vendredi, 05 août 2011
2010 / 2011 : LES GRANDS MOMENTS DE L'ANNEE MILITANTE DE SYNTHESE NATIONALE...
27 septembre 2010 : suite aux reculades du gouvernement face aux diktats de Bruxelles, Synthèse nationale lance une campagne militante contre l'Europe technocratique...
Enorme succès de la pétition de Synthèse nationale « pour que la France entre en sécession par rapport à l’Europe de Bruxelles »...
En l’espace de trois jours, depuis que la pétition a paru sur le blog Synthèse nationale, et sur quelques sites amis, des centaines de signataires se sont manifestés. Rivarol nous consacre sa deuxième page dans son édition de vendredi, et Minute de ce mercredi relate largement notre appel. Nous les en remercions vivement.
Certains correspondants nous interpellent : le terme « sécession » n’est-il pas trop fort ? Est-ce réaliste ? Réponse : le traité de Lisbonne (tant pis pour lui) prévoit la possibilité de sécession. De plus, il faut être conscient que les projets politiques des formations nationalistes et identitaires ne pourront aboutir qu’à la seule condition de se débarrasser du carcan bruxellois. Notre objectif n’est pas de détruire l’Europe, mais de la reconstruire. Cette Europe des nains de Bruxelles n’est tout simplement pas la nôtre. Et puis… à l’extrême arrogance des nains de Bruxelles et du Luxembourg, ne faut-il pas opposer une extrême détermination ?...
L'appel de Synthèse nationale : cliquez ici
11 novembre 2010 : 4ème journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale, plus de 1 000 participants, un nouveau succès pour notre revue...
La 4ème Journée de Synthèse nationale a remporté un grand succès :
Une fois de plus, la 4ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale a remporté un vif succès. C’est près de 1 000 visiteurs qui sont passés tout au long de la journée au Forum de Grenelle pour assister à cette quatrième édition de ce qui est devenu le grand rendez-vous de la résistance nationale et identitaire de l’automne. Le thème de cette 4ème journée : « Résistons à la colonisation de l’Europe ». Derrière la tribune, une grande banderole sur laquelle était résumée la raison d’être de Synthèse nationale : Résistance, Libération !
Les trois tables rondes et le meeting unitaire qui a conclu cette journée ont été pour les différents intervenants, chacun avec son approche des choses et sa sensibilité, l’occasion de prouver que la résistance contre la colonisation de notre continent et la dénonciation du « parti de la collaboration » est désormais une force avec laquelle il faudra compter. Le nombre croissant de participants aux journées de Synthèse nationale est là pour le prouver.
Le combat mené en France est le même que celui mené par les mouvements frères en Europe. Tel était le message de la première table ronde au cour de laquelle prirent successivement la parole Hilde De Lobel, ancienne député du Vlaams belang, qui avait un stand qui fut fort apprécié des visiteurs, Alberto Torresano, de la revue Identitad de Madrid, revue qui consacre dans sa dernière livraison deux pages à la NDP et à Robert Spieler, Olivier Grimaldi, le dynamique président du Cercle Franco-hispanique, et Robert Vesterlund, Président du mouvement suédois Salemfonden, venu spécialement de Stockholm pour la réunion. Lionel Baland, spécialiste des droites nationales en Europe nous a éclairés sur le développement des mouvements identitaires, particulièrement en Autriche et en Hongrie. Notons la présence de camarades hollandais et ukrainiens dans l’assistance. La dimension européenne de notre combat n’est pas une fiction pour Synthèse nationale, c’est une réalité.
La deuxième table ronde était consacrée à la colonisation de la France et de l’Europe. Pour en parler, nous avions invité différentes personnalités engagées soit dans le combat politique, comme Christian Perez, Président du Parti populiste, soit sur le plan éditorial, comme Franck Abed, écrivain monarchiste et catholique, et aussi animateur d’émissions appréciées des lecteurs de Synthèse nationale, l’éditeur et chroniqueur Philippe Randa que l'on ne présente plus, l’économiste Marc Rousset, auteur de La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou (Editions Godefroy de Bouillon) l’écrivain Jean Alcader, auteur d’ouvrages sur l’islamisation de la France, et notre collaborateur spécialiste de la désinformation, Arnaud Raffard de Brienne.
A peine cette deuxième table ronde achevée, surgit dans la salle un groupe pour le moins pittoresque « d’activistes armés » du FLC, entendez Front de libération du cochon, qui en quelques secondes, une fois l’étonnement de l’assistance passé (environs 300 personnes ont assisté à chacune des différentes tables rondes), teint une conférence de presse qui engendra l’enthousiasme de l’assistance, afin de dénoncer, calmement mais fermement, la prolifération du hallal dans les réseaux de distribution français. « Le hallal est le cheval de Troie de l’islam dans la culture européenne » a martelé le chef du FLC avant de se retirer aussi vite qu’ils étaient arrivés. Tonnerre d’applaudissements dans la salle déjà surchauffée.
La troisième table ronde fut l’occasion de parler de la dimension sociale du combat nationaliste. Ainsi, Serge Ayoub, animateur du mouvement Troisième voie, expliqua les raisons de son engagement au sein du mouvement social et la nécessité pour les forces nationalistes de se référer aux luttes du passé et d’aujourd’hui. Troisième voie est le mouvement des travailleurs français pour une avant-garde solidariste. Solidarisme justement, lorsque l’on évoque le solidarisme on pense bien sûr à Francis Bergeron qui, l’an passé nous avait fait un exposé sur l’engagement dans les groupes solidaristes des années 70, et qui, cette année nous parla de Saint Loup à qui il vient de consacrer une biographie (éditée chez Pardes). Notre Cher Jean-Claude Rolinat, qui vient d’éditer un livre passionnant sur Evita Perón (chez Dualpha) évoqua, pour sa part, les liens entre le péronisme argentin et le fascisme italien. Luc Pécharman, responsable de la NDP dans le Nord, évoqua le magnifique travail social réalisé par la Vlaams Huis dans la banlieue de Lille. Au début de cette table ronde, Robert Spieler avait interrogé Olivier Bonnet sur l’évolution, depuis l’an passé, du projet La Desouchière, cette implantation identitaire au cœur du Morvan. Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, avec le talent que nous lui connaissons, dénonça non sans malice les dégâts que pourrait subir le FN si, demain, certaines dérives libérales l’emportaient lors du congrès du mois de janvier. Si l’on s’en tient à l’applaudimètre, Jérôme Bourbon a fait tilt…
Puis vint le moment du grand meeting unitaire. Après les interventions de nos amis suédois et allemand Robert Vesterlund et Markus Wiener, Secrétaire général de Pro Bewengug et conseiller municipal Pro Köln de Cologne, s’enchainèrent les discours d’Annick Martin, secrétaire générale du MNR, qui remporta un franc succès, celui du jeune et prometteur Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, puis celui de Pierre Vial qui provoqua un tonnerre d’applaudissements lorsqu’il conclu en évoquant la victoire de l’Europe blanche à laquelle nous œuvrons. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, fit un tabac lorsqu’il dénonça les collabos qui légitiment l’occupation de la France par des populations venues d’ailleurs, collabos au premier rang desquels on retrouve certains évêques français tel que celui de Carcassonne.
Mario Borghezio, ancien vice-ministre de la Justice italienne et député européen de la Ligue du Nord, invité d’honneur de cette 4ème journée nationale et identitaire fit un discours enflammé en faveur de l’entente des forces nationalistes à travers l’Europe. Ce fut un grand honneur pour Synthèse nationale de recevoir ce combattant infatigable qu’est Mario Borghezio. Dans les jours qui viennent nous reviendrons sur cette intervention qui souleva toute l’adhésion des centaines de militants présents dans la salle.
Synthèse nationale tient à remercier toutes celles et tout ceux qui ont participé au bon déroulement de cette réunion, en particulier les militants de Troisième voie qui assuraient la protection de celle-ci, les militants de la NDP, du MNR et de Terre et peuple qui ont aidé à la mise en place de la salle, les militants de la NDP alsacienne qui ont assuré la restauration (très vite, il fallut trouver du pain - et ce n'est pas une mince affaire le 11 novembre - car les 400 sandwiches prévus étaient épuisés), merci à Florence, Béatrice, Anne-Marie, Madeleine, Elodie, Delphine et toutes celles qui, grâce à leur gentillesse, s'occupèrent de l'accueil du millier de participants qui est passé au cours de la journée. Nous remercions aussi Rivarol, Radio Courtoisie, F Desouche, Altermedia et les dizaines de publications, blogs et sites qui ont annoncé cette 4ème Journée nationale. Merci enfin aux exposants qui ont aidés au succès de cette réunion.
Rendez-vous l’an prochain pour la 5ème JNI, vive la victoire !
Tout sur la 4ème journée de Synthèse nationale : cliquez ici
Samedi 12 février 2011 : quelques semaines après le congrès de la trahison de l'idéal national qui s'est tenu en janvier à Tours, Synthèse nationale reprend l'initiative en organisant une réunion publique à Paris sur le thème évocateur : LE COMBAT NATIONALISTE CONTINUE...
Samedi, les nationalistes sont venus en nombre assister à la réunion publique parisienne de Synthèse nationale...
Samedi après-midi, dans un Espace Dubail trop petit, se tenait la première réunion publique parisienne de l'année de Synthèse nationale. C’est en effet devant une salle comble (plusieurs centaines de militants, dont de nombreux jeunes) que les différents orateurs purent développer leurs conceptions du combat nationaliste.
Ce fut tout d’abord Jean-Claude Rolinat, écrivain (il vient de publier une biographie d’Eva Peron), élu local et membre de la direction nationale de la Nouvelle Droite Populaire, à qui il revenait d'ouvrir la séance. Il dressa d'emblée un bilan catastrophique de la situation politique de la France et de l’Europe. Nous publierons très prochainement le texte de l’intervention de Jean-Claude Rolinat.
Fidèle à sa vocation de promouvoir les initiatives qui lui semblent intéressantes et constructives pour le mouvement nationaliste, Synthèse nationale avait invité Serge Ayoub, responsable de Troisième voie, à prendre la parole. C’est avec fougue qu’il débuta son discours en se livrant à un véritable réquisitoire contre le sinistre Jean-Luc Mélenchon. Il faut rappeler que ce minable politicien à la botte du Système, avec une arrogance invraisemblable, s’est récemment permis lors d’une émission télévisée de traiter avec mépris et condescendance des patriotes du Nord de la France en les considérant pratiquement comme des moins que rien. Mais qui est-il donc ce Mélenchon pour se permettre de juger ainsi des militants qui se battent bénévolement et courageusement pour leurs idées ? Rappelons que le donneur de leçons Mélenchon a passé sa vie à vivre aux frais des contribuables en tant qu’élu du Parti socialiste. Au tarif où il est rémunéré, il n’a pas beaucoup de mérite, Mélenchon, à clamer sa ferveur « révolutionnaire ». Le hic, c’est que ce pitoyable fier à bras vient de franchir la ligne jaune et que dorénavant il doit savoir que les nationalistes ne le laisseront plus impunément baver sa haine de notre peuple. Qu’il se le tienne pour dit.
Mais revenons à l’intervention de Serge Ayoub. Celui-ci insista ensuite sur la nécessité pour les nationalistes d’investir le combat syndical. Telle est la vocation de Troisième voie qui se définit comme étant le mouvement des travailleurs français pour une avant-garde solidariste. Cette initiative originale mérite d’être encouragée car elle est complémentaire des autres formes de combat choisies par les autres composantes du mouvement nationaliste.
Puis vint le tour de Pierre Vial, Président de l’association culturelle Terre et Peuple et aussi membre de la direction nationale de la NDP, de prononcer un discours d’une très haute tenue au cours duquel il dénonça les malheureuses dérives du Front national qui jusqu’à ces dernières années était sensé incarner le combat national et qui, depuis son dernier congrès, a perdu toute légitimité et toutes crédibilité aux yeux des nationalistes identitaires. Nous publierons aussi prochainement le discours de Pierre Vial.
C’est à Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol et Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, à qui il revenait de prononcer le discours d’orientation de cette réunion. Il suscita à plusieurs reprises l'enthousiasme de la salle lorsqu’il appela à une rupture totale avec le Système.
Voici l’essentiel de l’intervention de Robert Spieler :
« Au moment où la France et l’Europe sombrent dans une crise économique et identitaire sans précédent, Robert Spieler insista sur le fait qu’il faut un mouvement nationaliste fort et organisé dans notre pays. Un mouvement qui se bat pour une France française dans une Europe européenne.
La Nouvelle Droite Populaire prône le rassemblement des forces nationalistes autour de principes que nous considérons comme non négociables : la défense intransigeante de nos identités nationale, régionales et européennes. Le problème prioritaire n’est pas l’islam, qui n’est qu’une conséquence, mais l’invasion africaine, maghrébine et turque, notamment, que subissent la France et l’Europe. Nous considérons que cette immigration aurait des conséquences tout aussi dramatiques pour l’identité de nos peuples, si ces populations étaient agnostiques, bouddhistes, ou chrétiennes. Ces populations qui occupent notre terre devront, en grande partie, repartir. Nous le disons calmement, sans haine ni violence, les immigrés n’étant pas responsables de cette situation. Mais ils devront repartir, et la nécessaire Reconquista doit être menée. Qu’on ne nous dise pas que c’est impossible. L’exemple des Pieds-noirs d’Algérie, sommés de quitter leur terre en quelques semaines, prouve le contraire (...).
La Nouvelle Droite Populaire refuse toute inféodation de la France à des puissances étrangères. Nos soldats n’ont pas à mourir pour défendre les intérêts de Washington ou de Tel Aviv. Le combat pour la libération doit se mener ici, en France et en Europe, pas en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Palestine ou en Israël. Nous demandons que la France quitte l’OTAN et appelons à la constitution d’une défense européenne intégrée (...).
Nous voulons l’Europe de la puissance, et rejetons l’Europe des nains arrogants de Bruxelles. C’est par la sécession de la France que nous pourrons demain construire une Europe nationaliste et identitaire, respectueuse des Nations et des Provinces qui la composent (...).
Sur les plans économiques et commerciaux, nous prônons la création d’un espace économique et commercial européen protégé, partenaire de la Russie. Nous devons réindustrialiser la France et l’Europe en érigeant des barrières qui empêcheront la destruction de nos emplois, par l’afflux de produits fabriqués dans des pays qui ne respectent pas un minimum de normes sociales (...).
Nous prônons le plus large rassemblement de la Résistance française et européenne. Dans le respect des différences. Nous ne sommes pas obligés d’être d’accord sur tout et personne n’a, par exemple, à imposer sa vision de la morale, ou ses convictions religieuses, aux autres. Le partenariat que la NDP a établi avec le Parti de la France et le MNR a permis d’obtenir des résultats très encourageants aux dernières élections régionales, notamment en Lorraine, où nos listes dépassèrent 3% des voix. Le partenariat de la NDP avec Troisième voie, le Renouveau français, le GUD, Terre et peuple et d'autres orrganisations militantes a permis à un millier de nationalistes de défiler, le 9 mai dernier à Paris. La NDP refuse absolument toute exclusive à l’encontre de ceux qui refusent toutes soumissions au Système. Le considérable succès de la réunion unitaire de Synthèse nationale, le 11 novembre 2010 prouve, par ailleurs, que nous sommes dans la bonne voie ».
Dans l’assistance, plusieurs personnalités de la droite nationale et nationaliste nous avaient fait l’amitié d’assister à cette réunion. Notons la présence de Mme Martine Lehideux, vice-présidente du Parti de la France, de MM. Pierre Sidos, Président de l’œuvre française, Pierre Descaves, ancien député, Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, Bernard Bres, directeur du Chêne, le journal du MNR, et bien d’autres.
Cette réunion était conduite par Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale. Il conclut la séance en appelant les Franciliens à participer massivement, le dimanche 8 mai prochain, à 10 h 30, à la nouvelle manifestation nationaliste unitaire qui aura pour thème : la France est de retour ! Le 9 mai 2010, nous étions un millier, le 8 mai 2011, nous serons plus de 3 000 ! Plus que jamais, le combat nationaliste continue !
L'intervention de Pierre Vial : cliquez ici
Samedi 9 avril 2011 : pour marquer le 25ème anniversaire de l'instauration du regroupement familial, Synthèse nationale a organisé un colloque à Paris qui rassembla 250 participants. Notons l'intervention remaquée de Véronique Bouzou lors de ce colloque. Cette jeune et courageuse enseignante a publié l'an dernier un livre qui a eu un grand retentissement : Ces profs qu'on assassine...
Pour marquer le 35ème anniversaire du regroupement familial, Synthèse nationale organisait samedi un colloque à Paris : plus de 250 participants...
Reportage sur le colloque : cliquez là
Intervention de Véronique Bouzou : cliquez ici
Samedi 7 et Dimanche 8 mai 2011 : durant toute cette fin de semaine, la NDP et Synthèse nationale ont occupé le terrain sur le plan politique, avec la tenue du 4ème Conseil national du mouvement le samedi 7 mai et, le dimanche 8, en prenant la tête de la grande manifestation nationaliste unitaire contre le mondialisme. Près de 1 500 personnes ont répondu à l'appel de la NDP de Terre et peuple, de Troisième voie, du GUD, du Renouveau français et de nombreux autres mouvements nationaux, régionaux. Cette année, des délégations du Parti de la France, conduite par son secrétaire général Thomas Joly, et du MNR se sont jointes à la NDP pour manifester.
Le 4ème Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire : pour le rassemblement des forces nationales et nationalistes.
De gauche à droite : François Ferrier, Robert Spieler, Roland Hélie, Jean-Claude Rolinat
Samedi 7 mai s’est tenu à Paris le 4ème Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire. Il s’agissait, pour les responsables du mouvement nationaliste et identitaire de définir la stratégie de celui-ci en vue des prochaines échéances électorales de 2012 et au-delà.
Le Conseil national de la NDP a constaté l’abandon progressif par le Front national de Marine Le Pen des principes fondamentaux qui avaient justifiés jusqu’à maintenant l’appartenance de ce parti à la Droite nationale sociale et populaire.
Le Conseil national a validé à l’unanimité la participation active de la NDP à la constitution d’une nouvelle structure confédérale de rassemblement des organisations de la Droite nationale afin de présenter un maximum de candidats aux élections législatives et de soutenir une candidature d’union à la présidentielle.
Dans les semaines qui viennent une réunion aura lieu avec les responsables du Parti de la France de Carl Lang et du MNR afin de concrétiser cette confédération.
Il faut dès maintenant créer une véritable alternative authentiquement nationale au Front national rallié au Système. Dans cette confédération, la NDP incarnera la sensibilité nationaliste et identitaire.
Rappelons que depuis 2009, lors des différents scrutins qui se sont déroulés (européennes de juin 2009, régionales de mars 2010 et cantonales de mars dernier) l’entente entre les principales formations nationales et nationalistes a permis d’enregistrer des résultats encourageants.
Enfin, la NDP, afin d’accentuer son implantation à travers le pays, s’est dotée d’un coordinateur national. C’est Yves Darchicourt, délégué du mouvement dans le Pas-de-Calais, qui assumera cette charge.
Dimanche 8 mai en matinée, la Nouvelle Droite Populaire a ouvert le traditionnel défilé des forces nationalistes qui a rassemblé plus de 1 500 personnes (le double de l’an passé). Le thème de cette manifestation était : « Contre le mondialisme, la France est de retour ». Au cours du meeting qui a conclu cette marche, Pierre Vial, Président de Terre et peuple et membre du Bureau national de la NDP, a appelé les forces nationalistes à refuser toutes les compromissions avec le Système. Robert Spieler, ancien député et Délégué général de la NDP, a pour sa part exigé le départ d’une majorité d’immigrés africains et maghrébins présents sur notre sol, contre la volonté de notre Peuple, et désigné la responsabilité du capitalisme mondialiste et cosmopolite dans cette invasion.
Droite nationale : L’union en marche...
Dimanche 22 mai : les principaux dirigeants et représentants des mouvements et associations de la Résistance nationale se sont rencontrés pour une réunion de travail où des décisions importantes ont été prises, quant à l’avenir de notre camp.
Parmi les participants, les responsables du Parti de la France, autour de Carl Lang (Thomas Joly, secrétaire général, Martial Bild, et Martine Lehideux, Roger Holeindre, Pierre Descaves, Christian Baeckeroot, anciens députés), les responsables de la Nouvelle Droite Populaire, autour de Robert Spieler (Roland Helie, directeur de Synthèse nationale, Pierre Vial, président de Terre et Peuple, Florence Raffard de Brienne, François Ferrier, ancien conseiller régional de Lorraine, Luc Pécharman, responsable de la fédération du Nord), les responsables du MNR (Annick Martin, vice-présidente, Hubert Savon, secrétaire général, Yann Phélippeau, SG adjoint). Les dirigeants de la presse amie étaient aussi présents pour apporter leur soutien actif au projet : Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Patrick Parment, de Synthèse nationale, et André Gandillon, de Militant, ce dernier étant aussi Président des amis de Rivarol et proche de l’Œuvre française. Thibaut de Chassey qui représentait, comme observateur actif, le Renouveau français, était aussi présent.
Le constat :
Le constat, unanime, a été que le Front national, dirigé par Marine Le Pen, ne représentait plus la Résistance nationale et était passé aux côtés du Système que tous les présents entendent combattre. Pour preuve, les propos de Marine Le Pen quant à l’islam, expliquant que l’islam n’était pas incompatible avec la démocratie et qu’il fallait s’opposer à la charia, pas à l’islam, affirmant : « Je crois que la charia est incompatible, pas l’islam. Je crois qu’une immense majorité de musulmans sont favorables à la démocratie. » Pour preuve, l’intention affichée par Jean-Marie Le Pen de retirer, suite à une rencontre avec le responsable d’une association musulmane de Marseille, le recours du FN contre la construction de la grande mosquée de Marseille, estimant que : « Il serait de bon temps d’évoluer sur cette question. » Pour preuve, l’abandon par le secrétaire général du FN, Louis Aliot, de la préférence nationale au profit d’une « priorité citoyenne »… Ces propos, absurdes, ces intentions, absurdes, ces analyses, absurdes, démontrent que le Front national n’est plus aux côtés de la France française et de l’Europe européenne, et doit être combattu, au même titre que l’UMP ou le PS. Marine Le Pen ne sera en aucun cas la candidate des nationalistes et des nationaux identitaires à l’élection présidentielle.
Les décisions :
Les participants à cette réunion ont décidé :
1. Création d’une confédération, sur le modèle de l’UDF, rassemblant tous les mouvements et toutes les associations nationales et nationalistes soucieux de proposer aux Français un projet de résistance, de reconquête et d’espoir, et refusant la collaboration avec le Système.
2. Présentation d’un(e) candidat(e) à l’élection présidentielle de 2012.
3. Présentation de candidats, sous l’étiquette de cette confédération, aux élections législatives.
Les modalités concrètes de ces décisions (nom de la confédération, nom du candidat à l’élection présidentielle), seront annoncées à la rentrée, en septembre.
Lundi 27 juin, à 19 h 00, à Paris :
Le lundi 27 juin, à 19 h 00, lors d’une réunion publique, nous annoncerons la création d’un comité d’initiative pour une candidature d’union de la Droite nationale à l’élection présidentielle et la création d’une confédération des forces nationalistes, nationales et identitaires.
Cette réunion des forces de l’opposition nationale, organisée par la revue Synthèse nationale, se déroulera en présence de Carl Lang, Annick Martin, Robert Spieler et des principaux initiateurs de cette démarche de rassemblement : lundi 27 juin à 19 h 00, au Centre de Conférences, 8 bis rue de la Fontaine aux Rois, Paris 75011 (Metro République ou Goncourt).
Mercredi 1er juin 2011 : un entretien entre Roland Hélie, fondateur et directeur de Synthtèse nationale et membre du bureau national de la NDP, et l'écrivain Franck Abed.
Lundi 27 juin 2011 : un mois après l'annonce de l'initiative de rassemblement de la droite nationale, Synthèse nationale organise à Paris une première réunion publique afin de tenir informé les franciliens du lancement du rassemblement. Une belle réussite qui laisse présager un bel avenir pour les forces nationales authentiques... Prendront la parole : Martine Lehideux, Jérôme Bourbon, Pierre Vial, Roland Hélie, Annick Martin, Robert Spieler et Carl Lang.
Lundi soir à Paris, 350 personnes ont assisté à la première réunion pour le rassemblement de la Droite nationale...
Le grand amphi du Centre de conférence de Paris République, rue de la Fontaine au Roi, était bondé hier soir pour la première réunion publique pour l'union de la Droite nationale organisée par Synthèse nationale.
Ce fut d'abord Martine Lehideux, militante de la première heure du Front national, ancienne Vice présidente de celui-ci et aujourd'hui au Parti de la France, qui ouvrit la réunion. Martine est une combattante remarquable, c'est un honneur pour Synthèse nationale de l'avoir parmi nous à cette réunion.
Puis ce fut Jérôme Bourbon, le talentueux éditorialiste de Rivarol. Décapant comme à son habitude, il dressa un bilan sans concession de la situation politique actuelle. Il apporta le soutien total de l'hebdomadaire de l'opposition nationale et européenne à la nouvelle confédération en gestation.
Pierre Vial, toujours aussi passionnant, historien, militant, il n'hésite pas à s'exclamer : "Oui, je suis d'extrême droite" suscitant un tonnerre d'applaudissement dans la salle.
Annick Martin, Vice présidente du MNR, insista avec justesse sur la nécessité de donner une dimension européenne au combat que nous menons. Nous ne sommes plus en 1911 et la France seule ne pèse plus très lourd en 2011...
Fidèle à son habitude, Robert Spieler n'y alla pas par quatre chemins. Rappelant que la rue de la Fontaine au Roi fut, en 1871, le théâtre des derniers combats de La Commune de Paris, qui vit le soulèvement du peuple de Paris contre l'ignoble trahison versaillaise, le Délégué général de la NDP n'hésita pas à nous comparer à la dernière barricade qui résiste encore, et malgré les trahisons lepénistes, à l'abandon de notre identité nationale et européenne.
Dernier intervenant avant que Roland Hélie conclue cette belle réunion, Carl Lang, Président du Parti de la France, présenta les bases de la confédération qui regroupe déjà le PdF, le MNR, la NDP et qui naîtra officiellement en septembre prochain. Cette confédération, dans laquelle chacune des formations adhérentes gardera son identité et sa spécificité, sera la seule à représenter lors de la prochaine présidentielle et des législatives qui suivront, et bien au-delà d'ailleurs, la Droite nationale, nationaliste et identitaire. Cette confédération "ne perdra pas son temps à rechercher une quelconque respectabilité, et cela pour la simple et unique raison que nous sommes tous des gens respectables".
Tout au long de la soirée les stands ne désemplirent pas et de nombreux nouveaux abonnements à notre revue ainsi qu'à Rivarol ou encore à Terre et peuple furent enregistrés.
De nombreuses personnalités de notre famille politique nous ont fait l'amitié de venir assister à cette réunion. Citons la présence dans l'assistance d'une délégation de camarades du Front comtois, menée par son Président Gaëtan Perret, de Serge Ayoub, dirigeant du mouvement Troisième voie, d’Edouard Klein, responsable du GUD, venu avec plusieurs militants de ce sympathique syndicat étudiant, du Professeur Jean Haudry, ancien doyen de la faculté de lettres de Lyon, d'Odile Bonnivard, Présidente de Solidarité des Français, de Pierre Descaves, ancien député de l'Oise, des écrivains Patrick Gofman, Hervé Ryssen, Eric Miné et Franck Abed, de Thomas Joly, Secrétaire général du PdF, et de bien d'autres...
La réunion s'est terminée vers 22 h 00 et chacun est rentré avec la conviction que beaucoup de choses sont en train de bouger et que la vraie Droite nationale n'a certainement pas encore dit son dernier mot...
Reportage et photos : cliquez là
Interventions filmées par Franck Abed : cliquez ici et cliquez là
16:25 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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