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dimanche, 27 février 2011

Nationalistes autonomes persécutés...

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Par François-Xavier Rochette (Rivarol)

Lundi 7 février, la police républicaine a organisé un vaste coup de filet pour appréhender 13 jeunes nationalistes autonomes lorrains à Nancy et dans ses environs. Dès le lendemain la presse locale maçonnique a relayé l’information par L’Est Républicain sur une demi-page illustrée d’une photo d’un rassemblement nationaliste censée effrayer les lecteurs.

Le tâcheron Saïd Labidi s’en est donné à cœur joie en qualifiant rapidement les résistants présumés agressifs de « skinheads », « skins » et autres « fascisants »… A la fin de l’année 2010, l’édile de la cité ducale, le frère trois points du GO, André Rossinot, avait souhaité la dissolution de ce « groupuscule » de fait. Comme on le voit, la façon d’agir ne fut pas administrative mais policière. Sur les 13 jeunes gens mis en garde à vue, 5 ont été déférés le 9 février au parquet de Nancy qui a requis que quatre d’entre eux (dont au moins un mineur) soient placés en détention provisoire. Ces quatre-là, dont un brillant étudiant en droit de 17 ans, sont toujours en prison ! Cette justice reproche aux Nationalistes Autonomes d’avoir perpétré une dizaine d’agressions à l’encontre de militants d’extrême-gauche dont une jeune fille syndiquée à l’UNEF « se déplaçant en fauteuil roulant ». A plusieurs reprises, ces derniers mois, les media régionaux avaient stigmatisé leurs cibles afin de préparer l’arrestation de ces fougueux patriotes dont plusieurs « éléments qui laissent à penser qu’ils sont d’extrême-droite » (Libé Strasbourg dixit) : l’argument qui tue…

Cependant il semblerait d’après certaines déclarations officielles que les faits reprochés aux jeunes nationalistes (dont beaucoup ont moins de 18 ans) ne constitueraient qu’un prétexte pour freiner les succès du groupe dont l’activité militante s’accentuait mois après mois. Le vice-procureur de Nancy, Amaury Lacôte, n’a-t-il pas ainsi déclaré à la presse que ces nationalistes étaient des « jeunes gens qui montaient en puissance » et auxquels il fallait « donner un coup d’arrêt » ! Que cela signifie-t-il réellement ? Que les décideurs et leur loge ont décidé de tuer systématiquement dans l’œuf toute entreprise nationaliste ? Car si des coups, des baffes, des gnons sont partis, les nationalistes lorrains n’en auraient-ils pas eux-aussi reçus sans pleurnicher ?

En tout cas, il ne faut compter ni sur Libé, ni sur L’Est Républicain pour présenter des témoignages esquissant plus justement la réalité. Pourtant, in fine, nos quatre détenus ne sont inculpés « que » pour coups et blessures lors d’une bagarre sans caractère aggravant. Nous pouvons par conséquent nous demander à quoi peuvent bien servir une telle chasse aux sorcières et une telle propagande orchestrée à l’encontre d’un petit groupe d’individus patriotes ? Nous posons une hypothèse à ce sujet : Nancy étant le théâtre depuis plusieurs mois d’une délinquance explosive et crapuleuse ayant fait à de multiple reprises la une des journaux locaux, le pouvoir politique n’a-t-il pas profité de l’occasion pour fabriquer un lien subliminal entre ces nombreuses agressions nocturnes perpétrées par de vulgaires bandits ultra-violents et le militantisme d’extrême-droite… vomi par la maçonnerie ?

A lire Lettre ouverte au Maire de Nancy où les nationlistes autonomes lorrains répondent aux accusations : cliquez ici

11:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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