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mercredi, 12 février 2025

La commission européenne finance l’idéologie transgenre, avec nos impôts

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Michel Festivi 

Au moment même où aux États-Unis, Donald Trump pourfend l’idéologie transgenre et supprime tous les financements fédéraux aux associations wokistes chargées de cette promotion inepte, au moment où en Argentine, Javier Milei agit de même et coupe les vivres aux militants gauchistes et veut supprimer la loi qui permet aux mineurs de changer de sexe sans contrôle, la Commission européenne, elle, nage à contre-courant et dilapide nos sous, appliquant allègrement le principe « dans la gêne il n’y a pas de plaisir ! ». Il est vrai qu’elle n’a aucune légitimité populaire et qu’elle n’a de compte à rendre qu’à elle-même.

Laurence Trochu, eurodéputée du groupe Identités et Libertés, a jeté un pavé dans la mare en annonçant que près de 8 millions d’euros ont été dépensés dans des projets wokistes, transgenres et déconstructeurs. C’est ainsi 1,5 millions d’euros vont être jetés par les fenêtres pour une étude « visant à étudier l’influence des hormones sur les transgenres et leurs bienfaits psychosociaux ».  

215 000 euros sont alloués à « un projet de redéfinition de la violence de genre pour y inclure les personnes transgenres et intersexes » ! Pour 1,26 millions d’euros on pourra « comparer les parcours de trans en Europe et ceux qui immigrent pour se prostituer ». Pour boire le calice jusqu’à la lie de l’infamie, 750 000 euros sont attribués à une mission se voulant définir ce qu’est l’hétérosexualité « qui est un vecteur d’intolérance » et aussi « pour rendre les plans d’égalité encore plus inclusifs, car la considération des identités LGBTQI+ et les minorités intersectionnelles seraient insuffisantes ».

La police de la pensée terroriste bat son plein. Qu’on en juge. Ainsi 2,37 millions d’euros sont affectés pour « un fichage idéologique destiné à cartographier les mouvements anti-genre en Europe, pour combattre ses stratégies militantes » ; 185 000 euros pour « adapter les technologies de procréation médicalement assistée aux revendications trans et queer », et la même somme « pour une étude sur le militantisme LGBT en Italie, face à une société foncièrement homophobe ».

Laurence Trochu qui fait partie au Parlement européen de la commission « Femmes et égalité des genres » tout un programme, promet de tout entreprendre pour s’opposer à ces délires. En aura-t-elle les moyens ? C’est plus que douteux, du fait de la composition du Parlement européen. Il faudrait pour cela une levée de boucliers de pays comme la France et d’autres. Mais ce n’est pas Elisabeth Borne, qui entend faire de l’éducation sexuelle, un pilier des enseignements au primaire et secondaire qui ira en ce sens. Ce n’est pas le gouvernement de François Bayrou qui montera au créneau, non plus.

L’idéologie woke a encore bien des beaux jours en France et en Europe. En Argentine, le gouvernement Milei a déclaré, face à ces absurdités que « Les enfants n’ont pas la maturité cognitive pour prendre des décisions concernant des processus irréversibles », et il entend revenir sur la loi de 2012 concernant l’identité de genre, qui autorise les mineurs à se faire pratiquer des interventions chirurgicales totales ou partielles ou des traitements hormonaux complets. Par contre, en Espagne, on peut changer de sexe sur simple déclaration administrative, sans formalité aucune, de gros costauds barbus se sont déclarés femme, pour obtenir certains avantages. Les mineurs de 16 ans n’ont pas besoin d’autorisation parentale.

Donald Trump vient d’interdire les athlètes trans des sports féminins, et a supprimé les subventions en vue des traitements chimiques et chirurgicaux pour les transitions des mineurs, excluant aussi les personnes transgenres de l’armée.

En Hongrie, Victor Orban a fait voter une loi en 2020, pour interdire le changement de sexe à l’état civil des personnes se disant transgenres et intersexes.

Ces exemples démontrent que des politiques courageuses peuvent être mises en place. Encore faut-il que les peuples se donnent les dirigeants adéquats, et ne se laissent pas berner par des professionnels de l’incantation, qui une fois élus, feront exactement le contraire de ce qu’ils ont annoncé.

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Samedi 15 mars, à Paris : congrès du Bien Commun organisé par Academia christiana

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Dans le cadre du laboratoire d’idées pour penser le monde de demain, Academia Christiana organise chaque année un grand colloque sur un thème dont l’actualité est cruciale. En plus des interventions se tient un grand forum des bonnes initiatives avec des stands d’associations, d’entreprises et d’artistes.

Cette année, le thème du colloque est « Les acteur s du pouvoir et le pouvoir de l’engagement ».

Organisé par l’ACEI dans le cadre de son programme Academia Christiana, ce 4ᵉ colloque annuel se tiendra :

Date : Samedi 15 mars 2025

Lieu : 8, rue d’Athènes, 75009 Paris

Horaires : De 9h30 à 18h30

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16:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 25 février, Bordeaux : projection du film "Silenced"

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15:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré toutes les pressions de la gauche et des antifas, la projection de "Silenced" à Montpellier a bien eu lieu

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Ils ont tout essayé : indignation des "démocrates", mobilisation des "indignés", appels des loges maçonniques locales, menaces des terroristes antifas... Bref, tout a échoué.

Grâce à la détermination de la Ligue du Midi, fondée par notre Ami Richard Roudier, la Liberté a triomphé et la projection de "Silenced", le film de Tommy Robinson sur les crimes pédophiles impliquant migrants et politiques en Grande-Bretagne, s'est parfaitement déroulée, en présence d'un public nombreux et attentif, à Montpellier mardi soir. Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen (ci-dessus), qui organise à travers la France la diffusion de ce film peut être satisfait.

"Silenced" est un excellent vecteur pour faire comprendre l'hypocrisie du système politique anglais. Alors que des centaines de crimes (viols, attaques au couteau...) sont recensés chaque semaine outre Manche, le gouvernement anglais ferme les yeux et préfère mettre en prison l'héroïque résistant Tommy Robinson.

À Londres comme à Montpellier, le jour approche où ces salauds devront rendre des comptes...

S N

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Les aboiements de la bien pensance relayés par Libération

10:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Qui la regrettera ?

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Jean-Gilles Malliarakis, L'Insolent cliquez ici

La fin de mandature d'Anne Hidalgo, maire de Paris n'est prévue que pour l'An de Grâce 2026. En dehors de la foule de ses conseillers en communication rémunérés par le contribuable parisien, et la cohorte des ceux dont elle alimentait les occasions de joyeux quolibets – "et gnagnagna et gnagnagna" argumente-t-elle – personne ne la regrettera, pas même les 2% de Parisiens qui, à contrecœur sans doute, votaient pour Sa Toute Nuisance.

Dernier témoignage en date de cette exécration, le petit texte qu'on trouvera ci-dessous.

Son talentueux auteur, François Vannesson, publie un blog auquel il est vivement recommandé de s'abonner : La Lettre de la Déraison cliquez ici

JGM

"Anne Hidalgo vue par François Vannesson"

Il est des despotes qui oppriment avec panache, des tyrans qui saccagent avec style, des fossoyeurs qui ensevelissent avec faste.

‪Anne Hidalgo, elle, administre Paris comme un poulpe paraplégique tentant de tricoter un pull avec des spaghettis trop cuits.

‪Elle ne gouverne pas, elle inflige.

‪Son règne est une calamité chorégraphiée avec l’élégance d’un rhinocéros en tutu exécutant un ballet sur des tessons de bouteille.

‪Elle avance, raide comme une gargouille, persuadée d’être l’auguste visionnaire d’un futur radieux, alors qu’elle n’est que la taxidermiste obstinée d’une capitale exsangue.

‪Rien ne l’ébranle, ni le chaos, ni la réprobation, ni même l’évidence.

‪Face aux critiques, elle se raidit comme un lampadaire, brandissant son infaillibilité comme un talisman magique destiné à conjurer la réalité.

‪Ses échecs ? Des malentendus.

‪Ses erreurs ? Des avancées incomprises.

‪Son mépris du peuple ? Une marque de hauteur d’âme.

‪Son rapport à la gestion municipale oscille entre le surréalisme et l’absurde kafkaïen.

‪Elle dépense avec la frénésie d’un marquis dégénéré jouant aux dés avec l’argent du royaume.

‪Les finances de Paris s’évaporent dans des projets plus inutiles les uns que les autres, et lorsqu’il ne reste plus rien, elle ponctionne les Parisiens avec la subtilité d’un vampire muni d’une pompe hydraulique.

‪Les impôts prolifèrent comme des puces de lits dans un T2 parisien, tandis que la dette enfle avec la grâce d’un soufflé oublié dans un four détraqué.

‪Mais elle ne s’arrête pas là.

‪Son urbanisme tient du vandalisme sous acide, un manifeste de la laideur où chaque recoin de la ville est un manifeste contre le bon goût.

‪Les avenues sont mutilées comme si un dieu ivre avait joué aux mikados avec les plans d’Haussmann, les places ressemblent à des friches post-apocalyptiques, et le mobilier urbain évoque des sculptures dadaïstes réalisées par des lombrics sous LSD.

‪Et dans cette fresque grotesque, elle trône, inflexible, convaincue d’être une déesse bâtisseuse là où elle n’est que l’architecte hystérique d’un sabordage organisé.

‪Le Parisien râle ? Il est réactionnaire.

‪Il souffre ? C’est qu’il ne comprend pas la grandeur de son dessein.

‪Elle navigue sur son océan d’incompétence avec la majesté d’un canard unijambiste tentant de remonter une cascade en rollers.

‪Sa campagne présidentielle fut l’apothéose de cette hubris pathétique.

‪Elle s’effondra avec la grâce d’un parpaing jeté dans un bénitier, laissant derrière elle un parfum de ridicule si puissant qu’on aurait pu l’embouteiller.

‪Et quand elle partira enfin, Paris ne sera plus qu’un vestige, un puzzle géant dont chaque pièce aura été méthodiquement rongée par la bêtise, la vanité et la mégalomanie.

‪On racontera, à voix basse, l’histoire de cette édile qui, telle une Médée urbaine, aura tout détruit par conviction, incapable de comprendre qu’elle ne faisait que régner sur des cendres.

10:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris occupé : Reconquête réagit

D’un côté, la célèbre salle de spectacle de la Gaîté lyrique est squattée illégalement par 400 migrants protégés par la direction de l’établissement mais également par des associations pro migrants. De l’autre, le gymnase Montherlant dans le 16e arrondissement est occupé par 200 migrants qui ont débarqué un vendredi sans crier gare, interrompant les cours de sport des élèves de l’école Pascal située en face du bâtiment. D’un côté un squat en partie soutenu par la Ville de Paris, de l’autre une réquisition directement voulue par la Mairie et au centre les riverains soumis à ces décisions prises sans concertation.

Source VA Plus cliquez ici

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10:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sauvons nos bistrots !

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Le bar-tabac est une institution française qui subit, lui aussi, les affres de ce que l’on appelle la modernité. Entendez par là sa désertion par les consommateurs traditionnels. En effet, dans ces lieux de haute convivialité se côtoyaient jadis aussi bien le prolo que le bourge. Jean-Marie Gourio, avec ses  Brèves de comptoir (Bouquins), nous a laissé une trace de ces lieux à haute intensité « culturelle ». Mais voilà, autre temps, autres mœurs, le bar-tabac fait néanmoins de la résistance. Car tenir un bistrot n’est pas chose facile. Jean-Laurent Cassely a consacré une étude à ces lieux myhtiques de la ville et des champs et répond aux questions du Figaro. Instructif.

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Source : Le Figaro 12/02/2025

08:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |