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dimanche, 22 mai 2011

Rivarol a gagné : énorme succès du banquet organisé par Jérôme Bourbon pour le n°3000 du grand hebdomadaire de l'opposition nationale et européenne !

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Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, un vrai polémiste...

Exceptionnel ! Plus de 300 personnes ont fait le déplacement jusqu’à Villepreux aujourd’hui pour soutenir RIVAROL. De mémoire de rivarolien, jamais une réunion n’avait réuni tant de participants. Preuve sans doute que l’inflexibilité de Jérôme Bourbon, le maintien sans faille d’un cap complètement nationaliste, suscitent l’enthousiasme et emportent l’approbation.

A 13h30, après un apéritif permettant aux arrivants de se retrouver ou de faire connaissance, Jérôme Bourbon ouvre le banquet avec les sujets incontournables de la semaine : l’affaire DSK et les propos « insoutenables » de Lars von Trier. Le ton est donné : il sera irrévérencieux, amusant, sans concession. Les convives acquiescent et applaudissent. La liste des intervenants est longue, aussi J.B. cède-t-il rapidement la parole à Roger Holeindre. Avec une énergie étonnante, le président du Cercle national des Combattants appelle tous les vrais patriotes à se réunir autour d’une charte de « dix points » non négociables « le reste, on s’en fout », « dix points, ou peut-être cinq, ou peut-être six, ou peut-être huit », mais des fondamentaux qui permettent de sauver la France, car il est grand temps. Popeye est applaudi chaleureusement. Lui succède Pierre Sidos, qui rappelle que la première fois qu’il prit la parole en public à Paris, ce fut sous l’égide du journal RIVAROL. Dans un discours émouvant, il salue son ami Popeye, puis réaffirme combien, comme l’a écrit J.B. dans le numéro 3000 de RIVAROL, « l’espérance est nôtre ».

Après une courte pause, Martin Peltier fait un discours plein d’humour, dans lequel il dénonce notamment le fichage que permet internet : « un article de wikipedia vous suit toute votre vie ! » dit-il en souriant, et il raconte comment, invité sur Radio Notre-Dame à parler de Jean-Paul II, une journaliste qui l’avait probablement « googlé » s’était dite indignée de partager l’antenne avec cet odieux personnage et avait obtenu gain de cause. Ce discours pétillant, comme toutes les interventions ou presque, a été filmé intégralement, et sera probablement disponible sous peu.

Le jeune et dynamique Thomas Joly, l’excellent orateur Thibaud de Chassey (président du Renouveau Français—« un type bien, il est bien formé » commente Martin Peltier) et Robert Spieler, qui est là en tant que collaborateur du journal et délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, se relaient ensuite. Spieler, « un combattant nationaliste et européen, qui se bat avec vous pour la libération de la France et de l’Europe » annonce une réunion pour le lendemain, destinée à présenter un candidat unique pour la vraie droite nationale. Nous avons besoin d’un journal comme RIVAROL qui mène le véritable combat face à la confusion qui règne jusque dans les rangs des nationalistes ou prétendus tels, martèle Spieler.

Une intervention se distingue des autres. Celle de Petrus Agricola, qui s’avance lentement (« à pas de paysan », dit J.B). Pas de vidéo de son discours, c’est dommage, car le personnage vaut le détour. Les lecteurs de RIVAROL le connaissent bien, il collabore au journal depuis bien longtemps. « Il ressemble à José Bové, mais c’est un vrai ! » lance encore J.B. pour présenter son ami. Les grosses moustaches grises peinent à cacher un sourire malicieux. Il parle de la nourriture bio industrielle, celle qu’on trouve dans les supermarchés et qui n’a de bio (presque) que le nom. Il explique comment il est impossible de trouver de bons produits quand 1% du pays est chargé de nourrir 99% de la population. Pédagogue, il explique pourquoi les œufs, même de poules « élevées en plein air », ne vaudront jamais ceux du poulailler où le coq a encore toute sa place, où le rendement n’est pas la règle première. Il termine sur l’hypocrisie de la grande distribution qui confine au ridicule. « J’ai ici un ticket Carrefour market », dit-il. « Carrefour market, dont les rayons, comme ceux de tous les autres supermarchés, sont remplis de Bisphénol A. On ne peut se passer de ce produit toxique, on ne veut pas s’en passer, car fabriqué à partir du pétrole, on a un intérêt financier à ne pas s’en passer. Mais rassurez-vous, car je lis ici (il brandit le ticket), je lis ici que ce ticket est  garanti sans bisphénol A ! » L’assistance rit, applaudit. Le discours est rafraîchissant et inattendu au milieu des autres interventions très politiques. En chair et en os comme dans les colonnes de RIVAROL, Petrus Agricola est toujours passionnant.

Puis André Gandillon, le président des Amis de RIVAROL, s’appuie sur les propos tenus par le « saint patron » du journal, Antoine de Rivarol, pour faire un discours enflammé et érudit. Philippe Ploncard d’Assac souligne ensuite combien il est essentiel de connaître l’ennemi pour le combattre. Il cite une lettre de Marie-Antoinette dans laquelle la reine mésestime la capacité de nuisance de la franc-maçonnerie. Toutes les erreurs du camp national viennent d’un manque de doctrine (d’où la nécessité de se former par de bonnes et saines lectures comme celle de votre hebdomadaire favori !). A l’applaudimètre, Hervé Ryssen est avec Vincent Reynouard l’orateur qui a le plus de succès. Malheureusement, son discours n’est pas long, mais il galvanise l’assistance. Qu’importent les lois, qu’importent les procès, il ne faut rien céder à l’adversaire  et toujours repousser les limites ! s’exclame-t-il.

Vincent Reynouard clôt le banquet par un long discours mêlant doctrine et anecdotes. C’est le discours le plus long, et probablement le plus écouté. La salle est complètement silencieuse, l’assistance est captivée. Vincent est venu avec sa femme, Marina, et l’un de ses fils, Alexis, qui le regardent, fiers et admiratifs. Il réaffirme sa volonté de combattre les oppresseurs quoi qu’il lui en coûte. « On me dit que je suis un néo-nazi. Mais j’ai envie de répondre : pourquoi néo ? ». Je ne déflore pas davantage le sujet, j’espère que son discours sera disponible en intégralité. Il a été filmé, c’est sûr et certain.

Pendant les discours, le repas avançait grâce au service impeccable, efficace et discret qu’il convient de saluer. Pas une fausse note dans cette journée : le cadre magnifique du domaine de Grand’Maisons, la convivialité, la qualité des interventions, le succès des stands à la fin du banquet (ADMP, ADIMAD, Militant, Œuvre Française, Renouveau Français, Synthèse nationale, NDP, CNC, Ryssen, Reynouard, etc.) , le bel enthousiasme des participants, ont rendu la journée inoubliable. Vraiment, il fallait être à Villepreux aujourd’hui ! « C’est l’une de mes meilleures conférences, une dont je me souviendrai longtemps », confie Vincent Reynouard sur son stand. « Jamais encore nous n’avions vu une telle foule », se réjouit Jérôme Bourbon, qui ne sait où donner de la tête, assailli par les lecteurs. Petrus Agricola, qui monte rarement en région parisienne, se dit ravi. Il ne pouvait tout de même pas manquer les soixante ans de RIVAROL ! Les interventions se suivent et, bien qu’elles ne se ressemblent pas, elles donnent une impression d’unité, elles vont dans le même sens : pour la défense de la patrie et contre le système, le système injuste, le système ridicule, l’imposture. Le seul bémol est peut-être l’absence de François-Xavier Rochette et de Laurent Blancy que des lecteurs demandent. Peut-être les verrons-nous à une prochaine occasion ? Car une journée pareille ne donne qu’une envie : celle d’en revivre d’autres, où nous nous sentons enfin libérés des paroles menteuses et en confiance, chez nous, en famille.

Source : blog des lecteurs de Rivarol cliquez ici

04:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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