, allemands et autrichiens, commandés par Charles V de Lorraine, 30 000 hommes dirigés par le roi de Pologne, Jean Sobieski. A 4 heures du matin du 12 septembre, l’armée autrichienne à l’aile gauche, l’allemande au centre avancèrent sur les Turcs. Une petite partie de la noblesse française, désobéissant à son roi qui était l’allié des Turcs, était présente. Mustapha lança une contre-attaque avec le gros de ses troupes. Alors, l’infanterie polonaise attaqua à l’aile droite et, après douze heures de combat, elle tenait le terrain. A quinze heures, quatre groupes de cavalerie, l’un austro-hongrois et les trois autre hussards de la cavalerie polonaise lourde, 20 000 hommes, chargèrent en descendant des collines, avec le roi à leur tête. Ils allèrent directement dans le camp ottoman pendant que la garnison de Vienne sortait et se joignait au combat.

 

La bataille était gagnée et la guerre de libération des terres européennes fut lancée.

 

Aujourd’hui, face à la menace mortelle qui pèse sur l’Europe, nous devons, comme nos ancêtres, être prêts, s’il le faut, à faire le sacrifice de nos vies.

 

Des traîtres et des collabos ont ouvert les portes de la France et de l’Europe aux envahisseurs. Nous sommes persécutés sur notre propre terre par une Justice aux ordres du système. Cette cinquième colonne qui campe sur notre sol et qui insulte nos hymnes nationaux doit en être expulsée.

 

Lorsque j’entends Jean-Philippe Maurer, député UMP d’Alsace que j’ai bien connu, demander au ministre de l’Intérieur ce que le gouvernement compte faire pour donner davantage de visibilité à l’Islam, en instaurant notamment un jour férié pour les musulmans, je me dis « Jusqu’où ira la chute ? ». Je lui ai posé la question : « Jean-Philippe, pourquoi ce reniement ? ». Il me répond : « Il n’est pas nécessaire que la question posée reflète mon avis ». Extraordinaire tartufferie.

 

Dès lors qu’il considère que les questions qu’il pose à l’Assemblée Nationale ne reflètent pas son avis, mais sont un simple relais des questionnements de ses administrés, je lui demande de poser les questions suivantes à madame le Ministre, Michelle Alliot-Marie :

- « Que comptez-vous faire pour empêcher la construction de mosquées dans nos villes et mettre un terme à l’arrogant prosélytisme de l’Islam en France ?

-  Que comptez-vous faire pour stopper l’action nocive des lobbies et associations pro-immigrés, dont la Halde ?

- Quand comptez-vous présenter un projet de loi visant à interdire les groupes et associations développant une propagande anti-française et anti-européenne ? »

 

Aujourd’hui, le rassemblement de toutes les énergies de la Résistance française et européenne est une ardente nécessité. Seuls, nous ne sommes rien. Unis, nous serons forts. Nous devons dépasser nos différences et œuvrer dans le plus grand respect de nos sensibilités. Mais nous ne considèreront jamais des nôtres ceux qui affirment que les immigrés sont des branches de l’arbre France. Nous devons tous ensemble reconstruire le courant national et identitaire, mais, pour cela, comme le disait Jérôme Bourbon dans Rivarol, la décomposition devra sans doute aller jusqu’à son terme.

 

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas de courage, c’est d’héroïsme. Que diraient nos aïeux, s’ils revenaient aujourd’hui ? Ils nous diraient : « Qu’avez-vous fait de la France ? Qu’avez-vous fait de l’Europe ? »

 

Vive la Résistance française  et européenne !

Les commentaires sont fermés.