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mercredi, 03 novembre 2021

Samedi 6 novembre : l'Action sociale populaire du Pasteur Blanchard fête ses 25 ans de combats

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Qui est le Pasteur Blanchard ?

Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

Le combat continue depuis 2005 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2011 à l’aide de familles  défavorisés.

Comment peut-on les aider ? 

Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

Contact :

Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

Téléphone : o6 74 03 18 15

Mél. : simonnot.fn@gmail.com

FAITE UN ACTE MILITANT EN VISITANT LE BLOG DE L’ACTION SOCIALE ET POPULAIRE, cliquez ici

Prenant conscience de sa vocation de travailleur social, le futur pasteur des pauvres découvre l’étendue de la misère, en tant qu’éducateur à l’Armée du Salut à Paris. Croyant, de culture protestante, il devient pasteur, après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère. En 2005, le Pasteur Blanchard portera sur les fonts baptismaux l’Action sociale populaire (ASP).

Il a publié plusieurs livres aux éditions Dualpha :

Martin Heidegger, philosophe incorrect, 2e éd., 2017
Aux sources du national-populisme : Maurice Barrès et Georges Sorrel, 2e éd., 2017
Mythes et races. Précis de sociologie identitaire, préface de Philippe Gautier, 2e éd., 2017
L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne, préface de Patrick Gofman, 2017
Vilfredo Pareto, génie et visionnaire, préface de Georges Feltin-Tracol, 2019

… et aux éditions de l’Atelier Fol’Fer :

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La faim justifie les moyens, préface de Philippe Randa, (suivi d’un entretien avec le Pasteur Blanchard, par Gilles Clavel, vice–président de l’ASP, 2e éd.

(Pour commander un ou plusieurs des livres de Jean-Pierre Blanchard, cliquez sur les titres).

18:18 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir, Eric Zemmour sur C-News...

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16:19 Publié dans Présidentielle 2022, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’impasse migratoire

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Yves Tréard

Ils sont afghans, syriens, irakiens ou iraniens pour la plupart d’entre eux. Arrivés clandestinement en Europe, ils convergent par dizaines de mil- liers vers les côtes françaises de la mer du Nord et de la Manche. Au péril de leur vie, sur de petites embarcations de fortune, ils tentent de rejoindre l’Angleterre. Un pays dont ils ont fait leur eldorado, mais qui ne veut pas les accueillir. Sous aucun prétexte. C’est donc à la Fran- ce de trouver la solution à cette impasse migratoire. En vain. Cela fait des années que cela dure et que Londres ne respecte pas ses engagements, y compris financiers, pour l’aider.

On peut, certes, déplorer l’attitude de la « perfide Albion ». Le Brexit n’y est toutefois pour rien. Les Britanniques n’ont jamais voulu intégrer les accords de Schengen pour mieux se protéger, précisément, de l’immigration illégale.

La responsabilité de l’Union européenne est en revanche pleine et entière. Aussi longtemps qu’elle ne saura pas contrôler ses frontières communes, qu’elle ne s’en donnera pas les moyens efficaces, ses États membres seront exposés à tous les courants d’air de la libre circulation des personnes.

En attendant, à cinq mois de la présidentielle, le pouvoir exécutif ne veut surtout pas que le débat s’enflamme. Sous la pression de militants associatifs en grève de la faim et pour éviter qu’une nouvelle « jungle » s’installe sur le littoral, il a décidé d’héberger à ses frais - aux frais du contribuable, donc - tous les clandestins qui se présenteraient sur place. Une décision on ne peut plus électoraliste pour acheter la paix. Elle ne fait pourtant que traduire l’impuissance française, notamment de ce gouvernement, face à l’immigration clandestine.

Elle signe une défaite sur le terrain et ne garantit certainement pas une victoire dans les urnes...

Source : Le Figaro 03/11/2021

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Une intéressante enquête de la Fondation Jean Jaurès

 

 

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Robert Spieler

Après une “radioscopie” publiée par l’Ifop la semaine dernière, la Fondation Jean-Jaurès se penche sur l’électorat d’Eric Zemmour. Cette étude est particulièrement significative et intéressante car un panel important a été sondé : 5 025 personnes pour l’Ifop et 16 000 électeurs potentiels pour Ipsos, alors qu’un sondage classique concerne en moyenne 1 000 à 1 500 personnes. A priori, la marge d’erreur est donc faible. A en croire cette étude, le quasi-candidat dispose d’un très solide ancrage, parvenant à rassembler plusieurs catégories de la population, réalisant des scores « relativement proches, quel que soit l’âge des électeurs, de 13 % chez les moins de trente-cinq ans à 17 % chez les plus de soixante ans », écrit la Fondation Jean-Jaurès, qui ajoute : « Il réalise des scores relativement proches également entre les principales pro- fessions, ce qui n’est pas le cas de Marine Le Pen. Il recueille aujourd’hui à peu près autant de voix chez les ouvriers (14 %) que chez les cadres et professions intellectuelles supérieures (16 %), de même qu’il obtient à peu près le même score chez les détenteurs d’un 2e cycle (14 %) que chez les électeurs n’ayant pas le bac ». Son électorat, compact, paraît particulièrement déterminé, 64 % de ses électeurs se disant sûrs de leurs choix, des chiffres proches de ceux de Jean-Luc Mélenchon (63 %) ou d’Emmanuel Macron (66 %). « 57 % de ses électeurs pensent qu’il sera qualifié pour le second tour et élu » et « 83 % d’entre eux estiment qu’il a l’étoffe d’un président de la République », un taux d’adhésion particulièrement fort.

Autre enseignement très intéressant : ses électeurs sont littéralement obsédés par l’immigration (75 %) et la délinquance (51 %) — respectivement 46 points et 24 points au-dessus de la moyenne, et ne se préoccupent guère de thématiques telles que l’environnement (12 %) ou les iné- galités sociales (7 %). 96 % pensent que l’islam est une menace pour la République (mais la République n’est-elle pas déjà en elle-même depuis plus de deux siècles une menace pour la pérennité et le rayonnement de la France ?) et 98 % qu’il faut fermer davantage la France sur le plan migratoire, observe la Fondation Jean-Jaurès, plus que l’électorat mariniste, davantage focalisé sur les problèmes sociaux, tels le chômage ou le pouvoir d’achat. Les fondations du vote Zemmour sont donc apparemment très solides, mais il accuse également de sérieuses faiblesses qui peuvent l’empêcher de l’emporter au second tour. Il y a ce que les Anglo-Saxons nomment le « Radical Right Gender Gap », soit le peu d’adhésion que suscite l’extrême droite auprès de l’électorat féminin, et stratégiquement Marine Le Pen a raison, de son point de vue, de “taper” sur la misogynie supposée d’Eric Zemmour. Les Françaises de moins de 35 ans ne sont que 8,2%àle soutenir (soit 10 points de moins que les hommes du même âge). Une réelle difficulté pour Éric Zemmour, qui continue de se dire « contre la parité ». Autre faiblesse mesurée par l’Ifop : « compte tenu de son positionnement plus libéral, Éric Zemmour ne parvient pas à capter la frange la plus populaire du lepénisme : la candidate du RN parvient à conserver dans son giron l’essentiel de ses ex-électeurs ouvriers (74 %) ou employés (71 %) ». Autre point à relever : 70 % des Français estiment qu’il n’a pas l’étoffe d’un président de la République (dix points derrière Marine Le Pen), un chiffre cependant assez peu inquiétant pour Zemmour qui devrait pouvoir aisément terrasser la plupart de ses adversaires lors des débats de l’élection présidentielle, du fait de sa faconde, de sa présence, de son culot et de son sens de la répartie. Il sait dire habilement ce que beaucoup de Français ont envie d’entendre.

Autre élément relevé par l’Ifop : y a-t-il aujourd’hui une surreprésentation du vote zemmourien dans les différents sondages publiés par la presse ces derniers jours ? En effet, « près d’un quart (23 %) de ceux qui déclarent s’intéresser beaucoup à la politique le choisissent pour candidat, contre seulement 9 % de ceux qui affirment au contraire ne pas s’intéresser à la politique », notent les auteurs. Comment évolueront les chiffres quand ceux qui se désintéressent aujourd’hui de l’élection, s’y intéresseront davantage ? Mystère...

Le dossier Zemmour de la Fondation Jean-Jaures, à voir  ICI

Source : Rivarol 03/11/2021

10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE PROCES DES ATTENTATS DE PARIS DU 13 NOVEMBRE 2015 ET LE CANDIDAT ERIC ZEMMOUR

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Caroline-Christa Bernard 

Cela fait bientôt deux mois que le procès des attentats de Paris du 13 novembre 2015 a débuté dans l’enceinte du Palais de Justice de Paris où une salle d’audience a été spécialement construite pour accueillir les parties civiles.

En tant que témoin du premier cercle de l’attentat du Bataclan, j’ai assisté à plusieurs audiences dans l’enceinte de la Cour d’Assises Spéciale entourée de murs en bois blanc avec d’élégantes sculptures de marbre ornant la salle.

J’étais en effet convoquée à la barre du Tribunal ce mois d’octobre pour me constituer partie civile ayant été confrontée à un jeune homme décédé dans le bureau de l’administration du Bataclan au RDC de l’immeuble où j’étais domiciliée depuis dix ans et à des scènes de guerre et de chaos d’une grande violence sur nos trottoirs.

J’ai ainsi découvert l’ampleur de ce procès hors norme avec la présence d’une cinquantaine d’avocats, une centaine de gendarmes et de policiers, de nombreux journalistes et psychologues. Je me suis présentée à la barre du Tribunal à l’appel du Président Monsieur Jean-Louis Peries afin de décliner mon identité et livrer brièvement mon témoignage de cette nuit tragique du 13 novembre 2015.

C’est ainsi que j’ai pu longer le box des accusés ou quatorze prévenus sont placés derrière d’épaisses vitres en verre sous la haute surveillance de policiers lourdement armés. Mon attention s’est bien évidemment attardée sur Salah Abdeslam, le seul survivant du commando terroriste. Son regard était froid et hostile, il s’était rasé les cheveux le jour de ma venue au Tribunal. J’ai longuement observé ces accusés, ce sont des hommes à l’allure banale qui ont pourtant commis l’irréparable.

Six ans après la date du 13 novembre 2015, le traumatisme reste béant et insurmontable chez de nombreux rescapés et parents de victimes. Les récits des parties civiles sont insoutenables avec la description de sévices et actes de barbarie perpétrés à l’intérieur de la salle de concerts du Bataclan. Un père a notamment indiqué au Tribunal que son fils a été battu à mort par les terroristes qui lui ont également infligé des mutilations, son fils n’ayant plus de yeux dans les orbites lors de la visite mortuaire à l’institut médico-légal de Paris quelques jours après l’attentat. D’autres parents endeuillés ne sont plus en mesure de travailler, le chiffre d’affaires de leurs propres entreprises s’est effondré depuis la perte de leurs enfants. C’est le cas de Monsieur Patrick Jardin, le père de Nathalie qui travaillait comme éclairagiste lumière avec toute l’équipe du Bataclan au RDC de mon immeuble. Ce père meurtri a été contraint de fermer son affaire de locations de voitures et il se bat pour que la responsabilité de certains dirigeants politiques soit reconnue du fait de la non-intervention des forces de l’ordre et des militaires en faction devant le théâtre du Bataclan le soir du 13 novembre 2015. Cela reste en effet un mystère, une incompréhension, un secret d’Etat. Certains affirment que le gouvernement français a sciemment laisser perdurer le massacre afin d’y retirer certains intérêts notamment pour faire passer de nouvelles lois visant à renforcer le contrôle de la population française.

Malgré la gravité de ces attaques islamiques qui constituent clairement un acte de guerre contre la France, l’omerta reste très importante au sein de la caste politique, médiatique et judiciaire. C’est une page de l’histoire de France qui s’est écrite le 13 novembre 2015, ces attentats sont l’acte le plus meurtrier depuis la fin de la seconde guerre mondiale. En une nuit, nous avons quitté l’époque de l’après-guerre pour basculer dans une ère nouvelle sur notre territoire national, celle des affrontements ethnico-religieux et du grand djihad. Et pourtant, tout le déroulé de ce procès historique reste sous contrôle, aucune parole ne devant destabiliser l’ordre établi et le politiquement correct. Ainsi, il est totalement interdit de faire clairement le lien entre ces attaques meurtrières et l’idéologie coranique, le grand absent de ce procès étant en réalité l’islam.

Le Président Monsieur Jean-Louis Peries conteste toujours le fait que des mutilations à l’arme blanche ont été commises contre des victimes du Bataclan. Les parties civiles les plus virulentes dans leurs prises de parole sont relayées à la barre en fin de séance, en toute fin de journée, lorsque la salle d’audience s’est totalement vidée. Par ailleurs, le Président n’hésite pas à critiquer certains témoignages de parents de victimes considérés selon lui comme des discours trop politiques.

Les médias du système continuent également de pourchasser toute parole qui semblerait déviante sur le thème de l’islam au cours de ce procès, le mot d’ordre étant pour les parties civiles de ne jamais ressentir aucune haine ni ressentiment malgré le traumatisme ou la perte d’un être cher.

Il est à noter que certains rescapés des attentats ont préféré témoigner de façon anonyme à la barre par crainte d’éventuelles représailles et un juge d’instruction refuse que son visage apparaisse publiquement lors du procès ou à la télévision pour éviter tout prise de risque pour son intégrité physique.

Il en ressort une grande infantilisation, les parties civiles étant encadrées par le labyrinthe complexe de la procédure pénale d’un procès d’assises où aucun dépassement d’humeur, signe de colère ou d’indignation n’est toléré. J’ignore moi-même si des poursuites judiciaires pourraient être engagées à l’encontre des parties civiles qui se montreraient trop insolentes ou irrévérencieuses devant la Cour.

De façon inattendue et concomitante à ce procès hors norme des attentats du 13 novembre 2015, nous assistons en parallèle à l’arrivée spectaculaire d’Eric Zemmour dans le champ politique, sa candidature pour l’élection présidentielle de 2022 ne faisant plus aucun doute aujourd’hui. L’exclusion d’Eric Zemmour de la chaîne C-NEWS sur ordre du CSA est à mes yeux étroitement liée au déroulé du procès historique susvisé, Eric Zemmour n’ayant pas hésité à délivrer à l’antenne une parole de vérité dès l’ouverture de ce procès au mois de septembre 2021, peu de temps avant la sanction du CSA. Il semble évident que le maintien d’Eric Zemmour sur le plateau de Christine Kelly aurait permis au polémiste de livrer une toute autre lecture du déroulé des audiences du procès des attentats et cela devant des millions de téléspectateurs. Juste avant son éviction de la chaîne de télévision, Eric Zemmour a d’ailleurs eu le temps de rappeler sur C-NEWS que Salah Abdeslam a agit en tant que véritable musulman, le tout en conformité avec les préceptes du Coran. La grande crainte du CSA, du gouvernement, des médias et des instances judiciaires était en réalité qu’Eric Zemmour fasse publiquement un contre-procès des attentats du 13 novembre 2015 en rappelant le lien évident de ces attaques avec l’islam, le tout en totale opposition avec la vision et la censure imposées par le système en place.

En réalité, le CSA a permis à Eric Zemmour de bénéficier de tout son temps libre pour lancer sa campagne présidentielle avec des meetings et des rassemblements qui sont un véritable succès dans toute la France. Dans ses discours, Eric Zemmour n’hésite pas à revenir sur le drame du Bataclan et sur les autres attentats perpétrés contre la France en rappelant que ces offensives sont toujours commises au cri de « Allah Akbar ! ». Ainsi, le système n’a pas réussi à museler Eric Zemmour qui prend sans cesse la défense des victimes et des parents endeuillés en désignant clairement l’ennemi qui est l’islam. 

Et dans l’ombre d’Eric Zemmour, se cache Mme Sarah Knafo, sa conseillère personnelle, sans qui la candidature de l’écrivain polémiste à la présidentielle n’aurait jamais été possible. Sarah Knafo est une jeune énarque dont la famille est proche de celle d’Eric Zemmour, elle a su convaincre ce dernier de se lancer dans la bataille présidentielle, persuadée du potentiel exceptionnel de cet homme visionnaire à l’intelligence hors du commun. Mais c’est également en mémoire à son petit frère Dan que Sarah Knafo s’est lancée dans ce challenge. Car un drame familial a frappé Sarah Knafo dès l’enfance, sa mère ayant été violemment agressée en Seine Saint-Denis par des racailles alors qu’elle était enceinte de son frère qui naîtra avec un lourd handicap irréversible suite à cette agression. Dan Knafo est décédé en 2018 suite à des complications liées à son handicap. Une date décisive pour Sarah Knafo farouchement déterminée à agir en mémoire de son frère défunt et à changer le destin de la France en propulsant Eric Zemmour dans l’arène politique.

Le verdict des attentats de Paris du 13 Novembre 2015 est attendu au mois de mai 2022 au moment même où se jouera le sort des futures élections présidentielles. Il semble évident que ces deux évènements exceptionnels seront étroitement liés et auront une influence décisive sur le vote du peuple français. 

En octobre 2019, Caroline-Christa Bernard intervenait lors du Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale :

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