lundi, 31 octobre 2016
"Bardèche et l'Europe" le remarquable essai de Georges Feltin-Tracol vient d'être réédité pour la 3e fois. Il est à nouveau disponible
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dimanche, 30 octobre 2016
Le nouveau clip des Brigandes :
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Trop rigolo : quand l'extrême gauche s'intéresse à Synthèse nationale, ça donne...
Source : la commission anti-fasciste du NPA (rien que ça)
En 2006 la revue Synthèse nationale livre son premier numéro à l’initiative de Roland Hélie. Celui-ci est un vieux routier de l’extrême droite : ancien membre d’Ordre nouveau, du GUD, dirigeant du Parti des Forces nouvelles, il a fait des aller et retours au Fn et a participé à divers groupuscules (Espace nouveau, Mouvement d’Initiative populaire, Alliance populaire, Parti national républicain).
Pourquoi lancer une nouvelle revue ? Roland Hélie explique les tenants et les aboutissants d’une telle entreprise : « partant du constat que les forces nationales étaient alors morcelées et parfois même antagonistes, nous avons essayé d’introduire dans notre famille d’idées un nouvel état d’esprit. Il s’agissait de faire en sorte que les différentes composantes de ce que nous appelons « le mouvement national », au sens large du terme, agissent vers le même objectif. (…) Combattre le mondialisme destructeur des identités et des nations. (…). Pour une France française dans une Europe européenne. Pour une offensive nationale et identitaire ».
La revue est complétée par les Cahiers d’Histoire du nationaliste (qui s’inspirent des Cahiers d’Histoire du Fascisme de François Duprat dans les années 70). Le catalogue est sans appel. Parmi les numéros publiés : Léon Degrelle (ex chef de la division Wallonie des SS belges), François Duprat, Jacques Doriot et le PPF, le PFN, Jean-Louis Tixier-Vignancour, Jean Mabire, éveilleur des peuples, la Croix celtique, le NSDAP, Drieu la Rochelle, le Français d’Europe... et la collection des Bouquins de Synthèse nationale qui comprend entre autres titres : Dominique Venner, Présent !, Dominique Venner, soldat politique, Salazar le regretté, Bardèche et l’Europe, Pourquoi la Syrie baasiste plutôt que l’État islamique. Bref tout un appareil pour mener à bien « le combat identitaire » et la reconquête idéologique.
Les journées de Synthèse nationale, c’est un peu la foire-fouille des groupuscules d’extrême droite. L’offre est large et radicale. C’est aussi un rendez-vous des anti-marinistes et des fascistes de tout poil.
La tribune du meeting central de gauche à droite : Filip Dewinter (député belge du Vlaams Belang) - Jean-Paul Chayrigues de Olmetta (président des Amis de Synthèse nationale) - Jean-Marie Le Pen - Roland Hélie (Synthèse nationale) - Roger Holeindre (Cercle national des Combattants) - Carl Lang (Parti de la France). D.R.
La revue a donc fêté ses dix ans le 2 octobre dernier. Différents forums étaient organisés : « forum des initiatives, forum sur l’identité » et clou de la journée un meeting central avec comme invité d’honneur Jean-Marie Le Pen, qui depuis son exclusion du Fn est prêt à sauter sur toutes les estrades où il est convié à s’exprimer.
Ont participé aux divers forums : Serge Ayoub (ex skinhead et chef des ex JNR), Richard Roudier de la Ligue du Sud, Pierre Cassen de l’association islamophobe Riposte laïque, Pierre Vial de la revue païenne et identitaire Terre et Peuple, Alain Escada du mouvement catholique intégriste Civitas, Roger Holeindre ex membre du Fn et patron du Cercle national des Combattants, Carl Lang du Parti de la France…
Du côté des « camarades européens » étaient présents Hervé Van Laethem du groupe fasciste belge Nation, Gabriele Adinolfi ancien dirigeant des fascistes italiens de Terza Posizione et partisan dans les années 70 de la « stratégie de la tension » en Italie : une figure de référence pour l’extrême droite italienne et européenne. Également présent, Filip Dewinter député du Vlaams Belang au Parlement belge.
Dans les allées de l’Espace Jean Monnet (un comble pour les nationalistes) différents stands d’éditions, d’associations et de groupuscules s’étaient installés. Le Parti nationaliste français (cache-sexe de l’ Œuvre française dissoute par le gouvernement) qui réclame la translation des cendres de Pétain à Verdun, les pétainistes nostalgiques de l’Association de Défense du Maréchal Pétain (ADMP), le groupuscule Dissidence française qui « est une communauté de combat des Hommes debout au milieu des ruines (référence au théoricien fasciste Julius Evola) contre la République des partis, des loges et des lobbies… pour l’unité nationale et l’identité ethnoculturelle du peuple français et la défense du sang et du sol… ».
Le Parti de la France avec Carl Lang et Thomas Joly, le Cercle national des Combattants, le Groupe Nation, les revues Terre et Peuple et Réfléchir et Agir, les éditions Dualpha et Philippe Randa, Synthèse nationale avec Jean-Claude Rollinat (ex FN) et Didier Le Cerf (ex PFN) étaient également de la partie ainsi que TV Libertés, WebTV fondée en 2014 par Philippe Miliau (ex GRECE, ex Bloc identitaire ) et qui défend « la culture et l’esprit français au cœur des nations européennes » : Jean-Yves Le Gallou, Alain de Benoist, Martial Bild, Robert Ménard y animent diverses émissions auxquelles ont participé Alain Sanders de Présent, Renaud Camus, le théoricien du « Grand Remplacement ». Pour aider à son lancement, TV Libertés a vraisemblablement reçus quelques roubles poutiniens.
Un bouquiniste proposait quant à lui les œuvres de Degrelle, Mein Kampf, A. Hitler chef d’État, chef de guerre et des écrits négationnistes de Paul Rassinier et consorts.
Au hasard des flâneries, on pouvait croiser Thierry Maillard (ex Œuvre française, viré du Fn, admirateur de Doriot et fondateur de la Ligue champenoise des Patriotes, du Front nationaliste et du Réseau France nationaliste).
Côté réjouissances, Docteur Merlin (ex GRECE), qui n’a rien d’un enchanteur, donnait un concert et chantait « Viva Mussolini, c’est le plus grand homme ». Cerise musicale sur ce rendez-vous d’automne, Les Brigandes au sommet de la ringardise : ce groupe est produit par Le Comité de Salut public dont la figure de proue (un certain Antoine) précise que le but de ce comité est de « rassembler des personnes appelées par l’idée de résistance, les rassembler physiquement pour les former aux combats actuels et futurs ».
Le « Forum sur l’Identité » animé par Luc Pécharman (responsable de Synthèse nationale Nord) est parvenu à réunir à la même tribune Alain Escada de Civitas, Pierre Cassen de Riposte laïque et le païen et identitaire Pierre Vial (ex secrétaire général du GRECE, Fn, Mnr) de la revue Terre et Peuple. Premier intervenant Pierre Cassen qui d’entrée de jeu s’est déclaré défenseur de la loi de 1905, citant Victor Hugo : « je veux l’Église chez elle et l’État chez moi ». Il s’est félicité de l’absence de crucifix dans les tribunaux (Escada a failli manger sa cravate), puis il a enfourché son cheval de bataille, dénonçant la laïcité « catholicophobe » et islamophile, appelant les participants à se rassembler sur ce qu’il considère comme l’essentiel « bouter hors de France l’envahisseur et le conquérant (…), l’islam est le fer de lance de l’offensive contre la laïcité, l’islam n’est pas une religion et son seul but est la conquête de territoires ». Naturellement Eric Zemmour a reçu le soutien de Cassen.
Pierre Vial a vanté les mérites de Patrick Buisson et sa défense de l’identité nationale. Pour lui, l’identité est « la synthèse de la race et de la culture, une réalité ethnoculturelle ». Il n’hésite pas à citer Benjamin Disraeli (premier ministre du Royaume-Uni de 1874 à 1880), tout en précisant « lorsque l’on voit son patronyme ou son portrait, je ne vous fais pas de dessin ». Mais qu’a donc fait Disraeli pour trouver grâce aux yeux de Pierre Vial ? Il avait écrit en 1880 : « personne ne traitera avec indifférence du principe racial ; c’est la clef de l’Histoire (…). Une seule chose fait une race et cette chose c’est le sang ». Pierre Vial termine son intervention en souhaitant « longue vie au tsar Poutine » et en précisant qu’il aime bien se promener dans Moscou car « il n’y a pas de nègre dans les rues » (fermez le ban).
Le dernier intervenant est Alain Escada. Son intervention est un catalogue des principales cibles de l’extrême droite : dénonciation du « haut patronat cosmopolite, d’un complot des juifs de France en faveur de l’islam » (un complot judéo-islamiste ?). La preuve, les trois leaders du marché halal sont « des juifs sionistes ». Voyant le complot partout, Escada considère « qu’un plan mondialiste se met en place dont le but est d’installer des hordes d’’immigrés musulmans chez nous » et de pousser à « une situation de guerre civile en Europe ». La Franc- maçonnerie n’est pas oubliée parce que « la république maçonnique a colonisé la France au cosmopolitisme ». Quant au mondialisme, il a provoqué « la féminisation de l’homme en Europe. L’Europe aujourd’hui n’honore pas ses hommes, elle applaudit ses travelos (…). L’Europe produit des eunuques ». Heureusement que « l’ordre divin, l’ordre naturel des choses » doit rétablir la situation avant qu’il ne soit trop tard. Pour Escada, il y a urgence.
Lors du meeting politique, les oreilles de Marine Le Pen ont dû siffler. La tribune a rendu un hommage appuyé et un véritable cirage de pompes à Jean-Marie Le Pen. Sous la présidence de Roland Hélie, ont pris successivement la parole, Filip Dewinter, Roger Holeindre, nostalgique des guerres coloniales, Carl Lang qui a fait huer Marine Le Pen, l’accusant d’avoir offert « sous forme d’holocauste la tête de Jean-Marie Le Pen à des forces de l’Anti-France » (il ne faut pas oublier que c’est Le Pen qui a viré Lang du Fn…). Le représentant du Vlaams Belang F. Dewinter a remporté une victoire à l’applaudimètre lorsqu’il a dénoncé « la troisième invasion musulmane en Europe », a appelé à « rejeter l’islam de l’autre côté de la Méditerranée » et à préserver la « civilisation européenne et blanche ». Quant à Carl Lang, il a dénoncé le « péril islamique » et les forces de l’Anti-France, agents de dislocation de l’identité nationale.
La star du meeting fut sans conteste Jean-Marie Le Pen. Celui qui se considère toujours comme le Président d’honneur du Fn, après avoir fait référence à Brasillach, a pointé « le péril » qu’il avait été « le premier a dénoncer » ajoutant « nous avons vu clair avant tout le monde (…). L’explosion démographique (est) le principal problème parce qu’il est mortel, c’est l’immigration massive, c’est elle qu’il faut bloquer avant même d’organiser la remigration. C’est cela, ou ce sera la disparition de notre peuple ». Jean-Marie Le Pen est un adepte du « Choc des civilisations » et du « grand remplacement » de Renaud Camus. Il est bon de rappeler que dès 1977, François Duprat avait mis en avant, lors des élections municipales le thème de l’immigration. La même année le Fn sort son affiche « 1 million de chômeurs c’est 1 million d’immigrés de trop ». En 1982, Jean-Pierre Stirbois prévenait les populations immigrées : « immigrés d’au-delà de la Méditerranée retournez à vos gourbis ». Lors de son intervention Jean-Marie Le Pen a salué le long combat du Fn et les difficultés qu’il a rencontrées face à « l’établissement » car il a fallu attendre les dernières élections législatives et sénatoriales pour que le mouvement obtienne un député (il s’agit donc bien de Marion-Maréchal Le Pen et c’est Gilbert Collard qui a dû apprécier) et deux sénateurs.
Tout ce petit monde se prépare pour les prochaines élections législatives. Roland Hélie a précisé qu’il ne devait pas y avoir concurrence dans les circonscriptions entre les candidats du « mouvement national ». Quant à Jean-Marie Le Pen, il a proposé aux futurs candidats qui le souhaitent son label « Comité Jeanne ».
Le matin, Roland Hélie, après la fermeture du « Local » dirigé par Serge Ayoub, a exposé le projet de création d’un espace pour tous les patriotes appelé « La Base ». Ce projet est également porté par Hugues Bouchu, responsable du groupuscule « La Ligue francilienne » affiliée au Réseau identitaire. Hugues Bouchu a lancé un appel de fonds pour pouvoir mener à terme le « projet fédérateur pour les patriotes » suivi d’un appel à « la résistance ».
Tout le monde s’est congratulé avant de regagner ses pénates. À noter l’absence de Rivarol et de son directeur Jérôme Bourbon !
Cette Xe journée, comme les précédentes, ressemble plus à un regroupement de bras cassés qu’à la gestation d’un futur mouvement unitaire. Hors du Fn, il n’y a pas de place significative pour ces groupuscules dans l’espace politique français.
Jean-Paul Gautier,
historien, spécialiste des extrêmes droites
LA RÉPONSE DE SYNTHÈSE NATIONALE :
NDLR : Tremblez braves gens... ce M. Gautier a plongé au coeur du mal absolu mais, rassurez-vous, il en est ressorti indemne. Il mérite donc au moins une médaille en chocolat.
Trêve de plaisanteries et soyons bons princes : finalement, cet article, même sarcastique (c'est de bonne guerre), est plutôt utile à notre cause. Grâce à ce "spécialiste" autoproclamé, les quelques naïfs qui pensent se donner des frissons en allant chez Krivine et Besancenot combattre le Système découvriront, une fois revenus de leurs illusions, qu'il existe une véritable alternative au mondialisme : l'alternative nationaliste et identitaire.
Un détail d'ailleurs que M Gautier ignore sans doute : parmi les responsables nationaux qu'il prend un malin plaisir à citer dans son article, trois au moins étaient, il y a dix ans à peine, encore membres de l'officine gauchiste LCR (l'ancêtre du NPA). Comme quoi, on peut se laisser abuser un temps par les balivernes trotskistes et finir par s'en rendre compte. A l'extrême gauche, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.
L'article de M. Gautier a au moins le mérite d'indiquer la voie à suivre à ceux qui, au NPA ou ailleurs, ouvriront un jour les yeux et découvriront l'imposture qu'est l'extrême gauche, dernière roue de secours du capital... Ceux-ci auront toujours une place à nos côtés.
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Sortie à la fin de la semaine du second volume de BUDAPEST 1956 de David Irving
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Décret pour les victimes du terrorisme : est-ce ainsi que nous vaincrons les islamistes ?
Un décret du 12 juillet 2016 porte création de la médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme. Au risque de paraître insensible, on peut se demander en quoi les victimes du terrorisme méritent la reconnaissance de la nation, sans avoir combattu. Comment nos ennemis islamistes pourraient-ils nous respecter alors que nous honorons leurs victimes ?
Dans le même temps, tous ceux qui essaient d'alerter sur les dangers que nous fait courir le djihad sont traînés dans la boue, ou devant les tribunaux...On mesure ainsi le degré de faiblesse et de trahison de nos autorités, qui parlent de guerre, mais qui se complaisent dans des commémorations mortuaires.
Il serait temps que nos hommes politiques tirent les conséquences de la guerre qui nous est faite par les islamistes, pour adopter une véritable attitude de combat.
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samedi, 29 octobre 2016
Samedi 19 novembre : repas patriotique avec Carl Lang à Brive
22:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lundi 7 novembre : conférence de Bernard Lugan sur l'Algérie à Paris
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Hier soir, Thomas Joly et David Martin tenaient une réunion du Parti de la France à Abbeville (80)
Vendredi 28 octobre, à l'initiative de David Martin, Délégué département adjoint du PdF de la Somme, une réunion militante a eu lieu à Abbeville en présence de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France. Yvon Flahaut, Conseiller municipal d'Abbeville, participait également à cette rencontre.
David Martin a tout d'abord rappelé les diverses actions militantes auxquelles la Délégation de la Somme a participé et a insisté sur l'esprit de camaraderie qui règne au Parti de la France, élément essentiel pour recruter. Soulignant l'importance des prochaines élections législatives, il a invité chaque participant à s'y investir pleinement.
Thomas Joly est ensuite intervenu sur l'actualité politique et plus particulièrement sur la « crise des migrants » aujourd'hui ventilés dans toute la France de manière autoritaire par le gouvernement socialiste. Rappelant que le Parti de la France est pour une expulsion de tous les clandestins et un inversement radical des flux migratoires dits « légaux ». Le Grand Remplacement de la population est véritablement le défi qui se dresse devant notre civilisation qui, si la résistance nationale et européenne ne se met pas en place, disparaîtra purement et simplement face à la submersion migratoire. Enfin, il a adressé un message d'espoir en indiquant que les prévisions de la droite nationale se sont toujours - hélas - vérifiées et que la population française n'a jamais été aussi réceptive à nos idées tant elle se radicalise du fait de l'accélération de la colonisation migratoire par nos gouvernants.
La réunion s'est terminée par un repas convivial avec les participants qui ont pu également repartir avec du matériel de propagande.
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Qui veut la peau de Riposte laïque ?
Maître Frédéric Pichon est l'un des avocats de Riposte Laïque et de Résistance républicaine. Il supporte difficilement le harcèlement que subit ce site, et son fondateur Pierre Cassen. Dans cette tribune, qu’il a adressée à Polémia, il explique les dessous de pratiques qui sont fort éloignées de celles qu’on pourrait attendre de cette institution, où les magistrats prétendent rendre la justice au nom du peuple français.
Frédéric Pichon Avocat à la Cour
Il n’est pas de mon habitude de jouer aux pleureuses. Avocat au Barreau de Paris depuis plus de 18 ans, je crois connaître la justice pour savoir que cette institution dont on est en droit d’attendre par définition qu’elle tende autant que possible vers la vérité et l’équité est, à l’image de la nature humaine, imparfaite et faillible. L’exigence d’une justice sans faille, tout comme celle d’une société parfaite sans injustice sont des exigences vers lesquelles l’on doit tendre en sachant aussi que qui fait l’ange fait la bête. Les vertueux qui ont cru prétendre à l’incorruptibilité ont souvent accouché de la Terreur.
Et enfin, il est toujours bon de rappeler à nos clients que, non, la Justice n’est pas un moule uniforme où tout serait joué d’avance et qu’il existe parmi les magistrats des hommes courageux et consciencieux comme des négligents, des intempérants et des corrompus.
Ces précautions d’usage étant rappelées, c’est aussi mon devoir d’avocat, puisque, dans certaines circonstances, ni la rédaction de conclusions pourtant étayées par le droit et des règles établies par notre jurisprudence, ni la conviction de la plaidoirie ne suffisent à incliner les juges, non pas à rendre un jugement de faveur, mais tout simplement à appliquer la loi comme à n’importe quel citoyen.
Il apparaît cependant évident qu’en matière de procès politique, la donne soit différente.
Et lorsque l’exercice habituel de la profession ne suffit plus à assurer la défense, c’est la plume qui doit prendre la relève en dehors des prétoires et des salles d’audience et ce conformément à la jurisprudence de la Cour européenne.
J’ai l’honneur d’être l’avocat de l’Association Riposte laïque et de son courageux fondateur Pierre Cassen.
Je déplore depuis plusieurs mois un incroyable acharnement judiciaire et policier contre mes clients en dépit des règles de droit et de jurisprudence que l’on reconnaît à d’autres.
Ainsi, il y a quelques jours, mon client a dû faire face à pas moins de quatre convocations en police et en justice. Et si la plupart de ces plaintes n’aboutiront pas, celles-ci n’étant pas fondées en droit, celles-là étant prescrites, elles obligent néanmoins mon client à se déplacer, à répondre à des interrogatoires, exercice toujours désagréable pour un honnête homme suspecté d’avoir publié des articles de fond et des caricatures.
Ces procédures innombrables ont un coût et elles ont aussi un but : asphyxier financièrement mes clients pour les dissuader de poursuivre leurs actions.
La raison de fond de cet acharnement ? La dénonciation sans concession par mes clients de l’islam. Non pas seulement de l’islam radical mais de l’islam en tant que système politique englobant d’essence totalitaire qui a vocation à régenter tous les pores de la société et ce en contradiction avec nos règles et nos traditions les plus ancrées.
Autrement dit, on reproche à mon client d’être un donneur d’alerte, de pointer les causes du mal et pas simplement d’en déplorer les causes en allumant une bougie ou en mettant la faute sur « les religions » en général.
On lui reproche de mettre de l’huile sur le feu dans le bloubiboulga de la sacro-sainte religion du vivrensemblisme où tous les hérétiques méritent le bûcher judiciaire.
En 2012, lorsque l’Association décida d’expatrier l’exploitation du site en Suisse, pays connu pour sa neutralité, déplaçant de facto la responsabilité légale du directeur de publication, la police et la Section AC4 du parquet de Paris, véritable instrument politico-judiciaire pour traquer les opposants au dogme remplaciste et libre-échangiste, s’ingénièrent à prétendre que cette expatriation n’était qu’un moyen pour échapper à la justice.
Mais le plus incroyable étant que, ne s’encombrant pas de contradictions, cette même justice n’hésite pas dans le même temps et quand ça l’arrange à condamner le directeur de publication domicilié en Suisse au nom d’une compétence universelle que s’octroient les juridictions françaises pour connaître de tous les délits de presse commis dans le monde et dans le même temps à poursuivre mon client, Monsieur Cassen, domicilié en France, en prétendant qu’il est également directeur de publication.
Ainsi les juges ne s’embarrassent-ils plus de décisions contradictoires, pas même de leurs propres jugements où ils disent blanc un jour et noir le lendemain dès lors qu’il faut faire taire par tous les moyens le prévenu Cassen jugé pour hérésie à la religion du Vivre-ensemble et du remplacisme organisé.
On rappellera ici utilement l’incroyable jurisprudence de la XVIIe correctionnelle validant le racisme anti-Blanc revendiqué par Anne Lauvergeon se vantant d’exclure du recrutement des grands mâles blancs et condamnant même l’AGRIF à des dommages intérêts pour procédure abusive.
Ne nous y trompons pas : on peut légitimement juger excessifs certains propos de mes clients. On peut même être en désaccord. Mais ce qui est en jeu aujourd’hui aussi c’est le germe d’un nouveau totalitarisme d’une nouvelle religion manichéenne tellement persuadée d’incarner le bien qu’elle n’hésite pas à piétiner ses propres règles pour imposer ses desseins.
Dans un testament visionnaire, Philippe Muray avait prédit le risque d’une judiciarisation croissante dans une société de l’homo festivus où l’on déteste par-dessus tout le citoyen enraciné et refusant le prêt-à-penser du mondialisme destructeur des âmes et des identités.
La résistance à l’oppression n’est plus une option : c’est un impératif moral. Et avec elle la dénonciation non plus seulement de la légalité mais encore de la légitimité de certains de ses juges et de leur police.
« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » proclamait Trotsky.
Pour notre part, ce sera « Vaincre ou Mourir ».
Source cliquez ici
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vendredi, 28 octobre 2016
Les histrions de la haine
Bernard Plouvier
Les hommes et les femmes des media (et les individus de sexe indéterminable), du journaliste qualifié à l’amuseur public, sont devenus presque tous des agents de propagande, passant alternativement de l’état d’enthousiaste partisan à celui de zélote de la vindicte et de la pure haine.
Manifestement, les professionnels (et les amateurs, via le Net) de « l’information » se comportent en fanatiques, épouvantés par l’idée de se situer en état d’équilibre, ce qui revient à exposer honnêtement les points forts autant que les faiblesses de l’adversaire politique ou de la cible désignée par le propriétaire de la chaîne de media où ils officient.
On ne se situe jamais au juste milieu entre la louange hyperbolique et la dénonciation haineuse. On ne procède plus par réflexions, même dubitatives, mais par affirmations péremptoires sur les individus et les programmes (souvent mensongers, on le reconnaît, volontiers).
On conçoit que, de nos jours, un Européen s’attaque très vigoureusement à l’islam conquérant et terroriste - l’islam djihadiste – et dénonce avec force l’immigration-invasion. Sur ces points, le fanatisme est de règle, car c’est l’avenir du continent et de sa race qui est en jeu. Seuls les sourds et les aveugles volontaires peuvent nier cette réalité… et ce « négationnisme » est fort bien porté, en dépit de son financement extra-européen, qui devrait logiquement faire évoquer l’accusation de haute-trahison.
Mais, dans le débat interne entre Européens, la haine est à l’évidence un ingrédient aussi stupide que dangereux. À la fin des années quarante, alors qu’il se débattait contre la tuberculose qui l’emporterait, ‘’George Orwell’’ (Eric Blair), dans son immortel 1984, limitait à deux minutes l’émission télévisée quotidienne de haine partisane.
Depuis les années 1990 – la fin de ces années Mitterrand dont on nous rebat les oreilles -, les émissions des chansonniers-imitateurs et les actualités télévisées déversent un message de haine de bien plus longue durée et distillé moult fois au cours de la même journée. Le public en redemande, qui peut zapper d’une chaîne débile vers une autre, plus grotesque encore.
Nous en sommes revenus au niveau de violence verbale (et scripturale sur les blogs du Net) de l’Entre-deux-Guerres. Or de la propagande hyper-violente aux combats de rues, il n’y a pas beaucoup de chemin à faire.
Les sauvageons de l’immigration nous le démontrent quotidiennement, qui s’immiscent dans un débat politique où ils ne devraient pas avoir le droit de pénétrer. Les choix de société en Europe ne concernent que les Européens de souche, du moins le devraient-ils.
Autochtones, ceux-là, des dinosaures reproduisent les détestables habitudes que l’on avait cru disparues avec la fin, dans le ridicule et la misère, de l’abjection marxiste. De curieux ministres de l’Intérieur, en principe voués au maintien de l’ordre, financent et protègent des groupuscules trotskistes… et tout le monde se souvient du jeune étudiant trotskiste et bourgeois qui a perdu la vie dans un combat de rues, incompatible avec sa constitution physique. La responsabilité de la grossière provocation, qui a entraîné le malheureux décès, échoit aux politiciens commanditaires.
L’étude de la vie publique des années 1919 à 1990, en Europe, devrait nous servir de leçon : des insultes on passe très vite aux bagarres et aux morts. Or, en ce triste début de l’ère globalo-mondialiste, les Européens ont mieux à faire que de s’entretuer.
Il est plus que temps de débuter une saine réflexion sur les comportements politiques et la façon d’envisager le débat d’idées. Répétons-le : que l’on s’oppose très vigoureusement à l’immigration-invasion et au péril mahométan, c’est une nécessité vitale pour l’avenir du continent. Mais entre Européens de souche, le débat d’idéaux et de projets de société doit rester de haut niveau intellectuel et moral.
Nous avons trop d’ennemis extérieurs, à la fois trop nombreux et trop puissants, pour nous payer le luxe dangereux de nous étriper mutuellement. L’époque des guerres de religion et des guérillas politiques où le sang coule devrait être considérée comme révolue. L’intérêt des générations futures d’Européens commande de ne pas renouveler les guerres fratricides, ni à l’intérieur d’un pays, ni entre États voisins, ces conflits stupides qui furent si nombreux et si meurtriers au siècle dernier.
22:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BRUSSELABAD, C’EST BEYROUTH OU CHICAGO ?
Pieter Kerstens
La Belgique, terre d’accueil, caverne d’Ali Baba ou vache à lait ?
2.738.486 des habitants du plat pays sont d’origine étrangère, (soit plus de 25% de la population) dont 1/3 provient du Maghreb. Depuis 1970 plus de 1.060.000 ont été naturalisés et tous les ans 30.000 immigrés obtiennent la nationalité belge, ce qui place notre pays au 5e rang (sur 27) des naturalisations en Europe ! Parmi tous ceux qui deviennent « belges » beaucoup conservent leur nationalité d’origine, ce qui autorise certains abus …comme on l’a vu avec les terroristes musulmans de Paris et de Bruxelles.
Mais ce qui est scandaleux réside dans le fait que, parmi les dizaines de milliers de dossiers de demandeurs d’asile que reçoit l’Office des Etrangers tous les ans, plus de 80% sont fantaisistes ou farfelus ! Et pendant les mois que dure l’instruction de leur dossier, ces étrangers vivent aux crochets de la société et leurs enfants squattent nos écoles (submergées) alors que souvent les parents touchent nos subsides, pendant que 1,5 million de nos compatriotes survivent avec moins de 600€ par mois !
« Bruxelles c’est Chicago ! »
L’ex-bourgmestre (maire) de Schaerbeek, Roger Nols s’en était déjà plaint en son temps. Et c’est aussi ce qu’affirmait la propriétaire de deux joailleries de la Chaussée de Waterloo qui avait été la victime de 10 attaques à main armée et stoppait par conséquent ses activités.
Mais depuis, a-t-on réellement l’impression que la situation s’est franchement améliorée ? Et pendant tout ce temps, les partis traditionnels ont-ils fait preuve d’efficacité ?
NON, loin de là : l’insécurité est partout et toujours en nette progression et qui en est responsable ?
QUI occupe en majorité les cellules de nos prisons ? Des Ardennais ? Des Mormons ?
Et que peut-on constater tous les jours dans nos quartiers ? L’invasion de notre économie, le métissage de notre population et une violence permanente dans nos écoles, dans les transports publics et dans nos rues.
Trois aspects de notre quotidien, imposés par les charlatans du mondialisme, les gourous du multiculturel et les obsédés du « vivre ensemble ».
Ceci est le résultat de laxisme, d’irresponsabilité, d’hypocrisie, d’incompétence, de suffisance, de clientélisme, de lâcheté et de corruption additionnés, de la part des pourriticards du Régime.
D’une manière ou d’une autre, il faudra mettre la mafia socialo-libero-démocrato-écologiste hors d’état de nuire, cette fratrie maléfique qui a gangrené toutes les administrations et les partis politiques d’Europe.
Dans certains pays de notre continent, des élections proches permettront de brandir un carton rouge afin de renvoyer ces incapables dans les poubelles de l’Histoire !
Curieusement, certains adeptes de l’Atlantisme tout azimut avaient ouvert un œil en 2010. David Cameron, Nicolas Sarközy et Angela Merkel avaient déclaré que « l’approche Multikulti a échoué, totalement échoué !»
C’était un bon début et ce diagnostic nous, nationalistes, l’avions établi depuis fort longtemps. Seulement, nous attendons toujours les mesures que pourrait envisager l’État-major aux commandes du Conseil de l’Union Européenne afin de stopper l’immigration/invasion, de réparer les dégâts infligés à nos peuples par le « Multikulti », d’effacer les effets désastreux de la politique de « l’excuse » envers la pègre immigrée et d’en finir avec le « politiquement correct ». Et comme sœur Anne, on ne voit rien venir….
Nous n’allons pas attendre plus longtemps : il n’est pas question pour nous, européens, blancs et chrétiens, de laisser impunément massacrer nos fils et nos compagnes par des assassins fanatiques, dont les agissements sont connus par ceux chargés de l’Ordre Public. La complicité et la complaisance dont les gouvernements et les ministres successifs ont fait preuve depuis 40 ans envers les immigrés et les islamistes (à Molenbeek, à Schaerbeek, à Forest, à Saint-Gilles, à Anderlecht ou à Bruxelles) sont un véritable scandale ! Il faut le dire et le répéter partout et tout le temps : « OUI, la mafia socialaud-libérale-écolo-centriste savait ce qui se mijotait dans les mosquées, connaissait les multiples connections et les recruteurs du Djihad et fermait les yeux sur les multiples trafics criminels des musulmans. »
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Jean-Frédéric Poisson s'exprime au micro de Franck Abed
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A propos de l'élection présidentielle américaine
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Quimper : Les faïenceries Henriot créent une « Marianne noire » pour soutenir les migrants
Source Breiz Atao cliquez ici
La dégénérescence s’accélère si vite qu’il est difficile de traiter l’information au rythme où les choses évoluent. Cette fois-ci, elle implique les très vénérables faïenceries Henriot, à Kemper/Quimper, en Cornouaille (Finistère).
L’artiste Yannick Cohonner et Jean-Pierre Le Goff, le patron de la faïencerie Henriot-Quimper, se sont tout de suite entendus autour de la création d’une nouvelle statue de Marianne. Leur première rencontre remonte à l’été 2015. Cette collaboration a débouché sur l’édition d’une Marianne, couleur chocolat. C’est aussi un signe supplémentaire de la liberté revendiquée par le patron de la manufacture. Réaliser une Marianne noire, qui plus est à partir d’un prototype en 3D, est une première en France. Cette fois-ci, Yannick Cohonner revendique pleinement cette nouvelle version de Marianne. Elle ne devrait pas laisser indifférent. « Ce serait formidable qu’elle suscite des réactions. Cette Marianne est tout sauf une femme blanche et catholique. Cette figure incarne aussi les valeurs de la citoyenneté qu’il est bon de réaffirmer dans cette période. » (Source)
Cette bouffonnerie appelle plusieurs observations. Premièrement et objectivement, cette production est médiocre, sans inspiration, même dans la catégorie qu’elle prétend occuper : un resucé d’Art Nègre des années 30. On ne découvre pas deux fois l’Amérique.
Que des Bretons dégénérés en viennent à souiller une marque quimpéroise illustre comme Henriot pour consentir à la doxa jacobino-métisseuse, voilà qui donne le ton de l’effondrement général de notre niveau culturel.
On ne peut nier cependant la cohérence à la démarche : Marianne, la putain issue du caniveau révolutionnaire, illustre parfaitement les valeurs de cette république finissante. Elle n’est jamais tant elle-même qu’une fois africanisée. Elle incarne alors parfaitement cette entreprise de destruction que constitue le programme politique du jacobinisme républicain. Surtout en terre bretonne depuis deux siècles.
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Samedi 12 novembre : réunion constitutive du GUD à Nantes
09:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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09:25 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 27 octobre 2016
Quand John Kerry fait de la bicyclette en Haute-Savoie, ça donne :
Tout cela au frais du contribuable français bien sûr.
Au fait, Kerry, vous connaissez ?
C'est celui qui défend l'écologie aux côtés d'Hystérie Clinton...
On préfère le savoir chez lui que chez nous.
23:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après leur passage (le pouvoir prétend qu'ils ne sont que de passage), il ne restera donc plus rien ?
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Il est encore temps d'acheter le n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle
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Sortie le 6 novembre d'un nouveau roman-fiction sur l'avenir de la France
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Après Calais, Civitas organise une conférence à Metz et une autre à Strasbourg
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Une exposition à Rome pour les 70 ans de la création du Mouvement social italien
Une exposition consacrée aux 70 ans de la naissance du MSI (Mouvement social italien) a été inaugurée le 20 octobre à Rome en présence de nombreux anciens membres du MSI tels Gianfranco Fini qui porte une lourde responsabilité dans la destruction de ce mouvement au milieu des années 1990, Ignazio La Russa (Frères d’Italie-Alliance Nationale), Gianni Alemanno (ancien maire de Rome), Maurizio Gasparri (Forza Italia).
Notre ami Mario Borghezio (député européen de la Ligue du Nord, en photo ci-dessus), la veuve de l’ancien ministre MSI Pinuccio Tatarella, la fille de Pino Rauti ainsi que la veuve de l’ancien secrétaire national du MSI Giorgio Almirante décédé en 1988 étaient présents à cette cérémonie.
Dans quelques semaines sortira le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui sera justement consacré à l'épopée du MSI. C'est à Massimo Magliaro, ancien directeur du quotidien Il Sécollo d'Italia et proche collaborateur de Giorgio Almirante que nous devons la rédaction de ce cahier. Dans le dernier numéro de Synthèse nationale, vous pouvez lire un article de Massimo Magliano sur la fin du MSI.
En savoir plus cliquez là
Le commander en ligne cliquez ici
Lire aussi l'article de Lionel Baland cliquez là
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Fête du livre de Renaissance catholique le dimanche 4 décembre à Villepreux (78)
09:19 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Budapest 1956 (Jean-Pax Mefret, années 80)
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mercredi, 26 octobre 2016
La théorie de la conspiration n’est pas fasciste
EuroLibertés cliquez ici
On confond dans nos médias subtils néonazisme et théorie de la conspiration, croyant ainsi condamner ceux qui, venus de droite, de gauche, du gaullisme ou du communisme, ne supportent plus ce système et son information.
Au lieu d’écouter les experts, on ferait mieux de s’adresser au monstre directement. Voici ce qu’Hitler écrit de la conspiration et des conspirateurs (Mein Kampf, pp. 253-255) : « Seuls, de tout petits groupements, après des années de filtrage, pourraient acquérir le caractère de véritables organisations secrètes. Mais l’exiguïté même de pareilles formations leur enlèverait toute valeur pour le mouvement national-socialiste. »
Le bric-à-brac ésotérique sur Thulé et le nazisme est arrivé après la guerre, destiné sans doute à diaboliser intellectuellement l’objet de toutes les haines postmodernes. Mais voici en tout cas ce que veut Hitler : des militants et pas des conspirateurs : « Ce dont nous avions besoin, ce n’étaient pas de cent ou deux cents conspirateurs audacieux, mais de centaines de milliers de militants fanatiques épris de notre idéal. Il fallait travailler non pas dans des conciliabules secrets, mais par de puissantes démonstrations de masses, et ce n’était point par le poignard ou le poison ou le revolver que le mouvement pouvait vaincre, c’était seulement par la conquête de la rue. »
La théorie de la conspiration vide la rue, remplit les boîtes aux lettres, empêche la prise du Pouvoir. C’est pourquoi elle est encouragée par le Pouvoir qui la met en vedette en mimant la sévérité professorale.
Or : « Nous devions faire comprendre au marxisme que le national-socialisme était le maître futur de la rue, et qu’il serait un jour le maître de l’État. »
Hitler insiste sur les dégâts moraux de la théorie et surtout de la pratique de la conspiration : « Le danger des organisations secrètes est encore actuellement dans le fait que leurs membres perdent souvent toute notion de la grandeur de leur tâche, et qu’ils croient que le sort d’un peuple peut être décidé par un meurtre. »
Opération JFK mal vue, donc…
Pour Hitler, le problème est simple : la conspiration est réservée aux flemmards et la grandeur réside dans le mouvement social actif qui a disparu aujourd’hui, du côté des partis au Pouvoir comme du côté des contestataires.
« Pour préserver aussi le militant de toutes les tentations de nourrir son activité par de petites conspirations, on devait, dès le début, l’initier complètement à la grande idée du mouvement et l’entraîner si entièrement à la tâche de la défense de cette idée, que son horizon s’élargirait aussitôt… De cette façon, la lutte contre l’État actuel était élevée au-dessus de l’atmosphère de petits actes de vengeance et d’activités de conspirateurs. »
De ce point de vue, on pourra dire que la théorie de la conspiration, et sa pratique par nos légistes n’est pas « fasciste » : avis à nos nuées d’experts TV donc. Elle reflète nûment l’involution d’une société repue, ludique et fatiguée.
Sur la théorie de la conspiration, lire Protocoles des sages de Sion : un paradoxe politique, théorique et pratique : « C’est un faux, c’est pour une très faible part un plagiat, c’est surtout un extraordinaire ouvrage de politique, théorique et pratique. Cet ouvrage comprend quatre textes : « Réflexions sur les « Protocoles » des Sages de Sion » de Bernard Plouvier, suivi des Éditions définitives des textes intégraux des livres de Serge Nilus (« « Protocoles » des sages de Sion »), Maurice Joly (« Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu »), suivi d’une victoire de Me Éric Delcroix (« L’abrogation de l’article 14 de la loi du 29 juillet 1881 »). Pour en savoir plus, cliquez là
08:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE
la Dissidence française :
Hier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.
Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…
Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.
Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.
Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.
Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.
Source cliquez ici
07:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les veinards...
07:51 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 5 novembre : une journée identitaire et patriote dans le Berry avec Pierre Vial et le GUD
07:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 25 octobre 2016
Une « culture du viol » ou une faiblesse coupable envers les pervers crapuleux ?
Bernard Plouvier
À compter des années 1980 sq. (les « années Mitterrand », soit le début de l’invasion-immigration de masse), les Français ont appris à connaître les viols en tournante. Il a fallu beaucoup de temps pour que les media (pas tous, d’ailleurs) osent évoquer le grave problème de l’origine raciale de la quasi-totalité des violeurs et le caractère quasi-constamment européen ou extrême-oriental des victimes.
L’horreur de la soirée et de la nuit du 31 décembre 2015 à Hambourg, Stuttgart et surtout Cologne, reste dans toutes les mémoires des Européens qui ne supportent plus cette immigration arrogante, violente, quasi-bestiale (le viol collectif est bien connu chez nos « amies les bêtes », singulièrement chez les chiens et les singes)
Et pour l’exemple de Stuttgart, l’amateur d’histoire est comblé. Les petites-filles des violées de 1945 (par les soldats de couleur de la Ière Armée française) ont vécu – petitement – ce qu’avaient connu leurs aïeules. À l’époque, le scandale avait été considérable, au point que Dwight David Eisenhower avait ordonné à de Lattre de faire quitter la ville par ses troupes et les Allemands de Stuttgart furent temporairement administrés par l’US-Army.
Depuis, des études sociologiques ont démontré que les viols – soit des relations sexuelles forcées – perpétrés par les G.I.’s sur des Européennes étaient le fait de soldats noirs dans 75% des cas… même si ce genre d’étude des dossiers de la Justice militaire ne plait pas aux délicats enseignants dotés d’une structure mentale « libérale ».
Au Canada, les universités ne sont guère des havres de paix pour les étudiantes. Chaque année ou presque apporte son scandale de viols en série : en 2013, ce fut le cas de l’Université de Colombie-Britannique, en 2014, ce fut au tour de celle de la capitale fédérale (Ottawa). Dans la nuit du 14 au 15 octobre du cru 2016, ce sont les étudiantes de la prestigieuse Université Laval de Québec qui ont goûté aux charmes pervers du « brassage des races et des cultures ».
Dans la seconde partie de cette folle nuit, 15 d’entre elles ont été surprises dans leur sommeil par 3 étudiants. Jusqu’à présent, seules quatre ont porté plainte pour « agression sexuelle », d’autant plus que, dans un premier temps, les autorités de l’Université ont tout fait pour minimiser « l’incident »… en quelle que sorte, il s’agissait d’erreurs de localisation de gentils étudiants, qui s’étaient trompés d’étage ou de « piaule ».
Le tapage exercé par les parents a forcé les enquêteurs à sévir et deux des trois coupables ont été d’autant plus facilement arrêtés (avec une semaine de délai !) qu’ils étaient connus de tous. Les deux étudiants incarcérés sont du plus bel ébène (on ne sait encore pour le troisième) : un « Canadien » issu du Cameroun et un « Français » venu de Guinée. La sœur de ce Franco-guinéen se dit choquée, décrivant le petit frère (de 19 ans) comme un prix de vertu, « normal et calme », ajoutant même que la « famille comptait sur lui » !
Une fois séchées les larmes sur le sort de « l’innocent coupable » (exclu de l’université) – car les media canadiens bien-pensants et bien-écrivants, des media globalo-mondialistes, s’intéressent davantage à l’avenir des crapules perverses qu’au sort des victimes -, il est souhaitable de réfléchir un peu à la prolifération des viols à caractère raciste en Occident.
Dans toutes les races et dans toutes les sociétés existent des psychopathes et des pervers qui veulent faire immédiatement suivre leurs émois sexuels par un assouvissement, soit par la séduction, soit par la contrainte (physique ou par le moyen de l’alcool ou des tranquillisants administrés à la « cible »). Ce type de comportement a toujours existé, en tous pays.
Les nouveautés, du moins en Occident et en temps de paix officielle, ce sont les viols en série (plusieurs cibles touchées en peu de temps par la même crapule sexuelle) ou en tournante (une association de malfaiteurs débauchés portant sur la même personne). Ce type de comportement est bien connu des historiens : on le rencontre en période de guerre, singulièrement dirigé contre les populations vaincues ou occupées.
Bien plus que d’une « culture de viol », il s’agit d’une réaction de mâles conquérants, d’individus se croyant tout permis, se considérant d’une essence supérieure, car dominant des populations aveulies et amollies.
À ces déficients de la conscience éthique, les pseudo-motivations rationnelles ne manquent pas. Que ce soit au nom de leur race ou d’un dénommé allah, en éventuelle rétorsion des misères réelles ou supposées infligées à leurs (très lointains) frères de race par de vilains esclavagistes, tout est bon aux psychopathes, aux sociopathes, aux pervers pour justifier leurs actes.
Il est évident que la faute principale revient aux autorités des États où se perpètrent de telles atrocités. Le laxisme politico-judiciaire a transformé l’Occident en terrain de chasse pour les pires rejetons de l’immigration-invasion… et il serait bon que, de leur côté, les immigrés honnêtes condamnent fermement, ouvertement, leurs crapules perverses, au lieu de sortir des excuses minables, dictées par une absurde solidarité. On ne peut se sentir solidaire de l’abjection, d’où qu’elle vienne.
La répression doit être puissante, adaptée au crime commis et en tenant compte du risque de récidive : l’assassin doit être exécuté et le violeur amputé du membre dont il a fait un usage vil et non viril.
Pour re-pacifier nos cités, il faut retrouver un esprit mâle. La stricte équité commande que le coupable soit puni en proportion de son crime. Et ceci est bien plus réconfortant pour les victimes et leurs proches que toutes les « cellules de crise » et autres inutilités qui ne règlent rien, accroissant au contraire la frustration des sujets lésés. Moins de baratin gnangnan et de baragouin psychanalytique et davantage d’actes : c’est de cela dont l’Occident a besoin pour sortir de son marasme moral.
11:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
60 ans après le soulèvement patriotique de Budapest : la Hongrie montre à nouveau l'exemple
09:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |