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samedi, 25 juillet 2020

Quand Gérard Darmanin dialoguait avec Jean-Marie Le Pen (France 2, mars 2018)

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Journal du chaos

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Mission sur la mémoire ? Non ! Mission sur la repentance.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Emmanuel Macron vient de confier à l'historien militant Benjamin Stora une "mission sur la mémoire de la guerre d'Algérie".
 
En choisissant Stora le Président de la République dont on se souvient de la déclaration sur les "crimes contre l'humanité de la France en Algérie" a désigné celui qu'il considère, selon son coeur, comme "the right man at the right place" pour finaliser le processus de repentance déjà largement entamé par ses prédécesseurs, contrition exigée par Alger, imposée par le progressisme planétaire et réclamée chez nous par les tenants de l'humiliation nationale.
 
Rappelons que Benjamin Stora dont la dense bibliographie et les prises de positions anti-coloniales témoignent de sa proximité avec le régime d'Alger, fut, dès 1968, un militant particulièrement actif de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), mouvement lénino-trotskiste dit lambertiste  particulièrement influent dont il fut permanent et dirigea l'appareil pendant dix ans de 1974 à 1984. Rappelons également que sa thèse de doctorat était consacrée à l'immigration algérienne en France et qu'il présida le Conseil d'orientation du musée de l'immigration jusqu'en 2019.
 
L'homme de la situation donc...
 
Benjamin Stora a été officiellement missionné par Emmanuel Macron. Il aurait tout aussi bien pu l'être par le Président Algérien Abdelmadjid Tebboune. Les choses auraient été plus claires.
 
Le jour venu, la France nationale rétablira dans sa vérité ce que fut l'œuvre française en Algérie, rendra hommage à ceux qui l'ont faite et ont du, un jour, se résigner au départ (la valise ou le cercueil) du fait de la trahison d'une République félone. Notre France retrouvée célébrera alors ceux qui se sont battus et ceux qui sont tombés pour l'Algérie française.

10:41 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mers el Kébir. La rançon de la sujétion à un allié déloyal

Mers el-Kébir, la fin du cuirassé Bretagne.jpg

André Posokhow

Le 3 juillet 1940, Churchill ce « grand ami de la France » ordonnait l’agression par la puissante Navy des unités de la flotte française stationnées dans les rades  de Mers El Kébir, d’Alexandrie ou dans des ports anglais ; et ce après avoir décidé et organisé le lâchage, en pleine bataille, de ses alliés belge et français,

Des prémices qui remontent à loin.

La Grande-Bretagne a toujours été hostile à l’existence d’une marine française forte. A la conférence de  Washington de 1922, de connivence avec les USA, elle avait ravalé celle-ci à un rang subalterne au même niveau que la marine italienne. Les négociateurs français, Aristide Briand et Albert Sarraut avaient été contraints d’accepter des limitations arbitraires de parité qui se révéleront pour elles contraignantes et de subir cette humiliation.

Le traité naval bilatéral germano-britannique signé le 18 juin 1935, torpillait les dispositions du traité de Versailles. Les Britanniques, sans se  concerter avec les Français ni même les avertir, autorisaient le Troisième Reich à disposer d'une flotte de guerre au tonnage limité de façon permanente à 35% de celui de la Royal Navy.

Cet accord qui s’inscrivait dans le cadre d’une politique anglaise de sympathie et « d’appeasement » à l’égard de l’Allemagne hitlérienne contraignit les Français à augmenter le budget de la marine de guerre au détriment de celui de l’armée de terre.

Une coopération amicale durant la drôle de guerre.

Pendant neuf mois la Marine nationale et la Navy ont coopéré dans un climat de camaraderie, notamment pour escorter des convois. La Marine nationale a même participé à l’interception du Graf Spee, à la campagne de Norvège et surtout, ce qui est bien oublié, à l’évacuation de Dunkerque au cours de laquelle elle connut des pertes sensibles.

La question posée du sort de la flotte de guerre française.

Dès que la conclusion funeste de la bataille de France, sur la Somme et l’Aisne, devint certaine, la question du sort de la marine française fut posée par Churchill, anxieux d’éviter qu’elle passe aux mains de l’ennemi, même si rien ne laissait prévoir une telle issue.

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09:50 Publié dans André Posokhow, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |