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mardi, 11 février 2025

Les étudiants de Reconquête ! demandent l'évacuation des universités occupées...

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Des militants d’extrême-gauche sont en train de s’attaquer à plusieurs universités françaises.

À l’heure où je vous écris, plusieurs facs sont déjà bloquées, squattées, fortement dégradées.
Des amphithéâtres historiques saccagés. Des équipements de pointe réduits en miettes.

L’université Rennes 2 a dû fermer et nécessite des semaines de travaux, selon un message officiel de l’administration. 300 000 euros de dégâts… au minimum !

Des tags haineux partout, des tables et chaises renversées pour bloquer les accès, des menaces de mort, des caméras détruites et exposées fièrement comme des trophées… chaque jour les dégâts sont plus nombreux.

À Toulouse Le Mirail, l’extrême-gauche a voulu prendre possession du restaurant étudiant. Résultat : le restaurant a fermé par sécurité, et les étudiants ont été privés de repas.

D’autres universités sont attaquées par ces militants violents : Nantes, Montpellier, Brest, Poitiers…

Ces milices d’extrême-gauche armées s’attaquent aussi aux étudiants, comme on peut le voir sur plusieurs vidéos très violentes diffusées sur les réseaux sociaux.

Vous avez bien lu : ils s’attaquent aux étudiants… qui veulent étudier !
Pensez-y un instant : des jeunes Français, peut-être comme vos enfants ou vos petits-enfants, terrorisés pour avoir simplement voulu assister à leurs cours.

Des étudiants ont déjà perdu des années d’études lors de blocages de facs, ces dernières années. Avec tous les frais que ça engendre et les conséquences que vous pouvez imaginer sur le parcours de chacun.

Il est INADMISSIBLE que ça recommence cette année.

Bien sûr, les étudiants ne sont pas les seuls concernés.
Vous ne voyez pas ?

Qui paye pour tout ça ?
Qui va devoir rembourser les dégâts ?
C’est vous !

Vos impôts vont servir à réparer les dégâts d’une extrême-gauche impunie.

Dites votre ras-le-bol maintenant : signez la pétition en cliquant ici

23:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rouen, vendredi 21 février : réunion nationaliste avec Yvan Benedetti

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Renseignements et inscriptions :

normandienatio@proton.me

 

23:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les céphalopodes d’extrême gauche commettent deux nouvelles profanations

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Synthèse nationale

Samedi dernier, 8 février, des mollusques autoproclamés "antifas", "résistants" d’opérette mais authentiques abrutis, ont tagué la tombe de Robert Brasillach, dans le cimetière de Charonne (Paris XXe).

Rappelons à ces vandales mous du bulbe que le poète Louis Aragon, par ailleurs épurateur zélé à la tête du Comité national des écrivains et, selon la formule d’Edgar Morin, « bonne à tout faire » du communisme, n’hésita pas, en son temps, à défendre la mémoire de son ami Pierre Drieu la Rochelle avec ces mots : « Un suicide (et plus encore une exécution, NDLR) éteint toute dette. Je n’admets pas que les premiers venus qui ne savent rien bavent sur son cadavre ».

Rappelons également à tous les trotsko-tocards ignares, maniaques de la bombe à peinture, sans courage, ni respect, ni honneur, que Robert Brasillach, dans l’attente du poteau d’exécution, sut, lui, prendre de la hauteur pour s’adresser fraternellement à ceux de ses adversaires qui l’avaient précédé, dans la cellule où il croupissait et dans la mort :

Les noms sur les murs

D’autres sont venus par ici,
Dont les noms sur les murs moisis
Se défont déjà, et s’écaillent.
Ils ont souffert et espéré,
Et parfois l’espoir était vrai,
Parfois il dupait ces murailles.

Venus d’ici, venus d’ailleurs,
Nous n’avions pas le même cœur,
Nous a-t-on dit : faut-il le croire ?
Mais qu’importe ce que nous fûmes !
Nos visages noyés de brume
Se ressemblent dans la nuit noire.

C’est à vous, frères inconnus,
Que je pense, le soir venu,
O mes fraternels adversaires !
Hier est proche d’aujourd’hui.

Malgré nous, nous sommes unis
Par l’espoir et par la misère.

Je pense à vous, vous qui rêviez,
Je pense à vous qui souffriez,
Dont aujourd’hui j’ai pris la place.
Si demain la vie est permise,
Les noms qui sur ces murs se brisent
Nous seront-ils nos mots de passe ?

Quelques heures plus tard, durant le week-end, c’est le monument commémoratif de Maurice Barrès qui a été souillé à Vaudémont, en Meurthe-et-Moselle.

Barrès, justement : au début de Leurs figures, on trouve ce passage qui sied à merveille aux temps et aux événements présents : « (…) tout redevient un vague marais. Seulement, de temps en temps, montent à la surface des fusées de haine, des gaz malsains (…) ».

Les poissons, dit-on, pourrissent par la tête. Pour ce qui est de notre société, il semble bien qu’elle pourrisse par son extrême gauche. Une consolation cependant : marcher dedans, ça porte bonheur !

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16:35 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un bouffon à l’Élysée

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La chronique de Philippe Randa

C’était sous le quinquennat de François Hollande. Je m’entretenais du (mauvais) état de la France avec un ami qui se reconnaîtra dans ces lignes – étant (beaucoup) plus qu’un simple lecteur du Nouveau Présent – et auquel je déclarais en souriant (jaune) : « Mitterrand nous a fait regretter Giscard, Chirac nous a fait regretter Mitterrand, Sarkozy nous a fait regretter Chirac… Je n’ose pas imaginer si un Président nous fera, un jour, regretter Hollande ! »… Et mon ami de s’exclamer avec conviction : « Impossible ! avec Hollande, on a touché le fond ! »

La question méritait toutefois d’être posée et même si nous n’imaginions pas, à l’époque, qu’il soit possible de donner de la Fonction présidentielle pire image que celle de l’élu socialiste d’alors, nous n’aurions sans doute alors jamais imaginé… la Macronie !

Certes, sous le quinquennat de François Hollande (2012-2017), les réseaux sociaux existaient, mais n’étaient pas encore ce qu’ils sont aujourd’hui, soit l’alpha et l’oméga de la communication. Ni l’élu socialiste de Corrèze, ni aucun(e) autre politicien(ne), n’enchaînaient encore « tweet sur tweet » sur tout et n’importe quoi et à tout bout de champ…

On peut le déplorer, mais c’est l’époque et même si l’on peut juger qu’elle soit quelque peu triste, on est bien obligé de faire avec !

Mais tout de même ! quand le président de la République lui-même, n’hésite pas à relayer sur son propre compte Instagram des « deepfakes » où il est ridiculisé – dans une parodie du film Le dîner de cons, en influenceur coiffure ou chantant du Nekfeu – et ce, dans le but, se justifie-t-il d’« attirer l’attention sur les bénéfices que pourrait apporter l’IA dans de nombreux domaines », la veille du Sommet de l’intelligence artificielle à Paris, on peut tout de même s’interroger.

Oui, s’interroger. Sur son état mental. Sur sa simple intelligence avec laquelle on nous a tant et tant rabattu les oreilles depuis 2017. Sur les risques qu’un tel « bouffon » – comme dirait ses « potes » des banlieues désormais de non-droit – fait courir au Monde, étant tout de même dépositaire des codes nuléaires. Sur le simple respect du peuple de France dont il est, ou devrait-être en tout cas, le premier d’entre eux… aux yeux du reste du Monde.

Pour ma part, je ne me risquerais désormais plus, je le promets, à oser imaginer quel autre président puisse un jour nous faire regretter l’actuel locataire de l’Élysée. S’il m’arrive d’être inquiet, je ne suis pas non plus suicidaire.

09:55 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |