jeudi, 02 mars 2017
Émigrants – Immigrants : cherchez l’erreur !
Bernard Plouvier
On savait déjà que, depuis la fin des années 1980, des Juifs citoyens français quittaient le pays pour vivre en Israël. Cet exode s’est nettement accentué depuis le début des années 2010, ce qui se conçoit fort bien étant données la recrudescence des manifestations judéophobes de nos merveilleux immigrés mahométans et la multiplication des attentats et actes de vandalisme, dont quelques-uns ont visé des cibles juives.
On sait que de plus en plus de jeunes diplômés ou de très brillants étudiants autochtones quittent un pays envahi et dangereux, où il ne fait plus bon vivre – du moins dans les villes saturées d’allogènes grossiers, vandales, racketteurs, violeurs, voire terroristes au nom d’une divinité moyen-orientale dépourvue d’intérêt pour un Européen de souche.
On apprend plus confidentiellement qu’il existe une autre fuite : l’émigration des millionnaires en euros. En 2015-2016, ils ont été 22 000 beati possidentes à quitter le territoire national. Parallèlement, les USA se sont enrichis de 10 000 millionnaires étrangers (l’euro et le dollar sont assez proches en matière de pouvoir d’achat).
Les réformes d’un certain Trump risquent d’accentuer encore le phénomène : la comparaison entre ce Président dynamique, opposé à la démagogie de son prédécesseur, et nos tristes sires plouto-démocrates vautrés devant les financiers cosmopolites n’est guère favorable à une inversion de tendance, bien au contraire.
On reconnaît volontiers que le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande connaissent également un afflux de millionnaires étrangers, mais la Grande-Bretagne, elle aussi envahie, en est exportatrice. À quand l’émigration des millionnaires des pays scandinaves ? Stockholm vient de connaître une semaine d’émeutes raciales, comme on en rencontre tant dans ce qui fut la Douce France ou au royaume de Sa Gracieuse Majesté Elisabeth II.
En contrepartie de ces départs, fort gênants pour l’avenir économique, social et scientifique de notre pays et de notre Nation, nous avons la joie, la « chance » d’accueillir des dizaines de milliers d’immigrés-« réfugiés politiques » (réels ou supposés)-envahisseurs, très souvent analphabètes ou dépourvus de la moindre qualification professionnelle, mais nantis d’une foi conquérante : l’islam dans sa forme originelle, strictement conforme au texte coranique, agressif, sectaire, intolérant.
Plutôt que de nous casser les pieds et de nous tympaniser avec des histoires d’emplois népotistes, de pseudo-désastres écologiques à venir, d’un soi-disant « péril fasciste » (d’où proviendrait-il en une Europe amollie, aveulie, émasculée ?), les candidats aux élections de ce millésime feraient bien de se prononcer sur les types d’immigration et d’émigration, toutes deux indésirables et grosses de périls à court, moyen et long termes.
C’est à faire reprendre la natalité autochtone, à rendre vie à l’industrie française qu’il faut s’attacher, de façon parallèle à l’organisation du retour de la dizaine de millions d’immigrés extra-européens dans leurs continents d’origine et du nettoyage des deux milliers de cités de non-droit, qui ne sont probablement pas étrangères à l’émigration autochtone.
19:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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