dimanche, 10 juillet 2016
16 juillet : sortie du prochain numéro d'Eléments
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Samedi 24 septembre, près de Soissons (02) :
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samedi, 09 juillet 2016
Le nouveau numéro de Terre et Peuple Magazine (n°68) est sorti
L'éditorial : Les assassins sont dans la maison
Pierre Vial
Dès la maternelle, on apprend aux enfants que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Et surtout quand il a la peau sombre et les cheveux crépus ou qu’il s’appelle Mohamed. Ce sont nos frères et nos sœurs, ou au moins nos cousins (puisque tous les hommes sont semblables et donc interchangeables). En rentrant chez eux les enfants reçoivent le même message dans les dessins animés que débite la télévision, tout en s’empiffrant de sucreries et de coca-cola qui en feront de jeunes obèses, incapables d’efforts physiques qu’ils perçoivent d’ailleurs comme d’injustes et inutiles brimades. Comment pourraient-ils penser autrement quand ils voient leur père vautré sur un divan, une canette de bière à la main (le pack de réserve n’est pas loin), célébrant à grands coups de gueule les mérites de footballeurs colorés qui gagnent en un mois plus qu’un Gaulois en vingt ans de travail ? Allez les Bleus ! D’autant qu’ils sont d’un bleu très sombre, comme le commentent avec enthousiasme les journaleux de service.
Donc tout baigne. Certes on grogne, pour le principe, parce que tout de même la vie n’est pas facile. Mais on s’apprête aux joies des grandes vacances : les bouchons sur des routes surchargées qui rappellent de façon sympathique (on n’est pas dépaysés) les embouteillages des grandes villes qu’on vient de quitter ; les tournées à répétition de pastis avec les voisins du camping, en ayant en fond sonore les radios portables grand modèle qui débitent les braillements des « chanteurs » de hip-hop ; les séances de cuisson de la viande étalée sur les plages, avec les mémères dont les seins nus qui s’écroulent sont d’efficaces remèdes contre l’amour. Ah, la France sera toujours la France et il ne nous manque qu’un Maurice Chevalier pour mettre tout cela en chanson.
Et puis changement de décor. Retour au réel. Tous les media l’annoncent en boucle : un policier a été lardé de coups de couteau devant chez lui et sa femme a été égorgée dans sa maison, devant son fils de trois ans. Atterrés, les braves gens s’interrogent : comment cela est-il possible ? Et l’assassin dont la photo apparaît sur les écrans ? « Il avait l’air bien convenable, bien gentil » disent ses voisins. On évite de s’appesantir sur les origines de ce « Français ». Avec sa tronche de croque-mort le ministre de l’Intérieur, porte-parole du Robespierre au petit pied de Matignon et du joyeux drille de l’Elysée, dit sa stupéfaction indignée : il ne faut pas que de telles choses existent dans notre belle et pure République. Il ne faut pas…
De même qu’il ne faut pas que des casseurs s’attaquent à un hôpital Necker où des enfants sont en train d’être opérés. Il ne faut pas… Mais surtout on ne dit pas ce qui est pourtant une évidence : si on ne veut plus de casseurs il faut casser les casseurs. Les paysans le savent bien : quand on veut se débarrasser d’animaux nuisibles, de prédateurs, il n’y a pas trente-six solutions.
Aïe ! Je vais encore m’attirer les foudres des bien-pensants, des gens bien convenables qui trouvent qu’il y a des choses qu’il ne faut pas dire. Il ne faut pas dire que les assassins sont dans la maison parce qu’on leur a ouvert la porte. Les fous d’Allah savent que l’Occident, cette chose molle et veule, est un fruit trop mûr prêt à tomber. Alors ils secouent l’arbre. Pour voir. Et ils voient : une population anesthésiée par un individualisme bourgeois qui sévit même dans les rangs de ce qu’il est convenu d’appeler « la droite nationale ». Où on a peur d’appeler un chat un chat (il paraît que c’est du racisme). Où on veut bien applaudir les discours musclés. Mais quand il est question d’agir, il n’y a plus personne. S’engager ? Militer ? C’est fatigant. Et puis, nous disent des « philosophes », cela ne sert à rien.
Nous, nous choisissons de mettre les pieds dans le plat. Et de dire aux assassins : si vous voulez entrer dans notre maison cela va vous coûter cher. Très cher.
Dans ce numéro : un entretien avec Roland Hélie
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TV LIBERTES : Passé/Présent l'émission historique
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Que du solide, on vous le dit...
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vendredi, 08 juillet 2016
RAPPEL : samedi 9 juillet, Emmanuel Albach dédicacera "Le Grand rembarquement" à la Librairie Facta à Paris
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CONNAISSEZ-VOUS LA REGLE DE TROIS ?
de Jean-Claude Rolinat
Premièrement, le « BREXIT », deuxièmement l’Autriche, troisièmement… Donald Trump !
En votant avec une participation de 72 % lors du référendum pour la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne, avec plus d’un million de voix d’avance, les électeurs de Sa Majesté ont sérieusement ébranlé l’édifice bruxellois,« my God », comme on dit dans les chaumières… Le désir d’indépendance et la peur justifiée d’une immigration déraisonnable – à Londres près des ¾ des enfants sont d’origine extra-européenne, à commencer par le Lord-Maire (qui n’est plus un enfant, mais un musulman militant !) - auront eu raison des craintes et des menaces apocalyptiques proférées ici ou là par l’establishment eurocratique et, surtout, anti-démocratique. Bravo les Anglais ! On peut simplement souhaiter que, malgré le vote favorable de l’Ecosse et de l’Ulster en faveur du « remain », le maintien dans l’Union, le Royaume d’Elisabeth II garde son unité et qu’il reste « uni », comme l’indique son nom. L’auteur de ces lignes, partisan de l’Etat-Nation décentralisé reconnaissant la valeur des petites patries charnelles, ne saurait concevoir une France sans la Corse, une Italie sans la Lombardie, une Espagne sans Pays basque et une Grande-Bretagne sans les kilts et les cornemuses des Highlands ! A l’époque actuelle, en ce tragique début de siècle, le format de l’Etat-Nation est plus que jamais nécessaire pour assurer tout à la fois la sécurité, la souveraineté, la proximité et la reconnaissance raisonnable des particularismes linguistiques et culturels. Point n’est besoin du « grand bazar » bruxellois pour qu’AIRBUS industries, l’Agence de l’Espace, le CERN ou Eurocopter fonctionnent : c’est sur la libre coopération inter-gouvernementale que reposent les fondations réelles d’une Europe unie. Pas dans une « soupe » cosmopolite !
Demain, plus tard peut-être, viendra l’heure d’approfondir les délégations de compétences, mais toujours dans un esprit pragmatique, aux antipodes d’un fédéralisme niveleur. On sait ce qu’il en advint en Amérique dans un autre contexte entre 1860 et 1865, lors de la « Guerre entre les Etats » dont l’origine n’était pas uniquement, loin de là, la question de l’esclavage.
Aujourd’hui encore, la défense de l’autonomie des Etats américains est un enjeu majeur dans la course à la Maison Blanche. Plus proche de nous, souvenons-nous du tragique éclatement de la fédération yougoslave, une République fédérative qui n’était qu’un véritable sac de peuples corsetés par le communisme titiste.
UNE AUTRICHE REELLEMENT DEMOCRATIQUE
Imagine-t-on en France pouvoir revoter à l’échéance présidentielle dans le cas d’un si faible écart de voix ? Que nenni ! Les recours iraient à la poubelle, surtout s’ils émanaient d’un mouvement n’ ayant pas reçu l’imprimatur du politiquement correct. C’est ainsi que du Tyrol à Vienne, de la Styrie au Vorarlberg, les électeurs autrichiens retourneront aux urnes dès l’automne prochain. Norbert Hofer amplifiera-t-il son exploit, démontrant ainsi que le système avait triché pour lui voler sa victoire ou les vieux partis d’un monde usé auront-ils raison du jaillissement d’une force nouvelle, mais déjà solidement implantée ? Réponse dans quelques mois… « Wait and see » comme diraient les heureux britanniques !
CLINTON/TRUMP : LE MATCH DES EGOS
Disons le tout de suite, Donald Trump n’est pas notre tasse de thé et, pour être plus en phase avec le pays concerné, ce n’est pas notre verre de Bourbon préféré. Mais face à la représentante caricaturale de toute nos détestations, véritable symbole de tout ce qu’il nous faut combattre, force est de trouver ce Donald sympathique, même si ses formules sont un peu, disons, « brutes de décoffrage » ! L’animal – l’éléphant républicain – bouscule le paysage politique, décoiffe avec ses formules à chacun de ses meetings et rafle les mandats pour être désigné comme candidat lors de la Convention de son parti. Tous les obstacles mis sur sa route par les vieux caciques de Washington ont été, les uns après les autres, balayés par le rouleau compresseur du milliardaire New-Yorkais. Avec l’éventualité de cet homme aux manettes fédérales, l’hypothèse d’un clash avec la Russie s’éloignerait. Poutine comme Trump semblent s’apprécier mutuellement et même si, en diplomatie, les rapports de force comptent plus que les minauderies, le fait que deux leaders de deux pays d’une telle taille s’entendent, ne peut qu’être profitable pour avancer dans un monde apaisé. Le parti de l’âne – démocrate, forcément démocrate ! – sera-t-il coiffé au poteau en novembre prochain ? Ce n’est pas impossible car, attention, un éléphant, ça « Trump » énormément…
Voici en tout cas trois perspectives rafraichissantes pour passer un bon été, été que je vous souhaite ensoleillé et pacifique dans un pays qui a tant besoin de chaleur et d’unité.
13:42 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Brexit un symptôme, pas un remède !
Bruno Mégret Polémia cliquez ici
Le Brexit est sans conteste un événement politique important mais, au-delà des polémiques qu’il suscite, il convient de s’interroger sur sa portée réelle. A l’évidence, il s’agit d’abord d’une nouvelle et puissante manifestation populaire de rejet de la classe dirigeante et de l’idéologie qu’elle véhicule, la revendication identitaire face au danger migratoire ayant sans doute été le facteur le plus déterminant du vote pour la sortie de l’Europe. Malgré une campagne massive organisée par tous les tenants du politiquement correct, les Britanniques ont exprimé clairement leur refus d’une Europe mondialisée qui bafoue les identités, les Etats et les peuples.
A ce titre, leur vote s’inscrit dans le vaste courant qui se développe un peu partout en Europe, comme encore récemment lors de l’élection présidentielle en Autriche.
Une catastrophe (?)
A cet égard, on ne peut qu’être choqué par la propagande du Système présentant cette sortie de l’Union comme une catastrophe pour la Grande-Bretagne. A entendre les thuriféraires de l’Europe bruxelloise, celle-ci va connaître des troubles économiques, monétaires et commerciaux majeurs. Gageons qu’il n’en sera rien. Certes, la période d’incertitude ouverte par ce vote continuera pendant quelque temps à perturber les milieux économiques et financiers mais elle n’aura que peu de conséquences d’envergure. On voit déjà que l’impact sur la livre sterling est des plus modérés. Certes, la devise britannique a perdu près de 10% de sa valeur depuis le jour du référendum, mais il s’agit là d’une évolution qui se stabilise et qui se révèle, somme toute, bien modeste au regard de la baisse, au demeurant bénéfique, de l’euro qui a perdu quant à lui 20% de sa valeur au cours des douze derniers mois.
La vérité est que, si ce Brexit ne conduit pas aux catastrophes annoncées par les tenants du maintien du Royaume-Uni dans l’Union, il risque de ne pas apporter non plus les avantages promis par les partisans de sa sortie et de ne pas changer grand-chose dans la vie quotidienne des Britanniques. Sur le plan commercial, n’oublions pas que le Système bruxellois est dominé par le libre-échange. Il n’y a plus de frontières commerciales entre les pays d’Europe mais il n’y en a pas davantage entre l’Europe et le reste du monde. Sous une forme ou sous une autre, les droits de douane ne seront donc pas rétablis entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne et le commerce entre ces deux ensembles continuera comme avant. Sur la question de l’immigration, le Royaume-Uni ne faisait pas partie de l’Espace Schengen et, la classe dirigeante étant toujours très ouverte à l’immigration du Commonwealth, celle-ci se poursuivra comme auparavant et d’autres grandes villes britanniques finiront elles aussi par se doter, comme Londres, d’un maire musulman.
Et si la France suivait la Grande Bretagne ?
Cette observation doit conduire à s’interroger sur ce qui se produirait si la France sortait à son tour de l’Union européenne. La réponse serait la même : cela ne résoudrait rien. Les entreprises françaises seraient toujours soumises aux mêmes charges qui pénalisent leur compétitivité. En matière d’immigration, les gouvernements du Système acquis au politiquement correct ne feraient rien de plus qu’aujourd’hui pour arrêter la déferlante migratoire. Quant à la bureaucratie, faisons confiance à l’administration française pour concocter des règles aussi complexes et pénalisantes que celles imposées par Bruxelles.
Le Brexit est un symptôme de la maladie bruxelloise
En réalité, ce ne sont pas les structures institutionnelles, qu’elles soient nationales ou supranationales, qui déterminent la politique, mais leurs dirigeants et l’idéologie qui les anime. Placez des responsables acquis aux idées de la droite nationale à la tête et dans les rouages des institutions bruxelloises et l’Europe changera radicalement : de bureaucratique et mondialisée elle deviendrait protectrice de nos identités et de nos intérêts. A l’inverse, maintenez des dirigeants comme Hollande à la tête d’une France même sortie de l’Union et rien ne s’améliorera. Le Brexit est un symptôme de la maladie bruxelloise, pas un remède.
S’il faut donc refuser l’Europe telle qu’elle est aujourd’hui, il est vain de chercher la solution dans une sortie mécanique de l’Union. Il faut, au contraire, imaginer une autre Union, une Union qui rende aux Etats toutes les prérogatives qu’ils peuvent parfaitement gérer à leur niveau. Une Union qui soit dirigée par les nations et elles seules. Une Union qui se prémunisse de la concurrence sauvage par une régulation des échanges commerciaux à ses frontières. Une Union qui assure son indépendance vis-à-vis des Etats-Unis en rejetant le TAFTA et en créant une Alliance militaire européenne se substituant à l’Otan. Une Union dont la monnaie servirait les économies européennes comme le dollar sert l’économie américaine. Une Union qui mettrait un terme à l’invasion migratoire et qui aiderait les Etats à organiser la réémigration. Bref, une Union qui se préoccuperait de l’identité, de l’indépendance et de la puissance collective de l’Europe.
L’Europe se doit être une cohérence entre les nations composantes, défenseurs en commun de leur civilisation européenne
Dans le monde multipolaire qui est dorénavant le nôtre, marqué par le choc des civilisations et la montée des puissances anti-occidentales comme le monde chinois ou le monde musulman, il est essentiel que l’Europe impose à nouveau la puissance de sa commune civilisation. Et ce ne sont pas des nations isolées, divisées, envahies et culpabilisées qui peuvent nous rendre notre place dans ce monde-là.
La sortie de la Grande-Bretagne, laquelle a toujours voulu une Europe de l’atlantisme et du libre-échange, pourrait faciliter l’émergence d’une Europe de l’identité, de l’indépendance et de la puissance. Le choc politique du Brexit pourrait par ailleurs créer l’occasion de refonder l’Europe sur de tout autres principes que ceux qui ont prévalu jusqu’à présent. Les tenants de la classe politique reconnaissent aujourd’hui que l’Europe bruxelloise est discréditée et qu’il faudrait la rénover. Pourtant, ils ne semblent pas voir les fondements sur lesquels elle devrait être reconstruite et se contentent de proposer des modifications abstraites, voire absconses.
Une nouvelle Europe
Expliquons-leur, alors, que, si l’Europe s’affirmait demain comme le rempart contre l’invasion migratoire, si elle abandonnait son emprise bureaucratique sur les Etats, si elle assurait par sa monnaie et sa politique commerciale la réindustrialisation du continent et si elle rendait aux Européens leur fierté par une indépendance et une puissance retrouvées face aux Etats-Unis, les institutions européennes deviendraient enfin populaires.
Encore faudrait-il qu’au lieu de se réjouir passivement du Brexit, ceux qui s’opposent au Système en place fassent comprendre aux Français que l’Europe peut être tout autre chose que ce que les Européistes en ont fait et qu’elle pourrait constituer un puissant instrument pour combattre le politiquement correct et assurer la renaissance de notre nation.
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jeudi, 07 juillet 2016
Piero San Giorgio a lu "Le Grand rembarquement"
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L’engagement de la jeunesse
Steven Bissuel (GUD) Réfléchir et agir
La jeunesse, comme le reste du peuple, est en dormition. Il suffit de se rendre aux abords des facultés, des lycées pour se rendre compte de l’immense taux de fragilisation tant spirituelle, intellectuelle que physique. Elle a cependant un avantage certain, celui de pouvoir s’engager totalement. Cette période forge chaque âme sincère à ce devoir. Les expériences serviront de colonne vertébrale aux engagés, libres et de cœur rebelle. C’est à 20 ans que l’on s’engage. Mieux vaut un anarchiste qui, après s’être pris suffisamment de coups de manche de pioche sur le crâne, se rend compte de ses contradictions qu’un bourgeois droitard qui se contentera toujours de son micro-milieu de nantis qu’il avait investit durant son adolescence, se la jouant conservateur américain, et qui ne manquera de finir de briser le Vieux Continent à cause de ses positions ultra-libérales. On ne vit que lorsque l’on s’investit sans réserve, de manière désintéressée, pour un but qui nous dépasse, quelque chose d’immatériel qui nous élève vers l’exemplarité. L’homme européen ne se sent vivant que lorsqu’il agit.
Veiller à ne jamais guérir de sa jeunesse
Chaque matin, des décennies plus tard, nous devrons être en mesure d’affirmer avoir tout donné, tout tenté pour la défense et la renaissance de l’Europe, d’avoir été acteur du réel, de n’avoir aucun regret si ce n’est de de ne pas s’être engagé plus tôt. La vie n’a de sens que dans le don de soi envers la destinée de chacun qui se définie dans le cadre de la patrie. Nous arborons fièrement cet héritage pluri-millénaires et devons tous, tacher à retrouver notre longue mémoire afin de refaire jaillir l’âme européenne, brûlante et guerrière, qui permettra à chacun d’entre nous de devenir ce que nous sommes. Nous agissons pour nous mêmes puisque nous savons que, comme le disait Jean Mabire : « Nous ne changerons pas le monde […] mais le monde ne nous changera pas. »
Militantisme individuel et collectif
Nous devons être aussi communautaires. Le socle familial, fissuré mais toujours debout, inclus les camarades de la même identité biologique en lutte pour notre salue commun. Cette fraternité de pensée et d’action. Le mondialisme voudrait nous rendre indifférencié, individualiste, consumériste, interchangeable et déraciné, il s’y atèle plus férocement que jamais. Il est fondamental de ne plus répondre que par nous-mêmes, d’appliquer le principe de solidarité, de travail et d’interactivité entres Européens. Nous ne devons rien à personne si ce n’est le respect de nos anciens et l’amour de nos futurs générations. Les élites qui s’auto-proclament décideurs du destin des peuples oublient trop souvent que, en bas de leur gratte-ciel, la révolte gronde et amènera bientôt, je l’espère, la révolution. Tâchons d’être acteurs de celle-ci. Nos ancêtres ne nous pardonnerais pas si nous restions passifs et attentistes. Et ils auraient raison.
Le but est clair mais urgent. Il ne nous reste que quelques décennies avant que le géant du grand remplacement n’ait terminé son œuvre macabre et destructrice. L’engagement, c’est maintenant ou jamais, c’est le choix entre la vie ou la mort.
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08:45 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Paris et plusieurs villes de France à l'heure du Grand rembarquement ?
Vu dans le XVe arrondissement
Depuis quelques jours, des équipes d'Amis de Synthèse nationale contribuent activement à la promotion du nouveau livre d'Emmanuel Albach "Le Grand rembarquement" cliquez ici. Ainsi, à Paris et dans une dizaine de grandes villes françaises apparaissent sur les murs des affiches annonçant la parution de ce roman-choc qui redonnera, nous n'en doutons pas, l'espérance à ses lecteurs....
Avant de se rendre au boulot en métro,
le Parisien peut lire nos affiches
Emmanuel Albach et Roland Hélie
près du Trocadéro lundi dernier...
08:17 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine
Le lire cliquez ici
08:03 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi soir : Marie-Christine Arnautu sur Radio Courtoisie
07:58 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
6 juillet 1962 : assassinat du lieutenant Roger Degueldre
" Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM "
Roger Degueldre
C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jean-Pierre. Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »
Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul. Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
« Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise. Les soldats qui devaient l’exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l’atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains… au bras affirmèrent d’autres. Quoiqu’il en soit, le fait certain c’est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.
L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipita, l’arme à la main, pour accomplir sa sinistre besogne et se rendit compte que le condamné était toujours en vie. Sa tâche ne consistait désormais plus à achever un quasi-mort censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes… Il en eut si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission trembla, et que le revolver se déchargea dans le vide.
Parmi l’assistance, c’était la stupéfaction. Cette situation eut pour effet d’agacer le procureur qui, réveillé un peu tard, n’avait pas eu le temps de prendre son petit déjeuner. Et son estomac gargouillait. Mécontent, il fit signe à l’adjudant de se dépêcher. Pensant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé souffrait. Les coups de feu résonnaient encore à ses oreilles et il se demandait quand son calvaire prendrait fin.
L’adjudant, toujours tremblant, pointa une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferma les yeux et appuya sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produisit. L’arme s’était enrayé. Une rumeur monta de l’assistance. Degueldre tourna la tête vers son exécuteur comme pour l’interroger. Aucune haine dans son regard… juste de l’incompréhension.
Exaspéré par cette situation – unique dans les annales de l’exécution - le procureur ordonna qu’une nouvelle arme soit amenée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possédaient. Il fallait courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre était toujours vivant… et il souffrait.
A partir de ce moment là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels; Il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les Etats Majors, le FLN et l’Elysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.
Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce qu condamné. Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée. Mais non, l’avocat demeurait prostré, sans voix, mort… alors que Degueldre, lui, était vivant et qu’il le regardait.
Enfin on remit un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, écoeuré par cette boucherie… mais servile au commandement de tuer, devait en finir puisque tels étaient les ordres et que le défenseur du condamné qui, seul avait qualité pour tenter quelque chose, se taisait.
Un nouveau coup de feu claqua. Stupeur ! Celui-ci fut tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradia le corps du supplicié. Il regarda vers le ciel et ouvrit grand ses yeux. Peut-être perçut-il à cet instant que son calvaire prenait fin. Il était tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui sembla entendre, là haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».
Puis une nouvelle détonation retentit… et ce fut la fin.
C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien. Et nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d’Algérie : « Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ! »
Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton.
Décidément, le crime était profondément enraciné !…
Source Jeune Nation cliquez ici
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mercredi, 06 juillet 2016
La 5e colonne rebeu existe, la preuve par l’Eurofoot !
de Philippe Randa
On se rappelle – enfin certains ! – de la polémique d’avant le début de l’Euro Foot 2016 provoquée par l’ancien champion de football Éric Cantonna contre le sélectionneur de l’équipe de France Didier Deschamps : il le soupçonnait ni plus ni moins d’avoir écarté Karim Benzema de sa sélection parce qu’il aurait « cédé à une partie raciste de la France. »
Certains joueurs de l’équipe de France aux origines africaines ou dom-tomesques assez évidentes, ont aussitôt volé au secours de l’accusé : juré, craché, ce dernier n’était pas raciste. À les voir, et aussi nombreux dans la sélection, on ne pouvait que le reconnaître aisément.
On pensait l’affaire terminée, mais non !
« Dans les banlieues populaires, l’absence de Benzema et Ben Arfa ne passe pas » titre Le Monde qui, pour preuve, donne la parole à Abdellah Boudour, militant associatif d’Argenteuil (Val-d’Oise) : « Bien sûr, il y a Sissoko, Pogba qui viennent de la région parisienne. Mais ma génération est déçue qu’il n’y ait pas de reubeus des quartiers, des mecs qui nous ressemblent. »
Et le quotidien vespéral de constater que ces absences « sont souvent vues comme une injustice. Et une illustration de l’exclusion sociale que vivent de nombreux habitants de ces quartiers populaires, surtout ceux ayant une ascendance maghrébine. »
Trop de noirs pour certains et pas assez de Maghrébins pour d’autres : on savait les Français de souche peuple de râleurs, mais constatons que les nouvelles générations issues de l’immigration ne le sont pas moins !
Et Le Monde de citer Sofian : « Moi j’étais pour l’Italie car je suis à moitié italien. Maintenant je suis pour l’Islande parce que j’ai pas envie de soutenir l’équipe de France. La sélection a été faite bizarrement. »
Jeudi, jour de la demi-finale entre la France et l’Allemagne, on se doute aisément pour quelle équipe son cœur va battre…
En tout cas, si Didier Deschamps n’a pas cédé aux pressions racistes durant cet Euro Foot, c’est à se demander si ce n’est pas le seul !
Lire EuroLibertés cliquez là
07:20 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de TV Libertés de mardi soir parle de la manifestation de lundi soir :
07:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Médias Presse info présente Le Grand rembarquement
Notre excellent confrère Médias Presse info cliquez ici de ce matin présente le roman-choc d'Emmanuel Albach en ces termes :
Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a ensuite fait une carrière de journaliste.
L’été est propice à se plonger dans un bon roman pour se détendre un peu. Quoi de mieux, dans ce cas, que de choisir un roman qui nous parle de l’actualité – le grand remplacement – et nous fait miroiter une issue heureuse, le grand rembarquement !
Lorsqu’on évoque les romans qui traitent du déferlement migratoire, tout le monde a naturellement en tête Le Camp des Saints, roman prophétique de Jean Raspail. Mais si les deux tiers de ce roman se sont réalisés depuis sous nos yeux, chacun espère qu’un événement inattendu et salvateur nous préservera de la fin tragique imaginée par Raspail. C’est là que le roman d’Emmanuel Albach intervient pour offrir une lueur d’espoir.
Après la victoire du candidat du MPU (toute ressemblance avec des faits et des personnages réels n’est pas fortuite) à l’élection présidentielle de 2017, la France s’enfonce dans le chaos sous le poids d’une immigration toujours plus massive. Des bandes armées font régner la loi de la jungle. Des milices djihadistes défient ouvertement l’autorité.
Enfin, le 12 avril 2019, toutes les composantes de l’Etat reçoivent la consigne de participer à la mise en œuvre du Projet S.C.S.E. Mais que veut dire ce mystérieux acronyme ? Va-t-on finir par procéder à l’expulsion de plusieurs millions d’immigrés, telle une version inversée de l’exode de 1962 ? Par quel effort d’imagination cela deviendrait-il possible ?
Le Grand rembarquement, Emmanuel Albach, éditions Dualpha, 332 pages, 26 euros
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mardi, 05 juillet 2016
La manif comme si vous y étiez :
Pierre Cassen, Président de Riposte laïque
Karim Ouchikh, Président du SIEL
Maître Frédéric Pichon, avocat, responsable du SIEL
Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
René Marchand, Ecrivain
Carl Lang, Président du Parti de la France
Conclusion de Pierre Cassen
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L'intervention de Roland Hélie au rassemblement contre le Ramadan à la Mairie de Paris
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lundi, 04 juillet 2016
Le rassemblement organisé par Riposte laïque au Trocadéro : un acte de résistance à l'islamisation de Paris...
Jeanne Bourbillon Riposte laïque cliquez ici
Le rassemblement organisé par Riposte laïque place du Trocadéro s’est tenu sans incident, malgré quelques tentatives de jeunes crétins de type « Nuit Debout », rapidement canalisées par le service de sécurité.
Pierre Cassen, qui était l’animateur fit profiter le public ravi, de l’enregistrement de la chanson Anne Hidalgo sur l’air de la petite Marie. Il lut, pour démonter l’alibi d’Anne Hidalgo prétendant que la laïcité était compatible avec la commémoration du ramadan dans une mairie, un texte cinglant de Manuel Gomez paru il y a un an sur Boulevard Voltaire. Pierre termina sa première intervention en interpellant le million de militants laïques de gauche qui étaient dans la rue le 16 janvier 1994. Il affirma qu’ils devraient avoir honte de rester passifs devant un tel viol de la laïcité.
Ensuite les deux principaux dirigeants du SIEL, Karim Ouchik et Frédéric Pichon intervinrent de manière très complémentaire pour dénoncer les compromissions de la mairie de Paris et de l’ensemble de la gauche devant l’islam. Ils appelèrent à un retour de l’amour de notre pays et à la mobilisation de nos compatriotes.
Roland Hélie, Président de Synthèse nationale, se félicita de l’esprit unitaire qui réunissait des patriotes venus d’horizons différentes. Il rendit hommage au livre d’Emmanuel Albach, « Le Grand rembarquement », et encouragea l’ensemble des manifestants à se retrouver pour les dix ans de Synthèse nationale qui auront lieu le 2 octobre prochain.
René Marchand se tailla un franc succès en décrivant ce que serait le prochain procès d’Hidalgo et il lui promit que ce ne serait pas devant la 17e chambre mais devant un tribunal traitant de la trahison devant l’ennemi en temps de guerre. (Vidéo à venir)
Car Lang, Président du Parti de la France démonta brillamment tous les vieux discours de la gauche sur le vivre ensemble, l’intégration et l’islam de France. Il appela les Français à résister à la guerre qui nous est menée sur notre propre territoire et les encouragea à s’organiser politiquement pour sauver la France.
Entre chaque intervention Pierre lut différents messages de soutien qui lui étaient parvenus : Serge Ferderbusch, Président du Parti des libertés, Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia, Robert Ménard, Maire de Béziers.
Dans sa conclusion notre fondateur expliqua les raisons de l’engagement patriote de tous ceux qui avaient fait le choix de se déplacer ce soir (certains de très loin) et de tous ceux qui toute l’année impulsent les résistances patriotiques. Il cita de nombreux exemples d’engagement au service de son pays, et par ses paroles sur son amour indéfectible de la France, de son histoire, de sa civilisation, il émut énormément le public. En annonçant que plusieurs centaines, voire peut-être un millier, d’autocollants représentant Hidalgo léchant des babouches, avaient été placardés tout autour de la mairie de Paris, il déclencha un tonnerre d’applaudissements.
Grace aux nouvelles technologies (Periscope) 954 personnes ont regardé en direct ce rassemblement qui est à l’honneur de ceux qui l’ont organisé, ceux qui sont intervenus et ceux qui étaient présents.
Les vidéos de ces différentes interventions seront bientôt visibles sur ce site.
Parmi les participants à la manifestation : Carl Lang, Président du Parti de la France, et Emmanuel Albach, auteur du roman choc de l'été : Le Grand rembarquement cliquez ici
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Pierre Cassen a apprécié "Le Grand rembarquement", le roman-choc d'Emmanuel Albach...
Samedi dernier, Pierre Cassen, Président de Riposte laïque, m'a téléphoné pour me faire part de son enthousiasme après avoir lu Le Grand rembarquement, le nouveau roman d'Emmanuel Albach. Ce matin, dans son éditorial de Riposte laïque, il conseille à ses lecteurs de lire ce livre. Qu'il en soit ici remercié et rappelons que ce soir, lundi 4 juillet, nous nous retrouverons aux côtés des patriotes de RL au Trocadéro pour protester contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris.
Roland Hélie
Voici l'édito de RL (cliquez ici) :
Nous sommes à quelques heures du rassemblement du Trocadero, où Riposte Laïque appelle tous les Parisiens à venir protester contre la scandaleuse commémoration du ramadan, à la Mairie de Paris, commise par l’ineffable maire de Paris, Anne Hidalgo. Parisiens, nous comptons sur vous pour défendre notre laïcité, contre la soumission et la trahison du maire de Paris…
Nous vous rappelons qu’interviendront, entre autres, Karim Ouchikh, Carl Lang, René Marchand, Pierre Cassen, Jean-Yves Le Gallou et Serge Federbusch, et que le maire de Béziers, Robert Ménard, a envoyé un message de soutien qui sera lu à la tribune.
Mais dans cet édito, je voulais vous parler d’un livre qu’il vous faut absolument acheter, pour vos vacances. Et je ne fais pas la promotion d’un ouvrage de Riposte Laïque, même si je suis certain que les éditions RL auraient adoré publier cet ouvrage.
Je voulais vous recommander le livre « Le Grand Rembarquement », d’Emmanuel Albach, paru aux éditions Dualpha.
L’auteur, sans vouloir dévoiler l’intrigue, répondait à quelques questions dans la revue « Synthèse nationale » (cliquez ici).
Pour éclairer le lecteur, disons que dans ce roman, il y a un peu de "La Faute du Bobo Jocelyn" , de Christine Tasin et Pierre Cassen, de "2023, Le Mur" , de l’avocat Olivier Arnaubec, de "Opération Pédalo" de Paul Le Poulpe, de "Le Camp des Saints" , du grand Jean Raspail, de "Soumission" de Michel Houellebecq, et de "La guerre civile qui vient" , d’Ivan Rioufol.
Et bien évidemment, un détournement de la formule de Renaud Camus "Le Grand Remplacement".
Disons que cet ouvrage contredit totalement la thèse de tous les intervenants du dernier Bistro-Libertés, qui contestaient tous une possible guerre civile en France (que nous nous refusons à appeler ainsi, préférant le terme « Guerre de reconquête »).
Bistro libertés cliquez ici
Ce livre est un roman policier qui se déroule dans les arcanes du pouvoir, de 2017 à 2019, avec en toile de fond une milice islamique qui, avec la complaisance du gouvernement, assure l’ordre républicain dans les zones islamisées, à la place de l’Etat. Avec les conséquences qu’on peut aisément deviner.
Quand on plonge dans cette fiction, on ne peut plus relever la tête du livre, tant on pris par ce roman captivant, que les anglo-saxons appellent un thriller, de 332 pages, malgré un corps d’écriture assez petit. Il y a donc de la lecture, les amis, et du suspens !
J’avais commis un jour un édito, qui avait été, de manière cocasse, attribué à un journaliste du Monde, intitulé : « Sans l’islam, la France serait un pays formidable » cliquez ici
Pensez à cet édito, en lisant les dernières lignes du livre d’Emmanuel Albach "Le Grand Rembarquement".
De nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien déterminés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature « bruxellisée ».
Dans les bus et les métros, on croise des enfants revenant du foot, de la danse, des cours du soir, dans leurs plus beaux vêtements, arborant leurs marques fétiches et portant des ballons tout neufs, exhibant des smartphones, sans crainte de se les faire « tirer » par des « jeunes » en maraude. Les vieilles dames de Marseille peuvent porter chaînes et colliers d’or sans plus risquer de se les faire arracher. « Ils sont partis, répète-t-on, et bien partis ». Les femmes prennent les transports en commun, vont en tout quartier, en jupe courte et dos nus, portent bagues et bijoux, porte-monnaie en mains, non dissimulés, sacs coûteux à l’épaule. « Exactement comme à Ginza », note un journaliste japonais, et « Comme à Pékin », renchérit un de ses confrères chinois. Le premier écrit dans le Nikkei Shimbun : « Paris est devenu aussi sûr que Tokyo. Les Français sont redevenus élégants et les Parisiennes plus coquettes et sexy que jamais ».
Dans la semaine qui suit, c’est la ruée des touristes asiatiques, et américains aussi, sur tous les sites de voyage. Les hôtels de la France toute entière se retrouvent soudain « bookés » pour un an. La catastrophe économique annoncée par les experts commence plutôt bien. Du coup, il faut embaucher sur le champ des dizaines de milliers d’employés. Pole Emploi n’ayant plus les moyens de verser la moindre allocation depuis le premier jour de la crise shabeb, tous les anciens ayant-droits se jettent sur ces jobs providentiels. Et en un clin d’oeil, la question du chômage est résolue. Pour aider les professionnels du bâtiment qui entreprennent d’achever de détruire ce qui le méritait depuis longtemps et de réparer les ravages des colonnes infernales, on fait venir, comme jadis, d’habiles ouvriers, Espagnols, Portugais ou Italiens. Mais bientôt, on commence à penser à ceux de la rive opposée de la Méditerranée, aux anciens voisins partis là-bas. On n’a pas vécu ensemble si proches sans qu’il en reste des traces. Et puis démarrent là-bas tous ces grands chantiers destinés à reloger et occuper ces populations à la fois de retour chez elles et en quelque sorte déracinées, un peu comme les Pieds-Noirs en 1962 en métropole.
Et si l’Histoire était vraiment un éternel recommencement ?
Ajoutons, pour conclure cet édito, que l’auteur connaît parfaitement l’islam, et la stratégie de conquête, par le mensonge, la ruse ou la force, que ses livres sacrés imposent. Et qu’il a parfaitement compris ce à quoi rêvent des millions de musulmans installés en France, et les méthodes qu’ils utiliseront…
Sachons savourer cette fiction, que certains trouveront pleine d’optimisme, et rêvons de vivre, un jour, certaines des scènes savoureuses contenues dans le livre d’Emmanuel Albach, et notamment la solution corse…
Le Grand rembarquement cliquez là
09:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang et le Brexit :
09:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 03 juillet 2016
Lundi 4 juillet, contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris : RASSEMBLEMENT A 19 H AU TROCADERO
10:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 02 juillet 2016
Le GUD refait surface sur la toile...
Le Groupe Union Défense (syndicat des étudiants nationalistes) vient de lancer son nouveau site d'information. Un site bien fait et respectueux de l'esthétisme maison... Vous pouvez le consulter en cliquant ici.
17:12 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre la scandaleuse commémoration du Ramadan par Anne Hidalgo : Riposte laïque appelle à un rassemblement lundi 4 juillet au Trocadéro
Nous apprenons que ce lundi 4 juillet, le maire de Paris, Anne Hidalgo, et son adjoint Bruno Julliard, commémoreront le ramadan, qui est le quatrième pilier de l’islam, dans les salons de l’Hôtel-de-Ville. C’est un viol fragrant des principes laïques et de la loi de 1905 qui rappelle, dans son article 2, que « L’Etat ne reconnaît, ne salarie et ne subventionne aucun culte ». Tous les ans, cette petite fête, avec orchestres et buffet, coûte aux contribuables parisiens la somme de 100.000 euros.
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, quand, au Maroc, en Algérie ou en Tunisie, des militants des Droits de l’Homme, appelés les « Déjeûneurs », subissent la répression de leur gouvernement et les agressions des islamistes, Anne Hidalgo trahit également la solidarité internationale due à celles et ceux qui veulent s’émanciper de la tyrannie d’une religion d’Etat.
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, elle se rapproche du modèle anglo-saxon, et tourne le dos aux principes de séparation du religieux et du politique. Elle contribue à faire de l’islam la nouvelle religion d’Etat de la France.
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, elle se fait l’alliée des plus fondamentalistes des musulmans, qui utilisent cette pratique obscurantiste pour surveiller et intimider les mauvais musulmans qui souhaitent s’éloigner de l’islam.
Anne Hidalgo est, à notre connaissance, le seul maire de France à oser commémorer le ramadan dans sa mairie. Mais tous les ans, le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, sans vergogne, multiplient les ruptures du jeûne dans les mosquées.
Il est à noter le silence complice assourdissant des organisations dites laïques, qui seraient sans doute beaucoup plus réactives si un maire commémorait le Carème dans sa mairie.
Pour protester contre les pratiques anti-laïques d’Anne Hidalgo et de sa majorité, prêts à tous les reniements pour acheter un vote communautariste, Riposte Laïque appelle les Parisiens à se rassembler, esplanade du Trocadéro, le lundi 4 juillet, à partir de 19 heures.
Une dizaine d’intervenants prendront la parole, dont plusieurs élus de la République.
Pierre Cassen,
fondateur de Riposte Laïque
Plusieurs responsable politiques et associatifs, parmi lesquels Carl Lang, Président du Parti de la France, Karim Ouchickh, conseiller régional d'Ile de France, Jean-Yves Le Gallou de la Fondation Polémia, l'avocat Frédéric Pichon, l'écrivain René Marchand... ont d'ores et déjà annoncé qu'ils participeraient à ce rassemblement.
PS. La manifestation est autorisée par la Préfecture, puisqu’elle n’a pas été interdite.
15:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Grandes manœuvres pour grande mosquée
Dr Bernard Plouvier
Depuis la fin de l’année 2015, si riche en assassinats perpétrés, sur le sol français, par des musulmans à l’encontre de citoyens français, le gouvernement algérien, par son ministre des Affaires religieuses, réclame la pleine souveraineté sur la grande mosquée de Paris qu’il subventionne puissamment.
À ce titre, on peut imaginer que les Saoudiens, Qataris, turcs et autres évergètes exotiques, vont prochainement réclamer leur « livre de chair », en l’occurrence la souveraineté sur les mosquées dont ils financent l’érection et le fonctionnement. Ce qui fait un plaisant contraste avec la propriété des églises et cathédrales françaises, que l’État français a nationalisées par la Loi de juillet-décembre 1905, faisant du même coup de la France un pays « neutre » au plan des religions et des cultes.
Il est peu probable que nos dévoués politiciens, encore maîtres de l’État durant quelques mois, fassent voter une loi sur un sujet aussi explosif, avant d’importantes échéances électorales, même si le parti qui a (encore) les apparences du Pouvoir semble très désireux de recevoir des dons d’émirs et de roitelets généreux en pétrodollars… encore qu’avec ces gens-là, il ne faille pas toujours se fier au simple bon sens.
Il peut donc paraître utile de rappeler au Peuple souverain l’article 53 du Titre VI de la Constitution de la Ve République, en date du 4 octobre 1958, un article ni révoqué ni amendé depuis lors. Le Titre VI est intitulé : Des traités et accords internationaux. L’art. 53 stipule : « Les accords relatifs à l’organisation internationale… qui comportent cession… de territoire ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi… Nulle cession n’est valable sans le consentement des populations intéressées ».
En clair, le gouvernement est obligé de demander 1 : l’avis du Parlement, pour l’établissement d’une loi 2 : le consentement de la population… et l’on se moque absolument de celui des musulmans en tant que tels, étant donné que l’État est NEUTRE en matière de culte. C’est donc l’avis du PEUPLE SOUVERAIN en sa totalité que nos brillants maîtres doivent solliciter et seul le peuple souverain peut accorder ou refuser cette cession d’une partie du territoire national.
En outre, quel est l’individu assez niais pour ne pas comprendre qu’une fois devenues aussi inviolables qu’une ambassade, les mosquées de souveraineté algérienne, tunisienne, marocaine, saoudienne, qatari, turque etc… deviendront non seulement des asiles pour terroristes et criminels de la Oumma, mais aussi des centres d’endoctrinement et de formation à la guerre civile… déjà, des mosquées corses servent de salles de sports de combat.
Une grave question se pose : jusqu’où allons-nous descendre dans l’abjection et le reniement de nos valeurs et de notre histoire ?
15:16 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie prochaine du n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle
Vous pouvez le commander
dès maintenant en ligne cliquez ici
Pour information : Un incident technique à notre imprimerie nous oblige a différer de quelques semaines la parution de ce n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme initialement prévue pour la fin juillet. Nous en sommes sincèrement désolés. Ce Cahier sortira donc fin août et il sera aussitôt expédié à ceux qui l'ont commandé ainsi qu'aux abonnés.
Nous espérons que vous ne nous tiendrez pas rigueur pour ce contretemps indépendant de notre volonté et vous remercions pour votre compréhension.
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Vendredi 8 juillet : parution du n°20 de Livr'arbitres
13:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Civitas sur le terrain politique ?
Ces jours-ci, les médias ont abondamment parlé de la transformation de Civitas en parti politique. L’expression est impropre. Les partis ont l’habitude de placer des intérêts particuliers au-dessus de l’intérêt général. Au contraire, Civitas veut agir en politique à la façon d’une ligue au service du Bien commun.
Les statuts de Civitas ont donc été modifiés. Civitas peut désormais soutenir ou présenter des candidats lors des élections.
Que tout le monde se rassure, Civitas n’a nulle intention de se prostituer pour quelques bulletins de vote. Mais nous pensons que ce statut peut nous apporter une tribune plus importante pour exposer nos idées.
En septembre, Civitas présentera donc sa stratégie à cet effet ainsi qu’un programme affranchi de tout politiquement correct.
Le 8 mai 2016, lors de l’hommage national à Sainte Jeanne d’Arc, je concluais mon discours par un appel à la convergence. Il ne s’agissait pas d’une simple formule de convenance. Il ne faut pas non plus qu’il s’agisse d’un vœu pieux sans lendemain.
Les circonstances difficiles que traversent la France et toutes les nations d’Europe reflètent une impitoyable convergence des catastrophes qui semble irrépressible. La tyrannie du mondialisme et de sa vassale république maçonnique se renforce de jour en jour. Le déferlement migratoire orchestré pour remplacer nos populations ne rencontre quasi aucune résistance d’une population anesthésiée par une société de consommation qui la tient en esclavage. Le vice et la dévirilisation de notre civilisation finissent d’achever ses capacités à affronter les évènements. Quant au dévoiement de la foi et de la doctrine catholiques par une Rome conciliaire devenue complice du nouvel ordre mondial, il ne fait qu’accentuer la déchristianisation de notre société.
Ce terrible constat devrait avoir pour effet indirect de mettre fin à tout orgueil de ceux qui refusent de se soumettre. Aucun parti, aucun mouvement, aucune association ne peut raisonnablement croire qu’il parviendra seul et par ses propres moyens à restaurer la France. Seule la convergence des forces peut apporter un mince espoir. Encore faut-il pour cela que cette convergence se fasse sur un socle solide qui relie la foi du moine à la volonté du guerrier et à l’imagination du dissident dans le respect de l’héritage d’une France dont la grandeur a réellement démarré avec le baptême de Clovis.
D’emblée, il faut désamorcer une crainte : la convergence n’est pas l’uniformité. La convergence est la coordination de l’agir au service d’un bien commun.
Il faut obtenir que tous ceux qui aiment sincèrement la France et admettent que celle-ci est une terre chrétienne parviennent à conjuguer leurs efforts.
Civitas peut jouer un rôle moteur dans ce domaine. Il faut que dans les mois qui viennent, cette convergence prenne une forme concrète. Que des conférences, des colloques, des congrès, des manifestations, soient autant d’occasion de convergence. Que des projets communs se mettent en place, au niveau local comme au niveau national. Que des médias alternatifs viennent les relayer. Qu’un réseau prenne forme. Et que Civitas y veille à ce que la défense de la Vérité y prime sur la loi du nombre.
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Autriche : le vote est invalidé, l’élection présidentielle doit être répétée
L’élection présidentielle en Autriche doit être répétée. C’est ce qu’a déclaré la Cour constitutionnelle le vendredi 1er juillet. Les Autrichiens devront retourner aux urnes une fois de plus en automne.
Après la victoire de justesse de l’écologiste d’extrême-gauche Alexander Van der Bellen au second tour des élections présidentielles de mai, de nombreuses irrégularités sont apparues. Le FPÖ, parti national-libéral, dont le candidat,Norbert Hofer, avait échoué de justesse au second tour, avait déposé un recours devant la Cour Constitutionnelle.
Le vendredi 1er juillet, la Cour Constitutionnelle a statué que l’élection était invalide du fait de nombreuses irrégularités. La Cour a entendu près de 90 témoins durant deux semaines et a estimé qu’aucune fraude n’avait eu lieu. Cependant, en de nombreux endroits, des dizaines de milliers de bulletins postaux ont été dépouillés de manière irrégulière – certains ont été comptés après le temps imparti, et d’autres par des personnes non autorisées.
L’avocat de Van der Bellen a déclaré que ces irrégularités n’avait pas d’influence sur le résultat final. L’écologiste d’extrême-gauche avait emporté le scrutin avec seulement 31.026 voix.
Van der Bellen aurait dû être intronisé président fédéral le 8 juillet. Les nouvelles élections auront lieu à l’automne et d’ici là, la présidence sera assurée par les trois présidents du Conseil national (parlement), dont l’un est Norbert Hofer, le candidat du FPÖ.
Après le Brexit la semaine dernière, c’est une nouvelle gifle pour les responsables de l’Union européenne – qui avaient milité pour Van der Bellen comme pour le Remain.
Source Breizh info cliquez ici
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