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mardi, 31 janvier 2017

Le Parti de la France annonce 4 candidats en Bretagne

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31/01/2017 – 09h00 Lorient (Breizh-Info.com) – Carl Lang, président du Parti de la France et Lorrain de Sainte Affrique, secrétaire Général des Comités Jeanne ont animé samedi 28 janvier dans le Morbihan un déjeuner / débat lors duquel ils ont annoncé 4 candidatures de ce parti pour les élections législatives en Bretagne administrative.
Ainsi, seront candidats :

– Marie-Anne Haas sur la 6 ème circonscription du Finistère (29)
– Jean-Paul Felix sur la 4 ème circonscription Ploërmel (56)
– Alain Lyon sur la 3 ème circonscription Pontivy (56)
– Jean-Marie Lebraud sur la circonscription de Redon (35)

Deux autres candidats, sur Vannes et Lorient, devraient également être investis prochainement.

Les candidats seront présentés sous une étiquette regroupant plusieurs partis, comités et associations qui défendront « La droite patriotique, nationaliste et souverainiste ». « Nous serons nombreux à défendre les valeurs de la vraie droite nationale en Bretagne et en France » ont déclaré les deux animateurs de la journée.

Carl Lang et Lorrain de Saint Affrique ont également annoncé que Jean-Marie Le Pen soutenait ces candidatures – qui pourraient constituer une concurrence, à la marge, vis à vis du Front national.

Estimant que le Front national prenait actuellement « un virage à gauche », et même « à gauche de Mélenchon », Carl Lang explique que « faire de la politique électoraliste ne correspond pas à nos valeurs, au PDF nous sommes là pour défendre la France, notre culture, notre histoire, nos familles.»

Les candidats appellent à « résister à la colonisation et à l’islamisation de notre pays », estimant ne pas se reconnaitre dans les propos de Marine Le Pen qui avait déclaré que l’Islam n’était pas incompatible avec la République française. Ils appellent également à revoir la PAC et ses dérives mais insistent aussi sur l’interdiction de l’abattage Halal et plus globalement, sur le respect de la condition animale.

 

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Un réquisitoire contre le Boboland

Guilluy.jpgGeorges Feltin-Tracol

Détesté des universitaires qu’on ne voit jamais sur le terrain et attaqué régulièrement par Libération, ce qui indique un sens élevé de liberté intellectuelle, le géographe Christophe Guilluy continue, imperturbable, son examen socio-territorial de l’Hexagone. Après Fractures françaises en 2013 et La France périphérique en 2014, il vient de publier Le crépuscule de la France d’en haut chez Flammarion (253 p., 16 €), son ouvrage le plus politique.

Consultant réputé auprès des collectivités locales, l’auteur parcourt la France et constate de fortes déchirures géo-sociologique qu’il associe à une relance d’une nouvelle lutte des classes. Sous la contrainte conjuguée de la mondialisation, du libre-échange et de la mise en concurrence des salaires et de la main d’œuvre, l’espace français se scinde en trois aires inégales et disparates : des métropoles prospères et ouvertes au monde, des banlieues de l’immigration adossés aux métropoles qui profitent de leur dynamisme socio-économique, et des contrées périphériques déclassées, de loin les plus nombreuses et les moins aidées.

Ainsi disloquée, la France devient une véritable « société américaine ». « Les territoires métropolitains, explique Christophe Guilluy, ne sont pas seulement le lieu de captation du patrimoine, des richesses et de l’emploi, ils sont aussi de la production de la fabrication de la pensée unique, ce discours du système médiatique et politique que permet aux classes dominantes de dissimuler le réel, celui d’une société inégalitaire et sous tensions, derrière la fable de la société ouverte (pp. 15 – 16). » S’épanouissant dans de « nouvelles citadelles » métropolitaines, administrations centrales parisiennes et bobos défigurent par des projets coûteux, stupides et polluants la « France profonde » à Bure, à Notre-Dame-des-Landes, à Civens, à Roybon. Ils y installent même maintenant des immigrés clandestins tolérés. Ces manières détestables accroissent les tensions sociales.

Frappées par des « polycrises » économique, sociale, identitaire et écologique, les catégories populaires et moyennes en voie de paupérisation accélérée — qui ne résument pas exclusivement aux Blancs —, répondent par une sécession tranquille qui se formalise en « contre-société » sédentaire et localiste. Les gens ordinaires comprennent en effet que la cohésion sociale, la décence commune et le sentiment d’appartenance au village, au bourg et au quartier représentent un modeste mais salutaire gilet de sauvetage. En l’absence d’une politique volontariste d’aménagement raisonné du territoire, deux sociétés potentiellement conflictuelles s’élèvent par conséquent sur le même sol. Le crépuscule de la France d’en haut annonce un horizon plus que tempétueux.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 18, diffusée sur Radio-Libertés, le 27 janvier 2017.

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Une justice d’exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET RIPOSTE LAIQUE

Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.

 

Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crûment qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.

On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays. Cliquez ici

Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.

Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.

Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.

Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.

C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?

En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.

Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.

A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.

 

07:57 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’hypocrisie et la licence sexuelle du Net

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Bernard Plouvier

Le scandale en nos jours de froidure intense (nous vivons, c’est bien connu, une « période de réchauffement climatique ») serait le silence, effectivement étonnant de la presse bobo-globalo-mondialiste de langue française, sur la condamnation par un tribunal britannique, en date du 14 décembre 2016, de l’affairiste Christophe Bejach – français par son passeport, cosmopolite par ses activités – pour pédophilie, apparemment passive.

Que cet individu ait été un proche d’un ex-ministre socialiste et l’un des fondateurs d’un « groupe de réflexions » socialo-friquées – le think tank Terra Nova – déclenche aussitôt les hurlements des uns et des autres… et l’on y va de la comparaison avec un autre pseudo-socialo ultra-friqué, ex-candidat officieux à la Présidence de la République, exclu, banni, honni pour cause d’errements sexuels répétés (on aurait pu tout aussi bien le répudier pour cause de soumission à la finance cosmopolite, ce qui est infiniment plus grave et plus pernicieux à la Nation française quand on brigue les apparences du Pouvoir).

Or, il semble que l’affairiste condamné chez Sa Gracieuse Majesté se soit rendu coupable d’achat et de possession de photographies pédophiles. Que ce soit ce que mon papa chéri appelait en son temps « une dégueul… », c’est une évidence, mais ouvrons et nos yeux et notre Web (variantes : toile, Net etc.). On en trouve par dizaines de milliers de ces « choses »… et l’on ne comprend même pas que ce commerce de « photo cochonne », qui fut longtemps un quasi-monopole bien typé, existe encore, étant donné la concurrence gratuite ou très peu onéreuse du Net.

En bref : il est évident qu’il faut lutter contre l’ignominie qu’est l’exploitation sexuelle des mineurs d’âge (sans oublier qu’il est des mineurs qui sont réellement des pervers précoces et que nombre de parents sont complices, lorsqu’il existe des avantages matériels à la clé). Il est évident que nos médias trient les informations (cela fut toujours un droit régalien).

Mais il faut aussi constater que notre société est encore plus hypocrite que celle d’avant 1914 : c’est la Grande Guerre et non la fumisterie psychanalytique qui libéra la sexualité populaire en Occident, les élites étant très souvent débauchées en toute époque. Le Net offre aux cerveaux, indignés ou hyperréceptifs, absolument tous les choix sexuels possibles, jusqu’aux plus pervers : zoophilie et crimes sanglants, certifiés authentiques.

Plutôt que de s’indigner d’humains au comportement de porcs (il est probable qu’ils aient toujours existé), il serait bon de réfléchir à ce que nous avons fait de cette société libérale-mondialiste où l’information et la désinformation touchent tous les domaines, y compris celui de l’intimité qui ne devrait servir qu’à l’épanouissement de chacun et vire trop facilement à la pure ignominie.

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07:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 janvier 2017

Le meeting de Jean-Marie Le Pen à Palavas-les-Flots



19:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine

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16:10 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villiers dimanche 22 janvier lors de la Marche pour la vie

16:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le prix du Cercle Renaissance sera remis le 1er février à Jacques Trémolet de Villers

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Le Prix Renaissance 2017 sera remis le 1er février prochain par Philippe de Villiers à Me Jacques Trémolet de Villers (en photo ci-dessus) pour son dernier ouvrage, Jeanne d'Arc, le Procès de Rouen (éditions Belles Lettres), lors du diner de gala du 47e anniversaire du Cercle Renaissance.

Renseignements et participation, écrire à : Cercle Renaissance, 138 rue de Tocqueville, 75017 Paris Tél : 01 42 27 48 22. Consultez le site du CR cliquez ici

15:46 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lundi midi, Carl Lang et Jean-Marie Le Pen invités sur Radio Courtoisie par Michel de Rostolan

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Invités de Michel de Rostolan, Carl Lang, Jean-Marie Le Pen et René Bouin interviendront sur le thème de « la renaissance de la France, terre des Arts, des armes et des lois » le lundi 30 janvier de 12h à 13h30.

11:23 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De la boue, du fric et du sang

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Bernard Plouvier

Du clan Sarkozy sont venues les premières attaques à l’encontre de F2 (François Fillon), candidat déclaré de la droite molle et ultra-classique à la présidentielle. On a même vu une ex-Gardienne des Sceaux de la Ripoublique, qui n’est pas plus une rosière que sa famille immigrée n’est composée de prix de vertus, la trop célèbre Dati, susurrer que son ex-premier ministre traînait des casseroles, vraies ou imaginaires… histoire de faire parler d’elle en un moment où tout le monde trouvait que l’air était moins irrespirable depuis qu’on l’avait oubliée.

La boue n’épargne pas le mignon Macron, dont la vie privée ne regarde personne d’autre que lui-même et ses proches. Après tout, Frédéric II de Prusse fut un homosexuel exclusif (ne consommant pas un mariage conclu pour la galerie), ce qui ne l’empêcha nullement d’être le plus brillant chef d’État des années 1750-80. Quant au Grand Alexandre et à Jules César, leur bisexualité ne pèse rien en comparaison des civilisations qu’ils ont créées : l’hellénistique et, pour le second, ce que l’on nomma l’Empire romain une génération après sa mort.

Avec la troisième candidate – en dehors de ces trois-là, n’existent que des (in)utilités -, on passe de la boue à l’argent. On se fiche totalement, comme pour Macron, de la sexualité des conseillers de Marine Le Pen. En revanche, il est dommage qu’elle se laisse influencer par ceux qui cherchent à la faire évoluer d’un (timide) populisme à une ébauche de libéralisme tiédasse.

Il est évident qu’à l’issue de laprésidentielle, cette noble dame, qui sera probablement arrivée en tête au 1er tour, sera battue… par l’omnipotence de l’argent. Car il va couler à flots pour alimenter la campagne médiatique de lynchage et de mensonges grotesques, en n’oubliant le principe : « Plus c’est gros, plus c’est con, mieux ça passe ».

De cette élection (la suivante, celles des législatives, n’ayant aucune valeur puisque ne se déroulant pas selon le seul principe démocratique : celui de la proportionnelle intégrale), on ne retiendra que deux points.

Le premier aura été l’omniprésence de l’immigration-invasion et de l’islam conquérant… du moins, peut-on espérer que ces deux problèmes majeurs, qui n’en forment qu’un d’ailleurs, seront au cœur du débat politique, car il s’agit de l’avenir de notre Nation et de notre État.

Il est évident qu’une fois l’islam devenu religion dominante par l’effet de la démographie de ses adeptes, les mahométans exigeront l’application de la charî’a… des pitres la réclament déjà en Grande-Bretagne, depuis qu’un mahométan est devenu le premier maire coloré de Londres.

Or cette transformation de l’État français ne se fera pas sans que ne coule beaucoup de sang. Soit celui des Français de souche européenne, victimes de nouvelles séries de meurtres et d’attentats djihadistes. Soit celui de mahométans et de Français autochtones, lors d’affrontements ultra-violents, puisqu’après tout, il vaut mieux mourir en combattants que de vivre en esclaves, même affublés du nom de dhimmis.

Le second point, sera la recomposition de la vie politique. Grossièrement, elle sera divisée en trois gros morceaux : le (très timide) populisme à la française – soit environ 30% des voix -, la droite molle et conservatrice (environ 30%) et la coalition des marécages centristes et de la gauche caviar (les partisans de mignon-Macron, soit également 30% des voix)… resteront 10% de dinosaures marxistes et d’écolos-ignares, histoire de mettre un peu de folklore franchouillard, pour pimenter la sauce.

Or l’on pourrait, éventuellement, éviter que le sang coule à flots. L’unique alternative à la guerre civile, guerre de races et de religion, est l’accès très démocratique au Pouvoir - grâce à un triomphe électoral indiscutable, même pour les très malhonnêtes commentateurs des media globalo-mondialistes - d’un authentique gouvernement populiste, qui débutera une politique de « grand retour » vers leurs continents d’origine des immigrés-envahisseurs, associée au respect scrupuleux des lois de séparation des cultes et de l’État, ainsi qu’à une politique économique réellement nationale.             

En un mot comme en cent, il est absolument nécessaire de faire comprendre aux Français de souche européenne, qui sont encore majoritaires dans le pays, qu’il est urgent d’acquérir à une mentalité continentale, pour des raisons non pas de stupide racisme (aucune race n’est supérieure à une autre), mais de pure intelligence : un continent n’appartient qu’à ses autochtones. Tout le reste est accessoire. Face à l’ennemi conquérant, seule importe l’unité.

11:15 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, 4 février, Paris :

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samedi, 28 janvier 2017

Jean-Claude Martinez invité du Bistro Libertés

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vendredi, 27 janvier 2017

Les Bobards d'Or 2017, c'est le lundi 6 février...

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Sortie prochaine du n°2 de la revue "Confrontation"

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Citoyenneté et nationalité

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

Les débats sur l’identité qui se succèdent depuis une dizaine d’années sèment une confusion et provoquent des antagonismes pour la raison qu’ils reposent sur des fondements faussés. En effet, avant d’évoquer une « identité », il faudrait d’abord définir sur quoi elle porte. Or, le véritable problème est celui qui est créé par la confusion qui existe, en France notamment, entre la « citoyenneté » et la « nationalité ». La citoyenneté est de nature juridique et ouvre des droits politiques. À ce titre, elle procède d’une logique administrative qui permet d’accorder, ou pas, la citoyenneté, à n’importe qui résidant sur un territoire donné. Aucun autre critère ne peut être requis. Délivrer la citoyenneté est donc un acte qui ne prend en compte aucune appartenance particulière à des valeurs, ou à une communauté, ou l’attachement à une histoire, une culture, et encore moins à une civilisation. Elle n’implique aucun engagement de fidélité à quoi que ce soit.

Au contraire la nationalité induit une notion ethnique, un lien avec une nation, c’est-à-dire une entité humaine aux valeurs communes et à la communauté de destin de ses membres. L’histoire, les traditions, la défense de son identité, en font la substance et la réalité quotidienne, avec la volonté d’adhérer de bonne foi, naturellement donc, à ses règles de convivialité, à ses codes sociaux. La patrie est un sentiment charnel, la nation une organisation et un ordre social de femmes et d’hommes au passé et au devenir communs et identifiés.

Tant que notre système juridico-politique s’entêtera, pour des raisons idéologiques, à confondre citoyenneté et nationalité, tout débat sur l’« identité » et sur l’« Europe » restera stérile, inutile, voire dangereux. Or, la source de cette confusion se situe dans la création factice des « États-Nations » qui mêlent citoyenneté et nationalité, travestissant la notion même de nationalité, en fabriquant une fausse nationalité conforme aux contours géographiques de l’État, à partir des nationalités régionales dévalorisées, et justifiée par la citoyenneté, liée aux États nouveaux et aux idées des « Lumières » concrétisées par la Révolution.

C’est là que se situent l’imposture, et les ambiguïtés qui en découlent, des États-Nations et l’impossible débat sur toute notion d’« identité », devenue essentielle dans le monde nouveau de la globalisation. Globalisation financière ne veut pas dire globalisation humaine, malgré la volonté de nos élites « droits-de-l’hommistes » dominantes.

Séparer citoyenneté et nationalité aboutit ainsi à la suppression des États-Nations européens, pour donner un sens à des « identités » qui retrouveraient leurs véritables racines. Ainsi, une Europe nouvelle pourrait voir le jour, la nationalité entraînant d’office la citoyenneté, mais non l’inverse. N’importe qui pourrait être « citoyen », c’est-à-dire posséder des droits politiques, le droit de vote notamment, sans bénéficier des avantages sociaux, sans participer automatiquement à la vie culturelle, sans être non plus soumis aux contraintes imposées aux membres de la nation, et notamment sa défense à titre militaire par exemple. La nationalité renvoie à une communauté humaine spécifique de destin, la citoyenneté à un acte juridico-administratif.

Cette conception a été évoquée par des esprits d’origines très diverses, depuis Yann Fouéré et son excellent ouvrage, déjà ancien, L’Europe aux cent drapeaux, jusqu’à Dominique Schnapper dans Qu’est-ce que la citoyenneté ?, autre excellente étude, plus récente, sur la citoyenneté vue sous un angle certes très différent de celui de Fouéré. Ce n’est donc pas une question d’idéologie lorsque l’honnêteté intellectuelle et l’impartialité amènent à des réflexions finalement proches de la part de personnages aussi différents politiquement que ces deux auteurs prestigieux.

L’Europe nouvelle ne pourra exister sans reconnaître qu’elle comporte « cent drapeaux » nationaux. Et une citoyenneté supplémentaire.

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RAPPEL Samedi 28 janvier : Carl Lang en Bretagne

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Délocalisation de l’usine Whirlpool : la France, dindon de la farce !

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Marc Rousset Boulevard Voltaire

L’usine Whirlpool d’Amiens cessera sa fabrication de sèche-linge le 1er juin 2018. Environ trois cents personnes de plus vont encore se retrouver au chômage en France ! Pourquoi ? Parce qu’au sein même de l’Union européenne, il y a des pays européens émergents.

Ces derniers pratiquent donc, de fait, un dumping fiscal et social avec un coût de la main-d’œuvre quatre fois inférieur à celui de la France !
Et si, encore, les Polonais nous achetaient des avions et des hélicoptères français… Mais non ! Pour des raisons politiques, afin de satisfaire l’Amérique, par peur de la Russie, ils préfèrent acheter américain.

Dans le cas Whirlpool, comme pour de nombreuses autres délocalisations à l’est de l’Europe, les peuples ouest-européens se vident de leur substance économique industrielle, suite à la stupidité des élites françaises qui ont confondu élargissement et approfondissement de l’Europe ! S’il y avait eu un approfondissement intelligent avant un élargissement responsable, lent, contrôlé et très progressif, paradoxalement, les peuples européens seraient aujourd’hui moins hostiles aujourd’hui à l’Union européenne !

Maurice Allais estimait qu’une libéralisation totale des échanges et des mouvements de capitaux n’était souhaitable que dans le cadre d’ensembles régionaux regroupant des pays économiquement et politiquement associés, de développement économique et social comparable. Comparable, voilà le mot clé, ce qui importe, ce que nos élites de pacotille traîtresses et stupides n’ont pas su ou voulu voir !

Autant le Marché commun protectionniste, avec la préférence communautaire, fut une réussite totale et bénéfique pour la France, autant l’élargissement économique à l’Est voulu, il est vrai, par l’Allemagne pour s’assurer des débouchés et organiser sa sous-traitance ne fut pas aussi bénéfique et souvent maléfique pour la France, qui a délocalisé aussi une grande partie de son industrie automobile en Roumanie (Renault) et en Slovaquie !

Mais il faut reconnaître que le problème de l’élargissement européen à l’Est est, effectivement, très complexe avec des discussions sans fin, des avantages et des inconvénients, même pour la France, suite à l’avantage, parfois, de produire à bas prix et de trouver de nouveaux débouchés. Le pragmatisme s’impose en matière de protectionnisme et il ne faut jamais tomber dans le piège de l’idéologie stupide ! Quant au libre-échange mondialiste non européen, lui, il doit être combattu sans aucun doute possible.

08:13 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie à la fin du mois du nouveau livre de Bernard Plouvier : "Le Populisme ou la véritable démocratie"

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Un entretien avec l'auteur :

Q. Dans ce livre, vous présentez ce que les bien-pensants et bien-disants interpréteraient comme un non-sens : l’assimilation du populisme à la démocratie. Est-ce une provocation à but commercial ou l’expression d’une intime conviction ?

R. Vous m’avez mal lu : je n’ai pas écrit du populisme qu’il était une forme de démocratie. Je prétends qu’il s’agit de la SEULE véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple. Le but de tout gouvernement est d’administrer au mieux le Bien commun. C’est ce que, durant l’Antiquité gréco-romaine – qui est notre racine fondamentale, avec celles moins bien connues des civilisations celto-germano-scandinaves -, l’on nommait la Chose publique.

Pourtant les démocraties grecques antiques n’ont pas été des régimes populistes.

Effectivement, ce que nos brillants universitaires (les historiens allemands sont généralement moins naïfs) nomment la « Démocratie athénienne » n’était qu’une ploutocratie. Pour faire simple, une ploutocratie est un gouvernement de riches qui n’agissent que pour donner à leur caste – héréditaire ou matrimoniale - et à leur classe – liée à la surface sociale – les moyens d’assurer la pérennité de leur domination.

Certes, un peu partout en Grèce, à partir du 6e siècle avant notre ère, on a introduit la notion d’égalité devant la Loi, mais cela ne touchait que les seuls citoyens, nullement les étrangers et moins encore les esclaves qui n’étaient que des biens mobiliers, des choses. En outre, les citoyens pauvres n’avaient que le droit d’élire des riches pour administrer l’État. En gros, cela n’a guère changé en 25 siècles !

Et très vite, les peuples se sont révoltés. D’authentiques populistes ont dominé de nombreuses cités grecques antiques, puis Rome. Ces « tyrans » ont tous été élus, acclamés par le peuple, mais agonis par la classe des lettrés, issus de la caste nobiliaire. La mauvaise réputation du populisme est une affaire de règlement de comptes entre les riches et les chefs des pauvres… car les ploutocrates reviennent toujours et partout au Pouvoir, les pauvres étant trop souvent victimes de leur irréflexion et les gens des media – de l’aède antique au présentateur d’actualités télévisées – étant fort vénaux.

Ce livre est donc une promenade historique, une visite guidée dans le Musée du populisme. Cela signifie-t-il qu’il existe des causes et des effets récurrents dans l’histoire humaine qui mènent au populisme ?

Bien évidemment et cela revient à dire qu’il existe des critères qui permettent à l’observateur de différentier un véritable populiste – être rare – d’un banal démagogue. Il faut être très critique à l’égard de ce qu’affirment les journalistes et les « politologues », cette curiosité contemporaine, lorsqu’ils balancent, un peu au hasard, l’appellation de populiste, ce qui est souvent, pour ces ignorants, une accusation, alors que de nombreux exemples prouvent le bénéfice que certaines Nations ont retiré des gouvernements populistes… et l’étude des échecs est également instructive.

Un chapitre entier du livre est consacré aux valeurs populistes et un autre aux critères, universels et diachroniques, d’un gouvernement authentiquement populiste. Et l’on étudie les différences qui existent entre le régime populiste et le despotisme éclairé.

Comment survient ce type de régime ?

Comme toujours en histoire, il faut, pour observer un phénomène hors du commun, la communion d’un chef charismatique et d’un groupe de compagnons résolus, unis par le même idéal… mais, hélas, pas toujours par des idées communes. Trop de théoriciens tuent un mouvement d’essence populiste avant qu’il puisse prétendre au Pouvoir. C’est ce que l’on a vu en France ou en Espagne durant l’entre-deux-guerres.

Ma question était mal posée : pourquoi un mouvement populiste réussit-il une percée ?

Ce type de mouvement résulte toujours d’un mal-être profond de la Nation, dans ses couches laborieuses et honnêtes… ce qui suffit à différentier le populisme des partis marxistes, dirigés par de très ambitieux intellectuels déclassés et composés de sous-doués hargneux, envieux et fort peu motivés par le travail.

Dès qu’une ploutocratie cesse de proposer au peuple une ambition pour la génération active ou, de façon plus grave encore, une promesse d’avenir pour les descendants, elle devient insupportable. La situation devient intolérable, explosive, lorsque la Nation – soit la fraction autochtone du peuple – est menacée dans sa survie.

L’insurrection devient alors légitime, à moins qu’un mouvement, prenant en compte les besoins et les aspirations du peuple – singulièrement ces valeurs qui font l’identité d’une Nation –, rassemble une majorité électorale qui lui permette de parvenir démocratiquement au Pouvoir, ce qui évite l’insurrection, ses crimes et ses destructions… là encore, on mesure bien la différence entre le populisme et l’ignominie marxiste, où la Révolution est le bien suprême, nécessaire aux chefs et aux petits chefs pour se saisir du Pouvoir et des sinécures.

Finalement, le populisme, ce serait la réaction saine d’un peuple qui souffre, qui est écœuré de ses soi-disant élites et qui aspire à une vie plus digne, faite de travail et d’honnêteté dans la gestion des affaires publiques, permettant d’espérer un avenir meilleur pour les enfants et les petits-enfants ?

Vous avez tout compris.

L'auteur : Bernard Plouvier est né en 1949. Il a été interne des hôpitaux puis chef de clinique au CHU de Lille. Depuis 1979, il est chef de service hospitalier, spécialisé en Médecine interne. Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980. Il collabore régulière­ment à la revue Synthèse nationale ainsi qu'au site EuroLibertés.

Le populisme ou la véritable démocratie, Bernard Plouvier, Les Bouquins de Synthèse nationale, 278 pages, 22 €

Sortie : fin janvier 2017

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jeudi, 26 janvier 2017

La Cour d'appel de Versailles confirme Jean-Marie Le Pen comme Président d'honneur du FN

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Le communiqué de Jean-Marie Le Pen :

Le recours contre l’exécution provisoire du jugement qui m’a confirmé dans la fonction de président d’honneur du FRONT NATIONAL a été rejeté ce jour par la cour d’appel de Versailles.

Hier déjà, la cour de cassation avait définitivement enterré le soi-disant « congrès postal » qui visait illégalement à me déchoir.

Ces décisions de justice s’imposent sans délai aux dirigeants du parti que j’ai fondé et dirigé durant 40 ans.

Apaisement et rassemblement sont les préalables aux succès électoraux. Il faut maintenant panser les plaies d’une base militante meurtrie et en finir avec l’esprit d’exclusion.

22:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mieux connaitre Radio Libertés

19:12 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alex Chabanis ne boxera plus

celtic-cross.jpgDans les années 60 et 70, Alexandre Chabanis était une figure incontournable du milieu nationaliste parisien. Il vient de décéder à l'âge de 77 ans. Notre Ami Claude Jaffres lui rend ici un hommage militant :

C'était à la fin des années 50, au temps du Mouvement Jeune Nation des frères Sidos, de Jean Malardier et bien sûr de Dominique Venner, son jeune frère militait avec nous puis, un jour, Alex nous a rejoint.

Il avait déjà une très honorable carrière pugilistique et sa compagnie était appréciée lors de nos expéditions aventureuses. Comme moi, il avait servi dans un commando de chasse, il en avait ramené une blessure au ventre, cela n'avait en rien édulcoré son soutien à l'Algérie terre française.

La trahison du Régime gaulliste l'emporta et la répression fut féroce, Alex continua le combat durant ces dures années. Le calme revint un peu mais il ne posa pas pour autant son sac. Beaucoup se souviennent de la salle de boxe qu'il animait et de son engagement militant. La vie ne l'épargna pas et il fut marqué par de dures épreuves qu'il affronta avec courage.

Ainsi était Alex combatif, courageux, rigoureux, un fort caractère parfois difficile... Mais un homme de chez nous quoi...

Au fond, selon la formule de Dominique Venner, il n'avait pas voulu guérir de sa jeunesse.

L'éloignement, les obligations m'empêchent de participer à l'hommage qui lui sera rendu à Saint-Nicolas-du-Chardonnet, alors qu' il me soit permis ici d'apporter mon soutien à sa famille et ses proches.

Adieu Alex, adieu mon camarade, repose en paix parmi les nôtres.

Claude Jaffrès

10:57 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 26 janvier : Gérard Letailleur invité de Synthèse sur Radio Libertés

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mercredi, 25 janvier 2017

Sortie (très attendue) à la fin du mois de janvier du livre d'Alban d'Arguin : EOLIENNES SCANDALE D'ETAT

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C’est l’ouvrage le plus com­plet sur la ques­tion des éo­liennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pen­sance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des der­niers trotskys­tes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialecti­que et les enjeux fondés sur trois affirmations hasar­deu­ses : la lutte contre le « réchauffement » climati­que, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.

La thèse de l’auteur est terri­ble : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberra­tion devant la Cour de justice de la Ré­publique.

Ce livre est une arme essen­tielle et exhaus­tive dans le combat, à la disposition des mé­dias objectifs, des politi­ques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nou­veaux parcs éo­liens.

Il y a une impérieuse urgence à rejeter les in­jonctions dic­tatoriales de la Commission euro­péenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...

Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €

L'auteur : Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de manage­ment et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs re­vues sous forme de chroniques. Passionné par l'ornithologie et les questions environnementa­les, il a participé récemment à la création d'une association op­posée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France

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Samedi 28 janvier à Vervins (02) : réunion publique contre les éoliennes

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mardi, 24 janvier 2017

“Les patries sont toujours défendues par les gueux et livrées par les riches”...

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Le discours intégral d’Olivier Roudier (Ligue du Midi) au meeting de Palavas-les-Flots (Hérault), samedi 21 janvier 2017 cliquez ici :

Mes chers camarades, mes chers amis,

Porte-parole de la Ligue du Midi, au nom de notre président Richard Roudier et de l’ensemble de nos militants, laissez-moi vous souhaiter, Monsieur le Président Le Pen, la bienvenue chez nous, en Occitanie !

Vous le savez, mouvement identitaire, la Ligue du Midi a récemment mené campagne dans le choix du nom de notre région, et le peuple d’Oc nous a largement suivis en s’exprimant en faveur d’une dénomination identitaire. Je vous rappelle que la victoire était loin d’être acquise puisque « Occitanie » ne figurait même pas parmi la liste que les technocrates entendaient nous soumettre pour votation.

Leurs esprits comptables n’avaient accouché que d’appellations fonctionnelles mort-nées, faisant la part belle à la seule géographie économique. A l’inverse, l’affirmation identitaire exigeait une dénomination faisant référence à l’histoire, à un peuple, dans sa triple dimension passée, présente et à venir. Nous voulions que le nom reflète notre patrie charnelle, nous nous sommes battus et nous avons gagné !!! Alors oui, Président Le Pen, ben vengut en co nostra, ben vengut en occitania !!!

Mais l’amour de notre petite patrie n’exclut pas l’attachement à la grande. Avec Maurras « nous concevons la France comme une fédération des provinces de France » .

Nous vivons notre appartenance identitaire sous une forme multiple et complémentaire… Un rapport direct et étroit à nos terroirs… Un profond respect pour cette terre qui a nourri ma lignée, qui m’a vu naître et recèle mes si chers souvenirs d’enfance. Un amour ressenti physiquement, comme une absence quand je m’expatrie trop longtemps et qui m’emplit de joie quand je rentre au pays.

Ce qui ne m’empêche pas, bien au contraire, d’être fier d’être Français, d’être attaché à l’histoire de France, à sa langue et à sa culture. De même qu’en tant que Français, je suis fier d’appartenir à cette communauté de destin qu’est la civilisation européenne.

Si l’on convient que l’identité est la meilleure défense immunitaire pour résister au virus de la mondialisation, un triple enracinement ne peut que renforcer notre système. Et l’ennemi mondialiste ne s’y trompe pas en sapant nos références identitaires : quand on n’a plus conscience de ce que l’on est, on n’a plus confiance en ce que l’on est et en ce que l’on peut réaliser collectivement.

Depuis deux siècles, la France est marquée par une gauchisation mécanique de sa vie politique. En effet, en remplaçant progressivement les partis de gauche par de nouveaux partis plus radicaux, les anciennes formations se sont retrouvées à tour de rôle décalées à leur droite. C’est ainsi que le libéralisme, idée de gauche à l’origine est aujourd’hui défendu par un personnel politique dit de droite.

Avec l’effondrement du bloc soviétique et les dégâts collatéraux liés à la mondialisation, la tendance s’est inversée et les problématiques identitaires sont désormais au cœur des débats. Mondialisation ou localisme, gouvernance ou souveraineté, suppression ou nécessité de frontières, libre-échange ou protection, laïcisme ou retour au sacré, diversité ou identité…

Mes amis, le vent de l’histoire gonfle à nouveaux nos voiles !!! Il est temps de réaffirmer que la prise du pouvoir peut réussir si nous utilisons de façon concertée le terrain des urnes et de la rue. La prise en main de l’action culturelle, du secteur associatif ou de pouvoirs locaux, nous permettra de déplacer encore le centre de gravité de l’opinion. Et j’en profite pour saluer les équipes de Lengadoc-infos et TV Libertés qui effectuent un remarquable travail de ré-information, nous réappropriant un pouvoir médiatique.

Militants du Bloc Identitaire d’avant sa déchéance, puisque je vous le rappelle, Richard Roudier président de la Ligue du Midi, a été l’un des 4 fondateurs du Bloc, nous avons su démontrer que “l’agit-prop” passait désormais par des actions couplées dans lesquelles les moyens modernes de communication étaient utilisés à fond… Que les actions de lobbying exigeaient la mise en place de réseaux, mais aussi d’une vigoureuse force militante que seule une plate-forme commune à plusieurs organisations rend possible.

Un récent exemple de ce type d’action : l’opération « Ali Juppé » visant à neutraliser le candidat le plus islamophile des primaires de la droite. Victoire doublement joyeuse de nos contingents lorsque, sur un plateau de télévision, le lèche-babouches expliquait sa défaite par une campagne “nauséabonde” menée par les réseaux identitaires.

C’est au sein de notre peuple, en progressant par de petites victoires successives que les « bons Français » nous feront confiance dans l’action. Nous savons, avec Jules Monnerot, qu’une heure vient où les réprouvés, qui le sont de moins en moins, n’apparaissent plus inquiétants, mais rassurants à la partie la plus homogène de la population. Ils semblent incarner à travers le malheur, les valeurs de courage, de bravoure et de caractère sans quoi il n’est pas de grand pays…».

C’est en constituant un appareil révolutionnaire efficace autour d’une plate-forme commune que nous bâtirons du solide. C’est en unissant nos efforts… C’est en pouvant compter sur la caisse de résonance d’un grand parti électoraliste que nous pourrons enrayer l’infernale machine libérale à broyer les peuples.

Pour les libéraux le corps social de la nation ne serait qu’un agrégat de citoyens, une juxtaposition d’individus présents en un instant T sur le territoire. Exit la transcendance qu’apporte le partage d’un héritage et d’un destin commun. Pour ces Français, souvent les plus modestes, pour lesquels l’enracinement et l’attachement à une patrie, qu’elle soit locale ou nationale, se place au dessus de l’économie, la rupture est consommée.

Héritiers du colonel Rossel et de La “Commune”, nous savons trop que “Les patries sont toujours défendues par les gueux et livrées par les riches”, pour reprendre les mots de Péguy.

Aux yeux de la France des relégués, l’immigration ne passe plus pour une fatalité ou le produit de l’impéritie de nos dirigeants. Il est évident qu’il s’agit d’un plan concerté de remplacement, une délocalisation à domicile lorsque le travail n’est pas exportable. Les cris d’orfraies n’y suffisent plus et l’amalgame est désormais évident entre insécurité économique, insécurité sociale, insécurité culturelle et insécurité civile.

Pour les petits-blancs de la France périphérique, il est clair que cette immigration de masse qui ne pouvait que transformer fondamentalement notre cadre de vie et nos traditions nous a été imposée pour satisfaire les seuls intérêts privés de l’oligarchie. Eux en tirent les bénéfices immédiats (baisse des salaires, désyndicalisation du salariat), tandis que les coûts d’intégration (formation, éducation, sécurité) ainsi que les coûts sociaux (santé, logement, aides et prestations sociales) sont eux à notre charge.

Saviez-vous, à titre anecdotique, que tout étranger justifiant de trois années de résidence en France perçoit plus de 700 € au seul titre du minimum vieillesse, alors que l’épouse d’un paysan, d’un artisan ou d’un commerçant, elle qui aura travaillé toute sa vie durant, n’en touchera que la moitié. Vergonha !!!

En 40 ans des diverses politiques de la ville, ce sont plus de 150 milliards d’€uros qui ont été prélevés sur les efforts des Français pour acheter la paix sociale aux immigrés sous le fallacieux prétexte qu’ils seraient défavorisés. Et pendant ce temps là, combien de plan d’urgence pour la France des Gaulois ? Pour cette France rurale sacrifiée où un paysan se fout en l’air tous les deux jours ? Vergonha !!!

Nous le savons, cette injustice insupportable de la préférence étrangère porte en elle les germes de la prochaine guerre civile. Et c’est bel et bien l’État jacobin français qui nous impose la préférence immigrée et islamique avec ces millions d’Arabo-musulmans porteurs d’une autre histoire, d’une autre civilisation et d’un autre avenir qui n’est autre que la charia… Car c’est bel et bien l’État jacobin français qui, par sa politique, ses lois et ses tribunaux, organise notre « grand remplacement »…

Cette révolte sourde et légitime, c’est à nous de la vertébrés pour la faire éclater au grand midi. En tant que peuple autochtone nous avons des droits ! Droits reconnus par les Nations-Unis… Nous invoquons donc le droit au refus d’être dépossédés de ce que nous sommes… Nous invoquons le droit de refuser de devenir des étrangers sur notre propre sol… le droit de refuser de nous retrouver un jour minoritaires dans un environnement qui fut autrefois familier et rassurant.

No border, no limit !!! Entendez les avec leurs accents New-Yorkais… Medef et antifas sont à l’unisson… les libéraux-libertaires nous imposent un monde à leur image, un monde de l’avidité et de la jouissance sans entrave. Un monde sans plus aucune limite territoriale, économique, sociétale ou même morale.

Dominique Venner annonçait que notre monde serait sauvé par des veilleurs postés aux frontières du royaume et du temps. Mes amis, soyons ces sentinelles ! Sacrifions au dieu Terminus gardien des bornes et réaffirmons fermement l’ensemble de nos limites communautaires. Nous en avons le droit tout autant que le devoir, parce qu’ici, amis, nous sommes chez nous !!!

Continuons d’affirmer avec Dominique Venner que notre futur, n’est pas encore écrit. Osons affirmer qu’il n’y a pas de fatalité à notre remplacement. Osons affirmer que seule la volonté des peuples leur forge un destin… Et que les seuls combats que l’on soit certain de ne pas remporter sont ceux que l’on ne livre pas. Affirmons le haut et fort : la fatalité est un mensonge et notre avenir nous appartient.

Mes amis, partout les peuples d’Europe s’organisent pour demeurer eux-mêmes et continuer de vivre sur leurs terres selon leur identité propre. Voyez les Hongrois, voyez les Islandais, les Tchèques, les Slovaques, les Polonais et demain les Autrichiens ! Eux ont décidé de demeurer fidèles à leurs ancêtres et d’assurer un avenir à leurs enfants.

Je reviens de Hongrie. D’Asotthalom pour être précis, à la frontière sud où se massent les migrants… A Asotthalom il n’est pas rare d’intercepter un clandestin porteur d’un document distribué dans les camps par le Haut-Commissariat aux Réfugiés des Nations-Unies. Rédigé en anglais et traduit en arabe, on y explique toutes les ruses, mensonges et dissimulations pour pénétrer illégalement en Europe et s’y installer. A Asotthalom on sait que ce sont des ONG américaines qui collectent des fonds pour payer les réseaux mafieux de passeurs.

A Assothalom on sait que pour stopper la déferlante migratoire, il est nécessaire que les camps de réfugiés soient des centres fermés. Qu’il est nécessaire que leurs occupants soient massivement rapatriés pour une vaste structure d’accueil, au plus près des pays d’origine, quelque part en Syrie, au Qatar ou dans la banlieue de Tombouctou, on s’en fout… mais il ne demeureront pas chez nous !!!

A Asotthalom on sait aussi que le combat est civilisationnel et que c’est tous ensemble que les Européens se sauveront. On sait aussi que le combat est démographique c’est pourquoi le gouvernement hongrois a décidé de soutenir la natalité par l’octroi d’une prime de 32 000 € pour toute famille hongroise de trois enfants, auxquels vient s’ajouter un crédit gratuit pour la construction d’une maison. Et pour ne pas que la mesure soit contre-productive et soutenir une population criminogène, ne sont éligible au programme que les familles sans antécédents judiciaires graves.

Voilà le type de mesure identitaire de bon sens que je veux voir appliquer dans la France de mes enfants… Mais pour cela il faut nous battre !

Alors, mes amis, organisons-nous !!! Organisons-nous et nous effectuerons enfin le grand ménage citoyen qui s’impose dans notre pays !

Pour que perdure ce que nous sommes… Pour une Occitanie à jamais occitane, pour la France aux Français, pour l’Europe aux Européens !

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Samedi prochain, 28 janvier, Kroc blanc en concert dans l'Aisne

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01:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 janvier 2017

Les stratèges de la nouvelle ringardise

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Bernard Plouvier

Désertées par les électeurs spécialisés, mais jouissant d’une couverture médiatique comme s’il s’agissait d’un authentique bouleversement social, les « primaires de la gauche » débouchent sur la désignation du plus joli Bobo ringard de l’année, version « gauche » globalo-mondialiste.

Et que l’on y va du revenu universel, soit un salaire pour un non-travail, histoire d’améliorer la consommation. Bien entendu, super-ringard va alimenter le pays en électricité par les éoliennes et le très onéreux photovoltaïque, puisqu’il est « absolument nécessaire » de sortir du nucléaire… qui produit une électricité très bon marché et pour un risque écologique quasi-nul grâce à la très haute qualité technique des centrales françaises.

Le plus beau est à venir : le discours du vainqueur (provisoire) sur le travail. Chacun sait que notre distingué (et bedonnant) Président avait fait de son quinquennat celui de la Victoire sur le chômage… un peu comme dans un plan quinquennal stalinien. L’échec étant plus que patent, grotesque même, le nouvel Hamon des familles change de but.

Alors que les trois catégories de chômeurs (A,B et C) additionnées dépassent les 5 millions (c’est un record absolu en France), le candidat le mieux placé à l’investiture pour la déroute électorale estime qu’il est de la première urgence d’adapter le temps (à la baisse) et les conditions de travail pour ceux qui ont la chance d’en avoir encore un ! Certes, il s’agit de « travaux pénibles », mais tout médecin sait d’expérience que chaque salarié s’estime harassé, surmené, victime de conditions et de cadences de travail « insupportables ».

Bref, le menu peuple autochtone étant fidélisé par le Front national, la ringardise-bobo-socialo en revient à ses fondamentaux : on fait dans la plus élémentaire démagogie et l’on tente de renouer les liens avec les leaders syndicaux… entre compères démago, il est toujours aisé de s’entendre. Nul doute que le dénommé Mélenchon n’apprécie à sa juste valeur le Hamon piétineur de plates-bandes.

Le mignon Macron ne peut que se frotter les mains.

16:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DE WASHINGTON à BANJUL EN PASSANT PAR PARIS, AINSI VA LE MONDE...

Rolinat JCl.jpgLe bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

Ne le dîtes à personne, mais le 20 janvier 2017 Jean-Marie Le Pen est entré à la Maison blanche ! « America first », le slogan de Donald Trump, semblait résonner comme un écho venu d’outre-Atlantique à celui du leader du Front national d’hier, « La France et les Français d’abord ».

Toute la campagne du vainqueur de l’élection présidentielle aux Etats-Unis était axée sur la protection prioritaire de son pays et de ses citoyens, comme l’a démontré le premier bras de fer avec les constructeurs automobiles, ses promesses pour continuer le mur aux frontières avec le Mexique et la renégociation du traité de l’ALENA avec ce dernier pays et le Canada. Sans oublier une politique apaisée avec le géant russe et une approche plus offensive vis-à-vis de la Chine « capitalo-communiste »…

Ce sont donc les premières étapes de la mise en œuvre effective du concept de « préférence nationale » si cher à notre camp, celui de la Droite nationale, sociale et populaire. La pseudo élite de Washington ne s’y est pas « trumpée » en vouant aux gémonies le milliardaire à la crinière blonde. Tout – ou presque ? – aura été tenté pour déconsidérer le nouvel élu, frasques sexuelles supposées, tentative de le délégitimer en insistant sur le faible écart en voix à son détriment entre lui et sa concurrente. Mais la loi est la loi, et on ne change pas les règles du jeu en fin de partie !

Si les constituants américains ont privilégié le système des « Grands électeurs », c’est pour donner plus de poids aux Etats composant la Fédération américaine, ne l’oublions pas. Ce qui explique le différentiel des suffrages entre le plus peuplé, la Californie – deux sénateurs – et un « petit », le New Hampshire par exemple, deux sénateurs également. Et « le Donald » a ainsi gagné une énorme majorité d’Etats. (Les représentants d’une République si « jacobine » comme la France, ne peuvent pas, évidemment, comprendre cela).

A peine l’encre de la signature des premiers décrets présidentiels était-elle sèche, que des essaims d’anarchistes et autres fauteurs de troubles se ruaient sur la capitale fédérale, affrontant les forces de l’ordre et autre « troopers », rameutés pour assurer la tranquillité de la cérémonie d’inauguration. Entre parenthèses, la France n’y était représentée que par son ambassadeur, un certain Araud, qui s’était signalé par un tweet agressif à l’égard du Président à peine élu.

Quand on a un diplomate comme ça, on le colle dans le premier avion avec un plan-retraite anticipé ! (Ne pas oublier qu’aux obsèques de l’assassin communiste Fidel Castro, c’est un ministre d’Etat de la République qui représentait la France, Ségolène Royal. Voici ce qui peut expliquer, partiellement, le peu de cas que le nouvel élu semble faire de notre pays). Le lendemain, partout dans le monde, des meutes de féministes appuyées par tout ce que le monde alternatif compte de militants, déferlaient dans les artères des grandes cités, y compris et avant tout à Washington. Que reprochent au juste ces femmes au propriétaire de la Trump Tower ?

Des gauloiseries douteuses un peu trop appuyées sur la gent féminine ? Curieusement, lorsqu’il s’agit de défendre les droits bafoués de la femme musulmane, «  il n’y a plus d’abonné au numéro que vous demandez » ! Point de «femen » à l’horizon… Mais comme le dit un vieux dicton, « le chien aboie et la caravane passe ». Le nouveau Président US va contribuer à bouleverser la donne géostratégique planétaire.

Peut-être rendre le monde plus sûr. Attendons d’en voir les résultats avant de hurler avec les loups. « Wait and see » comme l’on dit de l’autre côté de la Manche.

La Blanche Neige du peuple de gauche et les sept nains

Sept, ils étaient sept comme dans le conte de notre enfance. Sept candidats à faire le beau devant les caméras de télévision. Sept « nains » politiques tentant de séduire un électorat de plus en plus fuyant. Mais la « Blanche Neige » électorale a boudé ses petits nains. En France, la primaire des socialistes a tourné à la farce.

Dans les QG des différents candidats, on cachait difficilement mais bien hypocritement, sa triste résignation devant un échec : seulement 1,6 million d’électeurs de gauche se sont déplacés pour couronner celui qui portera en avril les couleurs du PS. Entre un Montebourg plus que jamais bateleur d’estrade, un Hamon et son utopique revenu universel, un Monsieur Valls moins « screugneugneu » que d’habitude et un Benhamias au masque de « ravi de la crèche », la Blanche Neige du peuple de gauche a quitté la tanière des sept nains et est partie avec armes et bagages chez Macron ou Mélanchon.

La fameuse tenaille aux deux branches, l’une centriste, l’autre gauchiste, se refermant semble-t-il sur un PS anémié, en panne d’idées sérieuses et d’effectifs. « Tout ça pour ça » diront les militants et sympathisants socialistes restés fidèles à la rue de Solférino.

Cruelle déception dans les rangs d’un parti qui a bien plus que déçu ses partisans pendant tout le quinquennat – qui n’est , hélas, pas encore terminé – de François Hollande. (Lequel, soit-dit en passant, continue de porter la scoumoune : à peine avait-il quitté Gao au Mali, que ce pays était à nouveau ensanglanté pas des attaques terroristes ! Espérons pour le Chili où il était en visite officielle, qu’il n’y aura aucune secousse tellurique !).).

En Afrique, UBU est toujours Roi

Terminons ce petit tour d’horizon par une virée africaine. Chacun le sait, « qui a bu, boira ». Le Président gambien – la Gambie, vous savez, c’est ce « doigt » qui s’enfonce profondément sur la carte du Sénégal, séparant le nord du pays de la Casamance, au sud – l’islamiste Yahya Jammeh, avait perdu les élections du Ier décembre dernier face à son opposant Adama Barrow.

Après avoir reconnu sa défaite et gouté de cet élixir électoral pendant 22 ans, il changeait d’avis et décidait de se cramponner au pouvoir, défiant le suffrage universel et la volonté populaire. Mais, sous « l’amicale   pression  » de ses voisins de la Communauté des pays de l’Afrique de l’Ouest (CDAO), il a pris le chemin de l’exil. Destination ? La Guinée Equatoriale où la famille Obiang règne et pille sans partage ce petit pays riche en pétrole. (A noter que le fils du Président, lui-même Vice-Président - ça reste en famille - a des démêlés sérieux avec la justice française).

Dictateur un jour, dictateur toujours ? En tout cas, l’intervention musclée de la CDAO et principalement de l’armée sénégalaise, ont rendu ses droits constitutionnels au nouveau Président Barrow qui avait prêté serment, c’était plus sûr, à l’ambassade de son pays à Dakar. Seule ombre au tableau, le plus jeune de ses fils, un gamin âgé de huit ans resté apparemment sans surveillance au pays, a été mystérieusement dévoré par quatre pitbulls !

Dans les rues de Banjul la capitale, l’ex-Bathurst des Anglais, la rumeur populaire dit que c’est le dernier sacrifice ordonné avant de partir, par un Président féticheur et fétichiste qui avait fait de son petit pays une « République islamique ».

Terrible constat après le départ de Jammeh, le sang versé par cet innocent aura peut-être évité que ne coule celui de beaucoup d’autres Gambiens ? Insondable et imprévisible Afrique où les gris-gris ne dorment que d’un oeil….

15:00 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |