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jeudi, 10 octobre 2019

ALBERTO MARTIN, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ACIMJI (CERCLE NATIONALISTE ESPAGNOL), INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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La rage de l’impôt de Simone Wapler

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Jean-Baptiste Noé 

Cette rage de l’impôt pourrait s’apparenter à une rage de dents, mais la maladie est encore plus grave et plus difficile à traiter. Il y a une passion française pour l’impôt, qui consiste bien sûr à faire payer les autres pour jouir de la redistribution financée par autrui. L’impôt est à la fois le sujet le plus omniprésent dans notre société et celui qui demeure le moins compris. Le contribuable se perd dans le maquis de tous les impôts et taxes existant ainsi que dans les flux et les tuyaux des redistributions.

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L’ouvrage de Simone Wapler est utile à plusieurs titres. D’abord, il décrit de façon claire et compréhensible un système complexe, permettant ainsi de mieux comprendre le fonctionnement de la fiscalité. Ensuite, il en étudie de nombreux ressorts : protection sociale, légitimité de l’impôt, fonctionnement démocratique, culte de l’égalité, etc. Cela permet d’englober l’impôt dans sa totalité et de prendre en compte son fonctionnement général.

Le chapitre consacré à l’écologie est à ce titre très instructif. L’auteur rappelle d’abord, se fondant sur de nombreuses publications scientifiques, que le réchauffement climatique est loin de faire l’unanimité dans la communauté scientifique. Ensuite, que si réchauffement il y a, il n’est pas du tout certain que celui-ci soit dû à l’action humaine ou aux gaz à effet de serre. En revanche, la peur engendrée par l’évocation quotidienne du réchauffement sert la cause du socialisme et de la redistribution. Cela légitime la création de nouveaux impôts et l’accroissement de la pression fiscale, permettant ensuite le renforcement du capitalisme de connivence. Nombreuses sont les industries inutiles sur le plan de la protection de l’environnement, mais déclarées comme telles, et qui vivent donc de l’impôt : éoliennes, circuit de nourriture bio, etc. L’impôt se voit paré d’une nouvelle justification idéologique : la lutte pour l’environnement et contre le réchauffement climatique. C’est une nouvelle restriction de nos libertés et l’accroissement de la tutelle étatique.

La révolte fiscale arrivera-t-elle ? Rien n’est moins certain. Nombreux sont ceux à vivre de l’impôt, même un peu. Le matraquage fiscal est difficile à combattre. Le font ceux qui s’exilent ou bien qui cessent de développer leur entreprise. Cette folie fiscale nuit à la puissance française, en créant chômage, dette et pauvreté et en freinant le développement des entreprises. La rage fiscale est un enjeu de puissance nationale, sans cesse recommencé.

Source: Conflits

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LA REVUE "LIVR'ARBITRES" SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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10:22 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À QUELQUES JOURS DU RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SAMEDI ET DIMANCHE PROCHAIN À RUNGIS, UN ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, SUR PARIS VOX

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APRÈS PLUSIEURS ANNÉES DE JOURNÉES À SUCCÈS, LA FÊTE DE SYNTHÈSE NATIONALE SE TRANSFORME EN WEEKEND. POURQUOI CE CHOIX  ?

Roland Hélie : Chaque année, il faut trouver une nouveauté… Effectivement, comme vous le dites, depuis notre première journée nationale et identitaire, en 2007, nous constatons un succès grandissant de celles-ci. Alors, pour cette treizième édition, nous avons décidé de doubler la mise en organisant le rendez-vous annuel des lecteurs et amis de Synthèse nationale sur deux jours, le samedi 12 et le dimanche 13 octobre à Rungis (94). Le pari peut sembler audacieux mais il vaut la peine d’être tenté.

Les forces nationales et identitaires n‘ont pas autant d’occasions que cela de se retrouver. Or, au moment où, sous le joug de Macron et des siens, la France sombre de plus en plus, dans le gouffre mondialiste, il est temps de montrer que pour de nombreux Français les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. 

Le but de ces journées est, au-delà des formations diverses qui seront présentes, de redonner aux patriotes confiance en eux-mêmes. Notre combat n’est pas perdu. Partout en Europe, et même ailleurs, des forces nationales et identitaires se réveillent. La France qui a montré il y a quelques décennies l’exemple, comme le rappelle Jean-Marie Le Pen dans ses Mémoires, ne doit pas être aujourd’hui à la traine. Nous devons reprendre en main notre destin… Pour cela, deux jours ne seront sans doute pas de trop.

LE NOM, FÊTE BLEU BLANC ROUGE, RAPPELLE DES SOUVENIRS À DE NOMBREUX SYMPATHISANTS DE LA CAUSE NATIONALE. LE CONTENU DE CES DEUX JOURS SERA-T-IL LE MÊME QUE LORS DE FEU LES BBR ?

RH : Tout d’abord, même si ces journées auront bien des côtés festifs, elles seront surtout des journées politiques. Vous faites allusion aux BBR d’antan et vous avez raison. C’est en accord avec Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre, que nous avons donné cette appellation à nos journées. Il faut rappeler aux patriotes qu’il existe un ensemble de mouvements, d’associations, de revues, de maisons d’éditions, de groupes artistiques qui se battent pour la cause de la France française et de l’Europe européenne. Même si ce rendez-vous Bleu Blanc Rouge sera plus modeste que les BBR de la grande époque du Front, Il sera le point de départ d’un renouveau auquel chacun doit participer.  

SAMEDI, LA SOIRÉE SE PROLONGE AVEC NOTAMMENT UN DÎNER. QUEL EST LE PROGRAMME ?

RH : Ouverture des portes samedi 12 octobre à partir de 14 h 00. Plus de 80 stands politiques, associatifs, culturels et mêmes commerciaux seront là pour vous accueillir. Trois forums dans l’après-midi (un sur la liberté d’expression animé par Hugues Bouchu, délégué francilien des Amis de SN, avec des victimes récente de la répression d’Etat comme Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon (Rivarol), Daniel Conversano, Caroline-Christa Bernard, les responsables du Bastion social dissout en mai dernier… Un deuxième sur l’Europe, animé par Gabriele Adinolfi de l’institut Polaris avec  Thomas Ferrier, écrivain, et des amis venus de Grèce, d’Italie, d’Espagne, de Belgique et d’ailleurs… Un troisième sur la culture autour de Philippe Randa que l’on ne présente plus, avec Anne Brassié, Thierry Bouclier, Pierre Gillieth (Réfléchir et Agir)…. De nombreuses autres personnalités participeront à ces forums. 

Le samedi soir, à partir de 19 h 30, se déroulera un grand banquet patriotique et festif (concert de Dr Merlin et des Feux follets, groupe de folk traditionnel européen), auquel nous vous invitons à participer nombreux (30 euros par personne).

Le dimanche, ouverture à 11 h 00 avec un forum sur l’avenir de notre nation et de notre civilisation auquel participeront entre autres Jean-François Touzé, Serge Ayoub, Vincent Vauclin (la Dissidence française) et aussi l’économiste Bernard Monot. Après le déjeuner (restauration et bar sur place), un concert des Brigandes (14 h 30) puis, à partir de 16 h, le meeting final avec Pierre Vial (Terre et peuple), Richard Roudier (Ligue du Midi), Pierre Cassen (Riposte laïque), Alain Escada (Civitas), Thomas Joly (Parti de la France), Martin Peltier (journaliste et écrivain), Roger Holeindre sur lequel nous venons d’éditer un livre-entretien, des amis européens, et, comme je vous l’indiquais, Jean-Marie Le Pen qui nous parlera du second tome de ses Mémoire qui vient de sortir. Je conclurai pour ma part ces journées vers 18 h 00.

Ajoutez à tout cela de nombreuses animations ludiques et musicales, les dessinateurs Ignace et Pinatel, des auteurs indépendants et non-conformistes… Bref, vous ne regretterez certainement pas d’être venu.

PEUT-ON ENCORE RÉSERVER ?

RH : Il reste peu de temps, le mieux est donc de le faire sur place… 

INFORMATIONS PRATIQUES

Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, 13e Journées de Synthèse nationale, samedi 12 (à partir de 14 h) et dimanche 13 octobre 2019 (à partir de 11 h), Espace Jean Monnet 47, rue des Solets à Rungis (94), entrée 10 euros pour les deux jours. 

Pour accéder à l’Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94) :

  • En RER : Ligne C2 Train Mona, station Rungis La Fraternelle (située à 300 m de l’Espace Jean Monnet)
  • En Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (directe en partant de la station de métro Villejuif – Louis Aragon)
  • En voiture : Parc d’affaires ICAD à Rungis, l’Espace Jean Monnet est bien fléché. Vaste parking gratuit.

09:38 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 09 octobre 2019

LA MANIF POUR TOUS : LE RETOUR – Les Reportages de Vincent Lapierre

Les débats sociétaux font leur grand retour en ce début d’automne, en tête d’affiche : la « PMA pour toutes ». Discutée en ce moment à l’Assemblée Nationale et au Sénat, la loi bioéthique est sur toutes les lèvres. Le collectif « Marchons enfants ! » appelait à une mobilisation ce dimanche 6 octobre, l’occasion, pour les réseaux de La Manif Pour Tous, de rassembler ses troupes. Vincent Lapierre et l’équipe du Média Pour Tous étaient sur place.

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23:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ATTAQUE À LA PRÉFECTURE - MENSONGE D'ÉTAT ?

Un islamiste radicalisé dans un service du renseignement de la police, c'est à peu près comme un ancien du milieu marseillais nommé ministre de l'Intérieur, non ?

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KOSOVO/SEINE SAINT-DENIS, MEME SCENARIO ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les urnes ont parlé le dimanche 6 octobre, au Kosovo, comme au Portugal et en Italie. Mais, pour l’heure, examinons le seul cas de cette ancienne province autonome de la défunte Yougoslavie. Il semble que les votants aient sonné l’heure du changement dans cette poche albanaise enclavée dans les Balkans, qui fut le prétexte d’une odieuse intervention contre la Serbie. À noter que seulement 100 pays sur les quelques 194 membres de l’ONU, reconnaissent cet « Êtat » mafieux, un Êtat bidon qui n’aurait jamais dû exister. Regardons d’ailleurs son drapeau, imposé par l’OTAN comme l’a été celui de la pseudo Bosnie-Herzégovine : un pavillon totalement artificiel, sans aucune référence historique et pour cause ! D’ailleurs, les habitants, qu’ils soient Albanais ou Serbes, ne s’y trompent pas : les premiers arborent l’aigle noir à deux têtes sur fond écarlate, - celui de Tirana -, et les seconds le tricolore de Belgrade ! 

Un espoir pour la paix et la justice ?

Changement, disions-nous au début de cette chronique. Oui, le parti des « commandants historiques » de l’UCK, cette organisation terroriste kosovare, soutenue en douce par nos bons alliés allemands lors du conflit serbo-albanais, était dirigée par l’ex-Premier ministre et chef de guérilla Ramush Haradinaj. Inquiété par le tribunal spécial international suite à une suspicion de crimes commis par l’Armée de libération du Kosovo, son mouvement gouvernemental est, cette fois-ci, nettement devancé par l’opposition. Cette dernière est représentée par la gauche, le parti Vetevendosje, de tendance social-démocrate, avec 26%, dirigé par Albin Kurti, et par la Ligue démocratique du Kosovo, la LDK, 25%, conduite par Madame Vjosa Osmani. À noter que ce dernier parti, qui était inspiré et animé par Ibrahim Rugova, aujourd’hui décédé. Il ne demandait pas, jadis, la sécession du Kosovo, mais une simple reconnaissance en tant que république constitutive de la fédération yougoslave. Une occasion manquée, peut-être, par feu le président Milosévitch, mort en captivité après l’agression de l’OTAN contre son pays. Remarquons que les enclaves serbes, 100 à 120 000 personnes tout de même, qui vivent dans des poches plus ou moins protégées par les troupiers de l‘OTAN, dont Mitrovitza, la plus importante, ont apporté leurs suffrages aux candidats étiquetés Srbska lista, émanation du pouvoir politique en place à Belgrade. Ils auront donc les 10 sièges sur 120 députés, ces 10 strapontins qui sont constitutionnellement attribués à la minorité serbe.

Un rejet de l’UCK et de ses héritiers ?

La population, surtout les jeunes, rejette les héritiers de l’UCK qui s’en sont mis plein les poches après leur victoire sous protection, il faut le rappeler, otanienne. Corruption, médiocrité des services publics, clientélisme, sont les plaies du « pays », - le mot pays à écrire, bien sûr, entre guillemets -, dont souffre le Kosovo. Le président Hashim Thaçi, lui-même ancien chef de l’Union des combattants du Kosovo, soupçonné d’avoir trempé dans le trafic du sang des prisonniers de guerre et des civils serbes, devra composer avec l’opposition devenue majoritaire. Pour cela, il faudra qu’Albin Kurti, vieil adversaire des commandants, mais jeune et charismatique juriste, s’entende avec Mme Vjosa Osmani pour bâtir une coalition crédible. L’Union européenne et l’OTAN les guettent, car il leur faudra aussi réussir à normaliser les relations entre Pristina et Belgrade. Sur quelles bases ? Un échange de territoires ? On en a parlé, mais ce n’est pas du goût des occidentaux qui restent cramponnés sur la sacrosainte intangibilité des frontières. Des droits supplémentaires pour la minorité serbe ? Le président serbe Aleksander Vucic n’a pas fermé la porte à des négociations avec le nouveau cabinet de Pristina. Ce ne serait pas une première, il y déjà eu des conversations entre les parties sous les auspices de l’U-E. Mais que peuvent se concéder ces adversaires/partenaires ?

Une similitude entre le  Kosovo et le  « 9- 3 » ?

La réalité, le fond de la question, c’est que les Kosovars, - disons des Albanais musulmans -, sont devenus majoritaires dans cette ancienne province historique serbe, - comme une partie de l’île de France de nos rois, en tout cas la Seine-Saint-Denis -, grâce à l’immigration et à la natalité. Seine Saint-Denis/Kosovo, même combat ? Il faut raison garder, mais restons pragmatiques.

Aujourd’hui, il y a un fait accompli. Le Kosovo est devenu, majoritairement, albanais. (Comme le département 93, j’aurais tendance à dire la « willaya », est majoritairement peuplé de mahométans). Que faire ? La partition, une solution, comme en Bosnie, avec des mini républiques ou cantons ethniques ? Ou alors, rattacher les zones serbes à la Serbie, et le reste à l’Albanie ? Car, posons-nous la question : réellement, le Kosovo en tant que tel, a-t-il une raison, une justification pour exister sous la forme d’un État indépendant, souverain et internationalement reconnu ? L’Espagne, la Russie, la Chine et bien d’autres, ont dit  non. Une entité autonome, peut-être, au sein de la Serbie ou de l’Albanie ? Le rattacher à l’Albanie, créerait un terrible précédent. (On imagine les revendications en cascades, des Hongrois de Roumanie et de Slovaquie, des germanophones du nord de l’Italie etc.) Et, en plus, cela accentuerait une sorte d’injustice territoriale au détriment de la Serbie, mais surtout évacuerait un fait historique.

Oui, le Kosovo fut le berceau de la Serbie, comme l’île de France, grâce à nos rois, fut la matrice de notre nation. Mais, tant que cette question, latente, des droits des uns et des autres, ne sera pas réglée, le Kosovo sera comme une tumeur au sein du corps européen. Et quid de nos départements métropolitains, à nous « Français de souche », - quelle vilaine association de mots devenus « grossiers » ! -, par trop, disons, « exotiques » ?

21:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 10 OCTOBRE : LE RAPPEUR NON-CONFORMISTE KROC BLANC INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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20:40 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Catastrophe économique et écologique, risque pour la santé: l'appel de Fabien Bouglé pour arrêter les éoliennes

eoliennes.jpgCe scandale est dénoncé par Fabien Bouglé, qui publie une enquête sur ce sujet.

Fabien Bouglé estime que les éoliennes n’aident pas à la transition écologique et en plus coûtent cher aux contribuables“On a une électricité excédentaire. C’est-à-dire qu’on produit plus d’électricité que nos besoins.

On produit une électricité subventionnée qui coûtent à peu près 100 milliards d’euros selon la Cour des comptes pour une électricité qu’on va revendre au cours du brut à 45 euros le mégawattheure. Donc on finance à fonds perdus, une électricité dont on n’a pas besoin“.

Il affirme aussi que, aujourd’hui, la France est l’un des pays les plus vertueux en ce qui concerne l’énergie décarbonée et d’émission de gaz à effet de serre.

“90% de notre électricité entre le nucléaire et l’hydraulique est non-émettrice de gaz à effet de serre. Et comme on veut remplacer cette électricité par celle des éoliennes qui sont par essence intermittentes, ça conduit à compenser le moment où les éoliennes ne peuvent pas fonctionner par de l’électricité d’origine fossile comme le gaz, le charbon, ou le pétrole”.

Il dénonce un gaspillage d’argent public qui ne permet d’ailleurs pas de financer des projets de recherche sur des alternatives beaucoup plus crédibles.

“J’en appelle à Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie à l’heure où on va ouvrir la convention citoyenne pour le climat, arrêtez les éoliennes !”

Outre l’aspect économique, les éoliennes seraient nocives pour la santé“Il y a eu une étude de la NASA dans les années 80 qui a montré que les infrasons, qui sont faut-il le rappeler une arme de guerre, conduisent à des problèmes de santé grave. Un biologiste allemand qui vient de sortir un livre en juillet 2019 sur les impacts moléculaires des infrasons qui sont diffusés jusqu’à 20km des éoliennes”.

Sans compter que les éoliennes polluent nos paysages.

Source: Le Salon Beige

Rappelons aussi le livre d'Alban d'Arguant sur les éoliennes :

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17:47 Publié dans Livres, Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Laurent Alexandre : « Je pense qu il faut combattre Greta Thunberg ! »

Eric Morillot reçoit Laurent Alexandre, médecin, chef d'entreprise, essayiste, chroniqueur et militant politique sur #SudRadio !

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16:19 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reportage de la Manif Pour Tous réalisé par "Nous voulons Vivre" avec Véronique Lévy

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15:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

FILIP DEWINTER, DÉPUTÉ D'ANVERS, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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12:30 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Libère-toi Greta !

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Olivier Piacentini

À voir Greta à l’ONU, le réchauffement atteint une telle ampleur que l’urgence en deviendrait quasi immédiate. Ça chauffe, ça chauffe, au point de lui arracher sanglots, diatribes, implorations, suppliques et harangues enfiévrées. Je trouve pour ma part que, bien plus que le climat, c’est la santé de cette jeune fille qui se dégrade à grande vitesse.

Mais elle n’est pas la seule à sembler perdre la raison. Alors que, le doigt accusateur, le sourcil froncé et la haine dans le regard, elle invectivait les membres de l’ONU, coupables de crimes contre la planète, la jeunesse, l’humanité et j’en passe, ceux-ci l’ont acclamée avec ferveur. Il faut croire que le réchauffement échauffe vraiment les esprits, entre la petite qui envoie des fatwas à des dirigeants devenus masochistes et acceptent de battre leur coulpe, s’autoflageller à la vue du monde entier…

Pourtant, si j’étais ambassadeur à l’ONU, chef d’État européen, parlementaire français ou commissaire à Bruxelles, j’aurais peur de la croiser dans un couloir… En revanche, curieusement, patrons de multinationales qui délocalisent à tour de bras ou dirigeants chinois qui se fichent comme d’une guigne de la qualité de l’air, des nappes phréatiques, du carbone et du reste n’ont, semble-t-il, rien à craindre : les colères de Greta les ont jusqu’à présent épargnés…

Mais même dans ses accès de fureur apparemment incontrôlable, Greta ne perd pas le fil de l’idéologie qui sous-tend son discours. Alors qu’elle pleurait, effondrée, sur la jeunesse sacrifiée autant que la nature, les mots clés de la pensée gaucho-écolo ont vite retrouvé leur place au milieu des jérémiades. « Vous continuez à me parler de croissance, d’argent, de développement, alors que nous entamons une extinction de masse. ». Ça ne vous rappelle rien ?

Discours du club de Rome de 1972 : il faut stopper la croissance pour éviter l’extinction des ressources naturelles. Rappelons que, si l’on avait écouté ses prévisions, la planète serait déjà morte depuis des années : il était question de la fin du gaz et du pétrole avant l’an 2000, par exemple…

Alors, Greta, écoute pour une fois un ancien qui en a vu d’autres, trou dans la couche d’ozone, SIDA, grippe aviaire, H1N1 et j’en oublie : retourne donc à l’école, profite de la vie avec tes copines ou tes petits amis, tu as encore de belles années devant toi, pourvu que tu oublies toutes ces folies que d’autres t’ont mises en tête…

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Plus aucun intervenant public ne dit réellement ce qu’il pense

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Entretien d’Eugénie Bastié avec Richard Malka*

Le Figaro. - Des voix réclament qu’on bannisse des médias des personnalités soit condamnées par la justice pour provocation à la haine, soit mises en cause après des déclarations publiques. Assiste-t-on à une judiciarisation du débat d’idées ?

Ce n’est pas la judiciarisation qui est inquiétante, mais le triste renoncement à la culture du débat. La polémique est l’oxygène de nos sociétés. C’est un droit reconnu par les tribunaux et obtenu après des siècles de douloureuses luttes et de maturation démocratique. La libre expression des idées gênantes est une nécessité, parce que ces idées sont présentes dans l’esprit de chacun de nous. À défaut de pouvoir en débattre, nous les ruminons, elles métastasent, se répandent d’autant plus facilement qu’il n’existe plus de moyens techniques pour les endiguer, deviennent séduisantes par goût de la transgression et de l’interdit, alimentent le complotisme et créent des martyrs et des héros de la pensée « non officielle », là ou le débat démontrerait l’inanité et la pathologie de leurs thèses. Nos sociétés ne survivront pas si nous n’acceptons pas l’expression des idées qui nous blessent. C’est un impératif collectif qui nous dépasse.

N’y a-t-il pas une tendance à vouloir restreindre le champ des propos jugés légitimes et autorisés ?

Jamais, dans notre histoire, la justice n’a été aussi protectrice de la liberté d’opinion des journalistes et des intellectuels, et, par un effet paradoxal, ce sont main- tenant journalistes et intellectuels qui ré- clament des excommunications médiatiques. Mieux, on voudrait transformer des juges, qui n’ont pas le pouvoir de prononcer des interdictions professionneles, en directeurs de publication des médias. Ainsi, certains voudraient qu’une condamnation pour des propos passés interdise de s’exprimer pour le futur, ce qui porte un nom : la censure. Une telle règle, qui n’existe dans aucun code, ni même charte déontologique, entraînerait une multiplication exponentielle des poursuites de tous contre tous afin d’obtenir le Graal permettant d’écarter tel ou tel adversaire du débat public. Elle influerait sur les décisions des juges qui n’oseraient plus condamner et déresponsabiliserait les dirigeants de médias. Quand comprendrons-nous qu’interdire une personne d’expression, c’est laisser croire à un grand nombre qu’elle détient une vérité interdite ?

Qu’en est-il des sanctions non judiciaires ?

Le danger pour la vie des idées, c’est précisément le transfert de la responsabilité de sanctionner à des autorités administratives composées de personnes nommées par le pouvoir politique. Celles-ci, très respectables, privilégieront toujours l’air du temps, les pétitions et la sensibilité de leur entourage plutôt que les problématiques extrêmement complexes de la liberté d’expression qui n’est pas leur culture. Je ne crois pas que l’avenir des chaînes de télévision ou de radio soit de s’adresser uniquement au centre droit et au centre gauche, et encore, pas sur tous les sujets ni sur tous les tons.

Les partisans de cette surveillance affirment que « les mots tuent ». N’ont-ils pas raison d’établir un continuum entre la parole et les actes ?

Cela me semble indiscutable. Au commencement, il y a toujours le verbe. Sans remonter à la propagande nazie, Radio Mille Collines a méticuleusement préparé les esprits au génocide rwandais et on ne se réveille pas Mohamed Merah allant tuer des enfants juifs de 4 ans sans lavage de cerveau préalable. Avant, il y a, partout, les mêmes discours victimaires : « Vous êtes humiliés, bafoués, méprisés, exploités... Il est temps de réagir en exterminant vos ennemis. » Cette rhétorique primaire fait des ravages dans les têtes avant de se transformer en actes. Pour autant, je ne veux pas l’interdire - ce qui serait impossible -, mais la déconstruire.

En définitive, qu’est-ce qu’un délit d’opinion ? En existe-t-il aujourd’hui dans notre droit ?

Théoriquement, non, l’opinion et les jugements de valeur sont libres, protégés par la Cour européenne des droits de l’homme, nos lois et nos tribunaux, et cela s’étend expressément aux idées « qui heurtent ou qui choquent ». Aux États-Unis, cette liberté est quasi absolue, protégée par le premier amendement de la Constitution. On peut y défiler avec des croix gammées. Et une loi prohibant le négationnisme serait inimaginable. Ce choix consiste à parier sur le bon sens du peuple censé être effaré par la violence de propos extrêmes, alors qu’il pourrait être séduit par un discours délétère mais lissé sur la forme ou codifié pour éviter les foudres de la loi.

Sous nos latitudes, bien plus traumatisées par les crimes du nazisme, ce système juridique serait culturellement inacceptable et la liberté d’expression est plus encadrée. Le délit d’incitation à la haine et à la discrimination est un délit d’opinion. Dire que les Juifs sont responsables de tous les malheurs du monde ou que les musulmans vont exterminer les « Français » relève de l’opinion, mais aussi des tribunaux, en raison du nécessaire maintien de la paix publique.

Il y a donc des opinions interdites. N’est ce pas-là une boîte de Pandore pour la liberté d’expression ?

La jurisprudence de la Cour de cassation a évolué en 2017 dans un sens libéral. Pour que le délit d’incitation à la haine ou à la discrimination soit retenu, il est mainte- nant exigé une « exhortation » à la haine ou à la discrimination, ce qui explique qu’un groupe de rap qualifiant la France de «pays de nazillons puants et de petits Gaulois de souche, racistes et assassins » ait été relaxé. De même pour Alain Soral et un dessin représentant une caisse enregistreuse marquant 6 millions à côté du camp d’Auschwitz en ironisant sur la « Shoah business ». De même pour Christine Boutin dénonçant l’homosexualité comme « une abomination ». Ces propos sont écœurants, mais on ne peut pas interdire tout ce qui nous choque si ce n’est en renonçant au débat. L’interdiction d’une opinion, la plus monstrueuse soit- elle, est toujours un aveu de faiblesse de la démocratie, elle dit que nous ne croyons pas en nos capacités de conviction et à la maturité du peuple. Plus nous interdisons, plus nous avouons avoir perdu la foi et être incapables de protéger nos valeurs autrement qu’en bannissant de la cité le point de vue adverse. Les délits d’opinion doivent rester exceptionnels, réservés à l’insupportable - d’où l’exigence d’une véritable exhortation – et à l’incontestable, car, sur nombre de sujets, ce que l’un estimera légitime sera nauséabond pour l’autre. Qui détient la vérité ?

Vous êtes l’avocat de Charlie Hebdo. Diriez-vous que, près de cinq ans après la tuerie, la liberté d’expression a régressé en France ?

Vu le journal dans lequel je m’exprime, permettez-moi de citer la fameuse réplique de Figaro : « Pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tien- ne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. »

Deux cent cinquante ans plus tard, malgré une révolution, la proclamation de la liberté d’expression comme un des droits les plus précieux de l’homme, la grande loi protectrice de 1881, et un siècle de plus pour que la justice se transforme en ultime garant et non en censeur de cette liberté, nous sommes revenus à l’état décrit par Beaumarchais par l’effet de l’irrépressible besoin des hommes d’interdire les opinions qui ne sont pas les leurs, par peur du doute et amour des certitudes. Si seulement c’était l’inverse ! Les tabous ne sont plus les mêmes qu’à l’époque de Beaumarchais, mais la liste des interdits s’allonge chaque jour : les religions, les communautés, le sexe, le genre, le climat, l’humour noir, tout y passe jusqu’aux pièces du théâtre antique accusées d’être racistes. On doit parler avec des pincettes géantes sur un tel nombre de sujets que plus aucun in- tervenant public ne dit réellement ce qu’il pense. Le double discours devient la norme par peur du lynchage. C’est un mouvement profond et d’ampleur. Ce qui a changé, c’est que l’État ou la justice n’y sont plus pour rien, c’est nous-mêmes qui dressons la liste.

(*) Richard Malka est l’avocat au barreau de Paris qui a notamment défendu « Charlie Hebdo », est un ardent partisan de la liberté d’expression. 

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LA BOUTIQUE D'ART "FORMES ET OMBRES" SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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Débat sur l'immigration.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que celà n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet: vide de tout sens.
 
Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevènement (" nous ne devons pas être dans le déni"), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
 
Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.
 
Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne: "Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste".
 
Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT !

00:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DANS "PRÉSENT" D'AUJOURD'HUI : UN GRAND ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE AU SUJET DU RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DES 12 ET 13 OCTOBRE

9465-20191009.jpgRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, présente le rendez-vous Bleu Blanc Rouge (13e Journées nationalistes et identitaires) des 12 et 13 octobre prochains à Rungis (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

Entretien publié dans les colonnes du quotidien Présent.

Samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains, votre revue Synthèse nationale organise à Rungis ses 13e Journées annuelles. Comment cela va-t-il se passer ?

Pour la 13e année consécutive, Synthèse nationale organise ses journées nationalistes et identitaires. Mais cette année, il y a du nouveau. Tout d’abord, vu le succès grandissant des précédentes éditions, nous avons décidé de les tenir sur deux jours, le samedi et le dimanche. De plus, en accord avec le président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre et qui sera d’ailleurs présent dimanche 13 octobre, nous les avons intitulées « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge », ce qui, n’en doutons pas, évoquera bien des souvenirs aux patriotes et donnera un nouvel élan à ce rassemblement annuel des Français attachés à la défense de la France française et de la civilisation européenne…

Dans le contexte actuel, il y a beaucoup à faire, ne croyez-vous pas, pour maintenir face au mondialisme triomphant, la volonté nationale et européenne ?

Tout d’abord, il convient de bien faire la part des choses. Si la « mondialisation », à l’heure des voyages et transports rapides et de l’internet, est un fait, le « mondialisme » destructeur des nations et des identités, lui, est un dogme. Et c’est ce type de dogme que nous combattons.

Il se trouve que nous sommes français et européens et que nous entendons le rester. Je dis cela sans aucun mépris pour quiconque, mais je pense que notre pays ne doit pas disparaître dans le magma nationicide et ethnocide que veulent nous imposer les promoteurs du monde globalisé dans lequel seuls les profits et la finance seraient les gagnants. Cela aux dépens des peuples qui en paieront très cher les conséquences bien sûr…

Comment cela se caractérise-t-il ?

Par le formatage systématique, à l’école comme dans les médias, des cerveaux. Par le grand brassage des populations avec toutes les conséquences néfastes que l’on observe de plus en plus. Par la destruction volontaire des repères, familiaux, sociétaux, historiques, géographiques… En fait, les mondialistes n’ont qu’une ambition, celle de réduire les humains à l’état de consommateurs dociles et bien gavés juste bons à enrichir les multinationales apatrides…

Que proposez-vous face à cela ?

Pour nous, il ne peut pas y avoir d’avenir radieux pour notre peuple sans une rupture totale avec le dogme mondialiste. Il faut que la France et l’Europe retrouvent leur liberté et leur identité. Seule une mobilisation unitaire des forces nationales et nationalistes pourra mettre à bas les prétentions de la classe politico-affairiste. Notre devoir à tous est de redonner par tous les moyens à nos compatriotes une conscience nationale et identitaire. C’est dans cet esprit que, depuis la création de la revue Synthèse nationale, en 2016, nous nous battons.

Revenons au « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge » des 12 et 13 octobre…

Nous essayons de faire en sorte que toute la famille nationale, tout du moins ses composantes qui le veulent bien, se retrouve afin de montrer que, pour nous, les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. Nous ne demandons pas aux gens de forcément s’unir, nous leur proposons simplement de travailler pour la même cause. Chacun a ses particularités, mais tous ont un dénominateur commun (le plus petit peut-être, mais pas le moindre à nos yeux), celui de l’amour de la France et de l’Europe. Voilà pourquoi, durant ses deux jours, une trentaine d’intervenants, aux sensibilités différentes et parfois même opposées, se succéderont lors des forums ou du meeting final.

Notre but est de prouver, grâce à ces journées, que le courant national non renié, au sens large du terme, a plus que jamais toute sa place dans le paysage politique et culturel français…

Dernièrement s’est déroulée à Paris une « convention de la droite » qui a beaucoup fait parler d’elle. N’est-ce pas une sorte de concurrence pour vous ?

Absolument pas. Il faut que cent fleurs s’épanouissent. Cette convention, comme toutes les initiatives similaires, montre que le curseur se déplace de plus en plus vers « la droite » (employons ce terme pour faire simple) et je m’en réjouis. Nous n’avons pas la prétention d’agir seuls. Si d’autres nous emboitent le pas, c’est tant mieux… Nous, c’est-à-dire l’ensemble des mouvements et associations présents à nos journées, nous sommes le pôle précurseur.

La situation se détériore de jour en jour. Nous n’avons plus le temps ni les moyens de nous offrir le luxe d’entretenir des querelles stériles. Il est regrettable que certains ne l’aient pas compris et continuent à lancer des anathèmes stériles internes à notre famille de pensée. Bientôt, il sera trop tard si rien n’est fait… C’est aussi pour instaurer un nouvel état d’esprit que nous agissons… Mais, je le rappelle, Synthèse nationale n’est ni un parti ni un mouvement. C’est simplement une revue qui propose… Après, les organisations compétentes disposent.

Concrètement, comment cela se déroulera-t-il ?

Ouverture des portes samedi 12 octobre à partir de 14h00. Plus de 70 stands politiques, associatifs, culturels et mêmes commerciaux seront là pour vous accueillir. Trois forums dans l’après-midi : un sur la liberté d’expression animé par Hugues Bouchu, délégué francilien des Amis de SN, avec des victimes récentes de la répression d’État comme Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon (Rivarol), Daniel Conversano, Caroline-Christa Bernard, les responsables du Bastion social dissout en mai dernier… Un deuxième sur l’Europe, animé par Gabriele Adinolfi de l’institut Polaris avec l’écrivain Thomas Ferrier et des amis venus de Grèce, d’Italie, d’Espagne, de Belgique et d’ailleurs… Un troisième sur la culture autour de Philippe Randa (EuroLibertés et collaborateur de Présent) avec Anne Brassié, Thierry Bouclier, Pierre Gillieth (Réfléchir et Agir)… De nombreuses autres personnalités participeront à ces forums.

Le samedi soir, à partir de 19h30, se déroulera un grand banquet patriotique et festif (concert de Dr Merlin et des Feux follets, groupe de folk traditionnel européen, auquel nous vous invitons à participer nombreux (30 euros par personne).

Le dimanche, ouverture à 11h00 avec un forum sur l’avenir de notre nation et de notre civilisation auquel participeront entre autres Jean-François Touzé, Serge Ayoub, Vincent Vauclin (la Dissidence française) et aussi l’économiste Bernard Monot. Après le déjeuner (restauration et bar sur place), le concert très attendu de nos chères Brigandes (14h30) puis, à partir de 16 h, le meeting final avec Pierre Vial (Terre et peuple), Richard Roudier (Ligue du Midi), Pierre Cassen (Riposte laïque), Alain Escada (Civitas), Thomas Joly (Parti de la France), Martin Peltier (journaliste et écrivain), Roger Holeindre sur lequel nous venons d’éditer un livre-entretien, des amis européens, et, comme je vous l’indiquais, Jean-Marie Le Pen qui nous parlera du deuxième tome de ses Mémoires qui vient de paraître. Je conclurai pour ma part ces journées vers 18h00.

Ajoutez à tout cela de nombreuses animations ludiques et musicales, les dessinateurs Ignace et Pinatel, des auteurs indépendants et non-conformistes… Bref, vous ne regretterez certainement pas d’être venu. Le programme complet est disponible sur notre site cliquez là

Un nouveau succès pour Synthèse nationale en perspective ?

Qui y sera verra…

Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, 13e Journées de Synthèse nationale, samedi 12 (à partir de 14 h 00) et dimanche 13 octobre (à partir de 11 h 00), Espace Jean Monnet 43 rue des Solets à Rungis (94), entrée (pour deux jours) : 10,00 euros. Facile d’accès par RER ou par métro et tram. Parking assuré.

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L'ADMP SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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mardi, 08 octobre 2019

Il vaut mieux en rire... pendant que le pays s'effondre

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MANIF POUR TOUS LE RETOUR !

Reportage réalisé par Le Cercle Richelieu sur "Marchons enfants" qui a eu lieu dimanche dernier.

Le retour de la manif pour tous contre la PMA et la GPA.

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13:23 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les effarantes dérives de l’Aide médicale de l’Etat

ame.jpgChargée pendant onze années de la facturation des soins à la direction financière d’un hôpital public, Véronique Prudhomme publie La Vérité sur l’AME, un livre dans lequel elle dénonce les dysfonctionnement du système.

C’est un patient venu d’Afrique du Nord, monté dans l’avion avec un drain thoracique. Il se présente aux urgences muni d’un courrier d’un médecin de son pays demandant à ses confrères français de lui prodiguer un traitement chirurgical précis. L'hom­me n'en est pas à son premier traitement dans l'Hexagone: il bénéficie de l'aide médicale de l'État (AME) pendant un an, tout en continuant à résider à l'étran­ger. Alors qu'il n'est pas clandes­ tin, ce qui est pourtant la condi­tion pour être éligible à l'AME.

Vrais ou faux touristes, étran­gers fortunés, fraudeurs en bande organisée, Véronique Prudhom­me en a vu passer, des res­quilleurs, en onze ans à la direc­tion financière d'un hôpital public d'Île de-France, chargée de la facturation des soins... «  Té­moin de tant de dévoiements et de dysfonctionnements », elle décrit dans un livre, La vérité sur l'AME, « un système extrême­ment permissif ».

Venu tout spécialement se faire opérer à Paris en neurochirurgie, cet autre étranger a naturelle­ment enchaîné avec le service de rééducation fonctionnelle d'un grand hôpital de l'AP-HP, où il séjourne - et progresse - « depuis plus d'un an ». Il « est aujourd'hui entré dans une durée déraisonna­ble d'hospitalisation en rééduca­tion, observe le chef de service. Mais il répète que si on entrepre­nait de le transférer vers un hôpital de son pays, où pourtant les soins de rééducation sont relativement développés, il « préférerait se jeter dans Seine ». Quelle solution à cette « équation médicale, sociale et psychologique complexe, de plus en plus fréquente ? interroge-il. « L'obtention de l'AME et la gratuité qui en découle rendent encore plus improbable son acceptation de poursuivre dans son pays ses soins de rééducation, qui devraient se prolonger sur de nombreuses années en ambulatoire » Dans l'hô­pital où travaille ce professeur de médecine, « près d'un tiers des lits de rééducation » sont occupés « à l'année » par ce type de pa­tients. Ce qui entraine, fait-il remarquer, « une perte de chances pour tous ceux qui, en attente de rééducation, ont contribué toute leur vie au système par le paiement de cotisations sociales ».

Le cas le plus fréquent, témoigne Véronique Prudhomme, est celui du patient qui, arrivé avec un visa touristique, attend que sa durée de séjour autorisée expire pour devenir illégal et obtenir l’AME. D’autres étrangers semblent « tomber malade dans l’avion », et, entrant par les urgences d’un hôpital public, s’affranchissent sans scrupule de l’étape du règlement. « Qu’ils aient une couverture maladie, par le biais de l'AME ou non, ne fait pas de différence pour ceux-là, explique l'auteur. Ils viennent re­cevoir des soins, de façon prémé­ditée ou non , et peu leur importe que la facture soit impayée ou payée par le dispositif. En revanche, le service financier de l'éta­blissement concerné est particuliè­rement demandeur d'obtenir une AME pour ces patients, afin d'as­surer le paiement des frais de santé engagés... » Elle a ainsi vu « arriver des personnes de tous les coins de la planète, notamment des pays du Golfe », la plupart du temps accompagnés d'un interprète qui connaît parfaitement le système... Une liste d'interprètes « que l'on avait l'habitude de voir au guichet avec des patients, jamais les mê­mes », deux ou trois adresses autour de l'hôpital, qui reve­naient en boucle, voilà « la preuve d’une organisation bien rodée ».  

Créances irrécouvrables

« Recruté sur l'application Whats­ App, l'interprète organise à dis­tance le voyage, tel un super ma­jordome, trouve un logement et coordonne les déplacements en taxi, détaille-t-elle. Au guichet, il se présente comme un ami du pa­tienf malencontreuseme tombé malade durant ses vacances.» À l'un de ces « interprètes », qu'elle commence à bien connaître, elle demande s'il a « donné les tarifs de l'établissement » à son « ami » du jour: « Eh non!, s'exclame-t­ il. Il vient en France, je m'occupe de tout et il n'a rien à payer, c'est gratuit, ici ! »

Le coût de l'AME, insiste l'auteur, n'est que l'un des paramètres pour considérer le coût des soins délivrés aux étrangers sur le sol français. Il faut, par exemple, y ajouter les « non facfurables ». Ainsi ce Géorgien pris en charge aux urgences: « La discussion avec lui était impossible.» Où envoyer la facture? Du coup, elle n'a jamais été émise. Ou encore ce vendeur de rue : hospitalisé en juin, il n'a obte­nu son AME qu'en août... « Ces soins non facturés et ces créances irrécouvrables, souligne-t-elle, ne s'invitentjamais au débat sur l'AME et aux études de son bilan financier.» Son établissement, d'environ cinq cents lits, «  a facturé en 2016 et 2017 entre 320 000 et 400 000 euros de soins à l'AME ». Quant aux créances irrécouvrables, elles représentent « un peu plus de 500 000 euros chaque année ».  

Stéphane Kovacs pour Le Figaro

La vérité sur l’AME, Véronique Prudhom­me, Editions Viasocial, 200 p., 18 €.

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TV LIBERTÉS SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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Jean Lasalle, ce Don Quichotte tellement français

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La chronique de Philippe Randa

Jean Lasalle, député des Pyrénées-Atlantiques depuis 1982 (tout de même !), s’est fait connaître de beaucoup de Français dès 2013 par son tour de France à pied à la rencontre de ses compatriotes, puis par tous avec sa participation à la dernière élection présidentielle.

Quel étonnant bonhomme : le qualificatif lui va à ravir avec sa gouaille et son accent impayable ! Car cet ancien-vice-président du Modem vient d’accorder un entretien des plus roboratif  au très modérément « centriste » site de réinformation Breizh info (www.breizh-info.com) !

Qu’en en juge : «  Nous étions dans un modèle de démocratie qui devient désormais un système soviétique, avec la dictature de la finance à la place de la dictature du prolétariat. Cette finance échappe totalement au contrôle de l’homme, et tout est fait même pour que l’homme ne représente plus rien (…) Les Gilets jaunes ont certes fait progresser plus la France en 15 semaines que les politiques en 40 ans (:) C’est la dernière question révolutionnaire de notre pays, cependant elle a été anéantie par le pouvoir en place qui a utilisé l’extrême-gauche et n’a pas fait de quartier sur le plan judiciaire. »

Quand à «  la Pravda », ainsi que notre Don Quichotte de la politique française définit le consortium France Télévisions, il assène : « C’est surtout un totalitarisme financier, et la finance investit dans les médias qui deviennent totalement aux ordres. Les médias mainstream ne présentent plus aucun intérêt, il n’y a plus de quatrième pouvoir. À la place, on a le bourrage de crâne permanent qui accompagne les déclarations de Macron, qui parle par exemple dernièrement sur les bourgeois et les couches populaires pour qualifier la France. »

Il ne cache pas son intention de « rempiler » à la prochaine présidentielle. Et s’il était élu par une « divine surprise » ? L’histoire est parfois si facétieuse…

Notre pays y gagnerait sans doute un honnête homme, mais surtout un sacré franc-tireur de la liberté d’expression. Il sont si peu nombreux !

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10:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 07 octobre 2019

LES "FEUX FOLLETS" PROPOSERONT UNE INITIATION AUX DANSES ET À LA MUSIQUE TRAD FOLK LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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JORGE ALVAREZ, HISTORIEN ESPAGNOL, NOUS PARLERA DE LA PROFANATION DE LA TOMBE DU GÉNÉRAL FRANCO LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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Le Zéro et l’Infini, version XXIe siècle : Macron et ses électeurs

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Bernard Plouvier

Emmanuel Macron, jeune et beau gosse, de l’énergie et du bagout à revendre, présente toutefois un petit inconvénient – oh, minime, on le reconnaît volontiers : son bilan est aussi nul que celui des Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande qui l’ont précédé.

Grand Président People c’est :

  • L’immigration incontrôlée (avec 1 à 1,5 million d’immigrés en situation illégale en plus des 10 à 13 millions d’autres, dit « légaux », voire naturalisés)
  • Une propagande mensongère quant aux bénéfices supposés des immigrants africains, antillais et proches-orientaux (où l’islam djihadiste recrute), d’où :
  • Des mensonges, également, sur l’innocuité de l’islam en France
  • Un chômage qui continue de croître
  • Et une croissance des dépenses publiques, en dépit des promesses électorales
  • Le mépris total du menu peuple et des notions de famille et de patrie (mais le mondialiste Macron ne doit même pas connaître les mots de Nation et de Terre des Pères)

Bref, ce jeune Président, très arrogant, « dominateur et sûr de lui » (comme aurait dit un spécialiste de la chose, l’illustre « Général-micro »), nous a apporté – à nous autres Français de souche européenne - moins que Zéro : du négatif !

L’ennui est que la stupidité – osons le mot : la CONNERIE – des électeurs français donne à l’observateur un aperçu de l’Infini.

Au total, Macron a de fortes chances d’être réélu si ses maîtres lui offrent quelques dizaines de millions d’unités de compte (dollars ou euros, cela importe peu) pour battre la grosse caisse médiatique.

La démocratie est la loi du nombre et, sauf accident rarissime, c’est le nombre de millions versés aux media qui oriente le million de votes, unité avec laquelle on élit un Président de la Ripoublique.

19:30 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rouen explose – Les Reportages de Vincent Lapierre

L'explosion de l'usine Lubrizol a produit autant de pollution que de questions. Les Rouennais demandent toute la vérité sur cette affaire.

L'usine de pétro-chimie Lubrizol située à Rouen a explosé au matin du jeudi 26 septembre, provoquant un nuage de fumée toxique qui a survolé la ville durant de longues heures. A quels produits ont été exposés les Rouennais ? Pourquoi les autorités ne donnent aucune information concernant la procédure à suivre pour se protéger ? Pourquoi disent-elles qu'il n'y a aucun risque alors que tout indique le contraire ? C'est ce que sont allés demander les Rouennais à une réunion d'élus locaux avec le préfet.

Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient également sur place.

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17:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Marchons enfants » contre la PMA… la foule des grands jours est de retour !

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De Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

Disons-le, personne ne s’y attendait. Personne n’imaginait la foule des grands jours de la Manif pour tous capable de se remobiliser, en tout cas pas dans ces proportions : l’usure du combat, le mépris, la brutalité et l’injustice patente avec lesquels elle avait été traitée en 2013 – Emmanuel Macron ne reconnaissait-il pas lui-même qu’elle avait été humiliée ? – et puis surtout le sentiment las et résigné que tout est déjà plié, acté…

Non, personne ne s’y attendait, ni manifestants venus par devoir, ni organisateurs ravis et éberlués, ni opposants, dont les commentaires dépités et acides grincent sur les réseaux sociaux, ni surtout préfecture de police, si l’on en croit l’itinéraire sous-dimensionné aux artères trop étroites et saturées, qui a forcé, après quelques cafouillages – dont l’ordre de rebrousser chemin ! -, à aiguiller dans un parcours de délestage une partie des manifestants, encore bloqués et serrés autour du Sénat alors que la tête de cortège arrivait à Montparnasse.

Les organisateurs revendiquent 600.000 manifestants, chiffre sans doute (c’est la loi du genre) un peu surévalué. Occurrence, un « cabinet de comptage indépendant » – l’est-il réellement ? Au vu des tweets émanant de certains de ses dirigeants, on peut en douter -, donne le chiffre de 74.500… mais son calcul repose sur l’installation préalable, en hauteur, de capteurs sur le chemin de manifestation ! Quid, donc, du deuxième parcours, décidé à la hâte au vu de la saturation du premier ?
Mais au-delà de la guerre des chiffres demeure une réalité palpable qui a fait l’unanimité sur le terrain : journalistes, policiers et manifestants présents ont constaté une affluence supérieure à la première Manif pour tous, laissant imaginer ce que pourrait être une montée en puissance, au fil des mois, du mouvement désormais regonflé d’espoir par ce premier succès, puisque déjà de nouvelles dates de rassemblement ont été données.

Bien sûr, les atouts et les faiblesses demeurent.

Faiblesse d’une France bien élevée qui ne fait pas peur, que l’on ne redoute en rien parce qu’elle n’est pas prête à tout. La fin, pour elle, ne justifie pas les moyens, et elle n’est pas agressive, elle est donc – c’est son honneur, et sur un plan cyniquement stratégique son erreur – inoffensive. Rien, bien sûr, n’a été cassé. Aucun débordement n’a été constaté. Des groupuscules provocateurs porteurs de rainbow flag ont arpenté et harangué le cortège sans réussir à s’attirer le moindre quolibet. Il serait intéressant de faire la même expérience avec un porteur de drapeau LMPT à la Gay Pride… si l’on trouve un kamikaze assez fou pour le tenter. Elle n’est pas la France du Grand Soir qui fait la révolution, elle est la France du Petit Matin qui ne connaît que la (re)construction. Alors, évidemment, la manifestation n’est pas son terrain de prédilection.

Atout d’une France bien élevée forte de sa jeunesse que l’on retrouve une nouvelle fois très nombreuse, structurée, gaie, endurante, aimant la vie et les amis qu’elle se plaît à retrouver ici et, parce que c’est de son âge, attirée par ce parfum de transgression dont, par un retournement des valeurs, ces manifestations dites conservatrices sont devenues porteuses.

Gagnera, gagnera pas ? L’avenir le dira. En tout cas, la PMA ne passera pas si simplement que ça.

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Christophe Castaner doit démissionner !

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Le bidonnage des chiffres de la manifestation d’hier est le dernier scandale qui agite la place Beauvau. Mais celui sur l’identité de Mickaël Harpon, le terroriste infiltré dans la police, agite toutes les rédactions :

Après un hiver et un printemps marqué par les polémiques autour de son incapacité à maintenir un ordre public bousculé par les Gilets Jaunes, puis autour de la violence de la répression policière, y compris à Nantes dans l’affaire Steve Maia Caniço, voici une nouvelle épine dans le pied du gouvernement. Un attentat islamiste vient d’être commis dans les locaux de la Préfecture de police, par un fonctionnaire informaticien affectée à la direction du renseignement… Or, peu de temps après l’attentat, à l’unisson de la communication gouvernementale hasardeuse sur l’affaire Lubrizol, Christophe Castaner expliquait la bouche en coeur que rien ne permettait d’anticiper l’attentat.

Jeudi, peu après les faits, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmait que l’adjoint administratif n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale », ni « le moindre signe d’alerte ».

Malheureusement pour lui, la vérité est très différente.

Assez rapidement, les informations ont filtré sur le véritable profil de Mickaël Harpon, très éloigné de l’image rassurante que Castaner en a dressée.

Ainsi, dès le lendemain de l’attentat, le Parisien donnait des détails instructifs sur le mode opératoire du terroriste et surtout sur les signalements dont il avait fait l’objet de la part de ses collègues:

Sur procès-verbal lors des premières investigations, un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ». Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ». Pour autant, il restait inconnu des services de renseignement, ces alertes n’étant apparemment pas remontées.

Certes, on veut bien qu’il n’y ait pas plus mal chaussé qu’un cordonnier. Mais quand même… Que les services de renseignement soient si mal renseignés sur un informaticien dont il est précisé qu’il a « accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical », ça pose un petit problème.

Dès samedi, le procureur anti-terroriste donnait une conférence de presse précisant le profil du terroriste:

Les premières investigations ont relevé son «approbation de certaines exactions commises au nom de cette religion», «son souhait de ne plus avoir certains contacts avec des femmes», «sa justification» des attentats de Charlie Hebdo en 2015, «son changement d’habitude vestimentaire depuis quelques mois», a déclaré le procureur antiterroriste lors d’une conférence de presse.

Progressivement, on comprend que le discret informaticien était en contact par Telegram avec trois djihadistes dont on ne sait où ils se trouvent. Le ministère prend donc peu à peu conscience de la présence d’une taupe de Daesh dans ses rangs.

Toute la question est de savoir, comme Christophe Castaner et Laurent Nunez l’ont affirmé devant les caméras de télévision, pourquoi les signalements émis par les collègues d’Harpon n’ont pas été « remontés ». Sur ce point, qui risque de s’envenimer dans les jours à venir (Castaner sera auditionné mardi au Parlement, et cette audition vaudra son pesant de cacahuètes), il existe aujourd’hui un grand flou. Selon Laurent Nunez, interviewé ce midi sur BFM TV, la hiérarchie directe des policiers aurait refusé de faire « remonter » leur signalement. Selon Christophe Castaner, les deux collègues de Harpon ont refusé de faire le signalement:

Selon Christophe Castaner, «deux collègues de l’assaillant auraient, en juillet 2015, fait état d’un comportement anormal et d’un problème suite à l’attentat de Charlie Hebdo. Ils auraient décidé de ne pas faire de signalement, après avoir discuté avec leur collègue chargé des radicalisations». Selon le ministre de l’Intérieur, qui a déploré qu’aucun signalement ne soit remonté, «le dysfonctionnement se fait à ce moment-là». (…)

Deux mois plus tard, les mêmes collègues ont maintenu leur volonté de ne pas faire de signalement, arguant «ça va, on va gérer», toujours selon les propos de Christophe Castaner.

On ne sait pas encore tout des circonstances qui ont amené les collègues de Mickaël Harpon à ne pas formaliser leur signalement. De nouvelles péripéties sont sans doute à attendre sur ce sujet. D’ici là, on est bien obligé de mettre bout à bout les relations complexes de la Préfecture de Police avec le pouvoir exécutif.

Tout commence avec l’affaire Benalla. Selon ce qui ressort du dossier, ce sont des policiers gradés de la Préfecture de Police qui proposent à Alexandre Benalla de jouer au CRS, en dehors de toute couverture hiérarchique explicite, selon ce que l’on sait aujourd’hui. Lorsqu’une enquête parlementaire interroge Alain Gibelin, le directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC), on découvre qu’un policier de ce rang peut publiquement fragiliser la version de l’Élysée. Selon le Préfet de police, lui aussi auditionné, des fonctionnaires de la DOPC prennent des décisions sans en référer à leur hiérachie.

Quelques mois plus tard, le préfet de police est poussé à la démission au vu des désordres qui règnent dans Paris chaque samedi. Il prétend alors que les ordres qu’il donne ne sont pas appliqués dans les services. Une fois de plus, la police parisienne apparaît en roue libre.

On comprend progressivement que, avec l’arrivée de Macron au pouvoir, et plus singulièrement avec l’arrivée de Castaner à Beauvau, les policiers parisiens prennent seuls des décisions politiques qui concurrencent directement l’autorité des ministres. Jusqu’à considérer qu’ils n’ont pas à respecter des consignes de prévention du terrorisme sur leurs propres bancs. Ils forment un gouvernement profond qui s’émancipe de l’autorité démocratique. Visiblement, ceux-là ont poussé l’ambition jusqu’à mettre en danger leurs effectifs. La démocratie peut-elle tolérer longtemps ce genre d’écart ? La balle est dans le camp de Macron et de Castaner.

La peur du procès en islamophobie nous coûte des vies : on n’ose plus éloigner les islamistes des professions à risques. Nous sommes en présence d’une cinquième colonne, infiltrée dans nos rangs. C’est la rançon de l’idéologie du “vivre-ensemble”. Quand Eric Zemmour dénonce l’islamisme, l’idiot dénonce Zemmour. Nos 4 policiers ont perdu la vie car les bien-pensants ont perdu la raison.

Source: Le Salon Beige

16:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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10:54 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |