vendredi, 09 novembre 2012
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
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Hantay en Flandre, réaction citoyenne contre le maire qui voulait célébrer un "mariage" homo!
Yves Darchicourt
Désirée Duhem (photo) est maire de la petite commune flamande d'Hantay. Socialo-bobo bon teint la dame avait médiatiquement annoncé qu'elle célèbrerait après-demain samedi 10 novembre le "mariage" d'une paire de lesbiennes et ce en toute illégalité à ce jour. Dans l'esprit brumeux de l'édile, il s'agissait de faire avancer les choses - selon l'expression consacrée d'une si navrante platitude - par une célébration qui se voulait en faveur des droits de l'homme. Qui se voulait... car les réactions hostiles des hantayeurs ont été si vives que Désirée a été contrainte d'annuler la chose par risque d'une agitation non souhaitée.
La marieuse s'est consolée en s'épanchant dans la presse locale sur la nécessaire tolérance, sur l'acceptation de l'autre dans sa différence et en espérant beaucoup en une prochaine égalité universelle... blabla classique pour enrober une cuisante défaite et masquer une claque retentissante. Et des claques il pourrait bien y en avoir de prochaines pour Désirée, car il est fort possible que les citoyens continuent à s'opposer virilement à la loi inique qui imposerait cette pitoyable mascarade que serait un "mariage" légitimant des relations pédérastiques ou saphiques.
Encore une réaction citoyenne encourageante après celle des habitants d'Hellemmes à qui leur maire veut imposer un village de roms. Certains devraient en prendre conscience pendant qu'il en est temps, les projets de destruction de la famille naturelle comme ceux de dillution de notre identité ne seront certainement pas mis en oeuvre et imposés dans la paix civile.
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Franck Abed reçoit Roger Holeindre
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jeudi, 08 novembre 2012
Elections américaines : déferlante obamaniaque sur la France !
Yves Darchicourt
Il sera difficile de faire mieux à l'avenir ! La ré-élection de Barack "Kenya" Obama a été portée au niveau de l'apothéose par les médias héxagonaux - de Obama félicité dans le monde entier (Le Monde) à Obama réélu Ouf! (Le Nouvel Obs) en passant par second mandat hstorique (Les Echos) ou Obama entre ghettos et Harvard (Libération) - qui n'ont en outre pas manqué de répercuter largement les réactions dithyrambiques des politiciens français touchés par la grâce obamesque et dégoulinant d'émotion servile.
Roudoudou évidemment y est allé de son chaleureux petit couplet à la gloire de BKO représentant d'une Amérique ouverte et solidaire ( irakiens, afghans, iraniens, syriens, lybiens, palestiniens...apprécieront ) rejoint dans le style serpillère heureuse par l'inégalable Jean-Philippe "Harlem" Désir ( monsieur le premier du PS qui il est vrai se verrait bien jouer à "l'Obama français" dans une prochaine présidentielle) et par Jean-François Copé (numéro un de l'UMP) On relèvera aussi les communiqués délirants de quelques autres thuriféraires du président afro-américain comme Pierre Moscovici (notre chaleureux ministre de la ponction fiscale), de la toujours verte Cécile Duflot, de l'ibéro-parisienne Anne Hidalgo, du "grave de Pau" François Beyrou ressorti de l'anonymat pour l'occasion ou encore de Dominique de Villepin pétri d'admiration pour le magicien... La classe politicienne française réunie pour l'occasion dans l'obamaniaquerie politiquement correcte a fait résonner trompettes, hautbois et surtout shofars à la gloire de l'américano-kenyan et il n'est guère étonnant qu' en Suisse le site d'information "Romandie" ait qualifié la France de premier supporter à l'étranger de Barack Obama !
Il est vrai que les partenaires européens de la France ont aussi donné avec allégresse dans l'allelouia obamesque. De quoi conforter encore la prétention yankee à arrimer définitivement l'eurocratie à sa traîne... avec tous les risques que cela comporte !
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La lamentable et funeste obamania...
Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :
L'obamania de la classe politique et médiatique française est non seulement choquante mais grotesque.
Tout d'abord, la campagne électorale américaine a occupé une telle place dans les médias qu'on a pu croire que le président des Etats-Unis était aussi celui des Francais.
Mais nos journalistes, nos artistes et nos politiciens ne se sont pas seulement passionnés pour cette élection dans un pays étranger, ils ont bien sûr pris fait et cause pour Barack Obama, le candidat de l'Amérique politiquement correcte, celle du showbiz d'Hollywood et des bobos de New-York, adeptes de la discrimination "positive", du mariage homosexuel et de l'idéologie du "gender."
De surcroît, il apparait clairement que le vote ethnique des minorités américaines a assuré la victoire du candidat démocrate qui symbolise parfaitement le déclin de l'Amérique et du monde occidental.
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mercredi, 07 novembre 2012
Un rapport à côté de la plaque
Le billet de Patrick Parment
Le rapport de Louis Gallois, ex-Pdg d’EADS, est d’ores et déjà à ranger dans la longue liste des procès de bonnes intentions auxquels se livrent tous les gouvernements pour se donner bonne conscience. Sur l’air de « Vous allez voir ce que vous allez voir ! », on voit toujours la même chose : rien. A cela une raison simple et, pour faire une image, toutes les politiques économiques sont indexées sur la Bourse. C’est le marché qui dicte sa dure loi au politique.
Qu’entendre alors par politique ? Essentiellement la batterie d’énarques qui a squatté depuis longtemps tous les postes relevant, jadis, du politique, sans oublier une administration incapacitante sur laquelle ils règnent sans partage. Martine Aubry, qui sait de quoi elle parle pour avoir éreinté ce pays avec les 35 heures, a confirmé devant ses affidés, lors du congrès du PS à Toulouse, qu’avec Hollande, c’était bel et bien l’administration qui menait la danse. On devrait passer une petite annonce rédigé ainsi : « Bercy recherche garagiste pour diriger le Trésor ! » Rendez-nous un René Monory !
Trêve de plaisanterie, on n’ira pas chipoter sur la manière dont le gouvernement de monsieur Ayrault a décidé de se servir du rapport Gallois. Sauf qu’il faudrait tout de même commencer par réduire le train de vie de l’Etat qui fait consensus à droite comme à gauche sans que personne ne s’y résolve. Afin d’arrêter la gabegie, il n’est pas besoin d’aller bien loin, il suffit de sortir du placard les derniers rapports de la Cour des comptes. Mais, sur le sujet, le rapport Gallois est muet.
Pour le reste, M. Gallois énonce un certain nombre de pistes très structurelles sur lesquelles, je l’avoue, je n’ai pas d’avis particulier. Si j’en crois Mélenchon, qui ne raconte pas toujours que des bêtises, c’est poubelle direct. Pour Jean-Claude Mailly, le patron du syndicat FO, ces mesures ont pour effet de trop « rogner sur le système de protection social et sur le niveau des salaires, pour être compétitif. Ceux qui prônent ça, c’est-à-dire une partie du patronat, la Commission européenne et l’OCDE, nous ont déjà envoyés dans le mur de la crise ». Parole d’expert.
Ce qui retient notre attention dans ce rapport, c’est son manque de perspective. Et notamment en matière de transition énergétique. Sur le sujet, ce rapport est quasiment muet alors que les futurs emplois se situent là en grande partie. Et je vois mal où M. Ayrault va chercher ses 300 000 emplois ?
De quoi s’agit-il quand on parle de transition énergétique ? Tout simplement du remplacement des énergies non renouvelables (pétrole, gaz, etc.) par des énergies renouvelables partout ou c’est possible. A l’heure où se profile une guerre sur les ressources avec l’arrivée sur le marché des pays émergents, comme l’Inde et la Chine, il est urgent de se rendre moins dépendant de ces sources d’énergie.
Face à la crise, il ne faut pas s’attendre à de forts taux de croissance. Ce qui revient à dire que le crédit sera plus rare et qu’il nous faudra donc investir dans des secteurs rentables sur le long terme. Plusieurs sources d’énergie s’offrent à nous qui ont le grand mérite d’orienter la recherche et de créer de l’emploi. Ces sources ce sont l’hydrogène, la géothermie, la biomasse et le nucléaire.
Pour ce qui est du nucléaire, nous ne sommes pas en retard sur le plan technologique mais il nous faut renforcer le parc existant. Pourquoi ? Parce que le nucléaire est le seul à même de fournir à l‘industrie toute l’énergie dont elle a besoin dans un rapport qualité/prix compétitif. De surcroît, c’est une énergie non polluante n’en déplaise aux écolos où les accidents sont rares.
L’hydrogène a des emplois multiples mais notamment en matière de transport. Autant la voiture électrique relève du gadget, autant avec l’hydrogène vous userez la carrosserie avant d’épuiser votre moteur.
La biomasse, autre forme d’énergie intéressante, consiste à obtenir de l’énergie en brûlant les déchets organiques d’origine végétale ou animale. EDF est déjà impliquée dans cette filière. Enfin, la géothermie qui n’est autre que l’utilisation de la chaleur de la terre elle-même, transformée en vapeur. Outre de fournir également de l’électricité, la géothermie pourrait chauffer des villes entières à des coûts plus que raisonnables.
Toutes ces énergies sont pourvoyeuses d’emplois et il serait temps de revaloriser les filières de l’enseignement technique plutôt que de vouloir porter au bac 80 % d’une classe d’âge dont 60 % finissent à l’ANPE.
Bref, ce sont autant de pistes que nous aurions aimé voir traiter par le rapport Gallois. Il n’en est malheureusement rien. Et je crains fort, qu’une fois de plus, ce gouvernement ne mette en place une nouvelle usine à gaz financière où l’on engloutira le fruit du labeur des travailleurs que nous sommes, cette classe moyenne que l’on ne cesse d’essorer au profit des banques et d’un personnel politique déconnecté des réalités. Ce n’est donc pas avec le socialisme que l’on viendra à bout de la réforme du capitalisme. La révolution viendra d’ailleurs. On l'attend avec impatience.
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Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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mardi, 06 novembre 2012
Chronique de la France asservie et résistante...
Robert Spieler
RIVAROL N° 3067 du 02/11/2012
NICOLAS Sarkozy a raconté, lors de sa récente conférence à New-York qu’il « aspirait à une nouvelle vie ». Ce Pinocchio national n’a pas hésité à prendre des airs graves, lors de son intervention, financée par une banque brésilienne.
QUEL PINOCCHIO, CE SARKOZY !
Sarkozy, lors de son intervention de cinquante minutes, consacrée à la crise européenne, a dit des choses importantes. Il a déclaré, à jeun (important de le préciser) : « Je vais vous dire quelque chose qui est une confidence. La politique, c’est très dur parce qu’on est attaqué à chaque instant et en même temps, c’est un grand honneur ». Viel Feind, viel Ehre (Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur) : Georg von Frunsberg, le « père des lansquenets », prononça ces mots lors de la Bataille de Vicence (1513). Mais Sarkozy ne connaît sans doute pas Georg von Frunsberg, pas davantage qu’il ne connaît La princesse de Clèves. Très en verve, normal, puisqu’il a perçu près de 100.000 euros pour son intervention de 45 minutes, il a dit : « Je m’appelle Sarkozy (important de le préciser), un nom pas très français (ça va, on le savait…). Je n’ai jamais bu une goutte d’alcool de ma vie, en France ! Et les Français m’ont élu président ! (quel intérêt, ce genre de propos. Pour complaire au mormon Mitt Romney ?) » Il fait cependant bien de préciser qu’il n’a jamais bu une goutte d’alcool en France (si tant est que cela soit vrai), car on se souvient de cette scène hilarante qui avait fait le tour d’internet. Il y a cinq ans, Sarkozy avait rencontré Poutine, en Russie. Poutine, qui tient le choc, question vodka, avait fait boire Sarkozy, plus que de raison. Ce dernier tint absolument à s’adresser aux journalistes, ce qui donna lieu à une scène d’anthologie dans le registre éthylique. Mais revenons à son intervention à New-York. Sarkozy y a asséné ces puissantes paroles : « Vous savez, moi, ce que j’aime, ce n’est pas la politique. Ce que j’aime, c’est faire. Faire dans la politique ou faire ailleurs. » Quand tout le monde sait que Sarkozy ne rêve que de revenir sur le devant de la scène politique, on se dit que ce personnage est vraiment un Pinocchio d’anthologie.
SARKOZY EN TÊTE D’AFFICHE
Pour lancer son site de rencontres extraconjugales en France, une société américaine, Ashley Madison, lance une campagne publicitaire où l’on voit les photos de François Mitterrand, de Jacques Chirac, de François Hollande et de Nicolas Sarkozy. Tous estampillés d’une marque posée par un baiser rouge, très rouge à lèvre… Il n’est pas certain qu’ils apprécient. L’affiche a, certes, été refusée par tous les afficheurs de France, mais elle trône en divers endroits de Paris, où de grandes bâches de 3m sur 6 sont tendues. Noël Biderman, 41 ans, le créateur d’Ashley Madison, avait déjà mené quelques campagnes tonitruantes et irrévérencieuses, mettant en scène Silvio Berlusconi en Italie ou Mitt Romney aux Etats-Unis. La responsable de la campagne, en France, se montre sereine, face à d’éventuelles poursuites. Elle estime qu’il y a « une véritable culture de l’infidélité en France ». Elle s’attend cependant à avoir quelques problèmes en Belgique où une affiche similaire présentera une photo du roi Albert II. Il paraît qu’en Belgique, le crime de lèse-majesté existe toujours. Avec un peu de chance, elle sera guillotinée…
L’ASSISTANTE DE JULIEN DRAY BRAQUE UNE BIJOUTERIE
La police a révélé qu’une attachée parlementaire socialiste, Samira Zaoui, assistante du socialiste Julien Dray, avait braqué à main armée une bijouterie de Lorient, le 11 février dernier. En 17 minutes, entre deux sessions parlementaires, après avoir ligoté les employés de la bijouterie De Thoury-Le Bec de Lorient, Samira Zaoui et ses complices, des repris de justice multirécidivistes, dont son concubin, trafiquant de drogue, ont dérobé plusieurs centaines de milliers d’euros de montres et bijoux. On connaît l’appétence de Julien Dray pour les montres de luxe. Y a-t-il un lien de cause à effet ? Nous l’ignorons…
POUR LE FOLL, LES FEMMES SONT DES DÉBILES
Le brillant ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, que personne ne connaît, on se demandait pourquoi, participait à un séminaire de sensibilisation au sexisme, que doivent suivre tous les membres du gouvernement (authentique !). Ils ont droit à des formations individuelles de 45 minutes menées par Catherine De Haas, ancienne de l’association Osez le Féminisme, aujourd’hui conseillère de la ministre des Droits des femmes. On y montre des publicités et des campagnes gouvernementales passées qui véhiculent des stéréotypes sexistes. Le Foll a plus que brillamment assimilé la leçon. Il vient de déclarer, au sortir de sa formation : « J’ai tenté de promouvoir les femmes au maximum, bien que nos dossiers soient très techniques. » En d’autres termes, les femmes ne sont pas très futées pour suivre des dossiers un peu complexes. Hurlements de rire, comme on l’imagine (surtout chez ses amis socialistes, car ils s’adorent entre eux). Le Foll s’est mis derechef à geindre et à prendre des airs malheureux devant tant de méchanceté. Il pleurniche : « J’ai pris le temps de faire cette formation et j’ai fait en sorte d’avoir lemaximum de femmes dans mon cabinet. » Il explique que malheureusement, pour la production animale, c’est un homme qui a été recruté dans son cabinet. Il n’avait pas trouvé de femme. Le pauvre devrait pourtant savoir ce que nul n’ignore depuis la plus haute Antiquité : les femmes n’ont aucune compétence dans le domaine de la production animale…
ÇA CAFOUILLE SÉVÈREMENT AU PARLEMENT
Les « textes fondateurs » du « changement » n’attendaient que la victoire de François Hollande pour être votés. C’est ce que déclarait, avant l’élection, Jean-Marc Ayrault. En fait, cinq mois après l’arrivée de la gauche au pouvoir, quasiment aucun texte n’a été voté. La loi Duflot, concernant la construction de 500.000 logements par an ? Annulée par le Conseil constitutionnel.
La régulation des tarifs de gaz et d’électricité ? Bloquée au Sénat où le groupe communiste a déposé une motion d’irrecevabilité. On pourrait multiplier les exemples d’amateurisme qui caractérisent la gouvernance socialiste. L’exemple de la loi Duflot est particulièrement significatif.
Le délai entre l’adoption du texte en Conseil des ministres n’a pas été respecté. Pire, le texte est arrivé en séance au Sénat avant que la commission ait pu se pencher sur ses articles. Conséquence : la droite a déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, et avait la certitude d’aboutir à l’annulation du texte, pour non-respect de la procédure parlementaire. En attendant, Jean-Marc Ayrault a tenté de prendre les devants, annonçant lui-même l’annulation de la loi Duflot par le Conseil constitutionnel, avant même que celui-ci ne se soit réuni. Le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, n’a apprécié que modérément. Ce n’était évidemment pas à l’exécutif d’annoncer une décision qui n’avait pas encore été prise. La séparation des pouvoirs reste encore une réalité en France. Roger Karoutchi, sénateur UMP à l’origine du recours s’est empressé d’ironiser : « J’ignorais que le Conseil constitutionnel avait désigné le Premier ministre comme porte-parole. » Les commentaires, au sein même du camp majoritaire, sont cruels. Un ministre l’exprime : « Il y a une légèreté qui va laisser une impression d’amateurisme. » Ayrault, qui a été amené à mettre la pression sur certains de ses ministres, auteurs de bourdes à répétition, s’attire les lazzis : « S’est-il appelé lui-même pour s’engueuler ? », se demande un membre d’un cabinet ministériel. Pas bon, pas bon du tout quand on en vient à entrer en dissension avec soi-même… En général, ça finit mal, aux urgences à Charenton…
DIEUDONNÉ EST INSOLENT, EN PRISON !
20 jours de prison ferme requis contre Dieudonné, qui était traduit devant la 17e chambre correctionnelle. Son crime : sa chanson Shoananas (voir RIVAROL de la semaine dernière). Les plaignants : la LICRA, SOS-Racisme et l’UEJF (Union des étudiants juifs de France). Il est vrai que sa chanson a pu heurter des âmes sensibles, en proie à des souffrances éternelles. La salle, comble, était, paraît-il, acquise à la cause de l’ananas. Dieudonné, jamais avare d’une provocation, avait cité Illich Ramirez Sanchez, alias Carlos, comme témoin de moralité.
Il prétend que Carlos a écrit les paroles de la chanson. Nul n’est évidemment forcé de le croire. La salle, paraît-il, était hilare. Elle explosa de rire, de quintes de toux, de ronflements, de pets, durant la plaidoirie de la partie civile, larmoyante au possible, ce qui amena le juge à menacer Dieudo et ses amis de la solution finale, c’est-à-dire l’évacuation de la salle et la poursuite du procès à huis-clos. Dieu merci, il n’en fut rien. Les avocats de la partie civile, traumatisés par tant de haine, quittèrent cependant la salle, quand l’avocat de Dieudonné affirma qu’il existait bien des escrocs juifs, tels Madoff, Lehman Brothers, Goldman Sachs, etc… Incroyable, nous l’ignorions…
UNE NOUVELLE MODE EN ISRAËL
Il y a une nouvelle mode en Israël, et nulle part ailleurs, qui consiste chez certains jeunes Israéliens à reproduire sur leur peau les tatouages de leurs grands-parents qui avaient été déportés en Allemagne. Que du bon goût… Imaginons une seconde les couinements qu’engendrerait en France la mode du tatouage des groupes sanguins. Car il n’y avait, en ces heures sombres de l’Histoire, pas que les déportés qui étaient tatoués. Les Waffen SS, et notamment ceux de la division française Charlemagne l’étaient aussi.
UN MITRÉ “SCANDALISÉ”
L’évêque de Bourges, Monsieur Armand Maillard, se déclare « scandalisé » par les nombreux courriers de fidèles, s’inquiétant de la transformation d’une église de son diocèse, celle de Vierzon, en mosquée. Monsieur Maillard a de vraies raisons de s’inquiéter. Et comme il est héroïque, tendance collabo, il monte au créneau. Sa grande inquiétude du moment est l’ouvertured’un lycée technique par les traditionalistes de la Fraternité-Saint-Pie X, dont les lycées obtiennent 99 % de réussite au bac. Inquiétant, en effet…
DARWIN ÉTAIT JUIF. EINSTEIN MANGEAIT DU SAVON
Ce qui est formidable avec les déments, c’est qu’ils n’ont aucune limite. Des Turcs font fort, très fort, dans le délire. Dans des manuels scolaires, on apprend ainsi que le père de l’évolutionnisme « avait deux problèmes : premièrement, il était juif ; deuxièmement, il haïssait son front proéminent, son grand nez et ses dents difformes. » Albert Einstein, quant à lui, était « sale et négligé et il mangeait du savon » (???). Les auteurs du livre savent trouver les arguments qui portent. Imaginez-vous, écrivent-ils, qu’il mangeait du savon alors que « pendant cette même période, la Gestapo mettait des juifs dans des fours et les transformait en savon. » Terrifiant, en effet…
UNE ÉLUE UMP DISCRÈTEMENT CONDAMNÉE
Un partout. La balle au centre. On connaissait déjà l’affaire Lamblin, cette adjointe au maire écologiste du XIIIe arrondissement de Paris, lourdement soupçonnée de blanchiment d’argent et de trafic de drogue. La “droite” avait exigé sa démission immédiate, ce qui fut fait. La gauche parisienne faisait profil bas, très bas. Pas longtemps. On apprend, avec plus d’un an de retard, qu’une conseillère UMP de Paris, Roxane Decorte, a été condamnée en 2011 à 4 mois de prison avec sursis pour avoir détourné des fonds d’une association d’aide aux personnes âgées dont elle était présidente à titre bénévole. L’affaire, qui était restée parfaitement planquée, grâce à la procédure du « plaider coupable », qui assure la plus grande discrétion, vient d’être révélée par le Canard enchaîné. Du coup, le groupe PCF-PG du Conseil de Paris s’en donne à cœur joie, exigeant la démission de Roxane Decorte, à l’instar de celle de Florence Lamblin. Curieusement le groupe socialiste et les Verts, qui se sentent sans doute quelque peu bréneux, se murent dans un silence d’une dignité presque émouvante.
“ARNAUD MONTEBOURG, CET ABRUTI MENTAL, CE DÉBILE”
Jean-Claude Debart est le président de Mitsubishi France. Il y a quelques jours, lors de la présentation d’un nouveau modèle, à des journalistes, il s’est lâché à propos d’Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, concubin d’Audrey Pulvar, qu’il accuse de ne pas connaître ses dossiers dans le domaine de l’industrie automobile. Il l’a derechef traité d’ « abruti mental » et de « débile ». La vérité sort, paraît-il de la bouche des enfants, mais peut-être aussi de ce grand enfant qu’est sans doute Jean-Claude Debart…
LANCE ARMSTRONG, UN ESCROC
Le coureur cycliste américain, Lance Armstrong, vient d’être déchu de ses sept titres sur le Tour de France (voir article de Léon Camus page 6). Il avait organisé le système de dopage le plus sophistiqué jamais mis à jour. J’avais dénoncé dans RIVAROL l’absolue impossibilité, sur le plan physique, d’atteindre, sans dopage massif, les performances atteintes par certains coureurs, notamment dans les épreuves de montagne. Lance Armstrong a en fait été balancé par ses comparses. Christian Prudhomme, directeur du Tour, n’hésite pas à dire : « On est dans un système mafieux, au-delà du dopage et même du sport. » Lâché par tous ses sponsors, l’Américain, dont la fortune personnelle est estimée à 96 millions d’euros, va sans doute devoir rembourser les modestes 2,95 millions gagnés lors de ses Tours de France. Par ailleurs, il pourrait aussi devoir rembourser les 5,8 millions gagnés dans des paris en 1996, où il avait parié sur ses victoires dans le Tour. Quant au Sunday Times, qui avait déjà accusé Lance Armstrong de dopage en 2006, et avait été condamné à lui verser 740.000 euros, il a annoncé qu’il poursuivait Lance Armstrong pour fraude. Ses sponsors, tels Nike, Trek, Anheuser-Busch se retirent les uns après les autres. Le coureur dopé risque-t-il la prison ? Oui, car le parjure est très sévèrement réprimé par la justice américaine. Or Lance Armstrong a menti, durant une décennie, comme un arracheur de dents…
Retrouvez la chronique de Robert Spieler chaque vendredi dans Rivarol (3,50 E, chez votre marchand de journaux).
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Aider les Serbes du Kosovo :
Yves Darchicourt
L'association humanitaire Solidarité-Kosovo achemine en ce moment un 4e convoi de nourriture à destination des monatères du Kosovo-Métochie qui n'ont pas encore été détruits et où se constituent des stocks alimentaires en prévision de l'hiver toujours long et rigoureux en cette région d'Europe. Une aide alimentaire vitale pour les serbes qui s'obstinent à s'accrocher à de cette province serbe, à la terre de leurs ancêtres que les mondialistes et leurs valets eurocrates ont décidé d'attribuer aux mahométans albanais.
Depuis 1999, plus de 250 000 serbes ont été chassé de chez eux, à peine 100 000 survivent au Kosovo dans des conditions épouvantables, éparpillés dans des enclaves cernées par les milices musulmanes d'un gouvernement "kossovar" corrompu et cornaqué par l'Albanie. Des hommes, des femmes et des enfants serbes qui sont nos congénères, nos frères de peuple, de civilisation européenne et chrétienne résistent pourtant gràce notamment à l'action du métropolite Théodose Sibalic qui, il y a quelques mois, lançait un pathétique appel au secours à la communauté internationnale (voir ici)
L'action de Solidarité-Kosovo n'est peut-être qu'une goutte d'eau dans un océan de misère, elle a au moins le mérite d'exister et peut -doit- être soutenue : aidons les enfants serbes tout simplement à survivre !
Solidarité Kosovo cliquez ici
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Quand le bât du racisme blesse…
Chronique de
Philippe Randa
Que serait le Monde sans les sondages ? Bien peu de choses… Il faut bien le reconnaître, chaque jour, on surfe, on tweet, on tchat… et on sonde ! Sur n’importe qui et n’importe quoi… L’avis de tout un chacun est primordial et chacun se doit d’avoir un avis sur tout : sur la météo comme sur le football, sur l’économie de notre pays comme sur le dernier spectacle de Céline Dion, sur la fortune de Liliane Bettencourt ou les dangers du nucléaire iranien, sur le retour éventuel en politique de Nicolas Sarkozy ou sur l’exploitation des gaz de schiste…
Et bien sûr, pourquoi pas et évidemment, sur l’élection américaine ! C’est aujourd’hui que cela se passe. Chez les Américains, le dimanche est consacré à la prière… Alors, leur bulletin de vote, c’est un mardi qu’ils le glissent dans l’urne. Aujourd’hui, justement… Mais il n’y a bien qu’aux États-Unis d’Amérique qu’on se déplacera… ou pas ! En France, on a déjà voté. Et le résultat est non seulement connu, mais martelé depuis des semaines : 78 % des Français souhaitent la victoire d’Obama, 5 % seulement de Romney et 17 % ne se prononcent pas.
Ces 17 % n’ont sans doute pas bien compris la question.
Ou bien, ils n’aiment pas jouer. Ce sont des sortes d’introvertis politiques…
Le plus étonnant est que tous les commentateurs admettent le verdict de ce sondage (et de quelques autres similaires, pluralité du traitement unique de l’information oblige) sans sourcilier. Si les sondages le disent, cela se doit d’être vrai.
À peine si quelques-uns cherchent à savoir pourquoi nos compatriotes seraient si massivement séduits par le président sortant de la Maison-Blanche… Et quand c’est le cas, qu’ils posent timidement la question aux sondés, comme si cela n’allait pas de soi, la réponse obtenue – il n’y en a qu’une ! – a tout de même de quoi rendre perplexe.
Sur leurs programmes politiques respectifs, aucun avis exprimé, si l’on excepte les lieux communs et autres arguments de comptoir de bistrot : Obama veut la paix, Romney la guerre ; Obama « fait » la sécu, Romney veut davantage de privilèges pour les riches, etc.
Non, tous les fans d’Obama le sont pour une unique raison. Et c’est là où le bat blesse.
Dans un pays où l’on n’a de cesse de répéter que les races, ça n’existe pas, il est assez déroutant d’entendre que les Français préféreraient Obama avant tout parce qu’il est… noir !
Mieux que noir, même : afro-américain, le top du top du surhomme nouveau. Comme le beaujolais du même nom.
Quand certains parlent de racisme anti-blanc, peut-être que… non ? Non, bien sûr !
Mitt Romney, son rival républicain, est donc trop blanc, lui. Et de droite, voire pire, ce qui est bien évidemment rédhibitoire… Même chez les électeurs français de droite, il ne passe pas : 81 % d’entre eux préfèrent Obama. Et les électeurs FN ? Ils sont pour Obama à 70 % ! 70 % seulement, aurait-on envie de sourire…
Donc, les jeux sont faits… en tout cas en France, patrie auto-proclamée des droits de l’homme sondé.
Aux États-Unis, tous les sondages donnent les deux candidats au coude-à-coude. On se demande bien pourquoi.
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Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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lundi, 05 novembre 2012
Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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dimanche, 04 novembre 2012
Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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samedi, 03 novembre 2012
Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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Cet « islam sans gêne » qui veut mettre la France à l’heure mahométane
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« Cet islam sans gêne »… C’est le titre d’un dossier, bien étayé, que publie cette semaine l’hebdomadaire Le Point. Un islam qui pousse sa corne, de plus en plus pointue et acérée, dans toujours plus de domaines de notre espace public. Exemples : les collèges, où pour défier l’interdiction du voile, de jeunes musulmanes « portent de longues robes de couleurs sombres nommées abayas ». Renforcées parfois d’un passe-montagne noir « qu’elles appellent bonnet ». A la moindre remarque d’un proviseur, des imams débarquent dans le bureau de ce dernier pour lui expliquer sur un ton courroucé qu’il s’agit d’une tenue « culturelle » et non religieuse.
Pour narguer plus encore l’institution laïque ces militantes islamistes s’installent souvent devant les établissements scolaires, en brandissant des calicots : « Islamophobes, on est là ! » Et bien là… Des collèges où les professeurs n’osent même plus enseigner l’histoire, risquant de se faire chahuter (ou tabasser) quand ils abordent des sujets comme les croisades, la Shoa ou la période coloniale. L’histoire de France n’est certes pas le passé des enfants d’immigrés. Pour préserver la susceptibilité toujours à vif de ces derniers les petits Français ne reçoivent donc plus, comme cours d’histoire, qu’une mélasse insipide sans chronologie ni héros, une compote amnésique cuite par pochage au sirop des droits de l’homme, du pacifisme et de la repentance. La musique même se trouve mise en cause, « parce que contraire à l’islam ».
Dans les crèches, où « le fait religieux s’est peu à peu immiscé », des petits enfants refusent d’écouter l’histoire des Trois petits cochons, parce que cet animal est jugé « impur » par leurs parents.
Cantines scolaires, prisons : l’empreinte islamique
La bataille des cantines, dont on parle depuis maintenant vingt ans, s’est temporairement terminée, dans beaucoup d’entre elles, par une sorte d’armistice : on n’y sert plus de viande. C’est ce que l’on appelle la cantine « laïque et républicaine », aux menus strictement végétariens. « Le problème ce n’est plus seulement le porc, mais la viande que certains enfants refusaient dans leurs assiettes parce qu’elle n’avait pas été préparée selon le rite halal. » Donc plus de viande. Les petits Français sont priés d’abandonner leurs traditions culinaires par respect pour celles des nouveaux venus.
L’islam, bien sûr, règne en maître dans les prisons, dont de faux imams sont en quelque sorte les prophètes écoutés. Des prisons où plus de 50 % des détenus – entre 70 et 80 % dans certaines d’entre elles – sont musulmans. Sans « stigmatiser » personne, on est bien obligé de remarquer, à la vue de ces chiffres, que cette communauté est tout de même la plus criminogène de France. On peut même parler, pour ces droit-commun musulmans mélangeant délinquance et militantisme religieux, d’un phénomène d’islamo-gangstérisme. « Dans certains établissements, il existe désormais une hiérarchie parallèle à l’administration qui impose ses propres règles. » Dès lors que ces mahométans sont en position de force, leur prosélytisme s’exerce de façon sommaire mais efficace. « Le détenu est approché par des sous-fifres qui lui donnent des cigarettes et lui offrent la possibilité de cantiner. Et puis, très vite, on lui tend le Coran… »
Sport : vertes pelouses
Le sport évidemment n’est pas épargné, où l’on voit, avant des matchs de football, des joueurs musulmans transformer la pelouse en tapis de prière. « Ce n’est un secret pour personne que la religion islamique joue un rôle grandissant dans le foot. Et cela à tous les niveaux de la hiérarchie. » Un sport où, avec les Nasri, les Ribéry, les Anelka, les Evra, les musulmans mènent la danse. A tel point qu’en son temps le piteux Raymond Domenech avait décidé, « afin d’éviter certaines tensions », que les buffets de l’équipe de France seraient halal. Même dans les équipes amateurs les joueurs non musulmans sont désormais contraints de s’adapter aux horaires d’entraînements « réglés sur ceux des prières ». Afin « d’éviter certaines tensions », jusqu’où les dirigeants continueront-ils à se prosterner devant les fous de Mahomet ?
Dans les hôpitaux ce sont « d’innombrables patients qui exigent que le soignant qui les prend en charge soit du même sexe qu’eux ». Sinon, gare aux coups ou, dans le meilleur des cas, aux insultes.
En pointe de la « diversité », l’entreprise de téléphonie Orange, où, au nom du « vivre ensemble » et d’une contraignante législation européenne sur la non-discrimination (1) se côtoient « sikhs, juifs religieux, femmes voilées », les managers voit sur le terrain les incidents se multiplier : « C’est un salarié (…) qui pratique le jeûne et interdit aux autres de manger (2). C’est une femme de ménage d’origine maghrébine qui reçoit des SMS sur son portable lui enjoignant de se conduire en bonne musulmane (…) et de se vêtir autrement. Ce sont des refus de serrer la main des collaboratrices, de partager le bureau avec une femme… » Décidément, comme l’avait constaté Mme Merkel elle-même, « le multi, ça ne marche pas ». Pas plus ailleurs que chez Orange…
Ramadan : la faute à la France
Tariq Ramadan, qui affirme dans un entretien que « l’islam est une religion française », nous explique que si certains musulmans adoptent des comportements provocateurs et intolérants c’est la faute de la laïcité française. Ils se sentent « stigmatisés » par elle. Ramadan, au cours de son interview, conceptualise également : « L’islam n’a pas de problème avec les femmes, mais les musulmans en ont. » Analyse que l’on peut aussi transposer : la France n’a pas peut-être de problème avec les musulmans, mais les Français eux en ont. Et beaucoup… Face à cette poussée continue de l’islam dans la société civile française, le seul mot d’ordre de nos autorités a été jusqu’ici : « surtout pas de vagues ». A la moindre vaguelette, au moindre clapotement, on rentre dans sa coquille.
Dans son éditorial, le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, dénonce cette « politique du moindre mal dont crève la France ». Et d’aligner quelques exemples de cette soumission baveuse. « C’est ainsi, chose comique, que les notables d’Amiens en sont venus à débaptiser le traditionnel marché de Noël, oh le vilain mot, pour l’appeler marché d’Hiver (…). C’est ainsi encore que nous sommes condamnés à manger de la viande halal qui n’est pas qualifiée comme telle, contrairement à toutes les lois de transparence et de traçabilité. Si on en est arrivé là, c’est sous le fallacieux prétexte qu’il ne faudrait pas montrer du doigt une religion qui, de surcroît, touche la dîme sur chaque bifteck ou bas morceau. Tant mieux pour les imams et tant pis pour la souffrance animale : les bêtes ne votent pas. » Malheureusement ceux qui votent sont souvent bêtes eux aussi.
Nous l’avions dit, bien avant Giesbert
Giesbert prétend qu’il tire le signal d’alarme (après quelques autres) pour ne pas « laisser le débat aux gueulards populistes… ». Pourtant tout ce qu’il nous sort aujourd’hui, la droite nationale et sa presse l’ont dit, écrit et décrit bien avant lui. Mais alors nous étions bien seuls face aux « agents de la circulation idéologique, armés jusqu’aux dents » qui prétendaient nous « verbaliser » sous prétexte de xénophobie, d’islamophobie et d’incitation à la haine raciale. L’islam, dit justement Giesbert, « a simplement gagné le terrain qu’on lui a cédé, pleutres que nous sommes ». C’est vrai. Mais la pleutrerie, hélas majoritaire dans notre pays, ne fut pourtant pas le cas de tous les Français. Giesbert s’honorerait de le reconnaître. « Les gueulards populistes » n’auront pas « gueulé » totalement en vain. Ils ont au moins eu le mérite de briser sur ce sujet, à leurs risques et périls, quelques tabous trop bien enracinés de la bien-pensance progressiste.
(1) Celle-ci stipule que si un candidat à un poste s’estime discriminé en raison de ses signes d’appartenance religieuse, c’est à l’entreprise de démontrer que ce candidat n’était pas le meilleur. La recherche des preuves peut alors devenir longue et délicate.
(2) Confirmation donc du petit pain au chocolat de Copé…
L’affaire Merah
Les Verts (et semble-t-il le président de la République) demandent une commission d’enquête parlementaire sur ce qu’ils appellent les dysfonctionnements de l’affaire Merah. Peut-être y a-t-il eu effectivement quelques ratés de la part des services de renseignement français. Notamment une erreur d’appréciation des enquêteurs de la DCRI sur la dangerosité du personnage ? Il y a surtout un manque de moyens. « Les personnes présentant un profil pouvant déboucher sur une action violente et entretenant une relation avec une mouvance radicale sont de plus en plus nombreuses (…). Il y en a aujourd’hui plusieurs centaines. » Et ce chiffre ne cesse de croître. Côté DCRI « une quarantaine de personnes serraient actuellement employées à la section terroriste du département des affaires judiciaires… ». Alors que faut-il faire ? Multiplier par cent également le recrutement des agents de la DCRI ? En tout cas, malgré son infériorité numérique, celle-ci ne se débrouille pas si mal. Depuis 2007, près de 1 500 dhjihadistes ont été interpellés, dont plus de 650 par la seule DCRI… « On ne peut pas mettre tous les barbus en prison », se défend l’ancien patron de ce service, Bernard Squarcini, aujourd’hui sur la sellette. En effet : d’autant que les juges les feraient sortir sur le champ. Le plus gros dysfonctionnement de cette affaire ne vient pas de la police. Le ratage monumental c’est avant tout celui de nos responsables politiques qui ont laissé, durant des années, s’installer chez nous des millions de musulmans, tolérant ensuite, par pusillanimité, toutes leurs exigences… Les centaines de Merah en puissance sont nés de cette double incurie.
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Pinatel chez Les Ronchons :
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Dimanche soir sur Méridien zéro :
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Le GUD Lyon fête Halloween à sa façon...
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Ces imbéciles qui prétendent nous gouverner !
Par Roger Holeindre
Président du
Cercle national des combattants
C’est vraiment le foutoir ! Le vendredi 12 octobre 2012, M. Le Président de la République française…“Normal 1er” débarque en Afrique, à Dakar, accompagné de sa concubine… ce qui fait très couleur locale… bien qu’ici les maîtresses sont désignées officiellement comme “2e Bureau”.
Sa “compagne” n’étant pas divorcée officiellement, lui-même ne s’étant pas marié avec une autre femme à qui il a fait quatre enfants… pourrait ajouter à ses discours pendant son déplacement que la francophonie, comme il le clame… c’est la liberté dans la démocratie, et aussi dans la polygamie… d’autant plus que dans notre belle France…beaucoup de musulmans non intégrés, de leur propre fait, nous expliquent déjà que… s’ils ont plusieurs femmes, ils ne font que copier ce que fait le Président de la République !
Bien sûr… il en a remis une couche sur la fin de la Françafrique… « (…) Le temps de la Françafrique est révolu. Il y a la France et il y a l’Afrique. Il y a le partenariat avec des relations fondées sur le respect, la clarté et la solidarité (…) Les émissaires, les intermédiaires et les officines trouvent désormais porte close à la présidence de la République française, comme dans les ministères… »
Dans son costume trop grand pour lui… Il oublie tout simplement qu’aucun pays au monde, à part la France, n’a jamais abandonné des marchés en Afrique ou dans le monde, de son plein gré. Aujourd’hui, les Chinois “achètent” l’Afrique.
Personne, parmi nos grands spécialistes écologistes, personne parmi les “kmers verts”, ne s’avise de signaler qu’ils ravagent aussi des pays entiers du fait que leurs coutumes et leur pharmacopée sont délirantes, en ce qui concerne les remèdes ou potions, soi-disant aphrodisiaques, qui vont de l’aileron de requin (dont ils jettent le reste), aux cornes de rhinocéros, en passant par certains fruits de mer.
Les derniers grands trafics de défenses d’éléphants sont aussi de leur fait.
Tous les marchés juteux de la planète s’obtiennent contre de grosses enveloppes, et même nos “alliés” font passer leurs intérêts avant les nôtres… et ils ont raison !
C’est exactement la même chose avec les pays qui composent l’Europe, où chacun protège au mieux ses usines.
Il faut d’ailleurs remarquer que toutes ces déclarations de morale n’ont pas soulevé des clameurs de satisfaction, mais simplement quelques applaudissements polis… surtout de la part de la concubine qui doit quand même servir à quelque chose.
Une fois de plus, ce fut l’octroi de visas pour la France qui domina les discussions en coulisse… et là, “Normal 1er” fut sublime… d’une intelligence politique bien digne de l’énarque qu’il est, il se dépassa… « J’entends mettre fin à ce paradoxe absurde, qui fait que la France dans un passé récent ait trop souvent fermé la porte à ceux qui voulaient y créer des emplois, y développer des échanges ».
Cela va certainement faire plaisir aux centaines de vendeurs clandestins de Tour Eiffel en aluminium, fabriquées en Chine, et à ceux qui vendent des objets en ivoire qui ne sont que des copies en plastique venant, elles aussi, d’Extrême Orient… qui font la chasse aux touristes étrangers dans tous les hauts lieux de Paris.
Puis, ne sachant peut être que faire de symbolique avant de quitter le Sénégal, il fut le premier chef d’Etat français à se rendre sur l’île de Gorée, au large de Dakar… pour pleurer, une fois encore, sur l’esclavage… oubliant que la colonisation française… a fait cesser la traite des noirs partout où elle s’installait… et que c’est en combattant le plus grand organisateur de razzias de bois d’ébène, que le commandant Lamy mourut au combat, à l’endroit où naquit la ville de Fort Lamy, aujourd’hui N’Djamena.
Si M. Hollande n’avait pas fait l’ENA, et si ses conseillers élyséens, bardés de diplômes (obtenus en écrivant l’histoire de France telle qu’elle est enseignée depuis quelques années… c’est-à-dire fausse !), ils auraient tous pris la peine de lire les bons dictionnaires, encore écrits par des non trotskistes, et ils auraient appris dans Le Mourre, par exemple, que ce marchand de nègres s’appelait Rabah…
« Rabah ( Koussri, région du lac Tchad, 22.IV.1900). Chef africain. Ancien lieutenant du trafiquant d’esclaves égyptien Zobéïr, il se rendit indépendant en emmenant des troupes et des armes avec lui et entreprit de se tailler un royaume dans le Soudan central, entre le Nil et le lac Tchad.
Disputant au Ouadaï le trafic des esclaves, il s’empara du Dar Kouti, qu’il confia à Mohammed es-Senoussi, puis ravagea toute la zone comprise entre l’Oubangui et le Tchad, soumit le Baguirmi (1892), puis conquit le Bornou (1893), dont il se proclama émir. Les princes locaux qu’il dépossédait firent alors appel à l’intervention française. Après six ans de guerre, Rabah fut vaincu et tué à la bataille de Koussri. La lutte contre Rabah fut l’origine de la colonisation française au Tchad et en Oubangui-Chari. »
Le plus honteux, c’est qu’une fois de plus, il relança ce combat inutile et néfaste pour la paix sociale en France… surtout avec Mme Taubira au gouvernement, à un poste éminent, celui de la Justice, et les “kmers verts” dans les ministères.
Monsieur le Président… une fois de plus, s’essuya les pieds sur notre pays et écrivit sur le livre d’or… « Au nom du peuple français, je rends hommage à la mémoire des innombrables victimes de l’esclavage. Le rappel de cette tragédie lie à jamais l’Europe, l’Afrique, l’Amérique et les Caraïbes. Il nous oblige à lutter sans relâche contre toutes les formes d’exploitation de l’être humain. »
Le peuple français a bon dos, mais toutes ces pleurnicheries risquent de lui couter cher !
En effet, nous savons aujourd’hui qu’avant le voyage du président en Afrique, le cabinet du Premier ministre avait organisé une réunion avec un collectif d’associations pour qu’il fasse des propositions (sic) sur ce qui peut être fait en termes de réparations !
Derrière tout cela, au point de vue association, on retrouve Louis George Tin, qui n’est autre que le Président du Conseil représentatif des associations noires (le CRAN) qui, ayant eu deux longues réunions avec les représentants du gouvernement, pensait avoir convaincu de la nécessité de “réparations” sonnantes et trébuchantes… et d’accuser “Normal 1er”… « M. Hollande rétropédale le jour même où il se rend à Gorée… C’est honteux ! »
Bien sûr, tous ces braves gens, dont certains appellent les Français d’origine… les sous-chiens… font mine d’ignorer la véritable histoire de l’esclavage.
Ainsi, par une nouvelle entourloupette de la falsification historique, on ressort la loi Taubira qui veut faire payer à la France la traite négrière, dont elle ne commença la pratique qu’à la fin du XVIIe siècle, en occultant l’esclavage arabe et la traite négrière interafricaine qui se sont étalés, eux, plus longuement dans le temps, depuis l’antiquité, et qui furent terribles quant au nombre de morts dans les convois vers la côte pour les ventes, ou vers les pays d’Orient.
Il faut quand même savoir qu’après plusieurs voyages de repentance à Alger, où les représentants des porteurs de valises n’ont cessé de s’excuser et de cracher sur la France… des excités du FLN avancent aujourd’hui… la nécessité pour la France… si elle veut vraiment être pardonnée… le versement d’au moins trois milliards d’euros. Voici peu de temps, une délégation du FLN s’est rendue au Viet Nam pour rencontrer des dirigeants à Hanoi. Cette visite avait pour but de demander aux ex viet minh de se joindre à l’Algérie pour constituer un “front anti français”, une sorte de “tribunal international”, afin d’obtenir des réparations pour l’Algérie et pour le Viet Nam. Hanoi a éconduit avec agacement cette délégation de mendiants.
Mais je pense que ce n’est que partie remise, et que les gens qui soi-disant nous dirigent, sont seulement capables d’une chose… nous faire condamner au nom de la repentance !
Car ces messieurs y vont avec vigueur. Toutes les occasions sont bonnes et nous voilà repartis sur les lamentations.
Devant se rendre à Alger en décembre 2012, “Normal 1er” profite du 51ème anniversaire de la répression anti FLN de Paris, pour, à nouveau, nous rouler dans la fange.
Une fois de plus, comme ses prédécesseurs d’ailleurs, il passe sur les crimes du FLN, en Algérie et en Métropole… pour attaquer la police parisienne et la couvrir d’opprobres, alors qu’elle n’a, en pleine guerre civile, fait que son devoir. Du coup, même les forces du maintien de l’ordre deviennent … « la police de Papon ». C’était tout simplement la police de De Gaulle… tout comme le S.A.C. était la police parallèle du grand homme.
Il est aberrant que ces imbéciles qui se sont emparé du pouvoir grâce à la bêtise d’un nombre incroyable d’ « idiots utiles », et au vote communautaire musulman, continuent à dénigrer et à salir notre pays, alors qu’une grande partie de la population immigrée ne se sent pas française, et prend pour argent comptant toutes les élucubrations politicardes de ces marchands de vent et de haine.
Nous avons fait la “guerre d’Algérie” contre le terrorisme du FLN… qui pendant des années a tué, égorgé, éventré des dizaines de milliers de musulmans qui ne désiraient que rester Français !
Ils ont, par ailleurs, réservé le même sort aux pieds noirs qui avaient bâti ce pays et qui, dans leur grande majorité, étaient des gens humbles, ne possédant que leurs mains et leur volonté de travail… et dont beaucoup votaient communiste.
M. Sarkozy, avant Hollande, avait cru nécessaire de proclamer, voici cinq ans, à Dakar, devant une assemblée africaine…
« Nous vous avons pillés…
« Nous vous avons volés
« Nous vous avons colonisés… ce qui était une erreur…
« Mais (sic) nous avons construit des ponts… »
Nous avons fait bien d’autres choses !
D’abord en Afrique noire, comme déjà écrit…nous avons stoppé l’esclavage… nous avons amené la paix… fait cesser les éternelles luttes tribales et le cannibalisme.
Nous avons combattu la lèpre, la maladie du sommeil, et des dizaines d’infections purement africaines, grâce à la médecine coloniale, présente partout.
Nous avons traité les populations… toutes… correctement, et elles n’ont jamais connu la famine.
A notre départ, il restait dans les colonies européennes 1 800 000 éléphants. La forêt était quasiment intacte.
Nous n’avons jamais pompé le pétrole… car nous ne l’avions pas découvert… sauf au Sahara français… ce qui nous valu la guerre d’Algérie.
D’ailleurs, si nous avions été des chiens… même des sous-chiens… des tueurs… des esclavagistes… pourquoi tous ces gens voudraient-ils venir chez nous ?
Ils sont presque tous indépendants depuis 50 ou 60 ans… Les problèmes de leurs pays sont aujourd’hui leurs problèmes.
Nous leur avons laissé de jeunes nations en état de marche… certaines même prospères… Aux Algériens, nous avons abandonné le Sahara qui n’a jamais été algérien, notre gaz et notre pétrole, après avoir investi des milliards. S’ils ne s’en sortent pas, ce n’est pas de notre faute… mais la leur !
Deux pays ont été rasés, nitratés… l’Allemagne et le Japon. Ce dernier atomisé. Ils sont parmi les premières économies du monde.
Alors, assez de jérémiades. Assez de repentance ! Que nos gouvernants cessent de s’occuper d’hier ou d’avant–hier, et ne pensent qu’à demain… en réglant d’abord les problèmes d’aujourd’hui.
Ce n’est pas à eux de décréter si la France est coupable ou non. Pas plus M. Hollande aujourd’hui, que M. Chirac hier ! Laissons les vrais historiens faire leur travail !
Cessons de nous plaindre… de gémir… de nous lamenter. Redonnons à notre jeunesse le goût de l’effort… des raisons d’être fiers de leur pays, et que ceux qui sont contre tout cela… fassent leur valise, car en France les frontières qui permettent à tout le monde d’entrer… sont encore plus ouvertes pour ceux qui veulent partir !
Ceux qui prétendent que la France est un pays raciste, sont des affabulateurs et des menteurs. Certains penseront peut-être qu’en traitant nos dirigeants d’imbéciles… j’exagère… Non ! Je minimise la chose… le drame. Car en vérité, en prenant constamment parti pour nos adversaires d’hier… ils nous amèneront la guerre civile.
Alors, il vaut mieux que je les traite d’imbéciles que de traitres… ce qu’ils sont en réalité vis-à-vis de notre pays, qui est de moins en moins la France… et de notre peuple, qui se sent de moins en moins chez lui !
01:34 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès de Pino Rauti :
Nous apprenons le décès de Pino Rauti, personnalité célèbre du nationalisme italien et admirateur affiché du Duce, à l’âge de 86 ans.
Vice-secrétaire général, à partir de 1979, du Mouvement social italien, il en devient brièvement président avant de le quitter en 1995 : le MSI (rebaptisé Alliance nationale) ayant effectué un recentrage politique sous la houlette du renégat Gianfranco Fini.
Rauti fonde alors son propre parti, le MSI-Fiamma Tricolore, sous l’étiquette duquel il sera élu député européen en 1999.
Source Contreinfo.com
01:17 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 01 novembre 2012
Un sympathique bras d'honneur...
Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
Ce 30 octobre, Gérard Longuet était l'invité de l'émission Preuves par 3 sur la chaîne "Public Sénat". Le propos du jour concernait le projet de mariage entre personnes du même sexe, pour lequel il demande qu'une clause de conscience permette, au moins, aux maires de ne pas le célébrer, comme il en va, depuis la loi Veil de 1975, pour les médecins refusant de pratiquer l'interruption volontaire de grossesse.
Mais en marge de ce débat, provocateur en lui-même, il semble bien qu'on ait voulu attraire l'ancien ministre de la Défense dans une autre question conçue pour le "piéger" : celle de la repentance permanente qu'on demande à la France à propos des "crimes du colonialisme français". Le gouvernement algérien revendique, en effet, de notre part et unilatéralement, une "reconnaissance franche".
Sa réponse consista en un bras d'honneur, franc et massif. Et, interrogé par une autre chaîne (1) il confirme et assume son geste "populaire", "de bon cœur". "Je ne renie rien" ajoute-t-il.
À cet égard ce vieux camarade mérite un hommage particulier. Il a rompu de la sorte avec une attitude pratiquement unanime de la classe politique. Celle-ci s'est retrouvée sur une ligne commune, celle aussi, hélas, des autorités ecclésiastiques, des institutions philosophiques et des gros moyens d'intoxication de l'opinion.
N'oublions pas le rôle particulièrement pervers de l'école "républicaine". Loin de chercher à assimiler aujourd'hui les enfants issus de l'immigration elle se préoccupe de fabriquer des ressentiments artificiels contre leur pays d'accueil, supposé devenir leur nouvelle patrie. Ces rancœurs se révèlent d'autant plus paradoxales que leurs familles sont venues volontairement en France.
Disons-le donc tout net : la soi-disant "repentance" ça suffit ! Basta !
Il faut d'abord souligner que sous ce mot de "repentance", on dénature une démarche d'ordre religieux et de nature personnelle. Celle-ci n'a de sens qu'envers un dieu dont on implore la miséricorde. Le gouvernement d'Alger n'est peut-être pas le Diable, il n'est certainement pas le Bon Dieu. S'il veut donner des leçons de morale et de liberté qu'il commence par les appliquer chez lui.
On veut sans doute hâter un processus de "réconciliation" entre deux États, tourner la page d'une guerre terminée en principe depuis 50 ans, faire face à l'avenir et, notamment combattre des ennemis communs dans la région du Sahel.
S'il s'agissait de cela on pourrait comprendre. On applaudirait même, mais à une condition : que cette démarche soit effectuée de manière réciproque et non pas unilatérale. Qu'elle soit sincère et non fondée sur le mensonge, récurrent outre-Méditerranée, par lequel l'armée dite des frontières accapare le pouvoir depuis juillet 1962.
Vous dites : "crimes du colonialisme ?"
Alors peut-être aurait-il fallu rendre le pays dans l'état où on l'avait trouvé en 1830, détruire les hôpitaux, les infrastructures, les ports, les voies de chemin de fer, les écoles, les puits de pétrole. Il aurait récupéré son bagne, son refuge de pirates et son marché aux esclaves.
Aurait-il fallu également ramener la population à son niveau d'origine, à peine 2 millions d'habitants en 1830 contre 10 millions en 1960 ? cela eût évité à l'oligarchie militaire et pétrolière la dure tâche d'avoir à la nourrir, tache à laquelle elle ne semble guère efficace.
Admettons. La colonisation a sans doute été globalement une erreur. Tout lecteur de Frédéric Bastiat le sait.
Et toutes les guerres contiennent leur part d'horreur. Les continuateurs du FLN algérien le savent mieux que personne. Leur technique de terrorisme barbare consistait à mettre en scène l'horreur pour tétaniser l'adversaire et radicaliser les antagonismes.
On pourrait multiplier les exemples. Citons simplement les massacres de Philippeville. Ils furent perpétrés en août 1955 contre les Européens, mais aussi contre les musulmans loyalistes, mais encore contre les notables musulmans modérés qui venaient de signer d'un appel condamnant "toute violence d’où qu’elle vienne".
Ne réécrivons pas ici l'Histoire de cet atroce conflit.
Ne prétendons pas qu'une répression conçue par des dirigeants socialistes parisiens aurait pu se réaliser sans tache. C'est le gouvernement socialiste de Guy Mollet qui inventa en 1956 l'envoi du contingent. C'est Mitterrand ministre de l'Intérieur en 1954 qui avait lancé la doctrine "une seule France de Dunkerque à Tamanrasset".
L'application ne pouvait être qualifiée de "fraîche et joyeuse".
Aucune guerre ne peut être considérée comme "fraîche et joyeuse", et ceci vaut particulièrement pour le vaincu.
Si la République jacobine, présidée par Monsieur Normal, veut exercer son talent de repentance, qu'elle commence par effacer de l'Arc de triomphe de l'Étoile le nom du général Turreau, l'homme des colonnes infernales en Vendée.
Enfin un mot sur la guerre coloniale : elle se conçoit sans doute la moins hideuse de toutes puisqu'elle ne se donne pas pour but de "détruire l'adversaire" (Clausewicz... et les jacobins en Vendée), mais de "le transformer en administré" (Galliéni).
Ayant participé en 1962, comme le fit à la même époque Gérard Longuet, à l'accueil en Métropole des rapatriés d'Algérie, je veux bien pardonner, chrétiennement, si on me le demande, et quoique je sois un tout petit chrétien. Mais je n'oublierai jamais.
Note
(1) BFMTV 31 octobre.
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La livraison de novembre décembre de la Nouvelle Revue d'Histoire
“Le conflit du Trône et de l’Autel”, par Dominique Venner
Editorial de La Nouvelle Revue d’Histoire
N°63, novembre-décembre 2012
Tout grand évènement religieux a des causes politiques et historiques. Cette observation se vérifie particulièrement en Europe dans l’histoire du christianisme, en raison des liens étroits et conflictuels établis entre l’Église et l’État, le Sacerdoce et l’Empire, le Trône et l’Autel. Tel est le sujet du dossier de la NRH de novembre 2012 (n° 63). Si vous prenez le temps de le lire, vous découvrirez certainement une face des choses qui vous paraîtra neuve. L’étude historique comme nous la pratiquons n’a pas pour but de rabâcher les clichés entretenus par une transmission paresseuse des savoirs scolaires. Elle à pour but de nous donner des instruments pour comprendre les mystères du passé et ceux du présent afin de construire notre avenir.
Il existe bien d’autres religions (ou de sagesses religieuses) à travers le monde et d’origine vénérable, mais aucune n’a eu un destin comparable au christianisme, en ce sens où aucune n’a édifié sur la longue durée une telle institution de pouvoir se posant à la fois en rivale ou en appui du Trône ou de l’État. Analyser cette particularité excède naturellement les limites de cet éditorial (1). Je me limiterai donc à rappeler deux particularités historiques majeures.
À la suite d’une série d’imprévus historiques majeurs, à la fin du IVe siècle de notre ère, un culte d’origine orientale et en constants changements fut adopté comme religion d’État obligatoire d’un Empire romain devenu largement cosmopolite. Pour faire bref, je ne crois pas du tout à la vieille thèse selon laquelle la nouvelle religion aurait provoqué la décadence de l’Empire. En revanche, c’est évidemment parce que « Rome n’était plus dans Rome » depuis longtemps, que les empereurs, à la suite de Constantin et de Théodose (malgré l’opposition de Julien), décidèrent, pour des raisons hautement politiques, d’adopter cette religion.
En trois gros siècles (l’espace de temps qui nous sépare de Louis XIV), la petite secte juive des origine était devenue une institution sacerdotale frottée de philosophie grecque que saint Paul avait ouverte à tous les non-circoncis (Galates, 3-28), une religion qui se voulait désormais celle de tous les hommes.
Ce projet d’universalité chrétienne coïncidait avec l’ambition universelle de l’Empire. Il en était même le décalque, ce qui favorisa son adoption après des périodes de conflits (sans parler des nombreuses hérésies). Pour un empire à vocation universelle, une religion qui se voulait celle de tous les hommes convenait mieux que la religion des dieux autochtones de l’ancienne cité romaine. On pense rarement à cette réalité capitale. Tout plaidait politiquement en faveur de cette adoption, et les apologistes chrétiens n’ont pas manqué de le souligner. À la différence de l’ancienne religion civique, la nouvelle était individuelle et personnelle. Par la prière, chaque fidèle était en relation implorante avec le nouveau Dieu. Celui-ci ne s’opposait pas au pouvoir impérial : « Rendons à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ». Les difficultés surgiront ultérieurement sur la délimitation du territoire accordé à César (le Trône) et à Dieu (l’Autel).
Par la voix de saint Paul, l’Église naissante avait justifié l’autorité des Césars : « Tout pouvoir vient de Dieu » (Romains, 13). À la condition toutefois que les Césars lui reconnaissent le monopole de la religion et de la parole sacrée. À cet égard, l’Empire multiethnique de l’époque ne pouvait souhaiter mieux qu’une religion prête à le servir en unifiant tous les peuples et toutes les races dans l’adoration d’un même Dieu sans attache ethnique.
L’empereur Constantin, imité en cela par ses successeurs en Orient (Byzance) était bien décidé à intervenir dans les affaires d’une Église qu’il voulait soumise, et à mettre de l’ordre dans les disputes théologiques grosses de désordres. Son autorité s’imposa ainsi au Concile de Nicée (326) qui établit les fondements de l’orthodoxie catholique en donnant une assise au mystère de la trinité divine. Devenue obligatoire, ce qui impliquait la conversion de tout titulaire d’autorité, l’Église naissante devint une formidable machine de pouvoir, épousant les structures de cette non moins formidable institution qu’était l’Empire.
Un siècle après Constantin et Théodose, surgit un nouvel imprévu historique aux conséquences colossales. Depuis longtemps, le gigantisme de l’Empire avait conduit à le diviser en deux : empire d’Occident (capitale Rome en attendant Ravenne) et empire d’Orient (capitale Constantinople). Une primature était accordée à Constantinople en raison du déplacement oriental du centre géométrique, ethnique et économique, de l’Empire. Cela d’autant que la présence toujours accrue à l’Ouest de populations germaniques, dites « barbares », créait une instabilité mal maîtrisée.
C’est ainsi qu’en 476, le dernier empereur fantoche d’Occident (Augustule) fut déposé par un chef hérule nommé Odoacre qui renvoya les insignes impériaux à Constantinople. Cet évènement signait la fin discrète de l’empire d’Occident (2). Ne subsistaient à l’Ouest que deux pouvoirs issus partiellement de l’ancienne Rome. Celui d’abord des rois et chefs germaniques adoubés par l’Empire, qui sont à l’origine de tous les royaumes européens. Celui, ensuite, plus ou moins concurrent d’une Église, riche et puissante, représentée par ses évêques, héritiers de l’administration diocésaine romaine.
Ce serait trop simplifier les choses que de distinguer alors pouvoir politique et pouvoir religieux, tant ce dernier disposait d’une part notable de la richesse et de la puissance publique. Mais dans ce monde neuf d’un Occident en ébullition, vont apparaître bientôt deux autres pouvoirs juxtaposés aux précédents, celui du pape, évêque de Rome, et celui des empereurs d’Occident et de rois qui, à la façon de Philippe le Bel, se voudront « empereur en leur royaume ». Ainsi se dessine le cadre historique d’équilibres et de conflits qui se sont prolongés jusqu’à nous (2).
Dominique Venner
Notes
(1) J’ai développé les observations de cet éditorial dans mon livre Le Choc de l’Histoire (Via Romana, 2011). Notamment p. 108 et suivantes, que complètent les réflexions du chapitre Mystique et politique(p. 155).
(2) L’Empire d’Occident fut relevé en l’an 800 par Charlemagne, ce qui suscita l’irritation de l’empereur byzantin.
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Sète : la Ligue du Midi et Troisième voie contre le droit de vote des étrangers
Lundi dernier, à 9 heures, une équipe de militants de la Ligue du Midi (Réseau-Identités) et de Troisième Voie se sont rendus à Sète dans le but de conspuer le député Sébastien Dénaja, élu de la 7ème circonscription de l’Hérault devant sa permanence située dans un immeuble bourgeois du centre-ville. La raison de cette visite matinale était simple: Sébastien Dénaja figure parmi les 77 députés socialistes qui ont décidé de faire pression sur le gouvernement afin qu’il accélère le passage de cette loi inique devant le Parlement réuni en congrès à Versailles. En effet, Sébastien Dénaja trouve que le gouvernement ne va pas assez vite et ne va pas assez loin.
Mais le gouvernement sait très bien que le peuple ne veut pas de cette loi et tente de reculer l’échéance. Alors le ministre de l’intérieur Manuel Valls a trouvé une solution. Si l’on ne peut pas faire voter les étrangers, il n’y a qu’à les naturaliser, sachant pertinemment que les immigrés votent à 80 % pour le Parti Socialiste. Ainsi, les députés BO-BO changent de stratégie: “Si le peuple vote mal, changeons de peuple”.
Quant à nous, patriotes, nationalistes ou identitaires, nous leur rétorquons que seul le peuple est en droit de se prononcer contre une politique d’immigration qui ne sert qu’à camoufler une substitution de population et c’est pourquoi nous exigeons la tenue d’un référendum.
Les protestataires, encouragés par de nombreux passants ou automobilistes, avaient déployé deux banderoles, rue général De Gaulle où ils ont lancé de nombreux slogans sous les fenêtres du député : ”Dénaja démission”, “Référendum! Référendum”, “Droit de vote des étrangers, République en danger”. À la fin de l’opération qui s’est déroulée dans la sérénité, plusieurs centaines de tracts ont été distribués dans les rues du centre-ville.
Ligue du Midi cliquez ici
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Erstein (Bas-Rhin) : le maire n’aura pas sa mosquée...
Quand les citoyens décident de ne pas se laisser faire, ils peuvent empêcher la construction d’une mosquée dans leur quartier ou dans leur ville.
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Le maire d’Erstein, Jean-Marc Willer (en médaillon - NDLR), également conseiller régional élu en 2010 sur la liste PS, a la tête des mauvais jours depuis qu’il a appris, le jeudi 25 octobre dernier, l’échec de sa tentative d’imposer une mosquée aux habitants du quartier résidentiel du Bruhly.
Et pourtant, Jean-Marc Willer la voulait, sa mosquée. Il n’a pas ménagé sa peine, ni lésiné sur les manœuvres dilatoires et les mesures autoritaires pour imposer aux habitants de ce quartier résidentiel l’installation d’une mosquée et d’un centre culturel turcs.
Revenons au printemps 2009. Le maire annonce aux habitants du lotissement l’ouverture prochaine d’une épicerie à l’emplacement de l’ancienne petite COOP située en face de l’école du Briehly, à la satisfaction de tous, les gens étant ravis d’avoir à nouveau un commerce de proximité près de chez eux.
Mais la réalité est tout autre. En effet, fin octobre 2009, le maire prévient les habitants par courrier qu’un projet d’aménagement d’un lieu de culte musulman remplacera le projet d’épicerie. La réunion publique qui a eu lieu le 6 novembre 2009 était tout sauf une réunion de concertation. Le maire Jean-Marc Willer a refusé de tenir compte de l’avis des riverains, il s’est contenté d’expliquer qu’outre un lieu de culte, les Turcs disposeraient aussi en cet endroit d’une salle de danse et de musique. Comment un maire peut-il se soucier si peu de l’avis des habitants ? Et pourtant il était évident que les problèmes de stationnement et de circulation étaient réels.
Le maire passe en force
Jean-Marc Willer a voulu passer en force et a délivré en octobre 2010 un permis de construire mal ficelé. S’estimant certainement au-dessus des lois, il n’a respecté ni les règles des Établissements recevant du public (ERP), ni le Plan d’occupation du sol.
Mal lui en a pris. Les habitants ne se sont pas laissés faire. Réunis dans l’association “Bien vivre au Mittelholz“, ils ont déposé un recours contre le permis et ont confié le dossier à Me Pierre-Marie Bonneau, avocat au barreau de Toulouse. Le 13 septembre 2012, le Tribunal administratif a annulé le permis de construire. Le maire s’obstine et fait appel.
Occupation illégale ?
Chose étrange, pendant toute la durée de l’instruction du recours, l’association turque d’Erstein poursuit les travaux, et continue d’occuper les locaux. On peut se poser la question de savoir si les membres de l’association ont juridiquement le droit d’occuper les lieux, depuis que le tribunal de Nancy a définitivement annulé le permis. Cette occupation est-elle légale ? C’est du moins ce qu’affirme le maire avec beaucoup d’aplomb. Un arrêté municipal autorisant l’exploitation de cet ERP a-t-il été délivré ? En fait, l’occupation n’est pas légale. Mais le maire se garde bien de faire dresser un procès-verbal. Les Ersteinois qui doivent payer des contraventions pour un simple dépassement de temps de stationnement apprécieront moyennement.
En tout cas, l’occupation des lieux a permis de se faire une idée des conséquences et des nuisances : stationnement encombré en face des deux écoles maternelles, stationnement en double file et sur le trottoir, rassemblement de scooters et cyclomoteurs sur le terrain de jeux d’en face, installation de tables et chaises sur le trottoir, occupation bruyante tardive parfois jusqu’à trois heures du matin, etc.
Les juges annulent le permis
Le 25 octobre dernier, la Cour administrative d’appel de Nancy a rendu sa décision qui confirme celle du Tribunal de Strasbourg : le permis de construire est bel et bien annulé.
Jean-Marc Willer, sachant que la Cour d’appel lui donnerait tort, n’a pas attendu. Dès le 2 juillet 2012, il a accordé un nouveau permis à l’association turque qui avait déposé sa demande le 29 février 2012. Par quel tour de passe-passe les parkings qui étaient insuffisants pour le premier permis seraient-ils suffisants pour ce nouveau permis ? La réponse ressemble à un gag : les Turcs ont “découvert“ qu’il y aura moins de fidèles qu’ils ne l’avaient déclaré deux ans plus tôt, car un musulman qui prie à genoux occupe plus de places qu’un fidèle qui prie debout. On divise la superficie de la salle de prière par la surface d’un tapis de prière, et hop ! le nombre de personnes fréquentant la mosquée diminue d’un seul coup. À cela on ajoute quelques parkings fictifs, et le tour est joué.
Histoire de sous et de subventions
Mais pour qui le maire prend-il les magistrats ? et les Ersteinois ? En tout cas, Me Bonneau, pour le compte de l’association “Bien vivre au Mittelholz“ a aussitôt déposé un nouveau recours.
Pourquoi Jean-Marc Willer s’obstine-t-il ainsi ? La réponse est une histoire de gros sous. Il faut savoir que le maire a fait voter une subvention de 65 000 € en faveur l’association turque, pour les travaux, et que le Conseil général du Bas-Rhin a aussi accordé une somme de 30 000 €. On comprend l’exaspération des habitants du lotissement. Non seulement on leur impose une mosquée, mais en plus le maire la fait financer avec l’argent du contribuable. Or ces subventions ont été accordées alors qu’il y avait un recours contre le permis. Et maintenant que le permis est annulé, qu’en est-il de ces subventions ? Comment va réagir la communauté turque à qui le maire avait donné toutes les assurances ? Pourtant l’association “Bien vivre au Mittelholz“ avait maintes et maintes fois demandé au maire de revoir sa position.
Cette histoire a profondément choqué les Ersteinois, et elle n’est pas finie. Bien entendu, nous vous tiendrons informés de ses prolongements.
10:36 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |