vendredi, 12 octobre 2012
Pacé (35) : mercredi 7 novembre, à l'appel de Jeune Bretagne, expulsion des délinquants clandestins !
Depuis le mois de mai 2012, 300 familles de délinquants, puisque clandestins, venues d’Asie, d’Afrique et des anciennes provinces soviétiques, occupent illégalement l’ancienne maison de retraite de Pacé (35), situé allée André Monnier.
Elles ont été aidées dans leur coup de force par une association subventionnée et classée à l’extrême gauche, le DAL35 (4, rue Monseigneur Vincent, 35 000 Rennes) qui n’a jamais été inquiétée alors qu’elle mène depuis des années de nombreuses actions d’occupatione totalement illégales, toujours à destination d’un public majoritairement clandestin.
Depuis le mois de mai, ces familles qui occupent des bâtiments qui sont la propriété de la société HLM « les foyers » ont cumulé 15 000 euros d’électricité et d’eau impayées, sans qu’aucun compte ne leur soit demandé.
Pire encore, durant tous l’été, les riverains et les habitants de la commune ont plusieurs fois manifesté leur ras le bol de voir les incivilités, les trafics, la prostitution, les vols se multiplier à Pacé, sans que les autorités ne prennent aucune mesure radicale pour endiguer ce phénomène et pour vider le « plus grand squat clandestin d’Europe ».
Avertie par les riverains et les militants locaux excédés, l’association Jeune Bretagne a décidé de réagir fermement et rapidement.
C’est ainsi que nous appelons à un rassemblement de toutes les associations, individus, élus, riverains, excédés par cette occupation illégale, le mercredi 7 novembre à 18 h, devant ce squat intolérable.
Nous n’avons que faire des arguments angéliques qui feraient passer ces délinquants clandestins pour des réfugiés politiques dans la souffrance.
Nous ne pouvons ni ne voulons accueillir toute la misère du monde sur notre territoire.
Combien de Bretons peinent aujourd’hui à se loger, à trouver un travail, à payer leurs factures sous les menaces de saisies et d’interdiction bancaire sans que le DAL35 et la gauche, ne s’en émeuvent ?
Les logements aujourd’hui inoccupés ne devraient-ils pas être mis à disposition prioritaire des familles bretonnes en situation de misère sociale ?
Faut-il attendre des situations extrêmes comme à Marseille, où les habitants d’un quartier ont délogé, par la force, un camp de Roms, pour que les autorités réagissent ?
Nous exigeons l’expulsion immédiate, par charters et aux frais des pays d’origine, de toutes ces familles de clandestins.
Nous réclamons l’arrêt des subventions attribuées à l’association DAL35, association qui prône la préférence étrangère face à son propre peuple et qui mène quotidiennement des actions illégales de réquisition et d’occupation.
Nous demandons enfin à la région et aux départements bretons de prendre leurs responsabilités et de permettre en priorité aux familles bretonnes dans le besoin de bénéficier immédiatement de logements sociaux
C’est pour faire entendre la colère d’un peuple qui ne souhaite pas et ne laissera pas la Bretagne devenir la triste et sale copie des grandes métropoles françaises que nous organisons ce rassemblement, mercredi 7 novembre, à 18 h
Nous appelons dès à présent toutes les associations, partis politiques et collectifs le désirant à rejoindre l’appel à rassemblement.
Plus que jamais, les bretons doivent rester maîtres chez eux !
Source Jeune Bretagne cliquez ici
17:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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