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mardi, 26 août 2025

Saint Louis raconté par Philippe de Villiers

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lundi, 25 août 2025

Les Mousquetaires du Président à la Trinité-sur-Mer : Honneur et Fidélité

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Samedi dernier, une délégation des Mousquetaires du Président s'est rendue au cimetière de la Trinité-sur-Mer, sur la tombe de Jean-Marie Le Pen, pour rendre hommage au Menhir qui nous a quitté en janvier dernier.

Une plaque en granit a été déposée sur la tombe ainsi qu'une photo de notre regretté Ami Eric Staelens, chef des Mousquetaires, lui-aussi décédé quelques jours avant Jean-Marie le Pen cliquez ici.

Un bel acte de Fidélité de la part de ceux qui, des années durant, se sont dévoués en prenant parfois des risques importants pour assurer la protection du Président. Honneur aux Mousquetaires...

S N

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Les énormes contradictions et hypocrisies des instances officielles juives en France

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Michel Festivi 

Lorsque l’on veut lutter contre un ennemi qui souhaite votre mort ou votre destruction, il faut viser au cœur, et ne pas se tromper de cible et faire des amalgames spécieux voire hypocrites. Il s’agit d’y voir clair et ne pas se fourvoyer et égarer sa propre communauté. Or c’est exactement ce qui se passe actuellement avec la plupart des instances officielles juives en France, vis-à-vis de la montée inexorable de l’antisémitisme, directement et uniquement liée à l’islamisme galopant et à ses relais, l’ultra-gauche, l’extrême-gauche, LFI notamment.

Ces derniers jours, devant l’énorme prolifération d’actes antisémites de toutes natures, visant au quotidien les juifs vivant en France, les diverses autorités juives se sont répandues sur de nombreuses chaînes de télévision, pour, à juste titre, les dénoncer. C’est ainsi que l’on a pu entendre des rabbins, des membres du CRIF, du Consistoire, des Synagogues, se relayer pour sonner l’alerte. C’est très louable, à condition d’être cohérent, or ce n’est absolument pas le cas de la plupart de ces institutions et personnalités, qui continuent à assimiler dans un même opprobre falsificateur, LFI et le RN ou Reconquête.

On se souvient que toutes, je dis bien toutes les organisations juives de France, avaient appelé sans distinction aucune à faire barrage tant à LFI qu’au RN et aux « extrêmes », lors des élections législatives de juillet 2024, donc en réalité, implicitement à soutenir LFI. Gabriel Attal, Elisabeth Borne avaient été le fer de lance de cette propagande, relayée par toute la gauche, la macronie, les centristes, la plupart des LR et toutes les cliques des bien-pensants. On a vu ce qu’il en est advenu, jamais LFI n’eut un groupe aussi important, et le RN promis après le premier tour à une majorité au moins relative, a dû en démordre en partie.

Au final, le résultat de cette tartuferie fut que l’antisémitisme s’est décuplé en France depuis comme jamais, tous les jours un ou plusieurs actes antisémites sont à déplorer. Seul Serge Klarsfeld, puis son fils Arnaud, eurent le courage de dénoncer cela et de dire clairement, qu’au deuxième tour, entre un LFI et un RN, ils voteraient RN. Ils furent insultés, même par des membres de leur propre communauté. Dès lors les gesticulations que l’on a pu voir sur les télévisions ce week-end, seront totalement vaines et mêmes singulièrement inefficaces, si elles continuent sur ces errements mortifères. Ne pas dénoncer le seul antisémitisme qui soit, c’est-à-dire celui de l’extrême gauche révolutionnaire française, en faisant de faux amalgames avec le RN ou les extrêmes « d’où qu’ils viennent », est une lâcheté, une hypocrisie infinie. Faire mordre la poussière à LFI et à tous ses soutiens d’où qu’ils viennent, par tous les moyens possibles, est capital.

Ces mêmes grandes consciences me font penser, mutatis mutandis, aux propos que tenaient les pacifistes bêlants des années 1970/1980, assimilant les USA et l’URSS dans une même confusion idéologique, alors que c’étaient clairement les chars du Pacte de Varsovie et les SS20 qui menaçaient nos pays et nos libertés, et que les goulags fleurissaient par milliers en Russie soviétique, encore à la fin des années 1980. Se tromper d’ennemi est la pire des choses qui soit, c’est être aveugle et sourd.

Mais au nom du politiquement correct et du "pas d’amalgame", les instances officielles juives en France bernent leurs coreligionnaires et les Français. Néanmoins je pense que beaucoup de nos compatriotes de confession juive ou pas, ne se laissent pas mystifier par ces manœuvres politiciennes et misérables. Ne pas voir ce qui doit être vu et qui crève les yeux est une malédiction. Comme le disait Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ». Ces lignes de Notre Jeunesse ont plus de cent ans, elles sont intemporelles. Puissent certains s’en rappeler et changer clairement de cap, puissent les Français l’avoir en permanence à l’esprit. 

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Samedi dernier en Anjou : Synthèse nationale était à l'Université d'été d'Academia christiana

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La semaine dernière se déroulait en Anjou la seconde Université d'été 2025 d'Academia christiana. La première s'étant tenue au mois de juillet en Provence. Ce fut une belle réussite car plus de 600 jeunes y participaient et samedi, lors de la journée portes-ouvertes, c'est près d'un millier de personnes qui étaient présentes. Ces UDT sont à la fois studieuses, créatives et festives...

Victor Aubert, le fondateur de ce mouvement qui se définit comme étant catholique et enraciné, peut être satisfait de la belle réussite de ces deux réunions estivales qui démontre, douze ans après la création d'Academia Christiana, une vitalité remarquable. L'enthousiasme manifeste des jeunes gens présents suffit pour le prouver. Comme quoi, la clarté idéologique et la persévérance militante finissent toujours par payer.

Parmi les nombreux stands associatifs présents samedi, Synthèse nationale, comme chaque année, était au rendez-vous. Ce fut l'occasion de retrouver de nombreux amis et de diffuser la revue et les livres que nous éditons cliquez là. Cette journée, intitulée "Festival du Bien commun" a la particularité de regrouper des associations, des mouvements et des maisons d'édition diverses, toutes attachées à la défense de notre patrie et de notre civilisation.

Nous remercions Arno Danjou et toute l'équipe qui encadraient cette belle journée pour l'accueil chaleureux qu'ils nous ont réservé. 

S N

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Consultez le site d'Academia christiana cliquez ici

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Bourges : la gauche veut interdire « Le Canon Français »

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Pierre Cassen, Riposte laïque

L’an passé, la fête du Canon Français, à la halle aux Blés de Bourges, s’était merveilleusement passé. Une assistance enthousiaste et joyeuse, pour se retrouver, chanter, danser, ripailler, boire, dans l’esprit des fêtes populaires de nos campagnes. Il y avait eu 1.500 personnes.

Et cette année, on en attend 1.800 ! Sauf que la gauche demande ni plus ni moins l’interdiction de cette fête. Les raisons sont multiples : plus d’hommes que de femmes, pas ouvert à la diversité, on mange du cochon, des chansons trop françaises, mais surtout, ils ont découvert que derrière cette fête se cache la nouvelle Bête Immonde, encore plus dangereux que Jean-Marie Le Pen, l’infâme Pierre-Édouard Stérin, catholique, libertarien, conservateur, et surtout milliardaire, qui ose utiliser son argent pour aider tout ce qui permet de faire revivre la France.

Et donc la gauche traque le Stérin partout en France, et entend interdire tout spectacle qu’il ose financer.

Et tant pis pour les Français, qui n’auront pas le droit d’être heureux…

Riposte laïque cliquez ici

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La traite négrière : une vérité dérangeante

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Chaque année, la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition donne lieu au même rituel : contrition occidentale, culpabilité blanche, accusation sans nuance. Comme si l’Histoire de l’esclavage se résumait à une entreprise criminelle exclusivement européenne. Cette vision manichéenne n’est qu’un mythe politique contemporain.

Car la vérité historique est plus complexe, plus dérangeante. Les royaumes africains ont joué un rôle décisif dans la traite. Le Dahomey, sur les côtes de l’actuel Bénin, avait bâti sa puissance sur la capture et la vente d’esclaves. Les Ashanti, au Ghana, livraient régulièrement des prisonniers de guerre aux négriers. Sans ces fournisseurs locaux, pas de cargaisons humaines, pas de navires chargés vers les Amériques. C’est une réalité incontournable que l’on préfère taire pour préserver le confort idéologique du « Blanc coupable ».

De plus, contrairement à l’image d’un Occident tout entier prospérant sur la traite, les profits furent concentrés dans une minorité de ports, d’armateurs et de négociants. La masse des paysans et ouvriers européens n’en tira aucun avantage. Ce commerce fut l’affaire de quelques élites économiques, pas des nations dans leur ensemble.

Et rappelons que la traite n’a pas été l’apanage des Européens. Bien avant et bien après eux, les réseaux arabo-musulmans organisèrent une traite transsaharienne et orientale de grande ampleur, réduisant en esclavage des millions d’Africains. Étrangement, cette dimension reste dans l’angle mort des commémorations officielles.

Aujourd’hui, on veut faire croire aux Français qu’ils doivent réparation à des descendants d’esclaves qui n’ont jamais connu l’esclavage. Mais la France, elle, a fini par abolir cette pratique en 1848, et ce fut un événement majeur dans l’Histoire mondiale. C’est une réalité qu’on devrait célébrer au lieu de ressasser une culpabilité perpétuelle.

La mémoire ne doit pas être instrumentalisée comme un procès permanent contre l’Occident, mais comprise dans toute sa complexité. Si héritage il y a, c’est celui d’une Nation qui a su rompre avec une institution séculaire et proclamer la liberté comme principe universel. Les descendants d’esclaves devraient s’en souvenir : ils sont avant tout redevables d’une France qui a aboli l’esclavage.

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Dimanche 21 septembre : Pierre-Nicolas Nups sera à "La fête du cochon" de la fédération bretonne du Parti de la France

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C'est dimanche 21 septembre que se déroulera la traditionnelle fête du cochon organisée par le PdF Bretagne à Treffendel (35).

Cette année, l'invité d'honneur est le Secrétaire général du Parti de la France, Pierre-Nicolas Nups. Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Hervé Cozic (Place d'Armes) prendront également la parole.

Stand, entre autres, de Synthèse nationale.

La participation est de 35 €.

Réservation obligatoire : 

pdfbretagne@orange.fr ou 06.09.53.93.84

dimanche, 24 août 2025

La révolution trumpienne

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On avait creusé sa tombe politique. Il y a planté son drapeau. On jurait qu’il ne reviendrait jamais. Un soir d’été, un tireur mettrait un terme à la saga. La justice devait l’achever. Il était, disait-on, fou, dangereux, vaniteux. Il piétinerait la Constitution, plongerait l’Amérique dans le chaos. On connaît la suite : en novembre 2024, ces oracles se sont effondrés. Trump est revenu, triomphal, porté par la fidélité de sa base et par une Amérique lasse des prêches démocrates.

Dix ans presque jour pour jour après son entrée en politique, l’ancien magnat de l’immobilier est devenu un chef d’État qui gouverne comme il dirigeait ses affaires : vite, fort, en imposant ses règles. Un hybride. L’instinct du deal et la brutalité de l’arène. Fort de l’expérience de son premier mandat, aguerri par quatre années de mise à l’écart du pouvoir, entre sa retraite de Mar-a-Lago et les procès à répétition, Trump ne rejoue pas le passé. Ses méthodes sont désormais affûtées. Et ses promesses ne restent jamais longtemps dans les tiroirs du Resolute desk.

L’Amérique trumpienne tient debout

En sept mois, il a verrouillé la frontière sud, osé des réformes économiques longtemps différées, mis au pas l’idéologie woke dans les administrations et l’école, replacé l’Amérique au centre du jeu mondial. Ses adversaires dénoncent son autoritarisme, son obsession tarifaire, ses coups de menton diplomatiques. Ses partisans y voient la marque d’un président qui refuse les demi-mesures. Qu’on en juge par les résultats ! Tout n’est pas parfait, mais beaucoup en Occident, et spécialement en Europe, s’en contenteraient. À rebours des prophéties de malheur, l’Amérique trumpienne tient debout. La tête haute.

Source : Journal du dimanche 24/08/2025

NDLR SN : Ce n’est pas pour autant que nous sommes devenus américanophile. Loin s’en faut. L’Amérique n’est pas un ennemi, mais un concurrent. On aimerait que les Européens et les Français défendent avec la même conviction et la même ardeur leurs intérêts. Et qu’ils sortent de cet état de vassalité dont a encore fait preuve la nuisible présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Une fois de plus nous ne pouvons que constater que l’Europe n’est forte que de ses faiblesses. Car l’Europe fait face à des univers cohérents que sont la Russie, la Chine et l’Amérique.

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samedi, 23 août 2025

Appel au blocage du 10 septembre : l'entreprise de récupération mise en oeuvre par la gauche et l'extrême gauche est de plus en plus évidente

Le 10 septembre, Bloquons tout ! - expansive.info

Synthèse nationale

Il y a un mois, la voix de Synthèse nationale a été l'une des premières à s'élever pour mettre en garde nos milieux contre l'entreprise manifeste de récupération de ce mouvement de contestation, lancée par la gauche et l'extrême gauche. Á l'heure où LFI, Sud Rail, le PS ou les Verts  s'emploient à instrumentaliser, à détourner à leur profit et à vider de son contenu initial la colère légitime d'une partie des Français, nous mettons en ligne, de nouveau, l'article que nous avons publié le 27 juillet dernier. Une chose est sûre : nous ne servirons pas la soupe à la camarilla incendiaire rouge-noire-verte !

L’appel a été lancé aux alentours du 14 juillet par une poignée d’internautes anonymes. Il s’adresse à ceux qui font « tourner » la « machine », aux « invisibles pressés comme des citrons », aux « vaches à lait » qui sont « à sec » et « qui en ont plein le dos ». Il leur enjoint de faire preuve de solidarité et de se retirer, tous ensemble, sur l’Aventin, à partir du 10 septembre. Plus de travail, de paiements, de consommation : un « arrêt total et illimité » !

Clairement, cet appel est une nouvelle, sympathique (mais désespérée ?) tentative de réveil d’un peuple qui étouffe sous la chape de plomb de l’establishment politico-médiatique, dans la lignée des gilets jaunes de 2018 et du ras-le-bol fiscal actuel matérialisé par l’expression « C’est Nicolas qui paie ».

Mais déjà, comme pour les gilets jaunes, la gauche et l’extrême gauche sont à la manœuvre. On connaît leurs capacités de réaction et de récupération. Elles sont en train de nous en donner une nouvelle illustration. Depuis quelque temps en effet, sur l’appel originel viennent se greffer des initiatives parasites issues manifestement de la mouvance mélanchoniste. Le vocabulaire qui y a cours indique en effet clairement la sensibilité et les intentions de leurs auteurs.

Alors que la France a besoin de moins d’administration, de normes, de prélèvements obligatoires, d’assistanat et de plus de liberté, d’initiatives, d’activité, de travail, ces nouveaux appels dénoncent « l’austérité Bayrou », les « injustices », « la suppression de milliers de postes publics » et de « deux jours fériés », le « gel des retraites », des « coupes massives dans la santé ». Ils parlent de « mobilisation générale », d’une « autre politique : solidaire, juste et humaine ». Bref, ils ne réclament pas la fin de l’ankylose socialiste présente mais son maintien, voire son renforcement. Il ne s’agit pas de faire tomber l’URSS mais de la sauver !

Aussi ne pouvons-nous que suivre avec circonspection (et désormais avec hostilité, NDLR) les développements de cette affaire. Attendre et voir, si tant est qu’il y ait quelque chose à voir. Chat échaudé craint l’eau froide !

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La rengaine d’une France, pays d’immigration depuis toujours

Ils ont façonné la France : une histoire mouvementée des paysans

Jean Kast, journaliste indépendant.

À croire l’extrême gauche, l’accueil des étrangers serait la seule tradition française qui mériterait d’être conservée.

L’extrême gauche dans ses basses œuvres. Mercredi 20 août, le groupe des "Jeunes Insoumis·es" a remis une pièce dans sa machine de propagande immigrationniste. « Un tiers de la population [vivant en France] n'existerait simplement pas s'il n'y avait pas l'immigration !, a proclamé Imane El Hamzaoui, militante LFI en charge du « pôle Jeunesse et batailles antifascistes », dans une vidéo relayée sur X. Comment est-ce qu'on peut définir une société si on l'ampute du tiers de ses membres ? Ce n'est pas possible et c'est ça, la nouvelle France ! » Maintenant qu’il devient difficile de contester la réalité du Grand Remplacement - avéré par Jean-Luc Mélenchon lui-même -, la stratégie semble être de le présenter comme inéluctable et bienfaisant. Un « constat inébranlable » dont la jeune femme se réjouit : « Voilà la réalité : la France est un pays d'immigration ! »

Ce raccourci est cependant largement répandu. « La France est le plus ancien pays d’immigration en Europe, prétend également le très militant Musée de l’histoire de l’immigration. Dès la seconde moitié du XIXe siècle, une immigration de masse est venue combler les pénuries de main-d’œuvre. »

Ce point historique est exact : d’abord italienne ou polonaise, l’immigration s’est diversifiée, avant de s’emballer dans la seconde moitié du XXe siècle avec l’arrivée de populations africaines. Mais il n’en reste pas moins que la France n’est pas née en 1950. Elle a 2.000 ans d’Histoire. 2.000 ans au cours desquels la population française est restée globalement très homogène. Une population majoritairement paysanne, enracinée dans ses provinces et ses pays. « Ce ne sont pas les agitations, les brassages, les migrations d’hommes qui caractérisent l’ancienne France, mais bien la sédentarité », indique l’historien Pierre Goubert, dans L’Ancien Régime. Tome I : La Société (Armand Colin, 1969). Les flux migratoires subis depuis un demi-siècle ne suffisent donc pas à faire de la France un « pays d’immigration ».

Une manipulation grossière

Dans un entretien accordé au Figaro Magazine en août 2023, le président de la République relayait la même vision biaisée de notre Histoire en déclarant : « Nous avons toujours été un pays d’immigration. » Cette contre-vérité fait écho à une idée très répandue, à gauche, selon laquelle la France et son peuple auraient été largement constitués par les installations successives de populations étrangères sur le territoire national. Et, donc, au prétexte de l’ancienneté de ces flux, notre pays est donc sommé de continuer à accueillir toujours plus d’étrangers. Il en irait de notre « devoir moral », pour reprendre les mots du pape François, mais aussi d'un soi-disant respect de nos traditions. Car comme le dit Imane El Hamzaoui, ce sont ceux qui s’opposent à l’immigration de masse qui trahiraient l’esprit français. « C'est eux qui travestissent l'Histoire de France, c'est eux qui ne s'inscrivent pas dans la continuité des traditions françaises, c'est eux qui dévoient les principes de l'égalité républicaine », déclarait-elle, mercredi, ciblant « l’extrême droite ».

Voilà bien le seul domaine où la gauche en appelle au respect de nos « traditions ». Il faut croire que tout de notre passé ne serait donc pas bon à jeter… Quid de la tradition française de manger de la charcuterie, d’aller à la messe le dimanche, de ne pas voiler les femmes ? Est-il également permis de demander le respect de ces coutumes au nom de la « continuité » ?

Article paru sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

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vendredi, 22 août 2025

RAPPEL : dimanche 21 septembre, près de Rennes, la Fête du cochon organisée par la Fédération bretonne du Parti de la France

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pdfbretagne@orange.fr

Dimanche 24 août, sur C News : Philippe de Villiers raconte Saint Louis

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Un grand entretien avec Éric Zemmour sur la chaine "Les Incorrectibles"

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Samedi 23 août, Synthèse nationale sera présente à l'Université d'été d'Académia christiana en Anjou

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Le stand de SN en 2023

Passez donc nous voir sur notre stand...

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Un tract pour les Cahiers d'Histoire du nationalisme

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00:57 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les lectures de Madeleine Cruz : Ferdonnet et Herold-Paquis parlent

Diapositive1.jpgMadeleine Cruz,

Le Nouveau Présent

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Nous n’en avons donc pas encore fini avec la Collaboration ? Et bien non. Et il en sera ainsi tant que des évènements d’une gravité considérable n’auront pas relégué la Seconde guerre mondiale au rang de micro-événement. Mais est-il vraiment souhaitable que nous en passions par-là ? D’ailleurs à part une invasion mortifère d’extra-terrestres on ne voit pas trop ce qui pourrait bouleverser la hiérarchie du bien et du mal, corsetée désormais par des tribunaux pénaux internationaux, des notions de crime contre l’humanité, et quatre-vingts années d’écriture de l’Histoire.

Dans le camp des vaincus

On demandait à Ferdonnet, au cours de son procès, :

  • Dans quel camp vous situez-vous ?

Il répondit :

  • Je suis dans le camp des vaincus, Monsieur le Commissaire du Gouvernement

Tout est dit. Le vae victis sera toujours la règle. Et le « malheur aux vaincus » ne se limite pas au sort fait aux perdants des guerres et des causes, mais aussi aux idéaux que défendaient ces perdants.

Qui plus est, la défaite dans des conflits d’une telle importance (cinquante à quatre-vingt-dix millions de morts, nous rappelle Philippe Randa dans sa pertinente préface), démontre que la cause n’était pas la bonne, et si elle était bonne, que ceux qui ont été les décideurs, du côté des perdants, ont été mauvais puisqu’ils ont perdu. Evidemment tout cela, on ne le sait qu’après, une fois la guerre finie.

S’intéresser à Ferdonnet et à Hérold-Paquis, c’est en principe s’intéresser à des traitres, des hommes qui ont mis leur voix au service d’un ennemi qui voulait nuire à la France. C’est entendu.

La bandera Jeanne d’Arc

Mais de ces deux hommes, rien ne doit-il rester de positif ? Hérold-Paquis, son talent oratoire exceptionnel, il faut l’oublier ? Il faut même le nier ? Ou le porter à charge supplémentaire ? Paul Ferdonnet : son engagement dans l’Espagne de 1937, au sein de la Bandera Jeanne d’Arc pour combattre les terroristes staliniens, ça ne compte pour rien ? Ne peut-on pas lui reconnaitre au moins un courage physique ? Et pour une cause qui était bonne, en l’occurrence, à l’aune de ce que l’on sait sur le communisme réalisé.

Concernant Ferdonnet, il a été condamné sans preuves, du moins sans la preuve que c’était lui, le speaker de Radio-Stuttgart. Il a été condamné à mort, sur la base d’analogies, de présomptions. C’est ce que nous dit par exemple Henri Amouroux dans son énorme enquête : La grande histoire des Français sous l’occupation. Pierre Assouline va même plus loin. Il écrit qu’on reprochait à Ferdonnet « la collaboration avant la lettre ». Or cette collaboration-là, journalistique et complaisante, certes, n’était pas de la Collaboration, l’armistice n’étant intervenue que plusieurs mois après. Pour le moins les chefs d’inculpation n’étaient pas les bons.

La mère de Ferdonnet avait pour sa part écrit à son fils pour lui demander de se rendre à la justice française. Elle était certaine, elle, que le speaker de Radio-Suttgart n’avait pas la voix de son fils, et qu’en conséquence il ne serait pas condamné à mort

Deux journalistes et hommes d’action

Mais pour Ferdonnet comme pour Herold-Paquis, le jugement était déjà quasiment rédigé et approuvé en haute sphère avant même que les accusés n’entrent dans le prétoire.

Hérold-Paquis avait lui aussi rejoint l’Espagne, en 1937, pour combattre les staliniens. Son histoire est d’ailleurs analogue à celle de tant de jeunes Français qui s’engagèrent ensuite dans la voie qui leur semblait la plus cohérente avec celle qui les avait conduits en Espagne.

Ceux qui vivent l’Histoire au jour le jour ne voient pas les choses comme ceux qui les écrivent plus tard, quand les archives s’ouvrent, et quand les bilans peuvent être disséqués au calme.

Ces deux journalistes et hommes d’action, ces deux « voix de la Collaboration » savaient qu’à l’issue de leur procès ils seraient fusillés. C’était couru d’avance. Il n’empêche que leur sang-froid au tribunal, force l’admiration. Pas de pleurnicheries, pas d’appel à la pitié.. Ils exposent les raisonnements qui les ont conduits sur les positions qu’ils ont tenues, et là où ils se trouvent à présent.

Les comptes-rendus sténographiques des deux procès sont des documents historiques. Lisons-les comme tels. Ne refaisons pas nous non plus l’Histoire, pour recondamner ou absoudre. Souvenons-nous que d’autres patriotes français furent fusillés aussi, mais par l’Occupant.

Les uns et les autres étaient des Hommes, me semble-t-il. Ni les uns ni les autres n’avaient choisi l’attentisme, ce qui n’était pas rien, et qui en faisait en tout état de cause des hommes d’exception.

L’épuration des voix de la Collaboration Paul Ferdonnet, Jean Hérold-Paquis, présentation : Philippe Randa, Déterna éditions, 2025. Pour le commander cliquez ici

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Attal veut légaliser la marchandisation du ventre des femmes !

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Gabriel Attal vient d’annoncer son souhait d'autoriser la GPA (Gestation Pour Autrui). Il prétend que ce ne serait pas une marchandisation du corps puisqu’il s’oppose à la rémunération des mères porteuses ; une « GPA éthique » ose-t-il. Quelle naïveté ! Ou plutôt : quelle hypocrisie ! Croire qu’on pourra encadrer la gestation pour autrui sans tomber dans la logique marchande est une illusion. Dès qu’on transforme la maternité en prestation, on ouvre la porte à la loi du marché, à la location du ventre des femmes, à leur transformation en simples incubatrices.

Gabriel Attal incarne cette dérive. Par ses choix sexuels personnels, il se place d’emblée parmi les bénéficiaires potentiels de ce système. Voilà le cœur du problème : quand on choisit un mode de vie qui ne permet pas naturellement d’avoir des enfants, l’État n’a pas à bouleverser le droit et l’éthique pour satisfaire un désir individuel. Le désir d’enfant n’est pas un droit à l’enfant.

Tout enfant a droit à une mère et à un père. C’est une évidence anthropologique, enracinée dans l’ordre naturel. En prétendant que deux hommes, deux femmes ou n’importe quelle combinaison peuvent suffire, on nie ce que l’Humanité a toujours su : un enfant naît d’un homme et d’une femme et il a besoin des deux repères pour grandir.

Le discours de Gabriel Attal n’est qu’un pas de plus dans la destruction des fondements de la famille. Après avoir redéfini le mariage, après avoir banalisé l’adoption sans père ou mère, voici l’étape suivante : fabriquer des enfants sur commande. On ne parle plus de transmettre la vie mais de la produire. On ne parle plus d’accueillir un enfant mais d’acheter un service.

Ce serait une honte pour notre pays. Une honte pour nos institutions. Et une honte pour ceux qui, par calcul idéologique ou par intérêt personnel, osent justifier l’injustifiable.

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jeudi, 21 août 2025

Honneur à un maire qui a érigé une stèle aux victimes du communisme

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Michel Festivi 

Le maire Les Républicains de Saint-Raphaël (83), Frédéric Masquelier, vient d’annoncer qu’il allait dévoiler le 23 août prochain, une stèle en mémoire aux victimes du communisme, car a-t-il très justement souligné « Aucun régime communiste n’a existé sans violence ». Il faut encourager fortement ces d’initiatives et espérer que d’autres communes de France suivront cette voie. Car il est une vérité absolue, le communisme a assassiné bien plus et plus longtemps que le nazisme, et le communisme continue de tuer encore de par le monde : à Cuba, au Vietnam, au Laos, au Nicaragua, au Venezuela, et bien sûr en Corée du Nord, véritable enfer rouge, et en Chine populaire, car nonobstant une économie dite de marché, la Chine continentale est communiste et emprisonne son peuple, martyrisant durement ses opposants

Le Maire de Saint Raphaël est tellement dans le vrai, que des instances aussi peu insoupçonnables d’anticommunisme primaire comme le Conseil de l’Europe réuni à Strasbourg, avait en 2006 par 99 voix pour, contre 42 voix et 12 abstentions, voté « une condamnation internationale des crimes des régimes communistes totalitaires », sur le rapport d’un député Suédois, Göran Lindblad, alors représentant du groupe PPE. Bien sûr les délégués des pays de l’Est furent en pointe dans ce combat, et les élus communistes votèrent contre.

En septembre 2019, le parlement européen avait adopté une résolution quelque peu similaire, en plaçant officiellement, ce qui avait fait sortir de leurs gonds toutes les gauches et les extrêmes gauches : le nazisme et le communisme. Cette résolution rappelait d’ailleurs officiellement, le texte précédent de 2006 du Conseil de l’Europe. Elle mit directement en cause l’accord Hitler/Staline du 23 août 1939 et ses conséquences mortifères pour l’ensemble de nos nations. Elle rappela que pendant plus de 45 ans, les pays de l’Europe de l’Est étaient restés sous le joug communiste, et qu’aucun procès ou devoir de mémoire digne de ce nom n’a été entrepris contre le communisme, contrairement au nazisme, c’est clairement édicté dans ce document officiel.

Ce devoir indispensable de mémoire, le maire de Saint Raphaël l’a entrepris concrètement sur le terrain, il est important de le faire savoir. Car aussitôt nos communistes « français » ont poussé des cris d’orfraie, en fustigeant cette initiative, demandant des preuves des crimes du communisme. Quelle ignominie. ! Il suffit d’un mot de les renvoyer à l’étude du Livre noir du communisme, dirigé par Stéphane Courtois, publié en 1987, qui avec ses nombreux contributeurs avait fait un point plus que précis sur les 100 millions de morts du communisme, chiffres qui n’ont jamais été démenti scientifiquement, sauf par des injures. Ce livre a connu un succès planétaire, notamment dans les anciennes « démocraties populaires ».

Je renvoie aussi nos communistes « français » et tous leurs soutiens de la gauche et de l’extrême gauche à la remarquable trilogie de Thierry Wolton, Une histoire mondiale du communisme, les Bourreaux, Les victimes, les complices, publiés chez Grasset à partir de 2015. Tout y est aussi tragiquement disséqué par le menu. Les communistes « français » y trouveront toutes les réponses qu’ils souhaitent à la véracité de leurs crimes, qui perdurent, comme je le répète, car l’idéologie mortifère communiste n’est pas finie et persiste toujours et encore à faire des ravages, de par le monde, et conserve de nombreux soutiens en France même, chez les centristes, certains gaullistes et le macronisme.

Pourtant le PC « F » a trahi la France et les français depuis sa création fin 1920, et jusqu’à aujourd’hui encore. C’est ce que j’avais expliqué, après bien d’autres, dans mon livre paru l’an passé chez Dualpha, La désinformation autour du Parti communiste « français », avec en sous-titre, Manipulations, trahisons, constructions de mensonges, soutiens aux pires tyrans, histoire et actualités. Mais les mensonges communistes ont un poids énorme dans la vie politique française. Un seul exemple, l’affabulation absolue des 75000 fusillés, dont on sait aujourd’hui, scientifiquement, qu’il y a eu en France environ 4500 fusillés dont peut-être une moitié pouvait se réclamer du communisme. Mais le pire dans cette mystification absolue, c’est que la plupart des fusillés « communistes », ont été en réalité fusillés comme otages et non comme résistants, car ils n’avaient jamais entrepris le moindre acte de résistance contre les Allemands, ayant été arrêtés par la police française avant le 22 juin 1941, pour soutien à Staline et au Pacte germano-soviétique ce qui en faisaient ipso facto des alliés des nazis, à l’image de Guy Môquet ou de Pierre Sémard. Dans ce livre, j’indique également que Georges Guingouin n’avait jamais fait aucun acte de résistance avant la fin de l’année 1941, et qu’il avait soutenu à fond le Pacte Hitler/Staline dans le Limousin, textes et écrits à l’appui, tout comme Marcel Paul d’ailleurs le tortionnaire sélectionneur de Buchenwald.

Il est impératif de souligner et d’encourager toutes ces initiatives, d’où qu’elles viennent, sur le rappel permanent des crimes et des mensonges du communisme. C’est une nécessité vitale pour la Vérité et contre les affabulations officielles qui empoisonnent notre vie politique.  

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Ne jamais oublier. Le 20 août 1955 : massacres à PHILIPPEVILLE

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20 août 1955 : massacres à PHILIPPEVILLE
 
Ce samedi 20 août 1955, début du wekk-end, plusieurs milliers d'hommes armés d'armes blanches encadrés par des éléments de l’ALN équipés d'armes à feu se lancent à l’assaut d’une quarantaine de villes et villages et assassinent à coup de faux, de serpes, de pelles dont les bords ont été affûtés, de couteaux de haches et de pioches les français et les musulmans supposés complices.
 
L’attaque principale a été menée sur PHILIPPEVILLE,. Une foule de plusieurs milliers de civils dirigée le FLN lance un assaut général sur la ville, dans le but de tuer des Européens, de tuer des personnalités musulmanes modérées et de s’emparer des armes du poste de police.
 
Alors que la foule arrivait dans la ville, les Européens dans les rues ont été assassinés à vue.
 
Ce fut un déchaînement bestial. Personne ne fut épargné, hommes, femmes enfants, nourrissons furent tués ou plutôt exécutés dans d’atroces souffrances. Civils désarmés, ils n’eurent aucune chance. Par contre quand il s’est agi de s’attaquer à des hommes en armes, gendarmerie ou commissariat de police, ces lâches égorgeurs ne sont pas arrivés à avoir le dessus, ils furent repoussés par les parachutistes du 1° Régiment de Chasseurs Parachutistes et les forces de police ce qui a dû surement éviter grand nombre de victimes.
 
PHILIPPEVILLE ne fut pas le seul objectif de ces barbares. À la mine d'EL HALIA, 140 personnes (hommes, femmes et enfants) dont 70 des 130 Européens et environ 70 musulmans sont massacrés, parfois dans d'horribles souffrances. Des enfants, certains de moins de 3 ans sont égorgés, ou fracassés contre les murs, les femmes sont violées. à COLLO 4 membres des forces de l'ordre, 6 Européens tués, À AÏN ABID, 9 Européens sont assassinés à coup de hache, dont un bébé de cinq jours tué sous les yeux de sa mère et replacé dans les entrailles de celle-ci après avoir été éventrée, à SAINT-CHARLES, 13 Européens dont 3 enfants sont assassinés, à CONSTANTINE, huit commandos d'une dizaine d'hommes s'attaquent à des musulmans et une bombe explose dans un bar du quartier juif, etc. … Au cours des 20 et 21 août, se sont finalement 47 attaques qui sont signalées aux autorités
 
Cependant, la réaction des forces de police et des parachutistes de l’armée française a été rapide et l’insurrection a été rapidement vaincue, pour la perte 14 policiers morts. Une fois l’assaut terminé, plus d’une centaine d’insurgés étaient morts dans les rues, tandis que beaucoup d’autres avaient été capturés par les forces françaises.
 
La répression qui suivit fut sévère mais les atrocités commises ne pouvaient rester sans réponse.
 
Dans une période où nos dirigeants n’ont de cesse de se repentir et de mettre en accusation son armée et ses concitoyens, il semble utile de rappeler à nos compatriotes, 70 ans après ce que fût le premier grand massacre de français en Algérie. Par français, nous entendons, européens et musulmans. Perpétuer le souvenir est un devoir pour ceux qui restent.
 
Source F B. 

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mercredi, 20 août 2025

Des Européens… toujours à la traîne !

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Le billet de Patrick Parment

C’est triste à dire, mais une fois de plus, les Européens se sont ridiculisés dans la partie à trois bandes qui se joue sans eux : l’Amérique, la Russie et la Chine. Pour ce qui nous concerne, c’est de l’Ukraine qu’il s’agit. Une fois de plus. La rencontre à Washington entre Donald Trump et Volodomir Zelensky accompagné de chefs d’Etat européens a tourné au fiasco, car il n’en est rien sorti. Ce que confirme Gérard Araud qui fut le représentant de la France à l’ONU de 2009 à 2014 et qui a passé une grande partie de sa vie dans ce pays. L’homme  n’est pas notre tasse de thé, loin s’en faut. Mais c’est un bon connaisseur de l’Amérique. Il confirme : « Aucune décision n’a été prise. Ils sont donc tous repartis contents, mais sans rien ! « Et de poursuivre : « Ce ne sont que des conversations. Du bla-bla. De la même façon, Trump se targue de faire se rencontrer Poutine et Zelensky. On ne sait même pas si le président russe serait prêt à l’accepter. Moscou peut même crier victoire : Trump ne parle plus de cessez-le-feu ! » Et de confirmer que Donald Trump est une girouette capable de jour au lendemain de dire tout et son contraire. En Alaska, Trump a surtout négocié un retour du business avec la Russie et Poutine la levée des sanctions qui le frappent. Concernant l’Europe, Trump négocie son soutien à l’Ukraine si les Européens achètent du matériel militaire américain qu’ils pourront alors leur refourguer. Un marché de dupe. Mais un fond de vérité. Les industriels européenne sont incapables de se substituer aux Américains en matière militaire.  On pourrait même ajouter en matière financière. Les pays européens sont exsangues, tous endettés. Raison pour laquelle ils pleurnichent afin de bénéficier de la protection américaine via ce bazar qu’est l’Otan. Derrière ces mascarades, Donal Trump, pragmatique, poursuit un objectif : celui de désolidariser la Russie de la Chine. Et de reprendre le business avec la Russie notamment en matière d’hydrocarbures. Manière aussi de calmer les ardeurs des pays de l’Opep. Car la Chine a un talon d’Achille : elle n’a pas de pétrole au catalogue de ses ressources. L’Europe non plus d’ailleurs. Or, qu’on le veuille ou non malgré les cris d’orfraie des écolos, le pétrole demeure le nerf de la guerre en matière énergétique… avec les centrales nucléaires.

On comprend mieux la stratégie de Vladimir Poutine. Demeurer dans la partie à trois bandes. Donald Trump en Alaska vient de l’adouber comme partenaire incontournable. Trump se fout complètement de l’Ukraine, sauf à négocier ses terres rares. Donc d’accepter, ipso facto, les conditions de paix exigées par Poutine. Or, celles-ci, on les connait et Poutine n’en démordra pas : la naturalisation de l’annexion de la Crimée, cette plateforme de l’accès de la marine russe aux mers chaudes,  Ensuite l’absorption complète et définitive des territoires conquis et eux aussi officiellement annexés, à savoir les oblasts ukrainiens de Donetsk, de Kherson, de Louhansk et de Zaporijjia, dessinant ainsi le gel de la ligne de front. Enfin, le retrait des troupes ukrainiennes en deçà de cette ligne, l’interdiction pour l’Ukraine d’adhérer à une quelconque alliance militaire par-delà l’Otan et la reconnaissance de l’autonomie culturelle des populations russophones ainsi que de la fraction pro-moscovite de l’Église orthodoxe afin de maintenir cette cinquième colonne au sein du territoire résiduel.

La bonne question est donc de savoir ce que peuvent faire les Européens dans ce marigot où ils ne sont qu’accessoirement partie prenante. Les peuples européens se foutent pas mal de l’Ukraine qui a toujours vécu dans l’orbite russe et dont elle a adopté quasi majoritairement la langue. L’Ukraine aujourd’hui est le Dantzig d’hier. On n’ira pas se battre.

Trump comme Poutine ne connaissent que les rapports de force. Quelle est la force de l’Europe ? Qu’a-t-elle à négocier ? Assurément ne plus voir la Russie comme le grand-Satan, nous désengager de l’emprise américaine. Arrêter de s’agenouiller comme le fait la présidente de la Commission, la nuisible Ursula von der Leyen. D’arrêter de voter des sanctions qui ne servent à rien mais se retournent contre nous. Instiller un peu de lucidité et de bon sens dans nos analyses autour de ce constat que la Russie n’a aucun intérêt immédiat d’envahir un quelconque pays européen.

Le drame de l’Europe, c’est bien la suspicion qu’entretiennent les européens entre eux. Chacun voit le monde à sa porte. Les ex-pays de l’Est et leur trouille légitime de l’ogre russe, les pays du Nord (Norvège, Suède, Finlande) dédaigneux du laxisme financier des pays du sud, les coups de pieds à l’âne dont les allemands nous gratifient – notamment sur le dossier nucléaire et leurs tarés d’écolos -, les Anglais es-maître zizanie, etc. Les pommes de discorde ne manquent pas. Les Européens  devraient commencer par faire la paix avec eux-mêmes.

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Souvenons-nous d’Emmanuel Ratier

Gyu7jqlXwAEgETS-CbepMG.jpgGeorges Feltin-Tracol,

sur le site Terre & peuple,

cliquez ici

Le 19 août 2015, en pleine activité spéléologique en compagnie de son épouse Véronique et de leurs trois filles (Sophie, Marguerite et Camille) sur le territoire de la commune d’Orgnac - l’Aven dans le sud de l’Ardèche, Emmanuel Ratier s’effondre. Une crise cardiaque le foudroie à l’âge de 57 ans, à l’instar de son prédécesseur, le spécialiste de la Subversion et fondateur des éditions Faits et Documents, Yann Moncomble, décédé d’un arrêt cardiaque le 29 mai 1990 à 36 ans…

Journaliste de profession, Emmanuel Ratier débordait d’initiatives. Il venait de lancer un projet patrimonial majeur, les Archives associatives du Vexin, qui prendra ensuite le nom d’Institut Emmanuel-Ratier. Cette association entend conserver et archiver tous les imprimés (livres, revues, journaux, tracts, affiches…) de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne avant que le numérique n’impose son grand effacement périodique et des révisions politiquement correctes obligatoires fréquentes. Après avoir contribué au lancement sur Radio Courtoisie du bulletin quotidien de la réinformation où il officiât un temps chaque vendredi matin, il animait un mercredi sur quatre à partir de 18 h 00 et pendant trois heures d’affilé, un « Libre-Journal de la Résistance », soit quarante-et-unes émissions. Il avait auparavant présenté à la demande de Claude Giraud la seconde partie du propre libre-journal de cette dame, un jeudi par mois.

Emmanuel Ratier poursuivait la parution régulière de sa lettre confidentielle riche en informations exclusives, Faits et Documents. Il formait dans la plus grande discrétion Xavier Poussard. Ce dernier apprit auprès d’un excellent professeur l’art précis et minutieux du décryptage patient de l’actualité. Il s’occupait aussi de la librairie d’occasion Facta située au 4, rue de Clichy dans le IXe arrondissement de Paris, non loin de la station de métro Trinité – D’Estienne d’Orves. Il en avait confié la gestion courante à son presque double en qui il avait entière confiance, Vincent. Quelques années plus tôt, Vincent s’était infiltré à sa demande dans quelques milieux malséants… Avec diligence et brio, Vincent donnait des conseils avisés aux clients ravis du mardi au samedi après-midi.

Par ailleurs, dans la perspective déterminante de l’élection présidentielle de 2017, Emmanuel Ratier commençait à s’intéresser à certains candidats éventuels. En avril 2014, il avait signé Le vrai visage de Manuel Valls, un portrait décapant du premier ministre alors en exercice. Il acceptait aussi de collaborer à la revue Éléments, mais, par la force des choses, il n’écrivit finalement qu’un seul et unique article.

Cette collaboration aurait-elle longtemps duré ? En décembre 2016 parut aux éditions du Rocher La droite buissonnière de François Bousquet, alors rédacteur en chef du « magazine des idées » bimestriel. Cet essai étudie de manière élogieuse les idées de Patrick Buisson (1949 – 2023). Or les relations étaient plus qu’exécrables entre Buisson et Ratier. Une détestation mutuelle remontait au milieu des années 1980 quand Buisson dirigeait la rédaction de l’hebdomadaire d’enquête non-conformiste Minute dans laquelle œuvrait Emmanuel Ratier. Il mena une sévère fronde contre Buisson et organisa même une grève ! Savoureux paradoxe, il agissait en tant que représentant FO (Force ouvrière) au sein d’un journal plutôt vindicatif envers les syndicats. Fidèle en effet aux principes de la Charte d’Amiens de 1906, FO accorde une large autonomie interne à ses sections et confédérations professionnelles qui acceptent sur le terrain des responsables syndicaux de différentes sensibilités politiques. La proximité successive de Patrick Buisson avec Jean-Marie Le Pen, Philippe de Villiers et Nicolas Sarközy renforcèrent une suspicion légitime.

L’auteur de ces lignes se rappelle qu’en attendant dans un café parisien l’arrivée d’autres participants à un « Panorama Actu » sur Méridien Zéro en février 2012, Emmanuel Ratier l’incitait à se méfier de Patrick Buisson. Il ne se privait pas de lui parler de la vie intime de l’ancien patron de Minute. Plus tard, Nathalie Kosciusko-Morizet le qualifiera de « Gestapette »…

S’il le fallait, Emmanuel Ratier n’hésitait pas à coopérer avec ses confrères des chaînes officielles de grand chemin. Par exemple, lors d’un reportage consacré à l’ancien conseiller de l’ombre de Nicolas Sarközy dans l’émission « Envoyé spécial », certainement celle du 13 mars 2014, on reconnaît bien que de dos, anonyme et assis dans la pénombre de son bureau, par son allure et sa voix Emmanuel Ratier. Il y critique violemment Patrick Buisson. Le reportage présente même une photographie de toute la rédaction de Minute avec un Patrick Buisson qui tient dans les mains le portrait du Maréchal Pétain. Il est plus que probable qu’Emmanuel Ratier ait donné une copie de cette photographie à l’équipe de France 2.

On ne le sait peu, mais Emmanuel Ratier appréciait l’apiculture et le soufflage du verre. À force de pratique assidue, il réalisait de beaux objets artisanaux. Toujours très pris par ses diverses activités, en particulier le suivi quotidien de la presse, surtout écrite, il acceptait volontiers d’offrir un peu de son temps libre à ses proches et à ses amis.

Ainsi, chaque été, Emmanuel Ratier faisait-il la cuisine pour les réunions générales annuelles d’Europe Jeunesse (EJ). On se souvient de l’avoir rencontré pour la première fois à la fin d’un camp d’été vers 1999 ou 2000. Il dirigeait quelques volontaires adultes cuisiniers. Ses plats simples et variés ravissaient tous les convives (les jeunes, la maîtrise, les parents et les invités). Sa brusque disparition subite fut un premier coup sévère pour EJ avant que le covidisme y mette fin, à l’exception notable de quelques bans régionaux belges, luxembourgeois et néerlandais, voire flamands de France, perdurent dans le cadre de Dietsland – Europa Jeugd (DEJ).

Loin d’être un ermite chroniqueur – rédacteur de fiche sur tout le monde, Emmanuel Ratier présentait diverses facettes, parfois étonnantes, mais aussi plus sympathiques les unes que des autres. Il incarnait en lui-même une vraie synthèse nationale. Ancien du PFN (Parti des forces nouvelles) et de sensibilité païenne, il travaillait avec le FN (Front national) de Jean-Marie Le Pen, puis de Marine Le Pen. Favorable à un compromis entre lepénistes et mégrétistes lors de la grande scission de 1998, il resta néanmoins dans l’entourage du « Menhir de Montretout ». Ce proche du GRECE (Groupement de recherches et d’études pour la civilisation européenne) acceptait les invitations des mouvements royalistes et/ou catholiques. Par ailleurs, ce sont tantôt les équipes de Terre & Peuple, tantôt celles d’Égalité et Réconciliation qui déménagèrent une partie de ses archives de son vivant.

Son influence sur la mouvance au sens large était bien plus grande que le pensaient ses détracteurs. Son décès soudain, il y a dix ans, a constitué une perte irréparable pour l’Opposition nationale et populaire. Sans mésestimer le travail précieux de Xavier Poussard, son seul héritier spirituel immédiat avec, bien sûr, Vincent Facta, le regard percutant d’Emmanuel Ratier sur le microcosme politique nous manque terriblement encore aujourd’hui.

Mort du streamer Jean Pormanove : la fosse à merde de la décadence moderne

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Je l’avoue d’entrée : je n’avais jamais entendu parler de ce « Jean Pormanove », de son vrai nom Raphaël Graven, avant que sa mort sordide n’enflamme réseaux sociaux et médias. J’ignorais tout de son existence et j’aurais préféré que cela demeurât ainsi. Mais voilà, impossible d’échapper à ce vacarme : on m’explique qu’un homme s’est fait littéralement détruire en direct, sous les ricanements et l’argent facile.

Lunaire, grotesque, apocalyptique. Un pauvre hère, fragile, malade de l’âme, avait transformé sa propre déchéance en spectacle marchand. Business juteux : contre quelques tips, il acceptait insultes, humiliations, coups, sévices. Son frère, ses « amis » – complices, bourreaux – s’en donnaient à cœur joie. Le public, anonyme, planqué derrière des écrans, en rajoutait, excitait la cruauté. Et lui encaissait, jusqu’à ce que le corps lâche.

Qui est coupable ? Lui, bien sûr, puisqu’il consentait. Mais consentir dans l’abîme n’est pas un vrai choix, c’est déjà une servitude. Ses tortionnaires, évidemment, qui ont pris un malin plaisir à l’avilir. Les spectateurs aussi : parmi eux, beaucoup de racailles toujours friandes de violence et de vice. Ceux qui payaient ne sont pas des spectateurs innocents : ce sont les clients de la boucherie humaine. Sans eux, pas de marché, pas de supplice.

Tout cela me donne l’impression de me tenir au bord d’une fosse à merde, énorme, débordante, pestilentielle. Et de respirer à pleins poumons l’odeur de la décadence moderne. Louis-Ferdinand Céline n’aurait pas dit mieux : les hommes sont des cloaques ambulants, des rats dans la fange, se délectant de leurs propres excréments.

Il faut tirer la chasse. Nettoyer. À la Javel, au Kärcher, au feu purificateur s’il le faut. On ne reconstruit pas une civilisation en laissant prospérer pareilles abominations. On ne sauve pas la jeunesse en lui donnant en exemple ces spectacles de dégradation et de mort.

Notre peuple doit retrouver ses repères : le vrai, le beau, le juste. L’ordre naturel. La hiérarchie des valeurs. Cela peut se faire par l’éducation, par l’exemple, par le retour au sacré. Mais si nécessaire, cela se fera aussi par la contrainte, par la force. Car aucun être humain normalement constitué ne doit jamais trouver divertissant le massacre de son semblable.

Sinon, il ne restera plus rien qu’une fosse. Dans laquelle nous finirons tous par tomber.

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RAPPEL : samedi 23 août, Scipion de Salm au Puy-en-Velay

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mardi, 19 août 2025

Donald Trump, l’homme qui dit ce qu’il voit et surtout voit ce qu’il voit

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La chronique de Philippe Randa

À lire les commentaires sur la rencontre du Président américain Trump et du Président russe Poutine en Alaska, il est évident que la plupart des observateurs auto-proclamés qualifiés de la diplomatie des grands de ce monde se perdent en conjectures ; il fut un temps où ils en auraient perdu leur latin, mais peu d’entre eux doivent encore avoir ne serait-ce qu’une vague idée de ce qu’était la langue de Virgile…

Certes, Donald Trump, 45e et 47e président des États-unis d’Amérique ne cesse de les dérouter par ses déclarations autant que par ses actes : d’une part, il ne cesse de faire ce qu’il a dit et promis de faire… et d’autre part ne cesse « toujours (de) dire ce qu’il voit et, surtout, toujours, ce qui est plus difficile, (de) voir ce qu’il voit », selon la célèbre phrase de Charles Péguy.

On comprend la stupéfaction, sinon le désarroi du Landerneau médiatique.

Ainsi du conflit russo-ukrainien et de l’évidente constatation qu’il en a fait : jamais Vladimir Poutine n’acceptera de rendre les territoires conquis depuis trois ans par son armée ; il faut acter ce fait et négocier un traité de paix qui en tienne compte.

C’est cette réalité-là que voit Donald Trump…

Sinon, la guerre continuera, coûtant toujours de plus en plus aux soutiens de Kiev, en tête desquels l’Union européenne, poursuivant la ruine et la désolation en Ukraine jusqu’à un plausible effondrement plus tôt que tard des armées de Volodymyr Zelensky, ce qui déboucherait alors sur une conquête intégrale par Moscou du territoire ukrainien.

C’est cette autre réalité-là, également, que voit Donald Trump…

Car contrairement aux fracassantes déclarations de Bruno Lemaire, notre ancien ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance (7 ans, 4 mois et 4 jours) du président Mozart de la Finance Emmanuel Macron, la « guerre économique et financière totale à la Russie », sensée être d’une « efficacité redoutable » livrée contre le Président de la fédération de Russie, n’ont guère « touché (son) régime en plein cœur » et en tout cas aucunement « provoqué l’effondrement de l’économie russe », comme l’ancien oracle de Bercy à nul autre comique pareil, l’avait assuré en 2022.

C’est enfin cette troisième réalité-là que voit aussi, que voit surtout The Donald ! Mais que peu (euphémisme !) d’observateurs auto-proclamés (insistons bien) qualifiés ne semblent avoir vu… ou en tout cas n’ont (encore) été capable de reconnaître…

Que n’ont-ils lu Charles Péguy !

Lire EuroLibertés cliquez ici

18:47 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 23 août, à Paris, commémoration de l'assassinat, il y a 3 ans, de Daria Dougina

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Attention : changement de RDV à 16 h.

Celui-ci aura lieu Place Vauban

dans le VIIe arrondissement

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Le programme de l'Université d'été de Reconquête !, dimanche 31 août 2025 à Orange.

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Plus d'informations cliquez ici

18:32 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Qui sont les oligarques immigrationnistes du Conseil constitutionnel ?

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Johan Hardoy, Polémia, cliquez ici

En France et contrairement à l’Allemagne, l’Italie ou l’Espagne, par exemple, aucune compétence juridique particulière n’est requise de la part des neuf juges constitutionnels dont les membres sont nommés par le Président de la République et les Présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, après avis des commissions parlementaires (les deux anciens Présidents de la République, membres de droit à vie, ont fait le choix de ne pas y siéger).

De fait, ces nominations relèvent avant tout de motivations politiques, ce qui pose à tout le moins un problème de légitimité et de crédibilité s’agissant de « sages de la République ».

Quelles sont donc les tendances politiques des membres de cette institution ?

Six macronistes et assimilés

Richard Ferrand, le président du Conseil constitutionnel, a été nommé en février 2025 par le Président de la République en remplacement du socialiste Laurent Fabius.

Cet ancien membre du Parti socialiste s’est rapproché d’Emmanuel Macron lors de sa candidature à la présidence. En 2017, il est devenu ministre de la Cohésion des territoires avant de quitter le gouvernement après avoir été mis en cause dans une affaire judiciaire. À partir de 2018, il a été Président de l’Assemblée nationale jusqu’à sa défaite aux élections législatives de 2022.

Sa nomination au Conseil constitutionnel a été très contestée et approuvée de justesse, notamment grâce à l’abstention du Rassemblement national.

* Alain Juppé, ancien Premier ministre de Jacques Chirac, a été nommé en 2019 par Richard Ferrand. Il était alors le premier membre de cette institution à avoir été condamné par la justice, en 2004 (14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris).

* Jacqueline Gourault, nommée en 2022 par Emmanuel Macron, a été professeur d’histoire et géographie avant d’entamer une carrière politique qui l’a finalement amenée au poste de ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales dans les gouvernements d’Édouard Philippe et de Jean Castex.

* Jacques Mézard, qui est diplômé en droit privé et avocat, a été nommé par Emmanuel Macron en 2019, après avoir été ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation et ministre de la Cohésion des territoires du gouvernement d’Édouard Philippe.

* Véronique Malbec est une magistrate expérimentée qui a débuté sa carrière comme juge d’instruction avant de devenir procureure générale, Secrétaire générale du ministère de la Justice de 2018 à 2020, puis directrice du cabinet du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti.
En 2017, en tant que procureure générale de Rennes, elle a supervisé (sans donner d’instruction) le classement sans suite d’une plainte dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne, où Richard Ferrand était mis en cause. C’est ce dernier qui l’a nommée au Conseil constitutionnel en 2022.

Laurence Vichnievsky est également une magistrate confirmée qui a débuté comme juge d’instance avant d’exercer en tant que juge d’instruction (elle a notamment prononcé un non-lieu dans l’affaire de la mort controversée du ministre du Travail Robert Boulin en 1979). Par la suite, elle a instruit des affaires sensibles au sein du pôle financier du tribunal de Paris, a présidé le TGI de Chartres et a été nommée avocate générale près la cour d’appel de Paris. Après son entrée en politique dans les rangs écologistes puis son ralliement au MoDem, elle a été élue député du Puy-de-Dôme de 2017 à 2024 en étant investie par le parti d’Emmanuel Macron.

En 2025, Yaël Braun-Pivet l’a proposée comme membre du Conseil constitutionnel en remplacement de Corinne Luquiens, qui avait été nommée en 2016 par le socialiste Claude Bartolone.

Trois Républicains

* François Pillet a exercé pendant 38 ans à la cour d’appel de Bourges. Ancien membre de la Cour de justice de la République, il a été président du comité de déontologie parlementaire de la chambre haute et sénateur divers droite (rattaché au groupe Républicain) entre 2007 et 2019, date à laquelle Gérard Larcher l’a nommé au Conseil constitutionnel.

En 2018, en tant que membre de la commission des Lois, il a auditionné Alexis Kohler, Secrétaire général de l’Élysée et bras droit d’Emmanuel Macron, avant de déclarer que les manquements de l’intéressé étaient très clairs dans le cadre de l’affaire concernant le responsable de la sécurité présidentielle Alexandre Benalla.

* François Seners a été conseiller au tribunal administratif de Nice de 1993 à 1996, puis au Conseil d’État de 1997 à 2008. Ancien directeur de cabinet de Rachida Dati entre 2008 et 2009, il a été secrétaire général du Conseil d’État entre 2012 et 2014, puis directeur du cabinet de Gérard Larcher entre 2014 et 2017, avant d’être nommé par ce dernier au Conseil constitutionnel en 2022.

Philippe Bas a été, sous la présidence de Jacques Chirac, Secrétaire général de la présidence de la République, ministre délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la famille puis ministre de la Santé et des Solidarités. Il s’est ensuite installé dans la Manche, où il a été sénateur de 2011 à 2025 et président du Conseil départemental entre 2015 et 2017.

Soutien de François Fillon lors de la primaire présidentielle des Républicains et lors de l’élection présidentielle de 2017, il a porté à la connaissance du Parquet national financier et du procureur de la République une douzaine de faits délictueux commis à l’encontre de ce candidat.

En 2018, il a présidé la commission des Lois du Sénat dans le cadre de l’affaire Benalla.

En 2025, Gérard Larcher l’a proposé comme membre du Conseil constitutionnel en remplacement de Michel Pinault, également désigné par le Président du Sénat neuf ans plus tôt.

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19 août 2015, il y a 10 ans, décédait notre ami Emmanuel Ratier

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