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samedi, 15 décembre 2012

La manif pour tous... sauf pour ?

sans-titre.pngRéponse d'Alain Escada, Président de l'Institut Civitas, aux propos de Xavier Bongibault, président de Plus Gay sans Mariage, Laurence Tcheng, présentée comme de gauche, et Frigide Barjot qui se revendique " déjantée" :

Le 13 janvier n'appartient à personne. La rue appartient à tout le monde.

A l'évidence, l'ampleur de la mobilisation contre le projet de loi dénaturant le mariage et la parenté grandit chaque jour et s'étend à toutes les strates de la société française. Il ne fait plus aucun doute qu'une véritable marée humaine se répandra dans les rues de Paris le 13 janvier prochain pour exiger une seule chose : le retrait immédiat de ce projet de loi. Cette mobilisation populaire, il faut le répéter, n'appartient à personne et ne doit en aucune façon être transformée en troupeau anonyme, encore moins être détournée de ses objectifs.

C'est avec inquiétude que nous avons vu un comité s'autoproclamer organisateur de cette contestation populaire pour immédiatement chercher à la brider, à la formater, à l'uniformiser, à l'aseptiser.

Trois personnes prétendent ainsi s'accaparer la direction de cette foule qui gronde : Xavier Bongibault, président de Plus Gay sans Mariage, Laurence Tcheng, présentée comme de gauche, et " Frigide Barjot " qui se revendique " déjantée".

Ce triumvirat peut bien être de bonne volonté mais quelle est donc sa légitimité pour vouloir diriger la manœuvre le 13 janvier prochain ?

Si on n'est ni gay, ni de gauche, ni déjanté, comment peut-on se reconnaître en ces trois meneurs de revue ?

Ce comité cherche manifestement à confisquer la mobilisation populaire à laquelle nous assistons au profit d'un discours ambigu (normalisation de l'homosexualité, obsession de demander aux catholiques de se "camoufler" en citoyens lambdas de la République, consignes vulgaires,...).

Une imposture

L'émotion est grande chez beaucoup de participants aux manifestations du 17 novembre ou du 8 décembre, qu'ils soient catholiques ou non, qui se sentent trompés après avoir observé des situations surprenantes.

Que Mme Barjot et ses acolytes demandent d'applaudir des duos homosexuels s'embrassant, cela laisse pantois.

Que Xavier Bongibault et ses comparses fassent une fixation sur la lutte contre l'homophobie, concept inventé par le lobby homosexuel pour intimider et disqualifier les opposants à ses revendications, c'est pour le moins troublant.

Que Mme Barjot se flatte devant tous les micros d'avoir participé à toutes les " gay pride " et que, lors des conférences de presse qu'elle organise, elle pousse le souci du détail jusqu'à régulièrement porter une veste marquée du logo du " Banana Café ", bar gay de Paris, cela souligne des connivences étranges.

La liste devient trop longue des errements que ce trio veut imposer à tous. Petit florilège des propos tenus ces jours-ci par Mme Barjot :

- ceux qui viennent manifester le 13 janvier " seront obligés de défiler contre l'homophobie " ;

- ceux qui arrivent avec leur chapelet, " ce sera gentiment : dehors ! "

- si des militantes de FEMEN se déshabillent, que les mères de famille en fassent autant " pour être en situation d'entamer un dialogue équitable "

- " La Manif pour Tous (…) rappelle qu'elle comprend les revendications d'homo-éducation (…) " (communiqué de F. Barjot du 13 décembre)

- " Le 13 janvier, il y aura un char des homos… et j'appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay "

J'en arrête là tant c'est insupportable.

Non, les Français qui viendront manifester le 13 janvier ne veulent pas d'une " homo-éducation " dans les écoles de leurs enfants ! Non, ils ne veulent pas d'un " PACS+ " ! Non, ils ne viennent pas pour danser sur un char gay ! Laisser passer ces erreurs graves, sous prétexte d'éviter les controverses, c'est permettre qu'elles se transforment en une gangrène qui corrompra tous les combats futurs. Savez-vous ce qu'est le scandale ? C'est d'induire le prochain en erreur par des paroles ambiguës, équivoques. Que personne ne vienne tenter de relativiser ces paroles de Mme Barjot au nom de la " com " qui permettrait toutes les inepties. Vous pensez que les mots n'ont pas d'importance ? Ils en ont bien plus que vous ne vous l'imaginez. Les mots sont la physionomie extérieure des idées.

Le nombre n'est pas tout

Bien sûr, nous souhaitons tous que nos manifestations rassemblent de nombreux participants. Mais méfions-nous de faire du nombre un objectif essentiel et un critère prépondérant au prix de tous les sacrifices.

C'est la vérité du message porté par les manifestants qui est essentielle.

Si un défenseur de la Famille et du mariage, sous prétexte d'être efficace et de faire nombre, commence par mutiler la vérité ou l'atténuer à sa fantaisie, il ne défend plus la vérité. Il peut bien être de bonne foi mais à force d'accommoder le message à ses vues étroites et à son faible courage pour le rendre, imagine-t-il, plus acceptable à l'adversaire, il ne défend plus la vérité mais une illusion.

Personne ne demande que le 13 janvier soit exclusivement réservé aux catholiques

Que nul ne se méprenne sur les raisons de ce communiqué.

Je l'ai déjà dit et écrit souvent : il n'est pas besoin d'être catholique, chrétien, croyant, pour comprendre la nocivité de ce projet de loi. Et il faut se réjouir que des Français de tous milieux viennent jusque dans la rue crier leur indignation devant un projet gouvernemental qui souhaite défigurer l'institution du mariage et ouvrir la voie à la marchandisation de l'enfant.

Mais si personne n'imagine demander que cette manifestation soit réservée aux seuls catholiques, il serait plus absurde encore de tomber dans l'excès inverse et d'exiger d'eux de manifester dans un anonymat honteux. Ce serait absurde parce qu'aucun journaliste, malgré tous les efforts " déjantés " de Mme Barjot, n'est dupe : tous constatent bien que les catholiques constituent le gros des bataillons des manifestants contre ce projet de loi. Ce serait aussi absurde parce que, de la même façon que personne n'imaginerait arracher ni la kippa que porterait un manifestant juif sur la tête ni le voile que porterait une manifestante musulmane, il est impensable, inacceptable, inadmissible que le trio qui prétend cornaquer cette manifestation se permette de déclarer que la personne qui aurait son chapelet à la main, " ce sera gentiment : dehors ! ".

Les catholiques ne sont pas des citoyens de seconde zone

Par ailleurs, je dois dire mon exaspération d'entendre des catholiques déboussolés succomber aux recommandations tactiques douteuses de ceux qui sont avant tout très gênés à l'idée d'un réveil catholique. Comme si le message serait affaibli parce que porté en grande partie par un sursaut des catholiques. Qu'est-ce donc que ce raisonnement qui fait fi de toute espérance chrétienne alors qu'il est dit : " Par ce signe, tu vaincras ".

Quoi, les parlementaires et les maires nous écouteraient moins parce que la foule serait identifiée comme catholique pour une très large proportion ? Mensonge entretenu par ceux qui ne veulent surtout pas d'un réveil catholique. Qu'au contraire les catholiques s'affichent avec détermination, qu'il apparaisse un réveil catholique particulièrement perceptible chez la jeunesse, et le monde politique toujours volatile ne manquera pas d'estimer qu'il faut tenir compte de cet électorat redevenu militant.

Recommander aux catholiques de faire profil bas et de participer à la manifestation du 13 janvier comme s'il s'agissait d'un bal masqué, c'est se rendre complice des intégristes de la laïcité qui sont par ailleurs les rédacteurs du texte de loi que l'on prétend combattre. Réclamer la non-intervention de la religion dans le débat politique, c'est contribuer au développement d'un véritable athéisme social. Celui qui nie l'autorité de Dieu sur la société et sur les individus ne peut se prétendre catholique. On ne peut se dire catholique lorsqu'on pénètre dans une église et être simple citoyen républicain et a-confessionnel le reste du temps. On ne peut reconnaître au pied du tabernacle l'obligation de se soumettre à la volonté de Dieu, et s'y soustraire lorsqu'on est dans la vie publique. On ne peut être catholique durant la messe du dimanche matin et cacher sa foi durant la manifestation d'un dimanche après-midi !

Oui, nous manifesterons ce 13 janvier

A tous les catholiques, mais aussi à tous les Français de bon sens épris d’un discours porteur de vérité et sans concession pour le mensonge, je fixe solennellement rendez-vous le dimanche 13 janvier à partir de 13h place Pinel (métro Nationale) dans le XIIIème arrondissement.

La rue appartient à tout le monde et nous n’avons pas besoin de l’assentiment d’un comité « gay friendly » pour manifester ! Dès à présent, préparons les transports groupés pour faciliter la participation du plus grand nombre.

Comme le 18 novembre dernier, CIVITAS organisera l’encadrement logistique de ce rassemblement et y accueillera sans aucun esprit de chapelle tous ceux qui veulent le retrait de ce projet de loi. Banderoles, bannières, drapeaux et pancartes y seront les bienvenus (pour autant que les textes se rapportent directement à l’objet de la manifestation et respectent la législation française). Chacun y viendra coiffé et habillé comme il le veut. Les catholiques n’y auront pas honte de leur foi, sans que cela soit signe d’exclusion pour les autres.

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vendredi, 14 décembre 2012

"L’AVION, CE MYSTERIEUX TUEUR DE CELEBRITES", le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat

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De tous temps l’histoire nous enseigne que pour certains, le plus court chemin pour accéder au pouvoir est l’élimination physique du rival, cet « empêcheur de tourner en rond », et devenir « Vizir à la place du Vizir ». Tout ou presque, a été utilisé : l’étranglement, l’étouffement, la noyade, le poison, la dague, le poignard, la bombe, la pendaison, le pistolet etc…et….l’avion ! Il faut dire que la liste est impressionnante de ces Chefs d’Etat arrachés à l’affection des leurs par des attentats aériens avérés ou des accidents très opportuns. Mais aussi des sportifs, des chanteurs, des musiciens. L’auteur ne se contente pas d’aligner des noms, bien sûr. Pour chaque entrée, et plus particulièrement pour les crashs concernant des  hommes politiques ou des militaires, il analyse le contexte, décrit les circonstances, lève de nombreux « lièvres » jusque-là  tapis dans le terrier de l’omerta. C’est donc un passionnant voyage où se mêlent et s’entremêlent la  politique et la métapolitique, les aléas saisonniers, la faute à pas d’chance, le hasard et la nécessité. Et, pour certaines victimes, l’incontournable fatum.

Bouclez votre ceinture, bon vol et bonne lecture !

Un livre de 217 pages, 25 € franco, à commander à l’Atelier  FOL’FER, BP-20047  (28260) Anet (cliquez là) ou 22 € dans toute bonne librairie.

NDLR : Nous ne pouvons que vous conseiller ce livre surprenant qui traite un sujet particulièrement original que nous devons à notre collaborateur et amis Jean-Claude Rolinat. Rappelons qu'au mois de février dernier, Jean-Claude Rolinat avait rédigé une biographie d'Antonio de Oliveira Salazar, intitulée Salazar le regretté,  publiée par Les Bouquins de Synthèse nationale et toujours disponible cliquez ici.

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Petit rappel de notre chaotique histoire...

images.jpgLe Billet de Patrick Parment

A l’heure des crises, l’Europe est plus que jamais un sujet brûlant. Nombreux sont les Européens à se poser des questions : pourquoi cette Europe pour laquelle on ne cesse de voter, ne nous protège-t-elle pas ? Pourquoi est-elle ouverte aux grands vents du libéralisme quand de nombreux pays, dont la Chine et les USA, usent et abusent d’un protectionnisme sélectif ? Pourquoi l’Europe ne protège-t-elle pas mieux ses emplois et pourquoi ne pèse-t-elle pas autant qu’elle le devrait sur l’échiquier géopolitique mondial ? Car, ce sont bien « les autres » qui ont, semble-t-il, plus besoin de nous que nous d’eux. Mais le masochisme qui infeste nos classes dirigeantes et le milieu intellectuel « bobo » qui sert de baromètre moral, imposent aux peuples des réponses qui vont à l’encontre de leurs souhaits et de leurs intérêts. Le drame des peuples est qu’ils sont passifs par essence et ne se révoltent que par intérêt.

Il n’en reste pas moins vrai qu’il faut aussi tenir compte du poids de l’histoire. Les traités de Westphalie, en 1648, inaugurent un nouvel ordre européen qui consacre la division de l’Allemagne et la réorganisation de l’Europe centrale, dont la France tire grand profit. Puis viendra Napoléon qui redessinera à sa manière la géographie européenne.

De cette histoire, que retenir ? Que c’est la guerre – même celles très démocratiques de 1914 et 1940 – qui a fondé l’Europe et l’a contrainte à innover sans cesse. Certes, la Renaissance a initié le processus créatif, pas seulement dans les arts et lettres, mais tout autant dans les sciences et les techniques qui seront au service de la guerre.

C’est bien le conflit qui a consacré une Europe qui existait bien avant 1789. Le conflit est au cœur de l’âme européenne. Raison pour laquelle Bruxelles est aussi un champ de bataille, avec au centre du dispositif, une Allemagne unifiée. Loin de nous l’idée de nous en plaindre. Mais, là encore, l’histoire pèse de tout son poids, car toute la géopolitique des grandes nations européennes a toujours consisté à empêcher l’unification des Allemands par craindre d’une guerre.

Ce n’est donc pas un hasard si l’Allemagne d’aujourd’hui, véritable « heartland » européen, est devenue l’arbitre d’un continent constitué d’Etats aux statuts disparates. La guerre s’est transposée sur le plan économique et cette bataille-là, à l’heure de la mondialisation, nécessite pour la gagner une unité capable de dépasser les égoïsmes nationaux. De convaincre les uns et les autres qu’on a tout à gagner d’un protectionnisme sélectif qui protège nos emplois et plus encore notre génie créatif au sein des centres d’innovation et de recherches. Car nous sommes loin de manquer d’atouts. Et regarder à l’Est, en devenant un partenaire de la Russie dont l’imperium est inscrit dans les gènes. Sauf que tout cela nécessite une vraie mutation génétique des politiques qui nous dirigent. Et là, c’est pas gagné ! Dans cette attente, l’Europe continuera de se nourrir de ses conflits internes. Pour le plus grand bonheur du capitalisme libéral.

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DORIOT et le PPF, un livre à lire :

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Auteur : Bernard-Henri Lejeune

Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale

Année : 2012

170 pages, 18,00 €

 

Edité une première fois en juillet 1977, cet « historisme » fut longtemps le seul livre de référence sur Jacques Doriot et sur le Parti populaire français. L’ensemble des documents qui le compose, rassemblés par Bernard-Henri Lejeune, constitue une véritable mine de renseignements à la fois sur l’homme et sur le parti. La lecture de ces textes, écrits par les intellectuels les plus en vue de l’époque, tels Pierre Drieu La Rochelle, Pierre Dominique, Robert Brasillach, François Mauriac, Bertrand de Jouvenel, Roland Gaucher, Maurice Duverger et bien d’autres, ou retrouvés dans les archives d’anciens responsables du PPF, permettra de se faire une opinion dégagée des poncifs de l’historiquement correct sur cette grande aventure qui marqua l’histoire des mouvements nationalistes français dans les années 30.

 

L’auteur :

 

Bernard-Henri Lejeune, dès l’âge de 16 ans, fut militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français. Toute sa vie il resta fidèle à son engagement et il fit son possible pour défendre, envers et contre tous, la mémoire de Jacques Doriot. Il anima dans les années 60 et 70 le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste très active en Picardie.

 

Commandez Jacques Doriot et le PPF :

 

Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)

Nombreuses illustrations, 1re partie : avant la défaite de 1940 (parution de la seconde partie au printemps 2013)

 

Bulletin de commande

 

Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

11:06 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 13 décembre 2012

Le Mans : un clandestin agresseur de trois jeunes filles est défendu par l'officine parasitaire SOS-racisme !

Version SOS-racisme (cliquez ici) : l’expulsion de la honte : Wissem, lycéen, scolarisé au lycée Sud du Mans

« Ça fait mal mec, il était dans ma classe depuis l’année dernière ». « Faites tout pour ramener Wissem, ramenez-le, je vous en supplie ! C’est un gars tellement adorable. » Paroles d’amis de Wissem ayant alerté SOS-Racisme.

C’est avec effroi et stupéfaction que l’association SOS-Racisme a été alertée par des camarades de classe de Wissem de l’arrestation et de l’expulsion de ce dernier vers la Tunisie dans la journée du mercredi 12 décembre.

Wissem REKIK, lycéen tunisien, scolarisé au lycée Sud du Mans, poursuivait une scolarité exemplaire en 2ème année de bac professionnel « plastiques et composites » et donnait toute satisfaction à ses professeurs et à sa famille vivant au Mans, notamment sa tante.

Maintenant, la version du Maine libre (cliquez là) : Le Mans. Menacé d’expulsion, Wissem avait été condamné pour violences

Nous relations dans nos éditions de jeudi et vendredi la mobilisation organisée pour soutenir Wissem Rakik (cliquez ici), jeune Tunisien de 19 ans, menacé d’expulsion. Arrivé sur le territoire français le 11 juillet 2011, il bénéficiait alors d’un visa court séjour de trente jours, et se trouve actuellement sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.

Jeudi, une opération de soutien s’est mise en place : des enseignants et des élèves du Lycée Sud, où il est scolarisé en première plasturgie, se sont rassemblés devant l’établissement, puis des professeurs accompagnés de Bernard Lebrun, le porte-parole de Réseau éducation sans frontière, ont rencontré la secrétaire générale de la préfecture afin d’obtenir que le jeune homme obtienne un titre de séjour pour terminer ses études en France.

Une mobilisation décidée un jour avant que Wissem Rekik ne se rende à une convocation au commissariat, puis se déplace à Paris au consulat de Tunisie, où l’on devait attester de sa nationalité tunisienne.

Si le jeune homme a déclaré avoir perdu son passeport, les autorités françaises ont pu fournir une photocopie de celui-ci. Dans l’attente de la réponse du consulat, la procédure se poursuit, avant qu’une décision ne soit prise.

Seulement, pour lui, un point pourrait ne pas plaider en sa faveur : le jeune homme a été récemment condamné par le tribunal correctionnel du Mans à trois mois de prison avec sursis, pour violence en réunion. Le 12 février dernier, dans la rue Gambetta, au Mans, il a violemment agressé trois jeunes filles avec d’autres jeunes gens.

En attendant d’être fixé sur son sort, il est revenu au Mans, assigné à résidence.

Source 3e voie cliquez ici

sos racisme 2.jpgNDLR : En fait, une fois de plus SOS-racisme nous montre son vrai visage : celui d'une officine qui n'hésite pas à se mettre au service de la racaille. Une seule solution pour en finir avec cette escroquerie : la dissolution de SOS racisme ! Soutenez notre campagne cliquez là.

23:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SOS-Racisme : CA SUFFIT !

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Soutenez notre campagne pour demander la dissolution de l'officine "SOS-racisme" !

Adressez-nous vos coordonnées (nom, prénom, adresse, courriel) en indiquant :

"Je soutiens votre campagne

pour la dissolution de SOS-racisme"

à l'adresse suivante :

synthesenationale@club-internet.fr

Reproduisez et diffusez le tract : cliquez ici

23:19 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roger Holeindre dédicacera ses livres samedi et dimanche matin à St-Nicolas-du-Chardonnet...

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Roger HOLEINDRE signera ses livres… dont le dernier sur l’Indochine (C’était des hommes, Editions Héligoland, 2012), le samedi 15 décembre 2012 de 17 h 00 à 20 h 30 et le dimanche 16 décembre de 9 h 00 à 14 h 00 :

Salle de catéchisme

Eglise Saint-Nicolas-du-Chardonnet

23, rue des Bernardins 75005 PARIS

Métro Maubert-Mutualité

22:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré la crise, la rémunération des patrons du CAC 40 progesse encore...

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Malgré la crise, la rémunération des grands patrons du CAC 40, qui s'était déjà envolée en 2010, a continué à progresser légèrement en 2011, se maintenant à un niveau élevé par rapport aux autres pays européens, a indiqué mardi le cabinet Proxinvest.

Cette rémunération --qui regroupe notamment le salaire fixe, les bonus, les actions gratuites, les options et les indemnités de départ versés au dirigeant-- a atteint en moyenne 4,2 millions d'euros l'année dernière contre 4 millions en 2010.

"L'indice CAC 40 a pourtant sur la même période perdu 17% de sa valeur", relève Loïc Dessaint, directeur associé de Proxinvest, spécialisée dans la gouvernance des entreprises.

La France se situe à la sixième place en Europe derrière le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Espagne, la Suisse et l'Italie.

La rémunération moyenne d'un patron du CAC 40 reste toutefois loin de son niveau d'avant crise: la moyenne observée était de 5,7 millions en 2006.

Quatorze dirigeants français ont dépassé en 2011 un plafond établi par Proxinvest de 240 Smic annuel soit actuellement 4,6 millions d'euros.

Maurice Levy (Publicis) a été l'année dernière le mieux payé (19,6 millions d'euros) grâce notamment au versement anticipé de plusieurs bonus, suivi par Carlos Ghosn (Renault, 13,3 millions d'euros), Bernard Charlès (Dassault Systèmes, 10,9 millions), le patron de LVMH Bernard Arnault (10,8 millions d'euros) et Jean-Paul Agon (L'Oréal, 7,7 millions).

Ces rémunérations ne prennent notamment pas en compte les régimes de retraite supplémentaire dont bénéficient certains grands patrons.

Renault a tenu à apporter une précision sur la rémunération de M. Ghosn.

"La rémunération de M. Ghosn, au titre de PDG de Renault, est de 2,8 millions d'euros. Mais le reste vient de Nissan qui, Renault tient à le rappeler, n'appartient pas au CAC 40", indique le constructeur.

Selon Proxinvest, M. Ghosn a touché --en tant que PDG de Nissan-- 8,93 millions d'euros.

De manière générale, "la politique de rémunération des grandes sociétés françaises manque de transparence et est beaucoup trop court-termiste. Il faut absolument étudier la performance d'un dirigeant sur au moins trois années pleines", note le cabinet.

Dans le détail, pour la première fois en 2011 le salaire fixe moyen des dirigeants du CAC 40 a franchi le million d'euros.

Les bonus annuels ont pour leur part baissé de 8,6%, mais ils se maintiennent à un niveau élevé (124% du salaire fixe en moyenne).

Tous les grands patrons français ne sont pas logés à la même enseigne.

En moyenne un dirigeant du SBF 80 (peloton des 80 entreprises qui suit les 40 plus grandes capitalisations boursières) est deux fois moins rémunéré qu'un dirigeant du CAC 40 avec 2,06 millions d'euros (contre 2,1 en 2010).

Source cliquez ici via Terre et peuple Poitiers cliquez là

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En Syrie, les terroristes à la solde de l'impérialisme font décapiter leurs prisonniers par des enfants...

ATTENTION : SCENE SANGLANTE 

Source Le Journal du Siècle cliquez là

Une vidéo diffusée hier sur Youtube montre un groupe de rebelles syriens qui oblige un enfant à décapiter un officier capturé dans la ville de Homs.

Dans cette vidéo, on y voit plusieurs rebelles syriens encourager un enfant à couper la tête d’un soldat avec une machette, tandis que l’officier de l’armée est ligoté, gisant au sol, la tête contre un parpaing.

On peut également voir le cadavre d’un autre corps sans tête, sans savoir si celui-ci fût également tué par cet enfant.

Ce n’est pas la première fois que les rebelles syriens sont impliqués ou accusés de crimes. Dernièrement, l’organisation Human Rights Watch signalait dans son dernier rapport que des adolescents syriens sont envoyés au combat par l’Armée syrienne libre. Des recrutements qui, s’ils étaient avérés, constituent un crime de guerre. Il y a quelques mois, à Alep, des postiers étaient jetés depuis le toit d’une poste. Enfin, il y a plusieurs semaines, la BBC censura un reportage où les rebelles de l’ASL utilisent des prisonniers pour commettre des attentats suicides à leur insu.

Ce n’est pas la première fois que les rebelles syriens sont impliqués ou accusés de crimes. Dernièrement, l’organisation Human Rights Watch signalait dans son dernier rapport que des adolescents syriens sont envoyés au combat par l'Armée syrienne libre (cliquez ici). Des recrutements qui, s’ils étaient avérés, constituent un crime de guerre.

Il y a quelques mois, à Alep, des postiers étaient jetés depuis le toit d'une poste (cliquez là).

Enfin, il y a plusieurs semaines, la BBC censura un reportage où les rebelles de l'ASL utilisent des prisonniers pour commettre des attentas suicides à leur insu (cliquez ici).

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Samedi midi, sur Radio Courtoisie...

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mercredi, 12 décembre 2012

Le racket des automobilistes : la Valls des contraventions !

2554226279.jpgYves Darchicourt

Comme illustration au dernier éditorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol, il circule actuellement sur la Toile un petit florilège des "astuces" policières et gendarmesques pour faire du chiffre en matière de répression aux infractions routières et notamment aux "excès" de vitesse le plus tatillons.

On peut y voir les minis radars planqués sur des véhicules banalisés au niveau d'une portière faussement cabossée, à côté d'un clignotant ou juste au dessus de la plaque minéralogique, ainsi que des dispositifs de guet-apens comme un "viseur" installé sous la bâche d'une remorque à bestiaux ou un faux matériel de signalisation de chantier dissimulant un radar... du véritable Cruchot de St-Tropez, de la bourvilerie style tacatac'tactique du gendarme, l'humour en moins !

2812160005.jpgIl est vrai que la prévention ne "paie" pas, la répression si, et doublement. D'abord et surtout en engrangeant de l'argent pour l'Etat, ensuite en s'intégrant dans la politique de baisse promise de la délinquance : les chiffres globaux des statistiques sur les "affaires résolues" ou les "délinquants interpelés" pouvant ainsi être "gonflés" en mêlant braqueurs, grilleurs de feu rouge, pédophiles et distraits du compteur. Ne jetons pas la pierre aux fonctionnaires chargés de cette basse besogne, mis à part les carrièristes et les fayots, nombre de policiers gendarmes ont honte de faire ainsi oeuvre de prévaricateurs fiscaux alors qu'ils seraient plus utiles dans les "quartiers" où on n'ose plus les envoyer traquer le criminel... ni les délinquants routiers d'ailleurs !

La politique de sécurité routière n'est plus qu'un supplétif de la sécurité fiscale du gouvernement. En ce domaine comme dans tant d'autres on marche vraiment sur la tête...

20:02 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'arnaque SOS racisme a assez duré !

sos racisme 2.jpg

 

L’ARNAQUE « SOS RACISME »

 

A ASSEZ DURE !

 

■ Depuis plus de 25 ans, « SOS Racisme », officine grassement financée par les subventions publiques, joue sur la crédulité et les bons sentiments d’une jeunesse anesthésiée par les médias pour imposer la destruction de nos identités régionales, nationale et européenne.

 

■ Depuis plus de 25 ans, en pratiquant la culpabilisation systématique de notre peuple, « SOS Racisme » s’est aussi  imposée comme l’un des principaux vecteurs de l’islamisation de notre pays.

 

■ Or, aujourd’hui, les scandales éclatent au grand jour. En réalité, depuis plus de 25 ans, « SOS Racisme » s’avère n’être qu’une pompe à fric qui ne sert qu’à financer une poignée de politicards, issus de la mouvance gauchiste, et recasés au Parti socialiste, au premier rang desquels on retrouve Harlem Désir.

 

Cette arnaque morale

et financière doit cesser !

 

Toute la classe politique est mêlée de près ou de loin à cette escroquerie. Que ce soit par dogmatisme idéologique ou tout simplement par trouille de se voir qualifier des pires intentions, la gauche comme la droite ont largement contribué au financement de « SOS Racisme ».

 

EXIGEONS LA DISSOLUTION

DE « SOS RACISME » !

 

Il faut en finir avec ces associations parasitaires qui, au nom de vertueuses idées, assassinent notre identité et se remplissent les poches sur le dos des contribuables français.

 

Cette sinistre mascarade doit cesser. La revue Synthèse nationale, soutenue par la Nouvelle Droite Populaire, au nom du Peuple français, exige la dissolution immédiate de « SOS Racisme » et la traduction devant les tribunaux de ces responsables peu scrupuleux. Il s’agit là d’une œuvre de salubrité publique…

 

Signez la pétition pour demander la dissolution de SOS racisme cliquez ici

 

Diffusez le tract suivant cliquez ici

19:52 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Clap d’exil fiscal...

1188351298.jpgLa chronique de Philippe Randa

La France, ses vins, ses fromages, ses fraudeurs fiscaux et ses exilés célèbres… La semaine dernière, c’était le ministre à la rose Jérôme Cahuzac qui devait répondre d’un éventuel compte en banque suisse… Ces derniers jours, c’est le comédien Gérard Depardieu qui est cloué au pilori médiatique pour s’être installé à moins d’un kilomètre de la frontière, mais outre-Quiévrain où l’Impôt sur la fortune est inconnu.

L’acteur a rejoint les 27 % de Français déjà inscrits à Estaimpuis, « entité belge la plus française de Belgique », selon les dires de son bourgmestre Daniel Senesael qui vante pour l’occasion « (l’)entité, (le) caractère rural, champêtre et bucolique » de l’endroit. Et sa « motivation fiscale aussi », reconnaît-il.(1) On s’en doute.

Dans la classe politique française, c’est, depuis la nouvelle connue, à qui vitupèrera le plus fort contre ce « mauvais contribuable » : de Marine Le Pen, présidente du Front national à Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière, en passant par Jean-François Copé, président de l’UMP, Bertrand Delanoë, maire PS de Paris ou Chantal Jouanno, vice-présidente de l’UDI… tous mettent la star du 7e Art plus bas que terre.

Il n’en tient pourtant qu’aux partisans de la construction européenne d’uniformiser la fiscalité de tous les pays membres de l’Union européenne. Cela réglerait une fois pour toute le problème… Trop simple, sans doute !

Du coup, Yann Galut, député socialiste du Cher, jugeant que l’occasion est bien belle pour se faire connaître au-delà de sa circonscription, va proposer dans les prochains jours, à la représentation nationale : « (d’) adopter une loi, à l’image de ce qui se fait pour les ressortissants américains, soumettant à l’impôt les exilés fiscaux. »

Pourquoi pas !

Mais n’écoutant que son indignation de « patriote économique », le député à la rose propose dans la foulée de déchoir l’acteur de sa nationalité française, si nécessaire.

Un député qui, très probablement, s’étouffe d’indignation de « patriote droit-de-l’hommiste » quand il en entend d’autres préconiser de faire de même aux délinquants français d’origine étrangère.

Mettre dans le même sac d’opprobre un « salaud de riche » comme Gérard Depardieu avec une « chance pour la France », quelque peu négligeante des lois de la République, n’est évidemment pas concevable.

Comme quoi le patriotisme peut se concevoir à deux vitesses.

Note

(1) propos rapportés par le site RTL.be.

11:39 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly invité du Libre journal du Parti de la France


09:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 décembre 2012

Triste Noël pour 25 millions d’Européens…

Photo 009.jpgPieter Kerstens

…ces travailleurs sans emploi, souvent licenciés pour cause de « délocalisation », ces victimes du mondialisme, réel prédateur de nos secteurs économiques, ce mondialisme auquel les marchands du temple vouent un réel culte  fanatique.

Souvenons-nous de la fermeture de l’usine General Motors d’Anvers (OPEL) qui ferma définitivement ses portes le 23 décembre 2010. Cette usine, la plus ancienne de G.M. en Europe, occupait plus de 12.000 ouvriers il y a 25 ans et durant son activité (l’une des plus productives du groupe) avait construit plus de 13 millions de voitures. Après Renault à Vilvorde en 1997, ce fut un second coup dur pour le secteur automobile belge…avant l’annonce de l’arrêt de l’usine Ford à Genk il y a quelques semaines. Mais ce n’est pas terminé, car l’industrie automobile et l’économie de notre continent vont être confrontées aux dures réalités de la concurrence  en 2013, du fait de la surcapacité de production automobiles dans 40 usines sur la centaine installée en Europe.

Plus de 60.000 entreprises françaises auront mis la clef sous le paillasson en 2012 et ce sont des centaines de milliers de travailleurs qui auront grossi les rangs d’un chômage structurel qui, loin de se dégonfler, ne fait que croître malgré les déclarations lénifiantes des gouvernants.

Partout en Europe les difficultés s’accroissent pour l’industrie (et l’activité économique en général) mais personne ne veut stopper l’immigration sauvage qui, au grand bonheur des marchands de soupe, exerce un dumping sur le coût de la main d’œuvre et éjecte nos travailleurs du marché de l’emploi !

L’OMC, l’UE et les diverses organisations internationales instrumentalisées par les mondialistes ont ouvert nos frontières et livré nos économies européennes à la concurrence débridée des pays « émergents », depuis 40 ans. C’est totalement suicidaire.

Les eurocrates, de Sicco MANSHOLT à Viviane REDING, en passant par Raymond BARRE, Henri SIMONET, Claude CHEYSSON, Etienne DAVIGNON, Edgard PISANI, Jacques DELORS, Abel MATUTES, Karel VAN MIERT,  José Manuel BARROSO ou encore  Pascal LAMY (directeur de l’OMC), sont les véritables responsables de ce désastre économique et du cataclysme social qui, décennies après décennies, engendrent  des coûts sociaux  gigantesques, dont les « capitaines d’industries » se lavent les mains, mais qui sont effectivement supportés par les contribuables nationaux.

Face à l’invasion de pneus chinois, les USA ont adopté des mesures de protection du secteur concerné, par crainte de voir encore des dizaines de milliers d’emplois supprimés.

Pourquoi ne pas défendre nos fabricants chez nous ?   Pourquoi ne pas rapatrier nos industries ?

Est-il impératif que Jean Vacherot règle son réveille-matin (fabriqué au Japon) à 6h ? Qu’il se rase avec des lames (made in Israël) pendant que son café coule dans une machine (produite aux Philippines) ? Qu’il s’habille avec une chemise (made in Bengladesh), un jean (fabriqué en Indonésie) et porte des chaussures (fabriquées au Viêt-Nam) ? Après avoir préparé son jus d’oranges (cultivées en Afrique du Sud), cuit ses œufs dans une poêle (made in India), croqué des fraises (importation Thaïlandaise) et préparé une banane (du Costa Rica) pour le « petit creux » de 11h, il prend sa calculette (fabriquée au Mexique) pour établir son budget de Noël. En consultant sa montre (produite à Taïwan), il ouvre sa radio (made in China) et démarre sa petite auto (fabriquée à Tanger) pour se rendre chez un nouvel employeur, entre deux fermetures d’usine…A la fin d’une triste journée, il se verse un verre de vin (produit au Chili) pour accompagner sa viande (élevée en Nouvelle-Zélande) et ses pommes de terre (cultivées en Turquie). Ayant chaussé ses pantoufles (fabriquées au Brésil) il allume sa télé (L.G ou SAMSUNG) et se demande bien  pourquoi  il n’arrive pas à trouver un boulot près de chez lui …

Exigeons de connaître l’origine de nos achats. Partout et toujours, préférons les fabrications locales et nationales ou, à défaut, achetons des produits européens, fabriqués par des européens, pour des européens !

14:22 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

BUDGET EUROPEEN OU LA RUINE ANNONCEE...

M de Poncins.jpgMichel de Poncins

Les  chamailleries sur le projet de budget européen remplissent abondamment les journaux. Chacun des pays veut tirer la couverture à lui tout en accusant  bruyamment les autres de faire de même. La Grande-Bretagne et la France se signalent  particulièrement à cet égard. La première réclame le maintien du chèque obtenu de haute lutte il y a longtemps par la baronne Thatcher. La deuxième veut la poursuite de la politique agricole commune ou PAC, laquelle est un instrument précieux pour les gouvernements successifs puisqu'elle asservit le monde rural à leur bon plaisir.  

Le budget qu'il est si difficile de mettre sur pied a une particularité : c'est un budget pluriannuel allant de 2014 à 2020. On comprend que  la mafia des Eurocrates qui est au centre du projet y trouve son intérêt. Refusant les économies absolument nécessaires, tout en les saluant distraitement, ils rêvent d'une autorisation de dépenser sur plusieurs années. De ce fait les eurosceptiques en Grande-Bretagne deviennent de plus en plus nombreux. David Cameron osera-t-il  sauter le pas et sortir de la CEE ? Cela serait un coup de tonnerre et un bienfait pour tous les Européens étant donné que l'édifice de la CEE est carrément nocif comme nous allons le voir.  

Les faits sont brutaux. L'Europe est devenue de plus en plus une machine à fabriquer du cash au profit des Eurocrates. La fortune des Commissaires européens est célèbre dans le monde entier. Un seul exemple : quand un Commissaire quitte ses fonctions il touche son traitement pendant trois ans pour lui donner le temps de se recaser. Ils sont « combinards » et se recasent tous très vite et le masquent de diverses façons. Les chômeurs qui le sont à cause de l'Europe et ne reçoivent rien  pour se recaser  apprécieront. Le poste de député européen est un « fromage » dont les multiples saveurs se lisent dans tous les journaux. La richesse des dirigeants s'étend selon l'usage jusqu'aux échelons les plus bas. 

Cette richesse des eurocrates est un des moteurs de l'accroissement de la dictature européenne ; c'est un principe absolu que plus les unités publiques s'agrandissent, plus la richesse des acteurs s'accroît et moins il existe de contrôles !

LA DICTATURE

Sur le plan économique, la CEE court vers la ruine qui s'inscrit dans les chiffres officiellement publiés. Le chômage atteint des niveaux insupportables dans la plupart des pays. La croissance est désespérément plate. Par ondes successives cette situation délétère se propage dans le monde entier et jusqu'en Chine.

La raison principale de ces faits est que la  CEE est   une dictature à 27 têtes.  Les 27 Commissaires, une fois nommés, exercent leur pouvoir pratiquement sans contrôle. Par ailleurs, le  parlement, théoriquement chargé d'un certain contrôle, est lui-même élu d'une façon extrêmement douteuse. Les votes ont lieu à mains levées, leur convergence étant laissée au « jugement » du président de séance ! Les gouvernements exercent en principe une surveillance, par l'intermédiaire de fonctionnaires non élus, mais ce n'est qu'une gentille parodie de contrôle.

POURQUOI ET COMMENT LA RUINE 

Au premier chef des explications, se trouve la gigantesque ponction fiscale nécessaire pour alimenter la fabuleuse machinerie. Une autre cause de ruine est le flot ininterrompu de directives et autres réglementations déversées par la CEE ; un Commissaire  ne saurait exister sans créer des directives ; la dictature européenne s'occupe de tous les détails de la vie d'un immense continent : cela va de la pêche au thon rouge, aux ascenseurs, et jusqu'au choix des ampoules.  Par cette vision socialiste de la politique, elle met le désordre dans une foule d'industries et de consommations. 

La  Cour de justice aggrave l'effet du déluge : de son fait personne n'est vraiment sûr du droit et cette incertitude est meurtrière pour la richesse générale.  La fraude généralisée s'ajoute : la très coûteuse Cour des comptes européenne refuse depuis plusieurs exercices de certifier les comptes de la CEE ; les dictateurs vivent sur des comptes pourris.                      

L’égalitarisme mène également à la ruine. Pour mettre soi-disant à niveau les nouveaux membres,  de l'argent est volé aux anciens pour investir chez ces nouveaux et il y a beaucoup de fuites. A cette fausse idéologie peuvent se rattacher des idées folles comme la convergence fiscale franco-allemande ; messieurs les Eurocrates, il faut supprimer les impôts au lieu de chercher des convergences impossibles.

Actuellement la seule prétendue riposte imaginée à la crise est de demander plus de gouvernance européenne, c'est-à-dire d'accroissement de la dictature ! Pour leur défense, les Eurocrates  prétendent que la construction européenne était nécessaire au marché commun : c'est une erreur. La libération des échanges, chemin nécessaire à l'accroissement de la richesse générale, pouvait se faire sans la création de la formidable et ruineuse bureaucratie européenne.

La construction européenne s'est faite en partie contre la volonté affirmée des peuples. Le projet insensé de budget pluriannuel  est un effort pour consolider, malgré les disputes, un édifice branlant. Ira-t-il jusqu'au bout ? Le proche avenir nous le dira.

Pour information :

 

DINER-DEBAT DE RADIO-SILENCE

Vendredi 14 décembre 2012 à 19 heures 30

avec Franck ABED, écrivain catholique et royaliste

sur le thème :

"Comment la droite peut-elle sortir de l'impasse ?"

dans un restaurant de l’ouest de Paris (cuisine française)

Pour la bonne organisation du restaurant, envoyez s.v.p. dès maintenant votre chèque de 30€/place à :

LA VOIX DU SILENCE, 5 rue Dufrenoy, 75116 Paris.

Possibilité de régler sur place le jour même (veuillez, malgré tout, réserver votre place à Michel de PONCINS micheldeponcins@orange.fr

12:56 Publié dans Tribunes de Michel de Poncins | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A propos de Casapound Italia : une entrevue avec Adriano Scianca

images.jpgAdriano Scianca est né à Orvieto en 1980. Il est diplômé en philosophie l’université de Rome. Journaliste et écrivain, il a collaboré aux revues Orion, « Letteratura-Tradizione » et Eurasia. Il est le responsable culturel de Casapound Italia et l'auteur du livre Casapound, une terrible beauté est née (Editions du Rubicon, 2012).

Votre livre et l’expérience de Casapound en général suscitent un débat assez virulent en France. Que pensez-vous de cette agitation ?

Cela me rend très heureux. Cela signifie qu’il y a beaucoup de jeunes gens en Europe qui s’intéressent à ce mouvement. Et il est bien sûr normal qu’il y ait aussi des critiques. Si celles-ci sont constructives et raisonnées, elles sont les bienvenues. Mais si elles sont au contraire basées sur l’envie, la médisance, l’incompréhension et la volonté de détruire, la question est évidemment bien plus triste …


Certains semblent voir d’un mauvais oeil la sympathie croissante pour Casapound en imaginant qu’il s’agit là du fruit d’un « prosélytisme » hors de l’Italie….

La vérité est que nous sommes ouvert à tous, mais ne voulons absolument pas «coloniser» l’espace politique français, espagnol ou allemand. Nous n’avons jamais eu l’intention d’ouvrir des Casapound France, Casapound Espana, Casapound Deutschland. Par ailleurs, à chaque fois que des camarades européens nous ont demandé des avis ou des conseils, nous les avons toujours mis en garde contre l’imitation facile et souvent boiteuse de modèles étrangers, y compris le nôtre, et que le seul secret du succès était de travailler dur au quotidien. Les prétendus «camarades» qui attaquent Casapound parce qu’ils craignent notre concurrence peuvent donc être rassurés: personne ne veut percer dans leur arrière-cour …

L’une des observations les plus fréquentes de ceux qui regardent Casapound de l’extérieur est la suivante: “. En Italie, c’est plus facile” Est-ce vraiment le cas ?

Je ne vais pas entrer dans une fastidieuse comparaison des mérites et des difficultés rencontrées par les camarades européens dans leurs différents pays. Je dis juste que celui qui peint une Italie où les fascistes disposent d’un tapis rouge est simplement quelqu’un à la recherche d’une excuse pour justifier ses propres échecs. Casapound Italie a subi plus de 50 agressions anti-fascistes. Il y a à peine quelques jours un cocktail Molotov a été lancé sur la porte de notre siège à Bologne. Nous avons eu jusqu’à cinq prisonniers politiques en même temps. Le Parti démocrate - héritier de l’ancien Parti communiste et maintenant probablement premier parti en Italie - est un ennemi déclaré de Casapound et a entrepris plusieurs fois des démarches au Parlement pour demander notre dissolution. A Cuneo, notre permanence a été attaquée et un militant a été transporté à l’hôpital, la tête ouverte par un jet de pierres. Il y a quelques années, le Cutty Sark, notre pub à Rome, a été complètement détruit par une bombe. Et il y aurait encore beaucoup d’exemples à citer …

Certaines personnes, en vous lisant, vous accuseront de jouer les victimes…

Certainement pas. Nous avons choisi un certain chemin et nous en assumons les conséquences. Dans un sens, cela fait partie du « jeu ». Si je répète ces faits ici, c’est seulement parce que parfois, j’ai entendu dire que Casapound est simplement un mouvement de jeunes dont l’engagement se base uniquement sur les tatouages, la mode vestimentaire, et la sous-culture pop. Mais Casapound est basé sur la lutte quotidienne, sur la défense, même physique, de notre liberté, d’un bâtiment occupé pendant dix ans 24 heures sur 24, 365 jours par an par des volontaires. Qui fait de l’ironie sur nous (et fait à son tour de la victimisation en inventant une prétendue menace de notre part…), insulte sciemment tout ce travail, ces prisonniers, ces blessés, ces sacrifices, et faire preuve d’une immense insolence surtout lorsque l’on a soi-même rien réalisé …

Et quant à vos liens supposés avec le PDL et le maire de Rome Alemanno ?

Ici aussi, ce point doit être clarifié. Un récent article paru sur un site NR français prétend expliquer le succès de la CPI par sa proximité avec les institutions au pouvoir. Il est regrettable que l’auteur démontre si peu de connaissance des faits réels. On parle notamment beaucoup d’Alemanno, l’actuel maire de Rome, par exemple, en oubliant que Casapound a été occupée alors que le maire était Veltroni, membre de l’ancien Parti communiste. Il est vrai que le fils du maire actuel milite dans les rangs du « Blocco Studentesco », mais au moment de la prise de Casapound, il n’avait que huit ans et son père n’était même pas encore candidat à la mairie. Il est également dit que le parti «La Destra» faisait partie du gouvernement Berlusconi IV et que Gianluca Iannone, le président de Casapound, a été candidat de ce parti, donc tout se tient: Casapound est l’alliée de Berlusconi. Il s’agit là encore d’un mensonge: lors des élections qui ont conduit au quatrième gouvernement Berlusconi (2008), «La Destra» n’a pas obtenu de sièges au Parlement, et ne faisait donc pas partie du gouvernement. Par ailleurs les membres de Casapound n’ont plus aucun rapport avec « La Destra » depuis plusieurs années.

Se répète enfin, avec une absolue mauvaise foi, le mensonge que la ville de Rome aurait acheté notre immeuble, et je cite, «l’aurait laissé à la disposition des amis de Gianluca Iannone.” De toute évidence, l’extrême droite est la même dans tous les pays et n’hésite pas, pour attaquer ses ennemis de la mouvance, à reprendre et utiliser les mensonges et diffamations propagés par la gauche. Maintenant, les documents de la Ville de Rome sont disponibles en ligne, n’importe qui, même de France, peut y avoir accès. Tout y est clair et toute personne honnête peut donc vérifier la réalité de la situation. Si l’auteur de l’article en question peut étayer son propos d’un document officiel dans lequel il est dit que le bâtiment Via Napoleone III est «à la disposition» de Casapound » cela est fort bien, sinon il faut en conclure qu’il est un menteur.

L’immeuble a été attribué ?

Non, le bâtiment est occupé et le restera. La Ville a proposé à l’Etat d’acquérir cet immeuble, parmi d’autres édifices, mais cela n’a rien à voir avec Casapound, puisque pour un occupant « illégal » comme nous le sommes, peu importe qui est le propriétaire « officiel » du bâtiment. En outre, la proposition n’a jamais été discuté, pourquoi continuer à en parler sinon pour diffamer?

Certains croient que Casapound est trop « mou » sur la question de l’immigration et vis à vis de la communauté juive: qu’en pensez-vous ?

Casapound a inscrit en toutes lettres dans son programme l’exigence de la fermeture des frontières et de la lutte contre l’immigration. Que dire de plus ?

Quant aux Juifs, il est simplement honnête de dire, comme je l’ai fait, que pendant le Risorgimento et sous le fascisme, au moins jusqu’en 1938, la communauté juive était fondamentalement patriote. Je comprends que ces faits historiques puissent contrarier ceux qui ne se préoccupent que de poursuivre leurs fantômes personnels, mais les obsessions ne peuvent pas changer l’histoire. L’équité voudrait, cependant, quand il s’agit d’évoquer ce sujet, qu’on rappelle aussi les pages de mon livre où sont critiquées les politiques de l’Etat d’Israël, celles où je cite les observations de Norman Finkelstein sur l’exploitation politique de la douleur juive ou celles où je dénonce les dérives pro-sionistes de certains mouvements de droite. Et peut-être, dans un souci d’exhaustivité, faudrait-il aussi se souvenir que chef de la communauté juive de Rome, Ricardo Pacifici a menacé à plusieurs reprises publiquement notre président Gianluca Iannone.

Sur l’Islam également, certains trouvent Casapound trop « tiède »…

C’est le Manifeste de Vérone de la République Sociale Italienne et non Bart Simpson qui a recommandé le “respect absolu” pour les peuples musulmans. Cela ne fait pas de nous, bien entendu, les partisans de l’invasion et de l’immigration de masse et si demain quelqu’un veut m’imposer la charia, je me battrais évidemment de toutes mes forces contre lui. Cependant, ce que certains ne comprennent pas, c’est que Casapound n’a à l’esprit que les intérêts du peuple italien dans son ensemble et celui-ci ne veut pas être embarqué dans un fumeux et mortifère «choc des civilisations » voulu et instrumentalisé par les neo-cons américains.. Tout le reste est subordonné à cette bataille pour notre peuple avant tout. La référence au fascisme nous donne une vue d’ensemble qui ne laisse pas de place à des visions simplistes et unilatérales. Pour le reste ce sont ceux qui sont violemment contre l’islam et approuvent la thèse de Huntington et Fallaci tout en se prétendant en même temps «anti-sionistes» qui devraient fournir une explication, pas nous.

En France, est vivement ressentie la division entre catholiques et païens. Cpi semble être plus proche de la deuxième catégorie, qu’en est-il au juste ?

CasaPound Italia est un mouvement non-confessionnel, il y a parmi nous des catholiques comme des païens, et tous sont traités sans différenciation aussi longtemps que personne ne vient mélanger sa foi avec l’activisme politique. Ainsi en a voulu le fascisme, pourquoi devrions-nous faire autrement? Par ailleurs le dernier article français ouvertement hostile à Casapound provient d’un site de tendance néo-païenne…

Certains lecteurs de votre livre ont évoqué une approche un peu naïve, presque libérale des questions philosophiques. Que voulez-vous répondre ?

Mes professeurs sont, entre autres, Pound, Gentile, Heidegger, Nietzsche. Je ne pense pas que ces écrivains sont si superficiels ou même «libéraux». Cependant, il était très drôle de voir un article m’accusant d’être un libéral cosmopolite en citant des propose qui, en fait, n’étaient pas les miens, mais de ceux de Giovanni Gentile, philosophe officiel du fascisme, assassiné par les partisans en 1944. Mais peut-être que même le fait de mourir pour ses idées ne suffit pas pour trouver grâce aux yeux des gardiens de l’orthodoxie intransigeante qui combattent le sionisme sur Facebook.

Source Zentropa cliquez ici

Casapound, une terrible beauté est née est en vente à la Librairie française cliquez là

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Réquisitionner les châteaux des Syndicats : une bonne idée pour Duflot !

1140107133.jpgNotre camarade et ami tourquénois du Parti de la France René Declercq a eu une fort bonne idée pour loger dignement et confortablement les sans-abris menacés par l'arrivée des grands froids annuels : suggérer à la Duflot de réquisitionner les propriétés châtelaines des syndicats comme le château de la CGT à Fontaine les Bris ou celui de FO à la Brévière ; en faire autant pour le château de la RATP au Plat dans la Creuse ou celui de la SNCF à La Bachasse dans le lyonnais ou encore celui de la CFDT à Bierville près d'Etampes ; sans parler des luxueuses propriétés pour les familles défavorisées des damnés de la terre suant à EDF.

Allez Cécile, une idée à developper entre deux boufffées de canabis !

Y. D.

Source cliquez ici

Lire aussi cliquez là

11:56 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 2 février 2013, à Paris, contre l'impérialisme, pour la lutte des peuples...

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lundi, 10 décembre 2012

Jeudi soir, Anne Brassié au Local :

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18:47 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La chronique de la France asservie et résistante...

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RIVAROL N° 3072 du 07/12/2012

 

LIONNEL Luca est député UMP de la 6e circonscription des Alpes-Maritimes et conseiller général. Il ne manque pas d’humour. « A l’UMP, c’est la fin du monde avec un mois d’avance sur le calendrier maya ! » C’est la déclaration qu’il vient de faire, critiquant sévèrement la stratégie, si tant est que l’on puisse parler de stratégie, de François Fillon. Il compare audacieusement le cessez-le-feu à Gaza et la reprise des hostilités à l’UMP, estimant qu’« il y avait jusque-là un seul perdant qui était donné gagnant » (Fillon) et que désormais « il n’est plus tout seul car c’est toute l’UMP qui est perdante ». Luca accuse Fillon d’avoir voulu aller en justice, simplement pour affaiblir Copé, évoquant un « putsch parlementaire » remettant en cause des statuts qui n’avaient jamais été contestés, et une commission des recours nommée par Xavier Bertrand, qui soutient François Fillon. Et Luca de conclure, avec cet humour dont Boris Vian disait qu’il était « la politesse du désespoir » : « Diviser pour mieux rassembler, c’est le nouveau slogan de l’UMP. »

 

BRUNO GOLLNISCH À LA RESCOUSSE DE L’UMP

 

Bruno Gollnisch fait preuve d’un étonnant humour, des plus noirs, dans un communiqué paru sur son site. Quand on sait comment s’est déroulée la campagne pour la Présidence du Front national… Voilà ce qu’il écrit : « Bien qu’ayant quitté récemment l’enseignement, je suis disponible pour des leçons particulières, par exemple à l’attention de M. Fillon ? Ou de M. Copé ? Leçons dont le thème pourrait être : « Comment perdre une campagne interne avec élégance et sans nuire à l’unité de sa formation politique ». Et Gollnisch de conclure : « Discrétion assurée. Honoraires modestes. »

 

COLOSSAL HUMOUR OU COLOSSALE HOUTSPA ?

 

Michel Mimram, le directeur marketing du PSG a fait fort, très fort, faisant preuve d’une exceptionnelle houtspa (culot monstre en hébreu) ou d’un humour d’un cynisme époustouflant. Voici le message qu’il a envoyé par courrier électronique à ses « stagiaires et CDD (contrats à durée déterminée) » : « Afin de ne pas perturber ma concentration qui atteint déjà 130 % de sa capacité dès 8 heures du matin, flirtant avec des sommets que jamais vous n’atteindrez, je vous prierais de vous abstenir dorénavant de venir me serrer la main à votre arrivée au bureau, très tardive, j’ai noté. Sous peine de devoir immédiatement organiser votre pot de départ. » Ce chef-d’œuvre d’arrogance ou d’humour, on ne sait pas, a curieusement suscité un tollé qui a conduit la direction du PSG à convoquer Michel Mimram qui a été sévèrement recadré.

 

UN MAGISTRAT RÉCUSÉ PARCE QUE JUIF ?

 

Me Alexis Dubruel est avocat au barreau de Lyon. Il a osé demander la récusation du juge Lévy, en arguant du fait qu’il manquerait d’impartialité dans un dossier où le père de la prévenue s’appelle Moïse. On imagine les couinements. Jean Trotel, premier président de la cour d’appel de Lyon, a rejeté la requête à l’encontre du magistrat Albert Lévy et condamné l’insolent avocat à une amende civile de 750 euros. Ce dernier est par ailleurs convoqué devant le conseil de discipline de l’ordre des avocats de Lyon. En voilà un qui a du souci à se faire…

 

IL N’Y A PAS QUE STRAUSS-KAHN…

 

Nechemya Webermann est un rabbin ultra-orthodoxe new-yorkais. Il fait partie de ce curieux mouvement hassidique violemment antisioniste qui considère que l’existence de l’État d’Israël est un blasphème. Israël ne saurait exister avant le retour du Messie sur terre. Ils sont, paraît-il, 130 000 aux États-Unis, et très présents à New-York. Le pauvre Nechemya est accusé de violences sexuelles sur une mineure (12 ans au début des faits, 17 ans aujourd’hui). Ses parents l’avaient envoyé au rabbin, histoire de la remettre dans le droit chemin. Il est vrai que son comportement rebelle méritait punition : elle lisait Cosmopolitan et portait des bas…

 

POUR BRUXELLES : NI AURÉOLES, NI CROIX !

 

Savez-vous qui sont Saint Cyrille et Saint Méthode ? Ils ont apporté, il y a 1 150 ans, le christianisme aux Slaves et “inventé” un alphabet qui deviendra l’alphabet cyrillique. A l’occasion de cet anniversaire, les autorités slovaques ont eu l’idée parfaitement saugrenue de créer une pièce de deux euros représentant les deux apôtres des Slaves. Problème : des détails sur la pièce ont ému les bureaucrates de Bruxelles. Lesquels ? Devinez ! On y voyait les auréoles des deux saints et les croix sur leurs vêtements. Une épouvantable provocation aux yeux de ceux que Robert Ménard, qui raconte cette histoire sur son blog, qualifie fort justement d’ “abrutis”. Les bureaucrates bruxellois expliquent qu’il s’agit de « respecter le principe de neutralité religieuse » et de refuser un « projet de dessin susceptible d’engendrer des réactions défavorables parmi ses citoyens ». Quels “citoyens” ? Des noms ! La banque centrale slovaque s’est inclinée… S’en prenant aux « ronds-de-cuir, scribouillards, gratte-papiers » et autres imbéciles bruxellois, Robert Ménard écrit : « C’est vrai qu’ils ont une telle honte de ce qu’ils sont, de l’histoire qui est la nôtre, des valeurs qui ont nourri ce Vieux Continent ». Et il conclut, citant une fois n’est pas coutume, Mélenchon : « Qu’ils s’en aillent tous ! » Oui ! Fichons-les à la porte !

 

PAS DE CRÈCHE À SCIENCES-PO

 

La direction dégénérée de Sciences-Po Paris refuse aux étudiants d’installer une crèche au « marché de Noël » de l’institution. Du coup le très dynamique abbé Pierre-Hervé Grosjean, du diocèse de Versailles, s’énerve et invite les chrétiens qui y étudient à organiser « une crèche vivante surprise en arrivant déguisés en Marie, Joseph, etc., avec âne, bœuf, paille. » Suggérons aussi du goudron et des plumes, histoire d’habiller les clowns de la direction de Sciences-Po pour l’hiver.

 

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DIEUDONNÉ PERSÉCUTÉ (SUITE)

 

Dieudonné vient d’être condamné par la justice française, le mardi 27 novembre, à 20 000 euros d’amende pour provocation à la haine dans une de ses chansons, et pour des propos diffusés sur internet. Dans une de ses vidéos, il transformait la chanson d’Annie Cordy « Chaud cacao » en « Shoah nanas ». Circonstance aggravante : Annie Cordy est juive. Il était aussi poursuivi pour diffamation, injure et provocation à la discrimination, pour avoir déclaré que « les gros escrocs de la planète, ce sont les Juifs ». Déclaration pour le moins imprudente, par les temps qui courent… La présidente de SOS-Racisme, Cindy Léoni, a dit espérer que cette condamnation vienne marquer un coup d’arrêt à « la diffusion de la haine raciale et la propagation de l’antisémitisme », et aux “provocations” d’un Dieudonné « qui ne fait plus rire personne ». Si c’est elle qui le dit…

 

DES APPARTEMENTS “HALAL” À AMSTERDAM

 

L’hebdomadaire Minute raconte que 188 appartements « halal » sont en construction à Amsterdam. Mais que peut bien être un appartement “halal” ? Explication de texte : il s’agit de logements équipés de connections supplémentaires à l’arrivée d’eau courante afin de pouvoir pratiquer le nettoyage rituel avant la prière. Des portes coulissantes sont placées dans la cuisine et la salle de séjour afin de scinder l’espace hommes/femmes. Tout est conçu pour éviter le contact des femmes avec des visiteurs masculins. Et si, par malheur, un mécréant venait à occuper le logement ? Pas de soucis, l’appartement serait “purifié” par un imam en attendant l’installation de vrais musulmans…

 

HONGRIE : UN DÉPUTÉ VEUT COMPTER LES JUIFS

 

Un député du mouvement nationaliste Jobbik, Marton Gyongyosi, n’y est pas allé de main morte, suscitant le scandale. Il a déclaré, le mardi 27 novembre, qu’il souhaitait recenser les juifs en Hongrie, en particulier au gouvernement et au Parlement. Cherchant sans doute à aggraver son cas, il a souhaité que le conflit israélo-palestinien soit une occasion d’évaluer « le nombre de personnes d’origine juive qui représentent un certain risque pour la sécurité nationale de la Hongrie ». Quant à la Cour constitutionnelle de Pologne, elle vient d’interdire l’abattage de bêtes encore conscientes. Du coup le rabbin Aryeh Goldberg, vice-directeur du centre rabbinique européen, s’en étrangle d’indignation, déclarant que « cette décision rappelle les périodes sombres de l’histoire de la Pologne », et appelant à « régulariser à nouveau l’abattage rituel casher ». Ben voyons…

 

LE CORAN, POUR TRANSPORTER DE L’HÉROÏNE

 

Comment exporter discrètement 10 kilos d’héroïne du Maroc vers l’Espagne ? Facile. On découpe les pages de trente Corans, que l’on bourre d’héroïne. C’est ce qu’a tenté de faire une femme musulmane, accompagnée de ses quatre enfants. Pas de chance, les trafiquants ont été trahis par le comportement suspect du conducteur du véhicule, qui n’était autre que le fils de 25 ans de la mère de famille.

 

“IL FAUT TUER LES APOSTATS ET LES HOMOSEXUELS”

 

La venue d’un imam invité par l’université de Brunel (Grande-Bretagne) suscite quelques remous et des menaces de manifestations. Il est vrai qu’Abu Oussama n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Dans un documentaire diffusé par Chanel 4, il avait déclaré : « Celui qui quitte l’Islam pour toute autre religion doit être tué dans un État islamique ». Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il a aussi expliqué : « Voulez-vous pratiquer l’homosexualité avec les hommes ? Prenez cet homme homosexuel et jetez-le du haut d’une montagne ». Et au sujet des femmes : « Allah a créé la femme qui, même si elle obtient un doctorat, est déficiente. Son intelligence est incomplète. Elle souffre peut-être d’hormones qui font d’elle une émotionnelle. Il faut deux témoins féminins pour équivaloir un témoin masculin. ». The Crown Prosecution Service, équivalent de la police judiciaire, chargé d’une enquête concernant ces propos, a conclu qu’ils avaient été sortis de leur contexte et qu’ils ne tombaient donc pas sous le coup de la loi. Peter Tatchell, militant des droits de l’homme, a quand même fini par se poser des questions. Il a déclaré au Huffington Post que l’université avait de « doubles standards », ajoutant : « L’université de Brunel ne permettrait jamais l’organisation d’une conférence donnée par un suprémaciste blanc qui utiliserait des insultes racistes et préconiserait l’assassinat de personnes noires. Pourquoi deux poids deux mesures ? » Pourquoi ? On va le lui expliquer…

 

DITES “BONJOUR” ET “MERCI”, SINON VOUS ÊTES VIRÉS !

 

Si vous ne dites pas “bonjour” et “merci” à la mairie de Lhéraule, une commune de 185 habitants à proximité de Beauvais, vous serez priés de quitter les lieux. Un arrêté signé par Gérard Plée, maire sans étiquette de cette petite commune, impose aux usagers de « se conformer à l’observation des normes sociales en matière de politesse et de courtoisie ». En cas de manquement manifeste et volontaire à cette règle, « la personne sera instamment priée de quitter les lieux ou de s’y représenter »… en disant “bonjour” ! L’arrêté ne sera cependant pas applicable les jours d’élection ou lors de célébrations de mariages. Le maire a affiché l’arrêté à la porte de la mairie. Il est accompagné d’un texte s’adressant aux « éternels mécontents, rancuniers, persécutés et autres grognons ». En voici un maire qui fait tout pour être réélu…

 

KIM JONG-UN, L’HOMME LE PLUS SEXY DE L’ANNÉE 2012

 

Kim Jong-un est le leader de l’État le plus paranoïaque du monde, la Corée du Nord. On ne peut pas dire que c’est un Adonis, bien au contraire. Mais le journal chinois The People’s Daily a repris cette description parue dans le journal américain The Onion : « Avec sa bouille ronde ravageusement séduisante, son charme de garçonnet et son corps robuste et fort, cette coqueluche native de Pyongyang est le rêve de toutes les femmes. » L’information a paru sur le site de The People’s Daily qui a titré : « Le leader de la Corée du Nord a été l’homme vivant le plus sexy en 2012. » Le journal chinois, reprenant tout un paragraphe paru dans The Onion, écrit : « Doté d’un air puissant qui dissimule son côté indéniablement mignon et adorable, Kim a conquis la rédaction avec son sens impeccable de la mode et sa coupe de cheveux courte et chic, et bien sûr, ce fameux sourire. » Sa femme est carrément qualifiée de “chanceuse”. The Onion est-il financé par la Corée du Nord pour commettre de tels dithyrambes absurdes ? Pas du tout. Il s’agit d’un journal satirique ! Les Chinois n’y ont vu que du feu. Ils auraient pourtant dû se méfier. Parmi les lauréats des années passées, figuraient Bachar Al-Assad en 2011 et “Bernie” Madoff en 2010… Les Chinois ne sont pas les premiers à tomber dans le panneau. Une agence de presse iranienne avait repris un faux sondage de The Onion, assurant que 77 % des hommes blancs américains préféraient boire une bière avec Mahmoud Ahmadinejad plutôt qu’avec Barack Obama.

 

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16:55 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL FAUT DISSOUDRE SOS-RACISME !

sos racisme 2.jpgEn 1984, François Mitterrand, en délicatesse dans les sondages, notamment parmi les jeunes, favorisa l’émergence d’un mouve­ment destiné à appâter une partie de la jeu­nesse qui lui échappait en s’appuyant sur la naïveté qui souvent la caractérise.

Ce fut la naissance de SOS-racisme, association qui, au-delà des calculs électoraux, prétendait mo­biliser les Français contre un prétendu racisme dans la nation certainement la moins raciste au monde. Vaste défi apparent mais la pusillanimité de nos contemporains lui facilita grandement la tâche.

De puissants parrainages permirent à l’association naissante d’atteindre rapidement une notoriété média­tique sans commune mesure avec le poids de ses maigres troupes. Le Grand Orient de France, la MNEF, les CFDT, l’UEJF (Union des étudiants juifs de France) et la FEN (Fédération de l’éducation nationale) accueilli­rent avec un enthou­siasme actif et généreux la création de l’officine dont la fonction essentielle et l’action se résumè­rent à calomnier les Français de souche et à ma­nipuler les immigrés afin de leur faire redouter un racisme latent sinon exprimé chez leurs hôtes, et cela bien mal­gré eux. Du côté des personnalités, l’incontournable Ber­nard-Henri Lévy (alias la « mouche du coche »), Jacques Attali (le poly­graphe compulsif), Marek Halter (l’homme à l’imagination débordante), Jack Lang et de nom­breux « intellectuels » apportèrent leur soutien in­conditionnel à l’expérience trostko-socialiste.

A ces grandes âmes se joindront les soutiens son­nants et trébuchants émanant de Christophe Ri­boud, le fils du milliardaire Antoine Riboud, ou d’un Pierre Bergé, co­propriétaire du quotidien Le Monde et propriétaire de Têtu, le magazine de prédilection des homosexuels branchés et quelques autres généreux riches mécènes.

A ces prestigieux parrainages vint s’agglomérer l’inévitable cohorte des « idiots utiles » tels Simone Signoret, Yves Mourousi, Dominique Baudis, Jacques Toubon et quelques dizaines d’autres notoriétés dont la motivation profonde ne relève bien souvent que de leur vie intime et des fan­tasmes y afférents.

Il ne manquait plus que trouver un secrétaire géné­ral suffisamment terne pour feindre de présider aux desti­nées de cette organisation exclusivement animée par des trotskistes issus le la Ligue com­muniste révolution­naire et de la MNEF et dont le véritable patron, Julien Dray, tirait l’ensemble des ficelles. C’est au jeune et falot Jean-Philippe Désir, alias Harlem Désir (tout un programme !), actuel président du PS, qu’incomba ce rôle de composi­tion. Ce métis, idéal représentant de la France plurielle, offrait à SOS ra­cisme la vitrine d’une France multicolore tout en évitant l’écueil d’éventuelles revendications identitaires. De fait, il fallait que ce ne fut ni un Maghrébin, ni un Africain, ni un Asiatique et encore moins un Français de type euro­péen qui présidât à l’association. Pour mieux comprendre la stratégie, il suffit de se réfé­rer à l’élection présidentielle des Etats-Unis.

Cette stratégie ne trompa d’ailleurs que ceux des­tinés à l’être et Jean-Philippe (Harlem) Désir fut immédiate­ment considéré par tous comme l’homme de paille de Julien Dray ainsi que le relate sans ambigüité aucune Serge Malik, l’un des mili­tants de la première heure, dans son « Histoire secrète de SOS racisme » parue en 1990 (chez Albin Michel).

Julien Dray, grand amateur d’objets de luxe et no­tam­ment de montres, fit l’objet d’une enquête pour abus de confiance, notamment motivée par d’étranges mouve­ments de fonds entre l’association des « Parrains de SOS racisme » et son compte en banque ainsi que pour de curieux prêts dont lui firent bénéficier Gérard Sebag, un commerçant d’Antibes, Marc Rozenbat, époux d’Isabelle Thomas, une pétroleuse de l’UNEF-ID dans les années 80 recyclée dans l’entourage de Mitterrand, et Pierre Bergé. Preuve s’il en fallait que les grands idéaux ne suffisent pas toujours au complet détachement des biens de ce monde. Ses tourments judiciaires mirent Julien Dray, Juju comme l’appellent ses proches, en relative dis­grâce parmi ses « amis » du PS. Sa dernière bourde n’arrangea certes pas les bidons : une se­maine avant le second tour de la dernière prési­dentielle, Dray invita Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un ancien sex-shop trans­formé en restaurant, rue Saint-Denis, faisant fuir par des sor­ties dérobées de prestigieux invités parmi lesquels Sé­golène Royal, Emmanuel Valls ou Pierre Moscovici, peu en­clins à fréquenter l’infréquentable ex-patron du FMI (Fourre-Moi Im­médiatement persiflent quelques mau­vaises langues), surtout en un tel endroit symbolique. Est-on plus maladroit ?

Par ailleurs, la gestion n’est certainement pas le point fort de SOS racisme, épinglée systémati­quement par le Cour des comptes sans qu’apparemment les conseils de la docte institution ne modifient notoirement les pratiques. Nourrie aux subventions et dons divers, SOS racisme per­çut en 2010, 579 000 € de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 € en 2009 pour le FASILD, asso­ciation dédiée à l’accueil des migrants qui elle-même vit de subventions... Sans parler des fonds spéciaux du Premier ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous épargnera les détails des dé­mêlés judiciaires, les perquisitions, les fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS ra­cisme, les gardes à vue, l’intervention de la Bri­gade financière et autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources qui provien­nent de subventions et de dons tandis que les cotisa­tions n’en représentent que 2%.

En somme, il est demandé aux Français de payer tou­jours davantage pour se faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est qu’une, mais non la moindre, courroie de trans­mission du Parti socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si possible pres­tigieux. La preuve ? Jean-Phi­lippe (Harlem) Désir, promu aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française.

 

Derrière SOS-racisme :

la volonté génocidaire des mondialistes…

La France n’est plus maîtresse de son destin. Notre pays n’est plus dirigé par ce qui est censé être « son gouvernement » mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ce sont eux qui décident quel sera l’avenir de la planète… Leur objectif : imposer une économie globale en transformant la terre en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus qu’un consommateur docile juste bon à enrichir les comptes des multinationales.

Dans cette vision mondialiste des choses, il n’y aurait bien entendu plus de place pour les nations, les races et même pour les sexes. L’introduction par le gouvernement Sarkozy-Fillon de la théorie dite « du gender » à l’école est une étape vers cette destruction programmée des identités. L’homme idéal pour les mondialistes sera métissé, déraciné et asexué…

Mais pour arriver à leur but ils doivent par tous les moyens détruire toutes les formes de résistances natio­nalistes et identitaires. Pour cela ils se servent de petits collabos tels SOS racisme pour entretenir un cli­mat de haine permanente contre la France et contre son peuple.

Combattre SOS-racisme, c’est combattre pour le renouveau de la France !

Combattre SOS-racisme, c’est défendre notre identité européenne !

 

Pour prononcer la dissolution de SOS-racisme, il suffit d’appliquer la loi !

L’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CEDESA), « pu­nit de 5 ans de prison et de 30 000 € d'amende quiconque favorise l'en­trée, la circulation ou le sé­jour irrégulier d'un étranger en France ».

En soutenant les clandestins qui s’installent sur le territoire français, SOS racisme contrevient régu­lière­ment à l'article ci-dessus. SOS racisme doit donc être mis hors la loi. Pour cela, il suffit de se référer à l'ar­ticle 450-1 du Code pénal définissant comme une association de malfaiteurs « toute as­sociation établie en vue de la préparation ca­racté­risée par un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins 5 ans de prison ». Ce qui est le cas de SOS racisme.

Les adversaires de ces dispositions, prétendent que SOS racisme, comme toutes les autres offi­cines du même type, détiennent leurs pouvoirs notamment du « Plan national d'action contre le racisme et l'anti­sémitisme » du 15 février 2012, pour la période 2012-2014, élaboré par MM Sar­kozy et Guéant.

Mais il faut savoir que ce plan fait référence à l'ar­ticle 10 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) dit "de Lis­bonne" qui sti­pule : « Dans la définition et la mise en œuvre de ses politiques et actions, l'Union cherche à com­battre toute discri­mination fondée sur le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les con­vic­tions, un handicap, l'âge ou l'orienta­tion sexuelle ».

Ce que le Peuple refuse, le Con­grès l’impose !

Or, ce traité, et ce texte, ne sont que la reconduc­tion du « Traité pour une Constitution euro­péenne » rejeté massivement par le Peuple fran­çais lors du référendum en mai 2005 et sournoi­sement réintroduit par un vote du Congrès à Ver­sailles en 2008… sous la présidence de M. Sar­kozy. Il s’agit donc là, à nos yeux, d’une véritable forfaiture. La ratifica­tion de ce « Traité », dès lors, ne pouvant avoir de légitimité ni de valeur con­trai­gnante sur le territoire de la Répu­blique fran­çaise. Quel crédit peut-on en effet accorder à une as­semblée dans laquelle plus de 6 millions d’électeurs nationaux à la présidentielle sont re­présentés par seulement 3 députés alors que les Verts, avec 800 000 voix, ont près d’une vingtaine de députés.

Nous vivons actuellement sous un régime édic­tant des lois non fondées sur la volonté du peuple sou­verain, donc illégales sur le fond. Quelle légi­timité peut-on en effet accorder à des assem­blées qui ne représentent qu’une minorité de Français ?

 

ALLER AU-DELA…

Nous savons bien que nous n’avons pas grand-chose à attendre du « pouvoir » actuel complètement in­féodé qu’il est aux mondialistes. Notre but est avant tout d’éclairer notre peuple. Seule l’instauration d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire permettra à la France de retrouver sa liberté et son identité !

En réalité, au-delà du cas SOS-racisme, se sont toutes ces pompes à fric, tels le MRAP, la LICRA, la LDH et autres qu’il faudrait mettre hors d’état de nuire. Par leur obsession procédurière et en se conduisant en véritable petits flics de la pensée, elles cherchent à détruire tous les formes de résistance nationales et identitaires à l’invasion de notre sol.

Un jour viendra où nos compatriotes seront bien obligés d’ouvrir les yeux…

 

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Guignol’s band !

imagesCAZH25E8.jpgLe billet de Patrick Parment

J’admets volontiers que Nicolas Sarkozy n’a pas laissé au camarade Hollande un pays au cordeau dans sa version économique et sociale. J’admets qu’aujourd’hui un Etat est une machine complexe difficilement contrôlable aux prises avec l’Europe et le vaste monde. Mais, entre gouverner et partir à la dérive, il y a quand même une marge. On avait un président excité comme une puce venant d’avaler un tube de Maxiton, on hérite d’un président ataraxique et d’un gouvernement tétanisé par l’ampleur des problèmes qui leur tombent sur la tête. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, l’avoue d’ailleurs : « le Président est incapable de prendre une décision. » Ou alors, s’il en prend une, c’est pour nous coller le mariage des folles de France et de Navarre qui se rêvent en ménagères, avec enfants, poussettes et sortie d’écoles. Quand ce n’est pas Duflot, sous ministre au Logement, qui veut réquisitionner les biens du clergé comme en 1789 ! Sauf que face à l’Eglise, elle fait pas le poids, l’écolo-poireau-dingo !

D’ailleurs à ce sujet, et pour nous éclairer sur les mœurs de cette république bananière, j’ai relevé une anecdote révélatrice. Concernant le mariage gay, les députés voulaient entendre toutes les autorités religieuses. Débarquèrent donc les grands Mamamouchis catholique, protestant, juif, musulman et … bouddhiste lequel devait se demander ce qu’il foutait là. Respectueux avec le juif, of course, les députés ne prêtèrent qu’une oreille discrète à la plupart d’entre eux. Et, le seul qui s’est fait tirer dessus comme un lapin, c’est le catho, Monseigneur Vingt-Trois ! Révélateur de l’ambiance qui règne dans ce claque à cloportes. Heureusement, le cardinal, qui ne manque pas d’humour, leur a filé l’extrême-onction ! 

Il ne faut pas s’étonner si Arnaud Montebourg, qui a le sang chaud, dérape. Comme de vouloir nationaliser le site de Florange, quand le groupe auquel il appartient, Mittal, emploie 20 000 personnes en France. L’erreur qui a été faite, c’est d’avoir bradé Arcelor, une  belle entreprise, européenne de surcroît (franco-luxembourgeoise), à l’Indien Mittal, n°1 de l’acier dans le monde aujourd’hui. Elle est là, l’erreur.

Quant à Florange, on est d’accord pour une fois avec Jacques Attali. Florange n’est pas viable pour la bonne raison qu’aujourd’hui les aciéries sont implantées à proximité des ports pour des raisons d’approvisionnement en matière première, le fer en l’occurrence. Quant aux ouvriers de Florange, qu’ils arrêtent de brailler, ils ne seront en rien maltraités. Et comme le dit Jacques Attali, il y a plus urgent, les 50 000 nouveaux chômeurs, eux, bien dans la mouise. Mais voilà, les médias donnent la parole aux grandes gueules de la CGT ou de la CFDT, manière infaillible d’enterrer une affaire. Une belle image et puis plus rien. Rien comme la fameuse représentativité syndicale !

Pendant les travaux socialo, nos élus continuent de jeter l’argent du contribuable par les fenêtres. Eternelle ancienne me direz-vous, tant le gaspillage de tous ces chefaillons de province, va bon train, histoire de flatter leur ego. Alors que les mômes qui sortent de l’école ne savent même plus qui est Vercingétorix, Louis XIV, Molière et compagnie, on installe un sous-Louvre à Lens. Etait-ce bien utile d’installer un tel bazar dans une ville sinistrée où pas un mec n’ira mettre 9 € dans un musée alors que le paquet de clopes est à 6 €. Ah, mais voilà, c’est le grand Mamamouchi, Daniel Percheron, président du conseil régional du Nord (sinistré) qui veut laisser une trace dans l’histoire. Il aurait mieux fait d’investir dans une chaîne de bistrots pour que les mecs noient leur chagrin. 

12:17 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE « SCANDALE » RICHARD MILLET...

imagesCAGXR9MB.jpgFrancis Bergeron

En 2009, les lecteurs de Synthèse nationale avaient eu leur attention attirée sur l’œuvre de l’écrivain Richard Millet. De ce point de vue, Synthèse nationale était tout à fait précurseur, à une époque où personne, dans le camp national, ne semblait avoir entendu parler de Richard Millet. L’homme – gros bonnet chez Gallimard – venait de publier La Confession négative, un récit largement autobiographique sur ses engagements politiques, contre les gauchistes et les communistes, au lycée, puis dans les rangs des phalangistes chrétiens, au Liban, à la fin des années soixante-dix.

A l’époque, quelques critiques (mais seulement quelques uns) avaient pincé le nez devant cette « littérature nauséabonde » (d’autant que Millet signalait avec une certaine jouissance qu’un membre de sa famille s’était engagé dans la Charlemagne !). Mais c’est surtout par le silence que le petit monde qui fait les réputations littéraires avait traité l’ouvrage. Pourtant Millet, déjà, apparaissait comme un écrivain majeur de l’époque : un style proche de celui de Proust, mais une violence dans les mots et les scènes, et une crudité, qui le situaient du côté de Céline.

Trois ans plus tard (et dix-sept livres plus tard, car notre écrivain a une redoutable production), Millet se retrouve au centre des débats de cette rentrée littéraire. Il vient en effet de publier deux petits pamphlets, qui, là encore, le rapprochent de ceux de Céline, quant au contenu, mais dans une France officielle qui n’admet plus, précisément, que l’on s’exprime comme Céline. Les objets de ce « scandale » sont les deux textes suivants : De l’antiracisme comme terreur littéraire, et Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik. Dés la parution de ces textes, des voix ont commencé à s’élever pour que Millet soit renvoyé de chez Gallimard.

Chez cet éditeur (qui est l’éditeur de Céline, soit dit en passant), Millet est chargé de découvrir des talents, de travailler avec les auteurs, et éventuellement de les accompagner jusqu’à l’obtention de ces prix prestigieux qui transforment un livre en évènement et apportent parfois fortune à l’auteur et… à l’éditeur. Or il se trouve que Millet a découvert, partiellement réécrit, et accompagné Les Bienveillantes de Jonathan Littell prix Goncourt 2006), ainsi que L’Art français de guerre d’Alexis Jenni (prix Goncourt 2011). Gallimard est donc à présent sommé de se débarrasser de ce « fâcheux » d’extrême droite, accusé même de racisme et d’antipathie à l’égard de l’immigration extra-européenne. Mais en même temps Richard Millet est en quelque sorte le meilleur salarié de chez Gallimard. Et puis, côté talent, personne ne met le sien en doute, même ses pires persécuteurs. Chasser Millet de la maison Gallimard, cela ne risque-t-il pas de faire tâche, sur le plan de la littérature, alors même qu’en 1932, déjà, un Gallimard était passé à côté de Céline, publié alors par Denoël ? C’est seulement après guerre que « le plus grand éditeur de littérature » avait réussi à intégrer dans son écurie celui qui fait à présent figure de « plus grand écrivain du XXe siècle ».

Quel est le crime commis par Richard Millet ? Dans ses deux textes, aux titres, certes, provocateurs,  il s’en prend au multiculturalisme. Il explique notamment que « Breivik est un enfant (…) de la fracture idéologico-raciale que l’immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d’années, et dont l’avènement avait été préparé de longue date par la sous-culture de masse américaine (…) ». Pas si mal vu, non ? Et, plus loin, il écrit encore : « Breivik est, comme tant d’autres individus, jeunes ou non, exemplaire d’une population devant qui la constante dévalorisation de l’idée de nation, l’opprobre jeté sur l’amour de son pays, voire la criminalisation du patriotisme, ouvrent un abîme identitaire ».

Le Nouvel Observateur, Le Monde, les écrivains Laclavetine, Tahar ben Jelloul, Annie Ernaux en appellent au lynchage en place publique. Invité à s’expliquer chez Taddéî, sur France 3, début septembre, Richard Millet s’est retrouvé devant une sorte de jury, que présidait le cacochyme ex-communiste Edgar Morin. Malheureusement Millet est un homme de cabinet, un homme de plume. Devant cet aréopage de salopards, il lui a manqué la verve et le talent dialectique d’un Zemmour, la facilité d’élocution d’un Robert Ménard, et sa prestation fut quelque peu lamentable. Mais peu importe : Millet, c’est d’abord une langue, c’est une pensée qui trouve toute sa force quand elle est couchée sur le papier.

En conséquence, outre les deux pamphlets précédemment cités, précipitez-vous sur Ma vie parmi les ombres et sa suite, La Confession négative, sur L’Opprobre, sur La Fiancée libanaise (ouvrages parus chez Gallimard), mais aussi sur Le Sentiment de la langue (La Table ronde et Champ Vallon), ou Fatigue du sens (éditions Pierre-Guillaume de Roux). Soit vous n’aimerez pas du tout  ce style dense et pointilliste, soit vous vous direz que vous venez de rencontrer l’Ecrivain de ce XXIe siècle. Et pas seulement pour les idées. Mais dans un cas comme dans l’autre, vous rangerez ses livres, dans votre bibliothèque, du côté d’autres auteurs Gallimard, comme Céline ou encore Drieu la Rochelle. C’est d’ailleurs une citation de Drieu qui ouvre son Eloge littéraire d’Anders Breivik…

De Richard Millet (cette année) :

De l’antiracisme comme terreur littéraire, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.

Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.

 

Couv SN 29.jpgArticle de Francis Bergeron publié dans le n°29 (septembre octobre 2012) de la revue Synthèse nationale cliquez ici

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Tribune libre : LA DESTRUCTION DE LA FAMILLE...

Pierre-Descaves-CR(3).jpgPierre Descaves

Ancien député cliquez ici

Depuis de nombreuses années les politiciens français se sont acharnés à mettre en œuvre des politiques de destruction des familles françaises.

D'abord ils se sont attaqués aux familles nombreuses en supprimant tous les avantages que leur avaient consenti les précédentes générations. Puis, ils ont imaginé d'accorder ces avantages à toutes les familles, qu'elles soient françaises ou non, européennes ou étrangères, issues des pays les plus pauvres et les plus défavorisés.

Ce fut un déferlement de demandeurs, de bénéficiaires dont les allocations familiales devinrent le principal revenu de leurs ménages polygames.

Après les enfants, ce furent les femmes dont la fonction essentielle relative au renouvellement des générations fut paralysée par toutes sortes de moyens, tous plus cruels les uns que les autres.

Ce furent les moyens contraceptifs y compris abortifs. On inventa la pilule de la veille, celle du jour, celle du lendemain puis la pilule abortive.

Puis on y ajouta une propagande effrénée en faveur de l'avortement. On préféra tuer l'enfant dans le ventre de sa mère pour éviter sa naissance.

De ce point de vue, les animaux sont plus respectueux de la nature que l'être dit humain.

Mais cela ne suffisait pas. Il fallait encore trouver mieux pour empêcher le développement de la natalité.

Nos politiciens dévoyés imaginèrent alors de s'attaquer au domaine sacré du mariage. Pour eux le moyen d'empêcher toute procréation humaine fut de mettre en place le mariage des paires en sachant que deux hommes et deux femmes ne pourront jamais mettre un enfant au monde, d'où la démoniaque idée de l'adoption des enfants nés de couples normaux.

Tous les êtres sensés voient bien les limites de ces dangereuses utopies. Lorsque la Nation ne sera plus composée que de paires, plus personne ne fera d'enfants et la race blanche disparaitra enfin.

Quand on pense que tous les citoyens de notre chère France ont élu de tels individus, on peut se demander s'ils sont conscients du danger ou complices de ces destructeurs de population.

Et ce n'est pas tout, ils veulent aussi éliminer les vieux qui parait-il coûtent cher en matière de santé alors qu'ils font venir et soignent par millions tous les pauvres du monde.

Nous devons impérativement nous rebeller si nous ne voulons pas disparaitre en tant que Nation de la surface de la terre.

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dimanche, 09 décembre 2012

Lille : une maman et un papa, il n'y a pas mieux pour les enfants !

884692154.jpgYves Darchicourt

Hier à Lille, une manifestation de près de 8 000 personnes (3500 pour les policiers chargés de ne pas trop inquièter Roudoudou) a battu le pavé de Lille pour faire comprendre à Martine Aubry que ses administrés n'étaient pas -loin s'en faut- tous acquis au bien fondé du mariage homosexuel et au droit à l'adoption ouvert aux lesbiennes, aux pédérastes et aux sexuellement indéterminés.

Le rassemblement - qui se voulait apolitique et non confessionnel - a été présenté comme un "tour de chauffe" avant le grand mouvement de protestation prévu à Paris le 13 janvier prochain. Selon la presse locale pourtant toute acquise aux lobbies d'ambigus, une cinquantaine d'opposants seulement se sont timidement approchés en éructant quleques slogans hostiles : maigre troupeau de gays-lesb-bi-trans de la métropole lilloise épaulés par quelques oiseaux rares se revendiquant des "jeunesses communistes "

Le peuple des Flandres aussi se lèvera pour défendre la famille naturelle et les instituions traditionnelles fondées sur le simple bon-sens populaire.

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samedi, 08 décembre 2012

Présumé mauvais contribuable...

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

Parlerait-on tant de la Suisse s’il n’y avait pas son gruyère moins troué qu’ailleurs, ses chocolats réputés fins, très fins, se mangeant sans faim et ses banques aux secrets si facilement objets de tous les fantasmes ?

Aux uns et aux autres d’y goûter les plaisirs que leur permettent leurs moyens. Nul doute que ceux du ministre socialiste Jérôme Cahuzac lui auraient permis de goûter aux premiers par gourmandise et au dernier par une prudente gestion d’une partie de ses revenus, mise ainsi à l’abri de la voracité du fisc français. Comme actuel ministre délégué au Budget, il est désormais bien placé pour le vérifier.

La supposée découverte de ses petits arrangements bancaires défraie depuis quelques jours le landernau politique : l’ex-député a-t-il oui ou non détenu un compte aux pays des Helvètes, comme le premier fraudeur fiscal venu ?

Le site Mediapart l’affirme haut l’internet et fort d’une conversation téléphonique enregistrée à l’insu du plein gré de ce présumé mauvais contribuable ; l’intéressé nie plus vigoureusement qu’une pucelle dont on remettrait la vertu en question et pour défendre son honneur, dépose une plainte pour diffamation.

Fin du premier acte médiatique. Un second se jouera très probablement dans un semestre ou deux, soit de toute façon l’année prochaine désormais et ne retiendra l’attention que quelques secondes aux Journaux Télévisés ou par quelques articulets dans la presse écrite. Très probablement, une amende va être infligée au « site d’information et d’opinion à l’accès au contenu disponible uniquement via internet, proposé par le biais d’un abonnement payant », tel que se définit Mediapart.

Une amende de quelques milliers d’euros pour marquer le coup et faire vivre (faut bien !) les avocats des deux parties, prélevée sur un chiffre d’affaire de quelque 5 millions d’euros environ pour 2012.(1)

Au prix de la promotion publicitaire par la quasi-totalité des médias nationaux et une bonne partie d’internationaux, il est certain que l’opération a bien plus rapporté à Mediapart que les intérêts éventuels du bas de laine supposé que monsieur Cahuzac aurait pu soustraire à l’avidité de Bercy.

Évidemment, il y a l’autre éventualité, celle que la preuve de l’existence du compte en banque soit finalement apportée. Non seulement monsieur Cahuzac serait reconnu mauvais contribuable, mais également menteur patenté, qui plus est dans l’enceinte du parlement français. Il ne s’en relèverait sans doute pas.

Mais gageons qu’il s’agit là d’une hypothèse peu envisageable. Pour que l’actuel ministre délégué au Budget ait assuré devant les représentants élus de la Nation qu’il n’avait pas possédé de compte à son nom, c’est sans doute vrai ; à moins qu’il ne soit fou, mais les hommes politiques, même socialistes, le sont rarement. Si, si, on vous assure !

Mais la question qui n’a pas été posé, semble-t-il, mais qui est pourtant évidente dans ce genre d’affaire, c’est que si l’intéressé n’a peut-être jamais détenu de compte à son nom, est-ce qu’un de ses parents proches – père, mère, fils, filles, épouse, frère ou sœur, neveu ou nièce, ex-épouse, beaux-parents, grands-parents, etc. – n’en aurait pas possédé un par hasard ? Pour lequel, par exemple, l’ex-élu socialiste du Lot-et-Garonne, attentif, aimant et attentionné, aurait pu avoir tenu la conversation qu’on lui prête ? Et dans laquelle, sa langue ayant fourché – ça arrive à tout le monde ! – il aurait parlé de « son » compte ?

Le chansonnier Jacques Mailhot a définit le secret bancaire comme un jeu de piste mis au point par les banquiers suisses pour distraire les douaniers français quand ils ont le stress.

Mais aujourd’hui, mondialisation oblige, ce fameux compte bancaire non déclaré à l’Union des banques suisses (UBS) de Genève et clôturé en 2010, aurait été transféré à Singapour.

C’est loin, Singapour ! Aussi loin que le Japon où l’ancien président de la République Jacques Chirac aurait, lui aussi, détenu un compte. C’est en tout cas ce qui s’était dit et redit du temps de son règne à l’Élysée. Avec les conséquences qu’on a vu… De quoi rassurer monsieur Cahuzac.

Note
(1) « Le chiffre d’affaires de Médiapart dépassera en 2011 la barre des 5 millions d’euros, en hausse de 66 % sur un an. Le résultat net atteindra 500 000 euros. Mediapart compte aujourd’hui 58 000 abonnés individuels nets actifs et payants, selon différentes formules d’abonnements mensuelles ou annuelles. Ces abonnés génèrent 95 % du chiffre d’affaires, le reste venant de la revente de contenus. (…) Nous visons en 2012, avec prudence, une progression identique à 2011 » (« Comment Mediapart est devenu rentable » interview d’Edwy Plenel à www.challenges.fr).

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Vive Benoît XVI !

24ec62c3705f165c45cada17f039cf3b.jpegNicolas Gauthier

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Cannabis : les USA nous enfument

L’État de Washington, dont la capitale est Olympia – à ne pas confondre avec Wahington DC, capitale des USA – est donc le premier État américain à avoir légalisé le cannabis à « usage récréatif ». Mais, apprend-on, « L’initiative 502 maintient l’interdiction de vendre, de cultiver ou encore de partager ses propres réserves personnelles. » Fort bien. Mais s’il est interdit de vendre, de cultiver ou de partager, où pourra-t-on acheter ? Délicieuse hypocrisie américaine, nation à la fois championne du puritanisme et premier géant de l’industrie pornographique mondiale.

Plus sérieusement, de récentes études nous alertent sur les ravages de ces drogues dites « douces ». Bref, à défaut de susciter des overdoses, le shit rend nigaud, surtout lorsque inhalé dès l’adolescence, et serait source de nombre de troubles psychiatriques. Tout cela est d’autant plus vrai que le chichon n’échappant pas à la furie compétitive ambiante, se doit d’être toujours plus performant. Déjà que la marijuana à l’ancienne faisait des dégâts, l’actuel shit boosté aux OGM et autres divers additifs (verre pilé, matières fécales destinés à en alourdir le poids, etc) n’est vraiment pas à conseiller, aux petits comme aux grands. Ce n’est peut-être pas l’avis de Cécile Duflot. Mais quand on l’entend parler, on se dit qu’elle ferait peut-être bien, elle aussi, d’arrêter…

Vatican : Benoît XVI nous fait du bien

Le libre-échange mondialisé de mauvais produits (lire plus haut) conduisant à une concurrence sauvage (on s’entretue autant chez les dealers qu’on licencie dans les multinationales), tout cela conduit à ce « capitalisme financier débridé », que vient de dénoncer le Pape Benoît (XVI pas Rayski, même si, à sa façon, de lignée polonaise). Attention, quand le Vatican s’en mêle, ce n’est pas du Besancenot : l’homme, devenu « bien mineur », ne serait plus qu’une pièce « faisant partie d’un engrenage productif ». Ainsi, dans cette intervention du 4 décembre dernier, le souverain Pontife appelle-t-il à « détrôner les idoles modernes, telles l’individualisme, le consumérisme et la technocratie ». Et, dans le droit fil de la doctrine sociale de l’Église, rappelle que « pour le christianisme, le travail est un bien indispensable à l’homme, pour sa constitution personnelle et sociale, la formation d’une famille, l’apport au bien commun et à la paix. C’est pourquoi l’accès à l’emploi est pour tous prioritaire, y compris en temps de récession. » Ça, c’est plutôt bien envoyé. Du coup, ce même homme, devenu simple « variable d’ajustement » d’une compétitivité planétaire, donnée pour horizon indépassable de la post modernité, a de plus en plus tendance à se réfugier dans ces fumées propres à lui faire oublier sa triste réalité. Stupéfiant ? Non, logique, malheureusement.

« Affaire » Cahuzac : le corbeau a des doutes…

L’information et le besoin de faire la une des gazettes serait-elle une autre drogue ; dure, celle-là ? À lire l’entretien accordé au Parisien par Rémy Garnier, l’ancien fonctionnaire du fisc par lequel le scandale est arrivé, on est en droit de se le demander. Car voilà qu’il n’est plus trop sûr de rien, le bougre : « Quant au compte suisse, d’ailleurs, je conserve une part de doute. Je n’exclus pas à 100 % l’hypothèse de l’innocence de Jérôme Cahuzac. Si ce compte existe, le ministre aurait alors beaucoup à perdre. Je ressens un peu de compassion car cela m’attriste de voir un personnage aussi brillant malmené comme il l’est actuellement. » Bon, mais dans le doute, on est censé s’abstenir, non ?

Des croix légèrement gammées

Doute toujours, un célèbre quotidien gratuit du matin nous livre cette nouvelle épatante : « Des tags ont été inscrits dans la nuit de samedi à dimanche sur la vitrine d’une pizzeria casher à Sarcelles ! » Plus gravissime encore, la police a constaté la présence « de cinq tags dont un qui ressemble légèrement à une croix gammée… » Chers confrères, une croix est gammée ou ne l’est pas. Tout comme Adolf Hitler, point besoin du bénéfice du doute pour le lui accorder, était plutôt « franchement » que « légèrement » nazi.

Démocratie à l’égyptienne

Quand les Égyptiens manifestaient pour la démocratie, les médias étaient contents. Maintenant qu’ils ont la démocratie, ils continuent de manifester, et les médias sont moins contents. Et s’inquiètent que les méchants islamistes puissent faire des misères aux gentils militants des droits de l’homme. Eh oui, c’est ainsi, en pays musulman, il y a beaucoup de musulmans, musulmans si musulmans qu’ils mettent des islamistes au pouvoir. Si, si. Maintenant, on va bien voir ce dont sont capables ces islamistes musulmans. Ils ne pourront guère faire pire que leurs prédécesseurs, junte militaire qui, forte des milliards américains, aura tout de même réussi ce tour de force de n’avoir jamais gagné une seule guerre de son existence. Laissons donc le temps au temps, comme disait Mitterrand, car Nasser à rien de s’impatienter, comme disait le Raïs.

Retrouvez chaque jour de la semaine le bloc-notes de Boulevard Voltaire cliquez là. Il est signé Dominique Jamet les lundi et jeudi, Benoît Rayski les mardi et vendredi et Nicolas Gauthier les mercredi et samedi…

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vendredi, 07 décembre 2012

Mayotte : une pouponnière comorienne !

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Yves Darchicourt

Le 25 mars 2009, 95% des électeurs de Mayotte se sont favorablement prononcés sur le devenir de leur île en tant que département français. Fort prudemment, il n'a pas été demandé aux citoyens gaulois de l'héxagone s'ils acceptaient que soit ainsi constitué ce 101e département dont on savait bien qu'il serait un véritable boulet financier et une pompe aspirante forte efficace pour l'immigration en provenance des Comores.

Et bien les faits confirment ces craintes. Une journaliste de Marie-Claire vient de révéler sur France-Info que la maternité mahoraise de Mamoudzou est désormais la plus grosse pouponnière de France : 8 000 naissances par an dont 70% de rejetons de clandestines comoriennes venues accoucher à Mayotte pour que - en vertu de l'aberrante législation en la matière - leurs enfants soient "français" dès l'âge de 16 ans et simplement s'ils ont suivi une invérifiable scolarisation ininterrompue. Les clandestines comoriennes ne peuvent évidemment payer aucune facture médicale - tant pour l'accouchement que pour le suivi sanitaire de leur smala - et sont intégralement en charge du Conseil Général mahorais qui est au bord de la ruine malgré le milliard d'euros déversé chaque année en ses caisses par les contribuables gaulois.

Si l'on ajoute que les mères clandestines deviennent ipso facto inexpulsables, qu'elles sont fort prolifiques et que les géniteurs sont polygames, on comprend sans peine que les cousins comoriens sont en passe de submerger l'île : ils seraient déjà près de 40% ! La population mahoraise est elle même déjà une charge pour la France : 75% ne parle que le shimaoré, 48% des "jeunes" sont illettrés et ne font rien pour ne plus l'être ( d'ailleurs combien sont ils au juste dans ce département où il n'y a ni état-civil fiable ni cadastre ?), 25 à 30 % des actifs sont au chômage. Bref l'île est bien un boulet, et fort lourd!

Mayotte une chance pour la France ? Certainement pas et c'était prévisible ! La départementalisation de l'île a été imposée aux français parce qu'elle intègre parfaitement la politique de brassage des peuples et de métissage universel, laïc et obligatoire voulue par les suppôts du mondialisme qui nous gouvernent. Tout cela doit changer, vite et par tous les moyens, mêmes légaux ! Rassemblement - Résistance - Reconquête !

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Implantation de Starbucks place du Tertre : Paris Fierté fait monter la pression

121205091046223517.jpgSource Paris Fierté cliquez là

Après avoir déployé une banderole contre l’implantation de Starbucks, en distribuant des tracts aux passants, les membres de l’association Paris Fierté sont retournés à Montmartre mardi soir.

Vingt personnes ont sillonné tout le quartier pour distribuer aux commerçants et riverains du quartier affiches et tracts.

L’accueil a été plus que chaleureux et les encouragements ont été aussi nombreux que les contacts. En effet, Paris Fierté a recueilli plusieurs dizaines d’adresses email et de numéros de téléphone de commerçants effarés par l’arrivée de Starbucks. Ce réseau ainsi constitué, et qui devrait s’étendre dans les prochains jours, devrait permettre de constituer un groupe de pression face aux pouvoirs publics pour demander l’annulation de la vente du fond de commerce à la multinationale américaine.

20 ans après le combat gagné contre Mc Do, autre symbole de la standardisation des goûts, sauce américaine, le combat continue.

Parce que l’image traditionnelle de Montmartre n’est pas compatible avec leurs dollars ; parce que Starbucks ne paiera presque pas d’impôts en France ; parce que la défense des indépendants va de paire avec la lutte contre les grands groupes ; parce que la défense du lien social à la Parisienne, c’est un café au comptoir et non un vulgaire gobelet en plastique à emporter ; Paris Fierté promet d’accentuer le combat, avec les commerçants et résidents de Montmartre, dans les jours à venir.

Nous invitons tous les Parisiens (et les Français !) désireux de protéger Montmartre des multinationales à nous rejoindre et à nous soutenir, en commençant par signer et faire connaître la pétition mise en ligne.

18:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |