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dimanche, 30 juillet 2017

Agression policière contre Richard Roudier à Montpellier : ce qu'il faut savoir

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Violences policières au Palais de Justice de Montpellier : ne faisons pas d’amalgame !

Il fût un temps où l’honneur de la France était d’assurer la liberté d’expression et de cantonner son appareil répressif au maintien de l’ordre républicain... Et non pas de mobiliser ses forces de répression contre les lanceurs d’alertes.

Il se trouve que Richard Roudier est le Président d’une Association, La Ligue du Midi, régulièrement enregistrée auprès de la Préfecture, et qui a pour objet de défendre les intérêts des autochtones face à une déferlante migratoire sans précédent qui remet en question l’existence même de notre civilisation dans ce qu’elle a de plus sacré : la condition de la femme, la neutralité de l’espace public, la soumission à des dogmes venus du moyen-âge, la délinquance de rue qui pourrit la vie de nos concitoyens, le refus de partager les valeurs de la République, notamment l’enseignement de son histoire, etc, etc.

Richard Roudier et son fils Olivier ont eu le tort de visiter une association grassement subventionnée par des fonds publics et dont l’objet est de soutenir activement les enfants des clandestins illégalement présents sur notre territoire. C’est vrai aussi que leur visite a été quelque peu traumatisante pour le personnel salarié de cette association, puisque deux tasses à café ont été cassées...

Convoqués par la Justice pour s’expliquer, ce qui semble tout-à-fait normal, Richard Roudier et son fils Olivier ont été placés en Garde à Vue, entendus par le Procureur auprès duquel ils ont répondu courtoisement aux questions (plusieurs griefs contre eux ont été abandonnés). Et c’est au “dépôt”, au sous-sol du Palais de justice, que Richard Roudier a subi une violence inouïe : refus de médicaments, détournement de nourriture, refus de le laisser aller uriner de la part de deux policiers névrosés. Non contents de cela, nos deux “bourreaux”, ont refermé la lourde porte barreaudée d’acier sur ses doigts coincés dans le chambranle. Malgré ses cris de souffrance, il est resté ainsi les doigts écrasés pendant plusieurs minutes, le sol inondé de son sang. Les deux petits chefs refusant d’appeler les pompiers. Richard Roudier est âgé de 70 ans ! ...

La Juge de la Détention et des Libertés est descendue elle-même avec son équipe pour entendre le Président de la Ligue du Midi dans le fourgon des pompiers et lui signifier sa remise en liberté avant d’être dirigé vers l’hôpital de La Peyronie.

Que nous dit cette sauvagerie sur l’état de la France ? Qu’une forme de soft-totalitarisme se met peu à peu en place au pays des Lumières et qu’il devient pratiquement impossible de dénoncer ce que pourtant tout le monde constate jour après jour sur notre territoire : le Grand Remplacement. Et ce ne sont pas les commémorations de l’assassinat de masse de Nice et de l’égorgement du Père Jacques Hamel qui vont changer quoique que se soit à cette politique suicidaire qui menace l’existence même de notre civilisation.

On peut, certes, contester la forme que prennent certaines manifestations de la Ligue du Midi. Nous sommes désolés que les associations de type RAIH qui vivent de la misère des illégaux pour les mettre au service de la mondialisation qui va les exploiter sans vergogne, aient du procéder au remplacement de deux tasses à café et au rangement de quelques dossiers éparpillés. (Des dossiers d’illégaux qui violent la loi française par leur présence non souhaitée sur le territoire national).

Nous ne ferons ici aucun commentaire sur les suites judicaires qui seront données à cette bien triste affaire. Nul doute que cette sauvagerie inexcusable fera l’objet de lourdes sanctions dans l’administration de la police et que les deux cadres de la Ligue du Midi en sortiront la tête haute. Richard Roudier qui a assumé en permanence l’action au RAIH (local ouvert au public) déclarait, lors de sa sortie de l’hôpital, qu’il ne fallait pas faire d’amalgame entre quelques brebis galeuses et la grande majorité des fonctionnaires de police et ne regrette pas sa présence lors des manifestations de policiers au printemps.

Lorsque dans quelques années nous constaterons tous et toutes que la situation nous aura définitivement échappée et que l’Europe sera sous contrôle étranger, l’avertissement que Churchill lança aux démocraties en apprenant la signature des accords de Munich résonnera bien étrangement :

« Entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le déshonneur, et vous aurez la guerre »

NDLR SN : Depuis quelques jours, nombreux sont les patriotes qui veulent manifester leur émotion et leur soutien à Richard Roudier. Ils peuvent le faire ne écrivant à liguedumidi@orange.fr

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samedi, 29 juillet 2017

Le nouveau numéro (n°167) de la revue Eléments

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Les mœurs sont la source du lien social. Il y a des mœurs collectives parce que l’homme est fondamentalement fait pour vivre en société, et que ces mœurs consolident le rapport social et permettent de définir le bien commun. Il ne peut y avoir de vie commune que là où il existe des valeurs et des pratiques partagées, valeurs et pratiques qui sont autant de normes constitutives de l’identité collective.

Le peuple ne peut pas être souverain s’il ne forme pas une entité où les gens se connaissent et se reconnaissent, ont confiance les uns dans les autres et tiennent leurs engagements réciproques.

C’est la raison pour laquelle il est illusoire de parler de « vivre ensemble » là où l’on a par avance détruit les conditions de la dépendance mutuelle et du commun. Et c’est aussi pourquoi l’immigration massive à laquelle on assiste dans les pays occidentaux suscite de telles difficultés. Que les membres d’une même société soient d’origine variée n’est pas en soi un problème. Le problème commence dès que les valeurs et les pratiques partagées se heurtent à d’autres valeurs et à d’autres pratiques, qui tentent de s’acclimater sous la forme d’une contre-société étrangère à la culture d’accueil. Le problème de l’immigration n’est en définitive ni un problème de race ni un problème d’origine. C’est un problème de mœurs qui, lorsqu’elles se révèlent inconciliables, créent de ce fait des situations potentiellement polémogènes, car intrinsèquement destructrices du commun.

Au sommaire du N°167 d'Eléments

• FigaroVox, Causeur, Le Postillon... Le renouveau de la presse d’opinion.
Entretien avec Alexandre Devecchio, Sébastien Le Fol et Daoud Boughezala

Dossier :

La réponse polythéiste face aux fondamentalismes
• Le débat Michel Onfray - Alain de Benoist
• Ces écrivains catholiques convertis au paganisme
• Pour un réenchantement païen du monde
• Claude Seignolle, le réenchanteur

Et aussi...

• De quoi le terrorisme est-il le nom ?
• L’Europe est-elle condamnée à subir le terrorisme ?
• À l’école du lynchage médiatique
• Quel sens donner à la guerre ?
• Les migrations pour les nuls
• Face au second choc migratoire, par Jean-Paul Gourévitch
• La bombe démographique africaine, par Bernard Lugan
• La décroissance : entretien avec Serge Latouche
• Chávez, une révolution inachevée
• Le centenaire de Léon Bloy
• Éric Rohmer, un héritier du Grand Siècle

6,90 €, chez votre marchand de journaux

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vendredi, 28 juillet 2017

Un entretien avec Jean-Claude Rolinat publié par EuroLibertés

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Source cliquez ici

Vous venez de publier un ouvrage consacré à la Hongrie… Pourquoi qualifiez-vous ce pays de « sentinelle de l’Europe » ?

J’avais déjà publié aux éditions Dualpha un livre intitulé Frères d’Europe qui passait en revue toutes les curiosités politiques de notre continent si divers, avec l’esquisse d’une perspective politique pragmatique, réaliste, des institutions communautaires. C’est dire l’intérêt que je porte à l’avenir de nos patries : ni fédéralisme castrateur, ni souverainisme béat. Et la Hongrie est l’une de celles-ci, un pays à la longue mémoire, injustement traité par l’histoire, une terre matrice d’un peuple courageux : on l’a vu dans ses révoltes contre l’Autriche avant qu’il ne devienne un sage partenaire de l’Empire, face à la mainmise du bolchevique Bela Kun, dans son engagement – risqué – sur le front de l’Est contre les Soviétiques, et par son héroïque résistance à l’occupation russe. Justement, l’année dernière, nous célébrions le 60e anniversaire de la révolte de Budapest qui, en 1956, fit l’admiration du monde libre.

Votre livre ne parle que de politique ?

Non, bien sûr. Si j’évoque évidemment sa longue histoire, l’évolution de son statut politique, l’Empire Austro-Hongrois, le « règne » du Régent, l’amiral Horthy, les Croix fléchées, Viktor Orban et son parti, la curieuse doctrine « pantouranienne » du Jobbik, la sanglante répression de l’héroïque soulèvement de 1956, l’aventure maléfique de Bela Kun, les problèmes des minorités magyares hors frontières – héritage du Traité de Trianon –, je n’en oublie pas moins que c’est un agréable pays à visiter, avec de magnifiques monuments, un folklore sympathique et coloré – ses « csikos », les cow-boys de la plaine –, de bonnes tables, des bières et du vin bien frais ! Budapest, comme le lac Balaton, est des cartes postales séduisantes, à visiter sans modération… À noter que notre éminent confrère Georges Feltin-Tracol a bien voulu m’honorer d’un chapitre justement consacré à la question un peu mythique du « pantouranisme » du Jobbik, sujet brièvement évoqué ci-dessus.

Cette collection « notre belle identité européenne », est-elle appelée à s’enrichir ?

Je l’espère. Il y a dans les terres de nos pères tant et tant de merveilles artistiques, touristiques, tant et tant de légendes et d’actes héroïques à vulgariser du Cap Nord à Gibraltar, de Brest à l’Oural, qu’une vie n’y suffirait pas. La France mise à part, je pense à des États comme la Grèce, le Portugal, l’Espagne ou l’Italie qui constituent le cœur de notre civilisation occidentale au sens noble du terme, sans oublier l’Allemagne ou le Royaume-Uni bien sûr. Des amis spécialistes de ces questions pourraient contribuer à les faire mieux connaître pour, au fil des ans, construire une collection qui serait une sorte « d’arsenal historico-politico-touristique », si vous me passez cette expression un peu « barbare », destiné à lutter contre la désinformation qui gangrène nos chères petites têtes, de moins en moins blondes d’ailleurs, et pas seulement elles…

La Hongrie sentinelle de l’Europe, 190 pages, 20 euros, Les bouquins de Synthèse nationale. Pour commander ce livre, cliquez ici 

*Chaque jeudi matin à 8 h 30 sur la web Radio Libertés, Jean-Claude Rolinat répond aux questions d’Arnaud Menu dans le cadre de son émission « Et pourtant elle tourne. »

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Ce samedi à Paris, en souvenir de la Perse impériale

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Roland Gaucher, le forcené de l’anti-communisme… décédé il y a dix ans.

110136156.jpgIl y a dix ans, décédait Roland Gaucher. Nous reproduisons ici l'article paru dans le n°5 de la revue Synthèse nationale (automne 2007) :

Roland Hélie

Le 26 juillet, nous avons appris avec tristesse la disparition de Roland Gaucher.

Agé de 88 ans, Roland était né en 1919 à Paris. Il était prédestiné au journalisme puisque son père exerçait déjà cette profession. En revanche, rien, dans sa jeunesse, n’indiquait qu’il deviendrait plus tard l’un des piliers du combat pour la cause nationale. Son premier engagement politique, dans les années 30, l’avait en effet conduit dans les rangs de l’extrême gauche. Trotskiste d’abord, il milita à la Fédération des étudiants révolutionnaires et aux Jeunesses socialistes ouvrières. Il se rapprocha en 1937 du courant animé par Marceau Pivert qui donnera naissance à l’éphémère Parti socialiste ouvrier et paysan. C’est à cette époque que Roland Gaucher, de son vrai nom Roland Goguillot, rencontra Marcel Déat qui, par esprit pacifiste, se rangera dans le camp de la Révolution nationale. En 1939, il fut mobilisé dans l’infanterie et il sera fait prisonnier par les Allemands à Rennes. Un an plus tard, il s’évadera lors de son transfert en Allemagne. Marcel Déat créa en 1941 le Rassemblement national populaire qui regroupait de nombreux militants issus de la SFIO et des différents partis de gauche. Roland Gaucher, qui était revenu à la vie civile, fut de ceux-ci, c’est à ce moment là qu’il rompit définitivement avec sa famille d’origine. De son voyage initiatique à la politique au sein de la gauche révolutionnaire, Roland Gaucher gardera une solide formation qui fera de lui plus tard l’un des spécialistes les plus avisés du marxisme. Il conservera aussi un formidable sens de l’agit-prop qu’il mettra, le moment venu, au service de la droite nationale.

Après la guerre, il connut des moments difficiles. Il fut condamné à cinq années de prison, mais il fut libéré en 1948. Devenu journaliste professionnel, il collabora à plusieurs revues spécialisées parmi lesquelles l’Auto-journal. Mais le sens du devoir conduisit Roland Gaucher à reprendre le combat. Il travailla un temps pour l’Institut d’histoire sociale et pour la revue Est et Ouest, deux émanations de ce que l’on appelait alors pudiquement « les réseaux Albertini » (1). Il participa à la lutte en faveur de la défense de l’Algérie française. Après l’échec de ce « baroud pour l’honneur », il devint grand reporter à l’hebdomadaire Minute où il restera plus de vingt ans. Parallèlement à son engagement journalistique, il prit une part active, au cours des année 70, à l’action sur le terrain contre le Parti communiste qui représentait un véritable danger pour notre liberté. Il participa en 1972 à la création du Front national et, en 1974, il rejoignit le Parti des forces nouvelles dont il devint l’un des principaux dirigeants. La même année, il publia une monumentale Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit et contribua, à n’en pas douter, à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.

C’est à l’occasion de la sortie de ce livre que je le rencontrai pour la première fois, lors d’une conférence organisée à La Rochelle par la section locale du PFN. Participaient aussi à cette réunion François Brigneau, autre pilier de Minute, et Henry Charbonneau, l’auteur des Mémoire de Porthos (2). C’est dire que, ce soir-là, le jeune militant que j’étais fut comblé.

Chaque mois, Roland Gaucher menait dans les pages de la revue Initiative nationale, le magazine du PFN, une véritable croisade épistolaire contre le communisme. Croisade épistolaire dûment accompagnée de campagnes militantes au cours desquelles un grand nombre de camarades toujours en activité aujourd’hui ont acquis un savoir-faire inégalé. Toujours prêt à en découdre, ce combattant infatigable n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. Il n’hésitait pas non plus à faire le coup de poing si cela s’avérait nécessaire. Ceux qui étaient présents à Paris en juin 1977 lors de la venue du bourreau soviétique Léonid Brejnev gardent en mémoire la formidable riposte organisée par les nationalistes et en grande partie suscitée par ce « vieux  forcené de l’anti-communisme » (l’essentiel des militants avait moins de 25 ans et lui en avait déjà plus de 50, c’est pour dire) que nous suivions avec entrain et confiance.

Roland était devenu la bête noire des communistes. Dans Minute, chaque semaine, il ne manquait jamais une occasion de mener la vie dure au parti de Moscou. C’est ainsi qu’il fut le premier à rappeler l’engagement volontaire, alors que la France était occupée, de Georges Marchais dans les ateliers de la firme Messerschmitt, principal constructeur d’avions de l’Allemagne nationale-socialiste. Marchais fondit en larmes lorsqu’il perdit le procès qu’il avait engagé contre Gaucher. Ce fut le début de la fin de sa carrière. Dans un hommage publié dans le quotidien Présent du 11 août dernier, le journaliste Jean Cochet nous rappelle ce que Roland lui avait alors confié : « Ces larmes de Marchais, c’est ma Légion d’honneur à moi ».

Sa devise face aux communistes était la suivante : « Ne reculez jamais ! ». Elle raisonne encore dans les tympans de ceux qui le suivirent. Dix ans plus tard, le rideau de fer s’effondrait lamentablement lui donnant ainsi, d’une certaine manière, raison.

Mais Roland Gaucher n’avait pas, c’est le moins que l’on puisse dire, un caractère facile. Quelques divergences de vue avec les autres dirigeants du PFN l’amenèrent, en 1979, à s’éloigner du Parti. Il se rapprocha alors à nouveau du Front national qui, organisé d’une main de maître par un autre militant exemplaire, Jean-Pierre Stirbois, commençait son ascension historique. Au milieu des années 80, il devint l'une des figures du FN. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il créa en même temps National hebdo dont il assura la direction, avec Lionel Payet, jusqu’en 1992.

On se souvient de ses prises de bec avec les responsables du Front (y compris avec son président) lorsqu’il n’était pas d’accord avec telle ou telle décision du Bureau politique. Cette attitude, somme toute assez rare au sein des instances dirigeantes du FN, mérite d’être rappelée.

Fort de sa popularité en tant que directeur de NH, Roland n’hésita pas à défier la direction du FN lorsqu’il estimait que cela en valait la peine. Ainsi, quinze jours après la disparition tragique de Jean-Pierre Stirbois, le 8 novembre 1988, scandalisé par l’inertie d’une partie de la dite direction, il prit l’initiative d’organiser, au Palais de la Mutualité à Paris, une grande soirée en hommage au défunt. Ce fut un immense succès, la grande salle de la Mutu était pleine à craquer. Ce soir-là Roland Gaucher avait réussi à rassembler tout ce que Paris et la Région parisienne comptaient de militants nationaux et nationalistes. Il s’était aussi attiré les foudres de certains hauts dirigeants du Front, et non les moindres, qui ne lui pardonnèrent jamais.

Toujours soucieux de voir un jour se réaliser le véritable rassemblement des forces nationales, Roland Gaucher fut aussi, ne l’oublions pas, au début des années 90, l’instigateur des Journées culturelles de National Hebdo qui rassemblèrent tout ce que le camp national comptait alors de mouvements, associations, journaux…

En 1993, arriva ce qui devait bien finir par arriver : il s'éloigna du Front, dans lequel il ne se reconnaissait plus vraiment. Il prit la direction pendant quelques années du mensuel (non conformiste) Le Crapouillot. Il se consacra simultanément à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa. Il écrivit aussi une Histoire des nationalistes en France (3).

Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (certes parfois pour la Xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui, Roland n'est plus, mais l'idéal survit.

Notes

(1) Du nom de Georges Albertini, ancien chef de cabinet de Marcel Déat, fondateur de ces organisations qui prirent une part active dans la lutte contre le communisme entre 1945 et 1989.

(2) Les Mémoire de Porthos, le roman noir de la droite française (1920-1946) par Henry Charbonneau, 2 tomes, Editions du Clan, 1969. Rééditées en 2001 par les Editions de Chiré (DPF, BP n°1, 86190 Chiré-en-Montreuil).

(3) Histoire des nationalistes en France (1943-1997) par Roland Gaucher, 2 tomes, Editions Jean Picollec 1997.

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Ecoutez l'émission de Radio Libertés

réalisée en hommage à Roland Gaucher cliquez ici

Radio Libertés cliquez ici

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Chalon-sur-Saône, samedi 5 août, le Parti de la France s'opposera à l'installation de migrants dans la ville

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Samedi 5 août à 14h, place de Beaune à Chalon-sur-Saône, le Parti de la France organise un rassemblement contre l'arrivée de migrants dans l'ancien hôtel Formule 1 de la ville. Merci à tous les patriotes qui peuvent s'y rendre de venir soutenir les militants du PdF face à l'invasion étrangère !

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jeudi, 27 juillet 2017

Sur TV Libertés, Jean-Claude Rolinat nous raconte la fin du Canada français

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Le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat :

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Le site Médias presse infos consacre un bel article aux deux volumes du livre de David Irving, Budapest, insurrection

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Médias Presse infos cliquez ici

David Irving est un écrivain britannique à succès, autour de nombreux livres d’histoire notamment consacrés à la seconde guerre mondiale dont les traductions françaises ont été publiées chez différents grands éditeurs comme Albin Michel ou Robert Laffont, avant d’être banni pour avoir trop mis en doute l’histoire officielle.

Lorsqu’il sortit pour la première fois en Angleterre, ce livre fut complimenté par la presse britannique (du Times au Guardian) et salué comme le meilleur ouvrage en langue anglaise sur l’insurrection de 1956.

Ce qui arriva en Hongrie en octobre 1956 n’était pas une révolution mais une insurrection. C’était un soulèvement. Quand il commença, il était spontané et sans chef : c’était un véritable mouvement de masses unies par une haine commune du communisme. Paradoxalement, beaucoup de rebelles détenaient une carte du Parti et la plupart étaient ouvriers ou paysans.

Cette insurrection a été écrasée par un homme, Janos Kadar. Il engagea le pays dans une période de répression sauvage qui dura plusieurs années avec une cruauté pourtant superflue car les Hongrois avaient finalement admis leur impuissance et l’impossibilité d’échapper à l’emprise de l’union soviétique qui avait envoyé ses chars.

Ce livre raconte cette insurrection et veut comprendre l’état d’esprit de ceux qui y ont participé. Pour cela, David Irving a eu accès à des milliers de pages d’interrogatoires conduits scientifiquement de réfugiés hongrois ayant participé à l’insurrection. Il en résulte que les facteurs économiques n’apparaissaient pas parmi les racines premières de la révolte. Comme ce fut le cas des différentes insurrections populaires qu’a connues la Hongrie au cours des siècles précédents, les ingrédients décisifs étaient émotionnels et politiques.

Après avoir étudié l’origine de l’insurrection hongroise de 1956 et son déroulement, David Irving s’applique aussi à décrire la réaction des pouvoirs occidentaux et des Nations Unies. Pourquoi les nations occidentales se limitèrent à de pieuses expressions de sympathie quand le soulèvement débuta ? Quel fut le rôle de Radio Free Europe et autres émetteurs similaires financés par la CIA ? Pourquoi le représentant des Etats-Unis auprès des Nations Unies retarda-t-il délibérément toute action de l’ONU ? David Irving apporte quelques réponses après avoir consulté une documentation déclassifiée des dossiers secrets du Département d’Etat américain.

Enfin, David Irving conclut en estimant que le rôle des intellectuels hongrois fut très décevant malgré leur auto-congratulation.

Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’une nation, volume 1, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 320 pages, 22 euros

Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’une nation, volume 2, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 352 pages, 22 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur ici et ici 

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23:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Présent d'aujourd'hui, un grand entretien avec Charles-Henri d'Elloy, auteur du livre "Les enfants de Maastricht". A ne pas manquer....

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Marie de Lisle a interrogé Charles-Heni d'Elloy sur son nouveau livre. Un entretien qu'il faut lire absolument. Présent est en vente chez votre marchand de journaux ou en ligne en cliquant ici

Pour commander le livre "Les Enfants de Maastricht" :

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Dans "les bonnes librairies"

22:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 26 juillet 2017

Notre ami Richard Roudier mis en garde à vue et tabassé pour avoir dénoncé les pompes à fric du Système

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Il y a quelques jours, les patriotes de la Ligue du Midi ont occupé un local servant à une association immigrationiste de Montpellier grassement financée par le Système. 

Hier, le Président de la Ligue du Midi, notre camarade et ami Richard Roudier, était convoqué par la police et mis en garde à vue. Dans la soirée il sera agressé par un argousin zéllé sans que cela semble offusquer ni la hiérarchie policière, ni les "amis locaux des droits de l'homme".

TV Libertés à dévoilé dans son journal de ce soir cette nouvelle agression caractérisée des forces de police contre la résistance nationaliste et identitaire (minute 14,46).

Synthèse nationale tient à exprimer sa totale solidarité avec Richard Roudier qui sera, le dimanche 1er octobre prochain, accueilli comme il se doit à notre XIe Journée à Rungis.

19:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre les éoliennes, la réaction amplifie : Civitas lance une campagne d'information

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Sur cette campagne cliquez ici

Lisez le livre d'Alban d'Arguin,

Eoliennes un scandale d'Etat : 

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19:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Arnaud Menu, directeur de Radio Libertés, dans Présent

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Interview d’Arnaud Menu, animateur de Radio Libertés.

Radio Libertés a soufflé sa première bougie en juin. Pourquoi le groupe TV Libertés a-t-il éprouvé le besoin de lancer une radio et comment se porte-t-elle un an après?
Plus exactement le 21 juin… Le groupe Libertés a décidé de lancer une radio pour la simple et bonne raison que nous voulons aller là où les gens sont, vivent, s’informent, se divertissent, échangent. Or la radio reste un média très utilisé par les Français, surtout le matin. Il était donc impératif pour le groupe Libertés de se doter d’une radio. Une radio généraliste dans laquelle beaucoup de gens peuvent se reconnaître. Radio Libertés se porte bien, notre audience est croissante, nous avons réussi quelques bons coups lors de Matinales spéciales. Nous sommes les seuls à avoir eu des partisans de Trump par exemple au matin de sa victoire. Nous avons également organisé des Spéciales Présidentielles et Législatives où notre analyse détonnait. Bien entendu, nous avons encore du travail à effectuer pour une amélioration pérenne.

Qu’est-ce qui vous différencie des autres radios ?
Le ton, la ligne, l’état d’esprit. Complémentaire de TV Libertés, Radio Libertés défend et promeut la culture française et la civilisation européenne. Nous donnons la parole à ceux que l’on n’entend pas sur les autres radios, tout en étant au cœur de la cité. Autant que faire se peut, nous donnons la parole à ceux qui politiquement, culturellement, économiquement agissent pour la France, ses racines y compris chrétiennes, sans oublier l’Europe. Nous refusons tout ce qui avilit l’esprit, l’âme, la promotion de la vulgarité, du bas, du laid. On pourrait dire in fine que Radio Libertés c’est la radio du Beau.

Les émissions de TV Libertés et celles de Radio Libertés ne se marchent-elles pas sur les pieds ? Avec parfois des émissions similaires sur les deux antennes.
Non, car dès le début Radio libertés a eu pour mission de redonner une seconde vie aux émissions de TV Libertés. Celles qui correspondent à un format radio ou qui nécessitent peu de travail de montage. De plus, certaines émissions comme « Têtes à Clash » sont faites pour TV Libertés et Radio Libertés. C’est un format fait pour les deux types de diffusion. Bien entendu, nous allons développer les programmes propres à Radio Libertés, mais tout en maintenant la reprise de programmes de TV libertés. Nous sommes un seul et même groupe…

Vous avez hérité de beaucoup de transfuges de Radio Courtoisie. C’est du déjà vu ou plutôt du déjà entendu. Est-ce que vous n’avez pas le sentiment de refaire parfois une Radio Courtoisie qui se voudrait plus « fun » ?
Je ne dirai pas du « déjà entendu »… Ces personnes ont été virées par l’ancienne direction de Radio Courtoisie, je le rappelle. Radio Libertés leur a permis de continuer à développer leurs thèmes, de recevoir les invités qu’ils souhaitaient tout en ne reproduisant pas le format des émissions de Radio Courtoisie. Disons que c’est le même ton mais avec un format différent. Il faut surtout préciser que d’autres émissions sont animées par des personnes qui ne sont pas issues de Radio Courtoisie. Radio libertés développe sa propre grille, son propre ton sans vouloir singer ce qui existe déjà. Nous ne refaisons donc pas une Radio Courtoisie, même en plus « fun ».

Comment écoute-t-on Radio Libertés ?
Uniquement sur Internet en vous rendant sur la page Radio Libertés du site de TV Libertés ou en téléchargeant l’application TV Libertés pour smartphone Apple ou Android. Nous émettons 24h/24 et 7j/7.

Vous avez beaucoup évolué en douze mois. Quelles sont aujourd’hui vos émissions phares ?
Bien entendu la Matinale, que j’anime avec Floriane Jeannin et Thibaud Bastide, que nous diffusons en direct du lundi au vendredi de 7 heures à 9 heures (et de 8 heures à 9 heures, pour la Matinale d’été, depuis le 10 juillet jusqu’au 28 juillet), une Matinale qui reprend les codes des Matinales des autres radios (chroniques, journaux, entretiens, reportages, etc.) mais en assurant un vrai travail de réinformation. Toutes les autres émissions que nous avons créées : Culture en libertés (le mardi à 18 heures) avec Anne Brassié, Le Journal de la réplique (le mercredi à 18 heures) animé par Bernard Antony et son équipe, Synthèse cliquez là (le jeudi à 18 heures) avec Roland Hélie et Philippe Randa, Fréquence Camisole (un vendredi sur deux à 18 heures) ou En attendant le Monde nouveau (un lundi sur deux) sont nos émissions phares. Vous pouvez les écouter, les télécharger, les partager en vous vous rendant sur le compte Soundcloud de Radio Libertés.

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L'émission Synthèse du 22 juin : Philippe Randa, Jean-Marie Le Pen, Roland Hélie et Pierre de Laubier (NDLR)

Quelle est votre programmation musicale ?
Principalement de la variété française, mais nous diffusons également du rock, de la musique classique, de l’opéra, de la musique médiévale, folklorique, celtique, de la country, du bal musette, ou des styles un peu plus pointus comme la new wave. Nous ouvrons également nos antennes aux styles que l’on n’entend pas ailleurs comme le Rock identitaire français. Oui sur Radio Libertés, vous pouvez écouter In Memoriam, FTP, Hotel Stella, Vae Victis ou Ile-de-France.

Vous avez un point commun (entre autres) avec les journalistes de «Présent », vous vous levez avant 5 h du matin pour animer votre matinale. Comment tenez-vous le coup ?
C’est peu dire que c’est sportif comme rythme de vie. En fait, chacun des animateurs de la Matinale ne la présente que trois fois par semaine. Ce qui limite en partie l’effort nécessaire. D’autant qu’aux deux heures de présentation j’ajoute pour ma part tout le travail de préparation de la Matinale du lendemain (en fait des cinq matinales), sans oublier tout ce que je dois faire pour la radio. Je me couche tôt en fait et ne sors pas la veille d’une Matinale. C’est la seule solution pour tenir. Et à force on s’habitue.

Parlez-nous de vos projets pour la rentrée.
Nous avons le projet de mettre en place une émission de libre antenne pour nos auditeurs. En effet, à l’instar de TV Libertés, le slogan de Radio Libertés c’est « Nous c’est vous ». Il est donc souhaitable de permettre ceux qui nous écoutent de pouvoir s’exprimer tout en évitant la vulgarité, la diffamation et les propos contraires à la loi. C’est le grand chantier de la rentrée.

Propos recueillis par Caroline Parmentier.

Présent cliquez ici n°8905 du 20 juillet 2017

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Les vérités romaines d’Édouard Philippe

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Franck Buleux EuroLibertés cliquez ici

S’interroger sur le président Emmanuel Macron est naturel, n’est-il pas celui qui trace le destin national pendant, au moins, une mandature quinquennale ?

Trois mois après son investiture, j’ai souhaité rappeler ce que pensait alors le député-maire du Havre, loin d’être Premier ministre, du candidat En marche ! Emmanuel Macron. En effet, il est intéressant, pour tester la cohésion (à terme) du couple représentant l’exécutif français, de rappeler l’estime portée par Édouard Philippe à l’homme, certes seulement candidat, qui le nommera Premier ministre dès la victoire de mai 2017.

Pour ce – politiquement – proche d’Alain Juppé, à la barbe bien taillée, qui pratique la boxe (sport interdit par la Fédération sportive lorsque l’on porte un système pileux développé, mais passons sur ce sujet épineux…), le candidat issu du gouvernement de Manuel Valls n’a ni le charisme de Kennedy, ni les principes moraux de Pierre Mendès-France.

Non, pour l’ancien élu normand aujourd’hui au sommet de l’exécutif bicaméral, Macron ressemble à Macron ou, plus précisément, à Naevius Sutorius Macro, dit Macron. Ce Macron (né en 21 avant J.-C. et mort en 38) était préfet – haut fonctionnaire – devenu, à la suite d’une révolution de palais, le conseiller de l’empereur Tibère. Certains historiens indiquent que ce dévoué Macron finit par étouffer Tibère.

Le successeur de Tibère, Caligula, qui avait une relation intime avec l’épouse de Macron, finit par pousser le couple au suicide. Ce qui fut fait.

Dans un article écrit pour le quotidien Libération le 19 janvier 2017, soit avant la révélation de l’affaire qui plomba la candidature du « candidat de la droite et du centre », Édouard Philippe rappelle malicieusement cette antique histoire tout en indiquant (pour se dédouaner ?) qu’il ne « souhaite cela ni à son homonyme ni à Brigitte ». Oui, Édouard Philippe appelle l’épouse du futur Président par son seul prénom, sans doute pour réduire la portée de ce personnage à son prénom. On n’oserait pas écrire machisme…

Sans souhaiter la bunkerisation du couple Macron et le suicide comme expression finale d’une volonté politique fondée sur la trahison, Édouard Philippe, doux maire de la ville normande la plus peuplée, n’hésite pas à évoquer cette méthode de fin de vie.

Rappelons que le livre Suicide, mode d’emploi écrit par Claude Guillon et Yves le Bonniec, paru en 1982 aux éditions Alain Moreau, fut interdit à la vente en France pour « incitation au suicide ». Mais Édouard Philippe, dont le jeunisme est un atout déclaré, n’était même pas encore, à cette époque, militant chez les jeunes (sic) rocardiens.

Macron, le nôtre, est, pour son futur collaborateur, l’expression du populisme patricien. Et Dieu sait que le terme « populisme » est chargé d’une énergie on ne peut plus négative. Heureusement que le sectateur Philippe ajoute que le candidat Macron plaît « à ceux qui n’aiment ni Fillon, ni Le Pen ». C’est probablement le cas de ce juppéiste, partisan du « ni, ni » (ni Fillon, ni Le Pen), mais le 19 janvier dernier, il n’en a pas encore conscience. L’homme de Sablé est encore favori. Ce choix se concrétisera après l’affaire dite Pénélope. Comme quoi l’esprit ne vient pas toujours si rapidement aux « bien nés ».

Pour l’héritier d’Antoine Rufenacht, ancien directeur de campagne de Jacques Chirac en 1995 et « tombeur » des communistes au Havre la même année, Emmanuel Macron « n’assume rien mais promet tout »… Laissons-lui la paternité de ce message et abstenons-nous de le commenter.

Pour le sage du Havre, le candidat Macron est le « promoteur des autocars », à la fois « juvénile » et « cynique ». Quel portrait !

Heureusement que notre futur Premier ministre étale sa culture de l’Antiquité romaine pour nous rappeler que la traduction latine « En marche ! » est ambulans.

Depuis, Édouard Philippe, pourfendeur du « banquier technocrate » (je le cite toujours…) est monté dedans. À grandes enjambées…

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Jeudi prochain, 27 juillet, une émission spéciale en hommage à Roland Gaucher, décédé il y a 10 ans, sur Radio Libertés

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Ecoutez Radio Libertés cliquez ici

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Aéroport de Lorraine : le tribunal condamne ceux qui veulent faire respecter la loi !

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Un communiqué du MNR :

Nous apprenons - tardivement - que le Tribunal de grande Instance de Metz a débouté (en avril) l’association francophonie avenir (AFRAV) dans l’affaire de la dénomination contestée de « Lorraine Airport » pour l'aéroport situé à proximité de Metz et Nancy. L’Afrav demande la suppression de cet anglicisme pour revenir à un nom de baptême français. La direction de l’aéroport a justifié ce choix, selon elle, « plus adapté au domaine aéronautique où l’anglais fait référence ». Les défenseurs de la francophonie y voient aussi une entorse à la loi Toubon de 1994 qui interdit aux personnes morales de droit public « l’emploi d’une marque de fabrique de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étranger ».

Le juge messin saisi n’a pas rendu de décision sur le fond mais a considéré que l’Afrav « ne pouvait ester en justice » et l’a condamnée aux dépens. C'est en 2015 qu'a eu lieu le changement de nom, pour un coût de près de 90 000 euros d'argent public. L'AFRAV compte faire appel : honneur à cette association, dont les moyens matériels sont une goutte d'eau par rapport à ceux de l'aéroport.

Avec tous les patriotes, continuons à pousser à l'emploi du français en France : la défense de notre identité passe par là.

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mardi, 25 juillet 2017

Marine Le Pen devrait arrêter sa pantomime de refondation du Parti !

f682426fee04086bb84efa58fc9b3d8e.jpgMarc Rousset

La preuve vient d’être faite que non seulement Marine Le Pen a atteint son niveau d’incompétence, mais qu’en plus elle s’accroche au pouvoir avec Florian Philippot. MLP, suite à son échec, devrait pourtant en tirer les conclusions, comme le lui recommande son père et se retirer afin d’assurer un véritable renouveau du Front National.

Tout doit changer pour que rien ne change au FN, pour que les deux seuls responsables de l’échec du FN, à savoir MLP et Philippot ne soient pas sanctionnés. Leur gigantesque opération de mystification et de renouvellement du FN, avec les réunions entre copains à huis clos et les questionnaires aux adhérents pour détourner l’attention sur leur propre responsabilité de l’échec, ne trompent personne. On sent très bien que la petite équipe de courtisans du séminaire de refondation ne veut surtout pas s’entre-déchirer et tuer la poule aux œufs d’or, par crainte de perdre ses avantages matériels et honorifiques.

La preuve vient de nous être donnée avec la pantalonnade de la dernière décision du séminaire des principaux responsables. A se tordre de rire : « Le cap de la sortie de l’euro est maintenu, mais à l’issue d’un éventuel quinquennat frontiste ». C’est à la fois du grand art et du délire comme programme politique pour des patriotes de conviction capables de trancher dans le vif. MLP qui se moquait des « magouilles », de la langue de bois de l’UMPS fait maintenant encore mieux au FNPS !

De toute façon, les militants du FN n’ont pas de soucis à se faire quant à cette décision : tant que MLP et Philippot resteront à la tête du FN, il n’y aura jamais un quinquennat frontiste. MLP n’a aucune chance ! Les Français n’en veulent pas, encore moins que Sarkozy ! La Vérité, c’est que MLP ne veut pas reconnaître ses insuffisances et Philippot son erreur de stratégie, qu’il n’a pas sa place au FN, qu’il n’aurait jamais dû être membre du FN !

Le pot aux roses et le summum du délire, c’est lorsque Philippot, pour nous rassurer, fait savoir aux médias « qu’il n’y a pas de règlements de comptes au FN, que l’ambiance était très positive et très constructive ». Tout va très bien, Madame la Marquise, passez votre chemin braves gens, il n’y a rien à voir. On ne sait même plus devant de tels propos s’il faut en rire ou en pleurer …

Les adhérents n’ont plus en fait qu’une solution : voter non pour le renouvellement du mandat de MLP à la tête du FN et si, suite à ses manœuvres internes avec Philippot, elle réussit à garder malgré tout une faible majorité, il ne restera plus alors qu’une seule issue pour les adhérents et les militants : quitter en masse le FN afin de le vider de sa substance, aller voir ailleurs ce qui se passe sous d’autres cieux.

Un nouveau parti pour succéder au FN devrait être créé afin de prendre la relève du FN. (...) Le FN s’effondrera alors de lui-même à une vitesse accélérée comme un château de cartes et MLP avec…

Que le FN change de nom ou pas ne changera rien à l’affaire qui est déjà dans le sac ! Le FN, avec MLP et Philippot, aucun avenir ! Il est d’ores et déjà possible d’affirmer que le FN aura connu, avec ces deux  chefs, le sort du MSI italien, MLP ayant joué avec son gourou, Philippot le rôle de Gianfranco Fini !

Lire sur le MSI :

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  • Marc Rousset est l’auteur de ” Adieu l’argent roi , Place aux héros européens ! Critique de la civilisation de l’argent. Apologie de l’héroïsme”, éd. Godefroy de Bouillon, Sept. 2016, 490 pages, 37 €

10:25 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 24 juillet 2017

Pierre de Villiers : l’honneur d’un général ?

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Yann Vallerie

Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, vient de donner sa démission à Emmanuel Macron, ce mercredi.

La raison ? Les coupes budgétaires drastiques prévues dans le budget des armées.

Et la droite d’exulter, et d’ériger en nouvelle icône ce général, frère de Philippe de Villiers.

Et la droite de vanter le mérite, le courage, l’honneur de celui qui a osé, pour la première fois dans la Ve République, dire non à un Président.

Que d’hypocrisie, tout de même !

Car le général Pierre de Villiers est dans l’armée depuis 1973 et il a passé sa carrière à obéir, y compris aux ordres et aux politiques les plus effroyables.

Il n’a pas démissionné lorsque la France lui a ordonné d’entrer au Kosovo avec la KFOR (Kosovo Force/Force pour le Kosovo) et que l’on bombardait le peuple serbe, provoquant la création d’un état mafieux et islamiste au cœur de l’Europe.

Il n’a pas démissionné de l’armée lorsque la France a contribué à détrôner et à assassiner Mouammar Kadhafi, provoquant la plus grande crise migratoire jamais connue à ce jour et un destin incertain pour notre civilisation.

Il n’a pas démissionné, enfin, lorsque la France a décidé, à la botte des Américains, d’envoyer des jeunes mourir en Afghanistan, en Irak, en Afrique, pour combattre un islamisme que notre pays est, par ailleurs, incapable de combattre sur son propre sol.

Qu’on arrête de se moquer du monde. Pierre de Villiers achève sa carrière débutée en 1973 par un coup médiatique lui assurant l’éternelle reconnaissance d’un peuple de droite décidément toujours aussi amnésique quant aux errances acceptées depuis trop d’années par le commandement de la grande muette.

Breizh info cliquez ici

11:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le n°23 de Livr'arbitres est consacré à Léon Bloy

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TV Libertés édition spéciale : Philippe Conrad et André Posokhow reviennent sur la défaite de la France en 1940

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Le Journal du chaos de cette semaine

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dimanche, 23 juillet 2017

La double peine du juge Lambert

RANDA PH 2.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Si l’histoire de l’Humanité est jalonnée de crimes monstrueux, elle l’est également de châtiments implacables. Le juge Jean-Michel Lambert se déconsidéra gravement en instruisant l’« Affaire Grégory » voilà plus de 30 ans, mais ne fut certes pas un criminel : l’incompétence n’est pas reconnue comme telle par le code civil, bien qu’elle soit le moteur de tant de drames…

Après trois années d’erreurs de jugement, d’inculpations hasardeuses et d’incarcérations malencontreuses, sous le poids insupportable des médias, il devint pour tous « Le petit Juge », moins en raison de sa taille que par ses jugements désastreux et fut dessaisi de l’enquête en 1987 au grand soulagement de l’Opinion publique.

Rongé tout à la fois par le remords d’avoir jeté en prison la mère de Grégory – elle le troublait sexuellement comme il le confessa plus tard – et l’écrasante responsabilité d’avoir libéré trop précipitemment le « cousin Laroche », donnant ainsi au père de l’enfant le motif et l’occasion de rendre justice lui-même, il n’eut même pas la dignité de démissionner de la fonction judiciaire (le calamiteux juge Burgaud suivra son indigne exemple après le fiasco du procès d’Outreau).

Jean-Michel Lambert « survivra » donc aux yeux de ses contemporains avec une humiliante tunique de Nessus, celle de « magistrat incompétent, désinvolte et finalement profondément déplaisant », selon les paroles de l’avocat Régis de Castelnau.

À ce jour, c’est bien la seule condamnation effective à l’encontre d’un des « coupables » du drame de la Vologne.

Lire EuroLibertés cliquez ici

10:44 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 juillet 2017

Mardi 25 juillet, Ile d'Yeu

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vendredi, 21 juillet 2017

Notre confrère et ami Médias Presse info parle du livre dAlban d'Arguin, "Eoliennes un scandale d'Etat"

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Média Presse info cliquez ici

Alban d’Arguin a fait une carrière de management et de direction générale à l’international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd’hui dans l’Ouest de la France où il travaille à la restauration d’un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs revues sous forme de chroniques.

Passionné par l’ornithologie et les questions environnementales, il a participé récemment à la création d’une association opposée à l’implantation d’un parc industriel dans sa région. Confronté à l’aberration de ce projet « d’énergie du vent », il a décidé d’instruire objectivement et exhaustivement la question de l’éolien en France et des puissants lobbies qui en font la promotion.

Ce livre a pour objet de fournir au lecteur une vision aussi complète que possible de ce problème de l’éolien dans notre pays et démasque les alibis qui étayent la thèse du bienfait du développement de l’éolien, soi-disant indispensable à la France : la lutte contre le « réchauffement » climatique, l’extinction « imminente » des énergies fossiles et la « nécessaire » sortie du nucléaire.

Alban d’Arguin passe au crible le développement de l’éolien pour en comprendre les origines, les raisons, les objectifs avoués et inavoués, et les conséquences nuisibles de sa réalisation complète si elle n’est pas stoppée. Il fournit ainsi un outil de combat pour ceux qui désirent ardemment mettre fin à ce scandale d’Etat qui mêle atteinte à la santé et corruption organisée.

Eoliennes un scandale d'Etat, Alban d’Arguin, éditions Synthèse Nationale, 178 pages, 20 euros

Le commander en ligne cliquez ici

Bulletin de commande cliquez là

20:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 juillet 2017

Nécessité d'une rupture avec Bercy

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Si j'en crois Le Figaro, pourtant relativement complaisant avec le pouvoir macronien, "avec la démission du général Pierre de Villiers, Macron fait l'unanimité contre lui dans la classe politique". Pas besoin d'appartenir à cette fameuse "classe" pour partager ce sentiment : cette chronique épargnera donc, quant à elle, à ses lecteurs et amis les considérations critiques fort bien développées par d'autres, notamment par les chroniqueurs spécialistes des questions militaires, et que l'on peut se contenter de résumer.

Oui c'est bien une erreur que de prétendre se rapprocher du fameux taux de 2 % de dépenses militaires, ce qui supposerait d'augmenter, chaque année, le budget militaire français de 2 milliards par an, et de commencer par le réduire.

Oui c'est une erreur de couper dans les dépenses régaliennes, celles qui sont destinées à protéger la France et les Français, alors que l'on ronge le frein de la nécessaire diminution des dépenses faussement sociales, démagogiques, pseudo-culturelles ou contre-éducatives.

Ah certes les syndicats de militaires, qui n'existent pas, ou ceux de la police, tenus en suspicion par la CGT, n'ont évidemment pas la force de résistance, force d'inertie ou force de désordre, des corporations organisées au sein des fonctions publiques. Entre une institution dont les dirigeants n'ont même pas le droit de s'exprimer à huis clos et celles qui monopolisent encore le droit de bloquer, à n'importe quel propos, la vie nationale, ce sont toujours ces dernières qui imposent la priorité de leurs intérêts.

Mais quelles que soient les critiques qu'appelle bien à l'évidence la dernière version des caprices de Marianne, il serait réducteur d'en ramener la cause au seul caprice d'un personnage dont la fragilité se dévoile jour après jour derrière un vernis d'arrogance.

C'est en effet une administration qui s'est emparée du pouvoir, sous prétexte d'en écarter la classe politique, et cette administration est bien celle des Finances, ce qu'on appelle Bercy. Et Bercy ne veut pas entendre parler d'une quelconque spécificité des dépenses régaliennes. Ce qu'on appelle le modèle social français c'est au moins aussi important aux yeux de ces vieux technocrates issus de l'ère rocardienne, ou formatés par elle, que la défense nationale ou la sécurité intérieure. Pour eux la cause est entendue et les partisans d'un renforcement de l'effort de défense ne sont rien d’autre que des défenseurs du complexe militaro-industriel.

La pire faute de M. Macron n'est donc pas tant d'avoir humilié l'armée à travers l'un de ses chefs les plus respectés. Cette erreur-là se révèle déjà considérable et il payera probablement bientôt les conséquences en termes d'érosion de son fragile état de grâce. Mais le faux pas dont les dommages induits risquent de se montrer les plus durables porte sur l'engagement très clair dans le sens d'un pouvoir technocratique, enfermé dans ses certitudes d'inspecteurs des Finances aux vues finalement très courtes.

N'oublions pas que cette caste se gargarise de représenter un Etat stratège mais que la seule recapitalisation d'Areva et d'EDF coûtera nettement plus cher que les économies imposées aux armées et aux moyens d'action de la police.

L'incompétence des technocrates fait autant problème que le court-termisme de leurs décisions. Il est urgent de rompre avec la toute puissance de leurs réseaux de pouvoir que la Macronie tend trop clairement à renforcer.

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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LES CAPRICES D’UN ENFANT GÂTÉ

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Emmanuel est brillant. Fils de bonne famille, un profil de premier de la classe, collectionneur de diplômes, crâne d’œuf et énarque pour tout dire, - pléonasme ? - , il a également accompli l’exploit très original d’épouser sa maitresse… d’école ! Parvenu au fait des honneurs, il compose avec elle un couple atypique mais très, disons, très « glamour », tout à la fois « chic » et décontracté, celui qui plait aux revues en papier glacé et stupéfie les capitales étrangères : Paris, décidément, sera toujours Paris !

Un horizon dégagé

Depuis son étonnante élection à la magistrature suprême, tout semblait marcher sur des roulettes pour le jeune Emmanuel : pas de troubles à l’horizon, pas d’attentat majeur, des banlieues calmes en apparence, une majorité parlementaire pléthorique, une opposition anéantie et un Front national déconsidéré. Et puis, l’horizon des vacances anesthésie toute velléité de rébellion… Merkel, Poutine, Trump, Netanyahou, tous dans la poche à grands coups de claques amicales dans le dos et de grands sourires enjôleurs, le tout maquillant les désaccords comme la balayette cache la poussière sous le tapis.

Le grain de sable

Mais voilà, un grain de sable dans les roulements à billes, un couac dans les roulements de tambours, un mensonge à assumer par rapport à une promesse faite aux armées que l’on ne semble cajoler qu’à l’occasion des revues et autres défilés, vient de ternir cette image d’Epinal du beau jeune homme à qui tout réussit.

De quoi s’agit-il ? Un « détail » comme dirait notre « grand blond », il y a 850 millions d’Euros qui disparaissent du budget de la défense ! Dans ces conditions, comment atteindre l’objectif des 2 % du PIB ? Evidemment, là ça coince et ça ne passe pas du tout pour le chef d’état-major des armées, le général cinq étoiles Pierre de Villiers, le frère de Philippe. Auditionné au Palais Bourbon, le CEMA fait part de son étonnement et de son mécontentement devant la commission de la défense de l’Assemblée Nationale. Rien de plus normal pour un cadre militaire de ce niveau. L’homme, brillant lui aussi, est dans son rôle d’avertisseur, d’éveilleur : il informe le législateur que les limites du supportable sont dépassées et que l’armée ne pourra pas remplir toutes les missions que l’exécutif lui confie : matériel souvent obsolète ou soldats trop sollicités. Alors, trop c’est trop et le général le dit franchement.

Il s’est sans doute trouvé une balance pour faire le petit rapporteur auprès du locataire du faubourg Saint-Honoré, lequel a recadré publiquement et sèchement Villiers, rappelant à tous les galonnés et étoilés de France et de Navarre qu’il est le chef ! C’est qui le chef ? « C’est moi », s’est sans doute écrié le Président Emmanuel Macron dans sa stupéfiante « remontée de bretelles » proférée la veille du 14 juillet. Lui, Il n’a pas connu les joies et servitudes du service militaire, les blagues de bidasses, l’odeur prégnante des rangers dans une chambrée, la délivrance d’une bonne douche après une marche harassante ou le staccato des armes automatiques que l’on tient dans ses mains. Contrairement à tous ses prédécesseurs qui, eux, savaient de quoi ils parlaient lorsqu’ils évoquaient la chose militaire, il n’a jamais mis les pieds dans une caserne avant d’être promu par le hasard du suffrage universel Chef de l’Etat.

Par ailleurs, Madame Parly qui a été nommée ministre des Armées, est-elle plus compétente que son marcheur de Président, pour occuper une telle fonction à l’hôtel de Brienne ? A moins que, ex de Bercy, elle ne soit là que pour couper dans le budget de la « grande muette » ?

Caprice de Prince

Il n’aime pas, Emmanuel, que son jouet se rebiffe, sinon il le casse, car il n’a jamais été habitué à ce qu’on lui résiste. Jusqu’à présent, tout lui a réussi, toutes les portes se sont ouvertes, la bonne étoile qui planait sur son berceau continue de veiller sur lui. Des hommes de l’ombre sont là pour lui. Mais, en humiliant quasiment le chef des armées, il a commis sa première gaffe d’enfant gâté. Avec lui, c’est « En marche ou crève » ! Pierre de Villiers ne s’est pas écrasé, il a courageusement démissionné : bravo mon général, la France, la France du pays réel, cette France-là est derrière vous. Les applaudissements de vos subordonnés qui vous ont accompagné jusqu’à la sortie du ministère, ont dû siffler aux oreilles du Président ! Dommage qu’il ne se soit pas trouvé un seul hiérarque militaire pour refuser de vous succéder. Il est vrai que depuis la fin dramatique de l’affaire algérienne, les soldats ne sont plus que des militaires ayant le petit doigt sur la couture du pantalon et l’œil fixé sur le tableau d’avancement.

Et demain, en « Macronie » triomphante, ne seront-ils plus que de simples fonctionnaires ?

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mercredi, 19 juillet 2017

JEUDI PROCHAIN, 20 JUILLET, LIONEL BALAND, LE SPÉCIALISTE DES DROITES POPULISTES EN EUROPE, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES

ÉMISSIONS SYNTHÈSE CLIQUEZ LÀ

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mardi, 18 juillet 2017

Espagne, 18 juillet 1936, début de la Croisade de libération nationale

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L'après-bac 2017 : le désastre du refus de la sélection.

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Un communiqué du MNR :

En juillet 2017, nous apprenons que près de 90 000 jeunes diplômés du baccalauréat sont toujours à la recherche d'une inscription en faculté à la rentrée. Le système récolte ainsi les fruits amers du « 80 % d'une classe d'âge au bac » voulu par la gauche il y a une trentaine d'années, et jamais remis en cause par la « droite ». Comme ni le gouvernement, ni les syndicats étudiants ne veulent entendre parler de sélection, on voit mal comment la situation pourrait déboucher sur une amélioration. Il fut une époque -lointaine- ou le baccalauréat ouvrait effectivement la porte de l'enseignement supérieur, à ceux qui y aspiraient légitimement.

Actuellement, avec des taux de réussite de plus de 80 %, l'accès à l'enseignement supérieur pour tous les bacheliers est une tromperie, qui a de lourdes conséquences (négatives) sur leur vie à venir. Mais ni eux ni leur parents ne semblent en avoir conscience, obnubilés qu'ils sont par un diplôme qui ne signifie plus grand-chose, et qui ne leur assurera pas un avenir professionnel.

En réalité, il faudrait rétablir la sélection à tous les niveaux, à commencer par l'entrée en sixième, et arrêter les surnotations visant à obtenir des statistiques apparemment meilleures.

Avec tous ceux qui se préoccupent de l'avenir de notre pays, travaillons à ce que nos responsables aient le courage de reconnaître que la seule voie de salut pour l'enseignement réside dans le retour à la sélection.

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lundi, 17 juillet 2017

Le Journal du chaos de cette semaine

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